Re: Chaos au sein du vieux monde [PV Ashka Velaryon]
Posté : 30 nov. 2025 12:23
D'abord de mauvaise grâce, Ashka s'était soumis aux ordres du vicieux lapin. Paupières contractées, Korë assista à sa traîtresse besogne, le voyant d'abord déglutir, puis remuer la tête avec de plus en plus de courage. Otho, les mains posées sur les hanches, éprouvait la satisfaction de cette gâterie et celle d'avoir remporté une manche bien mérité ! La tristesse du dragonnet le laissait de marbre tant que ce dernier assurait la fellation.
- ...
La Wyvérienne se croyait maligne en se mordillant les lèvres pour ne pas gémir trop fort. Elle avait tort dans la mesure où son pseudo silence ne freinait aucunement le désir du minotaure. Traven ne fit rien pour la ménager, ses gros doigts remuant dans ses deux orifices.
- Et bien alors ? On ne veut plus chanter, ma petite pouliche ?
C'était trop dur. On ne lui avait pas appris à résister autant, et sûrement pas à une telle agression ! Korë se tortilla d'inconfort, repoussant l'envahissant museau d'un petit coup d'épaule. L'homme-taureau renâcla sèchement, éloignant sa tête de son cou gracile. Il se sentit rejeté par cette créature fragile. Aussi en conçut-il de la colère.
- Assez joué, cracha-t-il.
Il retira brusquement ses mains de sa culotte et, dressé de toute sa hauteur, exerça une pression sur ses frêles épaules. La bardesse bascula sur les genoux, face à Otho et Ashka qui donnait toujours du sien. Traven l'attrapa par une oreille, pinçant sa courte extrémité pointue entre le pouce et l'index.
- A-aïe !!
- Tu t'es bien rincé l'œil, pas vrai ? Alors tu sais ce que j'attends de toi, maintenant.
Sur ce dernier mot, il la força à pivoter sur ses genoux. Korë geignit. Elle se retrouva face au pantalon de Traven, avec ses deux énormes ceinturons sous le nez. Le minotaure lui lâcha l'oreille, commençant des deux mains à se défaire d'une de ses lourdes ceintures.
- Ne reste pas les bras ballants, l'usurpatrice. Débarrasse-toi du superflus ! A moins que tu ne préfères que je te délaisse pour me joindre à leur petite sauterie ?
Son sourire était hideux. L'homme-taureau savait très bien qu'elle ne supporterait pas cette vision. Ashka en souffrirait, et elle aussi, de ce spectacle. La Wyvérienne hocha la tête et, sans chercher à se rebiffer, remonta ses doigts le long de son ceinturon. Elle ne tremblait pas ni ne respirait trop fort. Elle s'était fait à l'idée qu'il la prendrait, tôt ou tard. C'était ainsi. On leur avait donné le choix, entre une punition sexuelle ou une plus franche torture...
Les ceintures se détendirent. Le pantalon lui tomba à hauteur de genou.
Traven avait l'air satisfait. Du moins pour le moment.
D'une main lourde et autoritaire, il ébouriffa les cheveux neigeux de la bardesse.
- Allez ! Ne me fais pas répéter et déballe mon attirail.
Korë ne répondit pas mais elle fut prompte à réagir. Ses doigts fins trouvèrent le rebord de son caleçon blanc. Elle le rabattit sur ses jambes, dévoilant... un monstre de virilité ! Libéré de sa geôle de tissu, le dit membre se souleva comme la gueule d'un cobra, cognant contre le petit nez de la bardesse. Son odeur forte lui fit froncer les narines et reculer la tête. Un geste que la paluche de Traven, toujours perchée sur sa tête, minimisa au possible.
- Qu'est-ce qu'il y a ? Ma matraque te fait peur ?
Il jubilait à moitié. En levant les yeux, Korë comprit à son air qu'elle aurait tort d'essayer de lui résister. Mais peut-être qu'en essayant de négocier gentiment, elle pourrait...
- Elle est... trop grosse pour moi.
Traven ricana.
- C'est vrai que tu es bien fine ! Mais n'essaye pas de me la faire, petite catin, je sais très bien que tu n'es pas aussi fragile que tu en as l'air.
Elle secoua la tête.
- Elle va continuer à grossir, insista la chanteuse. A ce moment-là, il me sera impossible de vous-
- Satisfaire ? la coupa-t-il. Arrête ton char !
Il la saisit par le menton, la forçant à le fixer droit dans les yeux. Korë ne se rida point, combattant son regard par le sien.
- Écoute-moi bien, petite tête, et de toutes tes oreilles. Tu vas d'abord me lubrifier la trompe avec ta belle petite langue de menteuse, et ensuite - si tu es sage - je me contenterai de te l'insérer entre les cuisses au lieu de te la carrer ailleurs. Tu m'as bien compris, hm ?
- ...
- Tu es bien sûre de vouloir jouer ce jeu-là avec moi ?
- Non, avoua-t-elle.
- Alors réponds à ma précédente question ! aboya-t-il.
- Je suis prête... à essayer.
- Ha ! 'y a du progrès !
Il relâcha son menton, lui tapotant la joue d'une main insolente.
- Maintenant, au boulot~
Se collant un masque d'inexpressivité au visage, la Wyvérienne se saisit de la verge des deux mains. Fidèle à sa taille, elle lui paraissait lourde et difficile à manipuler. Korë multiplia les coups de poignet avant d'engager sa langue dans cette dangereuse aventure. Le membre chaud palpitait doucement entre ses doigts. Elle le sentait qui commençait à durcir et à se courber vers le haut, la rapprochant un peu plus de ce qu'elle avait tendance à craindre de la part d'un monstre de furry aussi avantagé par la nature.
- ...
La Wyvérienne se croyait maligne en se mordillant les lèvres pour ne pas gémir trop fort. Elle avait tort dans la mesure où son pseudo silence ne freinait aucunement le désir du minotaure. Traven ne fit rien pour la ménager, ses gros doigts remuant dans ses deux orifices.
- Et bien alors ? On ne veut plus chanter, ma petite pouliche ?
C'était trop dur. On ne lui avait pas appris à résister autant, et sûrement pas à une telle agression ! Korë se tortilla d'inconfort, repoussant l'envahissant museau d'un petit coup d'épaule. L'homme-taureau renâcla sèchement, éloignant sa tête de son cou gracile. Il se sentit rejeté par cette créature fragile. Aussi en conçut-il de la colère.
- Assez joué, cracha-t-il.
Il retira brusquement ses mains de sa culotte et, dressé de toute sa hauteur, exerça une pression sur ses frêles épaules. La bardesse bascula sur les genoux, face à Otho et Ashka qui donnait toujours du sien. Traven l'attrapa par une oreille, pinçant sa courte extrémité pointue entre le pouce et l'index.
- A-aïe !!
- Tu t'es bien rincé l'œil, pas vrai ? Alors tu sais ce que j'attends de toi, maintenant.
Sur ce dernier mot, il la força à pivoter sur ses genoux. Korë geignit. Elle se retrouva face au pantalon de Traven, avec ses deux énormes ceinturons sous le nez. Le minotaure lui lâcha l'oreille, commençant des deux mains à se défaire d'une de ses lourdes ceintures.
- Ne reste pas les bras ballants, l'usurpatrice. Débarrasse-toi du superflus ! A moins que tu ne préfères que je te délaisse pour me joindre à leur petite sauterie ?
Son sourire était hideux. L'homme-taureau savait très bien qu'elle ne supporterait pas cette vision. Ashka en souffrirait, et elle aussi, de ce spectacle. La Wyvérienne hocha la tête et, sans chercher à se rebiffer, remonta ses doigts le long de son ceinturon. Elle ne tremblait pas ni ne respirait trop fort. Elle s'était fait à l'idée qu'il la prendrait, tôt ou tard. C'était ainsi. On leur avait donné le choix, entre une punition sexuelle ou une plus franche torture...
Les ceintures se détendirent. Le pantalon lui tomba à hauteur de genou.
Traven avait l'air satisfait. Du moins pour le moment.
D'une main lourde et autoritaire, il ébouriffa les cheveux neigeux de la bardesse.
- Allez ! Ne me fais pas répéter et déballe mon attirail.
Korë ne répondit pas mais elle fut prompte à réagir. Ses doigts fins trouvèrent le rebord de son caleçon blanc. Elle le rabattit sur ses jambes, dévoilant... un monstre de virilité ! Libéré de sa geôle de tissu, le dit membre se souleva comme la gueule d'un cobra, cognant contre le petit nez de la bardesse. Son odeur forte lui fit froncer les narines et reculer la tête. Un geste que la paluche de Traven, toujours perchée sur sa tête, minimisa au possible.
- Qu'est-ce qu'il y a ? Ma matraque te fait peur ?
Il jubilait à moitié. En levant les yeux, Korë comprit à son air qu'elle aurait tort d'essayer de lui résister. Mais peut-être qu'en essayant de négocier gentiment, elle pourrait...
- Elle est... trop grosse pour moi.
Traven ricana.
- C'est vrai que tu es bien fine ! Mais n'essaye pas de me la faire, petite catin, je sais très bien que tu n'es pas aussi fragile que tu en as l'air.
Elle secoua la tête.
- Elle va continuer à grossir, insista la chanteuse. A ce moment-là, il me sera impossible de vous-
- Satisfaire ? la coupa-t-il. Arrête ton char !
Il la saisit par le menton, la forçant à le fixer droit dans les yeux. Korë ne se rida point, combattant son regard par le sien.
- Écoute-moi bien, petite tête, et de toutes tes oreilles. Tu vas d'abord me lubrifier la trompe avec ta belle petite langue de menteuse, et ensuite - si tu es sage - je me contenterai de te l'insérer entre les cuisses au lieu de te la carrer ailleurs. Tu m'as bien compris, hm ?
- ...
- Tu es bien sûre de vouloir jouer ce jeu-là avec moi ?
- Non, avoua-t-elle.
- Alors réponds à ma précédente question ! aboya-t-il.
- Je suis prête... à essayer.
- Ha ! 'y a du progrès !
Il relâcha son menton, lui tapotant la joue d'une main insolente.
- Maintenant, au boulot~
Se collant un masque d'inexpressivité au visage, la Wyvérienne se saisit de la verge des deux mains. Fidèle à sa taille, elle lui paraissait lourde et difficile à manipuler. Korë multiplia les coups de poignet avant d'engager sa langue dans cette dangereuse aventure. Le membre chaud palpitait doucement entre ses doigts. Elle le sentait qui commençait à durcir et à se courber vers le haut, la rapprochant un peu plus de ce qu'elle avait tendance à craindre de la part d'un monstre de furry aussi avantagé par la nature.