The Multiversity

C'est sûr, Booette ne pouvait pas se contrôler face à Bowsette, dans sa courte vie de fantôme, elle n'avait jamais eut peur de qui que ce soit. Elle était consciente de son statut de fantôme et donc, que rien ne pouvait la tuer. Sans être une femme surpuissante qui pourrait détruire le monde d'un claquement de doigt, elle savait au moins-que-rien ne pouvait la tuer. Il y a bien les exorcistes et autres personne lié aux fantômes où elle avait un petit doute sur le danger ou non, de les affronter mais en dehors de ça, les coups de poings, d'épée, de magie, du blabla inutile. Peut-être la magie pouvait lui faire mal, comme à ses Boos, mais peu importe la douleur, elle ne pouvait pas mourir donc à part la rendre folle de rage... Mais face à Bowsette, elle s'écrasait comme une petite fille qui venait de faire une bêtise face à sa maman qui viendrait la gronder ! Non pas qu'elle voyait sa future femme comme sa mère, mais vu ses réactions, il y a un peu de ça dans le résultat. La reine spêctracle tentait de maintenir son regard sur elle, sans masqué son visage mais c'était presque comme un reflexe, elle en avait tellement envie ! Affronter son regard, si proche, que c'était duuuuuur !

« Aaaaaaaaaaaaaaaaah~ »

Plaisir et peur, gêne et amour, tant de contraire qui se mélangeait en elle, difficile de savoir comment réagir ! Mais la reine koopa commençait à y voir plus clair et proposait à sa femme d'en rester là sur son comportement. De rester ainsi pour elle, de rester elle-même pour les autres. Oh ça, elle comptait bien se rattraper, car la puissante Booette ne pouvait pas se montrer si faible et vulnérable devant les autres. Sa femme se redressait en continuant de la baiser avec force et amour, elle couinait de plaisir en tirant sa longue langue bleue hors de sa bouche, sentant sa virilité déformée le bas de son ventre. Si grosse, si puissante, c'était normal de se sentir un peu à l'étroit. Après tout, Booette était vierge, elle avait offert cela à sa femme et il lui faudra un peu de temps pour être tout à fait à l'aise en elle.

« Mmmmmmh aaaaaaaaaaaaah ! C'est.... booooooooon~ »

Toute docile, soumise, qu'elle était, elle restait franche face à ce plaisir nouveau qui l'envahissait, elle était censée devenir l'égale de Bowsette sur le plan diplomatique, mais en privé, elle pouvait être sa chose que cela ne ferait pas grande différence, elle était naturellement soumise à Bowsette ! Reste à savoir si avec le temps, elle aura plus confiance en elle et moins peur de sa future femme, mais pour le moment, ce n'était pas prêt d'arriver.

Même après lui avoir dit de ne pas paniquer, Bowsette sentait bien que sa Booette continuait à être nerveuse, avec ce réflexe presque naturel de dissimuler son visage derrière ses mains. Quand elle fut encore tentée de le refaire, Bowsette attrapa ses poignets, et les bloqua sur le lit.

« Hnnn… ! »

Sa verge vibrait doucement. Les picots étaient sortis. Ils n’étaient nullement tranchants, et permettaient de faire vibrer son sexe, offrant en réalité une couche de plaisir supplémentaire. Booette en venait à se tortiller sur place, incapable de résister à une telle vague. La jeune Boo couinait de plaisir, tirant sa longue langue reptilienne bleuâtre sous son nez. Bowsette, elle, grognait encore, se concentrant, son corps massif et puissant s’écrasant régulièrement sur celui de celle qu’elle considérait déjà comme sa deuxième femme. Pour Booette, il n’y avait tout simplement aucune autre alternative que celle de servir son aimée. Bowsette envisageait déjà de faire des recherches pour découvrir comment remplir sa chambre à bébés, et qu’elle fasse des enfants avec elle !

Bowsette soupira encore, serrant toujours les poignets de Booette, et, quand celle-ci fit mine de tourner la tête, Bowsette se pencha vers elle, et l’embrassa.

« Puisque tu es incapable de tenir en place, rajouta-elle ensuite, je vais t’embrasser… Hmmm… Longuement ! »

La Reine koopa passa donc à l’offensive, empêchant ainsi Booette de s’échapper à son regard, tout en continuant à la bourrer avec appétit. Elle s’unissait à elle, et relâcha enfin ses poignets, conservant une main sur celle de Booette, entrelaçant ses doigts avec les siens. Sa main libre se déplaça, et pinça l’un des seins de Booette à hauteur du téton. Elle joua dessus, tandis que sa langue jouait avec celle de Booette, qui était assez amorphe. Mais, quand sa langue heurta la sienne, le léger contact électrique sembla la stimuler. Toute concentrée à ce qu’elle faisait, Bowsette avait fermé les yeux, s’abandonnant totalement contre le corps de sa femme, frissonnant doucement.

« Hmmm… »

À ce stade, il lui manquait juste de sentir la belle main de Booette sur ses fesses, alors elle déplaça la main palpant les seins de sa future femme pour attraper l’autre main de Booette, et la guida vers son postérieur… Puis, en espérant que Booette ait compris le message, elle retourna palper son sein, tirant sur le téton, faisant à chaque fois couiner sa belle partenaire…

Ce n'était pas sa faute, naturellement Booette se sentait intimidé par Bowsette, elle voulait se cacher, fuir son regard. Elle l'aimait, oui, mais elle n'arrivait pas à maintenir son regard, c'était trop dur ! Cela allait peut-être changer avec le temps, mais pas immédiatement. Elle faisait des efforts pourtant, mais chaque fois qu'elle allait outre, son corps lui dictait violemment de lui obéir. Cela faisait partie de son charme même si ça donnait une raison en plus à Bowsette de dresser sa future femme pour qu'elle lui obéisse. Plaquant ses mains sur le lit, elle pourrait fuir si elle le voudrait vraiment, rendre son corps intangible et fuir. Mais preuve de son amour pour elle, elle ne le fit pas, se laissant dominer et baiser par la reine koopa qui lui dictait quoi faire. Ses lèvres se retrouvant contre les siennes, elle l'embrassait langoureusement quand leurs langues se fit face. Reprenant une taille plus normal, elle jouait timidement avec la sienne, tuant ses gémissements dans sa bouche pendant qu'elle continuait de rentrer sa verge en elle. Vibrante, plaisante, Booette mouillait tant pour sa femme.

« Mmmmmmmmhhhhh... »

Elle fermait ses poings, toujours bloquer par Bowsette qui la forçait à lui faire face, avec ce baiser. La reine Boo tentait de la regarder, mais quand son regard croisait le sien plus de deux secondes, elle fermait les yeux, regardant ailleurs parfois. Elle appréciait pourtant de se sentir écrasée par elle, de sentir sa chaleur sur son corps froid, elle l'aimait, mais elle la craignait. C'était dans ses gênes. La reine koopa la relâchait quand même un peu, pour mieux déplacer ses mains sur son corps pendant que les siennes s'amusaient avec sa poitrine pour mieux la faire couiner même si cela était étouffé par leur baiser. Ses mains timides palpaient son cul musclé, chaud et moelleux, mais elle en profitait sûrement, pour mieux serrer ses fesses quand elle la butinait. Un message subliminal de lui demander d'aller plus fort encore. Ses mains froides et tremblotantes qui venaient pourtant l'appuyer dans ses mouvements. Elle voulait se sentir chaude à l'intérieur, chaude, heureuse et comblée. Si bien qu'elle rompît le baiser, laissant sa voix résonné dans leur chambre.

« Haaaaaaaaaaaaan ! Remplis-moi, Bowsette... Huuum, réchauffe mon corps avec ton foutre. »

Exhibant ses dents pointues, sa langue pouvait aisément s'étirer et sa peau, qui rougissait facilement tant elle était pâle, elle était heureuse, heureuse de cet amour qui la réchauffait, heureuse de bientôt sentir son foutre en elle, ou même sur elle.

La nervosité de Booette n’échappait nullement à Bowsette, qui semblait s’en gausser avec joie. Elle la pénétrait férocement maintenant, s’enfonçant lourdement et puissamment en elle, ne formant plus qu’une avec sa belle fantôme. La si terrifiante Booette rougissait en la regardant, et obtempéra aux injonctions de sa future femme, venant palper son cul musclé, pressant ses mains et, de manière générale, tout son corps, contre le corps puissant et savoureux de Bowsette. Booette attendait désormais de se faire remplir, mais Bowsette n’était pas pressée. Elle ne voulait pas rompre trop rapidement cette délicieuse séance avec son amante, et continuait donc à la besogner avec appétit, remuant fortement et joyeusement en elle.

« Han, ma Booette ! »

Sous le charme, Bowsette poursuivait son office avec passion, et se pinça les lèvres, sentant le plaisir croître encore, atteignant le dernier degré.

« Hm-hmmm… !! »

La Reine koopa se mit à jouir avec force, fermant les yeux en inondant la chatte de Booette. Un épais jet de foutre jaillit, et Bowsette se relâcha donc, jouissant joyeusement. Elle déversa tout son plaisir, toute sa soif satisfaite, dans le con de sa femme, ses muscles se relâchant au fur et à mesure qu’elle crachait son magnifique sperme. Son foutre jaillit en elle, venant remplir le corps de Booette avec amour et passion.

« Ohhhh… Ce que c’est bon ! »

Bowsette l’observa ensuite, et lui sourit chaleureusement, avant de l’embrasser sur les lèvres.

« Je t’aime, ma Booette… » lui déclara-t-elle alors, tout naturellement.

Booette était toujours prise par Bowsette, sous le charme de la reine Koopa qu'elle aimait, mais qu'elle craignait aussi. Pourtant, elle ne lui avait rien fait, mais quelque chose émanait d'elle, quelque chose que la reine spectrale la terrifiait naturellement. Surement que c'était dû au roi Boo et à sa servitude envers Bowser, mais la pauvre reine ignorait ce genre de détail. Elle aimait juste Bowsette... et elle l'a craignait. Avec le temps, cela allait sûrement changé, mais pour le moment, sa future femme lui faisait l'amour, lui imposant de la regarder et elle luttait pour maintenir ce contact visuel avec elle et... c'était dur ! Mais l'amour et la peur l'aidaient à tenir, mais le plaisir surtout, c'était aussi gratifiant que frustrant, car plus le plaisir était grand, plus elle avait envie de fermer les yeux et de profiter à fond. La reine Boo gardait quand même bon bout avec elle et ce, jusqu'à l'orgasme où elle se cambra, hurlant son plaisir, la langue hors de la bouche en serrant le corps de sa femme contre elle.

« HHAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN !!!!! »

Après quelques secondes immobile, elle la relâchait, se reposant sur le lit, avec une Bowsette qui lui avouait ses sentiments. C'était mignon, et Booette en rougit, ne pouvant s'empêcher de détourner le regard, mais en restant au moins blottit contre elle.

« Mmmmmh.... je... je t'aime... ma... ma B-Bowsette... »

Sentir son corps chaud contre le sien était si agréable. Sa poitrine douce et chaude, ses muscles, oh oui, Booette aimait plein de choses chez cette femme, mais elle en avait quand même un peu peur, faut bien dire ce qui est. Mais au moins, cette peur, ce n'était pas de sa faute. Pour la câliner, ça allait, il n'y avait pas besoin de grand-chose, même pas besoin de se regarder dans les yeux, juste sentir son corps contre le sien, c'était très appréciable. Mais peu de chance que cela comble sa future épouse, elle va sûrement en vouloir plus ! Même si Booette n'était pas contre, ce sera une nouvelle étape à franchir et cela lui donnera toujours un peu plus d'assurance pour aider à vaincre sa peur envers sa future femme quand même !

Qui aurait cru que la si terrifiante Booette puisse à ce point s’incliner devant elle, être à ce point intimidée par Bowsette ? La Reine koopa venait de jouir en elle, et, quand Booette lui avoua qu’elle l’aimait aussi, Bowsette ne put que sourire, et se lova contre elle, venant tout simplement la câliner. Elle l’enlaça avec force, et se pressa contre elle. Un élan de tendresse et de chaleur destinée à rassurer Booette, tandis que la verge de Bowsette frottait contre son ventre. La Reine koopa n’en avait effectivement pas encore fini avec elle, mais elle tenait à prendre son temps, à savourer chaque instant de cette séquence avec Booette. Elle se redressa ensuite, et regarda à nouveau Booette, pour voir celle-ci détourner nerveusement le regard. La main de Bowsette se posa alors sur les joues de Booette, et elle la força à la regarder, voyant les joues de Booette s’empourprer.

« Si tu veux qu’on se marie, il faudra que tu me regardes sans crainte, ma chérie… Alors, ce sera ça, ton objectif. On ne pourra se marier que le jour où je ne sentirai dans tes yeux qu’un amour profond pour moi, et pas cette peur panique qui t’anime. »

Bowsette venait de poser ses conditions. Elle relâcha ensuite le menton de Booette, et déplaça sa main pour caresser ses cheveux. Un sourire amusé se forma sur ses lèvres, et elle l’embrassa à nouveau. Les deux terribles femmes se montraient entre elles très chaleureuses et très agréables. Ce n’était pas pour déplaire à Bowsette, et sa langue alla jouer à nouveau avec la longue langue reptilienne de Booette, qui était sortie pendant son orgasme. Les deux femmes s’embrassèrent longuement, Bowsette se frottant contre le corps de Booette, sa verge retrouvant peu à peu sa dureté. La Reine boo allait vite comprendre combien son amante était infatigable, inépuisable, et combien elle aimait le sexe de manière totalement disproportionnée.

La Reine koopa rompit le baiser après une bonne minute, et se redressa alors.

« Mets-toi à quatre pattes, ma Booette, je vais continuer à te baiser très fort, ma chérie… Notre soirée ne fait que commencer ! »

Si Booette espérait s’en tirer à si bon compte, elle se trompait lourdement !

Booette était à la fois si soulagé et si stressée face à Bowsette, sa future femme. Elle n'était pas terrifiante, elle était même très belle, une peau très douce, une voix savoureuse, bref, elle pourrait lui trouver bien des compliments si facilement. Mais c'était instinctif, elle la craignait, c'était dans sa nature, une sorte de sécurité qui ferait que Booette ne pourrait jamais ne serait-ce qu'imaginer doubler Bowsette ! C'était dans la nature du Roi Boo envers Bowser ou une sécurité installé par Tastroff lors de sa « conception », elle l'ignorait, mais quoi qu'il en soit, elle aurait bien du mal à tenter de répondre présente aux attentes de la reine Koopa. Cela pouvait se comprendre qu'elle souhaitait ne pas voir de peur dans le regard de sa promise, mais c'était comme lui demander de ne pas respirer. Enfin, demander ça à une personne normale, car Booette, de par sa nature, on pouvait l'empêcher de respirer, ça n'allait pas la gêner.

« M-mais mais mais... Cela me sera compliqué ! »

L'amour et le sexe pourraient peut-être faire des miracles, mais pour le moment, Booette ne se sentait pas capable d'un tel miracle ! Même si elle avait la trouille, sentir son corps chaud contre le sien – moins froid que d'habitude, mais pas à la même température que la reine Koopa – et sa langue dansant avec la sienne, c'était mieux qu'un massage, elle se sentait si bien avec elle, voulant faire durer ce moment très longtemps. Elle avait tendance à fermer les yeux, pour ne pas affronter son regard et savourer ce qui se passait entre elles. Mais quand le baiser se termina, la puissante Bowsette avait une nouvelle envie. Elle retrouva sa position précédente, mais peut-être cette fois, elle ira jouir dedans plutôt que changer de trou pour lui remplir le vagin. Non pas que c'était déplaisant, juste, ça pouvait varier un peu.

« Est-ce que.... tu... tu comptes jouir de-dedans.. Ce-cet-cette fois ? Bo-bowsette chérie ? »

À défaut de la regarder, et même lui parler sans crainte, elle tentait de lui donner un petit surnom mignon au moins. Depuis le début qu'elles étaient dans ce lit, à part dans les moments intenses, elle ne faisait que l'appeler par son nom, au mieux, Ma Bowsette, ce genre de chose donc... elle faisait des efforts, à sa manière. À quatre pattes, face au miroir, ses jolies fesses blanches faisaient une fois de plus face à son imposante verge. Si massive et pourtant, elle pouvait pénétrer ce petit trou étroit. Faisant preuve d'effort et d'une pointe d'envie, faut pas le nier, sa verge se retrouva à se frotter entre les fesses de la reine fantôme, sa belle saucisse se retrouvait écraser entre son ventre et son délicieux cul frais. Bowsette allait vite la réchauffer, mais l'effort était quand même au rendez-vous. Timide et catin, deux choses qui devrait plaire à sa future épouse, non ? Pourtant, sa timidité face à elle serait forcément un défaut ?

Bowsette était décidée à remplir le ventre de sa future femme, de sa fiancée. Pourrait-elle un jour l’enfanter ? Elle n’en savait trop rien. Sur le principe, cela était impossible, mais, en même temps, il était aussi impossible que Bowsette voie le jour. Et ses épouses méritaient de porter ses enfants ! Cet honneur, elle comptait déjà l’offrir à Daisy. Pour l’heure, son épouse était trop occupée à multiplier les voyages diplomatiques, mais, dès qu’elle reviendrait, et qu’elle aiderait Bowsette à gérer Humpa, celle-ci l’enfanterait. En attendant, elle se renseignerait sur la nature de Booette, et ferait tout pour que Booette lui donne un beau bébé !

Pour l’heure, la jeune Booette commençait à paniquer un peu moins. Toujours aussi nerveuse, elle demanda à « Bowsette-chérie » si celle-ci comptait jouir en elle, tout en se mettant à quatre pattes. Sans pouvoir la voir, Booette paniquait moins. Il y avait toutefois un miroir en face d’elles. Bowsette tenait à voir son visage, elle voulait voir l’expression de Booette quand la Reine koopa viendrait la remplir. Ses deux mains palpèrent les hanches de Booette, et se déplacèrent pour jouer avec ses fesses, les palpant, les pressant, les malaxant avec appétit, tandis que sa verge, lourde et assoiffée, alla caresser les lèvres intimes de Booette. Elle déplaça ensuite sa verge, pour caresser la croupe de Booette, écartant ses fesses l’une de l’autre avec ses mains.

« Hmmm… »

Elle prenait tout son temps pour lui répondre. Rien ne pressait, après tout, et Bowsette comptait faire longuement l’amour avec Booette. Elle frotta sa queue contre ses fesses, les écartant l’une de l’autre, et y frotta sa verge, glissant contre sa croupe. On aurait pu croire qu’elle passerait à la sodomie, mais Bowsette visait toujours sa chatte.

Elle descendit donc à nouveau, et frotta sa verge contre les lèvres intimes de Booette. Un sourire amusé éclaira ses lèvres, et elle frémit ensuite. Son membre turgescent caressait ses parois, menaçant de s’y enfoncer à chaque instant.

« Oui, je vais jouir en toi, ma Booette d’amour… Je vais te baiser très fort, ma chérie, très, très fort ♥ ! Et… Crois-moi, je vais faire des recherches pour trouver un moyen de te féconder, ma belle ! Maintenant, sois une belle petite épouse en devenir, et couine bien fort quand ma belle queue va venir te défoncer la chatte ! »

Bowsette sourit malicieusement, très amusée par la situation, par ce mélange de vulgarité et de douceur. Ses picots jaillissaient de sa verge, et caressèrent les parois intimes de Booette, vibrant sous l’effet de l’excitation. La Reine koopa soupira ensuite, et la pénétra alors, sentant rapidement l’hymen de sa femme…

…Et elle pinça sa chair en perçant son hymen.

Toujours aussi paniqué face à cette femme, Booette savait que tôt ou tard, elle devrait lui faire face sans peur, sans détourner le regard, mais pour le moment, c'était un peu trop lui demander. Comment pourrait-elle faire une telle chose ? La reine spectrale était un peu plus calme pour lui parler quand elle ne devait pas la regarder. Ce n'était pas encore ça, mais c'était un bon début en tout cas pour plaire à sa future épouse. Booette sentait sa puissante verge tourner autour du pot, même si cette dernière se trouvait toujours vers son anus – le signe que la reine Koopa aimait cette zone peut-être – mais elle comptait bien la déflorer, mais pas seulement, car elle avouait vouloir lui faire des enfants, en cherchant une solution à ce souci qui était le sien. Booette n'était pas vraiment inféconde, ou si ? Disons que même sans rechercher, son statut de Boo, donc de fantôme, l'empêchait d'avoir des enfants. Quelqu'un à déjà vu un fantôme tomber enceinte ? Des fantômes de femmes enceintes, mais des femmes fantômes qui soudainement attendent un enfant, ça, jamais. Un fantôme ne peut pas donner naissance à un bébé fantôme voyons. Mais entendre cela, du moins que cette dernière fasse des recherches pour pallier ce problème, cela réchauffait son corps froid, faisant battre son petit cœur. Booette était une grande sensible face à Bowsette. À vrai dire, face à elle, était bien différente de la reine Booette qu'elle fut avant leur rencontre.

Booette restait silencieuse, mais elle appréciait le geste de sa future femme, rougissant un peu plus même sans la regarder à travers le miroir alors qu'arrivait enfin sa verge pointue en elle, déchirant son hymen en lui arrachant un petit cris de plaisir soudains, alors qu'elle était perdue dans ses fantasmes.

« Haaaaaaa ! Maî-Maîtresse ! »

Elle croisa son regard à travers le miroir avant de fermer les yeux bien fort, toujours un peu intimidé ou par la douleur ? Surement un peu les deux. En tout cas, elle couina, encore doucement, mais la douleur fut de courte durée dans cet endroit, car bientôt, ce fut le plaisir qui la traversa, son épais membre et ses nombreux picots aidait la reine fantôme à laisser le plaisir s'imposer plus facilement que la douleur qui la traversa entre ses cuisses. Bowsette était sa première fois, mais elle risquait d'être une des seules à pénétrer son intimité, car après tout, en dehors de sa femme, elle n'était pas docile comme ça. Alors elle risquait de croiser d'autres femmes, oui, mais elle allait s'imposer de force ! Et il ne faut pas croire que justement, sous son aspect fragile face à Bowsette, elle était ainsi. Grave erreur ! Mais entre ses mains, la reine pâle se laissait prendre par sa femme, laissant pendre sa langue en couinant encore doucement de plaisir, mais des couinements plus nombreux et un peu moins discret qu'avant. Si elle voulait briser ce « silence », Bowsette allait devoir mettre le paquet pour sa future épouse et lui faire abandonner la gêne qui était bien ancrée en elle avec la reine koopa. Après tout, Bowsette voulait la décoincer, mais elle était loin d'avoir essayé toutes les options ?

Plus tard, Bowsette allait devoir sérieusement réfléchir à la manière dont elle allait pouvoir décoincer Bowsette face à elle. Elle savait pourtant de quoi la Reine boo était capable, mais, face à elle, Booette perdait toute contenance, tout contrôle. Elle s’effondrait sur place, inerte, docile, soumise. Bowsette devrait résoudre ce mystère, comprendre ce que cela voulait dire et comment faire au mieux pour faire d’elle sa puissante femme. Elle savait que cela la travaillerait, mais, pour l’heure, Bowsette comptait juste s’amuser avec elle ! Elle la prenait donc par l’arrière, et soupira en sentant les parois intimes de Booette se dilater de plus en plus, favorisant le passage, son intrusion en elle.

« Hmmm… ! Oui, ma chérie, je suis là, hmmm… ! »

Elle était là, et même bien là ! Bowsette remonta sa main, et donna une tape sur le postérieur de Booette. La Reine boo comprenait ensuite que Bowsette n’était pas qu’une puissante femme violente, qu’elle pouvait aussi faire preuve de douceur. Mais l’heure n’était plus à la douceur, à vrai dire, mais à la passion, à l’expression des corps ! Bowsette continuait donc à la prendre, amplifiant le rythme, et la fessa en voyant que Booette avait les yeux clos.

« Interdit de fermer les yeux, ma chérie ! Pas maintenant, hmmm… Dès que tu les fermes, tu reçois une fessée ! Je veux que tu me regardes, haaa… Que tu regardes ta Maîtresse, ta femme, en train de te faire l’amour ! Tu dois graver chaque seconde de ce moment dans ta tête, ma chérie ! C’est ta première fois ! »

Bowsette releva ses mains, et caressa les hanches de Booette, puis continua à la prendre. Sa main se déplaça pour attraper ses longs cheveux soyeux, et elle tira doucement dessus, les faisant basculer en arrière. Bowsette releva ainsi la tête de Booette, et donna une gifle supplémentaire sur son postérieur. Brutale et ferme, Bowsette pouvait aussi se montrer douce et aimante, comme elle était en train de le faire en ce moment… À sa manière très particulière !

Booette ne pouvait pas faire autrement pour l'instant, Bowsette était une des rares, si ce n'est la seule personne au monde qui la terrorisait de par sa présence ! Les Boos n'étaient pas connues pour leur courage, regarder un Boo en face suffit à le figer, ayant tendance à frapper en traître ou en nombres, la reine y était moins sensible, ce n'était pas un simple humain, mage ou autre qui allait lui faire peur. Mais son instinct lui dictait que la reine Koopa devait avoir sa soumission. Face à tout ce plaisir, elle ne pouvait s'empêcher de fermer les yeux, malgré son interdiction, c'était plus fort qu'elle ! Le plaisir mêlé à la peur, difficile de rester les yeux grands ouverts pour elle, elle lui en demandait beaucoup trop ! Mais cela n'empêchait pas la reine spectrale d'essayer, à défaut de réussir. Et puis, soyons franc, recevoir une claque sur sa chair froide, cela n'était pas si désagréable. Peut-être était-ce une façon de mieux savourer la chose, d'avoir un autre aspect, aussi petit soit-il, qu'elle était en vie ? Sa peau vibrait, elle frémissait à ce contact, à cette autorité. Booette n'allait peut-être pas être une pure soumise qui aimerait se faire tenir en laisse par son épouse, elle serait docile et soumise, mais n'exagérons rien. Mais recevoir ce genre de petites choses ? Ha, pourquoi pas ?

« Haaaaaaan ! D'a... D'accord ! »

Peur, soumission, plaisir, elle tentait autant que possible de conserver les yeux ouverts face à sa Bowsette qui lui faisait l'amour dans son dos, elle la voyait au travers du miroir, elle sentait son énorme verge remuer entre ses cuisses, elle lui appartenait, elle le savait, c'était inscrit dans ses gênes. Même avec un ordre, même si ce n'était pas directement, c'était si dur de regarder sa future femme dans les yeux ! Elle se sentait craquée, doucement !

« Haaaaaaaaaaaa ! Bowsette !!!!!!! Fesse-moi, je vais craquer ! »

C'était un vrai appel à l'aide, elle ne voulait pas la décevoir et se faire claquer le cul, c'était une piqûre de rappel qui l'aidait à tenir et ne pas fermer ses yeux, ou alors juste sur le coup à cause du choc ! Le coup rebondissait sur son cul, lui redonnant un élan de motivation avec le plaisir, tandis que sa tête était tirée en arrière. Cela l'obligeait à tirer sa longue langue, à peine plus grande que la normale ici, mais n'oublions pas que derrière sa beauté, Booette aurait pu dévorer cette pauvre âme qui avait osé blesser un de ses Boos. Sans l'arrivée de Bowsette, elle aurait pu savoir que Booette pouvait être aussi belle que cruelle. Elle ne disait plus grand-chose à part gémir en se forçant à ne pas fermer les yeux et tenter de contempler sa femme, mais au travers de ses couinements, on sentait que la belle reine pâle prenait un pied incroyable ! L'orgasme n'allait pas tarder et son utérus en sera baptisée par Bowsette. Le premier orgasme en elle, très loin d'être le dernier !

Cligner des yeux, oui. Les fermer, non. Bowsette avait posé ses conditions, et Booette n’avait pas d’autres choix que d’obéir. Oh, qu’elle était belle ! Sa belle petite amante à la peau toute douce, un joyeux petit bébé… Elle faisait paniquer les gens, mais, face à elle, elle tremblait sur place. Bowsette continuait à remuer énergiquement en elle, et Booette, devant elle, se tortillait sur place. Sa puissante verge coulissait dans son con, trempant dans sa mouille. C’était une sensation magnifique, et elle en fut doucement tirée quand Booette réclama des fessées. Bowsette sourit alors, et releva l’une de ses mains.

« Oh, ma belle petite… »

Et sa main fusa, fessant ce beau petit cul, provoquant un claquement intense quand sa main heurta son postérieur.

« …Traînée ! »

S’amusant de la situation, Bowsette continua à remuer en elle, filant d’avant en arrière, amplifiant et accélérant le mouvement. Elle grogna encore, se délectant des couinements de Booette, et même de ses hurlements quand elle la fessait. Bowsette continua en effet à la battre, sans nécessairement s’assurer que sa partenaire ait les yeux fermés ou non. Le corps de Booette filait d’avant en arrière devant elle, et, en baissant la tête, elle pouvait voir sa verge, ou le fond de sa verge. Tout son long membre, épais et dur, disparaissait dans le corps de la fantôme.

Bowsette grogna encore, et la fessa à nouveau, faisant rougir sa main, tapant parfois très fort. Les claques résonnaient dans la pièce, se mélangeant au bruit des claquements de chair, lorsqu’elle la pénétrait en s’enfonçant en elle jusqu’à la garde. Les deux femmes ne faisaient alors plus qu’une, et le spectacle du corps de Booette se tortillant sur place sous son nez était des plus appréciables à voir !

« Hum… Han, ma petite salope, tu es… Haaa… »

Bowsette soupira longuement, banda les muscles…

…Et se mit alors à jouir. Elle attrapa les cheveux de Booette à nouveau, et les serra, tout comme elle serra son autre main sur le cul de Booette, se cramponnant à l’une de ses fesses. Dans un grand soupir, elle se mit à jouir confusément, venant tapisser la chatte de sa partenaire. Un puissant orgasme, tonitruant, qui la fit longuement soupirer. Oh, quel bonheur ! Elle lui inonda la chatte, balançant de longues et savoureuses giclées de sperme, sa queue se vidant avec appétit dans le con de sa partenaire.

Face à Bowsette, elle n'était rien, sa force, sa magie, sa réputation, elle était qu'une enfant face à un monstre, elle ne pouvait pas se défendre ou plutôt, son instinct lui disait de ne pas se défendre. La belle reine fantôme était baiser par la reine Koopa, elle se laissait faire, elle en demandait même plus. Se faire dominée, non, mais par Bowsette, elle en voulait plus ! Elle n'avait pas le choix, c'est comme demander à quelqu'un de ne pas se brûler en plaçant sa main dans le feu, à part en avalant quelque chose de magique pour éviter cela, cette personne va se brûler, il en était de même pour elles. Booette n'avait pas le choix, elle se soumettait naturellement à elle. Non pas que cela semblait déranger Bowsette, bien au contraire. Ses coups de reins étaient plus forts et plus profonds alors que sa main venait claquer son joli cul si pâle et si doux, lui donnait légèrement plus de rougeur, arrachant des cris de plaisir chez cette femme qui aimait cela. Oh, sa langue pendait avec joie hors de sa bouche et malgré l'envie, elle était obéissante, ne fermant pas les yeux, sauf pour les humidifier de nouveau, mais voilà, pas plus longtemps qu'un battement de cils.

Se faire traitée de traînée, sentir ses coups de reins plus fort, le simple fait de se sentir soumise, ça la rendait tellement heureuse ! Car quand Bowsette termina son affaire pour remplir sa Booette en lui tirant les cheveux, elle remplissait cette dernière de sa semence royale, pendant que la reine spectrale inondait le lit de sa cyprine tout aussi royale ! Un cris de plaisir, d'amour et de soulagement résonnait dans la chambre, mais très certainement aussi dans son château.

« HYYYYYYYYYYYYYYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN~ !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! »

Le corps cambré en arrière, elle se laissa retomber sur le lit, avec Bowsette sur elle alors qu'elle reprenait péniblement son souffle, le visage écrasé sur le lit, observant le vide, ne pensant à rien d'autre que ce plaisir qui parcourait tout son corps, de cette chaleur entre ses cuisses, de cette pression dans son dos, une chaleur agréable à ressentir alors que Booette était un spectre, elle aimait les endroits froids, lugubres et poussiéreux, ce qui n'était pas le cas ici.

« Mmmmh... B-Bowsette chérie... »

Elle était plus confiante, encore intimidée et fidèle, mais l'orgasme lui laissait plus de liberté sur sa panique habituelle, cela ne durera pas, mais elle profitait de cela, parlant sincèrement. Elle la voyait comme sa maîtresse, mais elle était bien plus aussi. Elle se prélassait sur le lit, savourant tout cela, imaginant tout ce que sa maîtresse et future épouse pourrait bien lui offrir ? Tout ce qu'elle pourrait lui offrir aussi.

« Est-ce que... m-mon corps co-correspond à tes a-attentes ? »

La peur de décevoir, certes, mais au moins, Booette aimait sa Bowsette et elle voulait la rendre aussi heureuse que possible. Avec ses actions, mais aussi avec son corps, tout simplement. L'amour avait bien des facettes, autant de facette qu'il était difficile de décrire l'amour tant ce dernier avait de formes et de sentiment différents selon les regards des gens.

Bowsette reprenait ses esprits, soupirant doucement. Elle venait de la baiser avec énergie, et était naturellement éreintée. Mine de rien, le sexe était un exercice haletant et prenant ! Elle clignait des yeux en s’écartant un peu du corps de la Reine koopa, sans pour autant trop s’éloigner. Proche d’elle, elle sourit doucement quand Booette lui demanda, d’une voix chevrotante, si son corps correspondait à ses attentes. Une question bien énigmatique, qui amena Bowsette à sourire. Sa main caressa doucement le visage de Booette, et elle l’embrassa sur les lèvres pendant quelques instants.

« Si tu atteins mes attentes ? Non, ma chérie… Je n’avais aucune attente particulière. Mais, si la question est de savoir si je t’aime, alors la réponse est oui. Tu es très belle, Booette. »

Elle sentit à nouveau les joues de Booette s’empourprer, ce qui était un pur régal. Un doux sourire orna les délicieuses lèvres de Bowsette, qui l’embrassa une nouvelle fois. Elle ne faisait que dire la plus stricte vérité à son encontre. La Reine koopa appréciait son contact, et l’idée de lui faire l’amour. Comment aurait-il pu en être autrement ? Booette était une femme tout à fait admirable ! Bowsette lui sourit encore, et frotta doucement son nez contre le sien.

Elles venaient ensemble de faire l’amour, et les deux femmes reprenaient tranquillement leurs esprits. Dans une atmosphère post-sexuelle agréable, Bowsette alla s’allonger à côté d’elle, et la câlina encore.

« Mais je n’aime pas ça, tu sais… L’idée que tu puisses avoir peur de moi, peur de ce que je pourrais penser de toi. L’amour, cela repose sur un lien de confiance… Alors, je m’interroge. Es-tu vraiment prête à m’épouser, sachant combien tu es nerveuse ? »

La remarque était un peu piégeuse, mais elle illustrait aussi la volonté de Bowsette de se rapprocher de Booette, et de l’aider à se détendre en sa compagnie.

Booette se détendait après une telle passion qui animait son corps, c'était comme se sentir revivre. Ce n'était pas désagréable et elle était heureuse d'avoir vécu cela avec sa Bowsette. Difficile de croire que la seule personne qu'elle craignait au monde était aussi celle qui faisait lui sentir quelque chose. Même si dans ce moment de plaisir et de joie, Booette craignait qu'une part de sa future épouse n'approuve pas quelque chose en elle. Quoi ? Elle l'ignorait, mais cela restait une de ses craintes alors elle cherchait à se rassurer et à savoir auprès d'elle si elle se faisait des histoires ou non mais elle fut vite rassurée de savoir que Bowsette l'aimait, de quoi faire rougir ses joues si pâles, comparables à des meringues bien molles. Et toutes douces ! La reine Boo n'en fut que ravie, mais la reine Koopa ajouta autre chose qui la faisait vite déchanter. Même si cela n'était pas dit avec colère ou autre, au contraire, son câlin ne se faisait que plus tendre encore, mais la reine Koopa avait des doutes sur la suite ? Vu sa nervosité et le fait que Booette semblait douter, parfois ?

De quoi la rendre tremblotante à ce qui pourrait advenir ensuite et levait les yeux vers elle. Un gros effort pour la reine Boo, chaque seconde à affronter son regard la faisait encore plus trembler avec une folle envie de regarder ailleurs, ou de se cacher. Mais pour une fois, elle faisait des efforts et tachait d'affronter son regard.

« M-mais c'est pas ma faute !!! J-je fais des e-efforts m-mais c'est plus fort que m-moi ! Je veux être s-sûr ! »

Sûr que Bowsette l'aime, qu'elle n'en profite pas d'elle. N'avait-elle pas mentionné devenir « une » de ses femmes ? Ce qui impliquait qu'il devait en avoir au moins une de plus ? Et sans aller au classement, comment savoir si elle n'allait pas se lasser et finir par l'oublier ? Booette était une reine qui allait devoir recevoir moult câlin pour être sûr que tout allait bien et que la reine Bowsette avait toujours autant de place dans son cœur qu'à ce moment. Changer Booette sera compliqué, mais la tenir entre ses bras, ça le sera moins. Elle avait fini par fermer les yeux une fois sa phrase finie, soulager de ne plus devoir regarder sa future épouse dans les yeux. On y pouvait rien, c'était dans sa nature de Boo de craindre ce qui pouvait la vaincre alors... même si elle était puissante, il y a toujours plus fort que soi. La reine Koopa pouvait toujours tenter de trouver un moyen de la rassurer plus efficacement avec des mots, tout simplement mais faut-il réussir à trouver une bonne formule magique pour ça ?

Bowsette dominait tranquillement la situation. Face à elle, Booette rougit furieusement quand la Reine koopa lui annonça simplement qu’elle l’aimait. Sa partenaire, et future épouse, lui avoua que ce n’était pas sa faute, et qu’elle tenait simplement à être « sûre »… La Reine koopa se pinça doucement les lèvres devant cela, et frotta son nez contre le sien. Bowsette l’embrassa délicatement sur les lèvres ensuite. Elle maintint le contact pendant plusieurs secondes, et rompit ensuite le baiser.

« Tu veux être sûre de quoi, ma chérie ? répliqua-t-elle alors. Sûre que je t’aime ? Remettrais-tu en doute ma parole, ou la réalité de mes sentiments ? »

Face à cette question, qui prenait la forme d’une accusation, Bowsette sentait qu’elle allait devoir désamorcer la situation. Elle se redressa alors, et se mit à califourchon sur le corps de Booette. La puissante Reine koopa savourait la situation, l’appréciant avec délectation. Elle posa un doigt sur les lèvres de Booette, empêchant celle-ci de lui répondre.

« Être mon épouse est un privilège que je réserve à très peu de personnes, tu sais… Je l’ai offert à la Princesse Daisy, et je te l’offre à toi. Cela fera de toi une Princesse… La Princesse Booette ! Tu auras une place de premier plan au sein de ce royaume, et tu feras partie de ma famille. N’est-ce pas merveilleux, ma belle ? Ensuite, nous réfléchirons… Nous réfléchirons à comment faire pour que tu puisses porter mes bébés. Alors, tu vois ? Comme je veux que tu portes mes enfants, c’est bien la preuve que nous sommes destinées à rester ensemble, non ? »

Sa main caressa ensuite le visage de Booette, glissant sur sa joue. Elle se montrait affectueuse et câline, et se coucha ensuite à côté de Booette. Couchée sur le flanc, elle caressa à nouveau le ventre de Booette.

« Évidemment que je t’aime, ma chérie… Mais l’amour, tu sais, ça ne se prouve pas, ça se vit. Tu dois avoir confiance en moi, Booette… Sinon, c’est que tu ne m’aimes pas vraiment. Alors, dis-moi… Me fais-tu confiance ? As-tu envie de porter nos enfants ? »

Bowsette allait devoir s'en habituer, après tout, même si la situation était plutôt rare, il va lui falloir quelques nuits pour s'habituer à la reine Koopa sans la craindre. Elle avait instinctivement « peur » d'elle, non pas en mal, mais... c'était difficile à dire, c'était dans ses gênes, elle le sentait, elle la puissante Reine Boo devait se faire petite devant Bowsette, c'est ainsi ! Quand cela allait lui passer ? Elle ne pouvait pas donner de date. Elle était ainsi, c'est tout ! La reine y allait doucement, cherchant à la rassurer même si elle venait volontairement ou non, lui rajouter d'autres raisons de ne pas être à son aise. Elle évoquait une place de rêve à ses côtés pour diriger son royaume, mais elle évoquait surtout des bébés ! Ou au moins un ! Un nouvel élan de surprise sur son visage, une nouvelle teinte de rose sur ses joues qu'elle rêvait de cacher, mais elle n'osait pas, de par sa présence sur elle.

« Houlala... »

Booette avait de plus en plus chaud, elle voulait obéir à Bowsette, mais lui demander d'avoir confiance sans avoir peur, actuellement, c'était comme lui demander de regarder à droite et à gauche à la fois ! Pas possible ! Mais une fois qu'elle se mit à ses côtés et non sur elle, Booette levait ses mains vers son visage, même si elle cachait plus ses joues que son visage, elle faisait des efforts, c'est bien.

« Je, j'ai confiance en toi m-mais... tu sais... je ressens tellement d-de chose pour toi q-que... tout s'emmêle... Je t'aime ! Je te respecte, je t'admire, je te crains... t-tout ça, c'est plus fort que moi... C'est... c'est ironique venant d'une Boo mais, c-c'est comme si tu me demandais de respirer d'une façon que je ne com-comprend pas... Je veux pouvoir le faire, pour toi, m-mais.. je ne peux pas y arriver d'un claquement de doigts. »

Mais oui, la reine Boo voulait rendre heureuse la reine Koopas, c'est juste qu'elle la sortait de sa zone de confort, dans une situation inédite alors forcément qu'elle avait du mal à faire le point. Elle pouvait changer pour elle, il faut juste lui laisser du temps, après tout, elles ne se connaissent que depuis quoi ? Une heure ? Deux ? La reine en dessous du blanc tremblait légèrement sur le lit, pas vraiment la peur, plutôt l'embarras.

« M-mais... co... comment voudrais-tu f-faire des... des enfants avec moi ? Non pas que j'en veux pas, mais... nous... nous ne sommes pas sur le même plan... »

C'est une chose de copuler entre différentes « espèces » mais Booette était une personne déjà morte, en tout cas, son cœur ne battait pas, elle n'avait ni chaud ou froid, ou ne pouvait pas la tuer physiquement, comment son corps pourrait réussir à donner la vie ? Déjà, est-ce qu'entre fantômes, ce serait possible avant d’imaginer cela avec un être vivant. L'idée n'était pas pour lui déplaire, mais elle savait qu'avec sa situation, si jamais elle attendait un heureux événement, c'est au-delà du miracle ! Que ce soit sa question, une forme de honte ou une simple envie, elle se tourna vers elle, se cachant entre ses seins, une façon plus mignonne de cacher son visage ou l'envie d'avoir un câlin, sans le demander de sa voix. Bowsette avait mis la main sur une future femme des plus particulière.

Bowsette avait été très sérieuse. Elle avait proposé à Booettte de porter son enfant, et elle le pensait très sincèrement. La Reine koopa écouta silencieusement les explications confuses et gênées de la jeune femme. Elle lui expliqua avoir peur d’elle, mais sans que ce soit en mal. Elle craignait de la décevoir, elle craignait de ne pas être à la hauteur… Il allait sans doute falloir un peu de temps pour que les choses s’améliorent, pour que Booette trouve en elle la confiance d’accepter son amour. Pour autant, Bowsette se devait d’admettre que cela lui donnait un côté très mignon, et même plutôt amusant. De fait, lui avoir proposé de l’enfanter sembla l’émouvoir fortement. Bowsette s’amusa de la voir rougir avec force.

Restant allongée sur elle, Bowsette l’embrassa tendrement dans le creux du cou. Elle mordilla tendrement ensuite cette zone, et se frotta contre elle, tout en caressant délicatement son ventre.

« Oui, mais tu oublies ma détermination, mon amour. Si j’ai pu concevoir un royaume ici, où il n’y avait rien que des ruines, je dois pouvoir t’enfanter. »

La Reine koopa voulait y croire, elle était une femme déterminée et sûre d’elle. Elle l’embrassa sur les lèvres, pressant son corps contre le sien. Elle continua ce contact, et poursuivit :

« Tu es effectivement une Boo, mais tu n’es pas intangible comme les autres Boos, Ce monde déborde de magie et de potentiel, nous devrions y trouver de quoi accomplir ce miracle… »

Elle rajouta ensuite, en allant frotter tendrement son nez contre le sien :

« Et, tu sais, j’aime quand tu es timide, cela te va si bien, ma belle… »

Elle ne pouvait régler ce problème, pas comme ça, pas si vite. Pour elle... Il n'y avait pas de mot, pas d'explication, c'était en elle, le fait de devoir craindre Bowsette était naturel. Elle avait certes une telle prestance, mais cela n'expliquait pas tout. La reine des Boos ne pouvait pas donner de définition, elle pouvait toujours tenter de changer cela, mais comme ça, elle ne pouvait pas dire mieux, ce n'était pas une machine sur laquelle on appuyait sur un bouton pour régler ce souci, oh non. Mais la reine Koopa au moins, semblait comprendre cela, à force, elle devait se rendre compte que tout cela n'était pas volontaire, c'était vraiment plus fort qu'elle. En temps normal, Booette était au même rang qu'elle, ne craignait que peu de chose au monde, mais face à elle, non, c'était impossible de passer cela ! Si Bowsette le voulait, elle y arriverait mais pas tout de suite, comme elle le soulignait si bien, si elle a pu faire de cet endroit son empire, elle arrivera bien à planter sa petite graine en elle ! Chose qui la faisait beaucoup rougir, plus que d'habitude, masquant comme elle pouvait son visage derrière ses mains.

Était-ce vraiment possible ? Booette ne pouvait pas l’affirmer, mais vu ses origines de Boo, cela compliquait sûrement la tâche ? Elle pouvait se rendre intangible donc, il y avait danger dans l'optique ou elle serait enceinte ? Il y avait beaucoup trop de questions à ce sujet, elle ne savait pas comment répondre à tout cela, ni comment « guérir » tous ses maux, mais... Mais elle tentera le coup pour Bowsette, ça oui. Sa petite preuve d'amour faisait rougir encore plus la reine Boo qui ne pouvait se masquer plus, mais gémissait doucement. De gêne comme de plaisir. Il est vrai que même si son après-vie était plutôt court pour le moment, jamais personne ne l'avait traitée ainsi pour commencer. La chaleur de son corps contre son corps si froid, ses petites attentions pour elle, quand bien même, c'était pour la taquiner le plus souvent, c'était mignon et adorable ! Son sourire tremblotant et gêner, elle écartait deux doigts pour partager avec courage un regard vers elle. Elle avait toujours peur, mais elle était aussi heureuse, difficile de bien faire.

« Je... je fer-rais des... des efforts... pour... pour toi... Mais il faut me laisser un peu de temps, d'accord ? »

Personne ne pouvait changer d'un claquement de doigts, surtout Booette ! Au moins, qu'elle veuille pouvoir tenter de changer pour elle, c'était déjà une bonne chose. Maintenant, il fallait réussir à y parvenir à réussir tout cela, mais avec un peu de volonté, rien n'était impossible ! Pour preuve, même si elle se masquait de nouveau les yeux, elle approchait ses lèvres de Bowsette, voulant l'embrasser... Doucement, mais courageusement aussi !

Un sourire amusé décora les lèvres de Bowsette. La nervosité de Booette était touchante. Nerveuse, elle n’arrivait pas à aligner deux mots, mais Bowsette s’en accommoderait aisément. Elle trouvait même le paradoxe très amusant, et se demandait même s’il était vraiment sage que celle-ci soit moins effrayée face à elle. Très nerveuse, elle l’embrassa en lui indiquant qu’elle ferait des efforts, et Bowsette gloussa doucement. Elle l’embrassa alors sur la pointe du nez, et mordilla ensuite ce bout du nez, s’amusant volontiers de cette situation. Booette était très nerveuse, et Bowsette remua contre elle, pressant son ventre (et sa verge) contre celui de sa future femme.

« Je te taquine, ma chérie… En réalité, j’aime bien l’idée que la terrifiante Booette, qui fera trembler tous mes serviteurs et mes sujets, soit si démunie et si peureuse face à moi… Savoir que moi seule te met dans tous tes états, je dois bien admettre… Que ça m’excite furieusement. »

Booette put de fait sentir la verge de Bowsette se redresser encore. Elle se frottait de bas en haut, se masturbant doucement contre sa partenaire. Sa queue tendue s’élançait, devenant plus douloureuse.

« Oui, tu seras ma petite terreur… Les serviteurs iront te voir en tremblant des genoux, tu t’amuseras à les effrayer, à hanter les manoirs… Et ensuite, je te punirai, et je te baiserai très fort… »

La Reine koopa fourra un doigt dans la bouche de Booette, jouant avec elle.

« Et je ferai tout pour que tu portes notre enfant, ma Booette… »

Bowsette retira son doigt de ses lèvres, et se pinça les lèvres. Elle se déplaça alors, la retournant.

« Allez, mets-toi à quatre pattes, j’ai encore envie de te prendre… Tu m’excites tellement, petite cochonne ! »

Sans guère attendre, la Reine koopa s’enfonça d’un coup sec dans la chatte de Booette, crispant ses mains sur ses hanches en remuant sa verge dans sa chatte.

« Han putain, ce que j’aime être là, ta chatte est… Si délicieuse, ma petite salope ! »

Et elle commença à remuer en elle, s’enfonçant avec appétit dans sa chatte luisante…