The Multiversity

Qui sait ce que leur maîtresse avait en tête ? Si dans le couple, il était évident que c'était Félicia qui portait la culotte, concernant la carrière des filles, c'était Aoki qui décidait, c'était son rôle. Elle avait sûrement sa petite idée, outre le fait que cette collaboration puisse profiter des deux côtés, les rapprocher ainsi, c'était pour plus que simplement se dire que, comme les quatre filles partageaient le même lien à peu de chose près avec le couple, autant les rapprocher. Ça, l'avenir le leur dira. Mais pour l'instant, elle subissait le doux assaut plein de tendresse de Doutzen, nichant son visage entre ses fesses pour lui lécher l'anus, la laissant seule, gémissant doucement face à cette preuve d'amour. Il était évident que face à leurs « mamans », les trois demoiselles n'en menaient pas large, elles faisaient ce qu'elles demandaient, point final. Parfois, le groupe adoptait l'idée de jeu d'une des filles, peu importe qui, mais le plus souvent, elles suivaient la danse. Peut-être Doutzen avait aussi appris à connaître Pamela et Harleen ? Pour l'instant, les petites fraises les connaissaient simplement, Aoki préférait qu'elles s'épanouissent plus naturellement, préférant les laisser jouer librement avec des filles de leur âge plutôt que toujours passer du temps avec les adultes. Le courant passait bien entre Tiên et Harleen, elles avaient ce côté un peu fofolle, mais innocent.

« Mmmmmmh. »

À quatre pattes, elle se laissait faire, étant le jouet de la belle européenne, elle appréciait néanmoins tout cela. Sentant le doigt de la belle se glisser en elle, la demoiselle vietnamienne serra les dents et les poings, même si elle appréciait, c'était toujours un peu spécial surtout que là, c'était une nouvelle partenaire. Face à sa demande, le rouge aux joues, elle opina doucement face à sa question, même si elle se demandait si elle était capable de faire comme leur maîtresse ou bien si elle allait avoir un jouet entre les jambes ? Ce ne serait pas dérangeant, mais il manquerait ce petit final qui rendrait tout le monde heureux. Avant de savoir la réponse, elle faisait le tri dans ses pensées pour garder son calme et tenter de parler aussi bien le japonais que possible. Autant Tiên ça allait, elle maîtrisait un peu la langue, moins bien que sa langue natale, forcément, et moins bien que l'anglais, mais ça allait, si la conversation n'était pas trop pointue.

« Sois gentille... au début... On ne se connaît... pas encore... très bien ? »

Sa phrase était un peu hésitante, mais après tout, elle avait peur qu'avec tout ça, elle se soit trompé dans ses mots, mais non, elle avait bien le fond de sa pensée. Elle n'excluait pas un peu plus d'action, mais il faudrait du temps pour s'habituer à sa partenaire et à sa verge, qu'elle soit réelle ou non.

« Et je peux... la mouiller pour... pour que ce soit plus facile ? »

Parler de fellation, ce n'était pas ce qui était de plus simple pour elle en japonais, leurs mères faisaient exprès de parler pour être comprises et les deux non-japonaises ne maîtrisant pas encore totalement la langue, elles parlaient en anglais devant elles. Sous sa pudeur et sa gentillesse, elle n'en restait pas moins une fille sous l'aile d'Aoki, elle en savait des choses, mais bien sûr, ça ne se voyait pas au premier coup d’œil.

Doutzen préparait donc patiemment la belle Tiên. La suite commençait à se dessiner, et elle semblait plus qu’évidente, les deux femmes allaient monter en régime. Elles prenaient naturellement leur temps, mais, petit à petit, la vague continuait à monter. Doutzen s’attaquait à son fondement, la léchant donc, malaxant ses fesses dans la foulée. Elle sentait bien que cette partie-ci de son corps avait déjà été visitée, et il ne fallait pas être sorti de Saint-Cyr pour savoir qui avait bien pu passer par là. Doutzen avait elle aussi couché avec leurs Maîtresses. Mais Tiên souhaitait que Doutzen prenne son temps. Cela tombait bien, car la belle blonde prenait justement tout son temps, léchant longuement cette zone, déposant des baisers ensuite, sentant le corps de sa partenaire se crisper, puis se détendre. Elle pliait sa langue, afin de pouvoir la glisser dans le corps de sa partenaire.

« Hmmm… »

Doutzen frissonnait lentement. Tiên, tout en se tortillant sur place, finit par lui demander si elle pouvait préparer l’orifice qui allait la prendre. Doutzen sourit alors, et se redressa, tout en continuant à à caresser les fesses de sa partenaire.

« Ça doit vouloir dire que tu es prête… Mais je ne suis pas hermaphrodite comme nos Mamans, tu sais… »

Elle s’écarte ensuite un peu, consciente qu’il allait désormais falloir passer aux choses sérieuses. Sans hermaphrodisme, il restait encore les bonnes vieilles méthodes. Doutzen regarda donc autour d’elle, intriguée. Elle avait bien préparé Tiên, mais il était visiblement temps de passer à la suite, et d’aborder les choses sous un autre angle.

« Alors, ma chérie, où est-ce que tu les caches, tes jouets ? »

C'était agréable, mais avec ses maîtresses, Tiên avait appris a aimer ce genre de choses, généralement, c'était Aoki qui se chargeait de cela, léchant sa petite rondelle avec délicatesse. Ensuite, soit elle en profitait, ou alors Felicia venait la prendre, tout le monde savait que la Black Cat avait une préférence pour l'anal, elle aimait faire miauler ses petites chattes. Depuis le temps qu'elles ont été formées aux plaisirs de la chair, le couple gardait quand même une certaine douceur à leur égard, ça leur arrivait de pimenter un peu leurs jeux, mais, ayant vue quelques vidéos avec différentes partenaires, elles étaient très bien traitées, avec une grande douceur comparée à certaines. Désireuse de passer à la suite, Doutzen était d'accord, mais elle n'était pas comme Felicia, comme Aoki, elle avait besoin d'un petit quelque chose pour ça. À peine avaient-elles emménagé dans cet appartement, que leur maîtresse leur avait offert de quoi s'amuser seule, ou non. Mais toujours en étant consentante ! Règle importante.

Excitée ou gênée, la petite vietnamienne venait désigner sa table basse, dans le tiroir, il y avait quelques pilules pour ça, dans le petit placard en dessous, il y avait quelques jouets, cachés dans une boite, selon ce que Doutzen irait fouiller, elle trouvera de quoi s'amuser avec elle, quoi qu'elle choisisse.

« Tu peux fouiller... dedans... »

Elle n'était pas obligée de jouer de suite avec ce qu'elle trouvait, elle pouvait aussi fouiller un peu plus et choisir après ce qui lui plaît le mieux ? Les Strawbbery n'étaient pas aussi innocentes qu'elles le montraient, mais elles étaient tout aussi délicieuses. Avec deux Mamans comme ça aussi, quoi de plus normal ?

Doutzen ne tarda pas à trouver ce qu’elle avait envie de chercher. Elle sourit quand Tiên-chan lui expliqua qu’elle pouvait fouiller dedans. La petite était déjà passablement excitée. Doutzen se pencha vers la table de chevet, et ouvrit le tiroir. Elle vit une petite fiole abritant des pilules roses, ce qui la fit sourire.

« Oh, toi aussi, tu en as ? C’est toi qui portes la culotte, alors ? »

Elle vit aussi d’autres instruments. Il n’y avait rien de très violent. Un vibromasseur, du lubrifiant, des pinces pour les seins avec une chaîne au milieu, un collier et un serre-tête avec de fausses oreilles félines. Doutzen attrapa le collier. Le nom de Tiên avait été brodé à l’intérieur, et il y avait sur le devant une clochette qui carillonnait avec un petit cœur. Le mot « KITTY » apparaissait sur le devant, comme pour souligner l’usage de ce collier. À l’arrière, une boucle permettait d’y relier une laisse. Doutzen se mordilla doucement les lèvres.

« Je ne suis pas leur seule chatte, on dirait… »

Leurs Maîtresses devaient toutefois être moins énergiques avec Tiên qu’avec elle-même. Doutzen avait déjà prouvé à maintes reprises qu’elle était une perverse hors concours. Un tel instrument ne faisait finalement que le confirmer. Elle se pencha vers Tiên, et s’empressa de lui mettre le collier autour du cou.

« Voilà… »

Doutzen récupéra ensuite la fiole, puis en avala une pilule. Elle ferma rapidement les yeux en sentant le vertige l’envahir. Tout son corps se mit rapidement à trembler, et elle soupira ensuite, sentant son rythme cardiaque s’emballer. Elle gémit, et commença à se masturber, agenouillée sur le lit. Elle cria ensuite, tandis que sa verge se déploya, se dressant fièrement dans une excroissance de son clitoris. Doutzen soupira encore, masturbant sa queue trempée, sentant les testicules remuer sur elle. Un inmon s’était également formé autour de son pubis, et elle sourit malicieusement.

« Je te laisse choisir, ma chérie… Soit je te prends en étant allongée sur toi, soit… Tu te mets à quatre pattes… Ensuite, on ira voir tes copines, et tu me montreras comment tu fais bien la chatte humaine… »

Tout un programme !

Est-ce que tout se passait bien ? C'était ce à quoi devait penser Aoki alors qu'elle dînait avec Felicia à l'heure qu'il est. Le but n'était pas simplement que ses protégées se rapprochent et soient amies. Elle espérait que Doutzen tombe sous le charme de l'une de ses trois petites fraises. Pourquoi pas les trois ? En soit, cela ne la dérangeait pas, mais le projet de Strawberry, en dehors du succès, c'était de chambouler l'industrie. Idol, star de ciné, dès qu'un peu de notoriété se fait sentir chez une étoile montante, cette personne devait rester pure. Pas de moitié avec qui partager sa vie, ça devait être aussi secret que le code nucléaire si c'était le cas inverse ! Une star est là pour ses fans ! Faux ! Pourquoi dans les pays d'Asie, on pense cela et ailleurs, on se fichait que Brad Pitt ai une femme, que des stars plus jeunes sortent ou se marie avec des gens, tant mieux pour eux ! Aoki comptait bien montrer la collaboration entre elles, puis par la suite, de laisser voir le fait que Doutzen sorte avec une de ses trois petites fraises. Peu importe laquelle. Non seulement, elles auront une personne dans leur vie, mais en plus, une relation lesbienne ! Autant dire qu'elle ne compte pas chambouler les mœurs, elle va les forcer à changer ! Le Japon changeait doucement, acceptant cet amour du même sexe, il faut allez plus loin ! Et pas seulement, car elle était fiancée à Felicia, car ça devait changer. Ce n'est pas pour demain qu'elle comptait montrer ça au grand jour, sa petite blondinette pouvait prendre le temps de faire un choix, mais il faut qu'à la fin du week-end, son cœur balance au moins plus vers l'une des trois. Vers qui ? Kurumi, la japonaise du trio et la plus âgée ? Tiên, l'extravertie un peu chouchoutte des plateaux tv pour ses réponses et sa manière d'être ? Ou Mei, la petite douceur du trio qu'on a envie de câliner ?

Dans l'appartement, pour le moment, le destin la poussait vers Tiên, elle ignorait si ça serait son choix définitif, mais c'était bien elle qui la côtoyait le plus depuis le début. Doutzen fouillait avec sa permission dans ses affaires, trouvant des petites choses intéressantes. En réalité, les trois tiroirs des trois chambres, se ressemblaient, dans chacune, il y a avait un collier, un serre-tête, une laisse et de quoi devenir futa. Aoki tenait à ce qu'elles s'habituent, jouent ensemble. Elles ne pouvaient pas toujours les former, pour certaines choses, elles pouvaient le découvrir ensemble.

« [On a toutes ça... Maman veux qu'on s'y habitue.] »

Dit-elle quand son amie montrait les pilules. Elle sortait certaines choses, venant installer le collier et la laisse autour du cou de Doutzen, tout en prenant de quoi devenir une futa. Elle se touchait devant elle, et Tiên n'en perdait pas une miette, jusqu'à la voir devenir une femme dotée du service trois pièces, qui lui laissaient un nouveau choix. Évidemment, les filles n'avaient pas honte de coucher ensemble, elles ont passé ce cap, mais de là à prendre cet appartement pour une maison pleine d'orgie, c'était mal les connaître. À part quand leurs maîtresses venaient ici, ça restait plutôt calme même si doucement, elles s'épanouissaient. L'idée de se montrer aux autres était plaisante, mais Kurumi et Mei n'étaient pas encore sortie de la douche, comme elles, elles devaient un peu en profiter donc, elle s'étalait sur le lit, installant ses oreilles de chat, avant de se présenter, les pattes replier devant elle, comme la petite chatte qu'elle était.

« [Co-commence par venir sur moi... On... On verra après...Kurumi et Mei... ont droit de s'amuser aussi de leur côté.... Nyaaaaan ?] »

La belle petite vietnamienne s'offrait à elle, elle ne lui interdisait pas de voir ses amies, juste de d'abord jouer avec elle, pendant qu'elles jouaient déjà sûrement entre elles. Doutzen pensait venir en terrain conquis, ce n'était peut-être pas forcément le cas. Si elle agit comme avec leur maîtresse en étant insolente, elle avait ses chances de dominer les chatons... Sinon, ça risquait de feuler, sexuellement parlant.

Petit à petit, Doutzen se laissait aller, succombant à ses pulsions, à ses désirs. Elle se doutait que ses Maîtresses devaient être derrière tout ça, mais c’était avec plaisir qu’elle plongeait dans le vice et la lubricité avec les Strawberries. Tiên n’était que la première sur la liste, car, foi de Doutzen, ce soir, elle coucherait avec les trois ! Elle observait les différents jouets que Tiên lui proposait, et celle-ci grimpa sur le lit, se couchant sur le dos en écartant les jambes, non sans avoir mis au préalable le serre-tête avec les oreilles de chat. Doutzen sourit, tout en avalant à son tour le comprimé rose, utilisant pour cela un verre d’eau. Elle ferma les yeux ensuite, et caressa le bas de son ventre. Elle perçut des fourmillements, des démangeaisons fortes à hauteur de sa chatte, et se mit à gémir. Elle se mordilla les lèvres, en se crispant sur place, et gémit encore en sentant son clitoris se déformer, s’étirer et grossir. Doutzen pouvait sentir ce membre épais, ce vit assoiffé qu’elle se mit à tendrement masturber, le sentant gonfler et durcir entre ses doigts.

« Oh, ma belle, toi, tu sais comment me parler… »

Souriant malicieusement, Doutzen rejoignit donc le lit. Ses mains caressèrent les jambes de Tiên, et elle se pencha vers l’un de ses pieds, venant même doucement l’embrasser. Sa langue glissa aussi dessus, le léchant, tandis que, devant elle, Tiên-chan poussait de petits couinements, singeant des miaulements. Doutzen s’en amusait naturellement, et relâcha ensuite la jambe de Tiên-chan. Elle coucha ses jambes sur le lit, et se pencha vers elle. Sa verge vint glisser contre la peau de sa partenaire, autour de son sexe. Doutzen s’allongea sensuellement contre elle, et l’embrassa avec passion. Elle pressa son corps contre le sien, et soupira doucement.

« Hmmm… »

Doutzen l’embrassa tendrement, se pressant encore contre elle, déplaçant son bassin de haut en bas. Elle prenait son temps, frottant sa verge contre la délicieuse chatte de Tiên-chan, l’excitant et s’excitant aussi.

« Ma petite chatte va ronronner bien fort, hein ? Tu es tellement mignonne… »

Cela donnait lieu à un second baiser, et Doutzen se déplaça ensuite. Elle se redressa, posa sa main sur sa verge, et l’enfonça ensuite doucement dans la chatte de sa partenaire. Elle soupira en se mordillant les lèvres devant l’étroitesse de l’intimité de sa partenaire, et donna un premier coup de reins, bandant ses muscles pour s’enfoncer plus profondément en elle. Doutzen gémissait également, ses joues se teintant de rouge. Elle n’était pas forcément habituée à porter la culotte, alors elle oubliait parfois à quel point cela pouvait être difficile, douloureux… Et prenant !

Elle avait appris auprès des meilleures, même si pour le moment, cela se limitait surtout à ses maîtresses, Aoki et Felicia, elle se doutait que bien des choses l'attendissent. Même si Harley était simplement gentille avec elle, elle qui adorait le côté un peu folle de leur garde du corps, Aoki l'avait mise en garde, elle pourrait croiser un jour Pamela, la fiancée d'Harley et là, ça pourrait devenir aussi intense qu'elle et Felicia, de façon différente. Bien entendu, rien ne sera fait sans leur accord, mais Pamela avait cette fâcheuse habitude de faire parler les gens sans qu'ils ne le veuille alors bon, il y a un monde entre le pensée et le dire tout haut. Doutzen appréciait de plus en plus sa nouvelle amie, si bien que lorsque la pilule fit effet, elle se penchait sur elle, venant l'embrasser plus doucement, pendant que Tiên ronronnait et miaulait doucement, sa queue caressait son corps. Doutzen avait des envies, ressemblant de plus en plus à ses maîtresses, mais même si les Strawberries n'étaient pas aussi entraînées qu'elle, il faut pouvoir satisfaire les trois chatons de leurs maîtresses.

« Mmmmh, Mrrrraw... »

Bien docile, elle se laissait faire, les mains de la belle blonde caressaient son corps, où bon lui semble, grimpant bien vite sur elle pour que sa puissante verge glisse entre ses cuisses. Même si l'entrée n'était pas aussi large, elle pouvait y entrer sans trop de difficulté. Elle se tortillait sur place, laissant sa partenaire faire ce qu'elle voulait de son corps pendant qu'elle miaulait doucement entre deux gémissements. Ses mains près de sa tête, elle les relevait doucement pour les passer autour de Doutzen pour l'attirer à elle et prolonger leur baiser. Même si Doutzen portait pour le moment, la culotte, le tout était si calmes et doux, leurs maîtresses avaient ainsi habitué les trois chatons. Tout dans la douceur et les caresses. Elles ont déjà assisté à des séances plus passionnées avec elles, mais elles n'étaient pas encore à l'aise pour des séances très SM. Ça viendra, il ne fallait pas aller trop vite, rien de plus. Elles ignoraient ce que leur manager avait derrière la tête, mais une chose est sûre, il fallait lui faire confiance, Aoki était un génie pour ça. Donc, si elle voulait que Doutzen passe la nuit avec les filles, elle passerait la nuit ici, quoi qu'il arrive...

Doutzen avait bien compris que les Strawberries devaient être prises avec douceur. Sur ce point, il n’y avait rien à craindre venant d’elle. Doutzen avait certes été habituée à du sexe un peu brutal et intense, notamment en compagnie de ses Maîtresses, mais elle savait aussi y aller plus doucement. C’était ce qu’elle comptait faire avec Tiên-chan, quitte à faire ensuite lentement monter la sauce. Elle sentit les bras de Tiên-chan s’enrouler autour de son cou, et Doutzen commença à lentement remuer en elle. Elle posa ses mains sur le postérieur de sa partenaire, et l’embrassa donc, tout en remontant l’une de ses mains. Elle la posa sur la tête de Tiên-chan, et serra ses doigts sur ses cheveux. Doutzen se pressa davantage contre elle en soupirant de plaisir. Leurs langues ne tardèrent pas à se rencontrer, et la jeune blonde soupira de plaisir. Elle sentit cette vague l’envahir, faisant frissonner son corps, tout en sentant aussi l’étroitesse de la chatte de la jeune femme.

« Hmmmm… »

Elle poussa encore, et coucha de nouveau son amante sur le lit. Doutzen resta lovée contre elle, et entama des coups de reins. Elle attrapa les mains de sa partenaire, et les plaqua sur le lit, joignant ses mains aux siennes. Leurs doigts s’entremêlèrent, et Doutzen poursuivit avec emphase son baiser. En prenant sa partenaire en missionnaire, elle avait aussi plus d’amplitude, et pouvait sentir à nouveau la résistance de son corps. Doutzen soupira donc contre elle.

« Tu… Tu es très serrée, ma belle, haaaa… Quel bonheur… »

Doutzen y allait-elle trop fort ? Ce n’était pas le sentiment qu’elle avait en voyant le regard de Tiên-chan, en voyant la manière dont ses joues s’empourpraient. Ceci étant dit, s’arrêter à ce stade était presque impossible, tant cette vague était forte. Elle l’emportait pleinement, et Doutzen continuait donc à remuer, de haut en bas, coulissant à chaque fois plus profondément en elle. Doutzen soupirait longuement, et relâcha les mains de Tiên-chan. Elle posa l’une de ses mains en appui sur l’épaule de son amante, et l’autre vint malaxer l’un de ses seins, qu’elle pinça, avant d’embrasser sa partenaire, cette fois dans le creux de son cou.

Positionnée ainsi, la jeune femme soupira, tandis que sa queue continuait à se mouvoir, les unissant l’un à l’autre.

« Hmmm, c’est… C’est si bon d’être en toi, haaaan… Régale-moi de tes soupirs, ma jolie… Montre-moi pourquoi nos Maîtresses vous aiment tant… »