Re: Urbex hanté [Mana Yami]
Posté : 12 oct. 2024 16:16
« Mana, non ! »
En la voyant se diriger vers Ming, Bayonetta essaya de retenir Mana, mais elle sentit chez Mana une conviction froide et inébranlable, quelque chose qui n’avait plus rien à voir avec la jeune magicienne paniquée qu’elle avait croisé tout à l’heure. Elle s’avança vers les flammes, tandis que Ming hurlait, mais, plus elle marchait, et plus les flammes semblaient se tarir, s’affaiblir, se recroqueviller sur place. Surprise, Bayonetta resta en retrait, voyant Ming qui finit à terre, et qui se tint la tête entre les mains.
Au fond, Ming n’était pas mauvais, il avait juste été traumatisé par tout ce qu’il avait vécu… Mais, à bien y réfléchir, ce raisonnement, on pouvait le tenir auprès de beaucoup de personnes. Bayonetta observa que la situation s’apaisait d’elle-même, jusqu’à ce que Ming ne soit plus qu’un jeune adolescent agenouillé devant Mana. Et, quand la Magicienne se rapprocha de lui, Ming releva la tête en fronçant les sourcils.
« Tu ne comprends rien, je te hais ! »
Puis, il tourna les talons, et se mit à partir rapidement, se volatilisant.
« Je suppose que c’est une manière de te remercier… »
Bayonetta se rapprocha, et observa brièvement Mana, puis fronça les sourcils, avant de tapoter le nez de la jeune magicienne.
« Ne prends pas trop d’aise, ma petite, c’est moi qui reste la sorcière confirmée de nous deux ! »
Elles purent rejoindre le fond du couloir. Bayonetta ouvrit la double porte d’un violent coup de pied, et elles s’aventurèrent dans un sas de décontamination dysfonctionnel. De l’autre côté, un mur avec un couloir qui partait sur la gauche et sur la droite, et des inscriptions en japonaise sur le mur avec des flèches :
Ce qu’il y avait ici était indescriptible. Une lueur bleutée électrique se reflétait sur le mur, et des corps flottaient en suspension dans la pièce ainsi que des objets. Des corps de scientifiques et de soldats tandis qu’au centre de la pièce, une structure indescriptible se dressait.
Une énorme structure sphérique crachait des éclairs, et était reliée à de longues caisses sur le sol, reliées à la structure par des câbles.
« Vous ne pouviez pas vous empêcher de venir, n’est-ce pas ?! »
Une voix sarcastique grésillait depuis les micros. Elle émanait de la baie d’observation, où une silhouette obscure se dressait. La voix ne serait pas totalement inconnue pour Mana : c’était celle du docteur Auguste Verrières !
« Ce projet est interdit au public ! Je vous interdis d’interférer davantage, ou vous subirez le même traitement que tous ceux qui ont voulu me voler mon œuvre ! »
En la voyant se diriger vers Ming, Bayonetta essaya de retenir Mana, mais elle sentit chez Mana une conviction froide et inébranlable, quelque chose qui n’avait plus rien à voir avec la jeune magicienne paniquée qu’elle avait croisé tout à l’heure. Elle s’avança vers les flammes, tandis que Ming hurlait, mais, plus elle marchait, et plus les flammes semblaient se tarir, s’affaiblir, se recroqueviller sur place. Surprise, Bayonetta resta en retrait, voyant Ming qui finit à terre, et qui se tint la tête entre les mains.
Au fond, Ming n’était pas mauvais, il avait juste été traumatisé par tout ce qu’il avait vécu… Mais, à bien y réfléchir, ce raisonnement, on pouvait le tenir auprès de beaucoup de personnes. Bayonetta observa que la situation s’apaisait d’elle-même, jusqu’à ce que Ming ne soit plus qu’un jeune adolescent agenouillé devant Mana. Et, quand la Magicienne se rapprocha de lui, Ming releva la tête en fronçant les sourcils.
« Tu ne comprends rien, je te hais ! »
Puis, il tourna les talons, et se mit à partir rapidement, se volatilisant.
« Je suppose que c’est une manière de te remercier… »
Bayonetta se rapprocha, et observa brièvement Mana, puis fronça les sourcils, avant de tapoter le nez de la jeune magicienne.
« Ne prends pas trop d’aise, ma petite, c’est moi qui reste la sorcière confirmée de nous deux ! »
Elles purent rejoindre le fond du couloir. Bayonetta ouvrit la double porte d’un violent coup de pied, et elles s’aventurèrent dans un sas de décontamination dysfonctionnel. De l’autre côté, un mur avec un couloir qui partait sur la gauche et sur la droite, et des inscriptions en japonaise sur le mur avec des flèches :
- « BAIE D’OBSERVATION » vers la gauche,
- « SALLE STEM » vers la droite.
Ce qu’il y avait ici était indescriptible. Une lueur bleutée électrique se reflétait sur le mur, et des corps flottaient en suspension dans la pièce ainsi que des objets. Des corps de scientifiques et de soldats tandis qu’au centre de la pièce, une structure indescriptible se dressait.

Une énorme structure sphérique crachait des éclairs, et était reliée à de longues caisses sur le sol, reliées à la structure par des câbles.
« Vous ne pouviez pas vous empêcher de venir, n’est-ce pas ?! »
Une voix sarcastique grésillait depuis les micros. Elle émanait de la baie d’observation, où une silhouette obscure se dressait. La voix ne serait pas totalement inconnue pour Mana : c’était celle du docteur Auguste Verrières !
« Ce projet est interdit au public ! Je vous interdis d’interférer davantage, ou vous subirez le même traitement que tous ceux qui ont voulu me voler mon œuvre ! »