Re: Rencontre avec une femme au Lys [Famille Acasia-Purity]
Posté : 07 nov. 2024 11:36
Pour Alice, le cinéma restait toujours une sacrée épreuve, qui la mettait généralement en nage. Certes, elle savait, à force, que ce qu’elle voyait n’était pas réel, mais ça ne changeait rien pour autant ! La première fois, Alice avait vu un film sur une télévision standard, et avait cru que des lutins se trouvaient dedans. Les explications vaseuses des amies de Mélinda, accompagnées de grands éclats de rire, avaient progressivement amené Alice à comprendra que la technologie terrienne était très en avance de la technologie terrane. Ceci étant dit, elle n’en avait pas moins apprécié le film, mais elle ne pouvait pas enchaîner sur un second. Sans aller jusqu’à parler d’épilepsie, elle n’était tout simplement pas habituée au fait de fixer trop longtemps des écrans numériques, et avait tendance à se fatiguer.
Gwendoline lui expliqua que le film avait bien une suite de prévue, mais qui n’avait pas abouti, en raison de conflits sociaux ayant ravagé la réalité alternative d’où le film était originaire.
« Oh… C’est… C’est dommage, je suppose… »
Elle se racla ensuite la gorge en se pinçant les lèvres. De fait, la petite Princesse avait aussi tenu plus d’une heure dans le Lys sans aucune action intime, et, comme l’endroit était saturé de magie rose, ses joues commençaient à rosir. Les signes avant-coureur d’une sorte de frustration remontaient doucement dans son corps, ce que Gwendoline constata rapidement, et proposa de se rendre dans la piscine. Celle-ci étant assez éloignée, elle les téléporta donc, et, dans un sursaut, Alice se retrouva dans les vestiaires de la piscine du Lys. Une piscine assez grande, avec une partie en intérieur, et une partie en plein air, la seconde comprenant son lot de transats, et évidemment de jolies filles.
Alice rougit doucement.
« Je… Je vais me changer, alors ! Mettre une tenue plus appropriée… »
Il y avait tout ce qu’on voulait au Lys sur ce point, et Alice se changea pudiquement dans une cabine. Elle en ressortit habillée d’un sensuel maillot de bains blanc. Point de bikini, mais un ensemble unique, composé de cordes, moulant ses fesses. Alice mit ses affaires dans un vestiaire, et récupéra la clef, qu’elle attacha assez maladroitement à son poignet.
« Tu peux m’aider ? « demanda-t-elle à Gwendoline.
Elle vit ainsi Gwendoline se rapprocher d’elle, et frémit doucement, louchant au passage sur sa généreuse poitrine. Chaque prétexte, aussi insignifiant soit-il, semblait être un excellent motif pour se rincer les yeux, et ce quand bien même Alice avait, préalablement à tout ça, joyeusement forniqué avec Gwendoline dans l’auberge. Ne sachant pas quoi dire, Alice regarda Gwendoline. Elle lui avait parlé du chlore, mais Alice n’avait même pas retenu ce qu’elle avait dit, car elle sentit encore son corps s’emballer.
Se pinçant les lèvres, en essayant (sans aucun doute sans grand succès) de dissimuler ses émotions, elle reprit en se dirigeant vers la piscine :
« J’aime bien me rendre dans la piscine, même si, paradoxalement, la mer me fait peur. Mais c’est différent avec une piscine, sans doute parce que je peux voir le fond. »
Elle plongea dans l’eau d’un grand bassin de 50 mètres, espérant que faire quelques brasses l’aiderait à se calmer. Cependant, même dans la piscine, le sexe était de rigueur, et, tandis qu’elle nageait, Alice sentait que rien ne s’arrangeait, au contraire ! Tout ici était un prétexte au sexe, et ce n’était pas elle qui allait faire exception ici. Nageant encore, elle rejoignit le rebord et s’appuya dessus, soupirant longuement.
Gwendoline ne tarda pas à la rejoindre, et Alice frémit doucement à côté d’elle, rougissant à nouveau.
« Je… J’ai vu des couples faire l’amour dans… Dans l’eau, et… »
Elle était toujours aussi nerveuse, et se tut brièvement, avant de rougir encore.
« Mais je ne sais pas si tu voudrais… Je… Euh… Enfin, voilà… »
Autant dire qu’elle ne savait pas quoi dire !
Gwendoline lui expliqua que le film avait bien une suite de prévue, mais qui n’avait pas abouti, en raison de conflits sociaux ayant ravagé la réalité alternative d’où le film était originaire.
« Oh… C’est… C’est dommage, je suppose… »
Elle se racla ensuite la gorge en se pinçant les lèvres. De fait, la petite Princesse avait aussi tenu plus d’une heure dans le Lys sans aucune action intime, et, comme l’endroit était saturé de magie rose, ses joues commençaient à rosir. Les signes avant-coureur d’une sorte de frustration remontaient doucement dans son corps, ce que Gwendoline constata rapidement, et proposa de se rendre dans la piscine. Celle-ci étant assez éloignée, elle les téléporta donc, et, dans un sursaut, Alice se retrouva dans les vestiaires de la piscine du Lys. Une piscine assez grande, avec une partie en intérieur, et une partie en plein air, la seconde comprenant son lot de transats, et évidemment de jolies filles.
Alice rougit doucement.
« Je… Je vais me changer, alors ! Mettre une tenue plus appropriée… »
Il y avait tout ce qu’on voulait au Lys sur ce point, et Alice se changea pudiquement dans une cabine. Elle en ressortit habillée d’un sensuel maillot de bains blanc. Point de bikini, mais un ensemble unique, composé de cordes, moulant ses fesses. Alice mit ses affaires dans un vestiaire, et récupéra la clef, qu’elle attacha assez maladroitement à son poignet.
« Tu peux m’aider ? « demanda-t-elle à Gwendoline.
Elle vit ainsi Gwendoline se rapprocher d’elle, et frémit doucement, louchant au passage sur sa généreuse poitrine. Chaque prétexte, aussi insignifiant soit-il, semblait être un excellent motif pour se rincer les yeux, et ce quand bien même Alice avait, préalablement à tout ça, joyeusement forniqué avec Gwendoline dans l’auberge. Ne sachant pas quoi dire, Alice regarda Gwendoline. Elle lui avait parlé du chlore, mais Alice n’avait même pas retenu ce qu’elle avait dit, car elle sentit encore son corps s’emballer.
Se pinçant les lèvres, en essayant (sans aucun doute sans grand succès) de dissimuler ses émotions, elle reprit en se dirigeant vers la piscine :
« J’aime bien me rendre dans la piscine, même si, paradoxalement, la mer me fait peur. Mais c’est différent avec une piscine, sans doute parce que je peux voir le fond. »
Elle plongea dans l’eau d’un grand bassin de 50 mètres, espérant que faire quelques brasses l’aiderait à se calmer. Cependant, même dans la piscine, le sexe était de rigueur, et, tandis qu’elle nageait, Alice sentait que rien ne s’arrangeait, au contraire ! Tout ici était un prétexte au sexe, et ce n’était pas elle qui allait faire exception ici. Nageant encore, elle rejoignit le rebord et s’appuya dessus, soupirant longuement.
Gwendoline ne tarda pas à la rejoindre, et Alice frémit doucement à côté d’elle, rougissant à nouveau.
« Je… J’ai vu des couples faire l’amour dans… Dans l’eau, et… »
Elle était toujours aussi nerveuse, et se tut brièvement, avant de rougir encore.
« Mais je ne sais pas si tu voudrais… Je… Euh… Enfin, voilà… »
Autant dire qu’elle ne savait pas quoi dire !