Re: Mise au point sur les nekos [PV Mélinda Warren]
Posté : 25 août 2024 03:28
Yuko
Quelle jolie putain avait-elle sous la main? Le genre si docile, tendre et qui accepte de se faire prendre sans broncher, qui en redemanderait même. Yuko la voulait, elle et chaque neko vivant dans ce harem, les jeunes, les plus âgées, les expertes, les inexpérimentés, les nekos, les furrys, elle les voulaient toutes! Même cette super salope, elle sera sienne d'une façon ou d'une autre... Pour le moment, elle se faisait un plaisir de l'enculer face au miroir, faire couiner cette petite garce, lui faire adorer ce qu'elle subissait, la verge artificielle grossissait doucement mais surement. Les allers et retour de Yuko se faisaient de plus en plus difficiles dans cette petite ante chaude et confortable mais même si Yuko en ressentait de même entre les jambes, ça gonflait, ça devenait terriblement bon et un peu douloureux à force mais on ne peut être une bonne maîtresse si on ne sait pas la douleur que l'on ressent. Certes, elle était beaucoup plus dominante que soumise mais elle a dû passer par là pour s'améliorer. Pas au point de jouer la pute comme Miki ou Yuka mais parfois, c'était le cas. La Karistal donna un dernier coup de rein, enfonçant sa verge aussi loin que possible, sa peau coller contre son adorable petit cul, appuyant sur ses hanches pour être collé contre elle alors qu'elle se pencha en avant pour lui parler dans sa petite oreille de chatte.« Tu es à moi ma pute chérie... hmm... tu vas être la gentille pute à Maman... et elle se fera un plaisir de t'enculer comme ça, et bien pire encore... chaque putain de jour, tu en prendras... plein le cul! »
Yuko se retira de son petit avant de mettre à genoux pour laisser ses marques de dents sur son délicieux petit cul à croquer! Pas jusqu'au sang, non, mais elle avait pu sentir les crocs de sa maîtresse et mère un instant avant de la voir se redresser, son gode ayant à peine dégonflé. Elle retourna Miki dans l'autre sens, comme une crêpe avant d'enfoncer son jouet en elle, soupirant de plaisir alors qu'elle s'allongeait sur elle, l'embrassant à peine mais butinant son entrée intime, ça oui! Elle relevait les fesses pour mieux la prendre d'un coup sec avec ce jouet qui prenait de plus en plus d'ampleur. Miki allait adorer autant qu'elle va souffrir mais c'est ça avec Yuko. Une délicieuse douleur, une délicate torture, d'adorables couinements.
« Couine bien mon cœur... montre à la petite Katarina que tu m'aimes plus qu'elle, que je te baise mieux qu'elle... »
Elle aussi, elle la voulait. Et elle l'aura. Après s'être occupé d'elle, elle comptait bien voir ce qui se passait de l'autre côté de cette porte mais pour le moment, elle ne s'occupe que d'elle et de personne d'autre. Elle la laissait miauler à son allure, hurler à plein poumon si elle voulait, Yuko ne s'intéressa qu'à cette petite langue qu'elle venait lécher, sucer aussi, savourant chacun de ses cris comme une tendre caresse sur sa peau. Savait-elle que sa voix était si mélodieuse quand elle avait mal? Yuko avait un don pour cela, entendre une douce symphonie dans la douleur. À moins qu'elle ne soit que trop perverse pour croire une telle chose? Peu importe à vrai dire, elle continua de prendre Miki, s'enfonçant de plus en plus fort en elle, de plus en plus gros aussi. La seule pause qu'elle fit, ce fut pour reposer ses hanches en se redressant, pinçant ses petites boules sur sa belle tenue de salope. Ses tétons pointaient avec tant d'arrogance qu'elle ne pouvait s'empêcher de les pincer pour les punir.
« Tu jouiras... avec maman ma sale petite trainée de pute adorée. Si tu ne le fait pas, tu me lécheras l'anus jusqu'à ce qu'il soit propre de l'intérieur, ma petite chatte en sucre dévergondé. »
Tout est dans les mots, les noms même. Aussi doux qu'insultant, c'était un véritable zigzag, tantôt douce comme une mère, tantôt la traitant comme une merde... elle était les deux à la fois...
Yuka
Pour elle, son enfer était aussi un délicieux moment, elle pouvait prendre Katarina avec sa bouche – grâce au gode qui se trouvait dedans – et bien qu'elle commençait à avoir mal à la nuque, voir ses petites lèvres intimes si proche de ses lèvres sans pouvoir les toucher, c'était une torture. Même si ce n'était que les frotter sur son visage, elle serait preneuse mais il ne semble pas que ce soit le cas, Katarina était bien décidée à lui faire plaisir mais au compte goutte. Bien que des gouttes, elle en avait plein le visage, sa mouille lui éclaboussait le visage, c'était si bon, rafraichissant aussi. Dommage qu'elle ne puisse pas boire tout cela à la source mais elle ne s'en plaindra pas, c'était déjà bien de pouvoir voir cela de si près. Ses belles lèvres écartées s'empalant sur ce gode que Yuka tenait dans sa bouche, sa maîtresse prenait du plaisir grâce à elle, sans ce regard de chien battu ravie et sans elle tout simplement, ce ne serait pas pareil. Mais voir Katarina jouir sur son visage, c'était comme recevoir un verre d'eau en plein visage sous un soleil de plomb, c'est fou ce que ça fait du bien... Mais entre les jambes de Yuka, elle vendrait son bras pour qu'on vienne s'occuper d'elle, avec une langue ou un pénis ou des doigts, n'importe quoi mais qu'on lui retire ses vibrations pour un vrai truc en chair, éventuellement et en os – si ont penses aux doigts bien sûr. Mais si elle lui retira son jouet de la bouche, elle ne lui laissa pas le temps de parler qu'elle lui pissait dessus, un peu dans la bouche mais surtout le visage. Yuka en avala un peu. Elle n'était pas une adoratrice de l'urine mais au moins pour le côté excitant. Se faire uriner dessus était moins dérangeant pour elle mais bon, elle devait aussi plaire à Katarina.
« Ho oui Maîtresse... Je suis heureuse de vous plaire autant... mais... mais prenez-moi Maîtresse, je voudrais bien que vous vous occupiez de moi, faites moi jouiiiiir! Maltraité mon cul si vous voulez mais je veux jouir grâce à vos... doigts, langue, bite, prends-moi Katarina! Haaa! »
Yuka se tortillait sur place, elle en demandait beaucoup, peut-être que la neko diabolique va la punir mais elle tente le tout pour le tout. La Karistal en avait marre, le jouet voulait goûter au bonheur, après, elle lui parlera peut-être de l'offre mais pour le moment, elle se montrait égoïste... pour une fois. Sortant sa langue comme une chienne, elle continuait de se tortiller, voulant que sa maîtresse accepte la demande de son jouet au moins.