Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]
Posté : 16 août 2024 23:27
Meurtri et humilié pendant de nombreuses années, Kamiye était en train de se libérer. Le désir sexuel était le marteau-piqueur dont le jeune Furry avait besoin pour percer les couches de son embrigadement. Et les fissures qui se provoquaient dans le mur que ses anciens geôliers avaient bâti pour lui l’amenait naturellement à se lâcher. Il goûtait à ce frisson délectable de la liberté, de la puissance sexuelle… Lui, le jeune homme humilié, faible et frêle, se retrouvait à besogner une femme, à baiser sa Maîtresse, une vampire qui plus est ! Tout cela faisait trop pour lui, et expliquait sans aucun doute ses réactions. Il se laissait aller, et se remit à la gifler, la fessant. Mélinda frémit. Il allait devoir raffermir sa poigne, tout comme il allait devoir renforcer son endurance ! Mais cela viendrait avec le temps, au fur et à mesure qu’il réaliserait que Mélinda n’était pas en porcelaine, et que, malgré son corps frêle, sa Maîtresse était plutôt du style endurante ! Il fessa encore, semblant gagner de l’énergie, marquant le cul de sa Maîtresse de ses doigts, faisant rougir sa croupe !
« Haaaa… Oooh, Ka-Kamiye, hummm… Pe-Petit rebelle, co-… Comment oses-tu me frapper… Hmmm… Moi qui sa ta Maîtresse ?! »
Elle voulait qu’il se sente excité par ça, par l’idée de franchir les barrières. Comme quand un enfant avait le droit de dire des jurons et qu’il ressentait un plaisir indicible à le faire. C’était dans la nature de l’Homme ; dès qu’une règle était mise, on aimait la transgresser, pour le simple plaisir de le faire, pour se convaincre qu’on était une personne capable de faire ses propres choix. Kamiye était en train de découvrir ça, et chaque fessée sur la croupe de Mélinda était comme un élan supplémentaire. Cela pouvait sembler paradoxal, mais Mélinda aimait l’idée que ses esclaves se sentent libres. C’est ce qu’elle avait dit à Kamiye, après tout : elle voulait des personnes qui acceptent librement de lui obéir.
Mélinda gémit encore, se tortillant sur place, et l’entendit dire qu’il allait jouir. Elle releva la tête, crispant ses doigts sur le lit, et la hocha de haut en bas.
« O-Oui, Ka-Kamiye, viens… Jouissons ensemble, jouis en moi ! »
Elle aussi approchait de l’orgasme. Chacune des fessées de Kamiye l’avait fait gémir et se cambrer sur place, ce qui fit qu’elle approchait maintenant, elle aussi, du point de rupture…
« Haaaa… Oooh, Ka-Kamiye, hummm… Pe-Petit rebelle, co-… Comment oses-tu me frapper… Hmmm… Moi qui sa ta Maîtresse ?! »
Elle voulait qu’il se sente excité par ça, par l’idée de franchir les barrières. Comme quand un enfant avait le droit de dire des jurons et qu’il ressentait un plaisir indicible à le faire. C’était dans la nature de l’Homme ; dès qu’une règle était mise, on aimait la transgresser, pour le simple plaisir de le faire, pour se convaincre qu’on était une personne capable de faire ses propres choix. Kamiye était en train de découvrir ça, et chaque fessée sur la croupe de Mélinda était comme un élan supplémentaire. Cela pouvait sembler paradoxal, mais Mélinda aimait l’idée que ses esclaves se sentent libres. C’est ce qu’elle avait dit à Kamiye, après tout : elle voulait des personnes qui acceptent librement de lui obéir.
Mélinda gémit encore, se tortillant sur place, et l’entendit dire qu’il allait jouir. Elle releva la tête, crispant ses doigts sur le lit, et la hocha de haut en bas.
« O-Oui, Ka-Kamiye, viens… Jouissons ensemble, jouis en moi ! »
Elle aussi approchait de l’orgasme. Chacune des fessées de Kamiye l’avait fait gémir et se cambrer sur place, ce qui fit qu’elle approchait maintenant, elle aussi, du point de rupture…