Re: Un désir de reconstruire et une soif de destruction [PV: Elena Ivory]
Posté : 21 oct. 2024 00:32
Parmi les nombreuses choses que Serenos ne s'attendait pas à voir dans sa vie, Myrcella prendre son pied était probablement dans les plus improbables qu'il aurait probablement cité. Pas qu'il pousserait l'arrogance à prétendre savoir les détails de sa vie intime, mais comme ils n'étaient pas proches, et qu'ils ne le seraient probablement jamais plus qu'à ce moment précis, il ne serait jamais parvenu à l'imaginer ainsi. Les mains posées sur le torse du Roi, ses longs cheveux noirs tombant de chaque côté de ses épaules, les yeux clos, les joues rougissantes et ses lèvres, pulpeuses et humides, entrouvertes, laissant passer des gémissements, dont les échos retentissaient dans la chambre de sa défunte mère, elle n'avait presque plus rien en commun avec la femme qui le regardait à distance avec une froideur mêlée de politesse les quelques fois où ils se voyaient.
Au rythme des caresses d'Elena, la duchesse ondulait lentement le bassin, se délectant du contact de cette langue chaude contre son intimité, pressant son clitoris contre l'organe de la Reine, et en raison de leur proximité, Serenos sentait le souffle de sa sœur contre son torse. Plus les caresses se prolongeaient, plus les mouvements de la duchesse devenaient saccadés, pressant son intimité humide contre la bouche de la Reine.
"Plus fort…" soupira-t-elle, se penchant un peu, jusqu'à ce que son front repose contre le tronc du Roi. "Oui… oui… plus fort…!"
Bien qu'il sût qu'elle ne s'adressait point à lui, l'idée d'un malentendu lui plut, et donc, il saisit de nouveau les hanches de la fille de Liam, lui rehaussant le bassin, pour la pilonner avec encore plus de vigueur. Les doigts massifs du Roi soutenaient et creusaient la chair généreuse de la Reine, alors que les mouvements de hanches la faisaient balancer de haut en bas dans le lit, lui faisant ainsi apprécier l'existence du satin qui lui caressait la peau plutôt que la frotter et la démanger.
Après un moment à profiter du cunnilingus de la Reine de Lumen, Myrcella se redressa de nouveau, ses arrogants tétons érigés par son excitation, et le Roi fondit sur sa poitrine et en saisit un dans sa bouche, suçant généreusement la peau durcie. Les bras de la Duchesse s'accrochèrent alors à sa tête, le serrant contre son téton alors qu'elle gémissait encore plus bruyamment, lentement mais surement menée vers un orgasme par les assauts de la Reine sur son intimité et les succions du Roi sur ses seins.
Sentant la duchesse approcher beaucoup trop rapidement du point de non-retour, le Roi se sépara brutalement d'elle et la poussa, de nouveau, contre le lit, lui arrachant un cri de surprise et de frustration, libérant cependant Elena, dont les lèvres et le menton étaient maintenant moites de cyprine. Il leva une main pour lui caresser la joue de sa paume, et les lèvres d'un pouce avant de se pencher et de l'embrasser sur les lèvres.
"En même temps, Elena," lui intima-t-il comme toute forme de consigne.
Le Roi s'extirpa d'elle un moment, puis lui saisit une jambe pour la faire pivoter sur elle-même, à plat ventre, avant de la relever et de la pousser vers Myrcella. Celle-ci, toujours un brin déboussolée par la bousculade et l'incompréhension, ne se rendit pas vraiment compte de sa position; ses jambes étaient parfaitement écartées, exhibant son intimité à la vue de la souveraine étrangère, et elle avait les bras de chaque côté de la tête, offrant ainsi sa poitrine aux appétits de la Reine.
Le souverain de Meisa se planta derrière son homologue féminin et passa ses mains sous ses bras pour s'emparer de ses seins, son sexe viril se glissant entre les cuisses soyeuses de la jeune femme et se pressant contre sa féminité, lui laissant le temps de décider quel délicieux supplice elle allait infliger à la belle jeune duchesse étrangère. Cependant, le Roi comptait bien lui rendre la décision difficile en la distrayant, massant ses seins dans ses énormes mains guerrières et frottant son épais mandrin contre sa fleur intime et son clitoris.
Au rythme des caresses d'Elena, la duchesse ondulait lentement le bassin, se délectant du contact de cette langue chaude contre son intimité, pressant son clitoris contre l'organe de la Reine, et en raison de leur proximité, Serenos sentait le souffle de sa sœur contre son torse. Plus les caresses se prolongeaient, plus les mouvements de la duchesse devenaient saccadés, pressant son intimité humide contre la bouche de la Reine.
"Plus fort…" soupira-t-elle, se penchant un peu, jusqu'à ce que son front repose contre le tronc du Roi. "Oui… oui… plus fort…!"
Bien qu'il sût qu'elle ne s'adressait point à lui, l'idée d'un malentendu lui plut, et donc, il saisit de nouveau les hanches de la fille de Liam, lui rehaussant le bassin, pour la pilonner avec encore plus de vigueur. Les doigts massifs du Roi soutenaient et creusaient la chair généreuse de la Reine, alors que les mouvements de hanches la faisaient balancer de haut en bas dans le lit, lui faisant ainsi apprécier l'existence du satin qui lui caressait la peau plutôt que la frotter et la démanger.
Après un moment à profiter du cunnilingus de la Reine de Lumen, Myrcella se redressa de nouveau, ses arrogants tétons érigés par son excitation, et le Roi fondit sur sa poitrine et en saisit un dans sa bouche, suçant généreusement la peau durcie. Les bras de la Duchesse s'accrochèrent alors à sa tête, le serrant contre son téton alors qu'elle gémissait encore plus bruyamment, lentement mais surement menée vers un orgasme par les assauts de la Reine sur son intimité et les succions du Roi sur ses seins.
Sentant la duchesse approcher beaucoup trop rapidement du point de non-retour, le Roi se sépara brutalement d'elle et la poussa, de nouveau, contre le lit, lui arrachant un cri de surprise et de frustration, libérant cependant Elena, dont les lèvres et le menton étaient maintenant moites de cyprine. Il leva une main pour lui caresser la joue de sa paume, et les lèvres d'un pouce avant de se pencher et de l'embrasser sur les lèvres.
"En même temps, Elena," lui intima-t-il comme toute forme de consigne.
Le Roi s'extirpa d'elle un moment, puis lui saisit une jambe pour la faire pivoter sur elle-même, à plat ventre, avant de la relever et de la pousser vers Myrcella. Celle-ci, toujours un brin déboussolée par la bousculade et l'incompréhension, ne se rendit pas vraiment compte de sa position; ses jambes étaient parfaitement écartées, exhibant son intimité à la vue de la souveraine étrangère, et elle avait les bras de chaque côté de la tête, offrant ainsi sa poitrine aux appétits de la Reine.
Le souverain de Meisa se planta derrière son homologue féminin et passa ses mains sous ses bras pour s'emparer de ses seins, son sexe viril se glissant entre les cuisses soyeuses de la jeune femme et se pressant contre sa féminité, lui laissant le temps de décider quel délicieux supplice elle allait infliger à la belle jeune duchesse étrangère. Cependant, le Roi comptait bien lui rendre la décision difficile en la distrayant, massant ses seins dans ses énormes mains guerrières et frottant son épais mandrin contre sa fleur intime et son clitoris.