Re: Le mariage des Verrières et la naissance d'un Clan
Posté : 11 nov. 2024 16:42

Après s'être délicieusement adonné à goûter aux plaisirs que réservait Lissandre, passer à Fönn une nouvelle fois promettait de clôturer son passage de coutume en beauté, et Asmodée se délectait de la façon dont la petite völva qui s'ignorait écartait ses lèvres pour accueillir son vît laborieux le long de sa langue, savourant son goût et celui de sa femme dans le même temps, et regagnant, par la consommation des résidus de sa semence, vigueur, santé et tonicité. Car tel était le cadeau d'Asmodée, en vérité : vitalité, énergie et pouvoir à exploiter face aux mortels banaux.
Mais il fut distrait par les élucubrations de Lissandre, ramenée à la réalité par un Alastar peut-être trop impatient de pouvoir communiquer avec elle pour pouvoir la laisser s'abîmer dans l'abime absolu de stupre et de jouissance que pouvait être cette soirée de noces d'un genre si particulier. A moins de s'aventurer dans les profondeurs de Lusst'ghaa, vivre une telle expérience, surtout pour un mortel, était chose rarissime.
Alors, lorsque Lissandre interrogea sa femme, Asmodée sortit sa queue de sa gorge et croisa le regard perdu de la rousse avec un sourire carnassier.
"Oui, ma belle, qu'en penses-tu ? Tu veux régner en Enfer, toi aussi ?"
Il s'écarta de Fönn pour rejoindre Lissandre, laissant les autres démons, au choix, poursuivre leur besogne ou s'interrompre. Il n'en avait cure, il n'y avait pas meilleur endroit que chez lui où discuter tout en baisant. Il attrapa le menton de la blonde entre ses doigts et croisa son regard avec intensité.
"Commence donc par faire ce qui est attendu de toi, Lissandre Verrières, et peut-être, et je dis bien peut-être, ta réincarnation aux Enfers aura la carrure pour porter ce genre de projet pharaonique. Et ce jour-là..."
Il se pencha sur elle et lui chuchota à l'oreille.
"Tu n'as pas intérêt à ce que je t'attrape."
Il se redressa enfin et la laissa en paix, revenant à Fönn pour lui reprendre la bouche, irrumer en elle sans ménagement en coups de butoir singuliers avant de se libérer en elle, sortant sa verge pour la couvrir de foutre et laisser Valeria se charger de collecter ce qu'elle désirait.
Asmodée se leva alors et quitta le lit, sortant de la chambre, satisfait, pour rejoindre d'autres lieux en son palais. La fête continuait.