The Multiversity

C'était ses envies, après tout, Arya lui demandait à réaliser ses envies, les voilà ! Elle ne saurait dire si leur vie promettait longtemps ce même scénario, mais pour le moment, c'est ce qui alimentait ses fantasmes ! La sorcière n'avait pas beaucoup d'efforts à fournir pour endosser un tel rôle, elle l'avait dans la peau ! Ses parents étant une déesse et une sorcière – avec son petit caractère dans le privé – ce n'était pas étonnant que leur fille ai une telle facilité à agir ainsi. La princesse se soumettait à elle et serrait les dents, et ses poings sur le lit pendant que son épaisse verge venait à la pénétrer de force. Une sensation des plus agréable pour elle, une sensation partagée, Arya ne pouvait simuler un tel plaisir, s'enfonçant en elle, claquant sa chair. Oh oui, les jeunes mariées profitaient à fond, sûrement que leurs parents profitaient de plaisir similaire dans leur coin. Dégustant ce plaisir qui ferait partie de son quotidien avec son épouse, Kokoro faisait durer cela comme elle pouvait mais leur plaisir était si grand que la sorcière venait à lui remplir le cul, pressant ses mains sur sa délicieuse croupe.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaan ! »

Un délicieux hurlement de plaisir, mais qui ne signifiait pas que c'était fini. Arya avait encore son rôle qui lui collait à la peau et elle en voulait plus ! La princesse se retournait à quatre pattes, faisant face à cette dernière qui avait fait sa demande. Face à sa queue un peu plus flasque, dégoulinante de son foutre encore chaud, la sorcière n'avait pas donner d'ordre direct, donc, elle pouvait agir à sa guise.

« Maîtresse sera heureuse de sa petite chienne. »

Prenant le bout de sa verge en bouche, elle commençait à la sucer doucement, nettoyant lentement chaque centimètre qui venait entre ses lèvres. Peu à peu, elle sentait cette verge se redresser, mais Kokoro allait aller jusqu'au bout. Après tout, elle approchait doucement de la base, plus elle la nettoyait, plus sa verge se calait dans sa bouche, approchant de sa gorge. Et en bonne épouse, elle avala la queue de sa femme. Ce fut compliqué, elle laissait échappé quelques bruits étranges et cette gorge profonde ne dura pas longtemps mais elle recommença, pour le bonheur de sa femme. Elle n'était pas une experte, mais elle était dévouée et recommençait encore, et encore. Elle bavait, lui donnant un air un peu plus coquine encore. Oh oui, ce n'est pas pour rien que les deux amies soient si proche, derrière son aspect chaste et douce, Arya avait su influencer la princesse vers le bon chemin, même si elle n'avait jamais montré de réels changements. Peut-être que la sorcière allait devoir lui montrer ce qu'était une gorge profonde, une qui durait plus de trois secondes et qui sera intense ?

Arya allait donc jouer la dominatrice. Une telle posture n’était pas foncièrement pour la déranger. Elle était après tout la fille de Sha, une Déesse, et de Kiriko, une sorcière… Soit deux femmes avec des personnalités fortes et marquées. Et elle savait que Kiriko était aussi dominante avec les autres que soumise à Sha. Un paradoxe très amusant qui n’avait pas échappé à Arya. Elle était leur première fille, et elle savait tout ce qu’il y avait à savoir sur ses mères. Arya n’avait donc aucun problème à dominer sa femme, bien au contraire ! Kokoro était bien plus timide, mais, à l’image de ses mères, bien plus perverse que ce qu’on pourrait penser… Et peut-être même plus perverse encore qu’Arya ! Kokoro ne le montrait juste pas de prime abord, mais Arya avait eu l’occasion de la pratiquer. Cette jeune femme n’était pas sa femme pour rien, et elle se rapprocha de son membre. Arya se positionna en s’asseyant sur ses genoux, et caressa les cheveux de Kokoro, guidant son visage vers sa verge. Elle frémit doucement en sentant sur son sexe le souffle précipité de la belle Kokoro. Celle-ci se retrouva à hauteur de son sexe, et commença à donner quelques coups de langue, pour stimuler ce palpitant.

Kokoro lui annonça que Maîtresse allait être heureuse de sa « petite-chienne ». Une telle phrase amena un frisson supplémentaire sur le corps d’Arya, qui se mordilla les lèvres brièvement, et crispa ses doigts sur les cheveux de Kokoro.

« Oh, ça, je n’en doute pas… C’est dans ton intérêt d’être sage et obéissante… Même si je devrais te punir dans tous les cas ! »

Car que serait une Maîtresse si elle ne punissait pas son esclave, après tout ? Celle-ci commença donc à agir, entrouvrant les lèvres, et intervint sur son membre. Les doigts d’Arya se crispèrent sur ses cheveux, et un long soupir s’échappa des lèvres de l’intéressée. Elle sentit la bouche de Kokoro, ses lèvres se serrer autour de son vit. Filant d’avant en arrière, Kokoro entreprit donc de la sucer avec énergie. La hampe d’Arya ne tarda pas à se durcir naturellement, à croître et à devenir bien raide. Se mordillant les lèvres, Arya gémissait de plaisir, serrant d’une main ferme les cheveux de sa partenaire. Elle remuait à son tour, accompagnant ses mouvements.

« Là, là… Oh, ma petite, tu es si douée de tes lèvres, hmmm… »

Elle s’enfonçait de plus en plus, et Arya accompagna le mouvement. Elle était décidée à lui montrer le plaisir de la gorge profonde, et Arya continua à remuer en harmonie avec Kokoro, jusqu’à enfoncer sa queue en elle, et serra ses cheveux, l’empêchant de se retirer trop vite.

« Hnnn… Bien au fond, oui… Tu peux le faire, ma chérie ! »

Arya comptait la laisser comme ça une bonne dizaine de secondes avant de se reculer. Petit à petit, elle formait sa femme, bien décidée à faire d’elle une amante exceptionnelle !

Dans le temple de la lune, ce soir, régnait une ambiance qui rendait chaque couple très heureux d'avoir trouvé sa moitié. Certes, les principaux intéressés le prouvaient, mais dans le lit conjugal des deux reines, le même amour régnait, même dans la chambre d'ami où les parents d'Arya s'unissaient elles aussi. Mais pas que, dans diverses chambres aussi, tant que la petite étincelle brûlait, le feu prenait. Si les couples étaient trop jeunes, Lust préservait leur innocence en leur accordant une nuit des plus reposantes, mais même pour ce jeune couple, de la princesse et des deux jumelles sorcières, l'amour régnait, brûlant moins intensément que du côté de leurs parents ou de leurs sœurs, mais elles s'aimaient en se découvrant mutuellement. Même du côté de Kon, l'une des sœurs de Kokoro, qui gémissait de plaisir aux côtés de la ronronnante Alicia, aînée des Karistal. Bref, en cette nuit, l'Amour avait un grand A ! Dans la chambre des jeunes mariées, la princesse commençait son office, suçant sa femme en savourant ce goût unique et délicieux du membre de cette dernière, avec lenteur, douceur, mais elle avançait doucement, quand bien même elle connaissait peu de choses, elle n'avait pas peur.

« Mmmmmmmh. »

La main de son épouse passait dans ses cheveux noirs, très répandue à Edoras, la majorité des Kaguya avait une couleur de cheveux similaire, comme sa mère Hinata, même si sa mère Shunya avait quelques reflets plus pourpre. Avec courage et avec l'aide d'Arya, sa verge approchait de sa gorge et Kokoro venait le prendre en bouche, approchant de plus en plus de sa gorge, où la sensation était des plus bizarres. Pas désagréable mais bizarre... Elle n'y était pas habituée, alors forcément même une habituée ira dire qu'au début, ce n'était pas si simple, personne ne pouvait maîtriser cela à la perfection la première fois. Même si Arya l'aidait à maintenait cela en bouche quelque temps, quand elle retira sa main, sa tête se retira, toussant un peu, face à cette verge tendue et couverte de bave, d'un petit fil bien courageux se reliait encore à ses lèvres. Ses joues roses, ses yeux en amande levée vers la sorcière, l'amour n'avait pas besoin de mot, dans ce regard. Sa main sur la base de sa queue la masturbait doucement, prolongeant ce plaisir, quand bien même ce n'était pas le plus intense, avant de reprendre là où elle en était restée.

« Ta bite est tellement... délicieuse... »

Elle n'avait pas fini d'y goûter, que ce soit ce soir ou pour le reste de sa vie. Sa belle queue brunie, ses veines qu'elles sentait sous sa langue, sa femme était parfaite, sous tous les angles alors que la future reine suçait sa verge, juste le gland en laissant ses joues se creuser sous la forte aspiration. Sur le lit, elle mouillait beaucoup laissant sûrement une belle trace quand elles en auront terminé, mais ce n'était pas encore le cas. Pour ça, il faudrait que la sorcière craque et atteigne l'orgasme, dans la bouche ou directement dans la gorge de son épouse. L'amour, la luxure... tout ça, ça brillait sous la même étoile.

Arya soupirait longuement. Sa petite Kokoro était agenouillée devant elle, occupée à pomper son dard. La main de la sorcière se serrait régulièrement sur ses cheveux. Elle remuait doucement son bassin, d’avant en arrière, cherchant à accompagner les mouvements buccaux de sa femme, à se synchroniser avec elle. Kokoro était en pleine activité, découvrant les joies de la fellation. Arya comptait lui faire l’amour encore longuement et fortement. Elle la laissait s’approprier son membre, tout en songeant qu’elle allait devoir la mettre enceinte ce soir. Sa mère lui avait dit que c’était compliqué, et que, même si les deux femmes étaient fertiles, féconder une femme en étant soi-même une femme était bien plus difficile que lorsqu’on était un homme. Mais Arya avait pour elle d’être une demi-Déesse, et de pouvoir ainsi forcer plus facilement la nature. Sha pouvait en tout cas le faire, ce qui expliquait pourquoi Kiriko avait eu autant d’enfants. Arya comptait la féconder ce soir, elle y tenait ! Elle n’était pas particulièrement pieuse, mais c’était ce que Kokoro voulait, et ce dont elles avaient convenu il y a plusieurs années, lors du début de leur relation.

« Han, comme tu suces bien, ma chérie… Ma queue dans ta bouche… Quel régal, hmmm… !! »

Oh oui, elle aimait ça ! C’était bien pour ce genre de plaisirs que la vie était merveilleuse ! Sa Kokoro ne faisait pas semblant, et, de toute façon, Arya s’en assurait, maintenant sa tête en position, tout en la félicitant et en lui disant de bien penser à respirer. Kokoro s’habituait à ce genre de choses, mais le plus important était de ne pas être trop gourmande. Elle agissait donc, pompant ce dard avec appétit, continuant à glisser dessus.

« Hmmm… »

Arya tremblait nerveusement, et sentit soudain Kokoro forcer le passage… Pour se retirer. Elle libéra la verge turgescente d’Arya, qui se frotta contre ce visage, barre de chair assoiffée, lui indiquant en souriant que sa verge était « délicieuse ». Arya grogna en empoignant les cheveux de Kokoro, et retourna fourrer de force sa trique dans sa bouche.

« Si tu l’aimes tant… Ne t’interromps pas en plein milieu, petite catin ! »

Grognant sur place, Arya attrapa les cheveux de Kokoro, et commença à accélérer, venant cette fois la baiser, donnant l’impulsion nécessaire… En vue de balancer son épais foutre dans la bouche assoiffée de sa partenaire !

L'amour a toujours eu bien des formes, restant si simple et si compliqué à définir. Dans les histoires, on voit toujours le bonheur amoureux comme une chose merveilleuse et douce, plein de rose, d'amour et terminant en happy end. Que ce soient les contes que ses parents lui lisaient le soir, ou les histoires de sa famille, que ce soit ses parents ou de lointains parents dans la famille Kaguya – et parfois Shizuka – c'était toujours de belles choses, mais ça finissait par se ressembler au final. Et pourtant, maintenant elle savait que cet amour avait bien des variations, que ce soit dans la douleur, l'humiliation ou le nombre. On parle souvent de couple, donc, de deux personnes, mais elle savait que dans certains états, la polygamie était tolérer. Cette actrice, Poison, a bien deux épouses. Non pas que Kokoro s’intéresse à cette femme et son travail, mais une de ses petites sœurs était une grande fan de cette jeune influenceuse d'Uatis qu'était la fille de cette actrice donc forcément, elle la connaissait dans les grosses lignes, sans se pencher sur la femme ou du moins, sa carrière. Pourtant, dans le palais, une autre de ses sœurs possédait certains de ses films, mais nous nous égarons. La princesse avait souvent vu ses parents se bécoter, n'allant jamais plus loin qu'un baiser ou deux devant leurs enfants, surtout dans l'Onsen, déjà qu'elles étaient inséparable alors nue dans l'eau chaude, elles étaient plus amoureuses que jamais. Elle les avait toujours enviées, espérant trouver un jour ce même amour, et elle l'avait désormais à ses côtés.

Arya était si belle, si parfaite, même si leur nuit de noces commençait sur une note de domination, de curiosité, elle savait que tôt ou tard, elles passeront bien des nuits si différentes et si plaisante. Est-ce que ses parents avaient, elles aussi eut ce genre d'envie ? Sûrement, mais elle ne préférait pas imaginer ça... Imaginer ses parents dans ce genre de situation... Quel enfant le voudrait ? Suçant l'épaisse verge couleur caramel de sa femme, elle en profitait avec plaisir, venant s'en dégager un court instant, profitant de ce muscle tendue se frottant contre sa joue tandis que la jeune sorcière la força – avec amour – à l'avaler avec plus de rythme, allant ainsi jusqu'à l'orgasme, tandis que la princesse avait quelques larmes au bord des yeux. Rien de bien méchant, un rythme un peu trop intense, mais le plaisir en plus. Elle en avalait ce qui était dans sa bouche, même s'il en restait sûrement un peu caché ici et là dans les recoins de sa bouche. Arya en retira sa queue pleine de salive et de foutre, coulant le long de la bouche de Kokoro, le regard assez évasive mais si heureuse. La jeune femme restait à genoux, levant le menton vers son épouse, les yeux pétillant, mais le sourire aussi beau que lorsqu'elle lui avait dit « oui ». Sa main se relevait, caressant cette salive mêlée à la foutre autour de sa bouche.

« Oh... Arya... Je suis si heureuse... »

Un bref instant, elle n'était plus sa chose, redevenant juste son épouse sur laquelle elle agrippait à ses hanches. Sa peau pâle et douce se frottait sur sa peau bronzée et chaude, toutes les deux légèrement en sueur, elle glissa, jusqu'à ce que leur poitrine se presse mutuellement, puis ce fut le tour de leurs lèvres de se coller, un nouveau baiser, toujours débordant d'amour entre elles. Le clair, le sombre, la douceur du tissu, la raideur du latex, deux mondes qui s’unifiaient ce soir et à jamais. Ce n'était là que les prémices de leur nuit de noces, car pendant ce doux baiser, sa main glissa entre ses jambes, caressant sa belle bite humide, voulant ressentir sa raideur dans le creux de sa main pour de nouveau reprendre leurs petits jeux, que son épouse lui apprenne de nouvelles choses.

« Bande pour moi, mon amour... Je te veux encore, toute la nuit... »

Sa petite voix souffla près de son oreille, ses lèvres baisaient son cou, sa main remuait le long de sa verge, Lust ne pouvait que bénir le palais d'Edoras cette nuit.

Arya devenait plus nerveuse, plus violente, plus virulente, au fur et à mesure qu’elle approchait du plaisir suprême. Son corps se crispa alors sur place, et, dans un soupir, elle se mit enfin à jouir. Sa queue lui donna l’impression d’exploser sur place, avant qu’elle ne balance tout un chapelet de foutre dans la bouche de sa femme. Arya maintint en place la tête de Kokoro, et soupira longuement, s’abandonnant avec plaisir et délice à cette vague. Elle inonda sa bouche avec amour, jouissant longuement et puissamment. Arya reprit ensuite progressivement ses esprits, frissonnant sur place. Elle soupirait longuement, et, tout en retirant sa verge, Kokoro avala son sperme, tout en lui demandant de la prendre encore. Un sourire malicieux orna ses lèvres, et elle se déplaça lentement, se frottant à Kokoro.

« La soirée ne fait que commencer, ma belle… »

La jeune femme se concentra, et laissa la magie rose l’envahir. Elle ferma brièvement les yeux, et, quand elle les rouvrit, ses pupilles luirent d’une lueur rose. Sur son bas-ventre, un inmon se forma, se matérialisant doucement. En réaction, sa verge se redressa alors, durcissant sur place, s’élançant fièrement en la faisant doucement gémir.

« Haaa… »

Arya se pinça les lèvres, ses seins durcissant à son tour, et se déplaça vers sa femme. Kokoro put sentir le contact durcissant de cette verge, et Arya l’embrassa chaudement sur les lèvres. Elle y goûta longuement, sa verge remontant contre ses lèvres intimes. Elle durcit avec appétit, et Arya sourit malicieusement, frémissant sur place.

« J’ai tellement envie de te baiser, ma chérie… Rejoins le lit, allez ! »

Et Arya accompagna cette demande d’une belle claque sur ses fesses !

Dans la chambre de la future reine, l'ambiance était aux couleurs de leur nuit de noces, chaude et pleine d'un amour érotique ! La jeune femme était pleine d'envie, d'un amour de plus en plus passionnée, ce qui ne serait pas pour déplaire à cette jeune sorcière qui était à présent sa femme. À peine venait-elle de jouir directement dans sa bouche qu'elle avait encore faim ! Si elle tenait de ses parents, Arya n'était pas prête de se coucher. La sorcière usa de ses pouvoirs pour refaire le plein et sa verge qui avait perdu en vigueur se redressa à nouveau, sous le regard plein d'étoiles de Kokoro qui voyait la suite de sa nuit se montrer sous un nouveau jour tandis que son épouse la poussé joyeusement sur le lit, une claque sur la fesse !

« Kyah ! »

La future reine gagna le lit en s'y allongeant, sur le lit. Elle était belle et magnifique dans le somptueux cadeau de son épouse, elle était prête à être une femme et qui sait, comme sa mère Shunya, à porter le fruit de leur amour dés leur nuit de noces ? Ses jambes s'écartaient doucement pour laisser place à cette zone, encore couverte, mais humide, cette zone qui n'attendait que la baguette magique de son épouse pour réaliser son souhait et peut-être envisage de déjà faire venir la prochaine génération d'Edoras ? Sans obliger le destin à déjà tomber enceinte, elle voulait au moins perdre sa virginité et s'unir à sa femme.

« Je... suis tout à toi... mon amour... Tout... Tout mon corps... est tient. »

Il sera difficile de lui faire un meilleur cadeau que celui-ci, sa peau aussi blanche que douce qui allait se frotter à la peau couleur caramel de sa sorcière bien-aimée, ça allait être beau et sensuelle. Sa jambe se redressa, le bout de son pied caressa les courbes de son épouse, glissant le bout de ses orteils le long de sa verge bien solide, il ne restait plus qu'à la sorcière de se défouler sur elle et lui montrer ce que c'était que de s'unir ensemble, dans l'amour le plus sincère. Et comme pour enfoncer le clou, elle prononça ce qu'Arya voulait lui faire, un ordre clair, même si le ton n'était pas aussi confiant que celui de sa sorcière.

« Viens me baiser... »

Après les paroles, il ne manquait plus que passer à l'acte !

Arya savait que rendre une autre femme enceinte n’était pas une chose aisée quand on était soi-même une femme. Elle tenait toutefois de Sha, et les choses étaient plus simples pour Sha, qui pouvait rendre son sperme fertile ou non, et qui avait ainsi pu mettre enceinte Kiriko bien plus facilement que des humaines normales. Mais, ce soir, Arya n’avait pas envie de forcer les probabilités. D’une part, elle ignorait si elle était capable de le faire sans risque, et, d’autre part, elle préférait concentrer son énergie et son art à faire proprement l’amour à sa femme. Kokoro s’allongea sur le lit, et, quand elle écarta les jambes, dégageant l’accès à son sexe, Arya frémit doucement. Sa verge se redressa lentement, durcissant joyeusement. Tout ce qu’elle savait, c’est que sa mère avait veillé à ce que son sperme soit fertile ce soir. Est-ce que cela suffirait pour enfanter Kokoro ? Arya ne pouvait que l’espérer ! Se pinçant les lèvres, elle sourit ensuite quand Kokoro, avec sa douce voix mielleuse, prononça des mots très osés… Qu’elle vienne la baiser. Arya sourit doucement, et se rapprocha, ne pouvant résister à une telle proposition.

« Je ne peux pas refuser une telle offre, ma chérie… »

Soupirant lentement, Arya grimpa sur le lit, et caressa les jambes de Kokoro. Sa verge caressa son bassin, et elle se pencha vers elle. Arya l’embrassa sur les lèvres, doucement, tendrement, contrastant ainsi avec la baise sauvage qui s’annonçait. Elle l’embrassa doucement, pressant chaudement et sensuellement son corps contre le sien. Arya l’embrassa donc, enfonçant sa langue dans sa bouche, et remua son corps contre le sien. Malgré leur impatience mutuelle, elle se doutait que Kokoro devait craindre ce qui allait suivre. La prise d’une virginité était un moment aussi symbolique que douloureux. Cette fébrilité, Arya pouvait la sentir, alors elle sourit doucement à Kokoro.

« Ne t’inquiète pas, ma belle, je vais prendre soin de toi… Je suis ta femme, après tout ! »

Arya posa sa main sur sa verge, et l’orienta vers l’intimité de Kokoro, où elle put ainsi commencer son office… Et la pénétra en soupirant, s’enfonçant lentement en elle, un frisson remontant sur tout son corps à l’idée de commencer enfin à faire l’amour à sa partenaire !

Le mariage, la nuit de noces, c'était le final le plus logique de cette longue amitié qui unissait les deux épouses, elles s'étaient connue si jeune et leurs retrouvailles étaient toujours de moins en moins espacé. Kokoro ne quittait pas le palais, que très rarement, mais depuis qu'Arya savait un peu mieux maîtriser sa magie – sûrement de la téléportation – on la voyait bien plus souvent au palais. Mais à présent, elle avait sa place légitime dans la famille Kaguya. La jeune sorcière était la femme de la prochaine reine ! Qui sait de quoi leur avenir était fait, mais pour le moment, ce soir, leur était dédié, rien ni personne ne gênerait leur union. Sya ayant veillé à ce que cette nuit rapprochent les couples, toutes les femmes qui s'aimaient, peu importe leur âge, trouvait le bonheur dans les bras de leur amoureuse. Que le sexe y soit ou non, cela restait purement et simplement le bonheur. En position pour invitée son aimé à venir, la prochaine reine attendait que sa femme vienne officiellement consommer leur union. Bébé ou non par la suite, ce n'était pas très grave, ce n'était là que leur toute première fois. Même si Kokoro avait passé neuf mois dans le ventre de Shunya en compagnie de son frère – faisant d'elle donc, techniquement, la première des filles Kaguyra, mais aussi, si l'on compte son âge depuis la conception, la première des premières. Hana ayant grandi en Hinata, quelques semaines après. Elle avait hâte de partager cela avec son épouse, mais pour le moment, le plus important, c'était de faire l'amour avec sa femme.

Elle était si belle, sa peau couleur caramel, son regard, ses formes, tout chez Arya lui plaisait et pour elle, elle lui donnerait le monde si elle le pourrait. Elle s'approchait doucement, c'était presque une torture de la voir approcher, mais ne pas en arriver au point central. Elle tremblait presque d'excitation, mais par chance, elle venait l'embrasser, son corps se pressait contre le sien, elle était si fébrile ce soir, si impatiente. Sa langue glissait contre la sienne, son corps se frottait à elle, effleurait sa peau par endroit, elle ne pouvait qu'aimer son amie de toujours tandis que la jeune sorcière tentait de la rassurer. Elle savait que ça faisait mal la première fois, elle ignorait à quel point, mais peu importe, elle lui faisait confiance, ni plus, ni moins.

« Je n'ai pas peur, en ta compagnie. »

Elle disait la vérité, tandis que la jeune femme commençait à la pénétrer, elle sentait son gland s'enfoncer en elle, doucement, jusqu'à sentir son corps la bloquer naturellement. La limite, la fameuse limite. Plongeant son regard dans celui de son épouse, elle fit un léger signe de la tête pour indiquer qu'elle était prête puis, elle serrait ses mains dans celles de sa femme, grimaçant légèrement, mais restant confiante, à ses côtés. Même une fois son hymen rompu, elle sentait la douleur se faire plus intense, mais ce n'était pas très grave, pas si douloureux que ça. Doucement, cette douleur s'éffaçait, ne devenant qu'une vague impression.

« Ma... ma première fois n'aurait jamais pu être... pour quelqu'un d'autre. »

Relâchant ses mains, elle venait saisir son visage entre ses mains, venant le prendre, le rapprochant du sien pour l'embrasser. Maintenant, elles étaient officiellement mariées, des plus anciennes lois de ce monde, elles étaient ensemble et l'avenir leur tendait les bras.

C’était l’heure de passer aux choses sérieuses, de franchir le Rubicon. Kokoro était prête, et Arya l’était tout autant. Sa verge assoiffée tapait contre les cuisses de Kokoro, et elle la pénétra donc, s’allongeant contre elle, et soupira de plaisir. C’était sa femme, après tout, sa femme ! Elle allait pouvoir lui faire l’amour quand elle le voulait, et cette perspective était naturellement très excitante, et ne pouvait que motiver Arya ! La jeune sorcière et fille de Déesse l’embrassa à nouveau, et sentit tout le corps de Kokoro se crisper contre le sien. Elle sentit surtout la résistance de ses lèvres intimes, et frémit à ce contact. Arya continua à la prendre, s’enfonçant en elle, unissant son corps au sien.

« Oh, Kokoro… Tu es si… Pu-Putain… »

Arya sentit sa verge heurter l’hymen de sa partenaire, et elle le brisa. Elle soupira lentement en sentant le sang virginal de Kokoro se déverser contre ses cuisses. Elle se mordilla les lèvres, et vit le visage de Kokoro se crisper sous la douleur. Cela semblait naturel, Arya était elle aussi passée par là. Elle lui sourit en caressant le visage de Kokoro, et l’embrassa une nouvelle fois.

« Hmmm… Ma chérie, tu es si belle… Laisse ce plaisir t’envahir, Ko-Kokoro-chan… »

La sorcière lui sourit, tout en continuant ses coups de reins, dilatant de plus en plus les parois intimes de Kokoro. Elle voulait nettoyer la douleur, la balayer pour que seul le plaisir domine…

La prochaine reine d'Edoras profitait de sa nuit de noces en compagnie de son épouse, son amie de toujours, elles pouvaient tout partager ensemble, elles seront désormais inséparables, espérant bien égaler l'amour qu'avait leur parent envers leur épouse. Que ce soit Hinata et Shunya ou bien Kiriko et Sha – qu'elle connaissait forcément moins – leur amour semblait imbattable et invincible, impossible de semer le trouble entre elles, elles semblaient réunie à jamais et aucune divinité ne pouvait arrêter ça. Arya était prête à faire d'elle sa femme, Kokoro n'avait pas peur, elle appréhendait cela, certes, mais en sa compagnie, elle pouvait tout affronter. Doucement, mais d'un coup sec, la sorcière s'enfonçait, faisant d'elle à jamais une femme, sa femme. Elle se crispait légèrement sous cette douleur puis se détendait peu à peu, tandis que son amie prenait soin d'elle, veillant à ce que tout aille bien pour elle.

« O-oui... Je te ferais t-toujours confiance, Arya-ch-chan... Han~ ça y est... je suis Vraiment hm, ta femme... »

Tendant ses bras, elle venait l'entourer pour l'attirer à elle, la belle edorasienne venant embrasser son épouse sans la gêner pour autant dans ses mouvements. La jeune mariée faisait durer le baiser, voulant le faire le plus langoureux pour elle en se délectant de chaque frottement de leur peau. Leur nuit de noces n'en était qu'à ses débuts, mais elle avait si hâte de tout apprendre en sa compagnie. Ses parents leur laissaient une année sabbatique pour qu'elles profitent de leur mariage sans se soucier du devoir de reines, elles devaient donc en profiter comme bon leur semble.

« Maintenant, haaaa~ il ne te reste, hmmm.... qu'à me remplir. »

Elle ignorait ce sera pour quand, quelle était la moyenne avant l'orgasme dans ce genre de situation, Kokoro était dans un monde qu'elle ne connaissait pas. Elle savait comment on faisait les bébés, mais l'acte en lui-même, tout dépendait des gens, ça pouvait durer trente secondes comme trente minutes, là, elle airait dans la brume.

« Montre-moi, mh, haaaa, ton amour, mon épouse ! »

Elle n'était pas obligée de jouir maintenant, mais Kokoro devait avoir un avant-goût de leur vie commune ou du moins, de ce à quoi risquait de ressembler leurs soirées dorénavant.

Kokoro et Arya étaient désormais ensemble, unies l’un à l’autre, dans tout ce en quoi elles pouvaient être unies : âme, esprit, et maintenant chair. Arya pénétrait Kokoro, et cette situation était très agréable. Sous elle, la petite Kokoro gémissait sur place, et Arya sourit encore, un sourire malicieux et onctueux. Kokoro lui annonça qu’elle n’avait plus qu’à la remplir, et Arya sourit, répondant entre deux coups de reins :

« C’est… C’est mon intention. »

Arya soupira, et posa sa main sur les cheveux de Kokoro, avant de l’embrasser encore. Arya la prenait en missionnaire, ce qui était en soi un bon début. La nuit était encore longue, et Arya avait l’intention d’essayer plein de positions différentes avec sa partenaire ! Après tout, c’était sa femme, alors il était tout à fait naturel qu’elle en profite ! C’était même là l’expression de son simple devoir conjugal, un devoir qu’elle entendait mener avec passion. Son membre assoiffé l’élançait furieusement au fur et à mesure qu’elle poursuivait son office, s’enfonçant encore et encore. C’était un rythme soutenu, intense, mais extrêmement délicieux. Arya était bien décidée à l’inonder, à jouir encore et encore, à remplir d’amour sa petite Kokoro.

Le lit grinçait doucement, illustrant la teneur des coups de reins. Les mots étaient remplacés par des soupirs, des couinements, des gémissements, jusqu’à ce que le point d’orgue approche, une délicieuse explosion finale où Arya se vida dans la chatte de Kokoro.

« Ko… KOKOOROOO !! »

Arya banda ses muscles, et laissa la vague l’envahir. Une délivrance, une véritable jouissance, un appel irrésistible ! Sa queue tressauta sur place, et elle alla remplir le ventre à bébés de sa femme, jouissant généreusement en elle. C’était toujours aussi bon, mais, avec sa femme, Arya devait bien avouer qu’elle atteignait le paroxysme du bonheur… Quel pied !

Leur première véritable nuit d'amour, Kokoro l'avait souvent imaginer et c'était à la hauteur de ses attentes, même pour simplement commencer. Elle était heureuse de pouvoir enfin voir cela avec elle, elle se doutait que certaines de ses petites sœurs avaient sûrement de l'avance sur elle, mais elle s'en fichait un peu, surtout que maintenant, comme il était prévu, elle était mariée à Arya et elles seront les prochaines reines du pays. Ses parents leur laissaient une petite année sabbatique pour profiter avant d'assumer ce rôle. Arya était toujours aussi belle, elle l'avait souvent provoqué et taquinée depuis toutes ses années, sa belle épouse à la peau caramel, à présent, elle pouvait faire plus que l'embrasser et dormir contre elle en secret. Maintenant, elles étaient mariées. Le fait que ce soit sa première fois n'était pas une interdiction liée au fait qu'elle soit la prochaine reine, ses parents n'auraient rien dit si elles se seraient amusée ensemble avant le mariage. Mais Kokoro était trop fleur bleue, très portée sur les traditions, quand bien même ses parents n'avaient pas attendu le jour J pour profiter de leur amour, mais bon, le cas de sa mère Hinata fut différent aussi. Si triste, elle songeait que c'était acceptable que cela se soit fait avant ? Après, qui sait si les anciennes reines à partir de sa grand-mère Aoki et bien avant, avaient respecter cela ? C'était une vieille coutume du temps où Edoras était encore plus à cheval sur les canons de beauté. Dire que fut un temps, une poitrine était pour donner du lait, pas spécialement beau, contrairement à une nuque qui était, ô combien sexy ! Mais les temps changent, les filles se baladent avec des kimonos plus courts, sans être dévergondé pour autant. Edoras n'était pas encore comme Uatis, heureusement.

Face à elle, la sorcière se donnait à elle, labourant la princesse et épouse pour en faire sa moitié. Tôt ou tard, elles aussi auront une famille, nombreuse ou non, rien n'est décidé, mais il était encore tôt pour y penser, non ? Même si ses parents ont été parents jeunes, mais là encore, ça renvoie à ce que sa mère avait traversé, mais de ce qu'elle sait, sa mère Shunya fut tombé enceinte d'elle et son frère, lors de sa nuit de noces. Elle aussi du coup ? Elle le saura demain matin, mais pour le moment, elle était bien loin de tout cela en subissant l'assaut plein d'amour d'Arya qui ne tarderait pas à jouir en elle, dans une explosion qui fut communicative. Kokoro cria son plaisir en agrippant la sorcière, se serrant contre elle. Elle n'avait pas crié son nom, mais elle la sentait bien, en elle, ça se remplissait, de quoi la faire doucement déborder alors que la princesse la relâchait après cet orgasme partagé, laissant à sa sorcière plus de mouvements, non sans lui voler un petit baiser très langoureux et doux, comme elle l'était.

« Mmmmh, merci, Arya-chan... Est-ce que je suis à ta hauteur ? »

Dit-elle simplement. Elle savait que sa chérie – et sa famille – était plus libérée sur les mœurs et qu'elle a sûrement du s'entraîner un peu avant le grand soir. Elle, comme elle a pu le voir, c'était sa première fois. Les Kaguya n'étaient pas si coincées que ça, mais c'est juste que Kokoro n'a pas jugé bon de trop questionnée ses parents, elles auraient pu passer des moments plus intimes avec elle, comme elles le faisaient déjà avec certaines de ses petites sœurs. Kon fréquentait une jeune neko nommé Alicia Karistal et elles ont déjà passé un ou deux moments auprès de ses parents. Si elles y ont passé la nuit, ce n'est pas pour rien ! Mais ça, c'est une autre histoire.

« Et, est-ce que tu veux faire autre chose avec moi, et mon corps ? »

Elle était très débuttante sur le sujet, elle ignorait si Arya était à bout de force ou si elle pouvait continuer encore, disons, une ou deux fois ? C'était dans ses cordes ?

La douce jouissance, l’orgasme libérateur… Selon ses mères, un mariage heureux se devait d’être dignement consommé. Dans ce domaine, la famille d’Arya n’avait rien à craindre ! Kiriko et Sha avaient consommé leur mariage plus que de raison, et, malgré les années, continuaient à vivre ensemble un amour fusionnel. Ce couple était pour Arya un modèle, un couple aimant qui autorisait également les autres partenaires. Pour l’heure, seule Kokoro comptait, mais ensuite ? Elles participeraient sûrement aux orgies familiales. Jadis, Arya en était écartée, car elle était trop jeune, mais elle avait toujours essayé d’observer, d’espionner ces orgies qui avaient lieu à chaque grande réunion de famille. Ils venaient tous… Sous l’égide de la Déesse Aphrodite, il y avait les Warren, les Karistal, les Korvander… Et elles faisaient l’amour pendant des dizaines d’heures dans un grand hall qui était interdit aux enfants. Arya avait déjà pu assister à l’une de ces scènes, et ce fut même sa première expérience sexuelle visuelle. Comme elle avait aimé ça ! La première fois qu’elle s’était masturbée… Chaque année, cette grande orgie avait lieu pour commémorer la fin de la guerre, et l’avènement d’une paix heureuse et durable.

Arya se mit donc à jouir, tout cela s’enchevêtrant dans sa tête. De la perversion à la relation très aimante, où elle visualisait sa tête posée contre le ventre enrobé de Kokoro, à sentir la vie pousser en elle, ainsi que dans son propre ventre… Elle sourit doucement quand Kokoro lui demanda, d’une voix timide, si Arya était rassasiée. Couchée contre elle, Arya reprenait ses esprits. Elle avait chaud, le corps en sueur, ses longues mèches de cheveux se plaquant sur son front. Son nez alla tendrement se frotter contre le sien, et elle lui sourit doucement.

« Hihi, tu es comme tes mères, toi, beaucoup plus gourmande que ce qu’elles disent… »

Arya avait découvert comment accéder à ces orgies annuelles. Elle avait montré cela à Kokoro, une fois. Elle avait pu voir Hinata se faire sodomiser par la Déesse Sha, et hurler comme une folle. Loin de les choquer, ces scènes avaient plu aux deux femmes. Arya sourit donc à Kokoro, et l’embrassa sur la joue, puis dans le creux du cou. Sa queue s’élança encore, répondant à la question de Kokoro.

« Ma chérie, je compte te faire vivre un rodéo sexuel implacable, ce soir… Et, pour l’heure, ce que je visualise, c’est la délicieuse forme de ton petit cul… Tu veux bien me le montrer ? » demanda-t-elle de sa petite voix.

L'amour, ça unissait bien des gens, leurs parents par exemple, si le couple des parents d'Arya ne cachaient pas leur amour vu très largement vu que ses parents avaient plusieurs épouses et indirectement, elle avait plusieurs frères et sœurs. Le concept de « demi » frère/soeur ne fonctionnait pas ici, Kiriko autant que Sha avait porté et planté la petite graine. Du côté des Kaguya, c'était plus timide. Si leur amour s'étendait aussi largement, elles ne le montraient pas, restant propre sur elles aux yeux du peuple et devant leurs enfants, mais ce ne serait pas impossible qu'elles aient quelques enfants illégitimes ici ou là ? Les Suteki avaient des enfants, mais elles n'ont jamais évoqué avec qui elles les ont eues... Cela pouvait être vraiment un coup d'un soir comme on dit, mais plusieurs fois ? En cachant cela ? Ses parents s'en « fichaient », elles avaient droit à leur intimité, mais plus elle voyait leurs enfants, plus elle trouvaient certaines ressemblances avec sa famille... Elle se faisait peut-être des films, mais... Voilà. Mais pour le moment, elle n'avait d'yeux que pour sa femme, sa sorcière d'amour.

Elle était éperdument amoureuse d'elle, si à l'origine, ce n'était qu'une amitié de longue date, l'amour a fini par s'installer entre elles. Sa mère Shunya se plaisait à évoquer le fait qu'elle avait rencontré la mère d'Arya, Kiriko, pendant leur lune de miel, toutes les deux, au début de leur grossesse. Le couple s'était rencontré à l'état d'embryons même, et restait toujours ensemble aujourd'hui encore. Pas de magie, juste le fruit du hasard. Leur parent avait sympathisé lors de ce moment étonnant de similitude et après quelques années, elles avaient fini par se revoir, les demoiselles se voyant une première fois et maintenant, elles étaient mariée ensemble. Qui sait ce que l'avenir leur réservait encore, mais leur lune de miel promettait d'être magique. Ses parents étaient restés soft pour cet événement, ensemble, toutes les deux, c'est durant cette nuit qu'elle a été conçue d'ailleurs, là ou la nuit de noces des sorcières était plus nombreuses... Mais bon, ce sont des histoires de famille que Kokoro connaîtra tôt ou tard. Son épouse était loin d'avoir fini et souhaitait même mieux la connaître, derrière...

Rougissant à sa demande, la future reine se redressait en restant à quatre pattes sur leur lit, avant de lui présenter la délicieuse vue de ses fesses. Douce princesse qu'elle était, sa peau était de soie, une telle partie de son corps ne pouvait pas en être autrement, surtout habillée dans une tenue si provocante. Sa candeur était une arme redoutable, même si son côté prude laissait place à une femme très curieuse et passionnée, il n'empêche que la future reine connaissait bien peu de chose en comparaison de sa femme qui en savait beaucoup. Même si Arya l'avait déjà prise de ce côté juste avant, elle en redemandait encore. Elle qui pensait que sa chambre à bébé était visitée de nombreuses fois ce soir, elle se trompait. Après, Kokoro ne connaissait encore rien de ce qu'était l'endurance sexuelle.

« Est-ce que tu veux que je reste à quatre pattes, encore ? »

Allongée, debout, elle ne connaissait rien, mais elle se doutait que par-là on n'était pas obligée de rester statique sur le lit. Il pouvait y avait un peu plus de folie. La jeune mariée lançait un regard par-dessus son épaule, observant sa femme, si belle et parfaite. Vu sa peau caramel, leurs enfants auront un teint similaire à ses tantes de Papua et ses cousines. Peut-être moins foncé ? Oh, elle verra bien, ce n'était pas important.

C’est à croire qu’elles étaient destinées à être ensemble ! Leurs mères porteuses, Shunya et Kiriko, avaient souvent été ensemble à partir du moment où leur ventre avait grossi. Arya savait que sa mère avait arrêté de voyager à partir du jour où elle avait retrouvé l’une ses deux épouses personnelles, Ram. Rem et Ram avaient veillé sur Arya ainsi que sur toutes ses sœurs, et, même si aucune des deux n’était sa génitrice, Arya les considérait aussi comme ses mères. Elles étaient à tout le moins ses marraines. Shunya et Kiriko s’étaient souvent soutenues ensemble avec leurs ventres arrondis, et Arya n’aurait pas été surprise d’apprendre que les deux femmes avaient accouché en même temps. Elles avaient toujours été ensemble, et il semblait donc normal qu’elles se marient. Pour le reste, la famille actuelle de Kiriko était très large, tout comme des Kaguya, qui avait eu des amantes venant de divers pays tout au long de leur longue existence.

Arya soupirait lentement, et malaxa les fesses de Kokoro, aventurant sa langue ensuite. Avec ses pouces, elle écarta chacune des fesses de Kokoro, facilitant l’accès à sa belle peau blanche, toute innocente, et si douce…

« Oui, je vais te prendre comme ça… L’aube est encore loin, tu sais… ♥ »

La jeune femme sourit malicieusement, et commença à lécher le fondement de la jeune femme. Que ce soit chez la famille de Sha ou chez les Kaguya, une « nuit de noces » devait durer au sens littéral. Elles ne sortiraient qu’à l’aube ! Elles allaient donc encore faire longuement l’amour, et Arya comptait bien faire en sorte, que, demain matin, non seulement Kokoro porterait son bébé, mais elle serait aussi bien plus délurée. Est-ce qu’elles pourraient ensuite rejoindre leurs Mamans ? Arya fantasmait doucement à cette idée, s’imaginant volontiers pénétrer Shunya. Malgré les années, la jeune Reine était restée très potable, très jolie ! Mais, pour l’heure, il n’était point question de détourner l’attention, Arya se focalisait exclusivement sur sa chérie !

Longuement, elle la lécha, dilata son petit trou, sentant ses parois anales s’écarter lentement, se refermer sur sa langue. Elle continuait donc, faisant passer les minutes, se fiant aux soupirs de Kokoro, à la manière dont celle-ci remuait les jambes, et sentait le plaisir l’envahir.

« Hmmm… Tu commences à devenir bien chaude, ma belle ! »

Souriant encore, Arya finit par approcher un doigt, et titilla la porte arrière de Kokoro… Puis elle enfonça son doigt en elle.

« Hihi… Ce n’est que le début, ma belle, je compte bien enfoncer ma verge dans ce petit trou-là ♥ ! »

Arya aimait titiller son épouse, si auparavant, c'était déjà le cas quand elles étaient juste en couple ou même, simplement amies, maintenant, plus aucune barrière pouvait se mettre entre elles. Sa langue glissait sur sa porte arrière, la jolie sorcière imaginait bien des choses avant de revenir à la charge dans ce trou. Pour l'instant, la future reine savourait cela, c'était quand même plutôt agréable. Sa femme faisait preuve de douceur, cela n'était pas pour lui déplaire, même si elle ne faisait que préparer de nouveau le terrain, elle y mettait du sien pour la lécher et déguster son petit trou.

« Mmmmh, je te connais... Tu n'es pas du genre à te contenter de si peu... »

Elle ne connaissait peut-être pas Arya aussi bien que ses parents, mais elle en savait assez pour savoir que sa femme était du genre gourmande. Combien de nuits elles ont dormis ensemble, que ce soit innocemment ou plus tard, plus coquinement ? Certes, elles se sont limité aux plaisirs saphiques, mais même quand c'était juste une intrusion nocturne pour juste dormir avec Kokoro, Arya ne se contentait pas d'être dans le même lit. Ses mains étaient souvent sous son kimono quand elle se réveillait au petit matin. Puisque selon sa femme, elle était assez chaude à présent, Arya pouvait de nouveau lui faire l'amour, non ?

« Arya-chan... s'il te plaît... Défoule-toi sur moi. »

Disant cela, la jeune future reine se penchait en avant, mettant plus en valeur ses petites fesses parfaites, si elle était déjà belle et séduisante aux yeux de son épouse, là, elle pourrait devenir envoûtante. Reculer n'était pas possible. Il faut croire qu'à force d'être traitée en princesse, en future reine, elle avait un faible pour la soumission. Ou alors, elle connaissait si bien sa femme qu'elle savait que comme ça, elle aimerait la baiser. Elles ont toute une vie pour s'aimer, mais il fallait croquer la vie à pleines dents aussi.

Quand on connaissait Kokoro, on savait qu’il ne fallait jamais y aller trop fort au début. Kokoro fonctionnait comme ça, elle était très douce, et il fallait qu’Arya la travaille soigneusement pour la faire petit à petit sortir de ses gonds. Fort heureusement, c’était quelque chose qu’Arya adorait faire, la titillant et la stimulant pendant des heures, allant jusqu’à lui refuser des orgasmes, afin que la frustration s’empare d’elle, et ne la fasse sortir de ses gonds. Arya savait fort heureusement y faire, et elle avait même un certain talent en la matière, un talent qu’elle était en train d’appliquer en ce moment au mieux. Stimulant le fondement de Kokoro, elle sourit quand celle-ci, les joues toutes rouges, se cambra un peu, et, après de longues minutes d’anulingus, réclama le passage à l’étape supérieure. Arya sourit en l’entendant, ravie, puis se redresser ensuite. Sa verge en érection tapa contre le bassin de Kokoro, glissant sur sa peau.

« Hoho, ai-je bien entendu ? Il m’a semblé que ma petite Kokoro-chan, avec sa voix si douce, a bien parlé que… Que je me défoule, hum ? »

Il suffisait de sentir l’épaisseur de la verge d’Arya pour constater que, de ce point de vue, celle-ci avait effectivement très envie de la besogner fortement ! Elle frotta encore un peu sa verge contre la croupe de Kokoro, glissant son monceau de chair entre les bosses agréables de son postérieur, un joli petit cul qu’elle malaxait avec ses mains, écartant chaque fesse l’une de l’autre. Elle s’amusait des soupirs et des languissements de sa partenaire. Estimant qu’elle était prête, Arya soupira, et posa sa main sur sa verge. Elle la rapprocha encore, et soupira lentement.

« Kokoro-chan… Ma Kokoro-chan, sache bien que, pendant que je vais défoncer ton joli petit cul d’amour, sache bien que… »

La verge se frotta encore, puis Arya l’enfonça ensuite, et grogna en heurtant les parois internes de Kokoro.

« …Je t’aime ! »

Arya a toujours été cette fille tentatrice qui poussait la douce princesse vers une zone inconnue pour elle. Elle n'a bien sûr pas toujours été attiré par la luxure, étant petite, elle était une petite fille normale, mais qui là aussi, aimait s'aventurer avec la princesse dans des zones du palais qui lui était interdit ou inconnu. Aucune réelle bêtise n'a été faite, mais Kokoro suivait toujours la petite sorcière où elle voulait aller et à dire vrai, dans leur tendre jeunesse, un peu plus et elles auraient pu voir quelque chose d'interdit dans la chambre de ses parents. À jouer n'importe ou et en cachette, elles avaient investi un des placards des parents de Kokoro, s'y cachant. Le couple royal était venu dans leur chambre, dans le but de passer un moment charnelle et intime, mais quelques bruits et un léger bazar avait indiqué au couple qu'elles n'étaient pas si seules. Aucune punition, mais les deux chipies ont au moins conservé leur innocence ce jour-là. Toujours fourré ensemble, dès que la petite sorcière venait au palais, c'était facile d'en trouver une, elle était avec l'autre. Toujours fourré ensemble petites, toujours ensemble adulte.

La future reine avait envie, une fois de plus, de sentir son épouse profiter d'elle et de son anus, elle qui semblait avoir apprécié la première fois, elle voulait en remettre une couche, bien entendu, son épouse était d'accord, maintenant qu'elle bien battu le fer, elle voulait logiquement en profiter. Sa verge en érection glissait sur sa peau, la faisait frissonner avant qu'elle ne force son entrée secrète tout en lui déclarant son amour. C'était si bon, si beau, si adorable.

« Ahhhaaaaaa~ Ouiiiii~ je t'aiiiiime~ »

Elle fermait ses petits poings sur le lit en sentant sa sorcière s'enfoncer en elle, profitant de sa proximité. Sa douce chaleur l'envahissait, ses mains étaient si douces sur elle, elle sentait sa mouille tomber goutte a goutte sur leur lit. Arya avait si souvent dormis dans ce lit, surtout à force de grandir, maintenant, elle y dormira tous les soirs avec elle, profitant de son épouse en remplissant son devoir conjugal. Sa verge semblait battre tel un cœur dans son anus, à moins que ce ne soient ses parois anales qui jouaient ce rôle ? Quoi qu'il en soit, la sensation était exquise en elle.

« Arya-chan... ha, domine-moi... comme un animal~ »

Cela lui évoquait cette situation, même si ce n'était pas tout à fait ça, la sentir dans son dos, la baisant de cette façon, elle avait l'image de deux mammifères qui copulaient dans la nature. Était-ce pareil pour la sorcière ? Ce message pourrait bien lui faire plaisir en tous cas, mais pour l'instant, leur envie allait fusionner en un seul mot, la recherche de l'orgasme commun ! Kokoro savait comment était sa femme, elle pouvait être très douce et câline pour elle, mais en général, elle était plus libre, téméraire, et même avec un petit coté sauvage, voir même perverse depuis leur adolescence. Inutile de dire que même sans avoir franchi la limite, il n'y a pas que leur premier baiser qu'elles ont partagés... Ce ne serait pas étonnant que sa robe de chambre, « ouverte pendant son sommeil » ne soit pas un hasard quand elles dormaient ensemble, l'une contre l'autre.

La belle Arya était en forme ! C’était sa nuit de noces, et, quand on venait de sa famille, on savait que les nuits de noces se devaient d’être mémorables !  Kokoro se faisait donc prendre, et, peu à peu, elle perdait le contrôle, devenant plus bestiale, plus sensuelle. La sodomie avait le mérite de vous décoincer franchement ! Arya la pénétrait avec appétit, s’enfonçant plus profondément. Elle sentait les parois anales de Kokoro se dilater lentement, et Arya soupirait longuement, crispant ses muscles, gémissant longuement. Que c’était bon ! Elle soupirait encore, tandis que, devant elle, Kokoro succombait peu à peu. La douleur l’emportait, la faisait délirer, et, tout en soupirant longuement, elle demanda à sa femme de la prendre fort… De la « dominer comme un animal ».

« Oooh, ma chérie, toi, tu sais comment me parler ! »

Arya soupira encore, se mordillant les lèvres, et crispa ses mains sur les hanches de Kokoro. Elle soupira à nouveau, et la pénétra plus durement, se reculant longuement, puis s’enfonça dans un coup sec et fort. Ses bourses claquèrent sur le corps de sa partenaire quand elle s’enfonça jusqu’à la garde en elle. Arya gémit donc, et serra avec sa main les longs cheveux de Kokoro. Elle les tira en arrière, et donna une bonne claque sur les fesses de la jeune femme. Elle se délecta des gémissements de Kokoro, et sourit donc, un sourire pervers et excité, qui trahissait tout son désir, et toute son envie furieuse de lui faire l’amour avec force.

Kokoro voulait se faire baiser comme un animal ? Arya n’allait pas objecter ! Au contraire, elle continua à la prendre, avec force, amplifiant peu à peu le rythme. Elle y allait à fond, de plus en plus vite, de plus en plus profondément, offrant ainsi un digne spectacle, elle, la fille de Sha et de Kiriko !