Tandis qu’Helena se « reposait », Karen avait remis un tailleur. Mine de rien, elle avait tout de même une grande entreprise à faire tourner, et elle se rendit à une réunion de travail, tout en jetant fréquemment un œil sur son téléphone portable. Elle regardait une session en live, lui permettant de voir, par une webcam, le corps de sa belle. Elle vit ainsi Hakuba et Kiba continuer à l’embrasser et à la caresser, se focalisant sur ses seins.
*Ces petits sont bien plus pervers que ce qu’on peut croire...*
Karen dut bien avouer avoir du mal à se concentrer, ce qui, toutefois, ne gênait nullement les cadres de sa société. Ils profitaient en réalité surtout de ces réunions pour loucher sur les gros seins de leur chef, sur ses formes parfaites. Personne n’osait regarder ce qui se passait sur le téléphone portable de Karen, qui continua donc à suivre la réunion. Sous son tailleur, elle avait, elle aussi, enfilé une culotte spéciale. Des vibromasseurs remuaient en elle, et, plusieurs fois, elle se mit à soupirer légèrement, approchant de l’orgasme. Plusieurs cadres autour d’elle rougirent en comprenant ce qui se passait, car elles étaient coutumières de ce genre de pratiques.
La jeune femme se pinça donc les lèvres, et continua ensuite à administrer sa compagnie.
* *
« Qui aurait imaginé que tu puisses être une telle salope, ma belle Helena ? Même moi, j’en suis choquée, tu sais ! Une telle perverse... Ça me force à revoir tout mon traitement me concernant, tu sais... »
Des mains gantées caressèrent alors le visage d’Helena. Qui était-ce donc ? Les caresses semblaient un peu trop fines pour appartenir à celles de Karen, et lesdites mains ne tardèrent pas à masturber le gode sortant de la bouche d’Helena, amenant le gode niché dans la bouche d’Helena à remuer sur place. Oui, indéniablement, elle n’allait pas avoir l’occasion de véritablement se reposer avant longtemps. Les mains continuaient à masturber longuement ce sexe artificiel, puis une pointe en plastique s’enfonça dans son cou.
L’une de ses oreillettes se retira alors, et une langue glissa sur l’oreille d’Helena.
« Coucou, ma chérie ! C’est très gentil à Maîtresse de m’avoir offert une petite femme comme toi pour que je m’amuse avec elle ! »
Le casque de réalité virtuelle empêchait Helena de voir de qui il s’agissait, mais elle devrait sûrement reconnaître cette voix... Qui était celle du Docteur Aiko Fuma ! La femme en charge des traitements hormonaux remit ensuite l’oreillette. Elle avait planté une seringue, qui ne tarda pas à produire ses effets, gonflant et durcissant les seins d’Helena, les remplissant d’un délicieux lait... Que les deux jeunes hommes allongés sur le corps d’Helena vinrent boire avec appétit. Et sentir ce lait filer de ses seins ne manquerait pas d’exciter encore plus fort Helena.
Fuma-sama, de son côté, se pencha également sur le lit, et déposa une série de baisers sur le visage d’Helena, avant de lécher son gode, longuement, sa langue filant dessus. Elle retira encore l’oreillette de la femme, et reprit ses provocations :
« Je n’aurais jamais cru qu’Huntress puisse être une telle salope, tu sais... Ni que j’aurais un jour la chance de pouvoir torturer une super-héroïne... Mais les ordres de Starr-sama sont très claires, je dois m’occuper de toi en attendant son retour, entretenir la flamme... Elle nous regarde, tu sais, j’espère ne pas la décevoir. Plus je serais cruelle et perverse avec toi, et plus elle me punira ensuite, alors... J’ai intérêt à assurer ! »