Et tandis que ça dégénérait, Maurice Malné éclata d’un rire qu’on pouvait qualifier de beaucoup de choses mais surement pas de sain.
Arthur Duroy, son nouveau partenaire, était dans la merde. Ce n’est pas pour cette raison qu’il alla lui porter secours. En fait, il resta bien sagement où il se trouvait. A une distance suffisamment loin pour être hors de portée de tous les coups physiques. En fait, quand on passait assez de temps avec Maurice Malné, on remarquait assez rapidement que l’homme ne faisait pas grand-chose. Pas dans le sens où il était incapable, mais sa propension à déléguer était forte. On aurait aussi pu dire que la loyauté des siens était si rapide qu’il n’avait jamais le temps de passer lui-même à l’action.
Dans ce scénario, une première progéniture mi humaine mi démone se jeta sur un gros bras. Sa « petite » main se referma sur le poignet dont les os… craquèrent ! Un terrible cri de l’ennemi s’élança en direction du ciel. Pour se défendre (pour survivre !), il voulut attaquer de sa main valide refermée en un poing vengeur. Mais la progéniture, qui avait été nommé Remy, donna un coup de tête dans une main dont les doigts finirent dans des angles à donner un haut-le-cœur.
Le dernier des « assistants » de monsieur de Lerne se fit attaquer par une bête sauvage. Il s’agitait. Ses bras cherchaient une accroche sur cette bête active et vorace qui se mouvait sur son corps. Mais chaque main se refermait sur son corps ici ensanglanté d’une estafilade et là perforer de crocs. Les secondes passaient et le sang s’écoulait. Toujours celui de « l’assistant ». Jamais de la progéniture de Malné, Martin, qui était à la limite de l’animal avec ses griffes et ses crocs.
« C’est très bien, Juliette. Augmente un petit peu l’intensité, je veux que monsieur de Lerne laisse échapper un petit cri. »
Monsieur de Lerne : « On va te crever, Malné ! AaaArgh ! Ma tête ! »
Maurice Malné donna un coup de pied dans les cotes de son interlocuteur. Puis, de toute sa hauteur, il finit par lui répondre :
« Si vous êtes tous des brêles, ce n’est pas ma faute. J’avais cru embaucher des gars compétents, j’ai du me tromper. Je ne peux m’en vouloir qu’à moi-même. Par contre, vous aurez votre pognon quand j’aurai la qualité qui avait été convenu dès le départ. Donc tu peux repartir avec tes gars, ou ce qu’il en reste. Va donc dans ce cirque si ça te fait plaisir. Donne un de tes gars à bouffer pour calmer la bête, je m’en fiche. Fais ton boulot et tu seras payé. »
Par pur plaisir de violence, il lui redonna un coup de pied dans les cotes. Au même endroit que la première fois.
« On s’est bien compris tous les deux ? »
Arthur Duroy, son nouveau partenaire, était dans la merde. Ce n’est pas pour cette raison qu’il alla lui porter secours. En fait, il resta bien sagement où il se trouvait. A une distance suffisamment loin pour être hors de portée de tous les coups physiques. En fait, quand on passait assez de temps avec Maurice Malné, on remarquait assez rapidement que l’homme ne faisait pas grand-chose. Pas dans le sens où il était incapable, mais sa propension à déléguer était forte. On aurait aussi pu dire que la loyauté des siens était si rapide qu’il n’avait jamais le temps de passer lui-même à l’action.
Dans ce scénario, une première progéniture mi humaine mi démone se jeta sur un gros bras. Sa « petite » main se referma sur le poignet dont les os… craquèrent ! Un terrible cri de l’ennemi s’élança en direction du ciel. Pour se défendre (pour survivre !), il voulut attaquer de sa main valide refermée en un poing vengeur. Mais la progéniture, qui avait été nommé Remy, donna un coup de tête dans une main dont les doigts finirent dans des angles à donner un haut-le-cœur.
Le dernier des « assistants » de monsieur de Lerne se fit attaquer par une bête sauvage. Il s’agitait. Ses bras cherchaient une accroche sur cette bête active et vorace qui se mouvait sur son corps. Mais chaque main se refermait sur son corps ici ensanglanté d’une estafilade et là perforer de crocs. Les secondes passaient et le sang s’écoulait. Toujours celui de « l’assistant ». Jamais de la progéniture de Malné, Martin, qui était à la limite de l’animal avec ses griffes et ses crocs.
« C’est très bien, Juliette. Augmente un petit peu l’intensité, je veux que monsieur de Lerne laisse échapper un petit cri. »
Monsieur de Lerne : « On va te crever, Malné ! AaaArgh ! Ma tête ! »
Maurice Malné donna un coup de pied dans les cotes de son interlocuteur. Puis, de toute sa hauteur, il finit par lui répondre :
« Si vous êtes tous des brêles, ce n’est pas ma faute. J’avais cru embaucher des gars compétents, j’ai du me tromper. Je ne peux m’en vouloir qu’à moi-même. Par contre, vous aurez votre pognon quand j’aurai la qualité qui avait été convenu dès le départ. Donc tu peux repartir avec tes gars, ou ce qu’il en reste. Va donc dans ce cirque si ça te fait plaisir. Donne un de tes gars à bouffer pour calmer la bête, je m’en fiche. Fais ton boulot et tu seras payé. »
Par pur plaisir de violence, il lui redonna un coup de pied dans les cotes. Au même endroit que la première fois.
« On s’est bien compris tous les deux ? »