The Multiversity

Theorem avait chauffé son maître, il était normal qu'il soit dûment récompensé par une baise aussi intense que puissante. A peine avait-il provoqué Chen en tapant son postérieur en retirant son plug anal qu'il l'avait vu se redresser pour venir fourrer son sexe en érection dans son fondement exposé et dilaté. Plaqué sur la table de la cuisine qui grinça sous le poids supplémentaire, il sentit la main du bélier se glisser sous sa veste pour venir saisir un de ses seins à travers sa qipao en latex. Son maître n'avait pas grand chose dans la main car contrairement à une plantureuse femme, Theorem était plat mais offrait quand même un petit bonnet AA qui roulait un peu dans une main ferme et experte. Ce qui faisait aussi en sorte de faire frémir d'avantage le jeune travelo qui couina délicieusement sous ces doigts experts qui vinrent jouer avec son piercing au téton.

"Ah~uh... Han~ Maître Chengzu ! Votre énorme queue me remplit totalement ! Han~ Hoou..."

Les couilles de son propriétaire tapaient à rythme régulier les siennes plus modestes à chaque vas et vient et Theorem ne parvenait pas à effacer ce stupide ahegao de sur son visage. Il avait les yeux vers le plafond, un sourire béat sur la face alors qu'il avait la langue un peu tirée et se bavait littéralement dessus alors qu'il louchait un peu et ne parvenait pas à garder les yeux totalement ouverts, une de ses paupière tressautant à plusieurs moments. Ses mains se serrèrent sur la table alors qu'il lâchait des soupires et des gémissements de plaisir érotiques à souhait. Il tourna enfin le visage sur la côté, cherchant la tête de son maître et une fois fait, il lui roula une pelle baveuse et perverse. Sa langue s'enroula autour de la sienne dans un bruissement humide qui fit perler quelques gouttes de salive et un long filet rejoignit leurs lèvres avant qu'il ne conclut par plusieurs baisers gluants en se moquant bien de l'état qu'il aurait après coup.

"Han, Maître Chen... rappelez-vous que je suis à vous. Je ferais tout pour vous !"

Menaces voilées, désirs puissants dévorants, mais il en voulait tout simplement plus. Il résumait simplement sa passion dévorante pour Chengzu et il signifiait aussi qu'il était piégé dans l'amour qu'il avait pour son maître. Le bélier pouvait bien le tromper à loisir, mais il se devait de le combler après coup, au risque de voir se réveiller la Hyène de Guerre ! Un amour qui peut faire froid dans le dos, comme une lettre d'amour de psychopathe, mais un amour profond, naturel et puissant. Quand il disait qu'il ferait n'importe quoi pour lui, c'était probablement vrai ! Theorem lâcha des petits cris féminins et sexy quand il sentit le foutre chaud de son maître gonflé le préservatif dans son rectum. La prostate malmenée de la hyène le fit jouir aussi, éjaculant dans sa cage en embrassant son homme. Presque tordu par cette baise intense, Il attendit que son maître se retire pour presque tomber à genoux de cette baise torride et éclaire. Il retira le préservatif de son propriétaire, bien gonflé de ce jus blanc avant de le retourner et de le vider dans sa bouche en soupirant d'aise, les joues toutes rouges. Il fit bien tourner ce sperme chaud avec sa langue avant de l'avaler dans une déglutition sonore et intense. Il trempa son index dans les gouttes blanches au sol avant de caresser sa langue de manière sexy avec sa propre semence répandue au sol.

"Haaa... Voila un petit déjeuner parfait... Merci infiniment, Maître Chengzu !"

Il se redressa, l'aidant à remettre sa culotte en place avant de faire une bise sur la bosse que formait la verge au repos de Chengzu dans son chaps de latex. Puis il se redressa, réajustant l'uniforme du bélier avant de lui faire une bise.

"Je voulais faire un petit rappel sur qui a le plus besoin de l'autre... Mais je ne voudrais pas vous mettre en retard pour votre rendez-vous avec l'Amirale Ishtar Naviento, Maître Chengzu. Vous voulez du thé dans un thermos avant le départ ?"

Dit-il en lui montrant ce dernier... Il pensait à tout, une vraie fée du logis !

Quand il n’y en a plus, il y en avait encore ! Ainsi pouvait-on résumer cette situation. Chengzu avait fait l’amour hier soir avec une énergie incroyable, et avait continué à faire l’amour avec la Princesse de Sylvandell pendant une bonne partie de la nuit, franchissant toutes les limites. Lui-même n’aurait jamais cru pouvoir aller aussi loin là-dedans, pouvoir franchir à ce point tout ce qu’il s’était imposé en matière de règles morales, ou même d’endurance sexuelle. Il avait couché avec cette femme sous les yeux de Theorem. Et, même s’il savait que c’était Theorem qui avait refusé de participer à leurs ébats, il n’en ressentait guère de remords... Ou, du moins, pas autant qu’il se le serait imaginé, car il se rappelait surtout le bon moment passé avec la Princesse. Qu’est-ce que cela disait de lui ? De sa perversité ? Pourtant, il était amoureux de Theorem, et l’intensité de leur sodomie ne faisait que le confirmer.

Dans son dos, Chengzu le prenait donc, enfonçant sa trique dans son fessier, ce cul étroit qui se dilatait très facilement. Son membre remonta jusqu’à la garde, et ses mains s’appuyèrent ensuite sur la poitrine de Theorem, pinçant ses tétons, écrasant aussi son corps contre le sien. Il se régalait des soupirs du jeune homme, des couinements de plaisir de son amant, grognant et soufflant dans son dos. Comme à son habitude, le Terranide-bélier démontrait une fascinante habileté à la pénétration, prenant un rythme de plus en plus cadencé, de plus en plus soutenu.

« The-Theorem, hmmm... »

Le jeune homme tourna la tête vers lui, et ils s’embrassèrent, Chengzu se crispant contre lui. Leurs corps se collèrent l’un à l’autre, et Chengzu pouvait également sentir la table contre laquelle ils s’appuyaient commencer à remuer. Sa queue avait retrouvé de sa superbe, une très belle érection. Il continuait à le sodomiser, grognant encore, et l’embrassa dans le creux du cou, mordillant même sa chair, avant d’y aller, encore et encore... Plus le temps passait, et plus ses mouvements gagnaient en rythme et en profondeur. Chengzu y allait joyeusement. Sans trop pouvoir se l’expliquer, cette sodomie était à la fois similaire et différente que celle qu’il avait eu avec Alice. N’étant pas encore spécialiste, Chen’ commençait à réaliser qu’un fondement différait d’un autre, selon sa taille, la facilité de dilatation de la peau, et d’autres critères dont le jeune homme n’aurait jamais pu envisager l’existence. Et tout cela formait un délicieux cocktail, savoureux, que Chengzu savourait.

Sa queue se contorsionna encore, et, dans un soupir, il se relâcha joyeusement. Sa queue s’abandonna, et des filaments de sperme éclatèrent contre le préservatif, gonflant ce dernier, en faisant une belle boule qui se mit à pendouiller le long de son sexe. Reprenant son souffle, Chengzu attrapa ensuite le préservatif, et le vida dans la bouche de son amant, un sourire sur le coin des lèvres.

« La prochaine fois, je jouirai directement dans ton cul, Theorem... »

La facilité avec laquelle il pouvait parler de sexe était très impressionnante. Theorem lui indiqua ensuite qu’il devait aller voir Ishtar, et le jeune homme acquiesça.

« Ne t’embête pas pour le thermos, glissa-t-il en lui caressant la joue de la main. Toi aussi, tu dois te préparer, non ? »

Après tout, Theorem avait aussi des obligations à Nachtheim. Chengzu l’embrassa, puis se rhabilla ensuite, et, suivant les consignes de Theorem, partit vers le bureau de l’Amirale. Il avança dans les couloirs, croisant quelques personnes, portant des combinaisons en latex, essayant de retrouver son calme. Il se demandait ce qu’Ishtar lui voulait, tout en ayant encore en esprit leur précédente rencontre, et l’érection qu’il avait ressenti quand cette puissante femme avait serré son sexe entre ses mains, rapprochant sa queue de la sienne, une belle verge violette veineuse qui pointait aussi dans les hauteurs.

Grimpant une volée de marches, il rejoignit une belle double porte en marbre. Deux Terranides-lézards faisant office de gardes le laissèrent entrer, et il fit irruption dans une antichambre... Où il croisa une jeune femme qui lui sourit.

« Euh... Bonjour...
- Bonjour à vous, Chengzu, l’Amirale Naviento vous attendait avec impatience. »

Chengzu hocha lentement la tête, et, juste avant de rentrer, se retourna vers la fmeme, lorgnant sur sa magnifique paire de fesses, superbement moulées dans sa robe :

« Qui êtes-vous ? »

Un sourire malicieux irradia sur les lèvres de cette dernière.

« Amara, l’une des infirmières de Madame Naviento. »

Chengzu acquiesça... Puis toqua à la porte du bureau, et rentra.

Lorsqu'Ishtar entendit qu'on toquait à sa porte, la dragonne signala à la personne d'entrée avant d'entendre qu'on ouvre la porte. Tôt le matin comme ça, Ishtar finissait simplement de se préparer pour le rendez-vous qu'elle avait avec Chengzu. Lorsque le bélier entra dans le bureau byzantin, la couleur des murs ne devait plus le coquer plus que ça. Un violet puissant peint sur les parois métalliques émaillés des murs et la moitié basse de la pièce couverte de panneaux boisés noirs. Le sol en métal industriel avec quelques tapis de peaux écailleuses épaisses positionnés devant l'imposant bureau riveté. Les murs décorés de tableaux de propagandes amenant à l'adoration de la nation ou de sa Marine, un grand drapeau accroché derrière le bureau alors qu'Ishtar se trouvait en réalité derrière un paravent non loin du canapé chesterfield posé dans un coin de la pièce à côté d'une petite bibliothèque. La dragonne parla calmement de derrière cette parois amovible.

"Bienvenue Maître Chengzu. J'arrive dans quelques minutes."

Elle ne le nommait pas par son titre officieux de maître, mais son véritable grade vu qu'il était Maître. Un rang moyen de sous-officier comparé à celui d'Ishtar qui la faisait chapeauter tous les hauts-gradés de la Marine. Finalement elle quitta cette parois d'un pas lent et précis qui faisait résonner ses bottes métalliques. Elle n'avait pas son uniforme à proprement parlé... Simplement son bikini en V décorant son corps et camouflant ses tétons et son paquet qui formait une bosse généreuse dans ce dernier. Elle portait néanmoins ses bas et ses gants de latex et sa casquette ainsi que son maquillage exubérant. La dragonne avait le sourire et s'approcha lascivement vers le bélier.

"J'ai un soucis avec mes sous-vêtements. Il moule mal mon sexe quand j'ai une érection. Comme vous êtes mon gantier, c'est à vous de faire ces ajustements. Alors venez voir par vous-même."

Elle se posa dans le canapé et écarta bien grand les jambes pour qu'il puisse avoir un accès sans aucun problème à sa verge encore moulée par le latex. Elle mit ses mains de chaque côtés du dossier du chesterfield avant de le regarder avec envie alors que le bélier s'approchait pour faire ce qu'il avait à faire. Elle joua passivement avec la clé accrochée à son nombril au centre de ses abdominaux forts biens développés.

"Ca se passe bien avec Theorem ?... J'ai entendu que vous avez eu la visite d'Alice et elle ne taris pas d'éloges vers vous. Ça ne me déplairait pas d'entendre un peu vos exploits... Pendant que vous touchez mon sexe et mon bikini, huhuhu."

Dit-elle en se mordillant la lèvre inférieure, son sexe ayant une semi-érection, ce qui le rendait encore plus imposant qu'il ne l'était d'ordinaire.

Chengzu soupira doucement en entrant dans le bureau. Ishtar évoquait en lui des sentiments contradictoires. Initialement, il avait peur d’elle, craignant cette femme puissante, dont on lui avait souvent fait état de la cruauté... Mais il ressentait aussi une attirance, une attirance certaine pour elle, pour cette femme puissante et musclée, belle, autoritaire, et dont la tenue affriolante et moulante était propice à laisser parler les fantasmes. De fait, depuis que Chengzu avait retrouvé Theorem, et surtout depuis son arrivée à Nachtheim, il avait du mal à comprendre le fonctionnement de sa sexualité, tant tout cela lui semblait tortueux et bizarre, inattendu et jouissif. Mais, plus le temps passait, et plus il se faisait à cela, comme il l’avait témoigné hier soir en compagnie de la Princesse de Sylvandell.

Observant les lieux, Chengzu inhala l’air. Il était frais, et sentait relativement bon, avant d’entendre du bruit sur le côté. La puissante Ishtar approcha alors, dans une tenue très courte qui amena Chengzu à écarquiller brièvement les yeux, observant silencieusement la femme.

« Je... Bonjour, Da... Amirale Naviento. »

Il se racla la gorge, voyant bien une belle bosse contre ses cuisses. Son sexe était dissimulé sous la pointe de son bikini, et, tout en se déplaçant, Ishtar se rapprocha de lui, avant de s’asseoir sur le canapé, expliquant qu’elle avait un problème avec son bikini... À hauteur de son sexe. Chengzu écarquilla doucement les sourcils, sentant désormais une vive chaleur pointer le long de ses joues, signe qu’il était en train de rougir.

« Je... Euh... Vraiment ? »

Sa main attrapa nerveusement son mètre de mesure, et il fléchit les genoux, se mettant devant la femme, puis commença à mesurer les contours du bikini, avant de se rapprocher de la zone sensible, du gonflement entre ses cuisses. Chengzu se racla encore la gorge, et indiqua qu’il devait regarder plus en détail. Il attrapa délicatement le vêtement, essayant de ne pas atteindre le sexe de l’Amirale, et le recula. Rapidement, le phallus se redressa, légèrement mou, mais dans un état qui confinait à l’érection. Chengzu dut ensuite approcher l’instrument pour mesurer la verge de la femme au repos, pour ainsi dire, ce qui l’amena à attraper son sexe pour le maintenir droit...

...Ce qui amena Ishtar à lui parler alors de sa nuit de débauche avec la Princesse de Sylvandell. La main de Chengzu se serra maladroitement et nerveusement à cette idée sur le membre palpitant de la femme, et il soupira brièvement. Il regarda alors la femme, prenant conscience qu’elle était sans doute sérieuse, et constata qu’il commençait lui-même à avoir mal entre les cuisses, à hauteur de son sexe. Fugacement, son esprit lui remémora la fois où Ishtar, sans hésitation, avait empoigné sa verge, comparant sa taille à la sienne.

« Et bien... Euh... À vrai dire, Alice et moi avons essayé de... D’encourager Theorem à se rapprocher d’elle. La Princesse était heureuse de le revoir, mais Theorem a refusé. Nous avons... Tenté de susciter en lui sa jalousie, mais ça n’a pas marché, alors... »

Il soupira encore, et continua à mesurer, s’attaquant ensuite aux testicules, se rapprochant si bien que la verge d’Ishtar caressa ses joues.

« Nous... Nous l’avons attaché la nuit, et... La Princesse et moi avons fait l’amour pendant des heures à côté de lui. J’espérai le faire réagir ensuite, mais... J’ignore ce que vous lui avez fait pour le soumettre à ce point, c’est... C’est impressionnant. »

De son côté, Chengzu devait bien admettre qu’il avait de plus en plus de mal à mesurer proprement le sexe d’Ishtar...

Ishtar resta bien immobile pendant que Chengzu prenait ses mesures. Le sentir bouger son mètre ruban sur ses parties commençait à sérieusement l'exciter alors qu'elle souriait de plus belle en l'écoutant décrire ses activités nocturnes. La dragonne ne pouvait se cacher à elle même un fait important : Theorem lui manquait. Certes elle pouvait remplacer sa présence avec le moindre soumis servant dans son équipage et certains avaient même des attributs forts sympathiques... Mais Theorem c'était autre chose. Elle l'avait modelé, elle l'avait transformé et avait brisé son caractère de chevalier pour en faire son sextoy. Cette cage de chasteté dragon était un véritable chef d'oeuvre d'orfèvrerie et elle-même n'avait pas regardé à la dépense pour son épilation intégrale et définitive, le contrôle de sa diététique, son dressage mental et aussi l'avoir symboliquement fait abandonner sa tenue en tissus pour ne porter que du latex pour le restant de ses jours. Et le soir, quand elle s'octroyait enfin un peu de sommeil et qu'elle utilisait un soumis pour ses 5 ou 6 orgasmes du soir, elle se couchait en regardant le toit du lit à baldaquin en latex décrivant une scène épique et érotique avec un vide en elle... Mélinda ne pouvait pas rester éternellement ici et la dragonne ne pouvait pas s'absenter de sa colonie longtemps. Cela signifiait qu'elle serait seule sans Theorem et maintenant que son soumis avait Chengzu, ce vide s'accentuait... Vide qu'elle allait combler aujourd'hui.

"Et bien et bien... Coucher avec la princesse sous le nez de Theorem... Devenir son amant officiel... Et maintenant des flatteries... On dirait bien que vous vous faites parfaitement bien à la vie infernoise."

Elle ria de plus belle avant de tendre le bras pour saisir un verre à pieds sur la table voisine remplit d'un alcool de nachtheim fait avec des cèpes noires des marais, formant une liqueur à la robe profonde et sombre. Elle remua le liquide dans son verre avant de boire tranquillement ce dernier en regardant Chengzu finir ses mesures. Une fois qu'il eut toutes les mesures nécessaires, elle but une gorgée avant de tirer la veste du gantier vers elle. Sans attendre qu'il réalise, elle colla ses lèvres aux siennes et laissa le fluide noir se propager dans sa bouche dans un baiser alcoolisé et intoxiquant qu'elle souligna par une léchouille sur sa joue avec envie. Elle le garda contre elle, lui souriant, à peine séparé de quelques centimètres de son visage.

"Chengzu, je connais votre race, je sais pour votre extra-ordinaire capacité à avaler des savoirs et les assimiler. Je sais aussi que vous avez soif. Soif de savoir, soif de connaissances... Vous êtes impressionnés du dressage de Theorem, Inferis et sa perversion vous captive... Ce chaps en latex sous votre tenue le témoigne bien... Autant que le doux parfum de Theorem sur vous. Vous avez couchés à peine quelques minutes avant de venir ici..."

Elle but une gorgée de cet étrange breuvage avant de donner le verre à Chengzu encore un peu sous le choc de ce soudain baiser. La dragonne le fit se reculer un peu avant de doucement se servir un autre verre qu'elle prit grand soin de faire en montrant son fessier au maximum ainsi que son érection imposante à peine retenue par le latex de son bikini en V. La dragonne amena sa jambe caresser la verge du bélier sous sa tenue, caressant la bosse de sa botte de métal en tapotant faiblement dessus, juste pour attiser son envie.

"J'ai eu tant de soumis, j'ai tant exprimer mon art... Mais je ne l'ai jamais transmis... Chengzu, désirez-vous devenir un véritable Maître BDSM ? Un expert dans l'art de manipuler les esprits, de les modeler à sa guise comme on peut modifier les corps ? J'ai vécu des dizaines d'années mais je n'ai trouvé que peu d'hommes digne d'être des aspirants sous ma coupe, mais aussi des égaux de coeur... Des personnes capables de m'aimer... Capable de manifester l'ambition de devenir un jour... Un Naviento."

Elle glissa un index sous la bretelle de son bikini en V, finissant son verre cul sec avant de le poser sur la table basse voisine. Son autre main se glissa de la même manière sous la bretelle, tirant juste assez pour révéler la frontière de ses aréoles plus sombres... Sa peau en transpiration, ses joues rosies par l'alcool et l'esprit un peu tournant du pouvoir des cèpes marécageuses... Un champignon qui donne le tournis sexuel, qui lève les inhibitions et qui fait savourer les plaisirs de la chair au centuple... Ishtar avait bien besoin d'un coup de pouce pareil pour faire comprendre ce qu'elle allait dire et faire.

"Chengzu Dahu Zuida, on a dût t'expliquer l'importance symbolique que j'accorde à la vue de mes seins nus... Un plaisir que même Theorem n'a put avoir... Êtes-vous prêt à céder à mon charme, à me laisser m'ouvrir à vous, de découvrir un peu plus cette étrange notion d'amour qui m'échappe encore... Et vivre avec moi et Theorem dans la même cabine ?..."

Face à cette femme, Chengzu n’en menait pas large, perturbé qu’il était entre les sentiments contradictoires qu’Ishtar lui inspirait. Était-elle dangereuse ? Oui, assurément. Mais il y avait aussi autre chose, il y avait ces pulsions que Chengzu ressentait, cette attirance envers cette femme… Une attirance qui se manifestait d’autant plus qu’il était entre ses cuisses. Les quelques mesures qu’il prenait lui montraient que le bikini n’était pas adapté pour son érection, mais il n’y avait malheureusement pas grand-chose à y faire. Sa queue prenait une belle taille sous l’effet du plaisir, et changer de modèle aurait déformé l’ensemble. Tout ce que Chengzu pouvait faire, c’était quelques légers ajustements, en tenant compte de l’élasticité du latex, pour que la queue d’Ishtar soit moins serrée en cas d’érection… Mais, pour le reste, il n’y avait rien d’autre à faire.

Le gantier rougissait doucement, tandis qu’Ishtar lui indiqua qu’il semblait bien se faire à la vie sur Inferis. Difficile de nier, bien entendu, surtout après la nuit qu’il venait de passer, une nuit longue et violente, passionnée et intense. Ishtar semblait l’avoir percé à jour, et il déglutit en se redressant.

« Madame Naviento, je… »

Il ne put en dire plus, car la femme se mit brusquement à l’embrasser, serrant ses lourdes mains sur les pans de sa veste. Elle plaqua sa bouche contre la sienne, son haleine alcoolisée se mélangeant à la sienne, provoquant un frisson dans tout le corps de Chengzu. Il sentit son sexe se durcir encore, heurtant sa culotte en latex, déformant doucement celle-ci. Cette femme avait une poigne ferme, très différente de Theorem, et même d’Alice. Il y sentait la passion, mais aussi la puissance, la force de cette redoutable Dragonne. Chengzu soupira encore, posant ses mains sur ses hanches, répondant volontiers à son baiser, sentant la vague le saisir, l’emporter…

Puis Ishtar rompit le baiser, et lui expliqua ensuite tout ce qu’elle attendait de lui. Chengzu ne dit rien, surpris d’entendre tout cela. Ishtar lui indiqua qu’elle voulait faire de lui un maître-dominateur, expert dans l’art du BDSM. Elle avait visiblement bien noté que Chengzu manquait d’expérience dans ce domaine, ce qui était simple à voir… Puisqu’il n’en avait jamais fait avant ! Et, si Alice avait vu Ishtar ce matin, elle avait sûrement dû lui en parler, tout comme elle lui avait parlé, hier soir, d’Ishtar Naviento. Chengzu et Alice se reposaient l’un contre l’autre, entre deux séances, quand Chengzu avait demandé à la Princesse si être proche d’Ishtar ne l’inquiétait pas outre mesure. En souriant, et en entrecoupant sa réponse de baisers et de caresses, elle lui avait confessé que, comme lui, elle avait jadis eu peur d’Ishtar… Mais plus maintenant. Ses séjours à Nachtheim se faisaient officiellement dans le cadre d’accords diplomatiques entre Sylvandell et la colonie inferno-ashnardienne, mais Alice en profitait à chaque fois pour prendre des vacances, et pour coucher violemment avec Ishtar.

Alice lui avait également expliqué qu’Ishtar montrait ses seins à très peu de personnes. Même elle avait dû attendre des mois avant de recevoir ce privilège, après une longue séance où elle avait tourmenté Theorem en le sodomisant. Chengzu fronça donc les sourcils quand les doigts d’Ishtar commencèrent à glisser le long de son bikini, afin de révéler l’accent à ses seins.

Se redressant devant elle, le jeune Terranide-bélier frémit doucement.

« Da-Dame Naviento, c’est… Je ne sais pas quoi dire, je… »

Il ne s’attendait vraiment pas à ça ! Chengzu l’observa encore, et se convainquit qu’elle était sérieuse, que ce n’était pas un piège, ou quoi que ce soit du même genre. Il se racla alors la gorge, et reprit, son sexe continuant à l’élancer douloureusement :

« Je… Je ne peux refuser, Ishtar, bien au contraire ! Mais… Je ne sais pas si je serai à la hauteur, tout ça… C’est… C’est tellement nouveau pour moi ! »

Il le disait sincèrement.

Serait-il à la hauteur des espérances d’Ishtar ?

Ishtar savait bien que Chengzu allait être décontenancé et surtout incertain de ses capacités à devenir le véritable amoureux de l'Amirale. Il était encore relativement nouveau dans la "profession" et il ne savait toujours pas comment s'adresser aux gradés. Il la nommait Madame, Dame, mais jamais Amirale comme il devait le faire. Plutôt que de le reprendre, elle lui sourit doucement de toutes ses dents avant de s'arrêter de tirer sur son bikini au ras de ses tétons qui commençaient à apparaître. Elle amena sa botte de métal contre l'entre-jambes de Chen, juste pour appuyer faiblement sur sa verge en érection encore retenue par le latex.

"Je crois savoir, Maître Chengzu, que je ne vous laisse pas indifférent... Et que vous avez un goût certain pour l'infidélité maintenant que vous avez fait cocu Theorem... Je n'ai laissé qu'à de rares hommes le droit de me prendre jusque là, souvent par dépit... Mais aujourd'hui je le fait par choix. Vous ne me connaissez pas encore assez bien pour accepter ma demande de prime abord, alors autant faire durer et ne pas gâcher cet instant."

Elle pressa un peu plus sur sa verge pour le faire reculer d'un pas ou deux, laissant la place à la dragonne de se redresser. Elle souffla un baiser à Chengzu avant de se diriger vers l'alcoolier pour se saisir de la bouteille de vin de cèpes et vint remplir son verre. Elle se mit assise sur son canapé chesterfield en cuir clouté, lascivement, le matant tout en descendant sa coupe au fur et à mesure. Elle ne le lâchait pas du regard et lui laissa le loisir de s'installer dans un fauteuil en cuir en face d'elle.

"J'ai été bannie de mon pays quand j'était très jeune. A cette époque je n'était qu'un petit dragoneau qui n'aspirait qu'à voir sa mère et exprimer ma féminité. En secret, j'enfilais les robes de mes soeurs, je me pouponnait en princesse... Oh je parle bien sûr des princesse d'Inferis, ce n'était pas une robe cucul mais bien une magnifique robe de latex noire plissée avec un superbe corset. Mais cela ne traîna pas à ce que mon père s'en rende compte et me punisse sévèrement. Finalement j'ai été jeté dehors et je suis allé trouver refuge dans d'autres cités. La torture et l'emprisonnement ne m'avait pas coupé de mon désir ultime..."

Elle termina son verre et récupéra la bouteille pour s'en servir un nouveau, tout en regardant Chengzu de ses yeux violets captivants.

"Alimenté par mes désirs et ma haine, j'ai été vagabond, puis quand l'âge me l'a permit, je suis devenu prostitué. J'ai gagné l'argent pour lentement parfaire ma transformation... Hormones, implants mammaires en silicone, diverses injections, opération de la pomme d'adam... J'était devenu une prostitué si exceptionnelle que je suis devenu la maquerelle et mon pouvoir est devenu assez grand pour faire de ma maison close une armée. J'ai libéré mon peuple de la tyrannie et je me suis offert la vie d'aventure que je désirai... J'ai mon propre esclave adoré, Theorem, mais il me manque quelque chose que les femme devraient toutes connaître... Un Homme, un véritable coéquipier dans la vie, et je ne parle pas de la figure paternelle standard véhiculée... La personne que j'ai si longtemps cherché, c'était vous, Chengzu..."

Elle se redressa, déposant son verre vide avant de doucement s'installer sur le dos face à Chengzu, écartant bien grand les cuisses pour révéler sa verge moulée par le latex du bikini. Elle décala la partie arrière sur le côté, révélant alors un plug anal. Elle poussa doucement, faisant sortir le jouet en silicone violet d'une hygiène impeccable avant de tranquillement le mettre de côté, révélant son anus grand ouvert. Elle se doigta en douceur avec deux doigts en plongeant son regard dans celui du bélier. Les bruits de ses mouvement étaient obscènes, signe qu'elle s'était déjà très bien lubrifiée !

"Maintenant que je me suis mise à nue devant vous, dans tout les sens du terme... Et si vous veniez me prendre, que je puisse vous montrer ma belle poitrine faite par un chirurgien de renom ?"

Chengzu rougit doucement quand Ishtar Naviento commença par dire qu’il aimait l’infidélité, et qu’il avait trompé Theorem. Il déglutit doucement, avant de lui répondre là-dessus :

« Ce... Ce n’est pas juste ça, j’espérais aussi faire réagir... »

Difficile pour lui d’expliquer sa stratégie, car la dame draconique caressa son sexe avec sa botte. Il sursauta légèrement, et sentit l’air lui manquer. Chengzu prenait au passage vaguement conscience qu’il avait involontairement manqué de respect à Ishtar en ne l’appelant pas « Amirale », et ce alors que Theorem le lui avait dit ! Chengzu sentit toutefois le pied d’Ishtar, ce qui lui rappela leur première rencontre, quand elle s’était déshabillée, et qu’elle l’avait masturbé. Elle était une femme forte, puissante, et... Étrangement désirable. Son corps musclé, ses hanches solides, sa poitrine généreuse, ses formes nimbées dans un latex moulant et brillant.

Elle lui parla ensuite, s’écartant sur place, et lui raconta son histoire. Restant silencieux, Chengzu l’écouta. Theorem ne lui avait pas trop parlé du passé de cette femme, se bornant à dire que c’était à Ishtar seule d’en parler. Les livres ne contenaient pas beaucoup d’informations sur la période antérieure à l’arrivée au pouvoir d’Ishtar Naviento, évoquant juste une situation d’exil. Elle avait grandi dans un autre monde que le sien, au sein du Rustworld, un monde dangereux et violent. Il fut surpris d’entendre qu’elle avait été prostituée... Ou prostitué ? Cette femme entretenait en effet l’ambiguïté sur son sexe.

Toutefois, ce ne fut là que la première surprise, car elle lui avoua qu’elle avait aussi besoin d’un homme, et que cet homme, c’était... Lui ! Cette révélation amena Chengzu à écarquiller les yeux, et, béat, il ne put que répondre, en ânonnant :

« M-Moi... ? »

C’était... C’était à peine croyable ! Qu’avait-il donc de si particulier? Il n’était qu’un simple hybride-bélier, sans aucune particularité quelconque ! Mais, plutôt que de continuer dans son long discours, l’Amirale Naviento se mit face à lui, en position, et retira le plug anal qu’elle avait dans les fesses. Chengzu, en constatant là une similarité avec Theorem, frémit doucement, tout en voyant également le sexe d’Ishtar, un lourd membre qui se dessinait sous le sling bikini de la femme. Il peinait à parler, sentant son érection croître, ce qui était d’autant plus impressionnant qu’il avait passé une bonne partie de la nuit à coucher avec la Princesse de Sylvandell.

Était-elle vraiment sérieuse ? Ou cela était-il un piège ? Une sorte de moyen de le tromper ? Après tout, elle avait commencé cet entretien en évoquant son infidélité... Mais la Princesse de Sylvandell lui avait répété de ne pas avoir peur d’Ishtar Naviento, de lui faire confiance, et de ne pas se limiter aux rumeurs la concernant. Alors... Se pouvait-il que ce soit vrai ?

*Est-ce qu’elle... Est-ce qu’elle est amoureuse de moi ?* songea, intrigué, le jeune homme.

Chengzu se rapprocha alors de la femme, percevant la pointe de ses tétons. C’était là un signe qui ne mentait pas. Alice et Theorem avaient confirmé qu’Ishtar ne dévoilait ses seins qu’à quelques rares personnes triées sur le volet. Il se rapprocha de la puissante dragonne, jusqu’à poser sa main sur la joue de la femme, la caressant affectueusement.

« Je... Je ne sais pas quoi vous dire, Amirale... Oui, j’aime Theorem, et, de cela, je vous prie de ne pas vouloir en douter. Je ne saurai dire à partir de quand j’ai commencé à l’aimer. Peut-être avant tout ça, quand je l’ai connu sur Volony... Mais je tiens à lui. »

La précision était indispensable, sauf qu’Ishtar pouvait désormais sentir, appuyant sur sa verge, une bosse qui était en train de croître sous le chaps de Chengzu. Il reprit ensuite, descendant sa main pour la faire glisser le long de la bretelle du bikini, se rapprochant des lourds bonnets.

« Mais vous ne me laissez pas indifférent, Ishtar... J’ai toujours apprécié les femmes fortes, et je sens en vous une puissance particulière. Et puis... Vous êtes la Maîtresse de Theorem, et je dois bien admettre que Theorem préfère davantage avoir un Maître qu’un amant. »

C’était la seule conclusion logique à la soirée qu’il avait eu avec lui et la Princesse de Sylvandell. Chengzu se pencha de nouveau vers Ishtar, et posa sa main sur sa nuque... Puis l’embrassa. Difficile de dire s’il était amoureux d’elle, ou s’il parlait simplement sous l’effet du désir, ce désir puissant et vibrant qui se matérialisait entre ses cuisses... Mais elle ne le laissait effectivement pas indifférent. Il l’embrassa donc, savourant sa bouche, sa langue caressant la sienne pendant quelques secondes, puis se retira à nouveau.

Le cœur battant la chamade, Chengzu sourit à nouveau.

« Tournez-vous, Ishtar... Bombez-moi votre insolente croupe, que... Que j’honore votre cul comme il se doit ! »

Lorsque Chengzu l'embrassa, la dragonne ferma les yeux pour savourer ce moment. Elle roula sa langue avec celle du bélier, le laissant savourer son piercing à la langue en faisant danser son muscle rose autour de celui de son amoureux. Oh oui elle pouvait le dire ce terme désormais. Ishtar avait-elle enfin découvert ce qui lui manquait ? ca n'avait rien à voir avec ces baisers forcés pour des clients, ou ceux qu'elle prodiguait à Theorem par envie de le corrompre et de satisfaire ses propres envies... Là elle s'offrait à quelqu'un d'autre. Mélinda lui en avait fait bien sûr, mais là il y avait un contexte différent. Déjà Chengzu n'allait pas devoir la quitter après de bref épisodes pour revenir à son quotidien et ensuite, et cela avait son importance, Chengzu était un homme ! Elle savoura donc ce baiser, se remémorant par la même ses premiers baisers homosexuels quand elle était encore un homme à 100%, avant de le voir s'éloigner en laissant un filet de salive entre leurs deux bouches se rompre à mi-distance. Elle pouvait encore sentir la main gantée du bélier sur sa nuque. il était délicat, il n'avait fait aucune pression pour l'amener à sa bouche... Un vrai gentleman. Elle lui sourit doucement, ses joues rosissant un peu.

"Oh mon cher Chengzu... Hors de question que je me retourne comme une femme lambda pour que vous projetiez n'importe quelle identité en me fourrant... Si vous voulez devenir mon amoureux, mon seul et unique... Vous allez devoir me prendre en missionnaire, sur ce canapé."

Elle prit ses aises sur la longueur du canapé, laissant son postérieur accessible, bien relevé alors qu'elle releva avec souplesse ses jambes pour les tenir levées en l'air. Elle empoignait fermement ses mollets gainés de latex, les faisant délicieusement grincer alors que les vaguelettes apparaissaient sur la matière noire et brillante. Elle savait être souple mine de rien malgré son gabarit. Son anus était bien ouvert et elle tira d'une main sur la partie couvrant son entre-fesses pour rendre bien accessible son anus. Couchée ainsi sur le canapé, et vu comme il était large, on aurait dit un lit. Elle regardait le bélier alors que sa queue de dragonne vit délicatement soulever le pan de sa tunique et pour pousser le sous-vêtement qui retenait captif le pénis de son amoureux. Une fois libéré, elle tira tout doucement sur chaque côtés de son décolleté, gardant les mollets dans le creux de ses coudes.

"Je ne l'ai jamais fait sans capote avec un homme... Alors montrez-moi que vous valez mieux que ceux qui m'ont fréquenté. Soyez digne de ceci..."

Et dans un glissement délicieux à l'oreille, le latex de son sling bikini glissa sur les côtés pour montrer ses deux magnifiques seins. Ils étaient biens ronds, imposants, tenant tous seuls, aux tétons noirs et traversés d'anneaux d'argent. Une petite cicatrice sous chacun, à peine visible, témoignait du passage de l'implant sous ses chairs. Elle eut un rire gêné, ses joues s'empourprant.

"Aller, on ne fait pas attendre une dame..."

Chengzu rougit quand Ishtar rejeta son idée, indiquant qu’il allait devoir la prendre... Par le devant. Et, même s’il avait copieusement fait l’amour cette nuit, la remarque étonna l’homme-bélier, qui se pinça nerveusement les lèvres. Comment était-il supposé faire ça de face ? Il allait poser la question quand Ishtar se recula, et s’étala sur le canapé, avant de montrer son côté athlétique et souple en redressant ses jambes. Elle fit, pour ainsi dire, le poirier, lui offrant une belle vue sur son fondement. Chengzu sentit encore son sexe l’élancer, constatant qu’Ishtar avait beau être massive, elle semblait aussi agile que Theorem.

« I-Ishtar... »

Il déglutit doucement, l’observant silencieusement, admirant les reflets brillants de ses collants en latex. En toute objectivité, cette femme était d’une redoutable beauté, de nature à éveiller ne lui des pulsions profondes et latentes. Il la regardait faire, et frémit quand la queue caudale d’Ishtar glissa sur son pantalon, et libéra sans difficulté son sexe. Sentir sa queue à l’air libre fut un véritable soulagement, car, mine de rien, son sexe commençait à être comprimé. Pour lutter contre les tremblements nerveux de ses mains, Chengzu les posa brusquement sur les jambes de la femme, faisant crisser le latex, tout en sentant la queue caudale d’Ishtar caresser son sexe, glissant sur sa verge. Elle remuait sur sa hampe de chair, le titillant volontiers par ce biais, l’excitant de plus en plus.

Pouvait-il être amoureux de cette femme ? C’était difficile à croire, dans la mesure où cela signifierait qu’il pourrait aimer deux personnes à la fois. Mais la façon dont lui et Ishtar s’étaient embrassés... Certes, le désir qu’il ressentait en ce moment était comparable à ce qu’il avait éprouvé avec la Princesse de Sylvandell, mais... Il n’y avait pas que ça, et il le sentait bien. Il y avait autre chose qui remontait en lui, un autre sentiment qu’il avait senti quand ils s’étaient embrassés.

Elle lui montra ses seins, et lui, béat, avec une érection que la dragonne titillait, ne put que répéter encore, tout en crispant ses doigts sur ses collants :

« Ishtar... »

Soupirant encore, Chengzu sembla revenir à lui, et, quand la dragonne lui indiqua de ne pas faire attendre une dame, il hocha la tête. Le jeune homme observait ses deux magnifiques monts, deux dunes de chair noirâtres se dressant devant lui, et avança l’une de ses mains. Ses doigts se posèrent sur l’un des seins, et il pinça le téton, avant de déplacer son autre main, saisissant son sexe, et s’en servit pour l’enfoncer en elle. Il grogna sur place, serrant les dents quand son membre se heurta aux parois de la puissante femme. Il soupira à nouveau, mais, fort heureusement, Chengzu commençait à avoir l’habitude des sodomies avec Theorem.

L’homme ferma les yeux pendant quelques instants, retint son souffle, glissa en arrière, puis partit brusquement en avant, son corps tapant contre celui de la femme. Son membre s’enfonça de quelques centimètres, lui arrachant un soupir, et il réitéra, avec la même volonté, avec la même énergie, grognant sur place, et soupira plus profondément. Chengzu rouvrit alors les yeux, son sexe se fourrant progressivement un passage étroit à travers ce canal.

« Oh, I-ISHTAR... ! »

Tout cela devenait assez répétitif, mais ce n’était pas vraiment dans ce domaine qu’on pouvait se montrer créatif ! Chengzu y allait donc, amplifiant le rythme, durcissant l’intensité de ses coups de reins, grognant à nouveau, sifflant sur place, sentant ses tympans résonner dans sa tête.

C’était intense, oh ça oui... Intense, et... Et tellement bon en même temps ! Il l’observait, les joues rouges, et caressait son généreux sein, pinçant le téton, tout en appuyant son autre main sur sa jambe. Là, oui, là, Chengzu commençait à retrouver son rythme, accélérant de plus en plus fort, redevenant ce redoutable homme-bélier ! Plus vite, plus fort, plus vite, plus vite, oh oui !

Là, encore !

Tout en gardant ses jambes pliées vers elle et sa croupe levée, Ishtar s'offrait à Chengzu sur ce canapé qui grinçait sous leurs actions. La dragonne soupirait en se faisant prendre et visiblement elle adorait ça. Doucement elle se mordilla l'articulation de l'index en le repliant mais en le laissant dépasser de son poing gauche. Elle plongea son regard dans celui de Chengzu alors qu'il commençait à avoir son rythme de croisière. Il la sodomisait à un rythme soutenu, en profondeur et elle gémissait bien fort de sa voix suave avant d'empoigner ses deux seins devant lui, les serrant ensembles.

"Ils sont magnifiques, hein?... Hmmm... On dirait presque des vrais..."

Dit-elle en souriant à Chengzu. Son sourire gardait une pointe de perversion mais ses joues roses témoignaient d'un plaisir inégalé en ce moment même. Sa verge en érection était posée sur son bas ventre, déversait du liquide séminal par moment sur elle sans que ça ne la gêne outre-mesure. La petite clé de la cage de chasteté accrochée à son nombril dansait au rythme de la baise comme ses seins alors que la dragonne vint tirer à nouveau les pans de la veste de Chengzu. Elle l'embrassa, écrasant ses seins sur sa poitrine alors qu'elle roulait sa langue avec la sienne. Avec une telle proximité, le bélier pouvait voir à quel point elle était en sueur. Toute cette activité fit décrocher la casquette d'Ishtar qui la fit basculer derrière. Elle révéla ainsi deux petites cornes, dont une brisée. Ishtar rabattit sa casquette sur sa tête avec une de ses mains, ne voulant visiblement pas (tout de suite) montrer cette zone à Chengzu. Comment allait-il réagir quand il découvrirait que la femme qui cherchait à sortir avec lui avait été brisée ?... Comment allait-il réagir quand il verra ses mains et ses pieds marqués de terribles cicatrices de brûlures chimiques ? Elle laissa ça de côté pour le moment et vint serrer ses jambes autour de ses hanches.

"Je sens que ça vient Chengzu... Han oui... là... LA !"

Elle poussa plusieurs gémissements bien caractéristiques de l'orgasme prostatique en approche. Son corps se mit à trembler de façon incontrôlable alors qu'elle s'agrippa au cuir du canapé avec force. La dragonne ne put s'en empêcher mais leva les yeux au ciel, louchant un peu, en serrant les dents, offrant une sorte d'ahegao crispé mais quand même mignon, preuve qu'Ishtar n'avait pas l'habitude de se lâcher de la sorte mais qu'elle jouissait comme jamais. Dans un gémissement profond sortant d'entre ses dents, sa queue palpita avant de lâcher une belle éjaculation qui vint s'étaler généreusement sur ses seins, son ventre et un peu sur Chengzu. Cela dura bien 30 secondes alors qu'elle revenait doucement à elle, regardant le bélier essoufflé comme elle.

"Han... Hmmmmm... Avec ça, on est officiellement ensemble... Vous ne croyez pas ?... "

Elle l'embrassa à nouveau, l'aidant à sortir sa verge d'elle avant de calmement se redresser. Elle était luisante de sueur, collante par endroits, sale et odorante... Mais rien de désagréable pour qui savait apprécier la luxure décadente comme à Inferis. Elle se redressa, se reservant un verre de vin de cèpes et en proposa à son nouvel amoureux.

"J'aurais bien continué ma journée ainsi, mais c'est le matin et Theorem comprendrait trop tôt... J'ai une salle de bain privée si vous voulez m'accompagner... Chengzu."

Dit-elle en lui tendant son verre remplit de vin noir et profond. En lui faisant cette demande, elle sourit de plus belle et sembla presque... charmante ?

Se pouvait-il vraiment que, à la base, Ishtar ait été un homme ? Certes, elle avait une carrure musclée, un corps massif et athlétique, mais... Chengzu avait déjà vu des femmes comme ça. Le passé d’Ishtar lui était assez méconnu, pour lui qui venait d’un autre monde, et il fallait faire la différence entre ce qui relevait du fait historique, du mythe, ou de la propagande étatique. Il avait vite compris que cette femme était très fière, qu’elle n’était pas du genre à se laisser dévoiler, ce qu’il constata quand il la vit rabattre précipitamment sa casquette. Honnêtement, Chengzu n’y avait pas fait attention sur le coup, à tel point qu’il n’avait pas vu la corne draconique brisée... Mais il la vit rabattre précisément sa casquette, sans toutefois y accorder, sur le coup, davantage d’attention... Puisque, après tout, il était en train de la sodomiser !

Le Terranide-bélier grognait sur place, observant les seins luisants d’Ishtar, durs et gros. Il avait passé une bonne partie de la nuit à palper ceux d’Alice, des seins naturels, et... Et bien, soit Chengzu n’avait pas assez d’expérience mammaire, soit l’opération chirurgicale était une vraie réussite, car il ne sentait pas le côté artificiel de la poitrine d’Ishtar, et grogna encore.

« I-Ishtar, hmmm... ISHTAR !! »

Il répétait encore son nom, inlassablement, sentant sa queue gonfler, se durcir. L’adrénaline battait encore dans ses veines. Il retrouvait son rythme, son adrénaline, cette force tranquille qui remontait en lui, et qui explosait, un peu comme l’éruption d’un volcan. Parlant peu, Chengzu grognait surtout, signe qu’il se concentrait, s’appuyant sur le sein d’Ishtar. Son autre main se déplaça progressivement, surtout quand les jambes de la dragonne s’enroulèrent brusquement autour de sa taille. Le poids n’était clairement pas le même qu’avec Alice ou Theorem, et Chengzu en frémit encore, déplaçant son autre main pour saisir la verge d’Ishtar. Il crispa ses doigts dessus, et la masturba, tout en continuant à remuer en elle, provoquant une série de claquements spongieux, la chair et le latex s’entrechoquant au gré de leurs coups de reins.

Évidemment, il faudrait encore à Chengzu de l’expérience pour pouvoir se surpasser, mais il parvenait à tenir le rythme, et, plus il la pénétrait, et plus ses doutes s’éclaircissaient, se dissipaient. Amour, ou simple béguin ? Il penchait désormais pour la première option, se visualisant avec elle et Theorem, assis devant eux, formant... Une étrange et bizarroïde notion de famille. L’idée fit frémir son cœur, accompagnant ses coups de reins, l’amenant à claquer nerveusement des dents. Se concentrant encore, Chengzu s’enfonçait en elle, sa queue se glissant jusqu’à la garde.

C’était délicieux, en effet... Bon, jouissif ! Il se plantait longuement en elle, jusqu’à ce qu’un autre soupir le traverse. Chengzu grogna encore, et ferma les yeux. Il se mit à jouir brusquement, atteignant le paroxysme de son plaisir, quelques instants avant qu’Ishtar ne jouisse à son tour. La dragonne se relâcha, et Chengzu sentit ses doigts se recouvrir de sperme, le jet crémeux jaillissant sur son torse, éclaboussant sa peau et sa tenue.

« Oh... Bon sang... »

L’homme soupira lentement, en sueur, et se recula un peu. Ishtar se redressa, et ils s’embrassèrent naturellement, presque spontanément, comme si quelque chose s’était brisé, comme si l’appréhension de Chengzu à l’égard de la jeune femme avait disparu. Il lui sourit doucement, et hocha la tête quand elle suggéra d’aller prendre un bain.

« En toute objectivité, je ne peux pas aller travailler dans mon atelier avec ton sperme qui me barbouille le corps, Ishtar... »

Il hésitait à lui parler du geste subit avec sa casquette, de cette nervosité qu’il avait cru décelé en elle... Mais cela aurait cassé la scène, cela aurait brisé la situation. Il choisit donc de conserver cela pour lui... Pour le moment, du moins, et de conserver le caractère surréaliste de cette scène.

Qui aurait cru, en effet, qu’il puisse se rapprocher autant d’Ishtar Naviento ?

La dragonne se sentait très bien d'avoir été aussi loin avec Chengzu. Elle avait maintenant accompli son désir d'avoir un amoureux... Certes on l'avait toujours poussée à avoir un dragon comme partenaire amoureux, mais les mâles dragons étaient soit trop arrogants, soit trop machistes. C'était donc normal qu'une transgenre dirigiste comme Ishtar se sente incompatible avec les autres mâles dragons. Mais ce bélier, c'était différent. Elle se sentait accepté comme rarement elle avait déjà été accepté. C'est avec plaisir qu'elle entra dans sa salle de bain. En réalité, le bureau byzantin représentait l'antichambre de ses quartiers. Une porte de métal épaisse donna sur un couloir richement décoré avec boiserie et décorations digne d'un manoir. On pouvait venir à en oublier qu'on était dans un navire. La décoration était très infernoise, entre les bougeoirs métalliques patinés, les peintures sur cuir tendues sur des cadres de métal représentant des scènes épiques ou orgiaques, quelques bannières aux couleurs du Royaume d'Inferis et pour ponctuer le tout des armes et boucliers. Ce couloir desservait une grande salle à manger avec table en métal rivetée et set de table déjà prêt à recevoir des convives, mais aussi un salon cosy. Ce dernier comportait plusieurs canapés et fauteuil en cuir de type chesterfield, avec un antique téléviseur à tube cathodique trônant dans un coin. Il y avait un vieux poste radio imposant richement décoré et un alcoolier pourvu de plusieurs boissons exotiques. Puis enfin ce fit la salle de bain et son carrelage d'obsidienne noire en hexagone. La pièce comportait un toilette au ras du sol de type washiki, un lavabo, une baignoire en angle et une douche imposante. Il y avait une sorte de trappe dans le mur qui conduisait les vêtements dans une petite blanchisserie réservée aux officiers. Une fois à l'intérieur de la salle, Ishtar aida le bélier à retirer sa tenue avant de tout mettre dans la trappe. Ils prirent une longue douche à s'embrasser et se caresser alors que la dragonne ne retira pas pour autant ses bas et ses gants, ni même son bikini. Elle ne mouilla pas non plus son visage ou ses cheveux et d'ailleurs elle fit en sorte que Chengzu se mouille le moins possible pour être sec plus vite. Une fois cela fait, elle sortit de la salle de bain pour se diriger vers la chambre... Ils avaient tous deux une belle érection alors que la dragonne trouva son uniforme délicatement replié sur son lit et bien lustré. Il en était de même pour Chengzu. Pendant que l'amirale se rhabillait, elle put laisser au bélier le plaisir de voir cette chambre... Une grande pièce avec lit à baldaquin au sommier d'obsidienne ouvragé, draps en wetlook et rideaux de latex, couette en vinyle... Une croix de saint-andré sur le côté et quelques attaches bdsm un peu partout... Ainsi que plusieurs armoires probablement pleine d'accessoires en tout genre. Une fois rhabillée, elle regarda le gantier.

"Je pense que vous l'avez déjà comprit, mais voici notre chambre... J'adore attacher Theo au pied du lit ou a un des mâts de ce lit quand je me fait une superbe nana. Ou alors à cette croix en baissant les rideaux du lit pour qu'il s'imagine bien ce qu'il rate... Pour le moment l'intérêt c'est qu'il ne sache rien pour nous deux. Pas encore du moins. Alors dites-lui que le contrat a changé, mais qu'il va devoir vivre avec moi et vous aussi... On préparera son postérieur tout les deux et quand il sera prêt... Nous le prendrons en double anal dans ce lit pour signifier notre curieux couple... Mais je suis certaine qu'il fera une superbe soubrette pour nous deux en attendant."

Elle caressa la corne droite du bélier avant de venir l'embrasser encore. Tout en roulant sa langue avec la sienne, elle sortit son pénis et celui de Chengzu pour que les deux glands se frottent ensembles, comme un baiser du bas. L'amirale fit un sourire bien pervers avant de tirer sur les côtés de sa robe couvrant ses seins, montrant ses deux grosses orbes de chair si intimes...

"Et nous allons continuer à nous vouvoyer pour l'instant... Le temps que je m'habitue moi aussi à autant de... familiarité..." Elle replaça son haut. "Allez, filé au travail. Vos affaires seront transportées ici. Et nous nous reverrons ce soir à 19h après mon service pour le repas du soir. Mais avec une belle érection comme la votre, je sens bien que vous allez appeler les services de Theorem avant la pause de midi, huhuhu."

En tant que gantier, Chengzu avait déjà travaillé sur le latex. Cette matière caoutchouteuse très particulière pouvait être imperméable, mais les gants en latex imperméables n’étaient généralement pas à but esthétique. On les utilisait comme gants de travail. Mais ici, dans la colonie de Nachtheim, le latex récolté sur les écorces des arbres de la jungle avait des propriétés très particulières, qui faisait que le latex de Nachtheim était par nature très imperméable, et permettait une absorption naturelle de la sueur. C’était sans doute ce qui expliquait en partie la qualité supérieure du latex produit dans les ateliers nachthois, et leur forte rentabilité. Et c’était aussi ce qui leur permit de prendre une douche « habillée »... Du moins, surtout pour Ishtar. Chengzu, lui, délaissa son pantalon et son haut, avant de rejoindre la femme.

Sa douche était plutôt grande, ce qui était plutôt normal, vu qu’il s’agissait après tout d’une Dragonne. Il fallait donc tenir compte de ses ailes. L’eau ne tarda pas à venir, mais la séance dans la douche fut davantage une nouvelle session entre eux deux qu’un véritable nettoyage. D’ailleurs, la femme avait réglé le pommeau de la douche sur une assez faible intensité, et manipula elle-même ce dernier, se débrouillant pour ne nettoyer que le nécessaire. Chengzu retint donc surtout de cette douche assez longue de multiples baisers. Ses mains caressaient les hanches de la Dragonne, sentant sa puissance, mais aussi la douceur de sa peau. Leurs langues se mélangèrent l’une à l’autre, et ils continuèrent à s’embrasser, sans aller au-delà, leurs queues en érection se frottant l’une contre l’autre. Ishtar se déplaçait parfois pour mordre le creux du cou de Chengzu, faisant frémir ce dernier, qui l’embrassait en retour.

« I-Ishtar... »

Lui-même l’embrassa dans le cou, et laissa ses mains s’aventurer, pressant les seins d’Ishtar, les malaxant, glissant ensuite sur ses fesses, serrant son cul. Ils se rapprochaient par ce biais, ce qui était une grande surprise pour eux deux... Lui, parce qu’il avait longuement été intimidé par Ishtar, et elle, parce qu’elle n’était pas du genre à se laisser ainsi aller. Les deux continuèrent donc à s’embrasser longuement, jusqu’à sortir de la cabine de douche. Chengzu n’avait toutefois pas joui, et, à chaque fois qu’il avait pu tenter de faire des choses susceptibles de l’amener à l’orgasme, Ishtar l’avait repoussé. Et, de la même manière, alors qu’il s’attendait à ce qu’ils copulent encore une fois dans sa chambre, elle se contenta de se rhabiller, lui offrant toutefois à nouveau la vue de ses seins... Avant de mettre fin à leur entrevue.

Chengzu rougit légèrement, tandis qu’Ishtar lui expliqua que, pour l’heure, elle voulait garder l’effet de surprise à Theorem, mais qu’ils le prendraient tous les deux. Chengzu frémit doucement en s’imaginant coucher avec elle et Theorem dans sa chambre. Un couple à trois... Sur le coup, Chengzu ne connaissait pas de mot pour définir cela, et déglutit doucement, avant de l’embrasser encore, sa queue se heurtant dans le même temps à celle d’Ishtar. Il comprit alors que cette dernière le mettait volontairement dans cet état, afin qu’il se soulage auprès de Theorem.

En souriant doucement, Chengzu lui répondit :

« Il n’y a pas de problème, Ishtar, nous ferons comme tu... Comme vous le souhaitez. Mais, en réalité, je ne pense pas pouvoir attendre ce midi... »

Très excité, l’homme-bélier tremblait sur place, et salua donc Ishtar, avant de sortir. Sa démarche était un peu raide, et, fort heureusement, son uniforme dissimulait plutôt bien son érection. En marchant, il se mettait à espérer que celle-ci diminuerait avec le temps, mais ce fut l’inverse qui se produisait. Au contraire, son esprit ne cessait de revenir à cette longue séance avec Ishtar, à sa queue s’enfonçant en elle, à leurs baisers, et à ce qu’elle lui avait dit...

*Puis-je être amoureux de deux personnes en même temps ? Je ne pensais pas cela possible, mais, pourtant...*

C’était ce qui se passait... Chengzu continua à marcher, mais prit vite conscience que, dans son état, il ne pourrait pas travailler dans son atelier. Faire des gants nécessitait de faire de la couture, ce qui impliquait de la précision, du calme, ce qui n’était pas possible avec le tremblement nerveux de ses mains. Chengzu se rapprocha donc de gardes, et demanda où se trouvait le Vice-Amiral Theorem.

Après tout, n’était-ce pas son rôle que de le soulager de ce genre de choses ? Certes, Chengzu aurait juste pu se masturber dans les toilettes, mais... Autant en profiter pour revoir Theorem, et finir avec lui ce qu’il avait commencé avec Ishtar.

Theorem avait reprit ses activités une fois le matin arrivée et après avoir accompagné son Maître jusqu'à son rendez-vous. Il dût laisser un peu cette vie sexuelle de côté pour se concentrer sur son travail. En tant que Vice-Amiral il avait des attributions un peu partout. Ca allait de la paperasse ennuyante qu'il pouvait déléguer à des visites avec d'autres cadres extérieures ou des experts. Mais là il avait été appelé pour donner son avis sur un plan de maintenance pour un des réacteurs Vulkherz du Czarina Tiamat. Il en avait plusieurs et cela demandait un contrôle drastique afin d'être toujours opérationnel sur le navire. Il descendit dans une des salles des machines pour voir avec des ouvriers la procédure la plus efficace. Une fois les directives données, il s'apprêtait à remonter quand il eut un appel sur sa petite CiBi personnelle que Chengzu cherchait à le voir au plus vite.

"Signalez-lui que je suis au pont E. A l'entrée de la salle des machines 4."

Il allait l'attendre dans ce couloir technique souvent peu visité et qui offrait la tranquillité. Certes, ce couloir pouvait être inquiétant. Pas de fenêtres, éclairage au néon parfois clignotant, petite salle de repos pour ouvriers vide à cette heure et des toilettes publiques. Il patienta calmement que Chengzu arrive, avec pour seule distraction une game boy version Inferis, dont la coque était faite de métal riveté. Il jouait calmement avant de le voir arriver, éteignant sa console avant de la ranger dans son sac en bandoulière.

"Comment vous allez, Maître Chengzu ? L'Amirale n'a pas été trop dure ? Vous avez obtenu ce que vous vouliez ?"

Il s'approcha pour l'enlacer dans ses bras, le serrant contre lui. C'est là qu'il sentit deux choses... La première c'était la dure érection de son maître qui appuyait contre son ventre et lui révéla bien vite l'objet de sa visite. L'autre était une odeur très subtile, sûrement camouflé par une douche... l'odeur corporelle d'Ishtar qu'il reconnaissait sans mal. Mais pourquoi était-elle aussi présente sur le bélier ? Il s'imagina qu'elle l'avait probablement trop approché ou quoi, mais Chengzu n'avait pas de contusions ou de coups... Il fut un peu interrogatif une seconde avant de lui sourire et de poser sa main droite sur le sexe en érection de Chengzu.

"Mais ça a l'air d'aller, Maître Chengzu... Je vous manquait tant que ça ?..."

Le brave Chengzu n’en menait pas bien large. Il n’était pas habitué à être dans cet état, à sentir son sexe l’élancer douloureusement sous ses vêtements. Sa verge était tendue, douloureuse, et chaque pas qu’il faisait n’arrivait pas à le calmer. Son esprit était assez fébrile, partagé entre une excitation bien masculine et sa relation avec Theorem. Ishtar était-elle vraiment amoureuse de lui ? Ou tout cela n’était-il pas une sorte de ruse, de piège ? Mais pour quoi faire ? Non, il n’avait aucune raison de suspecter un traquenard, mais... Chengzu se demandait surtout quelles implications auraient lieu dans sa vie, plus particulièrement dans son histoire avec Theorem. Accepterait-il cela ? Chengzu savait que Theorem considérait toujours Ishtar comme sa Maîtresse, et que leur relation entre eux n’avait rien de normale, rien de conventionnelle. Il avait pourtant essayé, au début, mais ce n’était pas ce que Theorem voulait... Et lui-même commençait à prendre goût à cette vie faite de vices et de perversité. À tel point qu’une part importante de lui-même croyait sincèrement en ce triolisme.

En avançant dans les coursives, il apprit ainsi que Theorem n’était pas dans son bureau, mais dans la Salle des Machines. Le Czarina Tiamat était un vaisseau assez grand, labyrinthique, et où il était facile de se perdre... A fortiori quand chaque mouvement amenait son sexe à se frotter davantage contre son pantalon, provoquant des crispations musculaires. Chengzu gardait contenance, mais, plus le temps passait, et plus il avait envie de se masturber. La logique aurait voulu qu’il le fasse dans des toilettes, à l’abri des regards indiscrets... Mais il prenait peu à peu goût aux mœurs infernoises. Difficile de lutter, après tout, face à cette société, face à ces mœurs, et face à ce que tout cela stimulait en lui.

Reprenant sa marche, Chengzu se rapprocha de la partie des machines. Un ensemble assez infernal de grandes pièces avec des machines bruyantes, où des ouvriers travaillaient difficilement. Il avait souvent entendu dire qu’il s’agissait là d’esclaves, de repris de justice. Des conditions de vie assez éprouvantes, assurément.

Les gardes expliquèrent à Chengzu que le Vice-Amiral se trouvait dans une coursive, un couloir annexe à l’une des salles des machines. L’homme-bélier le rejoignit finalement, et frémit doucement à son contact, sentant sa queue l’élancer encore. Les deux hommes s’embrassèrent tout naturellement, puis Chengzu lui sourit lentement.

« Je... Non, tout s’est bien passé avec I... Avec l’Amirale Naviento. »

Il ne devait pas oublier ce qu’elle lui avait demandé de faire... À savoir ne rien révéler à Theorem de leur relation. Il caressa donc le visage de l’homme, qui nota alors son érection, et lui demanda si Theorem lui manquait tant que ça. Chengzu soupira doucement, et l’embrassa alors, écrasant son corps contre le sien. Il le plaqua contre le mur, écrasant son corps contre le sien, et sentit sa queue s’élancer encore.

« Tu n’as pas idée, Theorem... Retourne-toi ! »

Autoritaire, il le retourna, et plaqua sa tête près d’un hublot, permettant de voir l’une des salles de machines, où les ouvriers travaillaient près d’immenses cheminées. Sa main libéra ensuite son sexe, et il entreprit, maladroitement, nerveusement, de dégager l’accès au fondement de Theorem. Les intentions de Chengzu étaient on ne peut plus claires : il voulait se soulager avec lui, en le sodomisant sur place !

Theorem sentit toute la passion de son dominant dans ces quelques échanges de mots. Visiblement il était terriblement en manque et avait besoin de se soulager maintenant. En tant qu'esclave sexuel, jamais le travestit n'avait eut son mot à dire dans les actes qu'il pouvait subir. Plaqué contre la parois de métal à voir la salle des machines par un hublot crasseux, il posa ses mains contre le métal riveté en sentant les mains de Chengzu passer sur tout son corps mais surtout relever l'arrière de sa qipao pour baisser sa culotte et libérer son anus du plug anal qui s'y trouvait. Il serra un peu les dents pour retenir un gémissement alors que son orifice arrière fut libéré. Le plug anal pendait alors tranquillement au bout de la chaînette le reliant à sa cage de chasteté et sans plus attendre, la verge de son compagnon allait le remplacer. Theorem se dépêcha de cracher dans sa main droite pour venir étaler sa salive épaisse sur sa rondelle libérée temporairement. Juste à temps car le gland du bélier venait déjà contre son trou humide. Le travelo sentit les mains gantées sur lui, tenant solidement ses hanches alors que sa verge s'enfonçait en lui sans attendre. Ca n'avait déjà plus rien à voir avec les premières fois timides qu'ils avaient fait. Là Chengzu se lâchait totalement et profitait de Theorem comme n'importe quel homme en manque qui voulait juste enfoncer son sexe et se soulager égoïstement. Ce machisme avait toujours excité la hyène au plus haut point.

"Han fuck ! Maître Chengzu... Haah ! C'est si.. huaaah ! Sauvage !"

Sentant la verge au complet dans son fondement, il contracta son anus pour que les sensations soient d'autant plus agréable pour son possesseur. Il se mordilla la lèvre inférieure alors que les coups de reins de Chengzu le faisaient se tortiller de plaisir contre la parois, écrasé contre cette dernière. Il se sentait possédé, dominé... Et ça le chauffait plus que jamais ! Sa petite cage laissait échapper un fin filet de présperme qui tombait par moment au sol alors que Theorem mordilla son index replié en ouvrant parfois les yeux vers les ouvriers dans la salle des machines. Ils pouvaient voir son visage, mais ils étaient tellement absorbés dans leur travail qu'ils ne pouvaient pas voir ça. Mais le stress permanent de peut être se faire voir montait en lui une tension sexuelle encore plus grande. Theorem tourna la tête sur le côté, cherchant le contact visuel avec Chengzu pour avoir un long baiser baveux pendant cette sodomie.

"Hmmm... Vous êtes si déchaîné ! Haaah !"

Theorem allait docilement offrir sa croupe à son dominant, et peut être même nettoyer sa verge après coup s'il le désirait. Mais coucher en uniforme, le jeune haiena adorait ça ! Leurs vêtements grinçaient et crissaient l'un contre l'autre... Et puis il avait un gros fétish des uniformes !

C’était comme un cercle vicieux. Plus il passait du temps ici, et plus il devenait... Différent de ce qu’il avait cru être. Plus pervers. Plus dominateur. Violent. Brutal. Autoritaire. Il avait pris Theorem sans même se soucier de ce qu’il avait pensé, et il ne l’avait pas fait par jeu ou autre chose. Il l’avait fait... Parce qu’il en avait le droit. Parce que, somme toute, peu lui importait le consentement de Theorem. Là, en ce moment, il était juste en manque, un manque savamment provoqué par Ishtar, comme si la Dragonne avait su à l’avance qu’elle le ferait flancher. Il le prit donc contre le mur, n’attendant même pas vraiment que Theorem prépare le terrain. Aurait-il été mieux, plus « sobre », qu’il aurait sans doute léché lui-même le fondement de Theorem, mais il le pénétra rapidement. Sa queue, qui était déjà bien grosse, se crispa contre les parois anales de son partenaire, le faisant grogner sur place. Ses dents se serrèrent, et il donna un nouveau coup de reins, tapant le corps de Theorem contre le mur du couloir.

Il le baisait dans le couloir, avec leurs uniformes, faisant crisser leurs tenues moulantes en latex. Chengzu adorait cette sensation, tout simplement, et, si la partie consciente de sa psyché espérait encore un orgasme rapide, son être, submergé par le plaisir, espérait au contraire faire durer ça... Le faire durer le plus longtemps possible ! Dans un moment d’ivresse, de folie aveugle de confiance en soi, il s’imaginait pouvoir tenir des heures, des heures comme ça, à le sodomiser. Ha, que c’était bon ! Un plaisir jouissif et exquis qui l’envahissait, primitif et sauvage.

« Hmmmm... Pu-Putain, t’es... T’es si serré, Theorem... ! »

Sans doute que Theorem bandait ses muscles, contractant ses fesses, mais il fallait aussi dire que Chengzu venait le pénétrer vigoureusement. Il grogna encore, et s’écrasa dans le dos de Theorem, plaquant sa tête sur le hublot, formant une couche de buée. Son amant tourna lentement la tête, très excité par cette situation, quémandant un baiser... Que Chengzu ne lui donna pas immédiatement. Dans un premier temps, il commença par attraper les mains de Theorem, et les plaqua violemment contre le mur, serrant ses doigts contre les siens, tout en s’enfonçant un peu plus brutalement, sa queue remontant en lui, l’amenant à serrer les dents, à les crisper sur place.

Il l’embrassa alors, le serrant davantage, jusqu’à s’immobiliser lui-même, ralentissant ses mouvements en soupirant encore, sa bouche fusionnant à la sienne dans un baiser baveux, où sa langue joue avec la sienne. Ses doigts se relâchèrent également, avant de serrer à nouveau, et il tapa contre le mur avec, ainsi que contre le hublot, provoquant des chocs sourds, avant de reprendre ses mouvements. Chengzu s’écrasait tellement contre lui qu’il en arrivait parfois à le décoller du sol, avant de continuer, avec plus de voracité, et toujours autant de passion.

« Oh, Theorem, hmmm... Je... Je crois que je n’arriverai jamais à me lasser de toi ! » grogna-t-il.

Theorem se sentit écrasé contre la paroi métallique le séparant de la salle des machines bondées d'ouvriers. Le visage devant ce hublot sale et embué par son souffle, il savait bien que le tumulte des moteurs vulkherz le dissimulait au moins au niveau sonore, mais il suffisait qu'un ouvrier ait une envie pressante pour qu'il déboule dans ce couloir et les trouve. Chengzu ne semblait pas du tout inquiet par tout ça et, à l'heure actuelle, Theorem n'était plus en état de réfléchir correctement. Sa prostate malmenée par le pénis gonflé de son compagnon lui envoyait un plaisir puissant alors que son anus dilaté par le plug anal qu'il portait en permanence se resserrait autour de cette hampe de chair. Son pénis en cage laissa échapper un peu de présperme qui s'écoula entre ses cuisses alors qu'il se faisait presque soulever par certains coups de rein du bélier. Theorem n'était maintenant plus qu'un onahole pour son maître. Et comme le Haiena avait été fort bien éduqué, il parlait pendant l'acte pour maintenir l'érection de son "utilisateur".

"Han Maître Chengzu ! Vous êtes si dur en moi ! Votre bite est tellement imposante que je me demande si ce que j'ai entre les jambes peut être qualifié de pénis !"

Enfiévré par l'intensité de la chose, il crispa ses mains sur les doigts de Chengzu qui le maintenait collé au mur alors qu'il se faisait sauvagement sodomisé. Son anus se crispa de plus belles alors qu'il resta là, à la merci du bélier qui le prenait sans vergogne, sans attendre, avec une pointe d'égoïsme qui faisait fondre le jeune haiena. il se faisait posséder, abuser et il adorait ça ! Il le ramonait avec force et vigueur alors que le temps passait. A quelques reprises, le Vice-Amiral entendit des pas dans le couloir mais ça ne se rendit pas jusqu'à eux. Peut être que le bruit qu'ils faisaient dissuadait les marins d'approcher. Peut être qu'on les épiaient au détour du couloir et le jeune haiena s'imaginait ces marins intimidés se masturber en n'osant que les apercevoir derrière l'angle du mur ou en écoutant leur débauche. Après un certain temps que Theorem n'arriva pas à chiffrer, les mouvements du bélier se firent plus frénétiques et profonds. Il sentait un léger tremblement venant de son compagnon. Pas de doutes, il atteignait le summum de son plaisir et soudainement il se raidissait dans son dos en gémissant bien fort. Un liquide épais envahissait l'intérieur de son corps, bien chaud, faisant gonfler son ventre légèrement. Cette sensation fit jouir également le haiena qui eut les yeux qui se révulsèrent. Il en tirait la langue en gémissant comme un animal alors que son pénis en cage laissa échapper un fin filet de semence qui tomba au sol. Il y eu quelques soubresauts de sa part alors qu'il se tenait comme il pouvait. Affaiblis par un tel orgasme, une fois que Chengzu se retirerait, il glisserait certainement le long de la parois pour finir à genoux, le cul débordant de semence... Entre deux halètements, il se tourna vers son dominant.

"Han Maître Chengzu... C'était si intense... Merci !"

Il pensait jouir rapidement, vu son état d’excitation, et ainsi reprendre une activité quotidienne normale.

Mais l’orgasme ne vint pas rapidement. Il en fut lui-même surpris, comme si, instinctivement, son corps était en train de s’habituer à ça, à ce sexe sauvage et intense, et se refusait à jouir trop vite... Comme si son corps appréciait ce qu’il faisait, comme si on organisme avait envie d’en profiter encore. Et lui-même devait bien admettre que... Que tout ça était terriblement bon ! Oh oui, c’était même dantesque, terriblement jouissif, et... Et sacrément génial ! Il grognait sur place, accélérant le rythme, encore et encore, écrasant Theorem contre le mur, donnant des coups sourds. Le corps de Theorem claquait contre la paroi métallique, rythmant ses soupirs, et même ses cris, au fur et à mesure que la virilité de Chengzu remontait dans son cul, défonçant ses parois anales, maltraitant sans ménagement le brave jeune homme.

Plus le temps passait, et plus Chengzu accélérait, gagnant en force, en puissance, en bestialité, redevenant cet homme-bélier qu’il était, cet amant qui culbutait furieusement ses partenaires. Il donnait ainsi d’épais coups de butoir, grognant sur place, sa combinaison ne faisant plus qu’un avec son corps, absorbant sa sueur. Il entendait des bruits de pas, et vit quelques matelots se rapprocher avant de se détourner hâtivement... Ce qui, étrangement, l’excita encore plus !

« The-Theorem, hmmm... »

Les minutes défilaient, et Chengzu s’écrasait parfois dans le dos de son amant, l’immobilisant, embrassant son cou. Il mordilla même sa chair, presque sans le constater, ses mains continuant à se crisper sur place, bringuebalant le corps de son amoureux d’avant en arrière, jusqu’à ce qu’une ultime vague ne le saisisse. Theorem le perçut également, dans la manière dont Chengzu se déplaçait, se mouvait en lui. Il grogna sur place et ferma les yeux, avant de sentir sa queue tressauter sur place.

Un orgasme le traversa furieusement, et sa queue cracha des filaments de sperme dans son cul. Ce fut un très bel orgasme, car, même quand il pensait avoir terminé, Chengzu sentait sa queue fourmiller, relâchant ensuite de nouveaux firmaments de foutre. Il s’abandonna donc goulûment en lui, et se calma ensuite progressivement. Chengzu finit par libérer Theorem, qui glissa sur le sol. Chengzu respirait lourdement en le regardant, sa queue encore légèrement gonflée, tachetée de jets blanchâtres. Theorem, heureux, le remercia, et Chengzu sourit brièvement.

« Remets ton plug, Theorem... Que mon sperme reste en toi le plus longtemps possible. »

Chengzu se déplaça de lui-même pour faire cela, et glissa le plug en lui, puis le rhabilla proprement, tirant sur son uniforme pour qu’il se remette en place. Il caressa ensuite le visage de Theorem, rabattant quelques mèches de cheveux, faisant preuve d’une étonnante attention, d’une tendresse qui tranchait avec son tempérament violent et autoritaire.

« En réalité, Theorem, ce serait plutôt à moi de te remercier, j’avais... Très envie de te faire l’amour. »

Il confessa cela tout en l’embrassant alors, assez longuement, pressant son corps contre le sien.

« Je vais repasser te voir ce midi, Theorem... Et je vais te faire un cadeau. Quand je reviendrais, nous réaliserons l’un de tes fantasmes, mon amour. Alors, tu as intérêt à trouver quelque chose d’intéressant pour nous deux... »

Chengzu l’embrassa encore avant de se reculer.

« Je t’aime, Theorem... » termina-t-il, avant de partir.

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