The Multiversity

Shiro pensait qu’il lui faudrait du temps pour s’adapter, pour trouver du plaisir dans le sexe hétéro, mais finalement il n’a fallu que quelques minutes pour que Bran lui fasse prendre son pied. Cette sodomie est brutale, puissante, et elle aboie son plaisir sans retenue. Tout son corps est en feu et elle espère en profiter aussi longtemps que possible.

« Aaahhh! Arf, arf, arf ! »

Cependant, avec un amant aussi talentueux que Bran, même une personne aussi endurante qu’elle ne peut pas espérer contenir son orgasme éternellement. Et tandis qu’elle sent que son plaisir approche du point de rupture, Mélinda pose sa caméra et vient rejoindre le lit, s’installant en face de l’infirmière et caressant son visage. Elle ne dit pas un mot, elle se contente de sourire tandis que son invitée atteint l’orgasme.

« KKKYYYAAAHHH ! »

Shiro voudrait s’effondrer après avoir joui mais Bran la retient avec sa laisse. Mélinda vient glisser son pouce contre ses lèvres et lui annonce qu’elle va désormais prendre part à la fête. D’autant qu’il faut bien punir la vilaine traînée qu’elle est pour avoir joui aussi facilement devant elle.

« Ooohhh… pardon maîtresse. »

L’infirmière répond sans trop réfléchir, encore à moitié sonnée par la sodomie de Bran. Ce dernier la relève alors d’un coup et les deux vampires la soulèvent pour l’amener hors du lit. Là elle se retrouve pris entre eux, Mélinda la pénétrant par devant et Bran par derrière. La vampire exige de sa soumise qu’elle couine pour ses maîtres, et cette dernière ne va pas se priver.

« Aaahhh ! Ooouuuiii… je suis votre chienne, maîtresse… j’adore sentir votre grosse queue en moi ! »

Et là elle se prend une claque sur le cul de la part de Bran, qui n’apprécie pas qu’elle l’ait oublié dans ses suppliques.

« Oouuhh… pardon maître Bran. Je suis une vilaine chienne… et votre bite est si bonne dans mon cul. Fessez-moi encore… aaahhh… je le mérite. »

Shiro en arrive à un stade où le plaisir lui fait tourner la tête et où elle est prête à dire et faire beaucoup de choses pourvu que ça continue. Ces vampires sont des amants d’exception et ils savent comment donner du plaisir à une femme pour qu’elle monte au septième ciel.

« Aaahhh… ooouuuiii… je suis… votre chienne. Waf… waaaf ! »

La nuit va être très longue… et chargée de plaisir et de stupre.

La belle Shiro était bien entourée. Deux vampires qui s’occupaient conjointement d’elle, il y avait de quoi être comblée ! Et comblée, elle l’était assurément ! Mélinda avait niché sa verge en elle, profondément, la prenant en sandwich avec son frère aîné, qui restait planté dans son fondement, la dominant avec force et passion. Les deux amants lui faisaient l’amour debout, remplissant son corps, la prenant longuement et puissamment. Shiro  gémissait tendrement, puis fortement, et ne tarda pas à s’insulter, se qualifiant de « chienne », et ce pour le plus grand plaisir de sa Maîtresse. Un sourire pervers sur les lèvres, Mélinda se sentait grisée par une telle vague.

« Han ouiii, ma belle petite chienne, tu es tellement heureuse ! Aboie bien fort ! »

Elle obéissait, tout en subissant aussi les assauts de Bran, qui posa ses mains fermes sur ses gros seins. Il pinça les deux tétons de Shiro, et donna des coups de reins, bandant ses muscles, la soulevant, sa verge glissant dans le fondement de l’infirmière. Le rodéo Warren était quelque chose d’assez inoubliable, sa verge glissant en elle, sans jamais se retirer totalement. Son membre remuait fortement, et il déplaça sa main, venant gifler le cul de Shiro. La belle ne touchait même plus le sol, ses jambes se serrant autour du bassin de Mélinda, sans trop déranger la sœur, qui soupirait, ses douces joues pâles prenant une magnifique teinte rouge sous l’effort.

« Je crois que tu m’as un peu oublié… Tu as deux Warren à satisfaire, petite chienne ! »

Il la mordilla dans le creux du cou, sans boire son sang, simplement pour la faire couiner. Shiro lui présenta ses excuses, tandis que les deux verges continuaient à remuer en elle. Elle présenta donc ses excuses, à sa manière, réclamant des fessées. Bran pinça plutôt ses seins, plus accessibles, tandis que Mélinda pinçait les deux fesses de Shiro, s’appuyant dessus, la baisant encore. Elle crispa ses mains sur la chair moelleuse de Shiro, et l’embrassa à son tour dans le creux du cou, aimant l’entendre aboyer. Shiro se tortillait entre eux, et la vampire continuait donc à la prendre, sa verge s’enfonçant jusqu’à la garde en elle. Elle sentait la mouille de sa partenaire, et Shiro continuait à se faire prendre. Les minutes défilaient, rapides, et Shiro contracta un orgasme. Son corps se crispa contre celui de Mélinda, qui la laissa jouir, et l’embrassa ensuite. Pour autant, les deux vampires n’en avaient pas encore fini avec elle, et ils continuèrent à la baiser, encore et encore, leurs deux verges s’enfonçant de plus en plus simultanément en elle jusqu’à la garde. Shiro semblait alors perdre sa conscience en sentant les deux épées de chair se faufiler en elle.

Mélinda tremblait nerveusement à ce contact, laissant les minutes passer en continuant à la baiser avec force, bien décidée à lui faire enchaîner les orgasmes !

Shiro aboie de plaisir tandis qu’elle se fait prendre par devant et par derrière par ses maitres vampiriques. Le rodéo Warren est des plus intenses, l’infirmière sent son corps se noyer dans la luxure sous les assauts de ses amants. S’ils ne faisaient que la pilonner avec leur chibre ce serait déjà un délice, mais en plus elle sent les mains de Bran pincer ses tétons et celles de Mélinda malaxer ses fesses. Ils savent exactement comment jouer avec son corps pour lui donner le plus de plaisir possible, mais ils ne sont pas toujours totalement tendres avec elle. Elle sent les dents de Bran appuyer dans son cou sans mordre pour autant, ce dernier lui rappelant qu’elle avait deux Warren à satisfaire.

« Aaahhh… pardon… maître Bran. N’hésitez pas à… aaahhh… me tordre les tétons… et à me défoncer le cul… pour bien me punir. »

Les minutes qui suivent ne sont pour Shiro qu’un enchaînement d’orgasmes, d’aboiements et de plaisir mêlé à de la douleur. Son corps se crispait contre celui de ses amants mais elle se sent si légère qu’elle a l’impression qu’elle pourrait s’envoler à tout moment. Les deux vampires la baisent, encore et encore, leurs deux verges s’enfonçant de plus en plus simultanément en elle jusqu’à la garde. Au bout d’un moment elle n’est même plus consciente de ce qui l’entoure, tous ses sens sont en ébullition et ne reçoivent plus que du plaisir. L’odeur des corps en sueur, le contact de la peau de ses amants sur la sienne, les couinements et les soupirs qui remplissent la chambre… Il n’y a vraiment que les Warren pour lui offrir une expérience pareille.

« OOOUUUIII ! »

Avec autant de plaisir, Shiro finit par perdre connaissance. Quand elle revient à elle, elle est allongée sur le lit en forme de cœur de la chambre, entourée par Bran d’un côté et Mélinda de l’autre.

« Hhhmmm… combien de temps j’ai dormi ? »

Son corps est encore endolori par le redoutable rodéo auquel elle vient de participer mais elle ne se sent pas très fatiguée. En fait elle a même hâte d’y retourner. Et même avec le frisson de la découverte passé, elle sait que le frère de son hôte saura comment la faire monter aux rideaux.

Est-ce que cela faisait trop pour Shiro ? Mélinda et Bran la bourraient tous les deux, et l’alchimie entre les deux vampires était très impressionnante. Ils la prenaient simultanément, et sans jamais se gêner dans leurs coups de reins. Soit l’un répondait à l’autre, soit ils s’enfonçaient tous les deux, chacun calquant ses mouvements et son rythme sur l’autre. Et, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils étaient intenses, imposant à la belle Shiro un rythme soutenu et exquis. Les deux la pénétraient donc, et Mélinda sourit en sentant les orgasmes de Shiro, rythmant ses coups de reins. Bran pinça les seins de Shiro, et partagea avec elle un baiser.

« Dix orgasmes, et tu auras droit à une pause, Shiro…
-  Tu n’es qu’une humaine, Shiro, ton corps ne peut pas résister aux désirs de ton esprit… Pas encore ! »

Que voulait dire Mélinda par là ? Le mystère restait entier, car Shiro n’était de toute manière pas en état de l’entendre.

« Elle est absorbée dans la luxure, hmmm… »

Les iris de Shiro avaient pris une teinte rose vive, tandis qu’un sourire béat se dessinait sur ses lèvres. C’était un état d’extase, une béatitude profonde et sincère. Les Japonais appelaient ça « ahegao », mais la Déesse Lust parlait plutôt d’un état de « frénésie sexuelle », quand il y avait une discordance entre l’âme et le corps sous l’effet du désir. Un état secondaire, une sorte de transe extatique où seul le plaisir comptait. Shiro ne réagissait plus que par désir. Elle était encore là, mais sans être vraiment consciente. Mélinda se pencha vers elle, et l’embrassa à nouveau. Si les lèvres de Shiro réagirent à ce baiser, si elle soupirait, ce n’était tout au plus qu’un réflexe nerveux. Une ivresse sexuelle, névralgique et intense, s’était emparée d’elle.

« Tu ferais une si belle vampire… »

Ce fut peut-être la dernière chose que le cerveau de Shion put enregistrer avant de se déconnecter. Difficile de dire si Shiro s’en rappellerait par la suite…

…Quand la douce infirmière émergea, elle était couchée dans le lit, allongée entre les deux vampires. Bran l’embrassait chaudement, et elle cligna des yeux, avant que Mélinda ne l’embrasse à son tour. Il fallut ainsi plusieurs échanges avant que l’infirmière n’arrive à parler, et demanda combien de temps elle avait dormi. Mélinda se coucha sur le flanc, et caressa avec sa main le ventre de Shiro, glissant près de son pubis, là où l’inmon se trouvait. Un joli cœur magique, une marque de luxure que Mélinda tapota du bout de l’index.

« Tu t’es reposée une petite dizaine de minutes, le temps pour nous de te nettoyer… Mais, dis-moi, comment a été cette première expérience avec un homme, Shiro ? As-tu envie de continuer ? »

Apparemment Shiro n’a dormi qu’une dizaine de minutes, et ses hôtes en ont profité pour la nettoyer. Mélinda lui demande ce qu’elle a pensé de cette première expérience avec un homme et si elle a envie de continuer.

« C’a été une belle expérience. Et j’aimerais continuer à en profiter. Mais d’abord... »

Les caresses de la vampire sur son ventre ont attiré son attention sur cette zone et elle a remarqué le tatouage en forme de cœur rose apparu sur sa peau.

« ... tu veux bien m’expliquer pourquoi ce tatouage, cet... inmon je crois... est sur mon ventre ? »

En fait elle en a déjà une petite idée. Elle a plusieurs fois reçu ce cadeau après des sessions de sexe particulièrement intenses avec Tessia ou Mélinda, et apparemment c’est un symbole de luxure procurée par une déesse quand le sexe devient très intense. Elle ne sait pas grand-chose de plus, excepté qu’elle sent que ses pouvoirs sont plus puissants quand elle porte l’inmon sur son ventre.

Après que Mélinda ait confirmé ce qu’elle pensait, Shiro se dit qu’elle peut profiter de l’occasion pour jouer un peu de sa voix magique sur ses amants vampiriques.

« Être prise en sandwich entre vous deux a été un plaisir sans précédent... mais maintenant je m’interroge : lequel de vous deux est le meilleur amant ? »

Elle se tourne vers Bran et vient caresser son érection avec sa main.

« Bran, tu es très vigoureux et tu sais comment faire plaisir à une femme. Même moi qui n’était pas emballée par les hommes avant toi, j’ai passé un délicieux moment grâce à toi. »

Puis elle se tourne vers Mélinda, caressant également sa verge érigée.

« Et toi Mélinda... tu es l’une des rares femmes à m’avoir réellement fascinée. J’aime me soumettre à toi, et c’est vraiment exceptionnel venant de ma part. Mais est-ce que tu peux tenir la cadence comme ton frère ? »

L’infirmière sait que provoquer son hôte va sûrement lui valoir un retour de bâton mais elle se sent d’humeur joueuse.

« Et puisque je suis là pour m’essayer à de nouvelles expériences, il y a une chose que j’aimerais savoir.
Il y a beaucoup d’histoires comme quoi les vampires hypnotisent leurs victimes avant de les mordre. C’est vrai ou c’est juste une légende ? »

Reprenant petit à petit ses esprits, Shiro interrogea Mélinda sur le cœur rose apparu sur son ventre. La marque était apparue tandis que Shiro se faisait énergiquement baiser par le duo. Un doux sourire orna les lèvres de Mélinda, qui caressa ce petit cœur, et s’empressa de répondre à Shiro :

« Je suis une prêtresse de Lust maintenant, Shiro… Ce signe, ce petit cœur, est sa marque. On appelle ça un inmon. C’est à la fois un signe magique et une marque de désir. Il existe plusieurs formes d’inmon, mais, pour faire simple, ce symbole intensifie ton désir et tout ce qui s’y rattache. Je ne maîtrise pas encore totalement ses effets, car ils changent d’une personne à une autre. Chez toi, qui est déjà très perverse au naturel, je suis curieuse de voir ce que cela va donner… »

Généralement, l’inmon permettait juste d’avoir une endurance sexuelle renforcée, et de désinhiber ses porteurs. Mais, avec Shiro, qui avait déjà une endurance sexuelle exceptionnelle et qui n’était pas très timide, les effets de l’inmon seraient beaucoup moins marquants. Parfois, Mélinda générait cette marque sur ses partenaires juste parce qu’elle était jolie. Rassurée quant à l’origine de cette marque, Shiro commença à répondre, et signala que, si les deux amants étaient exceptionnels, elle se demandait néanmoins qui était le meilleur partenaire, et notamment si Mélinda était plus endurante que Bran. Les sourcils de Mélinda se haussèrent brièvement, et son sourire devint plus pervers.

« Ma foi, il va peut-être falloir que je te rappelle qui est la Maîtresse, petite impertinente… » glissa-t-elle en tapotant du doigt les lèvres de Shiro.

Celle-ci la surprit alors en lui demandant si Mélinda pouvait l’hypnotiser.

« Oh… Et bien… Oui, cela fait partie de nos pouvoirs. Disons qu’il y a deux formes d’hypnose. Je peux t’envoûter en te regardant, mais l’expérience ne sera pas très amusante pour toi, car tu seras dans un état second, et, quand tu reprendras contrôle, tu ne te souviendras de rien. Il m’est aussi impossible de manipuler ton sang pour transformer ton corps en une poupée que je peux manipuler télépathiquement. »

Mélinda n’avait jamais été très douée pour manipuler ses pouvoirs vampiriques, mais, avec une femme aussi exigeante que Vanillia, elle avait appris à se perfectionner. Pour cela, elle avait besoin du sang de Shiro, et, comme elle venait récemment de la mordre, son sang s’était mélangé au sien. Elle se concentra donc en ressentant les pulsations cardiaques de l’infirmière. Après quelques instants où Mélinda avait les yeux clos, elle les rouvrit alors, et ses iris étaient cette fois-ci rouges. Ils se mirent à luire pendant quelques instants, et Shiro put alors sentir son bras gauche se lever tout seul. Une expérience déstabilisante, car elle ne contrôlait plus ce bras, qui alla caresser la joue de sa Maîtresse.

« Voilà… Tu es ma poupée, désormais… »

Mélinda sourit alors, curieuse de voir comment Shiro allait réagir à cette prise de contrôle…

Mélinda confirme à Shiro ce qu’elle pensait à propos de l’inmon mais ne semble pas réaliser que les pouvoirs de l’infirmière sont intensifiés par ce dernier. Shiro se contente donc de provoquer un peu ses amants tout en demandant à découvrir si les vampires possèdent réellement un pouvoir d’hypnose. D’après Mélinda il en existe deux formes : une où le vampire envoûte sa victime rien qu’en la regardant et une où il manipule le sang de sa victime pour la contrôler télépathiquement. Et c’est cette version que son hôte va maintenant essayer sur elle.

Shiro regarde Mélinda fermer les yeux et les rouvrir ensuite pour découvrir deux iris rouges et brillants. Elle sent alors son bras gauche se mettre à bouger et elle ne peut rien faire pour l’arrêter jusqu’à ce que sa main aille caresser la joue de sa maîtresse. Une expérience déstabilisante qui s’avère être bien moins plaisante que ce à quoi elle s’attendait. Quand la vampire la libère elle ramène sa main à elle, peut-être un peu trop vite.

« Je crois que j’aurais préféré la version état second. Voir mon corps bouger sans que je le veuille c’était… un peu bizarre. »

Peut-être qu’elle essaiera ça une autre fois, mais là elle n’en a pas envie.

« Je crois que je vais m’en tenir à des choses plus classiques pour le moment. »

A moins que son hôte n’ait d’autres idées d’expériences insolites qu’elle pourrait lui faire tenter maintenant qu’elle est au manoir.

Shiro profite de ce moment d’accalmie en sachant qu’il ne va pas durer et se dit que c’est l’occasion de discuter un peu avec Mélinda.

« Tu sais, depuis que je fréquente des êtres surnaturels comme toi et Tessia, il m’arrive de m’imaginer moi aussi en tant qu’un de ces êtres.
Parfois je m’imagine en succube ou en vampire, trônant en majesté au milieu d’un groupe de serviteurs prêts à tout pour me satisfaire. Il y a du sexe bien sûr, mais je m’amuse aussi à leur ordonner de me nourrir, de me faire boire, de me masser ou juste de faire des orgies pour me divertir. »

Sa vision n’est peut-être pas très réaliste mais elle aime s’imaginer ainsi, en être surpuissant capable de dominer les humains grâce à ses pouvoirs surnaturels.

« M’imaginer ainsi, puissante et dominatrice… hhhmmm… ça me donne toujours des frissons. »

Shiro n’était pas prête à ce genre de choses. Mélinda n’était pas surprise. L’envoûtement vampirique était très particulier, et Mélinda rechignait à le faire. Devenir enfermé dans son propre corps, c’était quelque chose de très dérangeant. Elle redonna donc à Shiro son contrôle, et resta couchée à côté d’elle, sur le flanc. Une main lui servait d’appui pour sa tête, et l’autre caressait machinalement le ventre de Shiro, remontant de son inmon à la peau sous ses seins, ne les pressant pas encore. Bran s’était allongé de l’autre côté également, son sexe en érection caressant la cuisse de Shiro. L’infirmière reprenait ses esprits, et indiqua alors que, depuis qu’elle avait rencontré Mélinda et Tessia, elle souhaitait, elle aussi, devenir une créature surnaturelle. Mélinda sourit doucement. Sa main remonta du ventre de Shiro pour caresser son visage, et son pouce se glissa sur ses lèvres.

« Et bien… Pendant longtemps, j’ai refusé de créer d’autres vampires, car nous sommes stériles. Devenir vampire, c’était donc perdre la possibilité pour toi de donner la vie, ce que je trouve terrible. »

Tout en disant cela, elle caressa le ventre de Shiro, ses doigts se crispant sur sa peau. Mélinda poursuivit ensuite :

« Mais, depuis mon mariage avec Vanillia, mon sang a été modifié avec le sien. C’est un phénomène rarissime, que je peine à expliquer. Nous partageons le même sang, mais nous disposons aussi de pouvoirs télépathiques très accrus. Je n’ai qu’à fermer les yeux pour savoir où se trouve ma femme, pour pouvoir voir à travers ses yeux, et même m’emparer de son corps. Elle aussi peut le faire, tout comme lire mes pensées. On ne peut rien se cacher l’une pour l’autre. Enfin, ce que je veux te dire, c’est que cette fusion sanguine a débloqué de nouvelles capacités chez nous. Et, avec l’aide de la Déesse Lust, notre sang a été encore amélioré, et béni… Modifié pour ne plus détruire tout liquide sexuel inséré en nous. »

Mélinda lui sourit encore, et l’embrassa sur les lèvres.

« Autrement dit, je peux tomber enceinte, et plus rien ne s’oppose désormais à ce que je fasse le don du sang à des personnes comme toi, Shiro. »

La vampire se tut pendant quelques secondes.

« Rien ne presse, Shiro, mais je te confirme que je peux faire de toi une vampire… Tu partageras mon sang et mes pouvoirs. Tu pourras dominer toutes les personnes qui vivent ici ou d’autres… Ou te faire soumettre, selon tes envies.
-  Le choix t’appartient, Shiro. Sache juste que ma sœur ne fait pas cette offre à la légère, et que, si elle l’a fait, c’est qu’elle pense que tu mérites de faire partie des nôtres. »

Shiro, une vampire ? L’idée n’était pas inintéressante selon Mélinda, mais, comme Bran l’avait signalé, le choix définitif appartenait à l’infirmière…

Shiro n’a jamais été du genre sceptique mais elle n’aurait jamais cru en l’existence des vampires et des succubes si elle n’en avait pas vu de ses propres yeux. Et maintenant qu’elle sait que de telles créatures existent, il lui arrive parfois de fantasmer sur l’idée d’en être une. Elle avait même cru que ce fantasme deviendrait réalité lors de son union avec Tessia puisqu’elle lui avait parlé d’un rituel qui lui aurait permis d’atteindre la démonification. Mais maintenant Tessia n’est plus là et c’est Mélinda qui semble vouloir réaliser le fantasme de Shiro.

Elle lui explique que pendant longtemps elle a refusé de créer d’autres vampires car ce sont des créatures stériles, mais depuis son mariage son sang a été modifié et lui a donné de nouveaux pouvoirs, notamment de pouvoir communiquer par la pensée avec sa femme. Et avec l’aide de la déesse Lust il a encore pu être amélioré pour résoudre ce problème de stérilité et ainsi lui permettre de tomber enceinte, et par la même occasion de partager ce don à d’autres personnes. Elle précise aussitôt à son invitée qu’elle est prête à lui offrir ce cadeau et Bran ajoute que ce n’est pas une proposition qu’elle fait à la légère.

« C’est très tentant en effet. Mais comme tu l’as dit il n’y a pas d’urgence. Je garde ça dans un coin de ma tête. »

Une telle décision ne peut pas être prise à la légère. Ne plus être humaine, s’élever au-dessus du commun des mortels… Et d’autant plus qu’elle en finirait avec la mort, une notion qu’elle a toujours intégrée comme étant nécessaire et faisant partie de la vie de part sa profession médicale, même si elle n’a perdu aucun patient jusqu’à maintenant.

« Mais si un jour j’accepte, ne t’étonne pas si je me fais un harem dans ton harem. »

Chaque fois qu’elle s’imagine en vampire ou en succube, Shiro se voit entourée d’un harem d’esclaves humains répondant à ses moindres désirs, qu’il s’agisse de sexe ou simplement de lui apporter à manger. L’important c’est qu’elle est au centre de l’attention et qu’on lui obéit au doigt et à l’œil.

« Et est-ce que tu as déjà offert ce cadeau à quelqu’un d’autre ? Peut-être que si je pouvais parler à un humain devenu vampire ça m’aiderait à mieux appréhender la chose. Parce que pour l’instant c’est vraiment de l’ordre du fantasme. »

Ce n’était pas un geste à prendre à la légère, en effet. Une fois transformée en vampire, Shiro ne pourrait pas revenir en arrière. Ceci étant dit, Mélinda sentait déjà que ce choix était fait. Shiro avait juste besoin de l’admettre. Elle avait initialement voulu devenir une succube par l’intermédiaire de Tessia, mais celle-ci était partie. Être un rôle de secours ne déplaisait pas à Mélinda, qui profitait juste de l’occasion. Elle caressa encore le ventre de Shiro quand l’infirmière lui indiqua que, si elle devenait une vampire, elle voulait son harem. Cette requête amena un tendre sourire sur les lèvres der Mélinda, qui embrassa brièvement Shiro sur les lèvres.

« Cela me semble tout à fait légitime, ma chérie. »

Shiro souhaitait consulter des personnes ayant été transformées en vampire. Mélinda n’avait pas beaucoup d’options sous la main, mais elle disposait tout de même de quelqu’un.

« Va me chercher Akira, Bran. »

L’homme acquiesça, et embrassa une dernière fois Shiro avant de se relever. Il sortit, et Mélinda alla se lover un peu plus contre Shiro, l’embrassant une nouvelle fois. Mélinda se pressa contre elle, remuant son bassin, sa verge se frottant sur la peau de Shiro. Un nouveau baiser eut donc lieu, plus long que les précédents, Mélinda posant sa main sur les cheveux de l’infirmière. Shiro n’avait qu’à répondre à ce baiser, retrouvant sans doute avec plaisir les lèvres et le corps anguleux de sa Maîtresse. Ce n’était pas la musculature de Bran, mais une douceur innée couplée à un corps aux formes paradisiaques. Mélinda se redressa ensuite, après un baiser qui dura plus d’une minute.

« Akira est ma fille, la première humaine que j’ai transformé en vampire. Elle me haïssait au début, car elle vient d’un clan qui traque les vampires. Mais, je te rassure, nous nous sommes réconciliées. »

Un peu plus tard, la porte s’ouvrit, et Akira Warren fit son entrée. Belle et sensuelle, elle portait une robe chinoise noire largement fendue.

« Bonsoir, Maman. Bran m’a dit que tu me cherchais.
-  Bonsoir, ma chérie. Je te présente mon amie Shiro. Je t’ai déjà parlé d’elle. »

Akira regarda l’infirmière, puis se rapprocha, et, comme le voulait la tradition, s’allongea contre Shiro, et la salua en l’embrassant.

« Maman m’a parlé de toi, Shiro, même si je n’ai pas encore eu l’occasion de te rencontrer… Jusqu’à présent. Que puis-je pour toi, ma jolie ? »

Quand Shiro a demandé à pouvoir parler à un humain devenu vampire, elle ne s’attendait pas à le faire tout de suite. Mais voilà que Mélinda demande à son frère d’aller chercher une certaine Akira. Après une minute à embrasser l’infirmière elle lui explique qu’il s’agit de sa fille, la première personne qu’elle a transformée en vampire. Et malgré des débuts de relation compliqués elles sont aujourd’hui très proches.

« Parfait. C’est exactement le genre de personne à qui je pourrais parler de ça. »

Akira arrive dans la chambre après quelques minutes et, même si elle n’a pas été portée et enfantée par Mélinda, Shiro trouve que son charme est tout aussi bon que celui de sa mère. Une silhouette fine et élancée, une démarche sensuelle, des courbes généreuses… peut-être que la prochaine fois elle ira dans son lit à elle plutôt que dans celui de sa mère. En plus il y a une tradition au manoir qui veut qu’on se salue en s’embrassant, alors l’infirmière ne se prive pas.

« Bonjour Akira, j’espère que Bran ne t’a pas interrompue au milieu de quelque chose. Ne t’en fais pas ça ne sera pas long.
Mélinda m’a dit que tu avais été la première personne qu’elle ait transformé en vampire. Elle m’a dit que tu avais mal vécu cette expérience au début mais que maintenant les choses vont mieux. Ce que je voudrais savoir c’est comment tu as vécu ce changement à partir du moment où tu l’as accepté. Comment tu t’es sentie en réalisant que tu n’étais plus humaine ? Est-ce que tu t’es sentie plus forte, plus puissante, supérieure ? Ou est-ce qu’au contraire tu t’es mise à regrette celle que tu étais avant ? »

Leurs cas ne sont pas vraiment comparables vu que Shiro veut devenir une vampire de son plein gré là où Akira n’a pas eu le choix, mais elle a quand même vécu la transition d’humaine à vampire donc elle pourra sûrement lui donner quelques infos.

« Pour t’expliquer, j’envisage de devenir une vampire et j’aurais aimé avoir l’avis d’une personne qui a vécu cette transformation pour peut-être voir des choses dont je ne m’aperçois pas encore. Tu seras d’accord avec moi que ce n’est pas une décision à prendre à la légère alors je veux avoir toutes les infos possibles. »

L’infirmière se rapproche un peu d’Akira, sa main caressant sa cuisse.

« Et pour te remercier de ton temps, on pourrait faire plus ample connaissance. Si tu tiens de ta mère je sens qu’on va bien s’entendre. »

Akira s’allongea sur le lit, se lovant contre Shiro. Mélinda, quant à elle, choisit pour l’heure de les laisser seules toutes les deux, et s’assit donc en face. Bran, qui était revenu, lui offrit une coupe de sang, et elle but doucement dedans. Jambes croisées, elle écouta Shiro poser une longue question, tout en dévorant Akira des yeux. Ce désir, Mélinda avait pu le noter dans ses yeux quand elle avait vu Akira. Ayant passé beaucoup de temps avec Tessia, Shiro n’était pas revenue au manoir aussi souvent qu’elle aurait pu le faire, de sorte qu’il y avait beaucoup de personnes qu’elle n’avait pas encore eu l’occasion de voir. Akira en faisait partie. La belle sentit la main de Shiro se glisser sur sa cuisse, et elle la laissa parler, avant de sourire, et de l’embrasser, quand Shiro lui fit remarquer qu’elles allaient sûrement bien s’entendre.

« À vrai dire, je ne suis pas sûre que mon cas personnel puisse beaucoup te motiver. Comme Maman te l’a dit, ma transformation en vampire fut assez particulière. »

C’était là le moins qu’on puisse dire ! Shiro voulait naturellement en savoir plus. Akira se racla la gorge, et se frotta un peu contre Shiro, venant l’embrasser à nouveau.

« Humaine, j’appartenais à un clan de chasseurs de vampires… J’avais infiltré le lycée Jinmu pour traquer les vampires qui s’y installaient. Mère m’a capturé à temps, et…
-  Je l’ai violé. Nous nous sommes affrontées, et je l’ai grièvement blessé. J’aurai pu la laisser mourir, mais j’ai décidé de la soigner, et la seule solution était d’en faire une vampire. »

Une ambiance assurément bien différente de celle avec Shiro. Akira se redressa ensuite, s’installant à califourchon sur le corps de l’infirmière, et elle joignit chacune de ses mains avec celles de l’infirmière.

« J’ai envisagé de me suicider au début, mais Mère m’en a empêché. Petit à petit, on a sympathisé… Mais je caressais encore l’idée de la tuer. J’ai fini par contacter mon père, et j’étais convaincue que Mère ne m’aimait pas vraiment. Cependant, quand on père a vu ce que j’étais devenue, il a tenté de me tuer. Maman… Elle s’est interposée. Elle a été transpercée par l’épée de mon père, et c’est moi qui ai dû la sauver. C’est comme ça que j’ai pris connaissance que je l’aimais, et que j’ai accepté ma condition. »

Comme elle l’avait indiqué, l’histoire était effectivement bien moins joyeuse et sensuelle que celle de Shiro.

« Alors, pour te répondre, vivre vampire n’est pas désagréable. Je ne tombe jamais malade, je peux aussi dormir plus facilement en régulant mon rythme cardiaque, ou lutter contre la fatigue. Il me suffit pour ça de boire un peu de sang. Mais ne va pas te faire d’illusions, je ne suis pas immortelle. Mes capacités naturelles sont toutefois renforcées, et j’apprends chaque jour à les perfectionner. Enfin, j’apprends aussi à Mère à les utiliser… Elle n’est pas aussi studieuse que moi. »

Mélinda éternua légèrement, comme pour rappeler à sa fille qu’il fallait bien lui parler ! Akira caressa les deux joues de Shiro, et l’embrassa à nouveau, s’allongeant contre elle.

« Mère a toujours refusé de multiplier les vampires en raison de notre incapacité à procréer… Mais, maintenant que la Déesse Lust a levé cette malédiction, j’ai très hâte d’avoir une petite-sœur…La seule question que tu dois vraiment te poser, ma belle, c’est si tu as envie de faire partie de notre famille… »

L’histoire d’Akira est bien plus sombre que ce à quoi Shiro s’attendait : c’était une chasseuse de vampires qui avait infiltré le lycée Jimmu pour y trouver des vampires mais Mélinda avait fini par la trouver. Elles s’étaient battues, la vampire l’avait violée et grièvement blessée et n’avait eu d’autre choix que de la changer en vampire pour lui sauver la vie. Evidemment Akira en a voulu à mort à Mélinda pendant longtemps et a tenté à plusieurs reprises de s’enfuir ou de trouver un moyen de se venger. Mais ensuite, quand le père d’Akira a tenté de tuer cette dernière, Mélinda s’est interposée pour lui sauver la vie et c’est comme ça qu’elles se sont rendues compte qu’elles s’aimaient l’une l’autre.

« Ouah… effectivement ce n’est pas un très bon départ pour une relation. Mais je suis contente que vous ayez fini par vous entendre. »

Aujourd’hui Akira apprécie sa vie de vampire, elle ne tombe jamais malade et peut contrôler sa fatigue grâce au sang, et elle ne semble pas avoir encore exploré toutes les possibilités que lui offre sa nature vampirique. Mais finalement, la seule question que Shiro doit vraiment se poser est de savoir si elle a envie de faire partie de cette famille vampirique.

« Je crois que j’en ai envie… mais je n’en suis pas encore sûre. Je pense que je vais encore y réfléchir. En tout cas merci de m’avoir racontée ton histoire, même si nos cas sont très différents. »

Akira n’a pas eu le choix et Shiro se demande encore si elle en a envie… Néanmoins elle est contente d’avoir pu discuter avec quelqu’un qui a vécu la transition d’une espèce à l’autre.

« Maintenant… laisse-moi te remercier comme il se doit. »

L’infirmière est déjà allongée sur le lit avec la jeune vampire au-dessus d’elle et elle en appelle à ses pouvoirs pour la charmer.

« La question c’est… comment puis-je te remercier ? »

Akira n’a encore jamais été exposée à cette voix magique, Shiro est curieuse de voir comment elle va réagir.

Toutes les histoires au manoir de Mélinda ne commençaient pas par un rêve joyeux et agréable. Akira en était une bonne illustration, mais, à bien y réfléchir, son histoire s’était bien terminée. Un conte de fées, celui qui commence mal et qui finit bien. Akira n’avait pas rencontré le Prince charmant, mais une vampire charmante, et elles avaient pu se réconcilier. Les deux vivaient désormais une histoire heureuse, vampirique, et incestueuse. Akira était sa fille, et Mélinda la regardait toujours avec amour. Un désir sincère.

Shiro commençait à basculer, mais elle indiqua avoir besoin de réfléchir avant d’accepter de se transformer. Mélinda l’acceptait. C’était un choix décisif, sur lequel on ne revenait pas. Après sa déception amoureuse avec Tessia, Shiro était prudente. Néanmoins, l’issue semblait inéluctable. Comment refuser une telle offre ? Faire partie de la famille Warren, c’était non seulement un grand honneur, mais aussi la promesse d’une vie riche et plaisante.

Akira sourit donc. Assise à califourchon sur le corps de l’infirmière, elle croisa son regard, et frémit en sentant son sang remuer dans ses veines. Shiro usait de son pouvoir sur elle, de ce magnétisme qui lui permettait de coucher plus facilement avec les quelques lycéens ahuris qui n’auraient pas été subjugués par sa généreuse poitrine. Akira frémit donc, remuant lentement des doigts. Elle souleva sa main, et caressa la joue de Shiro, avant d’enfoncer son pouce entre ses lèvres, non sans légèrement griffer au passage la lèvre supérieure de l’infirmière.

« Hum… Je crois que tu as une idée, non ? Je sens ton pouvoir sur moi, tu sais… Tu as sans doute dû le remarquer, mais je ne porte rien sous ma robe… »

Elle déplaça son autre main, et alla pincer l’un des seins de Shiro. Ce fut au tour d’Akira de réagir, ses yeux passant au rose. Sous sa robe, un inmon venait de se former, et Shiro put sentir ses seins enfler, ses tétons durcissant, devenant légèrement douloureux. Et, quand Akira pelota encore l’un de ses seins, elle gloussa en voyant un jet de lait fuser de l’un de ses tétons. Akira se nettoya les doigts.

« Je maîtrise bien plus aisément la magie que ma mère, tu sais… Quand Maman a rejoint le culte de Lust, je l’ai suivi. J’ai passé plusieurs années au royaume de Lust, même si seulement quelques semaines se sont écoulées ici. Et j’adore boire le lait de mes partenaires… Je me demande si le tien sera meilleur que celui de ma mère. En tout cas, il y a de la quantité, vu la taille de tes seins… »

Joignant le geste à la parole, Akira se pencha vers Shiro, et commença à suçoter ses seins, mordillant un téton, avant d’aspirer le lait de la jeune femme, se demandant si la dose de plaisir qui allait monter en elle à ce moment la pousserait jusqu’à l’orgasme… Qu’elle se rassure, car Akira n’était pas insensible à son regard envoûtant, qui contribuait à l’exciter davantage !

Apparemment le pouvoir de Shiro prend bien sur Akira. Ce qu’elle ne sait pas en revanche, c’est que l’inmon a amplifié ses pouvoirs : ce n’est plus seulement sa voix qui charme ses partenaires mais aussi son regard. La jeune vampire lui glisse son pouce dans la bouche et lui griffe légèrement la joue tout en lui annonçant qu’elle ne porte rien sous sa robe.

J’avais cru l’apercevoir… merci de me le confirmer.

Quand Akira enlève son pouce de sa bouche, Shiro peut voir ses yeux virer au rose et juste après elle sent ses seins enfler et devenir légèrement douloureux. Et là, la jeune vampire vient presser son téton entre ses doigts et un jet de lait en gicle.

« Aahh ! »

Apparemment elle est plus douée en magie rose que sa mère et elle adore boire le lait de ses partenaires. Joignant le geste à la parole elle commence à suçoter les seins de l’infirmière, avalant son lait gorgée après gorgée.

« Ooohhh… ooouuuiii… »

Shiro se doutait bien qu’elle prendrait son pied à se faire téter mais elle est surprise de voir à quel point elle trouve ça bon. Quelque chose rend l’expérience encore meilleure mais il lui faut un petit moment pour comprendre de quoi il s’agit : son inmon réagit avec celui d’Akira. Elle n’a pas beaucoup d’expérience avec la magie mais elle peut sentir que les deux tatouages réagissent l’un avec l’autre, ils amplifient les sensations de leurs porteuses et bien sûr leur plaisir. Avec ça, même une simple tétée devient une expérience retentissante.

« Hhhmmm… tète plus fort Akira… aspire tout mon lait. »

Mais ce n’est pas encore assez pour Shiro. Par gourmandise elle se tourne vers Mélinda et la capte aussi bien avec son regard qu’avec sa voix.

« Viens Mélinda… aaahhh… j’ai un autre sein qui ne demande… qu’à être vidé. »

Deux belles vampires accrochées à sa poitrine, que peut-elle demander de mieux ?

Akira était effectivement très douée en magie. Mélinda apprenait sur le tard, ce qui expliquait son retard. Akira, elle, avait appris dès l’enfance les bases de la magie. Certes, son père ne lui avait pas vraiment appris la magie rose, mais Akira était une élève douée, qui avait su convertir sa magie pour apprendre cette nouvelle discipline. Désormais, elle l’utilisait beaucoup, surtout depuis son séjour à Lusst’ghaa. Mélinda la vit donc jouer avec la grosse poitrine de Shiro, et, comme l’infirmière avait de base des seins assez volumineux, la quantité de lait stockée était d’autant plus importante. Elle l’était d’autant plus que l’organisme de Shiro, sous l’effet du désir, produisait des quantités supplémentaires de lait, remplissant ainsi à chaque fois les généreux seins de Shiro de ce doux liquide sucré. L’infirmière constata combien le plaisir était là lorsque Akira se mit à téter. Un lait délicieux, succulent, qu’elle avala avec envie, et qui ne donna qu’une seule envie à Shiro : qu’on continue ainsi à la traire !

« Hmmm… »

Shiro signala alors à Mélinda qu’elle avait un sein libre. La vampire gloussa doucement, mais ne se fit pas attendre davantage.

« Je dois admettre que ma gorge est assez desséchée, ma chère Shiro… »

Mélinda se rapprocha donc, et grimpa sur le lit à son tour. Elle se lova contre l’autre flanc de l’infirmière, caressa brièvement les cheveux de sa fille, puis déplaça sa main, afin de la glisser entre les cuisses de Shiro. Elle la masturba avec deux doigts, tout en enroulant ses lèvres autour de son joli téton gonflé. Le téton était aussi durci, et, quand elle y apposa ses lèvres, et commença à le suçoter, le lait fusa abondamment. Mélinda écarquilla les yeux. Shiro avait le tirage d’une Ushi ! Des seins, Mélinda en avait tétés énormément. Souvent, le lait partait délicatement, et ce n’était que sur les Ushis qu’il y avait d’épaisses profusions de lait. Mélinda avala donc avec appétit, soupirant sur place. Des frissons traversèrent tout son corps, et elle sentit alors les doigts d’Akira s’entremêler avec les siens.

« Mmmhmm…
-  Mmmh… »

Elles gémissaient doucement, produisant un magnifique concert de soupirs, tandis que leurs doigts jouaient dans la chatte de Shiro, la masturbant frénétiquement et intensivement, pinçant son clitoris, pressant régulièrement son bouton d’amour… Car, après tout, l’orgasme de Shiro allait magnifier la divine qualité de ce lait riche !

Shiro aime beaucoup la sensation de se faire téter, sentir ses seins se tendre jusqu’à devenir douloureux puis sentir la pression s’évacuer à mesure que des lèvres gourmandes aspirent son téton pour en tirer tout le bon lait qui y coule. Et là elle a la chance de pouvoir le faire avec deux belles vampires gourmandes à plus d’un titre et qui savent très bien comment lui faire plaisir. En plus Mélinda ne se contente pas de la téter, elle la masturbe aussi en jouant habilement de ses doigts entre ses cuisses.

« Hhhmmm… »

Les soupirs de l’infirmière viennent se mêler à ceux de ses amantes, produisant une délicieuse ode au plaisir dans la chambre, plutôt silencieuse au début mais de plus en plus bruyante à mesure que la vampire intensifie ses assauts digitaux sur sa donneuse de lait, pinçant son clitoris avec vigueur.

« Aaahhh… oui mes belles, prenez tout mon lait… faites sortir cette pression de ma poitrine… et entre mes jambes. »

Shiro savoure pleinement cette expérience, prenant du plaisir aussi bien des stimuli directs sur sa vulve que de la joie qu’elle ressent à se faire aspirer son lait. Et à mesure que son plaisir augmente son inmon s’illumine doucement. Elle sent que quelque chose remue en elle, quelque chose d’autre que son excitation, et elle sent aussi que ce quelque chose est nourri par l’approche de son orgasme. Loin d’être rebutée par ce sentiment elle en savoure chaque seconde, se délecte de chaque pulsion de plaisir en elle, de chaque frisson qui la parcoure quand le lait coule hors de sa poitrine, de chaque agitation des doigts de Mélinda sur son entrejambe… Et finalement elle se délecte du plaisir final quand elle atteint l’orgasme.

« AAAHHH ! Ooouuuiii ! »

Le lait gicle autant que la mouille, Shiro prend bien son pied mais c’est une fois qu’elle sort du tourbillon de plaisir causé par l’orgasme qu’elle sent quelque chose de différent chez elle. Elle comprend que cela vient de l’inmon à la façon dont elle le sent pulser contre sa peau, et dès qu’elle se concentre un peu dessus son pouvoir se révèle naturellement à elle. Elle détache les deux vampires de ses mamelles et se concentre ensuite sur Mélinda.

« Mélinda… je veux que… non… je t’ordonne de t’asseoir sur le visage de ta fille et de la laisser te dévorer la chatte. Je continuerai à te nourrir pendant ce temps. »

Puis elle se tourne vers Akira.

« Et toi Akira, je t’ordonne de t’allonger sur le lit et de faire un cunni à ta mère jusqu’à ce qu’elle t’arrose le visage avec sa mouille. Fais ça bien et il y aura encore du lait pour toi. »

D’habitude la voix de Shiro lui permet seulement d’attiser le désir de ceux qui l’entendent. Mais là, grâce à l’inmon, elle sent qu’elle peut aussi lui permettre d’affirmer son autorité.

Mélinda et Akira étaient gourmandes. Telle mère, telle fille, aurait-on pu dire. Et Shiro était généreuse. Avec une telle poitrine, il fallait s'attendre à ce que ses glandes mammaires puissent sécréter une importante quantité de lait, et Mélinda n'était pas déçue. Shiro était venue ici suite à sa déception amoureuse pour céder au plaisir charnel masculin, mais, finalement, elle avait fait bien d'autres découvertes en venant dans ce manoir. Elle se confrontait désormais frontalement à la magie rose, et le résultat était des plus réussis. Une vraie beauté ! Mélinda était gourmande, peut-être un peu trop, et, tandis que les deux vampires la tétaient, Shiro put sentir des bosses se former contre ses jambes. Les deux vampires venaient de déployer leurs verges, de jolis membres dressés qui durcirent rapidement, comme si ce lait aphrodisiaque les stimulait fortement.

« Hmmm... »

Elles la caressaient intimement dans la foulée, et on pouvait sentir leur dextérité. Les doigts de Mélinda jouaient avec ceux d'Akira, glissant sensuellement dans le sexe de leur partenaire. Elles pinçaient son clitoris à deux, ou alors, l'une écartait les parois intimes de Shiro pour que l'autre y accède. La belle infirmière était conquise, subjuguée, et le désir qui explosait en elle se mélangeait à tout le reste. Grâce à ses battements sanguins, Mélinda anticipait le moment de l'orgasme, elle s'en délectait à l'avance. Mélinda la fit jouer, et elles continuèrent ce rythme jusqu’à ce que Shiro ne finisse par jouir. Elle jouit par son sexe, mais aussi par ses seins, déversant d'épaisses quantités de lait. Mélinda en fut même surprise, ne s'attendant pas à une réaction aussi énergique. Shiro se crispa contre elles, et, quand Mélinda se redressa, elle était très excitée. Cela était aussi le cas d'Akira, mais, chez Shiro, son inmon se mit à briller. Sa marque se réveillait, et, quand elle se mit à parler de sa voix mélodieuse, Mélinda frémit. Elle sentit l'envoûtement de cette voix, et, si elle aurait pu y résister (elle était après tout une Haute-Prêtresse de la Luxure), son état d'excitation faisait qu'elle ne pouvait, ni ne voulait, lutter.

Mélinda se déplaça donc, et Akira de même.

« Oui, Shiro... »

Elle se mit au-dessus de la tête d'Akira, et s'assit sur elle, avant de se pencher en avant. Akira écarta les jambes, et la main de Mélinda attrapa sa verge durcie, l'orientant dans sa bouche, puis commença à la sucer. Akira fit naturellement de même, et posa ensuite ses mains sur les fesses de Mélinda, les griffant doucement, les malaxant avec envie. Un spectacle irrésistible pour Shiro, qui voyait la mère et sa fille se sucer mutuellement avec passion et tendresse.

Comme pour ajouter à la chose, Bran se rapprocha alors, et posa ses mains sur les épaules de la délicieuse infirmière :

« Je suis sûr que tu peux t'équiper, toi aussi. Utilise cette magie qui bouillonne en toi... »

Devant Shiro, les mains d'Akira libéraient l'accès à la croupe de Mélinda en écartant ses fesses l'une de l'autre, formant un appel irrésistible...

Shiro se faisait une joie de voir Mélinda se faire brouter le minou par Akira, mais l’excitation a été tellement grande que les deux femmes se sont retrouvées membrées. Peu importe l’ordre de l’infirmière a tout de même été accepté et Mélinda allonge Akira sur le lit avant de s’assoir sur elle et de se pencher en avant pour sucer sa verge durcie tandis qu’elle enfonce la sienne dans la bouche de sa fille, cette dernière s’amusant à malaxer avec envie le cul de sa mère.

« Hhhmmm… ce n’est pas vraiment ce que j’ai demandé mais… c’est très bien aussi. »

Shiro se régale à regarder la mère et sa fille se sucer mutuellement avec passion et tendresse, mais en plus Bran vient vers elle et pose ses mains sur ses épaules en lui disant qu’elle peut utiliser cette magie qui bouillonne en elle pour se membrer comme les deux autres. Et comme pour l’appâter Akira s’amuse à écarter les fesses de Mélinda, dégageant un bel accès vers son fondement pour une sodomie.

« Aaahhh… je peux me membrer… moi aussi ? »

Jusqu’à présent l’infirmière a eu besoin de friandises ou de la magie de quelqu’un d’autre pour se changer en futa, mais après avoir entendu Bran elle sent effectivement que son inmon lui a donné ce pouvoir. Et le mieux c’est qu’elle ne se pose même pas de questions sur la façon de faire, elle comprend d’instinct comment invoquer cette magie, comme elle l’a fait en donnant ses ordres aux vampires.

« Très bien… allons-y. »

Shiro ferme les yeux et se concentre sur la chaleur qui rayonne au creux de ses reins. Son inmon se met à briller et elle sent une nouvelle forme d’excitation bouillir entre ses cuisses, comme un orgasme qui approche. Elle se concentre sur cette sensation et la laisse l’envahir, de plus en plus… jusqu’à ce qu’elle explose en elle.

« Aaahhh ! »

Une magnifique verge émerge entre ses jambes, accompagnée d’une paire de testicules remplis de foutre qu’elle est prête à faire jaillir.

« Très bien… je vais enculer Mélinda. Vous deux… continuez de vous sucer. Et toi Bran… ne reste pas là à ne rien faire. »

La jeune femme se met une claque sur le cul pour attirer l’attention du vampire sur ce dernier.

« Moi aussi j’ai besoin… de sentir une grosse bite joufflue en moi. »

Shiro guide sa queue vers l’accès à la croupe de Mélinda dégagé par Akira. Son nouveau chibre est déjà bien humidifié par ses fluides vaginaux, pas besoin de lubrifier davantage. Et puis ce n’est pas comme si la vampire n’avait pas l’habitude des sodomies à sec. Elle s’enfonce donc progressivement dans ce délicieux cul jusqu’à avoir son bassin contre les fesses de son amante.

« Ooohhh… oh bon sang… je vais tellement prendre mon pied à t’enculer… ma petite salope. »

Oui, Shiro se sent inspirée par ce soudain élan sexuel.

Avec les Warren, il fallait bien s’attendre à ce que ça dégénère ! Et quel merveilleux spectacle, après tout, que celui d’une mère faisant sensuellement l’amour à sa fille… Certes, Shiro ne leur avait pas dit de sortir leurs verges, mais Mélinda ne serait pas une Warren si elle se contentait de suivre ce qu’on lui ordonnait, après tout. Et, même si Shiro le leur reprocha, son emballement cardiaque ne faisait aucun doute. Son inmon brillait, la stimulant, et Bran se risqua donc à lui proposer d’utiliser un sort de magie rose. Elle n’avait jamais pratiqué cette magie… Du moins, consciemment. Car, après tout, son pouvoir d’envoûtement était finalement très similaire à ce que la magie autorisait à faire. Comme Monsieur Jourdain, Shiro allait découvrir qu’elle faisait de la magie sans le savoir. L’infirmière se concentra donc, et Bran, près d’elle, lui donna quelques conseils, tout en massant ses épaules.

« Regarde-les, ces deux salopes… Regarde comme elles se sucent, repense à la sensation que tu avais en te faisant pénétrer, en buvant du sperme, en en recevant plein le corps… Tu n’as qu’à le visualiser, et le désirer fort. »

Le désir… Avec la magie rose, tout tournait nécessairement autour du désir. Shiro commença donc à se concentrer, et Bran sentit avec plaisir le sang se concentrer entre les cuisses de l’infirmière. Sa propre verge se durcit en caressant les fesses de Shiro, s’enfonçant contre l’une d’entre elles, remontant doucement et sensuellement sur sa peau. Shiro était entre les mains des Warren, et c’était bien le clan qui déciderait quand ils en auraient fini avec elle. Pour l’heure, Shiro ne cessait de découvrir de nouvelles choses, et elle allait encore franchir un cap… La main de Bran se glissa contre son sexe, et il la masturba, cherchant son clitoris, le titillant. Cet organe était la base de la transformation, car un clitoris, après tout, était un organe qui durcissait comme une verge. Il sentit le corps de Shiro se cambrer quand ses doigts pincèrent cette zone. Son autre main malaxa l’une de ses fesses, et Shiro poussa un ultime cri avant d’expulser la main de Bran, libérant une belle verge qui se redressa furieusement en tapant contre son ventre.

Mélinda sentit tout cela, et elle soupira, gémissant sur la verge de sa fille. Shiro soupirait lentement, et son regard avait changé, se durcissant naturellement sous le poids de cette verge. Ekke se rapprocha de Mélinda, palpa ses fesses, mais, avant de la pénétrer, donna un ordre à Bran. Le vampire, passablement excité par toute cette scène, sourit doucement à son tour, et hocha la tête.

« Alors, je vais te prendre comme tu le mérites, ma chère Shiro… »

Mélinda sentit la verge de Shiro glisser contre ses fesses. Elle aurait pu relever la tête pour gémir, mais, quand la verge de Shiro s’enfonça d’un coup sec dans son fondement, Akira posa ses deux mains sur sa tête, et appuya fort, l’empêchant de se retirer.

« Hmmmm… !! »

Shiro allait pouvoir constater que le fondement de la vampire se dilatait plutôt bien, signe qu’elle avait déjà été prise par là. Bran laissa Shiro la prendre pendant un certain temps, juste pour qu’elle puisse prendre son pied, puis il se rapprocha à son tour. Bran embrassa Shiro dans le creux du cou, puis l’amena à tourner la tête. Il l’embrassa sur les lèvres à son tour, tout en enfonçant sa verge dans ses fesses, la sodomisant à son tour…