The Multiversity

Usagi allait vite comprendre qu’ici, le sexe était d’or, et qu’il n’y avait aucune pudeur. Une entreprise était interdite aux mineurs, et ce n’était pas pour rien. Si le sexe était généralement librement admis dans les entreprises uatéennes, c’était le pilier de la Fut-Corp. Tous ceux qui venaient ici savaient à quoi ils s’engageaient, et cela figurait même dans les annonces d’emploi. Les employeurs informaient clairement les candidats que les relations sexuelles étaient tolérées, admises, et encouragées. On filmait donc volontiers, et, quand les F-Girls se déplaçaient dans les bureaux, tout le personnel essayait de se faire bien voir. Parfois, il suffisait de rien… Un chignon trop serré, un bouton défait sur le chemisier… Ces femmes avaient beau être mariées et mères de famille pour la plupart, elles n’en restaient pas moins des perverses qui mouillaient à l’idée de se faire troncher par une F-Girl. Elles filmaient donc volontiers la sodomie de Bridget sur le corps d’Usagi, qui semblait ravi de l’attention qu’on lui portait.

« Petit pervers, tu aimes ça, hein ? Qu’on te filme, qu’on t’observe… N’as-tu donc aucune dignité ? Hum… Les hommes comme toi sont vraiment de belles pédales… »

Bridget sourit lentement. Elle n’avait pas l’endurance ou la puissance de Charlie, mais cette sodomie durait quand même depuis quelques minutes. Peach, de son côté, était sodomisé à même le bureau, sa tête écrasée sur des papiers qui s’envolèrent. Quand son regard croisa celui d’Usagi, il lui sourit en levant la main, mais se reçut une grosse claque sur le cul, avant que Megan ne lui tire les cheveux, rappelant le jeune freluquet à l’obéissance.

« Peach est notre égérie, hummm… Il adore se donner en spectacle… Tu aimerais aussi être notre mascotte, petit lapin ? Si c’est le cas, dis-le… Souris aux caméras, dis combien tu aimes te faire ramoner le cul, combien tu aimes qu’on te regarde ! »

Qui sait ? Peut-être qu’Usagi allait se découvrir une nouvelle activité ici…

Bridget dit que j’aime l’attention qu’on me porte, que j’aime être filmé en train de me faire baiser le cul comme la dernière des putes, mais honnêtement je ne l’écoute pas. Je suis juste heureux, je prends mon pied en me faisant sauter par une F-Girl et je dis tout ce qui me passe par la tête. Ça ne fait que quelques minutes mais j’ai l’impression d’être là depuis une éternité. Peach aussi a l’air de bien s’amuser, même s’il supporte mieux que moi de se faire prendre par une F-Girl. Sûrement parce qu’il a plus l’habitude. Ou peut-être grâce au F-Gen, qui sait.

Quand les caméras se tournent vers mon visage et que Bridget me demande de sourire en disant combien j’aime qu’on me regarde me faire ramoner le cul, j’obéis sans réfléchir.

« Aaahhh… regardez-moi tous… je suis si heureux d’être enculé… par une F-Girl… AAAHHH ! »

Je sens que l’orgasme est en train d’arriver. Sans réfléchir je mets mes mains à côté de mon visage et je fais le signe peace. C’est juste à ce moment-là que je jouis et que mon sperme vient maculer le bureau sur lequel je me fais prendre.

« Ooouuuiii ! »

Je ne vois pas la tête que j’ai au moment où la jouissance arrive, mais je parie que ça doit faire une belle photo. En tout cas, une fois l’éjaculation passée je reprends aussitôt mon petit spectacle.

« Oouuhh… quelle cochonne je fais… j’ai mis du foutre partout. Je mérite d’être punie non ? Peut-être que quelques fessées… Kkyyaahh ! »

Bridget me fesse aussitôt. Je ne sais pas si c’est en réponse ou juste parce qu’elle est excitée de me prendre le cul, mais moi ça m’excite de la sentir me gifler le derrière. J’espère qu’elle va recommencer, qu’elle va me sodomiser longuement, que je vais continuer à jouir et qu’elle va jouir en moi…

« Aaahhh… regardez-moi… je suis Usagi la pute lapine… Pppyyyooonnn ! »

Bridget se régalait dans le cul de ce soumis. Oh, comme elle aimait les hommes pour ça ! Eux qui étaient si fiers, parfois si arrogants, il était si amusant de les briser, si jouissif de les ramener à la réalité de leur condition biologique ! Bridget sodomisait avec entrain Usagi, le sentant se tortiller sous place. Il ne cherchait nullement à s’enfuir, mais au contraire à se faire prendre avec force, encore et encore. Oh, quel régal ! Usagi n’était clairement pas au bout de ses surprises ici. Au sein de la Fut-Corp, son cul risquait vitre de devenir un magnifique boulevard dans lequel les puissantes F-Girls viendraient se soulager. Rien de surprenant à ça, car ils étaient après tout faits pour ça ! Elle le sodomisait encore, remuant longuement, et il répondit à ses ordres, dans un tel état qu’il aurait à vrai dire fait n’importe quoi qui lui était ordonné. On le filmait volontiers, et les filles gloussaient entre elles, tandis que d’autres se contentaient de travailler, allant chercher des documents à la photocopieuse, tapant sur leurs claviers, ou répondant à des questions qu’on leur posait par téléphones. L’atmosphère était ici assurément très unique en son genre ! Et c’était sans relâche que Bridget continuait à le prendre, jusqu’à ce qu’il jouisse encore, et se mette à lever les mains, faisant le signe de la victoire en se laissant porter. Sa queue tressauta sur place, et le sperme fusa sur le bureau, le salissant, tombant également sur son corps. Il se reçut une grosse claque lors de son orgasme, et Bridget grogna.

La F-Girl n’avait pas encore joui, et attrapa Usagi par les cheveux, le décollant du bureau, puis elle se déplaça, et l’envoya heurter le mur à côté. Elle était dans son dos, et continuait à le sodomiser, sa verge ne s’étant pas retirée du cul d’Usagi.

« Petite pute… Oui, c’est ce que tu es, une pute ! Et on va le montrer à tout le monde, qu’elles l’écrivent sur ton corps ! »

Bridget agit ensuite, passant de la parole au geste. Elle se décolla du mur, et continua à tenir Usagi avec elle, sa verge enflant dans le fondement de l’homme, qu’elle étala sur une table. Il se retrouva couché sur le dos, et put voir des femmes se rapprocher. Portant des tenues de travail de bureau, elles souriaient malicieusement, chacune tenant un marqueur noir. La première écrivit un mot sur son torse, et les lettres « PUTE » s’affichèrent joyeusement. La jeune femme, qui portait des lunettes, l’embrassa ensuite, gloussant joyeusement, puis les autres se rapprochèrent…

Je ne suis plus vraiment sûr de ce qui se passe. On m’avait envoyé à cet étage pour que j’aille voir Charlie et que je signe mon contrat de travail chez Fut’Corp, et à la place je me retrouve à faire le signe de la victoire et à me traiter de pute tandis que je jouis devant les téléphones portables des employées de l’étage qui me filment pendant qu’une F-Girl me défonce le cul. D’ailleurs, Bridget a l’air d’aimer la façon dont je m’exhibe devant les caméras et elle veut que ça aille plus loin. Tandis qu’elle me couche sur le dos, sa verge enflant dans mon fondement, des femmes en tenue de travail commencent à approcher. Pendant un moment je crains de me retrouver au milieu d’un gang-bang de F-Girls et de me faire ravager sans pitié, mais heureusement elles sont juste là pour écrire sur mon corps. Une jeune femme avec des lunettes est la première à passer, mais dans ma position je ne peux pas voir ce qu’elle écrit. De toute façon je ne peux pas me concentrer vu que Bridget continue de me pilonner. Après avoir écrit le mot « PUTE » sur mon corps, elle m’embrasse et s’éloigne en gloussant.

« Aaahhh… qu’est-ce qu’il y a… d’écrit ? »

D’autres employées approchent en gloussant, et chacune leur tour elles écrivent au marqueur sur ma peau. « PUTE », « SUCEUSE DE QUEUES », « SALOPE », « VIDE-COUILLES »… Mon corps se recouvre d’un vocabulaire fleuri. Et vu le nombre d’employées qui sont passées, je dois vraiment avoir l’air d’un dictionnaire. Mais ça semble plaire d’autant plus à Bridget, qui redouble d’efforts pour me baiser. Et moi, pendant ce temps, pauvre petit lapin soumis et encerclé de toutes parts, je ne peux que prendre mon pied en étant utilisé comme la belle salope que je suis.

« Ooouuuiii… je suis une sale pute lapine… qui aime se prendre des grosses carottes… hhhmmm… dans le cul ! »

J’aime aussi les astiquer et les avaler, mais encore une fois je ne tiens pas à me retrouver au milieu d’un gang-bang de F-Girls. Je prends peut-être mon pied pour l’instant mais je connais mes limites, et je dois rester présentable pour rencontrer Charlie.

Les employées de la Fut-Corp s’amusaient joyeusement autour de ce pauvre Usagi. Enfin, « pauvre »… C’était une façon de parler, bien sûr ! Après tout, rien de ce qu’il subissait ici n’allait contre sa volonté. Tous les hommes qui venaient ici le venaient pour être soumi,s humiliés, pour être ramenés à ce statut d’hommes soumis qu’ils n’auraient jamais dû quitter. Les employées gloussaient joyeusement, l’embrassant à chaque fois. Usagi avait du mal à rester calme. Comprenait-il encore clairement ce qui se passait ? Bridget, fidèle à l’endurance surhumaine des F-Girls, lui maltraitait le cul depuis plus d’une dizaine de minutes. Quand le torse d’Usagi fut recouvert de nombreux jurons, Bridget grogna, et le retourna à nouveau. Les marques allaient tenir encore un peu, alors, elle le coucha à nouveau sur le ventre, et reprit sa sodomie, plus puissante, claquant son cul, le giflant, tout en empoignant ses cheveux.

« Putain, ce que j’aime ce cul ! Tu vas être sacrément en retard, ma petite pédale, hihi ! Tu vas te faire punir ♥ ! »

Une perspective qui semblait exciter Bridget. En soulevant la tête d’Usagi, celui-ci put voir que Peach avait été emmenée par la puissante Futanari noire, Megan, dans une salle, et se faisait encore baiser par elle. Certaines employées le filmaient encore, mais d’autres étaient retournées travailler, comme si de rien n’était. Le cliquetis des claviers se mélangeait au bruit des téléphones et aux discussions en tout genre. Le sexe était un élément central de la culture d’entreprise de la Fut-Corp, et il était très bien incorporé. Bridget sodomisa encore un long moment son petit soumis, avant de grogner en lui, et de finir par jouir.

« Gnn… Bo-BORDEL ! »

Sa main se crispa sur ses cheveux, et elle s’abandonna joyeusement dans son cul. Un orgasme puissant et salvateur. Elle inonda le cul du jeune homme, et se relâcha dans un grand soupir. Quand elle eut terminé, Usagi glissa du bureau pour tomber sur le sol. Bridget gloussa lentement, et se pencha vers lui, puis l’embrassa doucement sur la joue.

« C’était cool… Reprends tes esprits, mon beau, j’ai hâte de pouvoir te défoncer le cul à nouveau. »

Bridget se releva alors, et s’éloigna. L’une des employées qui avait humilié Usagi ne tarda pas à le rejoindre. Charlène lui sourit doucement.

« Il faut vous habiller, Monsieur. Suivez-moi. »

Ils rejoignirent un vestiaire. Ici, Charlène, qui portait une tenue de travail impeccable, une chemise blanche avec une minijupe et des collants, le tout surmonté d’une cravate rouge, se retourna vers Usagi, et l’habilla proprement. Ses yeux louchèrent sur le torse d’Usagi, marqué d’inscriptions, et elle lui fit enfiler une chemise, puis l’attacha, et lui mit un pantalon noir, avec une ceinture, puis une cravate. Elle noua elle-même la cravate, souriant doucement. Avec sa peau en sueur, les marques noires ressortaient de sous la chemise, alors elle lui tendit aussi une veste, qu’il enfila.

« Voilà, tu es prêt ! »

Charlène lui sourit doucement, puis des bruits de pas se firent entendre. Deux Gynoïdes venaient d’arriver, Les Jumelles. Le visage sans face de l’une d’elles s’illuminait quand elle parlait.

« Notre Cher Invité est-il prêt ?
-  Il doit porter ceci. »

Entre ses mains, l’une des Jumelles tenait une cage de chasteté assez futuriste, avec des nanoimplants,et un plug anal.

« Il permettra de dilater vos parois anales pour faciliter les nombreuses sodomies auxquelles vous aurez droit, Cher Invité… »

Après un énième orgasme de Bridget dans mon cul, cette dernière me relâche finalement. Je ne vais pas me plaindre, j’ai bien pris mon pied avec elle, mais je crains d’avoir fait attendre Charlie. Etalé sur le sol, je reprends doucement des forces tandis que Bridget me quitte avec un dernier baiser sur la joue. Une autre employée de l’étage, une certaine Charlène, vient alors à ma rencontre pour me dire que je dois m’habiller. Mais ce qui me surprend le plus, c’est qu’elle m’appelle Monsieur et me vouvoie. A Uatis ce genre de respect envers un homme est assez rare.

« Je… aahh… vous suis. »

Je suis Charlène jusqu’à un vestiaire où elle m’aide à m’habiller, et en quelques minutes me voilà de nouveau présentable. Enfin, si on oublie l’odeur forte de sexe que j’ai encore sur moi. Dès que mon habillage est terminé deux gynoïdes jumelles entrent dans la pièce, l’une d’elles tenant une cage de chasteté avec un plug anal entre ses mains. Apparemment je dois enfiler ça pour préparer mon anus aux nombreuses sodomies qui m’attendent.

« Hhmm… bien. »

Je n’ai même pas besoin de dire quelque chose pour que les deux gynoïdes viennent vers moi, me retirent mon pantalon et m’installent la cage ainsi que le plug. Je n’aime pas sentir mon sexe masculin être enfermé là-dedans mais j’aime sentir le plug dilater mes parois anales. En plus il entre assez facilement en moi vu qu’une F-Girl est passée par là juste avant.

« Aaahhh… merci. »

Après ça les jumelles m’escortent jusqu’au bureau de Charlie. En chemin je croise les regards de plusieurs employées amusées, surement les mêmes qui m’ont filmé tandis que je me faisais prendre comme la dernière des putes au milieu de l’open-space. Les gynoïdes ouvrent la porte du bureau et je salue immédiatement Charlie.

« Bonjour madame. Comment allez-vous aujourd’hui ? »

Je lui dirais bien que je suis désolé d’être en retard, mais elle doit sûrement déjà être au courant de ce qui s’est passé et je doute qu’elle m’en tienne rigueur.

Elles enfilèrent proprement le plug à Usagi, qui se faufila sans peine dans ses fesses dans un léger frottement de chair. Les Jumelles le parfumèrent ensuite un peu, afin de diminuer l’odeur de sexe et de sueur. Tout de même, cela restait un entretien professionnel ! Bien habillé, Usagi fut conduit à la direction. Les salariées l’observaient avec amusement. Adoptant une démarche raide, Usagi suivit les deux Gynoïdes, et ils empruntèrent un escalier au fond, qui menait à la mezzanine en hauteur, qui entourait la moitié de l’open space.

Le bureau de la direction se trouvait sur la gauche. Charlie se trouvait là, et, à travers la grande baie vitrée, Usagi put voir que la patronne était très occupée avec une jeune femme qu’elle baisait sans ménagement. Il s’agissait d’une salariée, Rebecca, une jeune femme qui poussait de délicieux c ris en remuant sur le bureau, d’avant en arrière, sa chemise devenant transparente sous l’effet de la sueur. C’était comme toujours un spectacle fascinant. L’endurance dont Charlie faisait preuve était impressionnante. Elle avait couché Rebecca sur le dos, et la relevait parfois. Depuis un autre bureau, Usagi pouvait aussi voir un autre spectacle tout aussi excitant. L’une des cadres de l’entreprise, Madame Hughes, avait attaché avec des liens dans son bureau son assistante, Samantha, et lui enfonçait un gros plug anal dans les fesses.

Des bruits de pas résonnèrent près d’Usagi, qui sentit deux solides mains se poser sur ses épaules.

« C’est toi le nouveau ? Un mignon petit trap… »

Usagi avait pu la voir nue en contrebas. Megan s’était désormais rhabillée, enfilant un élégant et sensuel tailleur. Un décolleté plongeant et fascinant, tandis que la verge de Megan formait parfois une légère bosse, heurtant les fesses d’Usagi.

« Je m’appelle Megan, petit lapin, et je dois t’avouer que j’adore baiser des traps… »

On pouvait sentir la force des mains de Megan, qui s’appuyait contre le jeune homme, et le guida vers la porte. Ils rentrèrent à l’intérieur du bureau, et Usagi se retrouva rapidement couché sur le bureau, face à Rebecca. Megan sourit doucement, et libéra sa verge, puis la frotta contre les fesses du jeune homme.

« Bonjour, mes jolis… Rebecca m’a amené tes résultats, Usagi… »

Du doigt, Charlie désigna une chemise étalée sur la table.

« Han Maî-Maîtresse… » gémit doucement Rebecca.

Megan soupirait doucement à son tour, tout en défaisant la ceinture d’Usagi, prenant son temps pour lui retirer son pantalon.

« Embrasse-là, petit lapin… »

Rebecca était encore couchée sur le dos, ses lèvres accessibles pour peu qu’Usagi se déplace à quatre pattes sur la table, son pantalon désormais retiré de son corps…

Je m’attendais à passer un entretien mais on dirait que Charlie est occupée. Elle est en train de culbuter une salariée de l’entreprise, Rebecca, et cette dernière semble apprécier. Quoi de plus normal, Charlie est une amante incroyable. Je ne me suis pas encore totalement remis de notre partie de jambes en l’air de la veille.

« Euh… Charlie… »

J’hésite à l’interrompre pour être sûr qu’elle m’a bien entendu entrer, et tout à coup je sens des mains se poser sur mes épaules. C’est l’une des employées que j’ai pu voir en bas, Megan, qui s’est rhabillée et qui est venue à ma rencontre. Ses intentions sont assez claires, je peux déjà sentir la bosse formée sous sa jupe par sa verge en érection. Ayant pris l’habitude d’obéir aux employées sans réfléchir je me laisse conduire jusqu’au bureau en face de celui où Rebecca est en train de se faire sauter.

Charlie me salue et me dit que Rebecca a apporté mes résultats d’analyse. Je vais enfin savoir si je suis compatible avec le F-Gen. Mais d’abord Megan veut me baiser et m’ordonne d’embrasser Rebecca pendant qu’elle me retire mon pantalon.

« Aahh… d’accord. »

J’avance un peu sur la table à quatre pattes jusqu’à être à portée des lèvres de la jeune femme, que je viens coller contre les miennes.

« Hhhmmm… »

Elle a les lèvres si douces, si juteuses… les F-Girls ont aussi de belles lèvres très agréables à embrasser, mais là j’ai l’impression d’embrasser des fruits mûrs à point et plus délicats que les lèvres des F-Girls. En plus, ça me fait tout drôle de sentir à nouveau l’odeur d’une femme au naturel, cette odeur qui était omniprésente au Lys mais qui est assez rare par ici.

Dans mon dos je sens Rebecca qui joue avec mes fesses, les pelotant allègrement et frottant la bosse sous sa jupe contre mon anus. Je sais ce qu’elle va faire et j’ai hâte qu’elle le fasse, mais cette chemise étalée sur la table attise ma curiosité. La réponse que j’attends depuis que je suis arrivé chez Fut’Corp est là, sous mes yeux, à portée de main, et j’ai envie d’aller la voir tout de suite. Mais je suis un petit lapin soumis et obéissant, je ne dois pas désobéir à mes maîtresses. On m’a dit d’embrasser Rebecca alors je l’embrasse. Et secrètement j’espère qu’on me dira ce que je veux savoir et que Charlie aura encore assez d’énergie pour jouer un peu avec moi quand elle aura fini avec son employée.

Au sein de la Fut-Corp, le sexe était omniprésent, surtout avec Charlie ! La patronne de l’entreprise était fidèle à son statut de dirigeante. Elle prenait Rebecca avec force. La jeune salariée, qui avait fait un stage ici avant d’être embauchée, était très heureuse, et elle en aurait presque pleuré de joie. Les Uatéennes étaient globalement des perverses, et Rebecca en était l’archétype typique. Soumise, docile, elle voyait les Futanaris comme l’évolution de la race humaine, un moyen d’aboutir à la création du sexe unique. Elle ne haïssait pas les hommes en soi, mais elle estimait que les Futanaris représentaient le sexe dominant… Et, dans ce domaine, rien ne valait l’endurance d’une F-Girl ! Rebecca était donc une jeune femme heureuse, accomplie, qui espérait désormais pouvoir passer à une étape supérieure de sa formation : porter un enfant de F-Girl !

De son côté, Usagi, nerveux, rejoignit Rebecca, et ils s’embrassèrent chaudement, tendrement. Rebecca n’y allait pas de main morte, appréciant les délicieuses lèvres tremblotantes du lapin. Dans le dos de ce dernier, Megan souriait malicieusement, sa verge gonflant sous son minishort. Elle commença alors à se déshabiller, tandis qu’Usagi embrassait Rebecca, aguichant Megan avec son joli petit cul rebondi. La main de Megan malaxa cette zone, et elle pinça ensuite le cul du jeune homme, tirant dessus pour l’écarter de sa croupe. Un sourire enjoué étira ses lèvres en voyant à quel point sa rondelle apparaissait, s’écartant aisément.

« Ton petit cul commence à s’habituer à en recevoir plein par là… » gloussa-t-elle.

Megan finit toute nue, exhibant ses magnifiques muscles, et elle tira sur les fesses d’Usagi, le couchant sur le ventre. Il se retira des lèvres de Rebecca, et tomba sur le bureau, où il put sentir sa chemise lui être retirée. Megan retira rapidement les boutons, et tira sur la chemise, la jetant au sol. Lui qui avait mis tant de temps à s’habiller, il finissait de nouveau tout nu, et Megan gifla violemment son cul. Une grosse claque, puissante, qui le fit s’écraser sur le bureau, puis elle le sodomisa ensuite. Sa grosse verge veineuse et tendue glissa contre les fesses d’Usagi, puis s’enfonça brutalement en lui. Le corps du jeune lapin se crispa sur place, et la verge de Megan remonta en lui. La femme frémit lentement.

« Putain, ce que c’est bon… Baiser des tapettes comme toi… J’adore ça ! »

Autant dire qu’avec Megan, la subtilité n’était pas de mise ! Elle le pénétra donc, et tira sur ses cheveux, relevant sa tête, tandis que Charlie sourit.

« Les résultats, oui… Hmmm… Ils sont… Étonnants, haaaa… Tu caches bien ton jeu, petit lapin… Hmmm… »

Charlie fit signe à Rebecca, qui attrapa d’une main tremblotante la chemise avec sa main, et la présenta à Charlie. Celle-ci l’ouvrit, et, tout en ralentissant un peu le rythme de ses pénétrations, commença à répondre à Usagi :

« Tu as des nanites dans ton corps… Le F-Gen a été testé avec un échantillon de ton sang… Fort heureusement, tes nanites ne sont pas incompatibles avec notre mutagène, mais je me demande ce que cela donnera sur toi…
-  Maî-Maîtresse… »

Sous elle, Rebecca soupirait longuement, tandis que Charlie continuait à la prendre, accélérant le rythme, curieuse de voir ce qu’Usagi avait à dire là-dessus…

Drôle d’entretien décidément. Pendant que je me fais prendre le cul par Megan qui en profite pour malaxer mes fesses, j’embrasse Rebecca qui se tient face à moi et qui se fait prendre par Charlie. Cette dernière, voyant peut-être que je regarde avec intérêt la chemise dans laquelle se trouve mes résultats d’analyse, me confirme ce que j’espérais entendre : les nanites ne génèrent pas d’incompatibilité avec le F-Gen.

Youpiii !

En revanche il y a certaines incertitudes sur la façon dont le F-Gen va interagir avec mon organisme.

« Aaahhh… ce n’est pas… dangereux… au moins ? »

J’ai dit que j’étais d’accord pour servir d’esclave sexuel aux F-Girls, pas pour être un cobaye de laboratoire. A mon arrivée je n’attendais que de pouvoir recevoir le F-Gen, mais maintenant que je sais ça et après la journée que j’ai passé à me faire baiser par les employées de la boîte en restant un homme, je me dis que je devrais y réfléchir à deux fois. Maintenant je sais que je n’ai pas besoin d’être une femme pour prendre mon pied, seulement d’avoir un ou plusieurs partenaires qui connaissent leur sujet. Et Megan connait très bien son sujet.

« Ooohhh… je vais… jouir… AAAHHH ! »

La F-Girl joue avec moi, en particulier avec mon cul, et elle se fait bien plaisir. Moi j’échange des baisers avec Rebecca, je savoure la vue de son corps ballotté d’avant en arrière par Charlie, du plaisir sur son visage tandis qu’elle se fait sauter. Et quand je la vois, ça me fait un peu regretter mes courbes féminines. Avoir des seins, des fesses bien rebondies, des cuisses bien potelées… ce sont des sensations qui me manquent même si ça ne fait qu’un jour.

Ils ne me proposeraient pas de prendre le F-Gen si ça présentait un risque… pas vrai ?

Ces nanites étaient inattendues, et semblaient inquiéter leur petit lapin. Si Charlie avait pu noter le soulagement dans ses yeux quand elle indiqua que son corps était compatible, elle nota également le doute quand elle indiqua les conséquences imprévues des nanites. Charlie sourit doucement, et continua à pénétrer Rebecca. Elle attrapa les jambes de Rebecca, et les souleva. Elle grogna doucement, et les poussa encore. Rebecca se mit à gémir, se tortillant sur place, hurlant même en sentant ses articulations souffrir. Charlie ne répondit pas immédiatement à Usagi, car elle se concentra sur le fait de baiser sa secrétaire.

« Prends ça, petite salope… Tu aimes sentir ma grosse queue dans ta petite chatte serrée de traînée, hein ?
-  Maîtresse… Haaaa, Maîtresse… !!
-  Tu es restée vierge uniquement pour qu’on te baise toutes, ma petite salope…
-  Oui, Maîtresse, aaaahh… !! »

Megan gifla le cul d’Usagi, qui venait de jouir. Son sperme fusa sur son propre ventre, mais aussi en partie sur le visage de Rebecca. Megan attrapa les cheveux d’Usagi, et tira sa tête en arrière, rapprochant son visage du sien. Elle lui mordilla le creux du cou.

« Dis-toi que, si tu étais une fille, je pourrais te masturber et masser tes gros seins de traînée, mon petit lapin… Au lieu de ça, je masturbe ta petite queue moite… »

Megan grogna encore, sa solide main venant effectivement le masturber.

« D’un autre côté, j’adore tellement défoncer le cul des traps… Hmmm… »

Usagi avait beau avoir déjà joui, sa verge semblait retrouver naturellement sa dureté, comme si cet endroit renforçait l’endurance sexuelle des utilisateurs. La débauche de sexe dans ces murs était exceptionnelle, même pour une société uatéenne. La Fut-Corp était fondée sur le sexe. C’était un temple moderne dédié à la Déesse Lust, et cela, Usagi pouvait commencer à le constater, au fur et à mesure que son cul se faisait élargir par la verge massive de Megan.

« Tu sais que tu vas tomber enceinte, Rebecca, si je jouis en toi ? »

Elle sourit en sentant le corps de Rebecca se crisper sur place, la jeune femme se mettant à rougir furieusement. Charlie sourit doucement, et releva la tête vers Usagi, laissant redescendre les jambes de Rebecca, qu’elle s’empresse de serrer contre sa taille, les enroulant avec force, comme pour empêcher sa patronne et Maîtresse de partir.

« Tu ne crains rien, Usagi… Mais tes nanites risquent de déclencher des éléments supplémentaires à ta seule transformation sexuelle… Les essais que nous avons faits… Montrent… Hmmm… Que les nanites s’absorbent dans le F-Gen sans repousser notre solution. Les réactions chimiques relevées montrent que… Haaaa… Les nanites gardent leur efficacité. Je pense… Hmmm, petite salope… L’équipe scientifique pense que tu pourras changer de sexe… Mais il est probable que ta forme masculine soit plus… Han… Féminine que celle que tu as actuellement… »

Charlie semble particulièrement enthousiaste à baiser Rebecca. Apparemment elle est restée vierge juste pour pouvoir se faire baiser par toutes les F-Girls de l’entreprise. J’avais déjà de l’expérience la première fois qu’une F-Girl m’a baisé, alors le vivre en étant encore vierge… je n’imagine même pas. Tu dois perdre la tête en moins de cinq minutes. De mon côté je me fais sauvagement prendre par Megan, qui me laisse miroiter ce qui m’attendrait si j’avais un corps féminin, mais je n’arrive pas à savoir si elle veut m’encourager à accepter le F-Gen ou à le refuser. Elle a l’air d’aimer me sauter dans une forme comme dans l’autre.

En tout cas Charlie me garantit qu’il n’y a aucun risque à ce que je prenne le F-Gen. Apparemment mes nanites s’absorbent dans le F-Gen sans repousser la solution et gardent leur efficacité. J’aurai toujours mes pouvoirs mais il est probable que ma forme masculine sera plus efféminée que celle que j’ai actuellement.

« Aaahhh… si ce n’est… que ça… »

A priori, une fois que j’aurai mon corps féminin je ne changerai plus d’apparence. Si c’était juste à propos du physique j’aurais pu utiliser mes nanites, mais le F-Gen va m’apporter bien plus que de jolies courbes.

« Dans ce cas… aaahhh… allons-y. »

C’est décidé, je vais prendre le F-Gen et retrouver mon corps féminin. Après tout c’a toujours été mon but premier en venant ici. Et bientôt je travaillerai officiellement pour Fut’Corp en tant qu’objet de plaisir pour les employées, surtout les F-Girls. J’ai hâte de voir ce que mon passage dans cette entreprise va me réserver.

Mais pour l’instant je profite juste de la situation, savourant la sodomie féroce de Megan et sa main qui me masturbe énergiquement.

« Aaahhh… pppyyyooonnn ! »

C’est vraiment le pied, mais j’ai quand même hâte qu’on passe à la suite et que je reçoive enfin le F-Gen.

L’opération n’allait pas se faire instantanément. Après s’être fait sodomiser par Megan pendant une bonne demi-heure, jusqu’à être au bord de l’épuisement, Usagi dut lire et signer plusieurs papiers. Les Uatéennes étaient civilisées, après tout, il n’était pas question de faire n’importe quoi. Il y avait une notice expliquant le fonctionnement du F-Gen, et détaillant la mutation induite par le F-Gen :

« Solution révolutionnaire destinée à parachever l’idéal d’unicité de la société uatéenne, le F-GEN est une solution développée par la FUT-CORPORATION. Ses ingrédients sont tenus secrets, mais le mutagène a été approuvé par les autorités sanitaires uatéennes, qui en ont permis l’usage et l’utilisation sur des patients. Le but premier du F-GEN est de transformer les patients de sexe masculin en provoquant un changement sexuel. L’opération en elle-même se déroule sous anesthésie générale, et les effets sont irréversibles, sauf si le patient souhaite revenir à son état antérieur par une nouvelle injection du F-GEN.

Par la présente fiche, le patient est informé des risques potentiels suivants, et déclare notamment n’avoir aucun antécédent médical ni aucun état de santé qui est susceptible d’être incompatible avec l’injection du F-GEN… »

Une autre partie de la notice détaillait plus précisément l’opération en récapitulant les différentes étapes :

« DÉROULEMENT DE L’OPÉRATION

1. Le patient est conduit en début de matinée à une salle de la clinique pour les premières préparations physiques et psychologiques. Des relevés médicaux ont lieu à ce moment pour s’assurer que le patient soit en état de procéder à l’opération
2. Après cette phase de préparation, le patient est conduit à la table d’opération. L’opération a lieu en anesthésie générale en fin de matinée.
3. Le patient se réveille ensuite, et est reconduit pour le reste de la journée dans sa chambre, pour un suivi médical post-opération. Sans incident particulier, le patient ressort le soir même. »

C’était une opération en ambulatoire, la clinique étant toutefois située au sein des locaux de la Fut-Corp, mais à d’autres étages que ceux vus par Usagi. L’opération était supervisée par une F-Girl, mais sous la conduite de médecins.

La prochaine étape d’Usagi allait être son rendez-vous médical avec la doctoresse en charge de l’opération : le docteur Ashley Stuart. Usagi reçut une date de convocation, qui aurait lieu dès le lendemain, et passa le reste de la journée à se reposer, ou à se faire besogner par les F-Girls. Il devait rapporter à Charlie les documents signés avant la fin de la journée, ce que le jeune homme fit donc, puis put passer une seconde nuit au sein de l’établissement. Cette fois, il était tout seul, et passa donc une nuit plutôt calme.

Le cabinet du docteur Stuart se trouvait à la clinique de la Fut-Corp, et il y fut conduit par un autre des F-Boys de la Fut-Corp : Courtney. Usagi attendait dans sa chambre qu’on vienne le chercher quand Courtney toqua à la porte, et l’embrassa. Avec sa tenue de cow-girl en rose vif, Courtney était un appel au sexe sauvage, et avait mis un parfum assez fort, très sensuel.

« Hmmm… Coucou, Usagi ! Peach m’a parlé de toi, il m’a dit que tu étais trop mignon ♥ ! »

Courtney était tout guilleret, visiblement autant que Peach. Il lui sourit encore, et ne laissa même pas le temps à Usagi de répondre qu’il eut droit à un second baiser.

« Tu es prêt ? Si le docteur Stuart donne son accord, l’opération pourra avoir lieu dès demain ! C’est cool, non ? »

Après m’être fait sodomiser par Megan pendant une bonne demi-heure, on me fait lire et signer plusieurs papiers. Mais honnêtement je suis épuisé après avoir servi de vide-couilles à Megan, je lis en diagonale la plupart des paragraphes et je garde mon attention pour les passages importants, comme la notice d’utilisation du F-Gen ou le déroulement de l’opération. Tout semble en accord avec ce qui avait déjà été établi entre Fut’Corp et le Lys alors je signe sans crainte.

Je reçois une convocation pour une visite médicale le lendemain. Le reste de la journée est assez tranquille : je me repose, je me balade dans les installations, et de temps en temps je me fais happer par une F-Girl qui s’amuse un peu avec moi avant de repartir. Je passe la nuit seul ce qui me permet de me réveiller en pleine forme le lendemain. Un autre F-Boy de l’entreprise, Courtney, vient frapper à ma porte. Dès que j’ouvre il vient m’embrasser, et si en temps normal j’aurais eu le réflexe de le repousser là j’ai envie de continuer ce baiser, voir même de l’appuyer un peu plus. Il porte une tenue de cow-girl très courte avec un short qui moule tellement son sexe que je le vois aussi bien que s’il ne portait rien. En plus il dégage une odeur très sensuelle, un parfum qui me donne envie de l’attraper et de lui donner des claques sur le cul. Décidément on dirait que tous les employés de cette boîte sont des appels au sexe.

Après deux baisers, Courtney me demande de le suivre jusqu’à la clinique de Fut’Corp. Je suis attendu par le docteur Ashley Stuart, la doctoresse en charge de l’opération. Si elle donne son accord après notre entretien, l’opération pourra avoir lieu dès demain.

« Ce serait super. J’ai hâte de voir quel effet le F-Gen aura sur moi. »

Durant le chemin vers la clinique je ne peux pas m’empêcher de mater Courtney, surtout ses petites fesses moulées dans son short. Et j’ai l’impression qu’il l’a remarqué parce qu’il s’amuse à remuer son bassin et me lance de temps en temps des regards aguicheurs.

C’est dingue… il y a quelque chose chez lui qui me… qui m’excite.

Je n’ai pas senti une telle attirance pour Peach, même si je dois reconnaitre qu’il avait un certain charme. Là c’est vraiment une attirance animale, le genre que j’ai pour les F-Girls quand elles commencent à affirmer leur autorité sur moi. Et ce drôle de sentiment me suit jusqu’à la clinique du docteur Stuart.

Courtney est sur le point de me laisser mais je ne peux pas le laisser partir sans au moins tenter ma chance.

« Courtney, attends. Je ne voudrais pas paraître bizarre ou quoi, mais… est-ce qu’on pourrait se revoir après l’entretien ? Dans un cadre plus privé… et avec moins de vêtements si possible. »

Je n’ai pas encore l’aplomb pour lui dire en face que j’ai envie de le baiser, mais je pense que l’image est assez claire. C’est la première fois qu’un F-Boy me fait bander comme ça, je ne vais pas le laisser filer sans au moins essayer.

Courtney était un jeune homme aussi populaire que Peach. Les deux étaient de fait assez proches, et, comme on pouvait s’y attendre, Courtney avait une expérience sexuelle folle. Officiant souvent comme serveur et comme prostitué local, il se faisait régulièrement sodomiser par les F-Girls, et notamment par sa grande-sœur, la belle et puissante Dominique. Quand les deux avaient rejoint la Fut-Corp, Dominique était déjà une femme influente, un peu éloignée de sa famille, vivant une ascension comme actrice et mannequine. Elle était aujourd’hui l’une des égéries de la Fut-Corp, participant à des interviews pour promouvoir la compagnie, et faisait partie des hautes instances de la société. Leur mère, Jaime était elle aussi une puissante F-Girl, proche de Meryl. Courtney guida donc Usagi, tout en notant son excitation, et son regard qui glissait vers ses fesses. Avec son short rose ultra-moulant, Courtney se voulait un appel au sexe, et il portait sur lui un parfum très spécial, importé de Auris… Du Jouvenceau, un parfum unique en son genre, conçu par la Parfumerie Duroy, et qui excitait les hommes. Il l’avait mis exprès. Si lui et Peach étaient proches, ils n’en étaient pas moins rivaux, une sorte de douce émulation. Quand il avait appris que Peach avait couché avec Usagi, il avait décidé de le faire à son tour.

Ils rejoignirent l’étage médical. C’était ici, dans cette clinique, qu’Usagi allait être opéré. Courtney ne lui montra pas le bloc opératoire, et ils rejoignirent les cabinets médicaux. La Fut-Corp employait plusieurs médecins. Si le docteur Stuart était plutôt généraliste, il y avait aussi des chirurgiennes et une anesthésiste. Régulièrement, les F-Girls devaient se livrer à des examens médicaux. Quand ils rejoignirent la salle d’attente, Usagi demanda à revoir Courtney. Ce dernier sourit de manière insolente, et glissa sa main contre le pantalon du jeune lapin, sentant son érection, et commença à caresser son sexe à travers le pantalon.

« Je ne peux pas te laisser comme ça, le docteur Stuart ne sera pas très contente si tu bandes devant elle… »

Usagi put voir que la salle d’attente était commune à plusieurs cabinets, et qu’il y avait déjà du sexe. Il put voir Meryl, assise sur un canapé, qui avait les jambes écartées, et qui tenait d’une main les cheveux d’une F-Guard, occupée à la pomper. Sur un autre banc, une infirmière dansait sur une autre F-Girl, s’empalant dessus. Même les affiches médicales qu’on voyait portaient sur la taille des verges, les érections, ou sur les parties intimes, sur la meilleure manière de faire une sodomie afin d’éviter de trop endommager les soumis. Une véritable clinique sexuelle où Usagi se retrouva assis sur une chaise rembourrée. Courtney s’agenouilla devant lui, et libéra sa verge, la sortant de son pantalon. Il attrapa son membre dans sa main, et sourit doucement.

« Hum, voilà une belle queue… Tu sais que, quand tu seras transformé en fille, tu n’auras plus ça ? Mais peut-être que tu souhaites être hermaphrodite ? Avoue que c’est sexy de me voir entre tes genoux, et de m’imaginer te sucer avec force, non ? »

Sa douce voix proférait sans difficulté les pires insanités, et, avec un sourire sur le coin des lèvres, Courtney commença à le sucer avec emphase…

Quand j’ai dit à Courtney que j’aimerais le revoir plus tard, je ne m’attendais pas à ce qu’il vienne caresser mon sexe en déclarant que je ne peux pas aller voir le docteur Stuart en bandant. Je pourrais dire que le voir aussi audacieux me choque, mais en regardant un peu autour de moi je vois que ça s’agit déjà dans d’autres cabinets. Une F-Guard est en train de pomper Meryl, une infirmière fait du rodéo sur le chibre d’une F-Girl, et même les affiches médicales sur les murs parlent de verges et de sodomies. Puisque tout le monde semble se faire plaisir, pourquoi me priverais-je ?

Courtney me fait asseoir sur une chaise rembourrée et sort mon sexe de mon pantalon, le massant entre ses doigts en me demandant si je souhaite devenir hermaphrodite après mon opération. C’est vrai que je devrai renoncer à tous les plaisirs qu’offrent ma verge après l’injection du F-Gen. J’ai déjà eu des expériences en tant que futa au Lys, c’est vrai que c’est plaisant mais…

« Hhhmmm… je crois que… ce n’est pas ce que je veux ici. Je veux que les F-Girls… ooohhh… me remplissent avec leurs énormes chibres. »

Je m’imagine très bien en gang-bang au milieu d’un groupe de F-Girls, à avaler et branler des chibres veineux pendant que d’autres me remplissent la chatte et le cul. Et quand je m’imagine Courtney me sucer avec force comme il est en train de le faire maintenant… ça m’excite mais pas autant. Je préfère être à 100% femme pour m’en donner à cœur joie avec les F-Girls. Si ça doit être ma dernière fellation reçue avant un moment, je veux en profiter à fond.

Je pose mes mains sur la tête de Courtney et j’appuie dessus pour l’encourager à avaler mon chibre de plus en plus loin. Partout où je regarde autour de moi j’ai l’impression de voir des verges, que ce soit celles des F-Girls ou celles des affiches médicales, et je me mets à fantasmer d’autant plus. Le F-Boy m’a déjà fait miroiter le plaisir que j’aurais à me faire sucer en tant que futa, mais il y a autre chose qui m’excite tout autant : l’idée de le sodomiser. C’est un plaisir qui m’a été refusé avec les F-Girls et auquel je n’aurai plus droit une fois transformé. Je n’y avais jamais vraiment pensé avant, mais voir Courtney onduler du bassin devant moi pendant que nous traversions les couloirs m’a donné envie d’essayer la sodomie avec un F-Boy.

Si on a le temps avant la consultation… je lui demanderai peut-être.

Usagi était heureux, sa verge gonflant dans la bouche de Courtney, qui se tortillait sur place. Son cul ressortait joyeusement sous son minishort rose moulant. Il était aussi vulgaire que Peach, avec également ce côté mignon. Courtney avait peut-être un aspect encore plus efféminé que Peach, même si les deux étaient surtout très similaires. Courtney avait toutefois un côté plus « mignon » là où Peach assumait plus fièrement son côté « salope ». Usagi expliqua qu’il n’envisageait pas de devenir une F-Girl, mais une femme complète, pour pouvoir mieux se faire prendre par les F-Girls. Courtney soupira. Il savait qu’Usagi était un habitant du Lys, un harem spécial, qui existait dans son propre univers, et où les hommes se transformaient en femmes. Ce changement de sexe avait visiblement motivé Usagi au point de vouloir changer définitivement de sexe. Courtney gémissait doucement, enfonçant cette belle trique dans les profondeurs de sa bouche. Sa queue venait ainsi heurter son cou, et les joues de Courtney s’empourpraient sous l’effort et sous le manque d’air lié à cette gorge profonde.

« Hmmm… !! »

Courtney se faisait plaisir, continuant à le pomper avec force et passion. Ses délicieux gémissements emplissaient l’air, et il remuait d’avant en arrière, aspirant l’air entre ses lèvres. Soupirant longuement, Courtney faisait de longues gorges profondes, témoignant de son endurance. Usagi lui appartenait totalement en ce moment, et Courtney pouvait sentir, à la dureté de sa queue, et aux variations de son érection, l’approche de l’orgasme. Mais il le retenait, l’empêchait, le retardait, en cessant de le sucer, en cessant de remuer sur la queue, juste pour sentir Usagi devenir plus nerveux.

*Quand tu as ta queue dans ma bouche, tu m’appartiens… C’est moi qui te fais jouir quand je le souhaite, et non l’inverse !*

Et cela, il valait mieux que Usagi le comprenne ! Courtney jouait avec lui, mais il ne pouvait pas retenir indéfiniment l’orgasme ! Usagi était très excité, sa grosse queue remuant dans sa bouche. Ce n’était pas le mandrin étouffant d’une F-Girl, mais Courtney aimait aussi ça, car il avait plus de place, et pouvait donc faire plus de choses. Sa langue jouait donc, glissant sur ce membre, s’enroulant dessus, et Usagi finit par jouir ainsi. Son sperme afflua dans la bouche de Courtney, qui avait, quant à lui, une solide érection. Sa verge apparaissait clairement sous son minishort, et il avala avec soif ce joli sperme. Un foutre épais qui jaillit prodigieusement en lui.

Courtney l’avala joyeusement, avec un grand sourire sur les lèvres, et se redressa un peu, sa main retournant masturber Usagi.

« Hmmm… Tu es encore bien dur, mon joli, tu es vraiment un petit pervers… Qu’est-ce qu’on va bien pouvoir faire pour que ta queue dégonfle enfin ? »

Plus le temps passe, plus Courtney avale ma queue profondément, remuant d’avant en arrière et aspirant l’air entre ses lèvres. Je dois dire qu’il est très doué, et il a aussi un côté mignon que Peach n’a pas. Mais j’ai aussi l’impression qu’il joue avec moi parce qu’à chaque fois que je sens que l’orgasme approche, il ralentit sa fellation voir l’arrête carrément. Et quand je le regarde je jurerais qu’il a un petit sourire sur les lèvres.

« Aaahhh… Peach… »

Ca l’amuse de me frustrer comme ça ? Est-ce qu’il fait ça aussi avec les F-Girls ?

C’est difficile à croire, une F-Girl avec qui il s’amuserait à ce petit jeu le forcerait à avaler sa queue aussi profondément que possible jusqu’à se vider les couilles dans sa gorge. Il doit se permettre ce genre de folie parce que je suis un homme.

Pour autant, il a beau retarder autant que possible, l’orgasme finit par arriver et c’est un soulagement immense.

« Pppyyyooonnn ! »

Mon sperme se déverse dans la bouche de Courtney, qui avale tout sans sourciller avant de se redresser. Un grand sourire sur les lèvres, le F-Boy continue de me masturber en se demandant comment faire que ma queue retombe enfin si même une fellation n’a pas suffi.

« Hhhmmm… j’ai bien une idée mais… je ne sais pas si tu seras d’accord. »

Je n’oublie pas ma consultation, mais puisque le Dr Stuart ne semble pas pressée autant profiter du temps libre.

« Depuis que je suis arrivé ici je… oohh… je n’ai encore sodomisé personne. Peach m’a dit que les hommes étaient faits pour être sodomisés… qu’ils en tiraient plus de plaisir. Et c’est vrai que j’ai adoré mais… aahh… je me demande ce que ça fait… d’être celui qui sodomise.
Tu… tu veux bien être mon premier ? »

En théorie Courtney n’a aucune raison de refuser ma demande, les F-Boys ont l’air d’adorer se prendre des chibres dans les fesses, mais d’un autre côté il m’a déjà montré qu’il était joueur. Peut-être qu’il va accepter mais m’imposer une condition d’abord, ou peut-être que le Dr Stuart va finir par arriver. En tout cas je n’ai pas l’intention de rester sagement assis à l’attendre alors que tout autour de moi, les personnes comme les images, m’incitent à ne penser qu’au sexe et en particulier aux verges.

Courtney nota avec amusement que, sous l’effet de l’excitation, et entre deux soupirs, Usagi l’appela « Peach ». Un lapsus qui était en soi assez révélateur du fait que les deux hommes se ressemblaient fortement. Une comparaison que Courtney acceptait volontiers, puisqu’il était après tout très proche de Peach. Courtney s’évertuait à le sucer, et il faisait preuve d’un certain et indéniable talent, ce qui précipita Usagi à jouir avec joyeuseté dans sa bouche. Un bel orgasme, le foutre venant inonder les lèvres de Courtney, qui le prit avec plaisir. Pour un simple mâle, il avait tout de même une endurance tout à fait honorable ! Courtney retira sa bouche du sexe de l’homme, et avala le sperme sous ses yeux, dans un bruit de déglutition exagéré, mais qui était surtout décidé à montrer qu’il avait bien avalé.  Qu’on se le dise, Courtney était un bon F-Boy !

Il sentait néanmoins que le regard d’Usagi brillait encore. Son partenaire n’était pas totalement rassasié, et en voulait davantage. Il lui expliqua alors qu’il avait très envie de le sodomiser, et Courtney sourit doucement. Le docteur Stuart n’était pas encore arrivé. Ce n’était pas une surprise, elle s’occupait bien de ses patients, alors cela traînait toujours un peu. L’omniprésence du sexe au sein de la Fut-Corp se ressentait après tout aussi dans l’aile médicale, et jusque dans les bureaux des médecins. Courtney sourit donc, et se redressa alors, en se pinçant ensuite les lèvres. D’une main, il attrapa celle d’Usagi, et le releva, tandis que son autre main caressa sa verge trempée, et la masturba ensuite. Il l’embrassa ensuite, se pressant contre lui.

« Je veux bien, Usagi… »

Courtney lui sourit ensuite doucement, et se déplaça. Tenant la main d’Usagi dans la sienne, il rejoignit un proche bureau, et l’ouvrit sans hésitation. Moins qu’un bureau, c’était une chambre de repos, vide.

« Laisse la porte ouverte, qu’on entende l’infirmière si elle t’appelle… »

C’était une chambre médicale banale, avec un seul lit et une fenêtre. Courtney se rapprocha du lit, et s’assit dessus, croisant les jambes en observant Usagi.

« Comment veux-tu que ta première fois se fasse, mon beau ? Tu veux que je me couche, que je sois debout ? Le mieux, c’est souvent à quatre pattes, mais certains aiment aussi beaucoup me prendre contre le mur, car on peut me tirer les cheveux, me mordre le cou… Mais, à quatre pattes, tu pourras plus facilement me pénétrer. D’ailleurs, pour que l’expérience soit la plus agréable pour toi, il faudra que tu commences par dilater mon petit cul avec ta langue. Ou alors, tu me prends directement… J’ai appris à aimer ça, et je porte de toute façon en permanence un plug pour qu’on puisse m’enfiler rapidement… »

Vu comment Courtney en parlait, la sodomie était un acte qui était loin de le déranger, bien au contraire !

J’ai finalement eu le courage de demander à Courtney s’il voulait bien être ma première fois de l’autre côté de la sodomie… et il a dit oui. Il me prend par la main et m’emmène dans une chambre de repos en laissant la porte ouverte au cas où le docteur Stuart arriverait. Courtney se rapproche du lit et s’assoit dessus, croisant les jambes en m’observant. Il me demande comment je veux que ça se passe et il me parle de ce que ses autres amants aiment faire. Mais moi je sais déjà comment je veux que ça se passe.

« Je veux que tu te mettes à quatre pattes sur le lit. Et je vais venir dilater ton petit cul avant de m’y mettre. »

Je viens me mettre dans le dos de Courtney et je mets aussi à quatre pattes pour avoir le visage au niveau de son joli derrière. J’avais raison tout à l’heure, il cachait vraiment un petit cul exquis sous ce short. J’attrape le plug logé dans ses fesses et je le retire dans un *POP* sonore avant de venir lécher son anus.

« Hhhmmm… »

Ma langue s’enfonce facilement dans ce canal que j’imaginais bien plus étroit. J’imagine qu’entre le plug et son quotidien de F-Boy, il a dû se faire tellement élargir le fondement que ce n’est rien pour lui désormais. Mais je prends bien le temps, je lèche encore et encore pour lubrifier son anus autant que possible et je m’amuse de ses petites réactions de plaisir. Ce n’est que le début mais j’ai déjà retrouvé mon érection.

« Hhmm… assez léché… maintenant on passe aux choses sérieuses. »

Je pose mes mains sur le délicieux fessier de Courtney, je caresse et malaxe ces belles bosses dodues tout en approchant ma queue de son fondement. Je tremble d’excitation tandis que je l’enfonce peu à peu en lui, avec bien plus de facilité que ce à quoi je m’attendais. Une fois arrivé au bout je serre mes mains sur ses hanches en gémissant.

« Aahh… ça y est… je suis dedans. »

Et là je commence. D’avant en arrière, d’avant en arrière, encore et encore… d’abord doucement puis de plus en plus vite. Je sens ma queue comprimée dans ce tunnel étroit, je couine et gémit de plaisir à chaque sursaut de mon chibre dans le cul du F-Boy. Cette expérience est encore meilleure que ce que j’espérais.

« Oouuii… aaahhh… quel pied ! »