Page 5 sur 5

Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Posté : 17 août 2024 02:05
par Reine Alice Korvander
La sodomie, c’était un rituel obligatoire entre eux, alors, ce soir, forcément, il fallait bien y aller. Alice avait découvert ça au début avec Cirillia, mais c’était surtout avec Mélinda qu’elle avait appris à aimer les sodomies... Et même à les aimer énormément. Mélinda avait su trouver les mots justes pour amener la jeune Princesse à accepter pleinement les émois de son corps, ce qu’elle ressentait, ses fantasmes et ses désirs, sans en ressentir la moindre honte. Sur ce point, Alice avait donc été bien formée, et, là, face à Melendil, elle attendait impatiemment qu’il se glisse en elle. Mais l’homme prenait tout son temps, ce qui était doucement frustrant pour elle, mais encore plus pour lui, puisqu’il avait déjà pénétré la femme, sans jouir. Sa queue devait l’élancer...

*Je n’ose imaginer ce qu’il deviendra s’il suit l’entraînement des prêtresses de Lust...*

Alice savait que Mélinda avait suivi cette formation, et elle lui en avait montré tous les résultats, en la prenant pendant des heures sans jouir, avant de lui offrir un orgasme mémorable, jouissant tellement que le ventre d’Alice en avait gonflé. Mais là, Melendil utilisait juste des techniques propres à sa nature. Elle l’imaginait volontiers avoir médité en ayant une érection, probablement nu dans sa chambre, en songeant aux courbes raffinées d’Alice. Grâce à la technologie tekhane, elle avait pu faire des photographies très sensuelles d’elle, qu’elle avait offert à Melendil, afin que l’elfe puisse toujours avoir une trace d’elle.

La Princesse le sentait donc lécher ses fesses, écartant avec sa langue sa rondelle, lui arrachant encore un soupir, ses mains se crispant sur le lit. Melendil se redressa ensuite, et se blottit contre elle. Elle frémit en sentant sa queue caresser ses fesses, son beau corps s’étaler sur le sien, l’écrasant pendant quelques secondes. Il mordilla le lobe de son oreille, et, comme à chaque fois, Alice s’en pinça les lèvres, un geste qui, elle le savait, excitait beaucoup Melendil. Elle soupira encore, et détendit ensuite ses mains, les appuyant contre les barreaux du lit. L’elfe se mit à lui parler sensuellement, en lui assurant que, demain, elle aurait du mal à s’asseoir...

« Tu te surestimes, mon chéri, c’est l’émotion qui parle... Tu as bien entraîné mon cul à subir les assauts de ta queue, tu sais ! »

Une petite provocation pour flatter son orgueil, et, surtout, pour s’assurer qu’il soit bien à la hauteur de ses espérances. Elle le voyait dans son regard, l’entendait dans son ton... Ce soir, Melendil allait lui faire la totale ! Autant dire qu’Alice en était particulièrement émoustillée, et, quand il lui ordonna de se mettre à quatre pattes, elle obéit bien naturellement. Comme à son habitude, une fois en position, Alice se mit à creuser ses reins, se courbant lentement, bombant ses belles fesses.

« Hmmm... Melendil... Ta petite chienne attend désespérément que tu viennes la fourrer bien fort... Montre-moi combien tu es heureux de m’épouser, amour... Encule-moi fort ! »

Comment résister à un tel appel ? Il se rapprocha rapidement, le sexe tendu, et posa ses mains sur son corps. Alice serra ses doigts, pinçant encore ses lèvres, fébrile, impatiente, excitée. Jadis, elle avait pu avoir peur dans une telle situation, mais, ce soir, seule dominait en elle l’envie furieuse, impérieuse, de sentir l’homme la baiser bien fort. Et, sur ce point, elle fut rapidement comblée, car... Melendil s’enfonça brusquement, et brutalement, en elle !

« Haaaaaaaaaaaaaaa... !! »

Un long cri de plaisir et de douleur mélangés s’échappa de ses tendres lèvres, et elle banda ses muscles, avant de sentir la queue de l’homme écarter sans ménagement ses parois internes, se forçant un passage avec puissance et énergie.

« HMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM... !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Elle avait commencé par se retenir en mordant fort ses lèvres... Puis une nouvelle bourrade la faisait finalement hurler, des hurlements puissants et impressionnants, mais qui n’étaient nullement simulés. Ils exprimaient, au contraire, une authentique et vibrante excitation, qui pulsait dans tout son corps, et la laissait pantoise, extatique, transie de désir et d’envie. Encore, encore, voilà là tout ce que son corps réclamait.

Encore !!

Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Posté : 17 août 2024 02:06
par Melendil Korvander
Il avait fallu du temps, et une bonne dose de pédagogie de la part d'Alice, pour que Melendil finisse enfin par se lâcher durant leurs ébats, ce qui avait été surtout vrai lorsqu'ils avaient commencé à pratiquer la sodomie. Outre le fait qu'il avait fallu à Melendil un peu de temps pour complètement se défaire de l'image de princesse de contes de fées qu'il se faisait de sa chère et tendre, il y avait aussi les viols qu'il avait lui même subis durant son adolescence qui le rendaient craintifs. La peur d'aller trop fort, la peur de faire mal, la peur de risquer, dans un sens, de faire subir même involontairement ce que lui même avait subi. Il y a encore quelques mois de ça, les cris qu'étaient en train de pousser la princesse, alors qu'il commençait à la prendre parle cul, lui auraient fait stopper net toute action, et ça avait d'ailleurs été le cas. Intriguée, Alice lui avait alors demandé pourquoi il se montrait toujours aussi craintif, par rapport à tout ce qui avait attrait à l'anal...et il lui avait dit, les années de violences et de viols. Cela avait été une première, la première fois qu'il se confiait "vraiment" à quelqu'un, et à une personne de sang noble qui plus est. Mais elle ne s'était pas moquée, ou quoi que ce soit d'autre, elle avait compris, et peu à peu elle l'avait rassurée, jusqu'à en arriver à ce stade, là, présentement.

Hmmmm...Haaaaa...

Les légers soupirs de l'elfe se perdaient complètement dans les cris d'Alice, qui transmettaient autant la douleur qu'elle pouvait ressentir, que le plaisir paradoxal qu'elle éprouvait à ce que Melendil butine son merveilleux cul. L'elfe n'avait pas à proprement parler de préférences, pas de parties du corps de son aimée qu'il adorait plus que d'autres, car tout son corps était une ode à la beauté et une invitation à la débauche...mais ses fesses, il aurait volontiers pu passer des heures entières à les caresser, les empoigner, et les embrasser. La princesse savait pertinemment qu'il lui suffisait de se mettre à quatre pattes devant son bel elfe pour lui donner instantanément de la vigueur, et une large bouffée de désir. Lorsqu'elle se dandinait devant lui, bombant son cul en le remuant légèrement, Melendil ne pouvait tout simplement jamais refuser l'invitation, quel que puisse être son état de fatigue.
Mais là, ce soir, Melendil n'avait pas mis en garde à la légère son aimée, en lui disant qu'elle aurait du mal à s'asseoir le lendemain. Certes, ce n'était pas la première fois qu'Alice se faisait sodomiser par son bel éphèbe...mais c'était en revanche la première fois que ce dernier mettait en pratique les techniques ancestrales de son peuple pour faire l'amour. Cela faisait déjà quelques temps maintenant que leurs ébats avaient commencé, et si Alice avait déjà eu droit à quelques orgasmes, Melendil lui se retenait...et surtout, il se frustrait. C'était pour lui autant une façon d'être plus endurant au lit, qu'un moyen de parvenir à se laisser aller. Alice aimait de temps à autres des étreintes douces, mais rien ne la faisait plus grimper aux rideaux que d'authentiques sessions de baise, où Melendil la bourrait. Et là, la frustration qu'il ressentait l'aidait en quelque sorte, à lui donner précisément ce qu'elle voulait.
Après avoir passé la résistance naturelle des parois étroites de son anus, une fois qu'il s'était enfoncé jusqu'à la garde dans le cul de la jeune femme, Melendil s'était alors mis à la bourrer. Tout en la saisissant par les hanches d'une solide poigne, afin d'éviter qu'elle ne parte trop sous l'effet des coups de butoir qu'il donnait, Melendil entama alors directement par des mouvements secs et saccadés, en alternant régulièrement la profondeur à laquelle il s'enfonçait dans l'anus de la princesse. Toujours toutefois il s'enfonçait pleinement en elle, leurs chairs claquant l'une contre l'autre, alors que les fesses d'Alice venaient se heurter au bas-ventre musclé de l'elfe, et que ses testicules durcies tapaient régulièrement contre l'intimité de la princesse. Si Alice était pleinement en train de profiter, Melendil lui devait toutefois conserver sa concentration pour se retenir de jouir, chose qui devenait de plus en plus compliqué. Son sexe lui faisait mal désormais, et ses couilles lui semblaient aussi lourdes qu'une paire d'enclumes tant il avait désespérément envie de se relâcher, surtout que les parois étroites de la princesse enserraient pleinement son sexe à chaque fois. C'était toutefois une souffrance qu'il s'infligeait fort volontiers, car sa partenaire prenait vraiment son pied maintenant que, selon ses propres souhaits, il était en train de l'enculer bien fort.

En pleine action, Melendil n'eut guère l'occasion de se laisser aller à quelques commentaires salaces, il était bien trop concentré sur ce qu'il faisait...et de toutes façons, Alice était clairement elle aussi dans un état second, tant l'elfe était en train de lui offrir une sodomie sans précédent depuis qu'ils avaient commencé à se fréquenter. Heureusement que la chambre de la princesse était insonorisée...
Melendil butina sans relâche le cul de sa bien aimée jusqu'à ce qu'il la sente contracter un nouvel orgasme, suite à quoi il sembla ralentir le rythme, avant de subitement s'arrêter. Sans laisser l'occasion à Alice de protester, l'elfe glissa ses mains vers les épaules de cette dernière, et la redressa pour l'amener à lui. De ce fait, les deux se trouvèrent à genoux, Melendil plaqué contre le dos de la princesse, avec sa virilité toujours profondément enfoncée dans son cul. Usant d'une de ses mains, Melendil invita Alice à tourner son visage vers lui, afin qu'il puisse l'embrasser. L'elfe était couvert de sueur, et avait la respiration lourde, Alice pouvait même sentir en elle sa queue pulser, impatiente...
Il sourit alors en voyant de plus près le visage de la jeune femme, aux joues rougies, avec cette expression de béatitude qu'il adorait tant.

Diable Alice...tu pourrais presque postuler pour être chanteuse lyrique dans un opéra tu sais...

Une petite plaisanterie, on n'effaçait pas aussi aisément un passé de voleur habitué à se montrer peu déférent envers les nobles, surtout qu'Alice aimait ça. L'elfe entreprit de remuer à nouveau son bassin, doucement toutefois, tandis qu'il continuait de couvrir les lèvres, le cou, et le visage d'Alice en général de baisers. Plaqués ainsi l'un contre l'autre, Alice aurait de ce fait l'occasion de pleinement sentir le corps musclé de son furur mari se frotter contre son dos, à la peau tellement douce et chaude. Melendil descendit alors sa main jusqu'à l'un des seins de la princesse, qu'il pétrit avec son savoir-faire habituel, quand à l'autre...et bien elle glissa le long de son ventre, jusqu'à filer entre les cuisses de la femme, avant de glisser deux doigts dans son intimité trempé. Il synchronisa le début de ses va et viens avec les mouvements de sa queue dans le derrière de la princesse.

Je ne vais plus pouvoir tenir très longtemps alors...je crois que ce deuxième round va être encore plus intense...prête mon amour ?

Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Posté : 17 août 2024 02:06
par Reine Alice Korvander
Alice avait appris tous les secrets de Melendil, les souffrances passées. Elle-même avait eu l’occasion de se confier, notamment en lui avouant qu’elle avait toujours trouvé, étant petite, les elfes laids... Un constat curieux, vu la beauté légendaire des elfes, mais elle lui avait expliqué que l’Omniprêtre était le seul elfe qu’elle ait connue de son enfance. Melendil avait mieux compris ce qu’elle disait en voyant le visage acariâtre et ridé de l’Omniprêtre. Elle lui avait ensuite assuré qu’en le voyant, elle avait révisé entièrement son jugement sur les elfes... Et ils avaient alors fait copieusement l’amour. Melendil avait vite compris à quel point Alice était affamée, et, là-dessus aussi, elle s’était expliquée. Elle lui avait dit qu’elle était l’héritière d’Erwan Korvander, et avait reçu le sang du Dragon lors d’un rituel ancestral. Or, le sang dragonique avait pour effet de rendre les Korvander plus dynamiques, plus actifs. C’est ce qui faisait d’eux des guerriers d’exception, mais Alice, elle, n’avait jamais été attirée par la guerre, et n’était pas une guerrière. À défaut, toute cette énergie s’exprimait bien différemment, à travers... Le sexe !

La Princesse n’avait pas encore présenté le Sanctuaire des Dragons à Melendil, mais, pour l’heure, elle était bien incapable de réfléchir à tout ça. Elle était en train de sentir la puissante verge de son homme lui pilonner le cul. Ses puissants hurlements, très expressifs, témoignaient de l’intensité de son plaisir, de la douleur qu’elle ressentait, et de toute cette énergie dragonique qui jaillissait en elle. Ses cheveux virevoltaient dans tous les sens pendant que Melendil, guéri de sa phobie de la sodomie, défonçait le petit cul de la Princesse. L’intéressée gémissait longuement, couinant sur place, les cheveux virevoltant, les joues rouges, et le corps en sueur. Ses mains se crispèrent sur le sol, elle se dandina sur place, et Melendil continua à la prendre, pendant de longues minutes, lui arrachant un orgasme. Il la sentit jouir, et réussit à se calmer, toujours sans lui refuser de jouir. Alice couinait lentement, se maintenant sur place, le corps en sueur, et sentit ensuite l’elfe la soulever.

« Haaaa... Me-Melendil... »

Elle sentit l’homme la relever, doucement, mais non moins fermement. Il conserva sa délicieuse verge en elle, et Alice couinait, peinant à se maintenir en place en sentant cette grosse bite défoncer son fondement. Melendil se logea dans son dos, fléchissant les genoux, et la maintint contre lui, le dos d’Alice heurtant le torse de Melendil. Elle se tortilla sur place, soupirant encore en sentant les lèvres de l’elfe glisser sur son cou. Il profitait de son corps, et parvenait encore à manifester son calme incroyable en parvenant à refréner ses coups de reins. Pourtant, Alice sentait son excitation, vu sa respiration profonde.

« Hmmmm... Haaaa, ta... Ta bite me fait mal, hmmm... »

C’était une manière de l’inciter à agir, mais, joueur, Melendil tourna plutôt son visage. Il put voir que les cheveux d’Alice étaient en bataille, plusieurs mèches de cheveux tombant devant ses yeux, formant une frange improvisée et rebelle. Elle avait les joues rouges, et se pinça encore les lèvres, puis crispa sa main gantée sur son torse, avant de l’embrasser. Un baiser long et sensuel, pendant que sa mouille continuait à tomber, à glisser sur ses cuisses.

« Mmmhmm... »

Un baiser baveux, intense, où sa langue se mélangea à la sienne pendant plusieurs secondes. Il se moquait d’elle, et elle sourit donc, lui pinçant doucement le téton en guise de reproches.

« C’est de ta faute, tu n’as pas honte de baiser ta Princesse ainsi, hm... ? »

Elle plaisantait, bien sûr, car elle adorait ça, et n’avait qu’une seule envie : qu’il recommence. Melendil la remit ensuite en position, et posa une main sur ses seins, puis glissa l’autre entre ses cuisses. Alice eut un long frisson de plaisir, et se dandina sur place. Alice gémit lentement, sentant les claquements spongieux des doigts élégants et longs de l’elfe contre ses cuisses. Alice gémissait doucement, et sourit quand il commença à remuer des hanches. À le sentir ainsi s’occuper des deux trous, elle ne pouvait s’imaginer de fantasmer en voyant un autre homme la prendre également dans l’autre trou...

Alice rougit donc, et hocha la tête, puis lui sourit, et déplaça sa main, venant caresser celle de Melendil occupée à la doigter.

« Évidemment que je le suis, mais... Hmmm... Tu me le paieras, Melendil, haaaa... J’enchaîne les orgasmes, et toi, tu restes avec ta queue dure... Crois-moi, la prochaine fois, c’est toi qui jouiras le premier ! Mais, hmmm... Je t’interdis d’arrêter ça sans avoir joui en moi, je veux que tu me remplisses, hmmm... Que tu me baises comme si j’étais ta petite pute ! »

Difficile de voir en elle une Princesse sage et disciplinée quand le désir s’emparait ainsi de son corps...

Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Posté : 17 août 2024 02:06
par Melendil Korvander
Ces échanges verbaux, bien que brefs, permettaient à Melendil de reprendre un peu ses esprits avant de se plonger pleinement dans ce qu'il avait appelé "le second round". Melendil sentait qu'il n'allait plus tenir encore des heures ainsi, à se frustrer, à se nier le plaisir de jouir, car tout son corps le réclamait. Alice avait pu le sentir au fait qu'il respire fort, mais il avait aussi très chaud, et même si il ne le montrait pas trop, son sexe lui faisait terriblement mal. Mais, encore une fois, voir Alice prendre autant son pied en valait complètement le coup, car Melendil avait toujours été ce genre d'amant à faire passer en priorité le plaisir de sa partenaire, avant même le sien propre. Mais il ne pu, malgré tout, s'empêcher de légèrement rire lorsque Alice lui "reprocha" de la baiser aussi fort.

Hum...et moi qui croyait que le sang des dragons te permettait de tout encaisser...ne me dis pas qu'un voyou dans mon genre repousse tes limites ?

Rapidement toutefois, Melendil l'invita à poursuivre leurs ébats. Depuis tout ce temps, sa queue n'avait pas quitté le fourreau étroit du cul de sa princesse, de sa future femme, et il commençait, vraiment, à en avoir mal. Il allait encore tâcher de tenir un peu, mais clairement, Melendil arrivait sur la fin de ce qu'il pouvait supporter, son sexe lui semblait aussi lourd qu'une enclume tant il le faisait souffrir...c'est dire à quel point il mettait un point d'honneur à satisfaire sa majesté !
Il commença doucement, remuant à nouveau dans les fesses de son aimée, et profitait de ce début doux pour laisser ses mains se balader sur le corps d'Alice, allant notamment la doigter. Alice caressa d'ailleurs cette même main avec l'une des siennes, l'invitant à continuer alors qu'il glissait ses doigts sans aucune difficulté en elle, tant elle mouillait, tandis qu'elle recommença, avec un peu plus de mal, à lui parler.

Défi relevé, mon amour...

Melendil pinça alors son sein, avant de remonter sa main. Délicatement, il la glissa dans la longue chevelure de la princesse qui était à quatre pattes, la rassemblant contre son dos, avant de délicatement l'empoigner en tirant vers l'arrière. Il n'y allait pas très fort, pas assez pour faire vraiment mal à Alice, c'était plus pour donner un peu de...piquant, et de profondeur à leur roleplay. Alice voulait, après tout, qu'il la baise comme sa petite pute, et ce selon ses propres mots. Il recommença alors à la besogner bien comme il le fallait, même si il avait un peu moins d'amplitude du fait qu'il lui doigtait la chatte en même temps, il n'en demeurait pas moins que ses coups de reins étaient assez forts pour provoquer des claquements, au contact de sa chair sur la sienne.
Un rythme qui dura un certain temps...mais comme il l'avait dit, il n'allait probablement plus durer très longtemps, et Melendil arrivait vraiment au bout de ses limites.

Hnnnf...Alice...

N'y tenant plus, l'elfe la poussa tout en venant s'allonger sur elle. Il la "força" ainsi à être aplatie sous lui, complètement allongée sur le ventre. Une main à la gauche du visage de la princesse, l'autre sur la droite, il prit appui avec ses bras tendus afin d'arriver à la dernière ligne droite. Grognant, soufflant presque comme un buffle, Melendil pu alors dans cette position donner de vrais coups de butoir dans le fessier de la princesse. Un peu comme si il faisait des séries de pompes frénétiquement, il levait et abaissait son bassin fort, vite, au point que le lit était en train de craquer. Le sexe de l'elfe ressortait presque intégralement de ce cul pour ensuite s'y enfoncer à nouveau, encore, et encore, de plus en plus vite à mesure que Melendil la bourrait sèchement...jusqu'à ce que, finalement, il ne se relâche en elle.
L'instant juste avant qu'il ne jouisse, Melendil se laissa tomber un peu sèchement sur le corps de la princesse, de façon à complètement se plaquer contre elle, à délicieusement l'écraser sous son poids, sous son corps musclé et en sueur, et enfin il se permit de jouir. Le visage fourré contre le creux du cou de sa femme, Melendil grognait comme un animal alors qu'il se déchargeait profondément dans son cul, son sexe cracha d'épais filaments de foutre, et ce pendant un temps pour le moins...impressionnant. L'équivalent de plusieurs orgasmes déferlait dans les fesses d'Alice, car Melendil jouissait, encore et encore, incapable de parler, il maintenait fermement la jeune femme en place, car nul doute qu'il s'en serait trouvé très frustré autrement. Durant cette longue minute où il jouit sans interruption, Melendil n'était guidé plus que par ses plus bas instincts, et par sa frustration qu'il libérait enfin, comme une digue qui cédait sous des torrents.
Et enfin, après ce long moment, Melendil reprit un tant soit peu ses esprits, une fois qu'il arrivait à la fin de son orgasme...indéniablement le plus puissant qu'il avait eu de toute sa vie. Il s'en trouva incapable de parler, juste sa respiration lourde heurtait le visage d'Alice, qui pourrait le sentir alors délicatement se retirer d'elle, et se laisser rouler à ses côtés sur le lit.

Je...wow...j'aurais...bien besoin de quelques instants...votre majesté...

Il souriait faiblement, signe qu'il avait bien l'intention de tenir, comme elle l'avait voulu, toute la nuit...mais il était aussi essoufflé que si il avait couru un marathon à pleine vitesse. Une petite pause, avant de reprendre.

Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Posté : 17 août 2024 02:06
par Reine Alice Korvander
C’était le dernier round du duo... Et quel round ! Melendil ne cessait de la surprendre, par son endurance, son énergie, sa rudesse. Sa queue monstrueuse lui labourait le cul, et elle couinait sur place, fermant les yeux, respirant très lourdement, en se dandinant sur place. Alice gémissait longuement, de longs couinements, et se tortillait sur place. Les mains de l’homme, douces et fermes, l’immobilisaient toutefois sur sa queue. Elle s’était empalée dessus, et soupira encore, de la sueur coulant le long de ses joues. Ses cheveux étaient trempés, et Alice continua à soupirer encore, se tortillant sous l’effet des doigts de l’elfe. Melendil se lova contre elle, et continua à remuer son bassin. Alice couina donc, l’entendant la narguer, encore, avant de serrer ses cheveux dans sa main.

« Me... Melendil, haaaa... »

L’elfe commença alors à remuer, mais, vu leur position, ce n’était pas rapide, plutôt... Profond et intense. Il tirait sur les cheveux d’Alice, tout en continuant à la doigter. La jeune femme mouillait énormément, son corps se tendant en avant, retenue par ses cheveux. Elle faisait exprès de tirer sa tête vers l’avant, pour mieux sentir la poigne des cheveux de l’homme. Melendil était là, contre elle, et continuait à remuer sa grosse queue dans son cul. La douleur était exquise, jouissive, mettant Alice en émoi, dans un véritable état second. Elle continuait à gémir, sans relâche, ouvrant grand les lèvres, de délicieux couinements.

Au bout de plusieurs minutes, Melendil relâcha ses cheveux, et bascula en avant. La femme s’étala sur le lit, couchée sur le ventre, et serra ses mains sur le lit, tout en sentant l’elfe se glisser dans son dos, s’abattre sur elle, l’étouffant à moitié. Alice tourna la tête sur le côté, les joues rougies, ses mains gantées se crispant sur le lit, et sentit la queue de l’elfe s’enfoncer lourdement en elle. Ses mains se crispèrent sur la couverture, et elle continua à couiner.

« Haaaa... Me-Melendil, hmmmm... »

L’homme se mit à la baiser en se couchant sur elle, dans une position de pure domination, et elle sentit ses mains moites se serrer sur les siennes, y trouvant là un point d’appui. Le cul d’Alice se souleva, sa chair en sueur se claquant à la sienne. Alice continua de soupirer profondément, son corps se soulevant et s’abaissant, ses jambes se creusant dans le lit. Elle entendit les craquements du sommier, les lattes de bois éprouvant les deux corps en train de remuer. C’était une jouissive harmonie, et la tête blonde était en pleine transe. Son corps suait abondamment, et la jeune femme se tortilla de nouveau sur place, sa salive coulant de ses lèvres. La bave s’échappait de ses lèvres, tandis qu’elle sentait encore Melendil la pilonner, grognant et soupirant dans son dos.

Hum ! C’était bon, c’était si bon ! Diable, comme elle aimait ça ! La queue de l’homme continuait à la prendre, jusqu’à ce qu’elle ne le sente ralentir un peu. Il la prenait pour l’heure si énergiquement que presque toute sa longue verge semblait ressortir de son corps, avant de s’y enfoncer de nouveau.

« Haaaaaa... !! »

Alice sentait un nouvel orgasme revenir, mais rien ne la préparait à l’orgasme de Melendil. L’elfe s’écrasa contre elle, l’étouffant, et se mit à jouir, au plus profond de ses fesses. Et ça, Alice le sentit. En sentant ce foutre jaillir, ce sperme taper contre ses parois et se perdre dans son corps, elle se mit également à jouir, s’abandonnant longuement. Ses muscles se décrispèrent progressivement, mais, même après son orgasme, elle sentit encore Melendil jouir, balançant d’épais chapelets de foutre.

Le moins qu’on puisse dire, c’est que Melendil se relâcha longuement, pendant plus d’une minute. À chaque fois que sa queue semblait se calmer, une nouvelle vague le traversait, et il éjaculait encore, faisant même gonfler le ventre d’Alice. Cette dernière soupirait silencieusement, et l’elfe, après cela, sembla accuser le contrecoup de tout ce sperme en elle. Il s’écroula mollement sur elle, et mit quelques instants avant de s’écarter, et Alice se retourna vers lui, en lui souriant. Sa main se releva, et caressa son visage.

« Ma foi... Haaaa... Je crois que personne n’avait encore jamais autant joui comme toi en moi, mon beau... »

Alice se rapprocha de lui, son ventre rebondi tapant contre son torse. Certes, elle avait imposé qu’ils tiennent toute la nuit, mais là, à le sentir éreinté, et elle-même rassasiée, avec son corps en sueur, ce cocon de chaleur et de sexe qui les unissait... Elle s’affala contre son torse, frottant son visage sur sa peau, sentant sa queue contre ses cuisses.

« Je... Je t’aime, Melendil... Oh oui, mon aimé... »

Elle se pencha alors, et l’embrassa tendrement, longuement, tout en s’affalant et en se lovant contre lui. Elle se recoucha ensuite contre son torse, pleine d’amour... Et débordant même d’amour.

Leur amour ne faisait que commencer... Alice l’aimait, très sincèrement, et très profondément. Et lui, elle ne le laisserait pas partir si facilement !


FIN