The Multiversity

Ruriko n’allait pas se contenter éternellement d’être une spectatrice, surtout devant un tel spectacle ! Face à elle, Helena et Hartley s’envoyaient joyeusement en l’air, Helena venant le sodomiser avec force et puissance. Ruriko vint donc la rejoindre, s’enfonçant très généreusement dans la croupe d’Helena. Son fondement se dilata à son passage, les parois s’écartant joyeusement tandis que la femme venait la pénétrer avec vigueur. Pressant ses seins, Ruriko se blottissait contre elle, et sourit doucement quand Helena avoua que ce n’était là qu’un début, et que la femme avait encore plein des choses à révéler.

« Oh, mais… Je le sais bien, haaaa… Tu n’es pas la femme de ma Maîtresse pour rien, hmmm… »

Aux yeux de Ruriko, Karen était autant sa patronne que sa Maîtresse, et elle acceptait volontiers d’être l’esclave de cette puissante femme. Helena pourrait sans doute aussi arriver un jour à la dominer, mais il ne fallait pas oublier que, de base, Ruriko se soumettait à Karen. Même si Helena était destinée à être sa femme, Ruriko n’avait qu’une seule Maîtresse ! De plus, Helena semblait clairement avoir davantage un profil de soumise, même si, face à des traps, elle dévoilait une toute autre facette. Quoi qu’il en soit, pour l’heure, Ruriko s’enfonçait en elle, la sodomisait, et il fallait bien admettre que… C’était très agréable ! Sa solide queue s’enfonçait en elle, se glissant progressivement dans ses parois, remplissant le fondement de sa partenaire.

Soupirant longuement, Ruriko se pinça les lèvres, et hocha la tête. Elle embrassa Helena dans le creux du cou, mordillant même brièvement sa chair, se serrant encore contre elle.

« Ouais, hum ! Moi aussi, je t’adore, haaa… T’es si bonne, bordel ! Maîtresse d-Doit raffoler de… De ton cul, haaaa… !! »

De son côté, Hartley était également en train de planer. Cette puissante sodomie, prodiguée par une femme aussi belle, voilà qui avait de quoi laisser rêveur ! Tout ce qu’il espérait, à ce stade, c’était que sa nouvelle Maîtresse continuerait encore à jouer avec lui après cette vague de plaisir. Sa queue bandait furieusement, se relevant, tapant contre son estomac, remuant dans tous les sens. À ce stade, il se rapprochait d’un furieux orgasme anal, qui s’annonçait comme étant particulièrement jouissif !

Que demander de plus, après tout ? Le jeune homme était comblé, et espérait bien que cette séance ne se terminerait pas de sitôt !

Ce qui devait être au départ une session de dressage d’un adorable petit trap se changea rapidement en une bonne baise à trois. Pendant qu’Helena faisait couiner Hartley-chan en lui enfonçant sa verge slimesque dans le cul, elle se recevait une authentique verge de chair et de sang dans son propre anus de la part de Ruriko. Elle était vraiment ravie de cette soudaine prise en sandwich.

« Ooohhh... ooouuuiii... vous êtes parfaites... les filles. »

Bien entendu, elle savait que tout ceci n’était que le début. Maintenant qu’elle avait officiellement pris son poste de secrétaire, elle savait qu’elle allait avoir droit à d’autres sessions de ce genre. Karen n’était pas qu’une simple patronne, elle aimait faire de ses employés ses amants soumis, et ce n’était pas parce qu’Helena était sa femme qu’elle allait être ménagée. Au contraire, la kryptonienne allait sûrement utiliser des outils plus pervers et la faire participer à des jeux plus vicieux. Peut-être qu’elle la ferait enchaîner sous son bureau pour qu’elle la suce pendant toute une journée. Ou peut-être qu’elle lui imposerait un code vestimentaire, avec une tenue de secrétaire tellement courte que tout le monde pourrait voir la lingerie qu’elle porterait, et avec l’obligation de toujours mettre un string. Ou même des choses encore plus coquines, des choses qu’elle ne pouvait qu’imaginer à l’heure actuelle, et qui la faisait bien mouiller.

Oui... je vais adorer être sa secrétaire... et sa vedette dans ses films.

Car elle n’oubliait pas non plus leur projet de film pornos. Avec Power Girl derrière la caméra et Huntress en vedette, le résultat allait sûrement être fabuleux.

Helena se faisait plaisir avec Hartley-chan, pilonnant allègrement sa rondelle qui devenait de plus en plus large à mesure qu’elle y passait, fessant son joli petit cul qui donnait parfaitement l’illusion qu’il était né femme, et se délectant de ses couinements de plaisir. Et pour augmenter son plaisir, elle s’arrangeait pour que ses mouvements soient synchronisés avec ceux de Ruriko. Ainsi, elle pénétrait et se faisait pénétrer en même temps.

« Hhhmmm... plus profond... Ruriko... aaahhh ! »

La secrétaire ne la ménageait pas, elle tapait profondément dans son anus tout en claquant ses fesses. Heureusement que la jeune femme avait une bonne endurance, sinon elle se serait déjà relâchée dans le fondement de sa soumise.

« Gggaaahhh... quel pied ! »

Sans surprise, Hartley-chan eut son premier orgasme bien avant Helena. Le vrai défi allait être de savoir qui allait jouir la première entre elle et Ruriko. Elle était si excitée qu’elle ne tenta pas de ralentir un peu la cadence pour que son plaisir monte moins vite. La secrétaire se faisait elle aussi bien plaisir, et les deux femmes tinrent leur position pendant de longues minutes. Et finalement, malgré son endurance de super-héroïne, la jeune femme céda la première.

« Ooohhh... OOOUUUIII ! »

Helena sentit le foutre slimesque jaillir de sa verge, remplissant rapidement la rondelle d’Hartley-chan. L’orgasme lui traversa tout le corps, et elle se fit encore sodomiser pendant quelques minutes avant que Ruriko ne jouisse dans son cul. Une fois toutes les jouissances terminées, la jeune femme profita de la retombée de la tension sexuelle pour proposer à ses amants une petite pause, le temps de reprendre toute leur énergie.

« Profitez-en... pour réfléchir... aahh... à un jeu amusant... à faire à trois. »

Helena décida de mettre ce temps à profit pour interroger Ruriko et en apprendre un peu plus sur une facette de Karen qu’elle ne connaissait pas encore très bien : la patronne Karen.

« Dis-moi Ruriko... comment est Karen au travail ? Je ne l’ai pas souvent vu évoluer... dans cet environnement... et je suis curieuse... puisque je vais travailler pour elle. J’aimerais que tu me parles... de tout ce que tu fais au quotidien... pour elle. Et surtout... à quels jeux coquins... elle te fait participer. »

Ah, Ruriko sentait qu’elle allait vite se faire à ce cul magique ! Le fondement d’Helena était magnifique, se dilatant rapidement. Elle pouvait enfoncer sa trique en elle sans crainte ! Ce sexe était un cadeau de Karen, l’un des résultats de ses expériences dans le laboratoire génétique souterrain situé sous sa villa. Ruriko aimait ça. Elle aimait tout dans le sexe, que ce soit se doter d’une verge pour coucher avec les concubines de sa patronne, ou quand elle offrait son corps aux assauts fougueux de ses amants. Karen avait fait d’elle une parfaite amante, et, si Ruriko était sa secrétaire personnelle, ce n’était pas pour rien. Oh, comme Ruriko aimait ça ! Elle sodomisait en ce moment sa partenaire, s’enfonçant durement en elle, pendant qu’Héléna poursuivait ses coups de reins sur Hartley. Très heureux, le trap gémissait encore, totalement transformé.

« Hmmmm… Oh, bordel, tu es si bonne, Helena-chan ! »

Ruriko la pénétrait donc, et pinça ses seins, encore et encore. Elle les maltraitait, et embrassait Helena dans le creux du cou, mordillant parfois sa chair. C’était si bon, si agréable, ce mélange de chaleur, de douceur, mais aussi de violence, et de perversion. Ruriko ferma les yeux, et se mit à jouir, sentant l’orgasme la traverser. Han, que c’était bon ! Elle s’abandonna dans le fondement d’Helena, et vint la remplir pendant de longues secondes, avant de se calmer progressivement.

Se pinçant les lèvres, la secrétaire se retira du corps d’Helena, et soupira encore. Elle glissa sa main sur ses cheveux, et rabattit une mèche de cheveux derrière elle, se remettant un peu en état. Helena tremblait doucement, et réclama une pause. Hartley acquiesça doucement. Prostré sur le lit, il semblait encore plus petit, et se retourna lentement, sentant une vive et agréable douleur pointer contre son postérieur.

Tandis qu’Helena reprenait ses esprits, elle invita ses partenaires à réfléchir à la suite, tout en souhaitant en savoir plus sur la relation entre Ruriko et Karen, et, surtout, sur la manière dont celle-ci était au boulot.

« Starr-sama ne raisonne pas comme les autres humains, tu sais. Elle… Son cerveau fonctionne bien plus vite, c’est un véritable génie. Elle passe l’essentiel de son temps à travailler, et, malgré les apparences, moi aussi. Généralement, elle est adepte des quickies. Elle adore me prendre sur son temps de pause, c’est… C’est une manière de se détendre. »

Ruriko sourit doucement, en se remémorant ces souvenirs très agréables… Ceux où Starr-sama la tirait par les cheveux, la besognait contre le mur, contre la baie vitrée, ou dans le couloir.

« Starr-sama aime aussi m’offrir en cadeau aux membres du conseil d’administration. Je… Quand les résultats sont bons, ils peuvent me faire l’amour. Ils sont tous mariés, avec des enfants, mais ils me baisent avec une telle vigueur… Je crois que le mariage, ça stimule la libido. »

Tandis qu’elle parlait, Hartley s’était rapproché d’elle. Elle lui caressa la joue, et l’invita à poser sa tête sur ses genoux, caressant tendrement ses cheveux.

« Honnêtement, il y a beaucoup à te dire. Starr-sama est… Tellement gourmande. C’est une nymphomane, mais elle me dit que le sexe l’aide à mieux travailler, à se concentrer. Je veux bien la croire là-dessus. Enfin, tu verras surtout ça au quotidien, mais ne t’attends pas à passer des journées entières à juste faire l’amour. Il faudra aussi que tu travailles plus sérieusement. »

Ruriko sourit en lui disant cela, comme si elle s’amusait de la situation actuelle. Mais il est vrai que, pour une première journée de « travail », Helena avait fait plutôt fort !

Helena profitait d’une petite pause dans les ébats furieux pour interroger Ruriko sur le comportement de sa chérie au travail. Bien sûr, elle se doutait qu’elle ne devenait pas sage et abstinente aussitôt qu’elle s’asseyait à son bureau, mais elle était sûrement moins assoiffée que quand elles étaient ensemble. La secrétaire lui expliqua pourtant que le cerveau brillant de la kryptonienne carburait toute la journée, et qu’elle ne se laissait aller au plaisir que sur ses temps de pause. Certains prenaient un café, mais elle, elle prenait la secrétaire.

« Des quickies ? Karen ? A chaque fois qu’elle me veut, elle fait durer ça pendant des heures. J’ai du mal à croire que... »

Ensuite, Ruriko lui parla de la façon dont Karen l’offrait en cadeau aux membres du conseil d’administration quand les résultats étaient bons.

« Ah, là je la reconnais bien. »

Mais le plus important, c’était que la kryptonienne était une vraie folle de sexe qui savait malgré tout bien faire la différence entre le temps pour travailler et le temps pour se faire plaisir. Elle utilisait le sexe pour mieux se concentrer, et son cerveau génial faisait des miracles une fois qu’elle avait vidé ce qu’elle avait entre les jambes. Autrement dit, il n’y aurait plus beaucoup de journées comme celle-ci.

« Oh, ne t’en fais pas, je sais pourquoi je suis ici. Ma chérie dirige une grosse société, et moi je veux l’aider à la faire tourner. Et quand elle aura besoin de se détendre, je lui offrirai mon beau petit cul rebondi. »

Bien sûr, Helena allait devoir apprendre à jongler entre son travail et sa vie de super-héroïne, mais si ses parents avaient pu y arriver, elle saurait s’en sortir aussi. Et puis au moins, elle n’aurait pas besoin de chercher d’excuses avec sa patronne.

« D’ailleurs à ce propos... ne serait-il pas temps de retourner travailler ? N’allez pas croire que je ne suis pas contente d’être ici avec vous, les filles, mais... pour un premier jour, je ne donne pas vraiment l’image d’une travailleuse. Et je ne voudrais pas vous retarder dans vos propres travaux. »

D’un autre côté, Helena se dit que sa chérie était assez maline pour savoir quand il était temps d’arrêter de baiser et de se remettre au travail, surtout après tout ce que lui avait dit Ruriko sur sa mentalité au travail.

« Et toi Hartley-chan ? Est-ce que tu aimes travailler ici ? Est-ce que ma chérie t’a déjà fait participer à des jeux coquins comme le fait Ruriko ? »

On pouvait sentir une profonde dévotion chez Ruriko quand elle parlait de Karen. À ses yeux, Starr-sama lui avait sauvé la vie. Elle lui avait offert ce poste, et, à sa manière, Ruriko était amoureuse d’elle. Elle admirait sa beauté, sa puissance, le fait qu’elle n’ait pas froid aux yeux, ce qui était d’autant plus admirable que, au Japon, les femmes étaient encore cantonnées à un rôle très féodal. On les éduquait pour qu’elles se marient et qu’elles éduquent les enfants. C’était encore très réducteur, et, quand on ne voulait pas de schéma, c’était très difficile de s’en émanciper. Ruriko enviait les femmes occidentales pour ça, celles qui pouvaient devenir des femmes d’affaires, qui n’avaient pas forcément comme seul horizon de pondre des mioches pour changer leurs couches ! Ici, avec Starr-sama, elle goûtait à une toute nouvelle vie, et elle adorait chaque journée, chaque heure qu’elle passait ici ! Ce n’était même pas que pour l’argent, même si le salaire qu’elle recevait était bien plus élevé que tout ce qu’elle avait jamais reçu. Elle goûtait aussi à une véritable forme de reconnaissance, et Starr-sama avait réussi à faire d’elle une terrifiante nymphomane. Et Ruriko savait qu’elle était vraiment très précieuse aux yeux de sa patronne et Maîtresse.

Helena commença à avoir de son côté un coup de conscience. Ne devaient-elles pas retourner travailler ? Elle fut surprise d’apprendre aussi que sa femme se livrait à des quickies, ce qui amusa Ruriko.

« Tu y auras droit, toi aussi… Pour être honnête, j’espérais depuis longtemps rejoindre vos ébats, mais Starr-sama voulait que je te rencontre personnellement avant. Tu sais, quand elle me fait l’amour, il lui arrive parfois de murmurer ton nom au moment de jouir… C’est d’ailleurs comme ça que j’ai appris ton existence ! »

Aussi perverse soit-elle, Starr-sama était profondément amoureuse d’Helena. C’était là une chose dont Ruriko avait su se convaincre, car il n’y avait tout simplement aucune autre explication. Helena interrogea alors Hartley, qui reprenait ses esprits.

« Je… Non, c’est la première fois. J’avais entendu parler de… De tout ça, mais… Je n’y avais encore jamais goûté ne personne. »

Ruriko hocha la tête. Elle embrassa une ultime fois Helena, puis se racla la gorge.

« Mais Miss Wayne a raison, nous devrions retourner au travail. Mais, avant ça, Helena, il va falloir te rhabiller ! »

Elle ne pouvait tout de même pas aller travailler dans sa tenue d’Huntress ! Ruriko l’invita donc à la suivre, et elles allèrent dans une penderie. Ruriko chercha parmi les affaires disponibles, jsuqu’à trouver un très bel ensemble pour Helena : une chemise, un blazer, et une minijupe. Une tenue qui lui irait très bien !

« Allez, enfile-là ! Pour le reste, je te propose de donner à Harltey un rendez-vous pour demain, histoire de… Consolider votre relation dans ton bureau. Qu’ne penses-tu ? »

Helena allait vite comprendre comment les choses fonctionnaient ici !

Hartley-chan n’avait encore jamais eu la chance de prendre part aux jeux sexy de Karen, c’était une première pour elle. Et il ne faisait aucun doute que cette première fois allait lui rester en mémoire pendant longtemps. Mais pour l’heure, il était temps de retourner au travail. Ruriko l’invita à la suivre, et elles se rendirent ensemble dans une penderie, où la secrétaire lui proposa d’enfiler un joli ensemble de travail avec une chemise, un blazer et une minijupe. Simple mais élégant.

« Parfait. Mais avant ça... tu sais où sont mes sous-vêtements ? »

Par chance, la secrétaire avait pensé à les prendre avec elle en arrivant car elle savait que la jeune femme en aurait besoin plus tard.

« Merci Ruriko. »

Helena ne traîna pas pour se rhabiller, craignant que la vue de son joli corps en lingerie fine ne donne à Ruriko l’envie de lui faire l’amour de nouveau, et prit ensuite un instant pour s’admirer dans sa nouvelle tenue. On dit souvent que l’habit ne fait pas le moine, mais là, elle avait vraiment l’allure d’une femme active.

« Parfait. Tu as très bien choisi. »

Avant de se mettre au travail pour Karen, elle devait encore convenir d’un prochain rendez-vous avec Hartley pour qu’ils puissent approfondir le travail commencé avec lui.

« Tu as raison. Allons le retrouver. »

De retour dans la pièce de baise, la jeune femme retrouva son joli petit trap, qui avait retiré ses vêtements féminins pour remettre son costume. Il était nettement moins mignon comme ça, mais Helena comprenait qu’il ne puisse pas aller travailler en jupe. C’était encore trop tôt...

« Eh bien, Hartley-chan... ç’a été un moment délicieux. Je dois retourner travailler mais... je veux te revoir demain. Nous avons bien avancé, il ne faut pas perdre le rythme. Alors dis-moi... quelles sont tes disponibilités pour demain ? »

« Euh... demain... voyons voir, demain... Demain je dois travailler sur l’étude financière des régimes fiscaux de la France pour les sociétés étrangères et rédiger un rapport qui viendra compléter l’étude de marché. Je devrais avoir terminé vers... 16h si tout va bien. Je pourrai venir vous voir après ? »

« Ca marche. Et pour aller plus loin, je te propose de préparer ta tenue de femme avant de venir me voir. Ce n’est pas une obligation, mais j’aimerais voir quels sont tes goûts. »

« Je... je verrai ça demain... maîtresse. »

« Parfait. Alors à demain Hartley-chan. »

Helena donna un baiser sur la joue à Hartley et le laisse retourner à son travail. Elle rejoignit sa chère et tendre Karen, qui s’était elle aussi rhabillée et recoiffée. Difficile de croire qu’elle venait de se faire sauter pendant deux bonnes heures par un mâle en rut. Elle la prit dans ses bras et l’embrassa.

« Ma chérie... tu as vraiment des employés fabuleux. Mais maintenant, je veux me mettre au travail. Après tout, tu ne m’as pas embauché que pour mater mon cul et te sucer sous la table. Je dois aussi utiliser ma cervelle. Dis-moi par quoi je commence. »

Tandis qu’Helena avait batifolé avec Hartley et Ruriko, Karen, elle, avait continué à travailler ! La Kryptonienne avait finalisé cet entretien avec Hartley et Henry, et avait continué le reste, consistant essentiellement à assister à des rendez-vous, à répondre à ses mails, et à gérer son entreprise. Elle passait beaucoup de temps ainsi, et se débrouillait généralement pour diviser son temps de travail entre sa casquette de « gérante » et sa casquette de « laborantine ». Car Karen aimait beaucoup travailler dans son laboratoire, de sorte qu’elle laissait souvent le soin à Ruriko de répondre aux mails, ou même d’assurer certains rendez-vous. Mais, ce matin, sa Helena avait embarqué Ruriko ! Oh, il ne faisait aucun doute qu’Helena serait punie pour ça, mais, dans le fond, Karen ne pouvait pas lui en vouloir. Elle était amoureuse d’elle, après tout, et, en invitant Helena ici, dans son bureau, elle s’attendait bien à ce que cela dégénère vite ! Ceci dit, Helena avait réussi à la surprendre, et ça, ce n’était pas gagné ! Parvenir, dès le premier jour, à embarquer Ruriko et un employé standard comme Hartley… Karen était surprise !

C’est après un rendez-vous qu’elle reçut à nouveau la visite d’Helena. Proprement rhabillée, elle était très belle, et Karen, dans un tailleur blanc, lui sourit doucement, avant de l’embrasser sur les lèvres.

« Oui, tu as raison, Helena… Je te punirai ensuite pour avoir ainsi corrompu mon personnel ! »

Elle lui sourit doucement, devant cette agréable promesse, puis la ramena dans son bureau.

« Comme je t’ai dit, Helena, je compte sur toi pour gérer les activités de la Fondation Starr. Tu te souviens des personnes que nous avons aidées en Afrique ? De tous ces migrants et clandestins que tu as secourus dans le Bassin méditerranéen ? »

Helena ne pouvait que s’en souvenir ! Elle n’était pas « que » la femme de Karen, elle était aussi Huntress, et, à ce titre, elle défendait les personnes victimes d’exploitation injuste, d’asservissement, affrontant les esclavagistes modernes… Chose d’autant plus cocasse qu’Helena était une incroyable soumise. Mais, après tout, il y avait une différence significative entre la soumission consentie et la soumission forcée.

Karen lui présenta des cases remplies de documents en tout genre.

« Comme tu le sais, la Fondation Starr est reconnue d’utilité publique dans beaucoup d’États. Nous finançons et soutenons des orphelinats, des maisons d’accueil, des associations caritatives… Ce sera là ta mission, Helena. Mettre de l’ordre dans tout ça, traiter les demandes que nous recevons, t’assurer de l’hébergement des personnes que tu as protégées, les aider à trouver un emploi, un appartement… Bref, à pouvoir vivre et se reconstruire ! »

Karen consacrait une partie importante des bénéfices de Starr Industries à sa fondation, qui faisait d’elle une personnalité très appréciée, ayant régulièrement droit à des interviews médiatiques. Difficile, par conséquent, de voir en elle la redoutable, puissante et sensuelle Power Girl. Karen se rapprocha encore d’Helena, et l’embrassa encore sur les lèvres.

« Et, une fois que tu auras commencé à bien à te familiariser avec ça, je démissionnerai de mes fonctions de Présidente de la Fondation afin que tu sois nommée à ma place ! »

Après avoir joué les prostituées de bureau et les maîtresses pour trap, Helena comptait maintenant se mettre au travail. Karen la ramena dans son bureau et lui expliqua ce qu’elle allait devoir faire au poste qu’elle allait lui confier. C’était un poste dans la Fondation Starr, pour traiter les demandes reçues par les différents organismes profitant de l’argent de la fondation, pour s’assurer que les personnes prises en charge bénéficient d’un logement et d’un travail, et pour gérer tous les problèmes arrivant au quotidien.

« Ce sera avec grand plaisir. Toutes ces personnes méritent d’avoir un nouveau départ avec ce qu’on leur a fait. »

Helena pensait surtout aux jeunes femmes maltraitées et droguées qui allaient être vendues comme esclaves sexuelles partout dans le monde. Il allait leur falloir des années pour se remettre, mais elles auraient la Fondation Starr à leurs côtés.

Mais le plus surprenant arriva après, quand sa chérie lui annonça qu’elle comptait, à terme, démissionner de son poste de présidente de la fondation pour nommer sa femme à sa place.

« Quoi ? Tu veux que... que moi je... je m’occupe de la fondation ? »

La jeune femme se sentit tout à coup un peu secouée. Elle ne s’attendait pas à ça, et surtout annoncée de but en blanc dès son premier.

« Karen, je... je suis honorée bien sûr mais... c’est une énorme responsabilité. Cette fondation, c’est ton bébé, comme cette entreprise. Tu l’as vu naître, tu l’as faite grandir. Tu serais vraiment prête à... à m’en confier les rênes ? »

Sans surprise, la kryptonienne avait une confiance totale dans sa femme, ainsi qu’en sa capacité à diriger la fondation. Helena aurait été tenté de sortir l’excuse classique de la double vie de superhéroïne pour la faire changer d’avis, mais puisque sa chérie était aussi superhéroïne et chef d’entreprise, ça n’allait pas marcher.

« Je pensais que tu allais juste me donner un poste administratif... histoire de t’apporter du renfort sur des petites choses. Mais là... toute la fondation... ça fait beaucoup d’un coup. »

Tout cela n’allait pas se faire du jour au lendemain bien sûr, elle aurait le temps de découvrir les subtilités de la gestion de la fondation, mais cela restait quand même une énorme responsabilité.

« Bon... je vais m’occuper de la gestion des requêtes et je te promets de garder en tête le fait de prendre la tête un jour. Mais pour l’instant, promets moi que tu ne me donneras pas les clés du royaume avant que je me sente prête. D’accord ? »

Helena ne doutait pas de sa capacité à gérer la Fondation Starr, mais elle se demandait si elle arriverait à jongler entre ce travail, son travail de superhéroïne et les jeux coquins avec Karen.

« Quand même... tu n’as pas peur qu’à force de travailler comme des folles, on finisse par ne plus pouvoir se retrouver ? Toi en chef d’entreprise, moi qui dirige ta fondation... on aurait très peu de temps libre. Et avec nos rôles d’héroïnes, encore moins. On aurait... quoi... une heure d’intimité par semaine ? »

Elle détacha un bouton de sa chemise et en attrapa les bords pour dévoiler un peu plus son décolleté.

« Comment puis-je espérer bien satisfaire ma maîtresse en seulement une heure ? »

Mine de rien, on parlait de femmes pauvres, tant économiquement que culturellement. Beaucoup ne savaient pas lire, ni écrire, et étaient tout simplement incapables de s’en sortir seules. Elles n’avaient connu que la drogue, la prostitution, la violence. Si on les laissait dans la nature, elles reviendraient aux seules choses qu’elles connaissaient pour se nourrir. Karen voulait donc vraiment les aider, et non se contenter de les libérer d’une prison pour les conduire dans une autre. À travers sa fondation, elle suivait chaque femme sauvée par Helena, s’assurait que celles-ci assistent aux cours donnés par des associations ou même par certains services pédagogiques universitaires, qu’elle finançait à travers la fondation. Il fallait aussi s’assurer que l’argent était bien utilité, que personne ne cherchait à en profiter. Bref, tout cela demandait un énorme boulot, et Karen avait du mal à tout juguler. Elle était à la fois la PDG de Starr Industries et la Présidente de la Fondation Starr, et, si son super-cerveau lui permettait de tout gérer, le fait est que sa fondation ne cessait de croître, en étant présente sur tous les continents. Que ce soit les immigrés en Europe, les réfugiés climatiques ou politiques d’Afrique, les esclaves modernes d’Amérique Centrale sous le joug des cartels de la drogue, Karen voulait répondre à tout le monde… Sans parler des victimes des réseaux plus sinistres, comme les trafics pédophiles ou pédopornographiques.

Helena, quant à elle, était certes la fille de Catwoman, mais aussi de Bruce Wayne. Elle avait reçu une excellente éducation, incluant également des leçons économiques. Bruce Wayne avait toujours mis un point d’honneur à connaître le fonctionnement de l’économie et des affaires, car la lutte contre la criminalité était intrinsèquement liée à l’argent, et il affrontait autant la criminalité de bas étage que les criminels en col blanc. Batman enquêtait autant sur les dealers que sur les délits d’initiés, les collusions frauduleuses, les détournements de biens sociaux, les biens mal acquis… Helena avait appris tout cela, même si l’idée de diriger la fondation la surprit.

Power Girl sourit doucement, et embrassa sa fiancée.

« Tu en es capable, Helena. Toute cette fondation a été conçue pour toi. Dès le début, je savais que je t’en donnerai les rênes un jour. Ton père avait développé son propre réseau de Batman pour agir à travers le monde, et, à travers la Fondation, tu pourras faire quelque chose de similaire. Une Huntress Incorporated ! Car certaines des femmes que nous avons retrouvé ne sont pas des victimes, elles sont pleines de rage, de haine, d’une colère que tu pourras canaliser pour éviter qu’elles ne deviennent des criminelles. »

Les victimes des favelas brésiliennes, de tous ces endroits où la corruption régnait et où les êtres mauvais agissaient en toute impunité, avec la bienveillance des autorités légales. Si les justiciers comme Batman avaient vu le jour, c’était à cause de ça, pour répondre à l’inefficacité des systèmes étatiques, comme une sorte de réponse de la société civile à la hausse de la corruption.

« Bien sûr, il faudra attendre quelques mois, que tu fasses tes preuves, que tu saches avec qui discuter, et que tu connaisses bien tous les dossiers… Mais je tiens à ça. Personne n’est mieux placé que toi, ma chérie, personne. »

L’idée d’un bataillon d’Huntress n’était par ailleurs pas pour lui déplaire. Reste à savoir si Helena apprécierait l’idée, mais ce n’était pas comme si Karen pouvait transformer n’importe qui en Kryptonien. Helena s’interrogea alors sur leur vie de couple, et Karen sourit, en la voyant devenir impudique, détachant l’un de ses boutons de chemisier. Elle se rapprocha alors, et attrapa le bouton de la veste d’Helena, le maintenant entre ses doigts.

« Et bien, vu que nos bureaux seront collés l’un à l’autre, je pense que cela nous rapprochera davantage, au contraire… Mais il faut au moins consacrer une heure par jour à notre couple… »

Karen déboutonna la veste et glissa ses mains dans le dos de sa femme, retournant l’embrasser. Elle mordilla ses lèvres, et ses mains filèrent sous sa jupe. Elle sentit les plis de sa chemise, et descendit encore, jusqu’à sentir ses fesses, et les serra toutes les deux. Ses doigts se crispèrent dessus, et elle commença à malaxer le cul d’Helena, tout en mordillant sa lèvre inférieure.

« Mais il ne faut pas oublier aussi toutes les séances punitives que je devrais infliger à ma secrétaire rebelle qui fera perdre du temps à ses collègues à force de coucher avec eux, hum… Je crois bien que je vais devoir te punir tous les jours, même, ma petite catin… »

Le ton était doucereux, très affectueux, et Karen l’embrassa encore. Tout cela ne témoignait que d’une chose, de l’amour profond que Power Girl voulait à sa Huntress…

C’était un sacré choc pour Helena. Se dire qu’un jour, elle se retrouverait à la tête de la Fondation Starr. Mais Karen ne lui faisait pas seulement confiance, elle avait, dès le départ, conçu toute cette fondation pour elle, en sachant qu’elle lui en confierait les rênes un jour. Elle savait que cela allait prendre plusieurs mois pour qu’elle soit vraiment prête à assumer cette responsabilité, mais elle était sûre que personne n’était plus qualifiée qu’elle pour ce poste.

Pour ce qui était de leur vie de couple, Karen était persuadée que la proximité de leurs bureaux permettrait de les rapprocher, mais elle affirma malgré tout qu’il fallait consacrer au moins une heure par jour à leur couple. Helena frissonna en sentant sa chérie déboutonner sa veste, et tandis qu’elles s’embrassaient, elle eut un sursaut quand elle lui malaxa le cul.

« Hhhmmm... »

Sa patronne lui parla aussi des séances punitives quotidiennes qu’elle pensait infliger à sa secrétaire rebelle. Il n’en fallut pas plus pour que l’humaine commence à mouiller sa culotte.

« Aaahhh... Karen... ne me relance pas. C’est censé être mon premier jour et... ooohhh... tout ce que j’ai fait pour l’instant, c’est distraire mes collègues... et ma patronne... en jouant les salopes. Il faudrait quand même... que je travaille un peu non ? »

Mais la tentation était si forte. Sa chérie s’était attaquée à ses fesses, son point le plus sensible, et maintenant elle avait de nouveau envie de faire des cochonneries avec sa femme. Du coup, elle s’amusa à la provoquer un peu.

« D’un autre côté... c’est vrai que j’ai été... hhhmmm... vraiment très vilaine... avec tes employés. Je mérite bien... d’être punie. »

Helena se libéra de l’étreinte de Karen pour se tourner. Elle s’appuya sur le bureau et bomba son joli derrière.

« Peut-être qu’une bonne grosse fessée... me remettrait sur le bon chemin. Ou alors... une belle grosse trique... dont je prendrais soin... pour apprendre à me concentrer... sur une tâche. »

Difficile pour elle de se concentrer sur le travail quand elle savait qu’elle pouvait faire l’amour avec sa femme. C’allait donc être à cette dernière de jouer le rôle de l’adulte sérieuse. A moins qu’elle n’ait autant envie qu’elle de baiser à nouveau.

Un léger sourire perla sur les lèvres de Karen. Très nerveuse, Helena hésitait. D’un côté, elle était venue ici pour travailler, mais, de l’autre… Comment refuser quoi que ce soit à sa patronne ? Karen, elle, n’était pas spécialement dupe. Et elle avait pleinement confiance dans les capacités d’Helena à diriger prochainement la Fondation Starr. Mais, pour l’heure, elle embrassa doucement Helena dans le creux du cou quand celle-ci lui indiqua que, pour le moment, elle ne se comportait pas vraiment comme une employée modèle, mais plutôt comme une « salope ». Cet aveu ne manqua pas de faire sourire Karen, qui mordilla la peau du cou d’Helena, y imprimant sa marque de ses dents. Un léger suçon prononcé, tandis qu’elle frotta ensuite son nez sur sa peau douce et soyeuse, cette délicieuse peau féline qu’elle avait nécessairement hérité de sa mère.

« Hum… Dois-je vraiment en être surprise ? Tu es une incorrigible traînée, ma chère Helena, j’ai beau tout essayer pour te discipliner, tu retombes finalement toujours dans tes travers… »

Karen était sans aucun doute fortement responsable de cette évolution. La Kryptonienne avait des désirs sexuels très importants, qu’on pourrait même qualifier de surhumains. Helena en avait souvent fait les frais, et sa future femme se retourna ensuite, venant s’appuyer contre le bureau, bombant son insolent fessier vers l’arrière, réclamant ainsi sa dote quotidienne de fessées… Ou une « bonne grosse trique ». Avec sa voix fluette et mielleuse, Helena arrivait toujours aussi à réveiller les pulsions de Karen.

C’était bien évidemment prévisible. Dès lors que Karen avait accepté d’inviter Helena dans ses locaux, elle savait que ce genre de choses arriveraient. Karen soupira lentement, et se rapprocha donc, tout doucement. Sa main droite retourna caresser les fesses d’Helena, et elle s’amusa ensuite à relever son tailleur, venant le plier lentement. Elle releva le bas de sa jupe, et la coinça sur-le dessus, l’enfonçant dans l’ouverture, sa courte jupe décrivant ainsi une sorte de boucle révélant ses fesses et sa culotte, une fine culotte dentelée.

« Que vais-je donc bien pouvoir faire de toi, Helena ? soupira Karen sur un ton fataliste. Tu es tellement incorrigible, tellement perverse… Je sens ton pouls qui s’emballe quand je mets ma main sur tes fesses, je te sens trépigner d’impatience, retenir ton souffle à l’idée que je vienne m’abattre sur ta croupe… As-tu seulement conscience d’à quel point tu es devenue une salope ? »

Elle insista sur le dernier mot, le prononçant dans le creux de l’oreille d’Helena, et eut la quasi-certitude que celle-ci venait de mouiller à nouveau.

Karen pinça sa main sur le cul d’Helena, et empoigna ses cheveux, puis tira dessus, relevant sa tête. Sa main droite, occupée à palper son cul, se décala alors, et… La fessa. Avec sa super-force, Karen n’avait pas besoin d’une grande amplitude pour pouvoir abattre ses coups sur le corps de sa dulcinée. Elle dona une première grosse claque, qui envoya le corps d’Helena heurter le bureau, puis encore une seconde. Des claques qui résonnèrent dans le bureau, tandis qu’elle relâchait la pression sur ses cheveux, avant de tirer encore dessus.

« C’est ce que tu es, n’est-ce pas ? Une belle chienne qui a envie que je lui éclate le cul… Dis-le, ma belle Helena… Montre-moi à quel point tu es une incorrigible catin qui mouille à l’idée que je lui défonce son insolent petit cul ! »

Helena faisait vraiment de son mieux pour être une bonne employée, productive et appliquée, mais comment résister à l’appel du sexe quand sa patronne venait la provoquer dans son bureau ? Karen était une amante à l’appétit insatiable, et quand elle commença à jouer avec le corps de sa nouvelle employée, cette dernière lui tendit immédiatement son cul, comme une invitation à la fesser, ou à lui mettre sa grosse queue dans l’un de ses trous. Elle sentit avec délice sa main droite lui caresser le derrière, puis lui remonter son tailleur et sa jupe pour dévoiler ses fesses et sa culotte. La kryptonienne se demandait ce qu’elle allait pouvoir faire d’une employée aussi perverse, dont le pouls s’emballait rien qu’en se faisant toucher le cul. Le mot salope résonna particulièrement en elle et, dans un soubresaut, elle sentit un peu de mouille tomber dans sa culotte.

« Aahh... »

Helena sentit la prise ferme de Karen sur ses cheveux avant que la première fessée ne tombe.

« KKYYAAHH ! »

Une fessée digne de la super-force d’une kryptonienne. Alors que les claques s’enchaînaient sur son petit cul, sa patronne lui demanda de reconnaître qu’elle n’était qu’une incorrigible catin, qui mouillait comme une folle à l’idée qu’on lui défonce le cul.

« Aaahhh... oui maîtresse... je ne suis qu’une... qu’une sale pute ! Ooohhh... rien qu’à l’idée... que votre trique vigoureuse... me défonce le cul... je... hhhmmm... j’inonde ma culotte ! »

D’ailleurs, sa chérie pourrait le vérifier facilement si elle la lui retirait. Mais pour l’instant, elle la fessait par-dessus, ce qui ne changeait pas grand-chose puisqu’elle était assez forte pour faire rougir sa peau même avec le sous-vêtement sur son chemin. La jeune femme prenait son pied, et elle se fichait complètement de savoir que pendant ce temps, le travail n’avançait pas.

Après s’être bien faite fesser, Helena était bien chaude et prête à se faire sauter. Mais Karen hésitait encore sur ce qu’elle allait lui faire. Alors afin de lui donner de la matière à réfléchir, et pour ne pas laisser la chaleur retomber, sa soumise lui raconta une petite anecdote.

« Tu sais... quand j’étais à Infernis... hhhmmm... Ishtar m’avait proposé... de devenir une prostituée... sur son navire. Elle disait que son équipage... ooohhh... serait prêt à payer... pour pouvoir coucher... avec une héroïne super-sexy... en tenue moulante. Au final on ne l’a pas fait... mais il faut que je t’avoue... aaahhh... que j’en ai eu envie.
Tu te rends compte ? Moi, la grande Huntress... la chasseuse de bandits... la défenseuse des femmes opprimées... j’étais prête à devenir... une prostituée. J’aurais laissé des marins coucher avec moi... pour de l’argent. Ooohhh... ça m’excitait tellement. »

La jeune femme avait définitivement des goûts hors du commun quand il s’agissait de sexe, avec une attirance très prononcée pour tout ce qui la mettait en état de soumission plus ou moins profonde. Heureusement, elle était bien tombée avec sa compagne.

Des deux, Karen avait toujours considéré être la plus perverse. Elle disposait de pouvoirs surnaturels, d’une endurance exceptionnelle. Une femme surpuissante avec des goûts sexuels hors-normes, qui avait fait vivre un train d’enfer sexuel à Helena. Mais, maintenant, Karen n’en était plus si sûre. Helena avait croisé la route d’Ishtar Naviento, sur le Rustworld. Un endroit où Karen s’était évidemment rendue, et où elle avait constaté que cette Ishtar, bien que puissante et dangereuse, ne représentait pas une menace. Helena, qui avait beaucoup apprécié son premier séjour, était même retournée là-bas. Qui sait à quel point elle avait pu évoluer depuis ? Tout cela faisait frémir et laissait pantois la Kryptonienne, qui, en fessant régulièrement Helena, sentit le désir croître en elle, montant fébrilement dans sa poitrine.

Face à elle, Helena confessa ses péchés, affirmant avoir refusé à la tentation de s’offrir comme vulgaire prostituée aux marins libidineux de la colonie infernoise. Face à elle, Karen l’amena à se retourner pour qu’elle lui parle de face, mais Helena, gênée, baissa la tête. Mais pouvait-on vraiment espérer dissimuler quoi que ce soit à Power Girl ? Souriant doucement, la Kryptonienne apposa son front contre le sien, et déposa un baiser sur sa tête, puis glissa sa main sur son menton, et releva doucement la tête d’Helena, tout en se lovant un peu plus contre elle.

« Je vois ça… Tu as donc encore gagné en perversion, Helena, au point de salir même ton costume… Je trouve ça très amusant… La Présidente d’une fondation qui est en secret une perverse qui se prostitue… »

Autant dire que cela stimulait l’imagination de Karen. Oh, bien sûr, elle ne comptait pas prostituer sa Helena, mais elle avait d’autres possibilités, d’autres cordes à son arc. Son sourire malicieux témoignait d’ailleurs des idées qui lui passaient derrière la tête

« Je suis sûre qu’on t’a déjà parlé des réunions du Conseil d’administration, n’est-ce pas ? Comme tu vas vite le constater, bien que Starr Industries soit une entreprise tout à fait sérieuse, mes employés ont parfois tendance à se lâcher, à évacuer le stress et la tension d’une vie professionnelle délicate… »

Karen arborait un timbre de voix malicieux, enjoué. Elle provoquait doucement sa belle Helena, tout en caressant encore ses hanches, et remonta ses mains, déboutonnant lentement son chemisier. Elle sentait sa femme se tortiller sur place, ses seins se durcissant légèrement, des rougeurs perlant sur ses joues.

Assurée et dominante, Power Girl agissait lentement, naturellement. Elle déposa un chaste baiser sur les joues d’Helena.

« Tu viendras donc comme hôtesse… Mais pas toi, Helena Wayne. C’est Huntress qui viendra, et c’est Huntress qui offrira sa croupe à des actionnaires libidineux. »

C’était osé… Mais, après tout, Helena l’avait cherché !

Quand Helena se fit retourner et se retrouva face à Karen, elle se sentit un peu gênée et baissa la tête. Après l’aveu qu’elle venait de faire, elle ne savait plus trop où se mettre. Sa chérie semblait trouver amusant le fait qu’elle ait encore gagné en perversion, au point de salir son costume.

« Hhhmmm... pardon maîtresse... je suis désolée... d’être une telle salope. »

La kryptonienne lui parla des réunions du Conseil d’administration de la société, où certains employés s’amusaient à se lâcher pour oublier le stress d’une vie professionnelle tendue. La douceur de ses paroles combinée à ses caresses délicates firent trembler l’humaine, qui frémissait sur place tandis que sa maîtresse déboutonnait son chemisier. Elle prenait tout son temps, de quoi faire monter la chaleur dans le corps de la jeune femme.

« Aaahhh... »

Karen lui proposa de venir participer à ces réunions en tant qu’hôtesse, cachée sous l’identité d’Huntress, pour offrir son cul à des actionnaires libidineux. L’idée la fit frémir de plaisir tandis qu’elle s’imaginait déjà la scène : entrer dans la salle de réunion avec son masque et une petite tenue sexy, exhiber son corps devant les actionnaires, monter sur la table et se dandiner à quatre pattes en remuant son petit cul, voir les hommes défaire leurs pantalons et les femmes ôter leurs chemisiers, sucer les triques et lécher les chattes...

Oui... ce serait le pied.

Henela se retrouva en sous-vêtements devant Karen, qui continuait de la caresser lentement tout en couvrant son visage de baisers. Sa maîtresse se montrait étonnamment douce, et ce n’était pas pour lui déplaire.

« Ma chérie... comment ai-je pu attendre aussi longtemps... pour t’avouer mon amour ? Tu sais toujours... aaahhh... comment me combler. »

Ses mains se posèrent dans le dos de la kryptonienne pour le caresser tandis qu’elle lui rendait ses baisers sur les joues.

« Présidente de fondation... hôtesse... actrice porno... super-héroïne... j’accumule les casquettes. Et si je dois faire la pute... ooohhh... ce ne sera que pour toi. »

A moitié nue et avec toujours cette trique puissante logée dans son antre, Helena était encore bien chaude, et elle voulait s’amuser.

« Tu veux peut-être... retourner à ton bureau... pour te remettre au travail. Je peux t’y suivre si tu veux. Je me cacherai sous la table... hhhmmm... je serai très discrète. Tu me sentiras à peine... aaahhh... pendant que je te pomperai. »

La jeune femme n’avait clairement plus la tête au travail. Elle avait été déshabillée, prise contre son bureau, on lui avait fait miroiter une réunion coquine où elle aurait été offerte comme hôtesse, et il y avait encore une verge dans sa chatte. Tout ce qu’elle voulait à présent, c’était s’enfoncer dans le stupre et la luxure jusqu’à être pleinement rassasiée. Et tant pis si elle devait se promener dans les bureaux en string ou sucer sa compagne jusqu’à la fin de la journée pour ça.

Karen s’était pourtant dit, ce matin, qu’elle n’offrirait à Helena qu’une courte parenthèse sexuelle, et qu’elles auraient ensemble une « journée normale ». Mais ce vœu pieux avait volé en éclats très rapidement, et, là, face à Helena, Karen savait qu’elle allait à nouveau basculer. Cela ne faisait tout simplement aucun doute, surtout maintenant qu’elle lui avait parlé de son idée. Elle avait tellement de projets avec Helena qu’elle ne savait pas comment les organiser rationnellement dans sa tête ! Et Helena, très excitée, se lova contre sa fiancée et Maîtresse, ravie à l’idée de s’offrir aux membres du conseil d’administration, tout en lui rappelant qu’elle devait aussi assumer ses fonctions d’actrice pornographique.

« Hum… Justement… Je crois que je vais avancer ton planning. Je comptais t’envoyer à partir de la semaine prochaine sur le plateau de tournage, mais… Nous y irons demain. »

Elle resta volontairement élusive là-dessus, car chaque chose viendrait en son temps ! Pour l’heure, Karen retira la chemise d’Helena, et la jeta au sol.

« Changement de programme, donc… »

Un sourire amusé éclaira ses lèvres, et elle déshabilla encore Helena, qui finit toute nue, ne portant plus rien sur elle. Karen attrapa ensuite son menton, et l’embrassa sur les lèvres, tendrement, mordillant celles-ci. Elle la poussa ensuite, et posa Helena sur le bureau, son bureau.

« Tu crois vraiment que je pourrais penser à autre chose si tu pompes mon dard, ma chérie ? Tu vas rester ainsi toute la journée, délicieusement nue, et je te traînerai au bout d’une laisse, avec un collier… »

Karen se déplaça alors rapidement, à la vitesse de l’éclair, entraînant deux courants d’air. Elle revint avec le collier en lui, doté d’une clochette dorée qui carillonnerait quand elle se déplacerait, et le mit autour de son cou, le fermant à hauteur de sa nuque. Le collier avait un crochet qu’elle utilisa pour y mettre une longue laisse. Ainsi habillée, Helena était fin prête. Elle recevrait ensuite une tenue plus complète, mais, pour l’heure, Karen la pénétra. Elle s’enfonça dans sa chatte, et grogna doucement, sa lourde queue se nichant elle. Karen portait un costume blanc très élégant, qui lui allait à ravir, et pénétra donc sa partenaire en déboutonnant son pantalon.

Elle soupira doucement en sentant sa verge coulisser dans la chatte d’Helena, et remua encore, faisant trembler le bureau.

« Co-Comment tu fais, h-hein… Pour m’exciter autant… Haaaa… Je… Je ne m’attendais pas à ça, Helena, mais… Hmmm… Plus le temps passe, et plus tu deviens accroc, nymphomane… Tu vas passer la journée à baiser, han ! »

Bien sûr, il fallait aussi qu’elle continue à s’entraîner ! Il était important qu’Helena reste Huntress, et elles disposaient pour cela d’une salle de sport parfaitement adaptée pour elle. Qui sait ? Karen allait sans doute devoir modifier encore le planning de sa chérie, car, même si elle connaissait maintenant très bien Helena, elle ne pouvait qu’admettre une chose…

…Celle-ci était imprévisible !

Helena voulait vraiment être une bonne employée, sérieuse et impliquée, mais comment résister à la friandise que lui tendait Karen ? Sa chérie la déshabilla en un éclair puis vint l’embrasser. Un baiser puissant, gourmand, digne d’une kryptonienne en rut. Elle la posa sur son bureau et lui annonça qu’elle allait la garder avec elle pour le reste de la journée, nue de la tête aux pieds, avec une laisse autour du cou.

« Ooohhh... je suis gâtée dis donc. »

La jeune femme ne redoutait même pas que d’autres employés la voient se balader nue dans les couloirs, tenue en laisse par la patronne. Elle ne pensait plus qu’au plaisir tandis que la kryptonienne lui attachait un collier avec une clochette autour du cou, qu’elle utilisa pour lui mettre une longue laisse. Après ça, elle se retrouva allongée contre le bureau et sa chérie revint lui remplir la chatte avec son mandrin.

« Aaahhh... ooouuuiii... bon sang... quelle trique tu as ! »

Karen trouvait que, plus le temps passait, plus Helena devenait insatiable et nymphomane. Helena était d’accord sur le fait que son appétit sexuel avait considérablement grandi depuis sa rencontre avec Karen. Elle qui, adolescente, n’avait couché avec des garçons qu’une fois de temps en temps pour calmer un besoin primaire, s’était mise à adorer le sexe depuis qu’elle couchait avec sa compagne. Et ce n’était pas un plaisir spécifique à Karen, elle avait appris à aimer le sexe dans toute sa splendeur, et elle l’avait fait avec d’autres partenaires qu’elle. Elle s’était découverte une préférence pour la soumission devant des femmes puissantes et la domination d’hommes efféminés, chose qu’elle n’aurait sans doute jamais découverte sans Karen. Et maintenant, elle avait une vie sexuelle riche et épanouie, qu’elle parvenait à vivre sans renoncer à ses responsabilités en tant qu’Huntress.

« Ooohhh... quelle belle première journée... d’employée perverse. Avoir la chance... de coucher avec la patronne... ggaahh... pendant toute une journée... OOOUUUIII ! »

Helena eut un orgasme, qui fut le premier d’une série de trois. Entre temps, Karen l’avait changé de position pour la sodomiser avait même sorti son sexe peu de temps avant de jouir pour regarder sa chienne adorée recevoir sa semence dans sa bouche. A ce moment, la jeune femme se fit la réflexion que sa maîtresse était une perverse à sa hauteur.

Après ça, Karen attrapa la laisse de sa compagne, annonçant qu’il était temps pour elle de la suivre. Helena s’attendait à ce que sa chérie l’amène dans son bureau, mais qui sait ce qu’elle pouvait avoir en tête. En tout cas, elle était sûre qu’elle allait devoir se promener en laisse devant plein d’employés, qui allaient pouvoir admirer la beauté de son corps nu.

Et elle mouillait à cette idée.

Karen avait abandonné l’idée de réellement former Helena, de lui donner un travail « normal ». Cela viendrait peut-être plus tard, mais pas aujourd’hui. C’était là une chose impossible, et Karen jouit en elle, avant de la prendre par l’arrière. Après un court coït, elle la prit par le cul, l’allongeant sur son bureau. Sa tête se posa contre l’un des dossiers portant sur la fondation, et Karen s’enfonça en elle. La main d’Helena renversa un pot rempli de stylos, de crayons, de gommes, qui glissèrent sur le bureau et tombèrent sur le sol. Karen grogna encore, s’enfonçant en elle, remontant graduellement dans le fondement d’Huntress. Karen grogna encore, se redressant sur place, filant d’avant en arrière, jusqu’à jouir dans son cul.

Elle se calma ensuite, savourant son corps parfait. Helena tomba au sol, un peu essoufflée, mais visiblement prête à la suite. Karen sourit doucement devant elle, et l’amena à nettoyer sa queue. Helena aurait sans aucun doute pu continuer, mais Karen la repoussa doucement, et nota le désir brûlant dans son regard. Oui, son amante avait vraiment changé, et Power Girl sourit alors onctueusement.

« Tut-tut, je vais m’occuper de toi, ma petite chatte… Puisque tu ne veux pas travailler comme une humaine, tu seras ma chatte humaine. »

Karen la prépara donc, venant lui mettre un collier autour du cou avec une petite clochette, de fausses oreilles de chat, puis des gants en latex et de longs collants en latex. Elle lui enfila également un corset noir en latex, laissant toutefois ses seins en valeur, avec des cordes en cuir pour les rehausser. Une tenue parfaite, qu’Helena connaissait bien, avec un plug tail vibrant que Karen glissa dans ses fesses. Elle remit ensuite proprement sa veste, et tira sur la laisse, sortant avec Helena, qui n’avait pas les yeux bandés.

« Bon, je ne suis pas une patronne cruelle… C’est l’heure de la pause ! »

Elle rejoignit le couloir, et se rapprocha d’une porte, traînant Helena derrière elle. C’était un espace public, et elle sortit alors de sa zone de travail, rejoignant d’autres parties de l’immeuble. Momori, la secrétaire, clignota des yeux en les voyant. Karen lui sourit brièvement, puis elles rejoignirent l’ascenseur, et Karen alla vers un étage en contrebas. L’ascenseur interne était vitré, et rejoignit une grande zone avec de multiples espaces. C’était un grand espace de travail avec de multiples petites cases abritant des bureaux, et un coin détente dans un angle. Il y avait plusieurs canapés très agréables, et même un bar local.

Karen rejoignit donc la zone, et se rapprocha du bar. Le barman cligna des yeux et rougit en voyant Helena.

« [|b]Ma… Madame ?[/b] »

Karen sourit doucement, et demanda un micro. Elle se racla la gorge, et parla alors :

« Chers Messieurs, Chères Mesdames… Je suis Karen Starr, votre grande patronne. Vous faites tous un boulot très formidable, et j’ai décidé de vous ouvrir une petite pause bien méritée au bar de l’étage. Je vous invite à tous venir pour vous présenter votre hôtesse… »

Elle reposa ensuite le micro, et vit petit à petit les employés approcher. Ils ne tardèrent pas à exprimer leur grande surprise devant la femme accompagnant Karen, qui attendit un peu, avant de reprendre :

« Je vous encourage à sauvegarder votre travail, car vous avez droit à une heure de repos avec notre chère Kitty… Kitty est une petite perverse rebelle, une chatte en chaleur… Kitty ? Regarde tous ces messieurs et ces mesdames pour toi… Trouve-en un qui te plaît, et montre-lui combien tu l’aimes en le suçant… »

Médusés, les employés se demandaient si ce n’était pas une blague, ou une caméra cachée… Tout en commençant aussi à bander sur place pour beaucoup d’entre eux…

Après quelques minutes passées à genoux à nettoyer le chibre de sa maîtresse, Helena allait devenir une chatte. Karen la prépara en lui enfilant une tenue qu’elle connaissait bien, puisque ce n’était pas la première fois qu’elle la mettait, et en un éclair, elle se retrouva à moitié nue, couverte de latex et avec un plug tail vibrant dans les fesses. Après ça, sa patronne lui annonça que c’était l’heure de la pause, et elles se mirent en route.

Helena marchait à quatre pattes sur le sol, tenue en laisse par Karen, avec une belle vue sur ses jambes et sur sa croupe. Elles traversèrent ensemble un espace public, où plusieurs personnes eurent le plaisir de voir le corps magnifique de cette petite chatte en chaleur, et se rendirent à un ascenseur qui les amena vers un étage en contrebas. La jeune femme suivit docilement sa maîtresse jusqu’au coin détente, qui possédait plusieurs canapés et même son propre bar, où quelques employés profitaient d’une petite pause avant de se remettre au travail. Évidemment, dès qu’elle arriva, la petite chatte devint le centre de l’attention. Et pour en rajouter, la kryptonienne prit un micro et annonça à ses employés qu’ils étaient tous invités au bar pour venir faire la connaissance de leur hôtesse : Kitty, la petite perverse en chaleur. Cette dernière allait leur être offerte pour une heure complète de plaisir avant de se remettre au travail.

« Mmmyyyuuu... bonjour tout le monde. »

Karen invita Helena à choisir un amant parmi les hommes et les femmes présents, et à montrer son affection en le suçant ou en la léchant. La jeune femme avait un large choix à sa disposition, mais finalement, son choix se porta sur une femme. Une charmante employée blonde vêtue d’un tailleur très près du corps qui laissait deviner la forme de sa lingerie. Nul doute que ce n’était pas une gentille employée et qu’elle avait déjà dû allumer plusieurs de ses collègues.

« Nnnyyyaaa... vous madame... vous voulez bien être la première ? »

La femme, contente d’avoir attiré l’attention de Kitty, alla s’installer sur un fauteuil et posa ses mains sur la tête de la petite chatte, qui se glissa sous sa jupe pour aller frotter son nez contre sa culotte. Elle sentait déjà bon la mouille, mais ce n’était qu’un début. La chatte en chaleur se mit à lui lécher l’entrejambe par-dessus sa lingerie, quelques petits coups de langue rapides histoire de lui donner un avant-goût, avant de lui enlever sa culotte.

« Ooohhh... vous avez bon goût. C’est un très joli string. »

Helena savait qu’elle allait devoir se dépêcher un peu, vu qu’elle avait tout un public à satisfaire en une heure, donc elle commença à lécher goulûment son amante, dévorant son délicieux minou qui commençait à bien mouiller.

Ainsi s’envolait les projets de Karen. À la réflexion, peut-être allait-il être difficile d’en faire la Présidente de la Fondation Starr… Karen se demandait même si Helena n’était pas irrécupérable, tant elle était nymphomane ! En soi, le spectacle était terriblement exquis, mais Karen ne voulait pas juste faire de sa femme une prostituée. Il allait falloir qu’elle arrive à trouver un équilibre… Ce qui était d’autant plus dur que Power Girl était aussi très perverse. Helena, quant à elle, était furieusement excitée, ce que Karen percevait très distinctement à travers ses battements cardiaques. La Kryptonienne sourit encore, tout doucement, tandis que le regard d’Helena se porta sur une redoutable employée blonde.

Tara Paulson n’était pas n’importe qui au sein du service. Elle était une assistante de direction, qui avait régulièrement la chance d’être nommée employée du mois… Ce qui, outre une prime, autorisait aussi à passer plusieurs heures en tête-à-tête avec la PDG. Tara faisait partie des ressources humaines, et était chargée de gérer tout le contentieux au sein du personnel, toute l’organisation du travail. Un poste qu’elle menait à la baguette, dans la mesure où la moitié des employés rêvaient de coucher avec elle.

Elle s’installa donc, et sourit doucement, écartant sa jupe. Helena se rapprocha rapidement, et alla lécher sa culotte.

« Ah… J’avais suggéré d’employer des dames de compagnie pour… Remotiver le moral des troupes… Je suis heureuse de voir que ma proposition finit par se concrétiser… »

Karen sourit doucement. Elle savait que certaines sociétés pouvaient faire appel, en off, à des call-girls, ou à des geishas, pour détendre ses employés. C’était d’autant plus important à Starr Island que les employés vivaient généralement en autarcie, sur une île coupée du reste du Japon. Karen n’avait que peu de scrupules à recourir à ce genre de pratiques, que certains pouvaient considérer comme mafieuse… Mais elle s’assurait que les courtisanes agissent volontairement, et elles étaient bien payées, sans aucun lien avec les Yakuzas. Et le fait est que Karen avait pu noter une certaine hausse de la productivité, même si une telle politique finissait toujours par attirer des tensions. C’était inévitable, et Karen essayait de gérer du mieux qu’elle pouvait.

En attendant, Helena léchait la culotte de Tara, avant que celle-ci ne glousse doucement, et ne la repousse du talon. Ses magnifiques jambes finement nimbées par ses collants s’exhibèrent, paradis pour tout fétichiste.

« Sois une belle chatte, Kitty-chan, et lèche mes collants, montre-moi combien tu aimes ça… Et peut-être que l’un de ces garçons viendra te récompenser avec une grosse sucette… »

Comme quoi, Karen aimait s’entourer de femmes assez dominantes. Mine de rien, et sans sombrer dans un sexisme nauséabond, c’était souvent cela qui permettait de faire tenir une compagnie comme la sienne.

Helena était tombée sur une belle prise pour un premier coup. Non seulement Tara avait un physique à se damner, mis en valeur par son élégant tailleur, mais en plus elle était aussi joueuse. Après lui avoir retiré sa culotte, elle voulut aller lui lécher le minou pour la faire jouir rapidement, mais la jeune femme la repoussa du bout du pied avant de lui ordonner de lécher ses collants. Elle lui laissa aussi miroiter la possibilité qu’un bon travail lui vaudrait une récompense sous la forme d’une belle grosse sucette offerte par l’un de ces messieurs.

« Nnnyyyaaa... compris maîtresse. »

La jolie chatte se mit en position et commença à lécher les jambes de sa maîtresse de haut en bas, répandant sa salive sur ses élégants collants. Parfois elle parcourait toute la longueur de la jambe d’un seul coup, parfois elle se concentrait sur une zone précise pour mieux profiter de la douceur des collants qu’elle léchait. Mais ce n’était que le début. Ensuite, elle retira les chaussures de la blonde et s’attaqua à ses pieds.

« Mmmhhh... »

Sans être particulièrement fétichiste, Helena savait apprécier le plaisir qu’on pouvait ressentir à être ainsi soumise, couchée aux pieds de sa maîtresse, les flattant avec sa langue pour montrer quelle bonne petite chatte elle était. Quant à Tara, elle devait sûrement être contente de se sentir en position de dominante, à regarder son esclave lui lécher les pieds pour son plaisir.

Helena s’occupa avec plaisir des pieds de Tara, flattant les moindres recoins de leur surface, depuis les orteils jusqu’au talon, mais sans oublier le reste de ses jambes pour autant. Après tout, elle n’oubliait pas le but derrière tout ça : gagner une belle sucette pour la suite. Alors elle lécha, encore et encore, savourant la douceur des collants que portait sa maîtresse autant que de la peau qui se cachait en-dessous. Elle se faisait bien plaisir, et chaque coup de langue qu’elle donnait était rempli d’affection et de lubricité.

Finalement, après plusieurs minutes de léchouilles amoureuses sur les jambes de Tara, Helena fut sommée d’arrêter. La blonde avait décidé de lui offrir sa récompense, elle voulait la voir sucer une belle verge avec autant de passion qu’elle lui avait léché les jambes.

« Oohh... merci maîtresse. »

Mais lequel de ces charmants messieurs allait être l’heureux élu ?