Avec Meryl et Peach, Shizuka et Megumi étaient parties pour une aventure qui allait durablement les marquer ! Du moins, tel était le but de Meryl ! Elle besognait Shizuka avec une telle force que les murs auraient pu en trembler ! Fort heureusement, Peach faisait contrepoids, évitant ainsi que sa partenaire (ou proie) ne glisse hors de sa queue. Meryl la prenait avec une vigueur redoutable, s’enfonçant puissamment en elle. Elle la prenait avec énergie, sa queue glissant d’avant en arrière à un rythme frénétique. Les parois anales de Shizuka étaient après tout bien dilatées, maintenant, et Meryl pouvait donc avec satisfaction s’enfoncer en elle jusqu’à la garde, arrachant alors à Meryl de longs soupirs et des grognements de plaisir.
« Oooh putain, t-tu as un de ces culs, ma belle… »
L’engouement de Shizuka, Peach pouvait lui aussi le sentir. Elle pompait sa queue avec ardeur, et il enchaînait les gorges profondes avec délectation. Meryl pouvait voir un sourire béat sur ses lèvres, une expression de plaisir profond sur ses lèvres. Une vision qui ne pouvait que faire plaisir à sa mère, car quelle mère n’aimait pas voir son fils être heureux ? Peach l’était, et cela lui suffisait donc… Même si elle ne pouvait nier qu’elle prenait doublement son pied. D’une part, elle défonçait méthodiquement le cul de Shizuka, elle s’enfonçait en elle avec force, la douleur de la sodomie étant le moteur d’une joie immense, d’une jouissance terrible. D’autre part, elle sentait Megumi se déchaîner dans son dos, la sodomisant avec force. Difficile de dire si les Seishi avaient déjà découvert le plaisir de l’hermaphrodisme, mais, quitte à parier, Meryl aurait dit que ce devait être la première fois de Megumi en ce sens. La vigueur dont elle faisait preuve en était la plus belle démonstration ! Elle la sentait gémir dans son dos, s’appuyant sur ses hanches ou sur ses lourds seins, s’enfonçant elle aussi jusqu’à la garde. Et ça, Peach connaissait suffisamment sa mère pour savoir qu’elle aimait ça.
Megumi finit par jouir, et ce fut un orgasme particulier, car le jouet qu’elle utilisait orgasma comme son propre sexe, donnant ainsi à Megumi le sentiment fort de jouir deux fois, de goûter simultanément à l’orgasme féminin et masculin. Une sensation si forte qu’elle en resta ensuite pantoise, tandis que son strap-on projeta dans le fondement de Meryl l’orgasme de Megumi, remplissant celle-ci. Megumi se retira ensuite, et put voir Meryl continuer à besogner sa sœur. L’endurance de Meryl était surnaturelle, et même Peach jouit avant sa mère. Il inonda la bouche de Shizuka, puis se retira, et s’assit à côté de Megumi, sur le canapé. Shizuka avait du mal à tenir sur ses pattes, il fallait que Meryl lui tire les cheveux… Mais elle finit par laisser Shizuka tomber sur le sol quand l’un de ses bras glissa. La tête au sol, son cul relevé, Shizuka continuait à se faire prendre.
« Nos jouets sont un mélange d’une technologie futuriste et de la magie rose utilisée par la Déesse Aphrodite, lui expliqua Peach. C’est intense, hein ? Tu n’as jamais fait ce genre de choses ? Je veux dire, avoir une verge… »
Il l’aida à retirer ce strap-on, car, quand Meryl en aurait fini avec Shizuka, elle serait la prochaine. Mais, d’ici là, Peach se pencha vers Megumi, et l’embrassa tendrement. Sa main se déplaça pour masturber Megumi dans la foulée, titillant son sexe. Il pressait dans la foulée son bouton d’amour, jouant avec son clitoris, témoignant comme à chaque fois de son talent en la matière. Peach voulait stimuler Megumi, la rendre bien chaude, la stimuler jusqu’à ce que sa mère vienne. Il allait donc l’exciter comme il savait si bien le faire, en l’empêchant néanmoins de jouir, retirant ses doigts quand il sentait que Megumi approchait de l’orgasme. Celle-ci pourrait constater que Peach connaissait très bien le corps d’une femme, et surtout la manière dont le désir s’exprimait dans le beau sexe…
« Oooh putain, t-tu as un de ces culs, ma belle… »
L’engouement de Shizuka, Peach pouvait lui aussi le sentir. Elle pompait sa queue avec ardeur, et il enchaînait les gorges profondes avec délectation. Meryl pouvait voir un sourire béat sur ses lèvres, une expression de plaisir profond sur ses lèvres. Une vision qui ne pouvait que faire plaisir à sa mère, car quelle mère n’aimait pas voir son fils être heureux ? Peach l’était, et cela lui suffisait donc… Même si elle ne pouvait nier qu’elle prenait doublement son pied. D’une part, elle défonçait méthodiquement le cul de Shizuka, elle s’enfonçait en elle avec force, la douleur de la sodomie étant le moteur d’une joie immense, d’une jouissance terrible. D’autre part, elle sentait Megumi se déchaîner dans son dos, la sodomisant avec force. Difficile de dire si les Seishi avaient déjà découvert le plaisir de l’hermaphrodisme, mais, quitte à parier, Meryl aurait dit que ce devait être la première fois de Megumi en ce sens. La vigueur dont elle faisait preuve en était la plus belle démonstration ! Elle la sentait gémir dans son dos, s’appuyant sur ses hanches ou sur ses lourds seins, s’enfonçant elle aussi jusqu’à la garde. Et ça, Peach connaissait suffisamment sa mère pour savoir qu’elle aimait ça.
Megumi finit par jouir, et ce fut un orgasme particulier, car le jouet qu’elle utilisait orgasma comme son propre sexe, donnant ainsi à Megumi le sentiment fort de jouir deux fois, de goûter simultanément à l’orgasme féminin et masculin. Une sensation si forte qu’elle en resta ensuite pantoise, tandis que son strap-on projeta dans le fondement de Meryl l’orgasme de Megumi, remplissant celle-ci. Megumi se retira ensuite, et put voir Meryl continuer à besogner sa sœur. L’endurance de Meryl était surnaturelle, et même Peach jouit avant sa mère. Il inonda la bouche de Shizuka, puis se retira, et s’assit à côté de Megumi, sur le canapé. Shizuka avait du mal à tenir sur ses pattes, il fallait que Meryl lui tire les cheveux… Mais elle finit par laisser Shizuka tomber sur le sol quand l’un de ses bras glissa. La tête au sol, son cul relevé, Shizuka continuait à se faire prendre.
« Nos jouets sont un mélange d’une technologie futuriste et de la magie rose utilisée par la Déesse Aphrodite, lui expliqua Peach. C’est intense, hein ? Tu n’as jamais fait ce genre de choses ? Je veux dire, avoir une verge… »
Il l’aida à retirer ce strap-on, car, quand Meryl en aurait fini avec Shizuka, elle serait la prochaine. Mais, d’ici là, Peach se pencha vers Megumi, et l’embrassa tendrement. Sa main se déplaça pour masturber Megumi dans la foulée, titillant son sexe. Il pressait dans la foulée son bouton d’amour, jouant avec son clitoris, témoignant comme à chaque fois de son talent en la matière. Peach voulait stimuler Megumi, la rendre bien chaude, la stimuler jusqu’à ce que sa mère vienne. Il allait donc l’exciter comme il savait si bien le faire, en l’empêchant néanmoins de jouir, retirant ses doigts quand il sentait que Megumi approchait de l’orgasme. Celle-ci pourrait constater que Peach connaissait très bien le corps d’une femme, et surtout la manière dont le désir s’exprimait dans le beau sexe…