The Multiversity

Mélinda ne fut pas surprise de voir que Lissandre et Mélissandre avaient déjà commencé à explorer les lieux. Mère et fille discutèrent néanmoins sur le sens de la tenue de Mélinda soumise, ou dominatrice ? Mélinda laissa Mélissandre caresser les morceaux de lingerie entourant le bas de son long corset. La vampire lui sourit, et glissa sa main sur les cheveux de Mélissandre, puis constata que Lissandre avait emprunté l’une des bagues qui se trouvaient ici.

« Vous devez savoir que tous les objets ici sont enchantés… C’est Décatis qui s’en charge, une vampire qui est une enchanteresse, et qui fait partie de mon clan. »

Vanillia aussi réalisait des sortilèges et des enchantements magiques, mais Mélinda préférait aller à l’essentiel.

« Mais ce n’est pas ma tenue de soumise… J’ai plusieurs tenues de dominatrice, celle-ci en fait partie. C’est ma tenue mignonne de dominatrice, je me suis dit que ce serait approprié pour Mélissandre. Il ne faudrait pas traumatiser ta fille, après tout. »

Mélinda sourit encore, puis se rapprocha de Lissandre, et l’embrassa sur les lèvres en l’enlaçant, faisant crisser sa combinaison rose. Sa main glissa sur la bague que Lissandre avait prise, et, quand ses doigts l’effleurèrent, la bague se mit à luire d’une aura rosâtre.

La vampire releva alors sa main, et gifla le cul de Lissandre. La bague s’illumina encore, et Lissandre put sentir une décharge de plaisir dans tout son corps.

« Cette bague est liée à la magie rose… Une bague liée au culte de Loviatar, la Déesse de la souffrance. Une Déesse qu’on dit vierge, car elle prenait son plaisir par la domination et la torture. »

C’était assurément une information importante. Mélinda rompit le baiser en souriant encore.

« Quand cette bague va commencer à agir, elle va influer sur tes désirs, te rendre plus encline à la douleur, plus réceptive à celle-ci. Peut-être que tu commences déjà à le sentir, non ? La manière dont tu me provoques… On pourrait presque croire que tu veux que je te punisse, toi aussi… »

Mélinda faisait mine de réfléchir en croisant les bras et en tapotant ses lèvres avec son doigt. Elle se retourna ensuite vers Mélissandre :

« Demandons à notre innocente Slime. Qu’en penses-tu, Mélissandre ? Moi, j’ai comme l’impression que, si tu dois être punie, ta mère devrait l’être aussi… »

Mélissandre : « C’est sur que Maman doit montrer l’exemple ! Hi hi ! »

Le piège se refermait sur Lissandre. Le pire ? Elle souriait en réalisant ce constat !

« Une vampire enchanteresse ? Un panthéon avec une Déesse BDSM ? »

Lissandre se baissa lentement. Et pour se faire, elle écarta les cuisses. Pour… « se stabiliser », aurait-elle expliqué.

« On va commencer à parler de conspiration maintenant ? Il ne manquerait plus que des hommes-lézards en costume faisant le signe de pyramide avec leurs mains entrent dans le donjon. C’est ridicule, non ? »

Très rapidement, Lissandre n’était plus accroupie mais agenouillée. Mélissandre, bien qu’ayant maintenant sa volonté propre, s’était rapprochée et s’était assise en tailleur devant sa maman. Cette dernière finit à quatre pattes, le postérieur relevé, au-dessus de sa nouvelle fille.

« C’est ridicule l’idée que la douleur pourrait m’exciter à ce point ? Et même si cette bague était enchantée d’une vraie magie, j’ai travaillé un temps en tant qu’actrice porno. Puis réalisatrice. Vous ne pensez pas que j’aurai un minimum de volonté à résister à cette attraction masochiste ? »

La réalité ? Le popotin de Lissandre tout engoncé de latex rose remuait lascivement de bas en haut, provoquant la main de la vampire à l’apparence d’adolescente éternelle. Une paire de fesses qui ne demandait qu’à être claquée.

Mélissandre : « Maman est beaucoup trop curieuse pour sa bonne santé. Elle n’aurait pas dû prendre cette bague étincelante. Mélinda l’a vu tout de suite. Heureusement, c’est une dominatrice mignonne. Alors la punition ne devrait pas être trop sévère. Mais il ne faut pas que maman s’inquiète. Mélissandre est là. Elle donnera des caresses et des bijoux magiques : hi hi ! »

Et quelque part dans son esprit curieux et dans ce corps hyperactif, Lissandre avait déjà cette impulsion à bondit et à accessoiriser chacune de ses doigts d’une bague. Si une bague lui permettait déjà de ressentir ce genre de nouvelles choses ? Quel serait le potentiel de dix artefacts ?! La pensée était tellement excitante que, si personne ne la stoppait dans son élan, elle se jetterait sur le meuble qui contenait tant de trésors !

Et c’est ainsi que celle qui avait été écartée d’une relation incestueuse se retrouva au centre du jeu ! Lissandre accepta l’idée de se faire punir, tout comme Mélissandre. Mélinda vit ainsi les deux femmes s’agenouiller à quatre pattes, même si le regard de Lissandre glissait sur le placard abritant les bagues. Avant qu’elle ne cherche à s’y rendre, Mélinda commença par mettre à chacune un collier de soumission en cuir avec une laisse. Quand elle vit que Lissandre se rapprochait un peu trop, Mélinda tira sur la laisse.

« Tût-tût ! Maman Lissandre est bien indisciplinée ! »

Mélinda n’oubliait pas que Lissandre était enceinte. Sa combinaison protégeait son fœtus, mais elle devait en tenir compte. Tenant les deux laisses d’une main, elle tenait dans l’autre un fouet, qu’elle commença à faire claquer dans le vide.

*SCHTAAAACC !!*

Le bang supersonique si caractéristique du fouet claqua dans l’air.

« Avant de remonter, je pense qu’il est juste que je m’aide d’une assistante… Deux catins comme vous, cela nécessite bien deux Maîtresses, vous n’êtes pas d’accord ? »

Question purement rhétorique, naturellement. Pendant qu’elle se changeait, Mélinda avait demandé à l’une de ses dominatrices de venir. Il ne fallut de fait pas attendre trop longtemps avant que la porte ne s’ouvre. Une femme adulte entra. Elle tenait dans sa main gantée une cravache, et la simple vue de cette femme avait de quoi faire tourner bien des têtes. Elle s’appelait Allison, « Ally » pour les intimes, mais surtout « Maîtresse » pour les autres. Avec ses lunettes semi-arrondies, elle était tout simplement parfaite, sa longue chevelure brune glissant dans son dos. Sa combinaison moulante en latex crissait, et ses talons claquaient sur le sol.

« Oh… Voici donc les deux convives qui font tant de remue-ménage…
- Les filles, je vous présente Allison !
- Pour elles, ce sera Maîtresse.
- Allison travaille au lycée Jinmu, mais c’est d’abord et avant tout l’une de mes dominatrices. »

Les talons d’Allison claquèrent tandis qu’elle se plaça devant les deux femmes. Elle posa son pied sur la tête de Lissandre, l’incitant à se coucher, à se mettre en position de dogeza, cette position de soumission japonaise où la tête touchait le sol. Tandis que Lissandre faisait cela, le fouet claqua brusquement sur son cul.

« Je dois admettre que, quand j’ai appris que Lissandre Verrières se trouvait chez nous, j’ai demandé à Mélinda la possibilité de te rencontrer. Shii n’est pas la seule à te lire, on peut dire que tu m’as initié à la sexualité. »

Mélinda sourit.

« Allison est la grande-sœur de Shii. Quand j’ai fait de Shii ma soumise, je me suis ensuite rapprochée d’Allison, qui était étudiante à ce moment. Elle avait déjà lu certains de tes livres. Il a été assez facile d’en faire mon esclave, même si elle n’a pas vraiment le profil d’une soumise, hihi… »

Allison retira son pied de la tête de Lissandre, et le posa contre ses lèvres.

« Lèche, petite catin. Je suis impatiente de montrer à celle qui m’a fait fantasmer le BDSM l’étendue de mes talents… Qui sait, peut-être que tu pourras t’inspirer de moi dans ton prochain livre… »

« Le collier devrait être plus serré… Hi hi ! »

La répartie n’avait pas mis de temps à tomber après avoir été accessoirisé. Tout comme son ancien rire malicieux revint très vite lui aussi.

Un frisson provoqua un petit sursaut en entendant le fouet claqué dans le vide. Lissandre était assoiffée de douleur. L’effet de la bague avait tant d’influence sur sa psyché ! Elle se sentait mouillée. Et dans le même temps, elle avait envie de montrer les crocs. Ce coup de fouet était perdu : c’était injuste ! Pourquoi n’avait-elle pas claqué ses fesses parfaitement moulées dans son latex rose ?

Même écouter Mélinda se faisait dans un état second. Elle parlait… bla bla bla… Mais Lissandre retint uniquement le terme de « catin ». Celui-là était à classer dans le « trash talk » et c’était une forme de souffrance. Elle en désirait plus !

Mélissandre : « Tu as vu maman ? On dirait toi mais dans son contraire. Du latex noir pour elle. Du latex rose pour toi. Des longs cheveux noirs pour elle. Et les tiens sont blonds. Peut-être qu’elle aussi abrite un symbiote comme Mélissandre ? Hi hi ! »

Bien évidemment que Mélissandre allait prendre la situation avec légèreté. Et donner des excuses aux dominatrices pour sévir ! Même sans une bague, la slime humanisée était un beau produit issu de la magie rose. Plaisir et douleur étaient deux concepts inextricablement liés.

Lissandre en avait tellement rien à faire que cette nouvelle Maîtresse travaille au lycée Jinmu (où elle officierait ? Au futur ? Et rencontrerait une certaine kunoichi promise au mariage avec notre slime humanisée préférée ?...). Peu lui importait ! Ca, cette Shii ou encore le fait que c’était ses romans porno qui avaient attirés ce pied à lui écrabouiller sa bouille. Et voilà qu’il n’y avait plus de pression ? Pourquoi ?!

« On a promis à la petite catin de jouir par la douleur. »

Les bras de Lissandre remontèrent sur les jambes qui paraissaient « parfaites » sous l’effet de l’artefact magique. Un mouvement qui rappelait les chats.

« Ce n’est pas en bisouillant cette chaussure à talon que je vais ouvrir les cuisses et ne plus pouvoir retenir mes jets de mouille. »

Mélissandre : « Hi hi ! Maman Lissandre est complètement à l’ouest. Elle est loin la figure d’autorité qui me gronde. Là, c’est juste une éponge toute pleine de mouille à presser. Une serpillère aussi peut-être ? Hi hi ! Ce n’est pas la grande force de Mélissandre les mots et les métaphores. »

« De toute façon, ce n’est pas une amatrice de lecture qui a soudainement eu le cran de s’acheter une combinaison sévère qui saura m’émoustiller. Et quoi encore ? Quelle audace de penser devenir une héroïne à ajouter au Panthéon Verrières. Je suis sûre que tu n’es rien de plus qu’une coincée. Oui, en fait, tu me fais beaucoup penser à ma grande sœur. Faustine se donne des airs de dominatrice. Mais c’est une grosse complexée totalement esclave de son freak control : hi hi ! »

Mélissandre : « Oh la la ! Maman Lissandre va se prendre une bien grosse punition bien méritée. Hein, Mélinda ? »

Mélissandre avait agité sa main pour souligner le « Oh la la ». Puis elle avait bien fixé Mélinda en l’appelant par son prénom. Ce grand sourire malicieux. Il était un parfait sous-entendu qu’elle avait fait « exprès » de ne pas lui donner du Maîtresse.

Un fait incontestable s’imposa bien vite auprès des deux dominatrices : les Verrières les provoquaient ! C’était un moyen classique de justifier la punition qui allait venir. Mélinda ne leur en voulait pas, elle-même se comportait ainsi quand Allison venait la punir. Cela donnait d’ailleurs lieu à des questions subtiles… Comme savoir qui dominait vraiment l’autre. Le soumis était après tout celui qui, en provoquant le dominant, amenait ce dernier à réagir aux actions du soumis. Tant Lissandre que Mélissandre les provoquaient mutuellement. Allison ne tarda pas à réagir. Elle s’agenouilla, et attacha une laisse et un collier autour du cou de Lissandre. Elle se déplaça ensuite, faisant claquer ses talons, et revint dans le dos de Lissandre. Avec la main tenant la laisse, elle tira brusquement dessus, ce qui redressa le buste de Lissandre. Le collier autour de son cou, un joli collier de chienne en cuir avec des clous, se resserra autour de son cou, l’étouffant. Le fouet de Lissandre fusa dans la foulée, et claqua sur le cul de Lissandre. Sa combinaison en latex amortirait l’impact, mais la douleur allait éclater en elle.

« Tu crois quoi, au juste ? Que je suis comme ma petite-sœur ? Que je bave devant toi parce que tu sais aligner deux phrases en les couchant sur du papier ? Je crois que tu as besoin d’une petite démonstration pratique, ma petite pute, pour comprendre… Comment on domine vraiment des salopes comme toi ! »

Le fouet d’Allison se déploya encore, et fouetta encore Lissandre. Pendant ce temps, Mélinda déplaça Mélissandre, et l’attacha en face de Lissandre à des menottes suspendues à des chaînes.

« Les mauvaises habitudes de ta mère t’ont influencé, Mélissandre. Toi aussi, tu dois apprendre la discipline ! Je ne suis pas Mélinda, je suis ta Maîtresse ! »

Mélinda se glissa dans le dos de Mélissandre. De son côté, Allison attachait également Lissandre avec des menottes, mettant ainsi la fille face à la mère. Il était possible de rapprocher les deux femmes, car les chaînes étaient reliées à des treuils en hauteur qui étaient eux-mêmes fixés sur un rail. Mais, avant de faire cela, Mélinda récupéra une cravache, et commença à fesser avec le petit cul de Mélissandre, tout comme Allison fouettait encore le cul de Lissandre, chacune y allant de leurs jurons :

« As-tu envie de devenir une catin comme ta mère, Mélissandre ? Est-ce là tout ce que tu envisages ? Regarde comment cette traînée mouille quand on la fouette, quand on l’insulte…
- Tu es une salope nymphomane, Lissandre… Une pute qui doit apprendre où est sa place. Si tu veux bien éduquer ta fille, tu dois d’abord admettre ce que tu es… Ma pute, mon fucktoy personnel ! »

Le fouet était un bon début, les réjouissances allaient se poursuivre ensuite…

Etrangement, Mélissandre (celle dans la combinaison) ne fit rien pour endiguer les coups de fouet. Il aurait été facile pour elle de convoquer quelques tentacules de rose latex et de venir attraper la lanière en plein vol. Mais non, les coups claquaient sur les fesses de la mère. Faisant ainsi remonter la douleur jusqu’à son cerveau drogué magiquement qui procédait à un simple calcul : douleur = plaisir.

Mélissandre : « Hi hi ! C’est vrai que maman mouille beaucoup. Mais moi je suis là et je ne peux pas mettre mon nez là-bas. Je ne peux pas y mettre ma langue pour goûter. C’est… c’est vraiment une punition : hi hi ! Tu es vraiment cruelle, Mélinda. »

Et oui, une nouvelle fois l’effrontée oubliait volontairement le titre de Maîtresse. C’est que c’était bien plus rigolo ainsi !

« Moi une pute ? Osée me dire ça devant les oreilles innocentes de mon enfant ? Quel terrible manque de délicatesse… Hi hi ! »

Mélissandre : « C’est moi qui suis innocente, maman ? Alors les choses qu’on a faite avec Mélinda tout à l’heure, c’était quoi ? Et puis, pourquoi Mélinda veut que je l’appelle Maîtresse. Ca me fait penser à l’école. Et l’école, ça n’a pas du tout l’air marrant. »

« Tu as raison, mon bébé. C’est bien mieux que tu apprennes des choses à la maison. Je demanderais à Maman Fönn qu’elle se transforme en démon pour s’amuser avec ton joli minois. Je suis sur qu’elle bandera très dur en voyant une copie conforme de sa femme. Non, c’est même mieux qu’une copie conforme. Tu es une version parfaite de moi ! »

Mélissandre : « Ca m’excite trop ! Je peux partir et aller la voir. Parce que, franchement, est-ce que l’amie de maman croit vraiment que je suis sa prisonnière ? Moi je veux bien jouer la princesse dans le donjon mais bon, je fais ce que je veux quand je veux quand même. »

« Et non, mon bébé. Tu es un peu différente d’avant. »

Mélissandre : « Quoi ! Comment ça ? »

« Essaie de te libérer toute seule, mon bébé. »

L’ancienne slime tira sur ses liens. Mais son corps était humain maintenant. Du moins, sa psyché répondait ainsi à ce moment. Alors la jolie bouille de Mélissandre changea d’expression. Celle d’un enfant qui ne comprend pas. Et puis l’incompréhension laisse sa place à l’agacement. L’agacement à un caprice.

Mélissandre : « Mais c’est pas juste ! Mais pourquoi ?! Mais-… »

Lissandre sourit à Mélinda. En avait-elle fait exprès d’aiguiller sa fille dans un cul-de-sac. Désormais, elle allait lui donner du « Maîtresse » et réagir à toutes les ruses psychologiques du bagage de la domiantrice. Ce qui permettait à Lissandre de se reconcentrer sur Allison. Enfin… Maîtresse Allison.

« Il faut m’excuser, Maîtresse. C’est tout de même difficile d’allier les deux rôles de soumise souillée en fuite et maman en apprentissage. Mais je crois que la petite pute que je suis est toute à toi maintenant. Quelle est la suite des réjouissances ? Davantage de douleur ? J’espère que tu vas vite monter en intensité et abandonner ce fouet… Maîtresse. »

À ce stade, Allison ne comprenait pas grand-chose aux interactions entre Lissandre et Mélissandre. Mais elle avait déjà vu tellement de choses ici que peu de choses pouvaient la surprendre. Tant qu’elle pouvait soumettre des femmes et laisser parler ses pulsions… Allison commençait aussi à chercher auprès de qui elle pourrait avoir un enfant. Cette idée revenait régulièrement dans sa tête. Elle laissa les deux femmes parler, et Mélissandre commença à paniquer en réalisant que ses pouvoirs slimesques étaient bloqués. Mélinda sourit doucement, et donna alors une fessée à Mélissandre, qui se mit à couiner.

« Tu souhaites tellement devenir une humaine que tu restreins inconsciemment tes pouvoirs, Mélissandre… Et peut-être bien que j’y contribue aussi, après tout. N’oublie pas que c’est moi qui t’ai modelé, je suis un peu comme ton parent… Cependant, je ne souhaite pas voler ce rôle à Lissandre ou à Mélona, donc… Tu vas devoir m’appeler Maîtresse ! »

Sa main gantée fusa encore, et elle gifla sèchement le cul de Mélissandre, qui poussa un délicieux cri. La relation incestueuse de cette scène ne pouvait qu’exciter Mélinda. Allison, qui était elle aussi hermaphrodite (toutes les esclaves de Mélinda l’étaient !), frémit quand Lissandre montra une certaine forme d’impatience. Allison relâcha son fouet, qui tomba au sol, et opta pour une fessée à son tour. Sa main gantée claqua sur le joli cul de Lissandre. Mélinda, de son côté, alla récupérer plusieurs bagues. Elle en mit une à son doigt, et en jeta une vers Allison, qui la mit également. Elle attrapa ensuite un sex toy assez spécifique, à savoir un double collier en or. Les deux colliers étaient reliés entre eux par une chaîne dorée rétractable. Mélinda attacha lez collier au cou de Mélissandre, puis au cou de Lissandre.

Souriant malicieusement, elle montra ensuite sa main à Mélissandre.

« Cette bague va m’assurer que tu ne parviennes pas à t’échapper avec tes pouvoirs de Slime… C’est la Reine Noire qui me l’a donné, pour que je l’utilise sur Mélona. Elle fonctionne aussi sur toi… »

Mais quid de la bague d’Allison ? Quand elle l’enfila, le fouet qu’elle avait jeté se redressa alors, et se colla au bas de son dos. Allison gémit tandis que le fouet se transforma en une belle queue caudale qui frotta le sol, puis glissa contre le corps de Lissandre.

« Je vais te défoncer proprement, ma chérie… »

La bague de Mélinda était aussi liée au double collier. La bague se mit à luire, et la chaîne se raccourcit fortement, amenant Mélissandre et Lissandre à se retrouver le visage contre l’autre, les contraignant à devoir s’embrasser, tandis que Mélinda fessait à nouveau le petit cul de Mélissandre.

Puis, Allison et Mélinda pénétrèrent mutuellement leurs amantes…

Mélissandre : « Le visage de maman est si proche ! »

« Chut, mon bébé. Ne parle pas. Je sens ton souffle chaud sur mes lèvres quand tu me parles. »

Mélissandre : « Mais maman ne comprend pas ! Mélissandre est toute faible. Comme une simple et ordinaire petite humaine sans saveur… »

« Mon bébé ! Cesse de t’apitoyer sur ton sort. Tu es une Verrières. Il est impossible que tu sois fade. Alors maintenant, cesse de jouer avec ton souffle sur mes lèvres et écoute ta mère. »

Mélissandre : « Euh, c’est-à-dire ? »

« EmbrassAIE-moi. »

Un nouveau coup venait de claquer le petit cul en latex rose de Lissandre. Cette queue caudale qui venait d’accessoiriser le corps de sa Maîtresse était délicieusement décadent. Ca lui faisait penser à sa femme. A sa Fönn sous l’apparence d’un démon.

*Qu’est-ce qu’elle me manque… J’ai l’impression de ne pas l’avoir vu depuis des mois (IRL)… AIE ! *

« Tu as peur de me blesser, Maîtresse ? Pourquoi retiens-tu tes coups ? Hi hi ! »

Une larme de douleur perlait au coin de son œil. Mais la bague de masochisme faisait tant son effet que la conversion en plaisir faisait doucement, peu à peu, dérailler sa raison. Elle voulait pleurer, CHIALER de douleuraisir !? HI HI !

« Me défoncer ? Je ne suis pas sur que tu parviennes à quoi que ce soit avec une queue de ce calibre. Tu ne sais pas que d’actuels démons me sont passés dessus ? Ah ! Bien sur que non tu ne peux pas savoir. Ma vie IRL est devenue si palpitante que je n’avais plus aucune raison d’en vivre des imaginaires sous des alias. Il y aurait tant de nouveaux romans à écrire : hi hi ! Et toi ? Ou ta sœur ? Je ne sais plus. J’ai du mal à réfléchir. Mettons toutes les deux ! Qu’est-ce que je voulais dire ? Hi hi ! Ah oui ! Quel déchirement ce doit être pour que votre héroïne ? Célébrité ? Muse ? Modèle préférée vous cache ses plus succulents secrets : hi hi ! »

Mélissandre : « Maîtresse Mélinda ? Même si maman m’a rassuré tout à l’heure. Et que maintenant ça va, rapport au fait que je suis plus une Lissandre qu’une Mélona : je m’inquiète quand même un peu pour maman. Je crois qu’elle devient folle. Et… »

La fille Verrières sourit. Les gênes de la slime nymphomane en elle adorent voir ces expressions en gros plan. Ce mélange de douleur et de plaisir. Cette création que confère le sexe à l’humain. Cette perte de tout ce qui les encombre et leur mine le moral. Là, Maman Lissandre jouit de l’instant présent ! Et-…

Mélissandre : « …c’est beau ! »

Les provocations de Lissandre ne pouvaient qu’amuser Mélinda. Mélissandre en fut surprise, mais c’était une technique classique. Il fallait provoquer sa Maîtresse ! Mélinda sourit également devant les interrogations de Mélissandre, tout en frottant sa verge contre son bassin.

« Ne sois pas étonnée, Mélissandre, c’est une stratégie classique pour motiver Allison à la punir. Tu vois, les mamans qui sont indisciplinées doivent être punies comme les filles indisciplinées ! »

C’était une leçon essentielle, Mélinda se devait après tout d’enseigner ce genre de choses à Mélissandre. Même si Mélissandre était surtout liée à Lissandre, ce corps qu’elle portait avait été façonné par la vampire. Elle avait transformé un tas de gelée informe en cette séduisante jeune fille, elle pouvait don c revendiquer un peu de paternité. Mélissandre, proche de sa mère, pouvait la voir prendre son pied alors qu’Allison la fessait et la pénétrait. Mélinda pouvait sentir l’excitation de la Slime. Elle n’avait pas de groupe sanguin, mais le désir qui s’exprimait en elle, Mélinda le percevait, et cela la faisait frémir. Elle-même frottait sa verge contre les fesses de la Slime, et s’enfonça ensuite dans sa chatte en soupirant doucement. Les combinaisons des deux dominatrices crissaient sur place tandis qu’Allison soupirait à son tour, sentant les parois intimes de Lissandre s’écarter, se dilatant sous le passage de sa queue assoiffée.

Elle l’avait nargué en vantant ses précédentes expériences. Fort heureusement, Allison était du genre à savoir rebondir :

« Tu parles d’un exemple, hum… Tu te vantes d’être une pute surnaturelle, Lissandre ?! Tu es encore plus salope que ce que je pensais, il était temps de s’occuper de toi ! »

La main d’Allison caressa le cul de Lissandre, mais ce fut surtout sa queue caudale qui la fouetta encore. Le coup était fort, et, pendant ce temps, avec sa main libre, elle attrapa les cheveux de Lissandre, et l’amena à embrasser sa fille. Mélinda s’enfonçait également dans le corps de la belle Slime, d’avant en arrière. Elle poussait de longs soupirs de plaisir, serrant ses fesses, faisant parfois ressortir ses griffes, sans pour autant lui faire trop mal. En effet, sa chatte était serrée, ce qui rendait les coups de reins difficiles, faisant délicieusement grogner la vampire, qui ne se privait évidemment pas de faire observer à Mélissandre que sa petite chatte était très serrée. Allison, quant à elle, faisait durcir sa verge, mais offrit également à Lissandre ce qu’elle attendait. Usant des pouvoirs de la bague, un tentacule phallique se matérialisa à hauteur de sa culotte, à côté de sa verge, qui s’enfonça dans le cul de Lissandre, lui offrant une double ration de plaisir.

« Tu aimes beaucoup me traiter de pute ! Je me demande ce que ça veut dire sur toi. Aaah ! Je crois que tu n’aimes pas beaucoup quand je te parle. Plus je mets en doute ton autorité, et plus tu deviens dur : hi hi ! »

Est-ce que Lissandre avait deviné d’instinct que derrière la dominatrice se cachait une femme capable de bégayer quand elle se retrouvait dans une conversation « normale » ? Peut-être. Mais ça pouvait tout aussi bien s’expliquer par le fait d’être insoumise pour pousser sa maîtresse éphémère dans ses retranchements. Et quels retranchements !

« Han !... ♥ Je me suis peut-être un peu trompée. Qu’est-ce que tu viens de me remplir ! Hi hi ! Mais tu aurais du me mettre à quatre pattes. Me forcer à me cambrer pour t’exposer mon joli petit cul de pute moulé de rose flashy. N’as-tu donc rien appris dans mes livres ? Tu aurais du me faire jouer à jaillir du cul. Mais ce n’est pas grave. Tu peux continuer à me remplir. Je suis spéciale. Je suis une ancienne experte. L’expérience d’une actrice porno combinée à la magie d’une slime formidable : hi hi ! Allez, continue de me trash talker. J’ai l’impression que c’est surtout toi que ça excite. »

Et sans qu’on la force, Lissandre retourna embrasser fougueusement sa fille magique. Quel délicieux tabou !

« Tu es bien la fille de ta maman, ma Mélissandre. Tes lèvres sont impossiblement sucrées et douces. C’est comme combiner les drogues des friandises et du sexe. Allez, ne sois pas timide, montre à maman toute l’étendue de ton art. Tu sais, peut-être qu’un jour tu te marierais à une kunoichi. Alors je veux que tu sois une belle-fille exemplaire. Allez, embrasse-moi encore pendant que tu te fais fourrer par une ado prépubère. Par une fana de la première heure d’un vampire brillant au soleil. Une petite vampirette à peine capable de te contenter, ma Méli-aaAH ! Oh oui ! »

Mélissandre : « Maman est complètement folle ! Hi hi ! Mais Maîtresse Mélinda a un pénis très agréable dans ma petite chatte, maman. Elle me fait du bien. Mais pas autant que toi, je crois. Je veux dire, tu fais des têtes incroyables ! »

« C’est parce que maman est très expressive, mon bébé. Et aussi parce qu’elle a fait du porno. Et qu’il n’y a qu’à travers de belle expression que les branleurs derrière leur écran pouvaient imaginer ce que je ressentais en me faisant remplir. »

Mélissandre : « Moi ça me fait mouiller. Un jour, je serai une grande actrice porno comme maman. Et le nom des Verrières sera très célèbre ! »

« Oooh. Mon bébé se découvre de l’ambition comme sa maman. C’est trop mignon ♥ Bon allez Allison. Passe à la vitesse supérieure MAINTENANT ! Hi hi ! J’aime bien la provoquer, mon bébé. Mettre en doute son statut de dominatrice. »

Mélissandre : « Je lui ferai des câlins quand je serai plus une prisonnière princesse de la méchante vampire. Je lui ferai plein de câlins et lui caresserais la tête comme je le fais au Bébé de Maman Fönn. »

Ca piaillait fort chez les deux Verrières. Une conversation qui aurait pu être normale si l’une ne se faisait pas doublement pénétrée et que l’autre se faisait griffer tout en découvrant l’étroitesse de son sexe si fraîchement formé.

De toute évidence, Lissandre était très excitée, ce qui se traduisait par une forte dose de provocation. Elle narguait Allison, jouant avec elle, ce qui n’aurait bien sûr que pour effet de se faire punir davantage… Ce qui était sans aucun doute le but recherché. Allison soupirait lentement, et passa donc au niveau supérieur. Elle détacha Lissandre de sa fille, et retourna ensuite la femme.

« Tu as la langue un peu trop pendue, petite pute… Tu crois que je vais me retenir de te corriger parce que ta fille est là ? C’est tout le contraire ! Ta fille a besoin de voir que, quand on dépasse les bornes, une sanction s’impose ! »

Et quelle sanction ! Mélinda continuait à prendre Mélissandre, tandis qu’Allison enroula autour du cou de Lissandre une laisse noire, puis tira dessus, venant l’étrangler. Elle en profitait pour se pencher vers la belle, et serrait fort, avant de relâcher la pression, laissant Lissandre respirer. La strangulation sexuelle, une forme supérieure et délicate de domination, assurément très risquée. Fort heureusement, on pouvait faire confiance à Allison pour prendre cela très au sérieux, et ne faire risquer la vie de personne. Elle relâcha la pression, puis, usant encore du pouvoir des bagues, généra un nouvel objet, des pinces pour tétons reliées entre elles par une chaîne. Ils étaient dorés, et elle les appliqua donc. La strangulation sexuelle avait aussi pour effet de tendre le corps, et cela faisait ressortir les tétons de Lissandre. Allison les emprisonna donc sur des pinces, qui se mirent à frétiller, envoyant de faibles ondes électriques, afin de punir davantage Lissandre.

De son côté, Mélinda donnait des gifles sur les fesses de Mélissandre, mais elle ne tapait pas trop fort. Le corps de Mélissandre ne datait que de quelques heures, il ne fallait pas brusquer les choses !

« Tu vois, Mélissandre, même les mamans peuvent être punies… Mais toi, tu devras toujours respecter ta mère, hmmm… Seules les Maîtresses sont autorisées à la punir, haaaa… »

Allison s’était penchée sur Lissandre, et retournait l’étrangler.

« Tu as intérêt à me présenter tes excuses, petite salope, tu es interdite de parler tant que ce n’est pas fait ! »

La punition pouvait commencer, car, à chaque fois que Lissandre dira autre chose que cela, Allison l’étranglerait à nouveau, non sans pour autant cesser de la pénétrer, remuant en elle avec ses deux verges…

Des larmes commencèrent à couler sur les joues de Lissandre. La strangulation d’Allison lui faisait mal ! Mais…

« Putain ! Je joui-… » (argh !)

La laisse vint l’étangler à nouveau. Mais son sourire ne mentait pas. La privation d’air combinée à la douleur lui conférait des petites jouissances. Et comme son esprit était altéré par une bague visant à exacerber son côté masochiste : elle provoquait encore et encore !

Il y aurait eu une artiste dans ce donjon, cette dernière aurait été touchée en plein cœur face aux expressions type « ahegao » que produisait Lissandre. Ces tétons tout durs moulés dans le latex rose n’empêchait pas la prise des pinces dorées. Tout comme le latex rose s’ouvrit magiquement permettant d’exhiber à toutes les autres à quel point elle mouillait. La Mélissandre de la combinaison avait dû faire un choix draconien. Car ce fluide, c’était un repas cinq étoiles pour elle !

« Je jou-… » (argh !)

Mélissandre : « Mélissandre ne veut… Han ! Ne veut pas attrister maman. Je veux être une bonne fille. Je ne veux pas la… Han ! La punir ! Je suis d’accord pour qu’elle soit punie par quelqu’un d’autre. Mélinda pourra venir à la maison s’il y a besoin d’une punition. J’en parlerais avec maman Fönn. »

« Je m’ex-… Je m’extasi-… » (argh !)

Mélissandre : « Maman n’arrête pas de dire n’importe quoi. Si elle était sage comme moi, elle pourrait profiter tranquillement d’un bon petit remplissage de fesses : hi hi ! »

A nouveau, toute trace d’intellect avait déserté le corps de Lissandre. Elle n’était plus que sensations au présent. Ecartelée entre double pénétration, strangulation, masochisme et exhibition de la nouvelle version de son bébé sous forme humanisée. Elle avait un sourire de « droguée ». Si elle s’arrêtait de parler : son cou pouvait respirer. C’était insupportable d’être délaissée d’une telle façon ! Alors elle parlait. Elle cherchait des mots qui commençait comme « excuse ». S’extasier était un parfait leurre : hi hi ! Encore et encore elle fit semblant de repentance pour finalement braver la dominance d’Allison. De là à la faire craquer et pleurer… cette image la fit frissonner et lui donna de nouvelles forces en même temps qu’elle expirait intensivement après un nouvel étranglement ! Elle ne pensait même plus à la nouvelle vie qui croissait dans son ventre tout rond.

Mélissandre : « Je peux poser une question ? La semence de l’amie-Mélinda peut donner un ventre tout rond à Mélissandre ? Je ne préférerais pas. Par contre, je veux bien avoir mon estomac tout rempli et tout chaud : hi hi ! »

Douceur avec Mélissandre, brutalité avec Lissandre, l’équilibre était tout trouvé ! Il tardait à Mélinda de réunir toute la famille Verrières ensemble. Mine de rien, Fönn n’avait pas encore vu la nouvelle Mélissandre, et elle avait encore en tête l’image de la Mélissandre monstrueuse qui l’avait terrifié chez Lissandre. Cette nouvelle Mélissandre risquait donc bien de la surprendre agréablement ! Mélinda constatait en tout cas que, pour l’heure, la métamorphose de Mélissandre était parfaitement stable. Elle fonctionnait pleinement comme Mélona, se nourrissant d’énergie sexuelle. Alors, avec Mélinda qui la besognait, et Maman Lissandre qui était en pleine extase, Mélissandre ne pouvait qu’être comblée. Mélinda la prenait donc désormais en missionnaire. Elle l’avait couché sur le lit, et l’embrassait régulièrement, rompant le baiser pour permettre à Mélissandre de tourner la tête et de voir la punition de sa mère. Très excitée, Mélinda continuait à baiser la jeune Slime, sentant le corps de celle-ci remuer sensuellement contre le sien, s’unissant à elle sans limite.

Mélissandre interrogea ensuite Mélinda sur les conséquences de la semence d’Allison. La vampire soupira, et embrassa à nouveau la petite Slime. Elle posa une main sur son épaule, et l’autre alla entremêler ses doigts avec ceux de Mélissandre.

« N-Non… Notre semence ne permet pas de féconder des Slimes, vous ne fonctionnez pas… Comme ça, hmmm… Mais rendre ton ventre tout rond, hmmm… Cela, je peux le faire, haaaa… »

Cela nécessitait un sort de magie rose supplémentaire. Fort heureusement, Mélinda la maîtrisait. Elle l’avait prouvé en assemblant Mélissandre, en lui donnant un corps. Elle était également ravie que Mélissandre accepte qu’elle vienne dans leur manoir. Il faut dire que la famille Verrières gagnait à être connue ! Mélinda continuait donc ses coups de reins, s’enfonçant dans la chatte humide de la Slime.

De son côté, Allison retourna Lissandre. Elle la coucha sur le dos, et sourit en voyant le regard de la jeune femme. Elle releva ses jambes, et les plaqua en avant, tout en retournant la pénétrer. Allison avait opté pour une position de l’enclume, faisant crisser le latex. Lissandre était fort heureusement souple. Allison posa ainsi usa main directement sur le cou de Lissandre, et pinça avec l’autre l’un de ses seins.

« Tu la ramènes m-moins, là, hein, petite salope ? Hmmm… »

Allison soupirait. Sur sa peau assez pâle, ses rougeurs étaient magnifiques. On pouvait la voir suer en baisant ainsi Lissandre. Elle avait opté pour deux verges, après tout. Sa main gifla alors la joue de Lissandre, une claque qui résonna dans la pièce.

« Reprends tes esprits, sale pute ! Je veux que tu sois consciente pendant que je te baise ! Que tu prennes conscience que tu n’es qu’une moins-que-rien entre mes mains, rien d’autre qu’une nymphomane dépravée qui aime se faire baiser par tous les trous ! »

Mélissandre : « HEY ! C’était obligée de baffer, maman ? »

Alors qu’elle caressait son ventre qui serait bientôt tout rond et tout chaud, Mélissandre avait sursauté au bruit fort de la claque d’Allison. Même si Maman Lissandre était dans un délire masochiste, ça n’enlevait pas le fait de prendre soin d’elle et de s’inquiéter. Magie rose ou pas, Lissandre était sa famille. Mélinda et Allison resteraient à jamais des amies avec affinités. Il n’y avait pas le même niveau de lien.

« Ca va aller, mon bébé. Maîtresse Allison prend juste son travail très à cœur. Elle veut performer. Elle manque encore un peu d’assurance en soi et de subtilité. Mais… »

La langue de Lissandre s’échappa de ses lèvres en direction de la rougeur cuisante sur sa joue. Bien sur, sa langue n’était pas surnaturelle. Elle ne pourrait pas aller laper et faire disparaître la chaude douleur. Mais l’intention était bien présente.

« Maîtresse Allison me baise bien. Doublement bien, mon bébé ! Elle a un bon rythme. Et une peau magnifique avec toutes ces gouttes de sueur. C’est photogénique. Peut-être que je devrais lui demander de tourner une vidéo avec moi ? Hi hi ! »

Mélissandre : « Mais maman n’a pas le temps. Elle a trop de choses à faire. Elle se plaint tout le temps de ne pas avoir assez de temps. »

Est-ce qu’Allison allait conserver le contrôle de ses vits ? Se voir propose par une célébrité telle que Lissandre Verrières de tourner dans une de ses productions pornographiques ? Il y avait de quoi en perdre ses moyens. C’est que le « travail » de dominatrice était très demandant.

« C’est dommage qu’elle bégaie de temps à autre. Ca lui donne un petit côté mignon. Ca révèle que derrière la combinaison noire autoritaire, il y a une femme avec un cœur et ses doutes. HAN ! Ce coup de butoir était bien puissant. Est-ce que je parlerais avec vérité, Maîtresse Allison ? Hi hi ! »

Mélissandre, elle, s’était déjà désintéresse de l’autre duo pour se concentrer sur le rythme que donnait Mélinda. Elle avait un grand sourire ravie. Elle se demanda même un instant si elle devait copier Maman Lissandre ? Puis la pénétration liquéfia les pensées qui prenaient forme dans sa tête. Le sexe avait cette fonction d’effacer régulièrement tout ce qui entrait dans sa mémoire à court terme.

Mélissandre : « Je suis trooop curieuse de voir, de sentir ! comment Mélinda va me remplir le ventre. Je sens que ça va être une expérience trop chouette ! »

Ses mains continuaient de caresser son petit ventre parfait. Il n’y avait plus de plan dans sa tête. Plus de provocation. Plus rien. Seulement l’attente de la jouissance de la copine de maman.

Infatigable, Lissandre continuait à la provoquer, à jouer avec les nerfs d’Allison. Oh, quelle mauvaise esclave ! Allison fronçait les sourcils tout en besognant la femme. Elle s’attendait à ce que son idole soit une forte tête, mais Lissandre la surprenait. Cette histoire avec un démon, elle ne savait pas si c’était vrai, mais, depuis qu’elle avait rejoint le manoir de Mélinda, elle avait déjà vu son lot d’êtres surnaturels. Allison soupira encore. Sa main se posa à nouveau sur le cou de Lissandre, et elle grogna.

« T-Tu veux vraiment que je t’humilie, hein ? Hmmm… »

Allison se mit alors à jouir. Ses deux queues se relâchèrent dans le corps de Lissandre, et elle se pencha sur elle, venant l’embrasser dans la foulée. Près du duo, Mélinda commenta naturellement la scène en se penchant contre Mélissandre.

« Tu vois ? Tout ça n’est qu’un jeu, hmmm… On ne mettra jamais ta maman en danger, Mélissandre… »

Mélinda soupira encore. Mélissandre attendait sa charge, et la vampire n’allait pas la décevoir. Fermant les yeux, elle se concentra, invoquant mentalement un sort de magie rose. Son inmon s’illumina encore plus intensivement, et, Mélinda trembla. Elle se mordilla les lèvres, et, tandis qu’Allison embrassait Lissandre, Mélinda se mit à jouir fortement dans la chatte de sa partenaire. Mélinda se mit à jouir, et à jouir encore, balançant d’épaisses giclées de foutre, bien plus que ce qu’elle pouvait normalement produire. Son sortilège fonctionnait à merveille. Elle se tenait alors sur le côté de Mélissandre, jouissant généreusement en elle, si bien que le petit ventre de Mélissandre se mit à s’arrondir, gonflant, grossissant, enflant joyeusement. La petite Slime put sentir son ventre grossir, grandir, au fur et à mesure que le sexe de Mélinda jouissait en elle. La vampire soupirait, et éjacula pendant plusieurs minutes. Quand elle termina, Mélissandre put l’entendre gémir une ultime fois.

Soupirant longuement, la vampire posa sa main sur le ventre de Mélissandre, et le caressa. Son ventre arrondi témoignait de la vague orgasmique qu’elle avait reçu, un véritable geyser de foutre ! Mélinda sentit sa queue se réduire, et elle soupira longuement contre elle. Sa main glissa sur le ventre rebondi de Lissandre, et elle appuya dessus.

« V-Voilà… Tu as recueilli tout mon foutre, ma belle, une jolie semence, haaaa… Est-ce que tu aimes ça ? Sentir tout ça en toi, hmm… ? »

Mélinda devait quand même reprendre un peu de souffle, car elle avait tout de même balancé une impressionnante quantité de foutre ! De son côté, Allison venait de jouir à son tour, et elle avait fini pendant que Mélinda se vidait dans le corps de Mélissandre. Allison embrassait toutefois encore Lissandre, prolongeant ainsi le plaisir. Ses deux verges s’étaient repliées, et Allison continuait donc son baiser, témoignant de l’affection forte qu’elle vouait à Lissandre, derrière les jeux de domination. Elle avait attrapé les mains de Lissandre, les plaquant au sol pendant toute la durée de ce baiser.

Finissant par rompre son baiser,

« Je dois admettre que tu es une très bonne amante, Lissandre… À la hauteur de ta réputation, à n’en pas douter. »

La main d’Allison se posa alors sur l’un des seins de Lissandre, qu’elle se mit à pincer.

« Mais ne va pas croire que je ne compte pas arrêter l’idée de te dresser pour l’avenir… »

« J’aime beaucoup les femmes comme toi, Allison. Avec ce désir insatiable. Cette volonté d’aller toujours plus loin. Tu as beau savoir que je suis indomptable, je vois à l’éclat dans tes yeux que tu as une forte résolution à réussir à me dresser. Pour être honnête, ça me file des frissons. »

Poussant sur ses abdominaux, Lissandre tenta de se redresser vers Allison malgré le fait que ses mains étaient clouées au sol par cette dernière.

« Tu devrais appuyer plus fort sur mes mains. Je veux sentir tes mains me cisailler les poignets comme des menottes trop serrées. Et reviens donc martyriser mon téton. Je n’ai pas assez ressenti la douleur la première fois. »

L’effet de l’anneau de masochisme faisait toujours effet. Il exacerbait la libido de Lissandre pour continuer à pousser son amante du jour à jouer avec elle. A lui faire du mal. De la souffrance pour son plaisir. Et ce, malgré le fait que ses deux orifices jutent du précieux foutre de sa M-maîtresse qui bégayait encore de temps à autre pendant l’acte.

Du côté de Mélissandre, il y avait des similarités. Elle aussi s’était faite remplir. Mais ce n’était en rien comparable. C’était la magie qui avait permis à Mélinda d’éjaculer encore, et encore et toujours plus. Les doigts intrigués de Mélissandre vinrent caresser ce ventre. C’était la première fois qu’elle vivait pareille expérience. Elle ne savait pas comment réagir.

Mélissandre : « C’est tout mou. Et tout chaud aussi. Hi hi ! ♥ »

Le rose avait coloré les joues de Mélissandre. Une couleur qui allait très bien aux membres Verrières. Les doigts hésitants prirent de l’assurance et commencèrent à appuyer plus franchement sur son ventre.

Mélissandre : « Oh ! Je sens que ça ressort tellement je suis pleine comme un ballon : hi hi ! »

C’était le cas. Quelques gouttes étaient ressorties timidement. Jusqu’à ce que Mélissandre appuie plus fort pour renvoyer une petite giclée de foutre comme si elle était capable d’éjaculation avec une verge.

Mélissandre : « C’est trop bien ! De se sentir remplie. Et toute chaude. Et de pouvoir jouer avec toute la précieuse semence au-dedans de moi. Et puis… »

Ses lèvres vinrent trouver celle de Mélinda.

Mélissandre : « C’est vraiment trop mignon la tête que tu fais quand tu reprends ton souffle. ♥ »

Avec une cliente pareille, Allison devait insister, mais elle ne voyait pas sanctionner son impertinence autrement que par expérimenter de nouvelles méthodes. Lissandre lui proposait de la battre plus fortement, de presser ses mains davantage. Allison fronça les sourcils.

« Tu dois savoir qu’il existe plusieurs moyens de punir les impertinentes comme toi… Je pourrais te mettre dans une cage, ou te chosifier… Faire de toi une chaise en latex et te faire connaître le plaisir de la privation sensorielle… »

Cependant, cette perspective s’envisageait sur le long terme, il fallait que le soumis reste comme ça pendant des heures. Allison ne savait pas de plus si Lissandre apprécierait, et, même à titre personnel, elle avait encore envie de profiter d’elle, de la punir, de jouer avec elle… Elle était tout de même une idole ! Allison ne fantasmait pas autant que sa sœur sur elle, mais suffisamment pour apprécier ce moment, nonobstant les provocations de Lissandre.

Elle serra ses doigts sur ceux de Lissandre, les entremêlant, et l’embrassa ensuite. Un baiser mordant, où elle mordilla la lèvre supérieure de Lissandre, et tira dessus. Un sourire enjoué sur les lèvres, elle lécha ensuite le creux du cou de la femme.

« Mais je peux te punir en profitant du moment, ma belle… On verra plus tard pour un dressage complet. »

Allison avait encore ses deux verges nichées dans le corps de Lissandre, et remua à nouveau. Les délicieux crissements résonnaient avec délice aux oreilles de Mélinda, qui sourit en voyant Mélissandre jouant avec son ventre arrondi, tout en lui disant que Mélinda était mignonne quand elle reprenait son souffle.

Mélinda répondit à son baiser, et posa une main dans les cheveux de Mélissandre en souriant. Avec sa peau pâle, ses rougeurs n’en étaient effectivement que plus belles.

« Comme ta maman quand elle rougit, non, ma puce ? »

La vampire embrassa une seconde fois Mélissandre.

« Mélona se nourrit de semence, je suppose que cela doit fonctionner comme ça pour toi… »

Tout en disant cela, Mélinda coucha Mélissandre sur le dos, et tapota son ventre.

« Et je sais aussi que ta grande-sœur est très gourmande… »

Sa grande-sœur… Pourquoi pas ? Après tout, Mélissandre avait été conçue à partir de l’ADN de Mélona fusionné à la combinaison de Lissandre. Elle pouvait donc incarner le rôle de la grande-sœur, a fortiori en tenant compte du fait que Mélona considérait Lissandre comme sa mère adoptive. Cela formait une joyeuse famille ! Mélinda embrassa à nouveau Mélissandre, enfonçant sa langue dans sa bouche, désireuse d’opter cette fois pour un baiser plus long, et plus sensuel…

"Ah ah ! Tu es vraiment trop mignonne, Allison."

Oui, il y avait beau avoir deux verges qui remplissaient délicieusement Lissandre. Deux membres de belles tailles et surtout doués d'un bon rythme. Malgré cela, malgré la magie de l'artefact : Lissandre demeurait Lissandre. A savoir qu'elle n'allait pas se laisser domestiquer si facilement. Impertinente était un mot parfait.

"Tu déploies tant d'efforts pour prouver que tu es une dominante. Et je reconnais que la marchandise est bien emballée : hi hi !"

Qui était-elle pour ne pas apprécier des courbes moulées dans du latex noir ? Elle dont son latex rose avait permis de la sortir du lot et lui donner une célébrité dans le monde pornographique.

"Mais tu oublies une chose, jolie Maîtresse. C'est un artefact de masochisme qui m'anime. C'est la douleur qui me fait frissonner de plaisir. Une fesse violente pourrait m'arracher un orgasme. Memprisonner et me laisser dans un coin ? C'est de la frustration que tu générerais. Et, pour ton, il ne vaudrait mieux pas que ma femme me découvre ainsi."

Un bref moment, il y eut une menace réelle...
Puis son sourire mutin revint illuminer sa bouille en sueurs et rougie !

"Allez, mets moi une claque et éclabousse moi le ventre que je jouisse une nouvelle fois !"

Pourquoi Mélinda agissait ainsi ? Avait-elle un intérêt à donner plus de profondeur à la famille Verrières ? Ce n'était pas Mélissandre qui allait intellectualiser tout ça de toute façon. Allongée, le ventre plein et chaud, recouvertes des attentions de l'amie de maman ? Elle souriait avec toute la joie que pouvait transmettre Melona !

Mélissandre : "Ma grande soeur ?... Ah oui ! Ma grande soeur : hi hi !"

Elle posa son doigt sur ses lèvres charnues à la façon d'une petite fille qui réfléchit. Ce qui, malgré son corps sexuellement actif, était le cas. Le genre de personne qui faisait douter le concept de pédophilie ? Étrange... Mais pas plus que le corps menu de Mélinda.

Mélissandre : "Je ne fais pas des plats avec ton sperme. Et je ne vais pas le manger comme une pâtisserie. Enfin, je peux toujours venir te lécher et te nettoyer mais, mais voilà quoi ! Hi hi !"

Penchant la tête en arrière, Mélissandre observa si Maman Lissandre avait bientôt terminé. Parce que elle, elle avait terminé.

Dire qu’il y a quelques heures, Mélinda n’avait encore jamais vu cette Lissandre… Sa bibliothèque abritait sans doute ses livres, mais Mélinda n’était pas sûre de les avoir lus. Shii avait sans doute dû les acheter. Et, maintenant, voilà que Mélinda était pour ainsi dire devenue la marraine de Mélissandre. Alors, il était somme toute compréhensible qu’elle souhaite passer du temps avec elle. C’était sa création… En partie. Mélissandre semblait en avoir fini, et Mélinda sourit doucement. Elle l’embrassa ensuite sur la joue, puis se redressa. Le ventre de Mélissandre restait encore bien arrondi, et il semblait à ce stade évident que Lissandre avait sans doute envie de retrouver sa femme. Mélinda se redressa alors, et s’assit sur le rebord du lit. Elle fit signe à Mélissandre de s’asseoir à côté d’elle, et lui tint la main à son tour.

« Regarde ta Maman jouir, Mélissandre… Regarde comme elle est heureuse. »

Allison s’était redressée, et prenait désormais Lissandre à quatre pattes. Elle y allait en levrette, tout en ayant mis autour de son cou la pointe de son fouet. Elle l’étranglait ainsi en tirant dessus, et en la fessant violemment. De solides claques qui résonnaient dans la pièce, avec les délicieux crissements de latex qui accompagnaient les claquements de chair. Mélinda souriait devant ce spectacle naturel, et laissa Mélissandre poser sa tête sur son épaule, tout en lui caressant ensuite le dos.

« Regarde comme elles sont belles… Tu es heureuse de voir ta Maman se faire prendre ainsi ? De la voir si joyeuse ? Je veux dire, les mamans aiment quand leurs enfants sont heureux, mais l’inverse est vrai, non ? »

Allison soupirait, approchant de son orgasme, elle aussi. Elle tira encore sur sa laisse, et empoigna les cheveux de Lissandre, redressant son visage, tout en continuant à battre ses fesses.

« Re-Regarde ta fille, petite salope… Dis-lui que tu es une maman-pute, une chienne qui va jouir en se faisant fouetter le cul ! »

Pas de frustration, donc, Allison avait choisi, mais cela ne l’empêchait nullement d’en profiter pleinement !

Comme une gentille petite fille toute à fait normal, Mélissandre observait sa maman se faire prendre sans douceur par l’autre Maîtresse. Mais elle n’avait plus peur que sa maman ait mal. Parce que tout de suite maintenant, c’était ce qu’elle voulait. Et que la « méchante » femme en noire n’était pas si méchante. Elle bégayait toujours un petit peu. Un peu à cause de l’effort. Mais aussi parce qu’elle restait impressionnée par sa maman. Sa réputation. Son corps. Son latex rose. Cette rébellion indomptable aussi.

Mélissandre : « Je suis très heureuse pour maman. Elle semble prendre beaucoup de plaisir sexuel. Mais, maintenant que j’ai le ventre tout rempli et que je regarde maman toute tranquille, je ne peux pas m’empêcher de penser à Maman Fönn. Je me demande ce qu’elle va dire quand elle va retrouver son amoureuse dans cet état. Avec les marques sur cou blanc ? Avec l’esprit tout mélangé de la souffrance qui fait du bien ? Et que dire de ses fesses brûlantes ? Hi hi ! Maman n’est pas prête de s’asseoir toute tranquille avant quelques temps. Ça va piquer à chaque fois ! Hi hi ! »

Allison perdait patience. Il était donc évident que l’éjaculation n’allait pas tarder. Non, la double éjaculation ! D’une main elle resserra l’étreinte du fouet sur son cou. Ce qui eut pour effet immédiat de faire resserrer ses muscles intimes. Cette contraction laissa échapper un soupir de plaisir à sa « Maîtresse » actuelle.

*Elle vient de me parler. Mince, je ne suis pas sûre d’avoir tout compris. J’ai l’impression de faire une jouissance en mode long vol. Hi hi ! Je ne suis même pas certaine que ça veuille dire quelque chose. *

« Je suis tout ce que tu veux, Allison ! Je peux t’appeler Maîtresse si ça te fait bander. Je peux même aller jusqu’à t’appeler Déesse. Mais je te jure que si tu ne fais que ralentir : tu le regretteras tellement ! »

C’était jouer au funambule au-dessus d’une abime de jouissance annoncée qui déclencha ainsi Lissandre. Un bref instant, elle incarna une autorité absolue. Oui, elle était « soumise » dans leur jeu de rôle. Mais c’était bien elle qui avait les rênes. Qui avait le contrôle. Même le rythme pourrait-on dire.

Puis Lissandre retrouva un grand sourire très coquin en faisant retomber ses yeux sur sa « nouvelle » fille. »

« Ne me quitte pas des yeux, mon bébé. Je suis une maman-pute et Allison est sur le point de venir en moi. Et… Hi hi ! Je vois que tu as déjà ton bidon tout rempli toi aussi ? Hi hi ! ALLEZ ! Fouette-moi plus fort, Allison ! Tu faiblis ou quoi ? Désolé, mon bébé. Je suis une chienne. Je suis une fofolle. Je dois guider mon humaine pour qu’elle ne se perde pas. MAIS brise-toi les reins ! Claque moi le cul de tes déhanchées comme si tu voulais que je finisse la tête dans le mur. Regarde-moi, mon bébé. Je sens que Maîtresse-Déesse-Allison est toute proche de jouir. De double-jouir : hi hi ! ♥ »