The Multiversity

La suite avait été d'un divertissement sans faille. Le sexe intensif était la vie de Theorem... Oh, certain que s'il demandait à partir quelques semaines hors de Mijak pour une mission ou une Raadmaw, il aurait le droit, mais le sexe lui manquerait rapidement ! Sans était au point où, le dimanche, il ne suçait pas des fois d'illustres inconnus juste pour être contenté. Finalement, alors que les deux clients partirent pour laisser la maîtresse vampire seule, Theorem savait que la suite allait venir... Le corps prit de crampes de la goule redemandait plus de sexe. Finalement, Melinda fit reculer son visage recouvert de latex au profit d'autre chose. Quand le gland se glissa hors de sa bouche maintenue ouverte, le pauvre se sentit vide aussitôt. Il en voulait encore ! Sa langue s'étira en vain... Finalement, on le fit détacher hors du bureau pour qu'il respire un peu. Se redressant difficilement, il sentit Melinda plus dure que jamais se coller contre son dos.

« Venez vous détendre un peu... »

C'était sa maîtresse qui invitait quelqu'un à du sexe... Soudain, il sentit le pénis pousser contre sa rondelle et envahir son intérieur. Son anus n'était plus aussi innervé qu'avant, ou alors le sexe était un peu moins bon... Bref, la sodomie lui faisait du bien mais une fellation était bien meilleure. Il pouvait toujours en jouir cependant et c'est pourquoi il resta un moment debout contre Melinda, le corps un peu fléchit et les cuisses serrées, à se faire sodomiser par elle. En tenue, Theorem ne portait qu'une nuisette en latex, ouverte devant et uniquement attachée entre les deux tétons par un ample ruban vert. Ses deux jambes et ses bras étaient encore recouverts et alors qu'il se faisait sodomiser bien fort, sa queue d'Haiena s'appuya sur les hanches de Melinda, comme s'il l'enserrait. La bouche encore ouverte, il tira un peu la langue. La belle secrétaire n'aurait ainsi pas de mal à offrir sa chatte. Quand elle se mit assise sur le bureau, en prenant juste la laisse de Theo et en la tirant, la goule fléchit alors son dos pour que sa tête se glisse entre les cuisses de sa secrétaire. Sa langue entra dans sa chatte offerte et le jeune Inu couina comme un fou, léchant ce corps ainsi offert.

"Hmmm... Hmmm... Enco'e...."

Un peu de repos pendant l’effort, un peu de plaisir, ce n’était pas trop demandé, surtout pour Mélinda. Les entretiens avec les clients étaient importants, mais lassants, très répétitifs. Et Theorem... Et bien, Theorem était beaucoup plus passionnée que Liana, ce qui, en soi, était normal. Elle avait été formée pour être ainsi, modifiée, génétiquement parlant, pour être une suceuse, pour ressentir du plaisir sexuel par la bouche et par les fesses. Mélinda en avait fait un monstre de foire, une espèce de créature sexuelle hors normes Il était assoiffé, en manque de sexe, même après avoir goûté à son membre pendant une bonne heure. C’était pour elle une drogue, une obsession, sa raison de vivre. Une prostituée parfaite, qui avait besoin du sexe, non seulement pour son plaisir, mais aussi pour vivre. On était bien loin du chevalier inu servant sous les ordres d’Hunder. La petite goule fléchissait de plaisir sous les coups de butoir de Mélinda.

« Hum... N’est-elle pas délicieuse, cette... Cette petite pute ?
-  O-Oui, Maî… Maîtresse, hum… »

La secrétaire était, comme Theorem, une esclave, mais qui avait manifesté des talents intellectuels suffisants pour que Mélinda se décidé à en faire sa secrétaire. Ses activités sexuelles étaient ainsi assez réduites, à son grand déplaisir, mais elle n’aurait jamais osé se plaindre. Au moins, elle avait l’occasion de voir continuellement sa Maîtresse, et, parfois, cette dernière était suffisamment généreuse pour lui offrir de petits cadeaux, comme en ce moment. Assise sur le bureau, la secrétaire tenait avec une main la tête de Theorem, ce dernier lui léchant son intimité avec passion. Elle en gémissait de plaisir, cette petite coquine, et elle faisait sourire Mélinda. Ce spectacle était magnifique !

Mélinda donnait des coups de butoir sur le cul de Theorem, se perdant en elle. La vampire savait que les préférences sexuelles de sa petite goule étaient plus buccales qu’anales, mais, pour Mélinda, c’était le contraire. Elle adorait les sodomies, sans pouvoir vraiment se l’expliquer, et ce surtout quand elle avait affaire à un aussi joli beau cul que celui qui se tenait sous elle. La secrétaire se mit à pousser de longs soupirs entrecoupés de quelques cris hystériques, et eut son premier orgasme, remplissant les lèvres de Theorem. Figés comme deux statues de cire, les gardes les regardaient en se raclant lentement la gorge. Le corps de Theorem rebondissant entre les fines et gracieuses jambes de la secrétaire, sous les impulsions de Mélinda, qui enfonçaient ses griffes dans sa belle peau douce et propre.

Quel régal !

Theorem fut utilisé de nombreuses fois pendant la journée par Melinda et son esclave secrétaire. Bien entendu, le jeune Haiena émasculé travaillait bien, si bien que sa maîtresse n'arrêtait pas de vanter les mérites de Theorem. Ce fait donnait alors à la goule un certain avantage sur beaucoup d'esclaves. Les privilèges qu'il obtint furent notamment des jours de congés et principalement des moment de calme et de détente. Ces moments furent mit à profit car Theo se mit au yoga, au zen. Ce travail sur lui-même permit de canaliser son hyper activité et surtout... Le calme et le repos ramena son activité cérébrale correctement.

Le jeune Haiena meublait ses temps de repos entre danse orientale, yoga, art martiaux et méditations qui fit de lui quelqu'un de plus redoutable encore. Se mêlant à ses capacités déjà hors normes, son génie s'ajouta à l'équation. Il n'était pas rare de voir Theorem le samedi soir au crépuscule, après sa douche et la fin de son service, faire des kata jusqu'aux premières lueurs de lucioles la nuit. Ce qui avait semblé ridicule au début se transforma en véritable don. L'Haiena alla le dimanche matin chez le ferrailleur de Mijak. Il marchanda de nombreuses pièces, ayant une idée bien précise.

"Hmmm... Je vous prend ceci, ainsi qu'une plaque d'acier UNI 7070. Celle-ci fait parfaitement l'affaire !"

"Pfff... Ya rien à r'tirer d'cette camelote... C'est c'qu'on ramasse sur les champs d'batailles... Que de la merde."

"Oui et bien c'est de la merde utile ! Je prend aussi ces goupilles et cette boîte de boulons. Il me faut une clé à molette..."

"Hola hola ma belle... C'est qu'ça commence à coûter cher !"

Theorem ne fit que se retourner avant de baisser calmement le pantalon du beau ferrailleur bien musclé. Savait-il que la personne qui le faisait bander aussi dur n'était déjà pas une vrais fille et qu'en plus elle avait un QI supérieur à celui de ses plateaux repas ? Ce n'est pas grave. Il fit la découverte de la douce et chaude bouche de Theorem qui paya ses immondices ainsi. La bouche encore pleine de semences, il partit avec ses affaires dans un sac. Il se nettoya la bouche avant de rentrer au dortoir.

"Coucou les filles !"

"Oulala, il nous ramène quoi le trav ?"
"Tu as fait les ordures, Theo ? Si t'es un peu en manque d'argent faut le dire..."
"On dirait la hotte du père noël."
"Ya quoi ya quoi ?"

Le jeune Haiena versa le contenu de son sac devant lui, se mettant en tailleur. Les filles regardèrent un peu par dessus son épaule alors que Theorem étalait les pièces de métal autour de lui et ses quelques outils. Une lime, une scie, un marteau, une clé à molette... Les filles parièrent secrètement. C'était soit un gode, soit une machine sexuelle, soit une moto. Il y avait de tout en supposition ! Theorem ne disait rien, limant, sciant... Les pièces plus ou moins complexe s'assemblèrent lentement avant que l'après-midi ne commence. Les filles curieuses étaient déjà moins nombreuses à regarder Theorem et son travail. Ca prenait forme et soudain, on entendit un clic final. Sortant un pinceau de rafistolage en peinture olive.

"La touche finale... Voila !"

Il se redressa victorieux avant de brandir son arme. Les filles le regardèrent avec une étrange impression. Ce que Theorem avait construit à partir de cette tôle pourrie, de ces boulons crado, de cette épée abandonnée et de ces munitions éparpillées... Un fusil-épée ! La plupart ne comprirent pas trop mais Theorem sortit calmement dans la cour du harem, fixant les chargeurs à son arme avant de regarder les gardes qui s'étaient approchés de lui. Ils devaient pensé qu'il avait des idées malsaines en tête.


"Ah ! Vous ! Vous pouvez pousser ce gros tronc là ? Oui ce gros tronc ! Et bien, ne soyez pas plantés là ! Ah, un courageux, bien, merci... Parfait, reculez maintenant. Un peu plus... aller, encore, je ne veux pas vous arracher un bras. Parfait ! Plus personne ne bouge."

Il arma son arme, ce qui rendit les soldats nerveux.

"Tir d'essai en cour !"

Le vacarme qui suivit fut le terrible calibre 44 qui tira une rafale défonçant le tronc. Tournant la molette de réglage, les deux chargeurs latéraux délivrèrent deux cartouches qui finirent d'exploser le tronc. L'arme de guerre nouvellement créée attira énormément de monde autour de Theorem. Bien entendu, pas de quoi s'alarmer. Theorem avait tiré surs un tronc, loin de tout bâtiment et surtout il n'avait pas attenté à la vie des gardes qui... avaient regardé la scène avec curiosité, un peu de nervosité mais surtout de l'admiration. Quelques applaudirent. Les filles sortie s'étaient bouchés les oreilles.

"Yeah ! Olivette, je t'aime !"

Un garde curieux s'approcha.

"Wah, C'est une mitrailleuse épée calibre 44 ?"

"Hihihihihi oui !"

"Avec un double chargeur camembert à chevrotine."

"Hihihihi, oh oui !"

"Je peux la tenir."

"Hihihihihi. Non."

"... Bon ok."

Dans la vie de Theorem, on pouvait dire que le sexe était le tronc commun sur lequel son existence toute entière reposait. Au fur et à mesure que son corps continuait à être utilisé, que ce soit par Mélinda, les clients, ou d’autres filles, il développait d’autres aspirations, et Mélinda le laissait faire. Elle le surveillait de loin, s’occupant des activités de son harem, ou de sa vie personnelle, toujours très complète. A Seikusu, l’été battait son plein, et Mélinda suivait de près la formation de Clara au palais impérial, où elle apprenait à contrôler des démons, en ayant comme mentor Kaileesha. Des journées très épuisantes pour la pauvre Clara, mais non moins passionnantes, d’autant plus qu’elle avait la possibilité, au manoir, de retrouver sa famille natale. Mélinda était sincèrement heureuse pour elle. Ça faisait un problème de moins sur sa longue liste.

Plusieurs des filles l’avertirent que Theorem fabriquait un objet. Ce dernier s’était débrouillé pour acheter un assemblage de bric et de broc, et s’en servait actuellement pour faire... Un truc. Un gode géant, supposait l’esclave. Mélinda était alors en train de caresser l’une de ses nekos, et fronça les sourcils. La Princesse de Sylvandell devait venir dans les prochains jours, ce n’était pas le moment que l’une de ses protégées se mette à faire n’importe quoi. Il fallait que tout soit nickel pour l’arrivée de la Princesse. Elle était une fournisseuse importante, et une bonne cliente... Ainsi qu’une amie. Ceci faisait trois raisons de veiller à ce que l’accueil de la belle blonde se fasse dans les meilleures conditions possibles.

« J’imagine qu’il va falloir que j’aille voir ce qui se passe... »

A cette idée, la neko leva la tête, et rougit furieusement. Son petit corps avait besoin d’un long câlin, et elle n’avait pas encore fini de se détendre. Elle enfonçait tendrement ses griffes contre le cuir du fauteuil, sa queue remuant de gauche à droite, et elle frottait parfois sa tête contre les cuisses de sa Maîtresse. Cette dernière souleva donc la neko, une petite créature, et la glissa dans les bras de l’esclave, qui fut toute heureuse d’avoir à s’occuper d’une si petite et tendre créature.

Mélinda se rendit donc vers la chambre commune quand elle entendit une série de coups de feu près des fenêtres. Sursautant, elle regarda par la fenêtre, et vit l’un des arbres du jardin en piteux état. Depuis sa position, elle ne vit pas ce qui se passait, mais des coups de feu dans son harem la dérangeaient. Elle ouvrit la fenêtre, se pencha sur la balustrade. Elle était à cinq ou six mètres du sol, un saut pas trop dangereux pour un vampire. La maîtresse se laissa donc tomber sur le sol, et atterrit dans l’herbe, au milieu d’un attroupement.

« Elle est trop belle ! entendit-elle.
-  Elle fait un bruit infernal ! »

La vampire s’approcha, vit l’état misérable du tronc d’arbre, et grinça des dents. Qui avait osé massacrer son joli tronc d’arbre ? Faire pousser des arbres dans ce désert aride était un exploit ! Elle s’avança un peu, et vit quel était le centre d’attention. Theorem... Avec une espèce d’énorme fusil d’assaut. Les yeux de Mélinda s’écarquillèrent de stupeur, et elle cligna des yeux, surprise. Une arme ? Une arme ! Il avait fait une arme ! Elle en était sidérée, et l’un des gardes s’approcha d’elle, lui expliquant brièvement de quoi il s’agissait. Elle l’écouta d’une oreille distraite. Une « mitrailleuse à calibre .44 avec une longue lame ». Mélinda n’était pas spécialiste en armement, et l’écouta& donc parler, avant de lentement s’approcher, se faufilant dans le cercle.

En la voyant, les conversations s’affaiblirent sensiblement, et Mélinda se plaça devant Theorem. Elle tendit une main vers « Olivetteé, son arme, et la soupesa, sans rien dire. Ses yeux, qui fixaient avec intensité Theorem, se portèrent ensuite sur l’arme. L’arme n’était pas très lourde... Du moins, bien moins lourde qu’une arme habituelle. D’après le garde, elle n’était pas parfaite, et nécessitait quelques modifications pour fonctionner dans la durée, car Theorem avait utilisé du matériel de recyclage, et l’arme, sur le long terme, pouvait se détériorer. Mais le résultat était bluffant.

« Très bien... Tu peux la conserver, Theorem... »

Elle lui rendit l’arme, sans crainte. Slotwenna l’en avait assuré ; il était impossible qu’une goule se rebelle contre sa maîtresse. Le serment taillé dans son corps l’empêchait formellement de s’attaquer à sa maîtresse. Mélinda lui fit un sourire, et l’embrassa sur les lèvres.

« C’est une belle arme, Theorem... Mais ce n’est pas une raison pour dégommer mes arbres… »

Il y eut quelques rires discrets, et elle embrassa à nouveau sa goule, puis se recula de quelques pas, en croisant les bras.

« La prochaine fois que tu voudras te servier d’Olivette, dis-le moi. Je te conduirais au stand de tir du Palais, ou dans le désert. »

Ce serait en effet bien plus approprié que dans un jardin ! Elle le regarda alors, avant de poser une simple question :

« Comment tu as fait pour faire cette arme ?! »

La foule autour de lui se dispersa à peine quand Melinda arriva. Les discussions s'amenuisèrent sans pour autant stopper. Après tout, la création d'Olivette avait été plus que curieuse. Le niveau technologique de Mijak frisant les arcs et les flèches, bien qu’embuées de magie, rendait la mitrailleuse plus que précieuse pour certains scientifiques de cette ville. Mais même la vampire qui avait été sur Terre et qui avait vu l'étendu de ce que l'homme pouvait faire, savoir qu'un travestit drogué au sang de succube pouvait réaliser pareille construction avait de quoi attirer sa curiosité. La vampire le laissa embarquer cette arme avant de lui poser la question de comment il avait fait.

"Et bien, ça n'a pas été facile. J'ai d'abord conçus l'arme en faisant des plans sur papier. Ca n'a pas été simple, mais au final, ça m'a semblé réalisable. J'ai récupéré des matériaux au ferrailleur. Certains ne savent pas ce qu'ils jètent... Mais au final, j'ai récupéré de quoi faire mon arme et ça m'a prit huit heures pour l'assembler et usiner les quelques pièces de métal. Un peu de soudure et c'était bon."

Le poste à soudure avait été dur à trouver... Il avait dût s'arranger avec le forgeron pour avoir sa forge quelques minutes et réaliser ses points de soudure. Le savoir faire de Theorem était inné cependant. Dans son pays d'origine, ce genre d'arme étaient propre à la cavalerie lourde. Ils avaient beau avoir l'air de sauvageons, ils avaient été des leader en robotique. Olivette n'était pas terminée cependant, il lui fallait plus de ressources pour terminer complètement cette arme.

"J'ai projet de perfectionner l'arme. Ca me prendra un peu de temps et des éléments spécifiques à la magie. Je sais que j'ai pas spécialement le droit de véhiculer en dehors de la ville mais..."

Il posa l'arme sur son épaule, souriant.

"Imaginer que je devienne votre garde du corps plus tard..."

Theorem s’expliqua donc, indiquant avoir conçu l’arme tout seul, en s’aidant de pièces obtenues au ferrailleur... Mélinda tiqua à l’idée d’imaginer l’une de ses filles s’approcher de la grande décharge de Mijak. On trouvait dans ce quartier les quincailleries, et le service administratif s’occupant de la décharge revendait parfois du matériel usagé. Theorem avait du s’adresser à ce personnel pour obtenir les différentes pièces qui lui avaient permis de confectionner... Olivette. Mélinda hocha pensivement la tête, comprenant que, dans une certaine mesure, Theorem devait s’apparenter à une espèce de génie pour avoir réussi à concevoir une arme comme ça, sans aucune instruction préalable, ou aucun plan. Oui, c’était très impressionnant, et la vampire était, à juste titre, bluffée. Theorem avoua ensuite que son arme n’était pas parfaite, mais qu’il avait besoin d’éléments plus sophistiqués que ceux trouvés dans une décharge à ciel ouvert. Ceci impliquait visiblement le droit de quitter le périmètre de la ville, et Mélinda hocha la tête.

« Mon garde du corps, hum ? »

Entre Bran, Limma, et tant d’autres, Mélinda croulait sous les gardes du corps. Elle se rapprocha de Theorem, et tendit ses mains, caressant les délicieuses joues de sa protégée, sans se soucier qu’on l’observe. Bien au contraire, même. Elle embrassa Theorem sur les lèvres, lentement et tendrement, leurs lèvres se collant pendant quelques secondes, avant que Mélinda ne libère la bouche de sa goule.

« Tu es définitivement une femme pleine de ressources. »

Outre être une excellente suceuse, Theorem était aussi, ce qui n’était pas rien, l’amante d’Akira, sa fille, et maintenant, propriétaire d’une arme de combat visiblement puissante. C’était un CV assez honorable, qui ne cessait de faire évoluer la valeur de la goule. Mélinda hocha à nouveau la tête, s’humectant les lèvres. Il n’y avait aucune chance que Theorem puisse s’échapper ; son serment le liait à travers les sphères du temps et de l’espace. C’était un serment divin, et le seul moyen de le renier était de trouver un contrepouvoir divin, ce qui n’était pas donné, et était, pour Slotwenna, virtuellement impossible. Les serments étaient sacrés pour la plupart des Dieux, et celui qui liait Theorem à Mélinda était puissant. En d’autres termes, cette dernière pouvait le laisser vagabonder hors de la capitale sans qu’il ne tente de s’enfuir. Si Theorem reniait son serment, il risquait de devenir une véritable goule, soit un monstre qui se réfugiait dans les cryptes, les cimetières, et les charniers, dévorant des cadavres.

« Très bien, Theorem. Je vais t’autoriser à sortir de la ville, à prendre de longues permissions pour perfectionner ton arme, mais ce ne sera pas pour moi. Si tu le feras, ce sera pour veiller sur Akira. »

C’était dit. Pour Mélinda, la protection d’Akira était centrale, fondamentale. Elle tenait à sa fille comme à la prunelle de ses yeux, mais cette dernière n’aimait pas avoir sa mère sur le dos. Et, pour Mélinda, Akira avait besoin de protection. Elle était sa mère, après tout, et une mère surprotectrice comme Mélinda s’en faisait toujours pour sa fille. Theorem était l’une des rares filles à pouvoir partager intimement la vie d’Akira.

« Je vais t’aider à améliorer ton arme, Theorem. Si tu as besoin d’outils magiques pour l’améliorer, je pense que le mieux sera d’aller voir Slotwenna chez elle. »

La magicienne vivait dans un palais éloigné d’ici, mais Mélinda pouvait rapidement y aller grâce à un parchemin de téléportation que Slotwenna lui avait remis. Elle vivait au milieu de l’océan, sur une très belle île, avec des nymphes, et des servantes. C’était un petit coin de paradis. Et Slotwenna était la meilleure connaissance de Mélinda qui soit à même d’aider Theorem à perfectionner Olivette.

« Ce sera le mieux... Et puis, je pense que tu aimeras son logement. »

Elle en était même sûre.

Après ce passage créatif, Theorem fut satisfait de pouvoir conserver son arme. Olivette fut soigneusement rangée dans un placard que possédait l'Haiena. C'était rare que des esclaves ait leurs affaires, mais avec son matériel de méditation et autre, ainsi que sa garde robe personnalisée, il fallait de la place. La goule était contente de faire la fierté de sa maîtresse. Il aurait le temps de réfléchir à revoir la magicienne et autres améliorations à apporter à son fusil plus tard. Pour le moment, le harem n'arrêtait pas ses services. Le bordel devait continuer à prospérer ! C'est dans cette idée que Theorem s'habilla pour sa soirée. Mettant un qipao sexy très très court et une culotte en dentelle, avec des bas et des gants en soie blanches, il se coiffa avec deux bonnets de cheveux et termina d'embellir la tenu avec quelques excédents de rubans.

C'est quelques minutes plus tard que Theorem se retrouva tenu par les poignets, debout, le haut du corps un peu fléchis, à se faire sauvagement sodomisé par un homme un peu bedonnant. Les bras maintenus un peu en arrière mais droits, cela permettait au client de tenir Theorem en place pendant qu'il pilonnait son arrière train. Il avait une vue parfaite sur les fesses de Theorem dépassant des bords du qipao, sa petite queue poilue et douce en émergeant, son sexe long et dur entrant et sortant entre ses petites fesses, rougies par l'effort de se prendre encore et encore le bassin de cet homme, tel une fessée. Theorem couinait fortement avant de sentir une main se poser derrière sa nuque. Une belle futanari en corset de cuir tira sur l'arrière de sa tête en prenant sa queue de cheval. La goule salope ne résista pas et avala ce gros sexe en gémissant. S'appuyant de ses deux mains sur l'arrière de la tête de Theo, il couina d'étouffement. Le gland de la futa pressa sur son clitoris au fond de sa gorge, faisant gémir de plaisir Theorem qui saliva comme une bête affamée.

"Elle est trop bonne cette belle salope..."

La belle eut tôt fait de dédoubler son sexe, puis de le dédoubler encore, avec sa magie. Libéré de l'étreinte de l'homme bedonnant qui relâcha ses poignets pour tenir les hanches de la goule et lui administrer la fessée, Theorem suça de plus belle, masturbant les deux autres pénis, passant d'un sexe à un autre. Cette magicienne venait quelques fois et ne demandait que Theorem... Son esclave humain avait le droit de le prendre en anal, mais la fellation ne lui était pas autorisé... La magicienne ajusta son grand chapeau, un peu cliché de la sorcière, avant de presser plus fort.

"Suce les autres, allez !"

Olivette fut rangée, et Mélinda décida de remettre ça à plus tard. Il lui fallait obtenir un rendez-vous avec Slotwenna pour une consultation magique, ce qui, mine de rien, n’était pas simple. Entre son emploi du temps comme professeur, ses activités de conseillère magique auprès des conseillers impériaux, ses élèves, ses formations privées, ses recherches théoriques, et ses voyages, Slotwenna était très occupée. De plus, Olivette pouvait attendre, aussi Mélinda commença-t-elle par demander à sa belle secrétaire de lui trouver un rendez-vous auprès d’un expert en armement mijakien, afin qu’il expertise l’arme, de manière à simplifier le boulot de Slotwenna. Mélinda retourna ensuite à ses nombreuses activités au sein du harem.

Parmi les nombreux clients qui se succédèrent, vint un beau soir une élégante sorcière, qui avait décidé de fêter l’obtention de son récent diplôme dans une académie magique. Ce diplôme la confirmait en tant que magicienne réputée, et elle avait décidé de célébrer ce diplôme sur toute une semaine, et venait maintenant au harem de Mélinda. Cette sorcière s’appelait Sabrina, et était une belle blonde dont le chapeau de sorcière semblait la ranger dans une catégorie ancestrale de femmes. Il y avait bien longtemps que les sorcières ne portaient plus ce genre de chapeau pointu, qui relevaient du folklore, mais Sabrina avait choisi de le garder, depuis qu’une de ses nombreuses amantes de l’académie lui avait dit que c’était sexy sur sa belle tête. L’académie magique était un lieu de tous les excès, lieu de rigueur excessive, presque compulsive, la magie exigeant du sérieux et du travail acharné, mais aussi lieu de débauche par excellence, où formatrices et élèves s’adonnaient avec joie à de magnifiques orgies magiques. Un vieux dicton affirmait ainsi qu’une magicienne vierge était forcément mauvaise, et, dans le langage courant, dire d’une magicienne qu’elle était vierge revenait à dire qu’elle était incompétente. Sabrina était rentrée à l’académie, petite fille timide, vierge, envoyée ici par sa famille. Elle en était ressortie complètement dépucelée, de la tête aux pieds, avec une assurance qui ferait probablement d’elle une grande sorcière. Elle espérait maintenant devenir professeur, et devrait commencer par faire ses preuves, puis voulait siéger au Conseil des Magiciens... C’était le rêve de toutes les magiciennes apprenties que de vouloir siéger au Conseil.

Elle avait pour l’heure laissé ses ambitions de côté, et laissait sa perversion s’exprimer dans ce harem. Elle était venue avec l’un des bûcherons de l’académie. L’académie avait à son service un véritable domaine comprenant des fermiers, des bûcherons, des pêcheurs, des maçons, et d’autres paysans qui ne se plaignaient jamais d’être dirigés par des magiciennes. Il était fréquent que les magiciennes viennent les ensorceler pour leur faire l’amour, leur offrant en retour des potions accroissant sensiblement leurs libidos. Ce brave bûcheron avait été « kidnappé » par Sabrina pour l’accompagner. Elle le ramènerait à sa famille après s’être amusée avec lui. Il n’était pas particulièrement beau. A vrai dire, il était relativement laid. Il avait un ventre énorme, une barbe affreuse, mais il était impressionnant, et avait surtout une belle queue. Sabrina ne l’avait pas utilisé sur elle, mis s’en servait comme d’une espèce d’animal de compagnie. Elle faisait l’amour avec des incubes en les invoquant, et se délectait de le voir, impuissant, observer la scène.

Sa cible du moment était une espèce de curieuse goule modifiée, qui n’avait pas de vagin, mais une bouche sensible, et qui suçait avec avidité. Sabrina avait commencé par faire plaisir au brave bûcheron, et ce dernier offrait à la salope une sodomie mémorable. La sorcière avait patiemment attendu, jusqu’à ce que le bûcheron se vide dans le cul de la pute, puis elle avait fait sortir son sexe, un superbe pénis.

« Viens me sucer, ma chérie ! »

La chérie obtempéra, et Sabrina frémit devant cette fellation merveilleuse. La goule n’hésitait pas à faire de longues gorges profondes, et devait sûrement adorer la verge magique de Sabrina, qui était propre, tendre, et délicieuse. Se faire pousser une verge faisait partie des quelques indispensables sorts de magie rose que les élèves apprenaient à l’académie magique... Comme celui de déclencher un orgasme, ou manipuler les hormones des hommes. Des sorts indispensables si on voulait devenir une magicienne confirmée, et qui donnaient constamment lieu à des affrontements entre professeurs et élèves, chacun cherchant à corrompre l’autre camp en plein cours.

Sabrina se fit pousser d’autres queues, qui poussèrent de ses testicules. Il y en eut d’abord deux, côte à côté, puis une troisième qui pointa entre les deux, formant une espèce de bouquet surnaturel, et ordonna à Theorem de sucer chacune des queues. Le bûcheron, de son côté, giflait les fesses de Theorem, et Sabrina continua à caresser Theorem, plaquant profondément sa bouche contre une queue, les autres remuant toutes seules sur ses joues, glissant dessus. Les beaux ongles de Sabrina étaient devenues de longues griffes, qu’elle promenait sur sa nuque, sans faire couler son sang. Elle jouait tout simplement avec lui, vicieuse jusqu’au bout des ongles.

« Suce mieux que ça, salope ! Ne te relâche pas !! Haaa... »

Le bûcheron donnait de grands coups, et Sabrina lui ordonna d’aller prendre un fouet. Servile, le bûcheron obtempéra, et abattit le fouet sur le cul de Theorem. Le claquement du cuir faisait frémir Sabrina, et trois de ses nombreuses verges jouirent en même temps, éclaboussant le visage de Theorem. Le sperme se mit à dégouliner de ses joues, et le fouet le heurta au dos. Sabrina continuait à le maintenir contre son bassin, le faisant bouger, queue après queue.  La belle blonde se régalait.

Le jeune Haiena en avait à sucer avec elle ! Trois queues sur la même futanari. C'était une sacrée magicienne pour faire ça. Chaque pénis entraient profondément, cognant le clitoris qui avait poussé au fond de sa gorge. Les glands étaient doux et agréables, s'enfonçant avec violence sur les impulsions de la magicienne. Alors qu'il masturbait deux autres queues en suçant la dernière, il sentit bien vite les coups de fouets sur son derrière. Ses fesses étaient toutes rouges et il continuait de sucer ses mandrins. C'est sans surprises que finalement, un jet blanc s'expulsa dans sa gorge, inondant sa gorge. Deux autres jets recouvrirent ses joues et une partie de ses cheveux. Il suça encore ces verges, avalant son sperme. Il y en avait pas mal, et c'était un régal ! Tout en suçant, il sentit le bûcheron perdre patience et sortit sa queue pour baiser encore ce petit cul serré.

"Han ! Hmmm..."

Theorem calma ses gémissements en suçant la sorcière. La goule gémissait, sentant cette grosse queue entrer en lui profondément. Cet homme était tout simplement dégueux. Il sentait la sueur, avait du bide et en plus de ça, il le baisait assez mal, de façon saccadé. L'Haiena émasculé passa sa frustration de ne pouvoir jouir de cette sodomie en suçant la sorcière encore. Elle eut bien vite ses trois verges toutes propres et dressés. Le bûcheron garda le bassin de Theo entre ses mains avant de le pilonner pour le final. Il gémissait de plus en plus sous les couinements de Theorem avant d'éjaculer dans son cul. Son anus débordant de semence fut libéré de ce sexe maintenant mou, l'humain retombant sur le côté, épuisé. La sorcière devait s'être régalé de la vue.

"Hmmm... Vous avez aimé ça, maîtresse ?..."

Tandis que chacune des queues magiques de Sabrina goûtait aux lèvres de la pute, le brave bûcheron opta pour une sodomie. Elle ne dit rien, mais un sourire amusé éclaira le visage de la redoutable magicienne. Visiblement, le bûcheron était excité, et elle pouvait le comprendre. Cette petite pute était tout simplement fascinante ! La manière dont elle s’occupait des différents sexes de Sabrina, cette passion, cette dévotion, étaient délicieuses. Sabrina se régalait, au sens littéral du terme, et laissa la jeune prostituée goûter à ses différentes quelques pendant encore quelques instants, alors que le bûcheron donnait des coups de reins sur les fesses de la femme. La fatigue se fit toutefois sentir, et le brave bûcheron, après avoir éjaculé, s’assit lourdement sur le fauteuil, son visage rubicond et barbu exprimant sa fatigue. Sabrina eut un léger sourire, et, d’un sort magique, rétracta ses sexes, les faisant disparaître.

« J’ai... J’ai apprécié, oui, petite pute... »

La magicienne s’avança un peu, ses talons faisant claquer le sol. Elle s’approcha du bûcheron, et sortit sa baguette magique. En soi, une baguette n’était pas nécessaire pour réaliser un sort, mais elles permettaient parfois d’amplifier certains sorts complexes. Sabrina avait une idée derrière la tête, et expliqua à la petite pute ce qu’elle allait faire :

« Ce simple d’esprit nous sert de cobaye à l’académie... Je peux faire de lui un monstre sexuel capable d’exaucer bien des fantasmes... »

L’eau que le bûcheron buvait habituellement était assez spéciale, et avait influé sur son code génétique, permettant, tout simplement, de le transformer. Il fallait pour cela connaître quelques sorts complexes, mais, fort heureusement, ces sorts étaient maîtrisés par la femme. Un rayon violet jaillit, et frappa de plein fouet le bûcheron, qui ne tarda pas à se transformer. La transformation était temporaire, et Sabrina eut un léger sourire. Ses muscles grossirent, sa peau devint lisse et noirâtre, et de longs tentacules jaillirent de son corps, fouettant l’air. Le bûcheron, déjà moche en temps normal, était maintenant d’une laideur épouvantable, et Sabrina se mordilla les lèvres devant ce spectacle.

« Il est temps de nous amuser... »

La sorcière Sabrina était vraiment une bombe sexuelle. Ses seins dépassant de son corset, ses bottes de cuir remontant plus haut que ses cuisses, ses mitaines et enfin ce grand chapeau plongeant la moitié supérieur de son visage dans le noir avait de quoi la rendre magnifique. Elle félicita à demi-mots la goule pour ses services mais elle désirait encore s'amuser. Usant d'un sort très complexe de transformation physique, elle transforma sans mal le bûcheron en quelque chose de plus... exotique. Il aurait été une pieuvre, ou un monstre, ça aurait été la même chose. Son gabarit n'avait plus rien d'humain et cette abomination aurait eut de nombreux noms dans cette vie. Allait-il rester ainsi ? Impossible de le savoir. Doucement, il caressa un tentacule passant à sa portée. C'était noir, un peu brillant, comme si sa peau était devenu un latex.

"Je dois vraiment ?... M'abandonner à ça ?... J'espère que c'est sans risque..."

Faisant choir le reste de ses vêtements au sol, il s'approcha de la créature noire. Ses tentacules bougeaient dans tout les sens. Il ne savait pas trop quoi faire. Un peu apeuré, il franchit alors le premier pas et entra dans son périmètre d'action. Répondant à cette intrusion dans son champ d'action, la créature empoigna ses membres, le hissant en l'air. Désormais... Son corps était à la merci de cette chose qui n'avait rien d'humain désormais.

"Han ! C'est... tout chaud... J'ai un peu peur..."

Le bûcheron, déjà bien moche en temps normal, ne ressemblait maintenant plus à rien. C’était une espèce de grosse créature noirâtre qui pouvait allonger sa peau, afin de produire de longs tentacules. Bras croisés, la belle Sabrina restait à distance... Pour le moment. Elle comptait profiter des tentacules du bûcheron, mais, avant de cela, la putain allait l’échauffer. Cette dernière semblait assez nerveuse, et Sabrina fronça les sourcils, légèrement mécontente.

« Je dois vraiment ?... M'abandonner à ça ?... J'espère que c'est sans risque...
-  Excuse-moi, je croyais que j’étais dans un harem de luxe... » répliqua Sabrina, acerbe.

La prostituée finit par s’avancer, l’un des tentacules caressant ses joues, et Sabrina décroisa les bras. Les tentacules étaient chauds et accueillants, dans une texture spéciale qui rappelait un peu le latex. La goule entra dans le cercle du bûcheron tentaculaire, qui se mit à agir. Sous cette forme, il était uniquement guidé par ses pulsions sexuelles, et ses tentacules agirent. Plusieurs s’enroulèrent autour des bras et des jambes de Theorem, le soulevant, tandis qu’il envoyait d’autres de ses appendices commencer à se perdre en elle. Il en envoya un vers le vagin de la femme, mais rencontra une peau lisse. Surpris, le monstre déplaça donc son tentacule, et l’enfonça dans les fesses de Theorem, avant de glisser un autre dans sa bouche, et de tendre ses longues mains griffues. Il les posa sur les seins de Theorem, déchirant sa tenue d’un coup sec, avant de les pétrir violemment.

Se rapprochant, Sabrina observa la scène. La goule était suspendue en l’air, et le bûcheron était très excité. Elle eut un sourire de plaisir ; c’était quelque chose de très intéressant. Aucun vagin... Maintenant que la goule était toute nue, elle pouvait mieux voir son corps, mieux l’étudier. Un sourire amusé éclairait ses lèvres. Elle utilisa sa magie, et se dévêtit entièrement, ne voulant pas que le bûcheron abîme ses propres vêtements, et se rapprocha. Un tentacule s’approcha, et glissa sur sa joue. Elle le caressa, et l’embrassa. Les tentacules de son monstre prenaient vaguement la forme de verges, et elle mordilla dedans, sentant la bête tressaillir.

« Tout ce que mon bébé désire est nous baiser comme des vaches... Je ne vois pas en quoi c’est effrayant... »

Bien au contraire, même, pour la sorcière !

Ce qui suivit fut bien indescriptible par la suite. Theorem, remplit de partout par les tentacules noirs de cette bête fut traité comme un sex toy, comme une extension de plaisir. La sorcière participa bien entendu et se fit remplir par sa créature. Theorem, profondément dégoûté par les créatures tentaculaire, le resta. C'était une expérience dégoutante pour lui et pendant très longtemps il se maudissait d'avoir accepté cette cliente qui pourtant avait été très bien membrée au début de la baise. La baise qui suivit fut donc assez intense pour que Theo se retrouve plus tard couché au sol, le corps recouvert de semence et une douleur vague enflammant son popotin. Il avait certainement lâché pendant la baise et ne s'en souvenait pas. Ce genre de choses arrivaient constamment pour les putes faisant les clients les plus choquant. Calmement, il se redressa et alla rapidement dans la salle de bain. Recouvert ainsi, il n'aurait plus de clients de la soirée...

"Hmmm... Le meilleur moment de la journée..."

Une bonne douche avant de retourner voir sa maîtresse Melinda. Il se nettoya totalement le corps avant de mettre une tenue de soubrette en latex. Theorem enfila les longs gants blancs et les bas noir qui allaient avec cette tenue, mettant même le petit serre-tête. Il se rappelait de cette tenue... Il la portait la première fois qu'on l'avait installé sur la table du sous-sol et qu'on avait transformé la chair de sa bouche en muqueuse vaginale érogène. Maintenant qu'il remettait cette tenue, il ne put s'empêcher de soulever sa robe, sans voir une trace même infime de son double pénis. C'était finit. Il passa doucement sa main dessus, constatant à quel point c'était plat. Le frottement lui causa même un frisson de plaisir... Mais il relâcha sa robe et alla vers le bureau de Melinda. Il passa par le couloir principal où de filles étaient attachées et forcée de faire des fellations aux clients. Il se remémorait que son travail principal était ici, devenir un suceur... Sa place était momentanément occupée par une nouvelle, les yeux bandées, tremblotante, forcée de sucer encore et encore, un gag ring lui maintenant la bouche ouverte. Theorem passa devant elle, sachant aussi qu'il reviendrait vite à cet emplacement... Il le désirait !

"Bonsoir Maîtresse. J'ai finit avec la sorcière, j'espère qu'elle était satisfaite. J'ai hâte de recevoir ma nouvelle affectation... Peut être... même... devenir une installation fixe comme suceur ?..."

Il avait dit ça tout haut... encore sur le coup de son fantasme...

« Hum... Humm...
-  Haaan… Nyuuu, hannnn… »

Les deux femmes parlaient peu. Mélinda en était incapable, et la neko qu’elle tenait entre ses bras, assise sur ses genoux, avait bien du mal à articuler devant le plaisir qu’elle ressentait. Ce plaisir était double : il résultait, d’une part, du sexe imposant de sa Maîtresse, enfoncé dans son vagin, et, d’autre part, des crocs pointus de Mélinda enfoncées dans son cou, et qui absorbaient tranquillement son sang. Mizuki, une belle neko qui arrivait tout droit d'Uatis, adorait ces moments, comme le témoignait les ronronnements intenses qu’elle faisait. L’une des mains de sa Maîtresse caressait le bas de son dos, dans un emplacement doux, chaud, et confortable, faisant frémir la brave neko. Ses petites griffes étaient sorties, s’enfonçant délicatement dans la peau de sa Maîtresse, mais sans que cette dernière n’en soit offusquée. Elle remuait lentement son bassin, empalée sur le sexe de Mélinda, écrasée contre elle, soupirant. Elle était en chaleur, et sa cyprine se répandait le long du membre de sa Maîtresse, qui était, pour l’occasion, en sous-vêtements.

Mélinda avait eu une petite soif ce soir, et avait donc été chercher l’une de ses nekos. Liana étant en service, elle s’était reportée sur Mizuki. Elle était originaire d'Uatis, et avait la particularité d’avoir été créée dans les laboratoires. Mizuki était un clone que les laboratoires avaient revendu sur le marché, une pratique de plus en plus courante chez les Uatéennes. Elle était une vraie réussite, son sang était pur et délicieux. Les canines de Mélinda avaient percé deux petits trous, et elle absorbait lentement son sang, s’écrasant sur elle, dominatrice et puissante.

Mizuki continuait à ronronner, et Mélinda s’avança encore un peu sur elle, l’envoyant heurter le rebord de son bureau. La queue de la neko s’enroulait autour de sa taille. Le sang avait, chez Mélinda, de drôles d’effets. Il renforçait sa libido et son appétit sexuel. Elle adorait donc ça : faire l’amour, pénétrer une femme, tout en buvant du sang. Mélinda sentait e sang jaillir dans sa gorge, et glissa sa main du bas du dos de la neko jusqu’à ses fesses, les pressant. Dans un énième miaulement, Miyuki eut alors un orgasme, que Mélinda sentit à travers la manière dont le sang s’excita dans les veines de la femme.

La vampire se reposa alors sur le fauteuil, et libéra la nuque de la neko, tandis que la neko restait avec le sexe de Mélinda dans son vagin.

« Hum... C’était délicieux... »

Elle embrassa la neko sur la nuque, puis sur la joue, et, enfin, sur les lèvres. Un tendre baiser, tout en caressant ses cheveux violets. Elle était tendre avec elle, et Miyuki continuait lentement à ronronner, sentant la fatigue la tenir. Mélinda n’eut qu’une légère poussée à faire pour qu’elle se niche entre ses seins. Elle portait un soutien-gorge noir et un shorty de la même couleur. La main de la vampire gratta tendrement son dos, et elle l’embrassa tendrement sur les cheveux, la laissant dormir, jusqu’à ce qu’on vienne la déranger. Le bureau était plongé dans une relative pénombre, n’étant simplement éclairé que par un candélabre sur un meuble, et le feu de cheminée.

C’était Theorem, et elle le regarda lentement, tandis qu’elle se mit à parler. D’après ses souvenirs, sa goule était occupée avec une sorcière... Il fallait croire que c’était terminé. Mélinda continuait à caresser lentement le dos de Miyuki, glissant parfois vers ses fesses. Son membre était retourné dans son vagin, et elle la caressait sous sa culotte violette.

« Bonsoir Maîtresse. J'ai finit avec la sorcière, j'espère qu'elle était satisfaite. J'ai hâte de recevoir ma nouvelle affectation... Peut être... même... devenir une installation fixe comme suceur ?... »

Elle hocha lentement la tête en l’entendant parler, et remua les lèvres, sceptique.

« Une installation fixe ? demanda-t-elle silencieusement, fronçant les sourcils. Je ne crois pas que ma fille apprécierait beaucoup de savoir que son cher amant est devenu un... Un objet sexuel vivant. Elle me reproche déjà assez comme ça de devoir te prostituer... Et, outre ce détail, pourquoi donc voudrais-tu que je fasse de toi... Une espèce d’urinoir vivant ? »

Theorem allait répondre à la question de Melinda... En plus il était dans un état d'excitation très avancé donc... C'était dure se contenir devant la scène qu'il avait vu. Toussant un peu pour se donner du courage, il répondit enfin à sa maîtresse vampirique avant de trembloter de plaisir et d'excitation, osant à peine la regarder. Tout en lui parlant, il repensait à sa première arrivée ici... Et jamais il n'aurait put le faire. Melinda était parvenu à faire d'un fier chevalier un prostitué talentueux et sans égo, parfaitement employé comme suceur et lécheur, devenu accro au sang de succube, aux morsures de vampire et même à l'urine des clients. Tremblotant, il répondit à Mélinda, excité.

"... Je ne peux plus m'en passer maîtresse... Je me rappel trop du moment où je suis resté des semaines dans ce couloir, encagoulé, utilisé par des clients encore et encore... Vous avez fait de moi une créature immortelle, n'ayant pas besoin de manger ni de boire tant que je reçois des fluides sexuels... J'ai été dépourvu de mon sexe et si ... si Akira me voit ainsi, dans cet état... Je serais vraiment indigne d'elle... Gardez-moi ici et dite-lui que je suis en train de satisfaire un client difficile... Quand elle viendra à pouvoir m'utiliser alors que je suis un toilette vivant... Elle pourra m'avoir comme amant."

Mais alors que Theorem s'expliqua, il fut soudain coupé par un homme de main qui entra, conscient d'avoir coupé la parole à une esclave. C'était le cadet de ses soucis... Calmement, il entra avant de parler directement à Melinda, ignorant totalement Theorem en manque de sexe.

"La cliente Rouge demande un soumis et un lécheur confirmé pour une partie de sexe... Je lui confis Theorem ?"

La goule haiena tremblota encore plus, incapable de retenir son corps. Bon sang, ça lui faisait peur... Il était vraiment incapable de ne plus penser au sexe... Il voulait baiser, là maintenant... Sa dernière cliente avant de finir en toilette jusqu'à ce que Akira puisse faire ses besoins sur lui... Il avait peur, il craignait le pire... Mais dans cet état, Theorem était complètement impotent.

Tandis que Miyuki ronronnait entre les bras de Mélinda, cette dernière portait son attention sur Theorem. Ses mains caressaient lentement le corps de la neko, alors qu’elle écoutait, un peu surprise, la demande hors normes de Theorem. Dire qu’initialement, ce genre de sévices avait été conçu comme des punitions, des humiliations, à destination des esclaves rebelles, de celles qui contestaient l’autorité de la Maîtresse, ou refusaient d’obéir. Theorem était bien la première de ses petites protégées à lui demander ça comme un cadeau : devenir une espèce de toilette fixe, qui recevrait l’urine de tous les clients, et, parfois, leur semence. Une telle position était tout à fait envisageable. Dans ce temple voué au sexe et à la perversion, il existait plusieurs toilettes fonctionnant comme ça. Entre le couloir et le mur des toilettes, il y avait un espace vide, dans lequel on pouvait enfermer une esclave. Généralement, c’était pour quelques heures, avant de la relâcher, mais, théoriquement, rien n’interdisait une utilisation permanente. Il suffirait de donner à Theorem, par intraveineuse, de quoi se nourrir.

*C’est une demande très particulière...*

Mélinda sentit alors Miyuki se réveiller. La neko remuait lentement contre le corps de Mélinda, et alla suçoter l’un de ses seins, lentement, tendrement... Une petite neko en manque d’affection, qu’on entendit gémir faiblement. Mélinda l’embrassa sur la tête, et regarda ensuite Theorem. Elle n’eut pas le temps de lui répondre qu’un garde entra, affirmant qu’une cliente recherchait une soumise. Surprise, Mélinda ne répondit pas sur le coup, sa main posée sur la chevelure de Miyuki, puis finit par hocher la tête.

« Très bien, Theorem... Si c’est ce que tu souhaites, je n’irais pas contre ta volonté. »

Miyuki continuait à faiblement ronronner de plaisir, faisant soupirer Mélinda, réveillant son érection. Elle se tortillait lentement sur le siège, tout en continuant à caresser le dos de sa neko, le grattant tendrement.

« Cependant, si jamais Akira désire ardemment te faire sortir de là, son avis primera sur le tien. Je lui ferais part de tes désirs, mais je n’irais pas contre celui de ma fille. »

De cette manière, Mélinda éviterait surtout que sa fille la gratifie encore d’« esclavagiste impérialiste », et autres joyeusetés toujours agréables à entendre dans la bouche de sa propre fille. Miyuki continuait à s’occuper de son sein.

« Compte tenu de... La relation particulière qui t’unit à ma fille, je vais rédiger pendant ta prestation auprès de notre cliente une convention unilatérale dans laquelle tu certifieras faire cela de ton plein gré. Tu la signeras. Ensuite... Ta volonté sera respectée. »

Ce faisant, Mélinda fit signe au garde de disposer de sa goule. Ce dernier hocha la tête, et attrapa Theorem par le bras, le faisant prestement sortir. Mélinda, de son côté, avec un léger soupir, décida de retourner s’occuper de sa neko, l’embrassant en la câlinant. Dans le couloir, le garde se pressait. Il relâcha Theorem, et le conduisit dans une chambre.

« Madame, voici Theorem. C’est elle qui vous offrira la prestation que vous demandez. »

Le garde referma ensuite la porte.

Rouge avait passé une longue mission, très longue, pour le compte du GGT. Une mission périlleuse et difficile, mais qui lui avait permis de gagner plein d’argent. Tellement d’argent qu’elle avait décidé de prendre un congé pour se rendre à Mijak, dans sa capitale, afin de se détendre. Elle avait préféré Mijak à Lumen car elle connaissait moins l’Empire que Nexus, où elle se rendait couramment pour effectuer des missions pour le compte de Torino. Elle préférait donc varier un peu les lieux, et trouvait en la capitale impériale un charme exotique. Contrairement aux villes uatéennes, cette dernière était bien plus petite, bien moins impressionnante, mais il se dégageait des grands boulevards ouverts, avec des patrouilles incessantes, une impression d’autorité, de calme, de sécurité, qu’elle n’avait encore jamais vu ailleurs.

Cette ville lui plaisait, et c’est en s’y promenant qu’elle aperçut plusieurs harems luxueux et impressionnants. Après quelques hésitations, elle choisit de se rendre dans le Domaine Warren, un bel immeuble se trouvant le long de l’un des boulevards. C’était un harem très ancien, existant depuis plusieurs siècles, et on la conduisit dans une belle chambre. Le mobilier était propre, luxueux, avec des tapis, des escaliers en marbre, des zones éclairées. Quant à la chambre... Les murs étaient insonorisés, et une fenêtre permettait de voir l’une des rues longeant le harem. Il y avait aussi un lit, plutôt grand, et plusieurs meubles. L’endroit n’était pas donné, et elle espérait que le plaisir serait à la hauteur de la contribution financière qu’elle avait versée.

Elle était assise sur un fauteuil, quand le garde qui lui avait demandé d’attendre entra, lui amenant une jeune femme... Ou homme ? Non, elle avait plutôt la tête d’une femme. La porte fut refermée derrière elles, et Rouge sourit lentement en voyant cette jeune femme. Elle était assise sur le fauteuil, jambes croisées, dans sa belle combinaison moulante en latex.

« Très bien... Tasha... Inutile de te relever, reste à quatre pattes. »

En entrant, Tasha avait été poussée par le garde, se retrouvant ainsi au sol. Rouge avait toujours les jambes croisées, et savait qu’elle avait autorité sur cette esclave. Elle pouvait lui faire bien des choses, et elle ne comptait pas se gêner.

« Commençons tranquillement, veux-tu ? Viens lécher... Mes pieds t’attendent... »

Theorem reçut une affirmation de la part de Melinda. Ses désirs allaient devenir réalité. Ca faisait un peu peur maintenant, dit comme ça. Il allait devenir un objet, un truc... Et possiblement, la vie s'arrêterais pour lui si Akira ne venait jamais. Il finirait son existence ainsi. Mais trop tard pour faire ce genre de choses, il fut catapulté en quatrième vitesse devant une cliente, poussé si fort qu'il tomba à genoux devant elle. Mais la cliente ne semblait pas déçue de ça, au contraire. Il reçut l'impérieuse demande de rester à quatre pattes et de lui lécher les bottes. Il devait répondre à cette demande, qu'il le veuille ou non. Sa cliente était une belle terranide chauve souris, à la peau clair et au pelage blanc. Elle portait une superbe combinaison de latex noir et rose rehaussée de blanc. Lécher ses bottes... Un acte qu'il n'aurait jamais accepté avec sa position de chevalier, quand il était bien vivant... Ce n'était plus le cas maintenant.

"Oui Maîtresse..."

Dit-il humblement avant de marcher vers elle. Calmement, il s'approcha tel un chien, sur ses genoux et ses mains, habillé de son qipao noir et de son hanfu vert et blanc sur lui. Les bottes de Rouge étaient longues, effilés et blanches. C'était une créature de rêve, sans contrefaçon. Sortant timidement sa langue de sa bouche, qu'il savait hautement érogène et sensible depuis ses multiples transformations, il la déposa sur le latex blanc. Une longue traînée de salive se forma le long du passage de sa langue, déposant sa bave pour lustrer les bottes de sa cliente. Son appendice buccale passait le long de ses pieds, remontant sur ses chevilles puis sur ses tibia. C'est jusqu'à la limite des bottes qu'il alla, avant de passer à la seconde botte de Rouge. Quel délicieux petit lécheur faisait-il. Débarrassé de son sexe d'homme, de son genre sexuel, il ne pouvait plus que s'adonner au plaisir que lui renvoyait sa langue aux passages de cette dernière sur les sexes de ses clients et clientes. Son pubis aussi lisse qu'une poupée barbie ne donnait plus lieu à la moindre attention... Non c'était un lécheur, point barre.

"Comme ça maîtresse ?"

Il continua, retirant au passage son hanfu et resta donc en qipao noir brillant devant elle. On aurait pensé à du latex, surtout vu la texture, mais c'était le slime noir de son corps. Tout en léchant sa cliente, il n'arrêtait pas de penser qu'elle serait son ultime cliente avant de finir en toilette. Après, ce serait surtout des "utilisateurs" de son corps. Rouge était une véritable beauté... C'était parfait de servir une femme pareil. Il se demandait ce qui l'attendait, alors que sa longue langue gluante finissait de lustrer les bottes de cette belle terranide impétueuse.

Elle voulait de quoi cette femme serait capable. Rouge ignorait que Tasha, à l’origine, était un homme, et voyait ici une femme en train de s’approcher d’elle. Elle portait une espèce de robe verte, qu’elle ne tarda pas à retirer, révélant de courts vêtements noirs brillants et moulants. La Terranide assimila cette texture à du latex, et remua lentement son bassin sur le fauteuil, sentant la langue de Tasha parcourir ses bottes. En tant que Uatéenne, elle appréciait l’idée d’avoir quelqu’un de soumis, même si cette personne n’était pas un homme. Tasha se débrouillait plutôt bien. Rouge ignorait son véritable nom, ne connaissant que son nom d’artiste, celui qu’on lui avait donné à l’accueil. Elle patienta plusieurs minutes, laissant Tasha s’amuser avec ses bottes, les lubrifier correctement. Un sourire finit progressivement par étirer ses lèvres. Oui, cette petite pute se débrouillait très bien dans son rôle de chienne.

« Tu te débrouilles très bien, ma petite chienne... Mes bottes sont bien propres... Il est temps de passer à la suite. »

Rouge se détendit un peu, et se mit debout. Elle fit craquer ses muscles en s’étirant, et marcha un peu, allant chercher différents objets entreposés dans les meubles. Attrapant un collier, elle vint le mettre autour du cou de Tasha, le serrant solidement, sans toutefois chercher à l’étrangler. Ce n’était pas la première fois que Rouge endossait le rôle de la dominatrice. Elle se plaisait plutôt bien dans ce rôle .Sans doute était-ce lié au fait qu’elle était plutôt petite. Elle tira sur la laisse, et se pencha vers Tasha, glissant ses doigts sur son menton. Ce fut l’occasion pour eux de partager un léger baiser, la langue gourmande de Rouge se glissant dans la bouche de Tasha pour goûter à sa salive. Elle gémit faiblement, sentant le plaisir monter, et aventura l’une de ses mains sur la poitrine de Tasha, caressant son sein, le pinçant à travers sa tenue.

Ce n’était pas du latex... Ça en avait l’apparence, la forme, la texture, mais, en le touchant, Rouge réalisa que ce n’en était pas. Vu qu’elle en portait tous les jours, elle était bien placée pour le savoir. Elle pressa un peu cette texture, et réalisa qu’elle était particulièrement gélatineuse, ce qui était très curieux. Elle prolongea le baiser pendant un certain temps, avant de se redresser, et promena sa langue sur ses lèvres.

« Mmmh... Tu n’es pas qu’une bonne lécheuse, tu embrasses bien, aussi, ma petite Tasha... »

Rouge se releva pour de bon, faisant signe à Tasha de se relever également.

« Embrasse mon corps... Lèche... J’aime qu’on considère ma tenue en latex comme une sorte de seconde peau... Embrasse-là... »

Theorem embrassa doucement la belle Rouge après l'ajout d'un collier. Il fit plusieurs tours de langues avec cette belle terranide, goûtant lui aussi à la salive de cette créature de rêve qui semblait plus qu'à l'aise dans son rôle de dominatrice. Doucement, il se détacha d'elle quand elle le repoussa pour se redresser. Ses ordres fut clairs : lécher son latex et l'embrasser, comme s'il s'agissait de sa peau. Il allait s'en faire un plaisir.

"Oui Maîtresse."

La bouche que Rouge avait longuement embrassée serait polluée bientôt... Et peut être même pour toujours. Le Haiena contemplait sa dernière cliente et peut être la dernière beauté qu'il n'aurait jamais à satisfaire en pouvant l'admirer. Sa langue commença à lécher lentement la cuisse gauche de Rouge, remontant lentement jusqu'à sa hanche. Il passa sur son ventre qu'il couvrit de baisers avant de lécher à nouveau. En insistant sur le nombril, il sentit un piercing à ce dernier... Un petit diamant hors de prix sûrement. Remontant, il lécha avec passion entre les seins de la belle dominatrice, embrassant à l'emplacement des tétons. De là, il sentait une odeur bien caractéristique. Rouge était en sueur et il le sentait... Ses dessous de bras n'étaient pas loin et il voyait de là la petite auréole humide dans son aisselle... Il se lécha ses lèvres en voyant ça, mais il devait uniquement lécher sa combinaison pour le moment...

"Hmmm... Maîtresse... Vous êtes d'une perfection sans limite..."

Il prit doucement sa main droite et lécha son gant de latex. Il suça tout les doigts comme s'il faisait une fellation et sentit sur son index et son majeur la présence de cyprine mais plus ancienne... Elle s'était masturbé avec ce gant il y a quelques jours... Puis descendant pour aller dans le dos de Rouge, il lécha plusieurs fois la courbe de ses fesses avant d'insister dans sa raie. Theorem continua longuement, épousant la courbure du popotin de Rouge, sentant presque son trou intime en poussant avec sa langue. Il revint devant et s'offrit son plus grand plaisir... La tête entre les cuisses de Rouge, il lécha là où se trouvait son vagin et gémissait de plaisir et sentant une étrange saveur... Oui... du sperme ! Elle avait faite juter quelqu'un entre ses cuisses, de gré ou de force, et ceci depuis un ou deux jours. Il continua longuement en la regardant, ayant une vue parfaite sur sa poitrine en contre-plongée...