The Multiversity

Alice était l’une des rares personnes à savoir que Lust était la réincarnation moderne de la Déesse Ishtar… Qui fut jadis une Déesse extrêmement puissante, dans les civilisations antiques. Une divinité présente sur Terre, sur Terra, et même en Enfer, où elle avait plusieurs cultes. Elle avait porté bien des noms, et Lust semblait être le nom qu’elle avait pris par provocation face au développement de l’Ordre Divin. On l’avait aussi appelé Inanna, Déesse sumérienne, ou encore Eshtar. Lust était une divinité ancienne, préexistant avant l’Olympe. Sur ce point, Alice ignorait aussi qu’elle était également Aphrodite. Mais, en tout cas, elle connaissait son pouvoir, et c’était visiblement grâce à ce pouvoir qu’elle avait pu concevoir ce plan astral, ce « paradis lustien ». Ici, le sexe gardait toute sa saveur, sans réels inconvénients. On ne pouvait pas s’épuiser trop longuement, et la satiété était atteinte, mais avec une envie toujours supplémentaire de faire l’amour. Dans ce plan astral, obéissant à ses propres règles, tous les fantasmes étaient possibles.

La jeune Princesse pompait ainsi le délicieux dard de Shykarka, tandis que le palais se remplissait régulièrement. Difficile de trouver une seule salle où il n’y avait pas de couples s’envoyant longuement en l’air. Le Grand Hall était le cœur de tout cela, et Alice gémissait longuement. La verge de Shykarka, ce membre veineux et exquis, était toujours aussi bonne, et elle la suçait longuement, enfonçant sa bouche dessus, jusqu’à sentir la queue de Shyklarka s’enfoncer lentement et puissamment dans sa verge. Sur ses cuisses, Ayano se régalait, embrassant longuement la dragonne. La Déesse draconique ne savait plus où donner de la tête. Devait-elle accepter la présence de Lust sur son archipel ?

« Hmmm… »

Shykarka tenait bon, mais finit par jouir, sa main se crispant sur ses cheveux. Elle s’abandonna copieusement dans sa bouche, et Alice gémit longuement, savourant cette belle verge, ce foutre qui gicla joyeusement en elle. Elle l’avala donc, et Shykarka indiqua qu’Alice avait tenu cinq minutes. Elle sourit donc, et les rôles s’inversèrent. Ayano finit entre les genoux de Shykarka, et lécha tendrement ce membre, déposant plusieurs baisers dessus, avalant les dépôts de foutre.

« Vous savez, Déesse Shykarka, il y a des gens ici qui ne ressortent plus jamais… »

Alice l’embrassa tendrement.

« Mais votre rôle ne se joue pas ici. Vous avez un archipel à mener, un peuple à commander et à chérir… »

Un nouveau baiser, plus prononcé, et elle palpa les seins de Shykarka, se frottant contre elle, gémissant tout doucement. Ayano, de son côté, sentait la virilité de Shykarka durcir encore en elle.

Toutefois, près des jeunes femmes, Alice entendit des soupirs qu’elle reconnaissait, et tourna la tête. Près d’elle, il y avait une jeune fille qu’elle voyait souvent chez Mélinda, une fille avec qui elle avait fait l’amour chez Mélinda, et même dans le lycée… C’était l’une des filles de Lust, Sluty. Une jeune femme à la peau basanée, avec de longs cheveux violets, qui aimait conserver l’apparence d’une belle adolescente, et qui était au milieu de plusieurs hommes nus occupés à la besogner. Alice l’observa brièvement, se rappelant très bien comment elle l’avait rencontré.

Elle avait vite compris que Sluty n’était pas comme les autres, car, tout en se rendant chez Mélinda, elle n’était pas son esclave, ni considérée comme tel. Sluty avait ensuite ressenti chez elle la trace de Lust, et elles avaient fait l’amour. Sluty était terriblement perverse, se prostituant auprès des élèves de Jinmu, et prenant un vif plaisir à avoir des relations incestueuses avec ses clients. Les regards d’Alice n’échappèrent pas à Shykarka, qui lui sourit doucement, et l’embrassa dans le creux du cou, tandis que Sluty, une queue dans le cul, pompait une verge.

« C’est Sluty… Hmmm… Je pensais qu’elle était une simple amie, mais… J’ai appris ensuite que c’était l’une des filles de Lust. Laisse-moi te dire que ses filles ont hérité de toute sa perversion et de toute son endurance. »

C’était particulièrement notable pour Sluty, qui avait après tout choisi précisément pour ça de conserver une apparence jeune…

Le monde de Lust était tellement plaisant, Shykarka aurait été prête à y rester pour toujours. Mais comme Alice le lui rappela, elle avait des choses à faire ailleurs. Pour l’instant, elle devait juste profiter du plaisir qui lui était offert dans cette dimension fabuleuse. Ayano lui faisait une fellation d’experte pendant qu’Alice jouait avec sa poitrine, se frottant contre elle.

« Hhhmmm... ooouuuiii... continuez comme ça les filles... aaahhh... c’est parfait. »

Alice attira ensuite l’attention de Shykarka sur une jeune fille à la peau bronzée qui se faisait sauvagement enculer par un mec pendant qu’elle en pompait un autre. C’était Sluty, l’une des filles de Lust. Et comme sa mère, elle avait une incroyable perversion doublée d’un énorme appétit sexuel. La dragonne se sentait bander plus fort rien qu’en la regardant se faire baiser par des mâles en rut bien excités.

« Hhhmmm... »

Elle se tourna ensuite de nouveau vers Alice et l’embrassa goulument tout en caressant la tête d’Ayano avec l’une de ses mains. Elle sentait la chaleur monter rapidement en elle, de même que son envie de sexe. Et plus elle se faisait sucer, plus elle était assoiffée.

« Aaahhh... Ayano... aagghh... pompe-moi plus fort. Alice... ooohhh... caresse bien mes seins... et tire sur mes tétons... ooouuuiii ! »

La dragonne monta rapidement dans les tours, et toutes ces attaques délicieuses sur son corps la firent jouir. Un flot de crème gluante jaillit de sa queue directement dans la bouche d’Ayano, qui l’avala complètement. Après cet orgasme des plus plaisants, la déesse libéra la magicienne et la fit grimper à son tour sur ses genoux.

« Ah les filles... vous êtes vraiment... les petites traînées parfaites... pour que je m’amuse... dans ce monde. »

Shykarka leur offrit à chacune un baiser torride et des caresses plus que sensuelles sur leurs poitrines rebondies et leurs petites fesses bien potelées. Très vite, elle se sentit à nouveau bien excitée et était prête à rendre son verdict.

« Alors... hhhmmm... la plus rapide à me faire jouir... a été... Alice ! C’est donc elle... que je vais sauter... hhhmmm... en premier. Mais ne t’inquiète pas Ayano... ooohhh... je m’occuperai de toi... juste après. »

Elle leur mit une claque sur le cul à chacune, plus une à la princesse pour qu’elle se déplace.

« Allez petite chienne... à quatre pattes... maintenant ! »

Une fois bien installée, Shykarka posa ses mains sur les hanches d’Alice et les serra fermement pour avoir une bonne prise. Elle guida ensuite sa queue vers son antre humide affamée de bite et la pénétra sèchement.

« Aaahhh... ggghhh ! »

Logée profondément dans le corps de la princesse, la dragonne commença à la sauter avec énergie, bien décidée à lui faire crier son plaisir jusqu’à ce qu’elle soit à bout de forces.

C’était du sexe intensif. Très virulent. Alice adorait ça, tout simplement. Elle était petit à petit en train de disparaître, de n’être plus une Princesse, mais très clairement une prostituée nymphomane, une femme en manque de sexe, une femme qui se lovait contre le corps massif et puissant de Shykarka. Ne lui épargnant rien, la Déesse draconique lui demanda de s’attaquer à ses seins en les mordillant, ce qu’Alice s’empressa de faire. Elle remuait sur place, frottant ses fesses contre la tête d’Ayano, et pompait avec appétit les seins de Shykarka. Elle tirait dessus, coinçant ses tétons entre ses dents, continuant à agir ainsi, se frottant longuement à elle.

Shykarka finit par jouir, et les deux femmes se retrouvèrent assises sur ses genoux. Que ce soit Alice ou Ayano, elles étaient encore toutes les deux très chaudes, très en manque, leur désir amplifié par les phéromones ambiantes. Alice embrassa Shykarka, puis ce fut ensuite au tour d’Ayano, les deux femmes se frottant contre Shykarka. Sa verge restait toujours aussi tendue, et, après quelques instants, elle annonça que la gagnante était… Alice ! Celle-ci rougit doucement en se mordillant les lèvres, et obéit à sa Maîtresse.

« Tout de suite, Maîtresse ! »

Alice se mit donc à quatre pattes, en position de levrette, et sentit les solides mains de Shykarka sur ses fesses. Elle appuya dessus, et la pénétra brusquement, brutalement. Alice en hurla sur place, crachant de la salive qui tomba sur le sol, et se pinça les lèvres. Ses doigts se crispèrent sur le sol, et elle sentit Shykarka s’enfoncer en elle, remuant énergiquement. Son corps se souleva avec elle, et elle laissa Shykarka agir, gémissant une nouvelle fois.

« Maî-Maîtresse, hmmm… Ooooh, Maîtresse… »

Qu’est-ce que c’était bon ! Sentir cette grosse verge remuer en elle, sentir ce membre épais lui défoncer le cul, c’était tout simplement exquis. Le corps d’Alice en frémissait de partout, et elle mouillait sur cette belle verge. Ayano, de son côté, se retrouvait donc seule… Quand une main la saisit. Elle se retrouva alors devant Sluty, et, en quelques instants, sur le corps d’un homme, qui enfonça sa verge dans son cul. Ayano gémit, avant que Sluty ne vienne l’embrasser.

« Bonjour, les filles, hmmm… Quand Mère m’a indiqué qu’une Déesse était ici en compagnie de la Princesse de Sylvandell, hmmm…
-  Je sens de l’énergie divine… Hmmm… En vous… Vous êtes là depuis… Combien de temps ? »

Sluty gloussa doucement.

« Cela doit faire deux mois… À quelques jours près, haaann… Je viens ici pour me ressourcer, hmmm… Il y a tant de pervers qui choisissent d’offrir leur âme à Lust, c’est… C’est exquis, haaaannn… »

Indéniablement, Shykarka était encore loin de pouvoir sortir d’ici…

Shykarka se régalait en baisant Alice. La princesse était si bonne, si accueillante, c’était un délice de la prendre. La dragonne sentait son corps humain frémir de partout et sa chatte mouiller abondamment en recevant la grosse bite de la déesse.

« Hhhmmm... putain... ooouuuiii ! »

Shykarka était si absorbée par son coït avec Alice qu’elle ne remarqua pas l’arrivée de Sluty, qui prit Ayano avec elle pour l’offrir à un homme en rut désireux de se farcir un bon petit cul. Elle ne voyait que la princesse, sa belle et perverse princesse, qui couinait comme une truie en réclamant toujours plus de plaisir. La dragonne se mit à fesser son joli derrière tout en la bourrant, désireuse de la faire crier aussi fort que possible.

« Allez... crie, ma petite pute. Crie... aaahhh... pour ta maîtresse ! »

La déesse se sentait investie d’une énergie incroyable, elle avait l’impression de pouvoir faire l’amour pendant des jours sans jamais se fatiguer. Plus elle restait dans ce monde, plus son envie de rentrer devenait faible. Elle voulait rester ici et s’offrir pleinement à la luxure. Tantôt en donnant du plaisir aux femmes en les sautant, tantôt en se laissant baiser par les hommes et les monstres tentaculaires. Cette dimension abritait de quoi la faire jouir pour toute l’éternité, et elle était de plus en plus tentée de s’abandonner complètement à Lust pour pouvoir rester auprès d’elle.

« Ooohhh... ooouuuiii... que c’est bon... »

Le sexe et la magie rose faisaient trembler le corps de Shykarka, qui remplissait et fessait Alice avec bonheur et se délectait de ses cris de plaisir. Quand elle sentit la princesse jouir une première fois, la mouille qui gicla sur son sexe et son bassin ne fit que l’exciter encore plus. Elle allongea son buste contre son dos, écrasant sa poitrine contre sa peau douce, et elle redoubla de forces pour aller taper bien profondément dans son col de l’utérus.

« Aaahhh... crie plus fort... petite salope ! »

Même après avoir elle-même joui et rempli l’intérieur de la princesse avec son sperme, elle continua de la baiser avec force, sa queue baignant dans un mélange de leurs fluides intimes. Ses mains laissèrent ses fesses tranquilles pour aller empoigner ses seins, les malaxant avec énergie.

« Aaahhh... si je presse... assez fort... ooohhh... est-ce que le lait... va gicler ? »

A cet instant, la magie rose combinée au pouvoir de Shykarka répondit à sa voix et passa de ses paumes de main aux seins d’Alice. En un éclair, sa poitrine se remplit à ras-bord d’un délicieux lait, et ses tétons s’érigèrent à leur maximum avant que le lait ne commence à gicler. La dragonne sentit le liquide couler entre ses doigts et se mordit la lèvre supérieure.

« Ooouuuiii... une belle petite vache... avec de grosses mamelles... pleines de lait. Aaahhh... ça m’excite ! »

Boostée par la magie rose, la déesse continua de culbuter son amante sans retenue, savourant aussi bien sa chatte humide que sa poitrine ronde et pleine de lait. Et une fois qu’elle lui aurait fait sa fête, elle irait s’intéresser à Ayano, et peut-être à Sluty.

Alice était littéralement possédée par Shykarka. La dragonne divine semblait redoubler d’intensité, retrouvant une nouvelle fougue, une nouvelle énergie. Dans le Monde Érotique de Lust, on passait généralement plus, bien plus, de temps à se faire baiser que l’inverse. Mais même Alice ne pouvait plus s’occuper d’elle, désormais. Dans son dos, Shykarka la baisait avec fureur, et la dragonne semblait gagner en puissance, en masse musculaire, comme si ses gènes draconique,s sous l’effet de ce haut degré de perversion, ressortaient. Alice se dandinait sur place, parvenant juste à se maintenir à quatre pattes. Sa salive coulait parfois de ses lèvres, et elle sentit Shykarka s’abattre lourdement dans son dos.

« Hnnn… Hmmmmmmmmm… !! »

Alice en ferma les yeux, sentant deux larmes rouler le long de ses joues. Des larmes de douleur, oui, mais aussi d’un plaisir immense et jouissif. Ici, dans ce monde, le viol n’existait pas. La magie rose était omniprésente, omnipotente, et vous emportait. Elle libérait toutes vos pulsions les plus sauvages, et n’importe qui faisait l’amour avec d’autres. C’était, en un sens, un véritable « paradis » dans le culte de Lust, car on y menait une vie heureuse et comblée. Alice releva sa main et s’agrippa à la nuque de Shykarka, ce qui lui permit de se redresser aussi, plutôt que de s’écraser sur le sol. Heureusement que la Princesse était inexpérimentée ! Autrement, elle se serait effondrée sous le poids de Shykarka.

Gémissant longuement, elle offrait à Shykarka tout ce que celle-ci voulait en matière de plaisirs oraux.

« Haaaannn… Maî-MAÎTRESSE, HAAAANNN… !! »

Ses seins gonflèrent alors, tandis que Shykarka les palpait. Alice gémit à nouveau, et sentit des sortes de frissons à hauteur de ses mamelons. Elle couina à nouveau, se pinçant les lèvres. Sa poitrine gonfla, et ses seins se chargèrent de lait. Elle gémit quand Shykarka les pressa, faisant couler du lait. Elle avait déjà senti Shykarka jouir en elle lors de ce rut. Elle-même mouillait comme une folle, et estimait assurément avoir déjà joui une fois pendant ce coït, si ce n’est deux… Mais, imperturbable, Shykarka continuait encore, n’épargnant rien à Alice. Elle la besogna encore plus fortement.

Les coups de reins de Shykarka étaient terribles, donnant l’impression à Alice de mettre ses reins à rude épreuve. Elle gémit à nouveau, se pinçant les lèvres, continuant à se tortiller sur place. Elle haletait, l’esprit brisé, peinant à réfléchir consciemment. Difficile de voir Ayano, en train de s’empaler sur un homme, et d’embrasser Sluty à pleine bouche, elle aussi empalée sur un autre homme, chacune dans le cul. Alice mouillait sur son corps, tant avec sa cyprine qu’avec son lait, qui suintait de ses seins. Shykarka lui écrasait les seins avec vigueur, et tout son corps rougissait. La marque de Lust brillait fièrement sur son ventre, et elle eut un nouvel orgasme, s’abandonnant avec délice au plaisir suprême.

« Maî-Maîtresse, haaaa… Ouuuiii, baisez votre chienne, haaaannn… Hnnnnnnnn… !! »

Plus le temps passait, et plus elle savourait ça, sa salive fuitant également de ses lèvres, au fur et à mesure que le plaisir explosait en elle…

La magie rose qui gagnait Shykarka était vraiment incroyable. Elle la rendait plus forte, plus endurante, plus audacieuse. Elle avait déjà joui une fois dans le corps d’Alice, mais elle en voulait plus. Elle prenait son pied à culbuter la princesse, la tenant fermement contre elle avec ses mains empoignant ses seins, les pressant pour faire couler le lait, pendant que sa verge puissante allait et venait dans sa chatte trempée.

« Aaahhh... putain, ooouuuiii ! »

Le corps de son amante rougissait, et la marque de Lust brillait sur son ventre. Elle jouit à nouveau, mais la dragonne continua de la pilonner. Pas question qu’elle arrête avant d’être sûre que la princesse ne pourrait pas en encaisser plus. Elle frémissait à chaque seconde en sentant ses doigts mouillés par le lait qui coulait de ses seins gonflés, ou quand sa queue s’agitait dans l’antre de l’humaine en baignant dans un mélange de sperme et de mouille. C’était le pied intégral.

« Hhhmmm... oui Alice... tu es ma chienne... et... aagghh... je veux t’entendre... aboyer. »

Le plaisir explosait dans le corps de Shykarka, elle pénétrait Alice sans relâche, caressant et pressant toutes les zones sensibles de son corps. Elle se sentait tellement puissante, tellement excitée, elle avait l’impression qu’elle pourrait faire l’amour à la princesse pendant une journée entière sans se fatiguer le moins du monde. En revanche, elle n’était pas sûre que la demoiselle tiendrait aussi longtemps malgré la magie rose. Après tout, elle restait une simple humaine.

« Aaahhh... ooouuuiii... »

La dragonne continua de sauter joyeusement son amante pendant de longues minutes. Elle pilonnait sa chatte, faisait gicler le lait de ses seins, fessait son joli petit cul, et de temps en temps, mordait la peau de son cou. Impossible de dire pendant combien de temps elle se fit plaisir avec la princesse, mais en tout cas, elle en savoura chaque instant. Et finalement, après avoir joui une énième fois dans son corps, elle décida de la relâcher. L’humaine s’écroula sur le sol, de la bave coulant de sa bouche, sa chatte débordant de sperme et de mouille.

« Ooohhh... je sais que... tu pourrais encore... tenir longtemps... petite salope. Mais... hhhmmm... je dois aussi... m’occuper... d’Ayano. »

Shykarka laissa Alice récupérer des forces et se remettre les idées en place, et elle se tourna en direction d’Ayano. Cette dernière se faisait bien plaisir avec Slutty, la rondelle empalée sur la bite d’un homme, roulant des pelles à la fille de Lust. La déesse, tout excitée par la vue, s’invita au milieu de leur rodéo et présenta sa queue tendue au niveau de leurs visages.

« Salut les filles. Hhhmmm... vous permettez... que je me joigne... à votre fête ? »

Alice était en train de se faire défoncer dans tous les sens. Comme transformée, Shykarka avait pris possession de son corps, et la maltraitait sans hésitation. Elle se redressa lentement, emmenant Alice avec elle, et agrippa ses hanches. Elle la baisa ainsi en étant debout, Alice rebondissant contre elle, et surtout contre sa puissante virilité. Sa queue s’enfonçait joyeusement dans sa chatte, transportant Alice aux nues. Rien ne semblait devoir arrêter la puissante Shykarka, qui griffa les cuisses d’Alice, enfonçant encore sa trique dans le con de la Princesse. La tête blonde se mit à hurler encore, sentant son corps contracter un nouvel orgasme. Ses parois intimes se refermèrent sur le membre de Shykarka, et elle s’abandonna encore au plaisir. Sa mouille coula le long de ses cuisses, et Shykarka continua encore.

« Haaaaannnn… »

Elle sentit la main de Shykarka se serer sur ses cheveux, et, tandis qu’elle retournait à quatre pattes, Shykarka tira sur ses cheveux. La douleur la fit hurler de plaisir, ses doigts se crispèrent sur le sol. Son corps se redressa, de la salive coula de ses lèvres, et Shykarka fila en arrière, puis repartit brusquement en avant. En sentant la verge de Shykarka heurter son col de l’utérus, Alice hurla encore. Elle vit sa salive sur le sol, sa sueur qui coulait de tout son corps. Shykarka se pencha à nouveau, écrasant Alice entre son corps et ses bras. Elle pinça le sein de la Princesse, lui arrachant de nouveaux soupirs.

Shykarka continuait à la prendre avec énergie, gloussant furieusement dans son dos. Alice gémit à nouveau, et la sentit finalement jouir à nouveau. Un long et puissant orgasme, qui la laissa pantoise. Elle s’effondra sur le sol, sentant le sperme s’écouler doucement de ses cuisses. Shykarka semblait ravie de cette situation, et la puissante Déesse se rapprocha ensuite du petit attroupement devant elles.

Pendant que la Déesse draconique pénétrait rudement Alice, Ayano était en train de sympathiser intimement avec Sluty. Elles dansaient sur le corps d’amants endurcis et entraînés, sentant leurs verges coulisser profondément dans leur fondement respectif. Chacune s’embrassait langoureusement, et Shykarka se rapprocha alors, présentant sa belle verge trempée, recouverte d’un savant mélange de sperme et de mouille.

« C’est… Haaaa… Vous êtes l’invitée de ma mère, hum ? La Déesse Shykarka, haaaa… »

Ayano couinait longuement aussi, tandis que Sluty renifla et lécha la belle queue de Shykarka.

« Une belle queue divine, hmmm… Si puissante, si forte… »

Elle s’en pinça les lèvres avec appétit, et commença à lécher tendrement ce membre, dardant son délicieux regard sensuel vers la Déesse…

Après en avoir fini avec Alice, Shykarka était encore bien excitée, et elle alla rejoindre Ayano et Sluty pour jouer avec elles. La fille de Lust la salua et commença à renifler sa queue. Elle pouvait sentir la puissance qui se dégageait du corps de la dragonne, et cela la mettait en appétit. Elle se fit un plaisir de lécher son membre tendu, couvert d’un mélange de sperme et de mouille, échangeant des regards coquins avec la déesse.

« Hhhmmm... ta langue est... aahh... très plaisante... Sluty. »

Vu qu’elle était la fille de Lust, Sluty avait sûrement plus d’un tour dans son sac. Shykarka la laissait lécher sa virilité, mais en restant quand même sur ses gardes. Si elle avait ne serait-ce que la moitié de la puissance de sa mère, elle pourrait lui donner un orgasme si puissant qu’elle retomberait à nouveau sous l’emprise de la marque. Mais elle ne bridait pas son plaisir pour autant, et savourait pleinement le moindre coup de langue de la demoiselle sur son vit. Elle avait un certain talent, et la dragonne soupirait de joie tandis qu’elle se faisait nettoyer.

« Ooouuuiii... c’est vraiment... très bon. »

Shykarka se laissa lécher pendant de longues et délicieuses minutes, puis Sluty s’éloigna de sa queue. Cependant, la déesse avait été bien excitée par les léchouilles de la demoiselle, et pas question de la laisser tranquille maintenant. Elle attrapa sa tête avec ses deux mains et colla son gland veineux et gonflé contre ses lèvres.

« Ouvre la bouche... ma jolie suceuse. »

La déesse ne lui laissa de toute façon pas le choix. Elle enfonça sa verge tendue entre ses lèvres et elle commença à imposer son rythme en allant et venant dans sa bouche. Sans trop de surprise, Sluty l’accueillit sans trop s’agiter, et la dragonne sentit sa langue s’agiter contre son mandrin. Non seulement elle la suçait, mais en plus elle le faisait diablement bien. Rien d’étonnant de la part d’une fille de Lust.

« Aaahhh... ouais... ça c’est une bonne pipe ! »

Au contact d’une enfant de la déesse locale, la magie rose se réveilla dans le corps de Shykarka, et sa verge prit peu à peu du volume jusqu’à occuper complètement la place dans la bouche de Sluty. La dragonne se sentit de plus en plus chaude, et elle se mit à prendre la demoiselle en gorge profonde, savourant la sensation chaude de son sexe bien logé en elle et les bruits humides qu’elle faisait.

« Ooohhh... quelle merveille ! Aaahhh... encore !!! »

En voyant le talent dont faisait preuve Sluty, Shykarka commença à se demander ce que ce serait de coucher avec sa mère. Elle avait entendu dire qu’un coït avec Lust pouvait faire perdre la raison à certains, et vu qu’elle était tombée sous son emprise juste en baisant avec l’une de ses créatures, elle ne s’imaginait pas pouvoir faire l’amour avec elle et en ressortir indemne. Elle ne craignait pas d’être blessée, juste d’être marquée à vie par cette expérience, et de ne plus pouvoir vivre de la même façon après ça. Peut-être qu’en couchant avec la fille, elle pourrait se faire une bonne idée de ce que c’était que de baiser la mère.

« Hhhmmm... oui... ça vient... AAAHHH ! »

Très vite, la délicieuse bouche de Sluty mena Shykarka à la jouissance, et elle sentit sa semence jaillir de sa queue avec plaisir. Elle resta en place le temps d’être sûre que son amante avait bien tout avalé, puis elle se retira.

« Aahh... c’était parfait. Maintenant... »

La dragonne se tourna vers Ayano, qui prenait son pied en se faisant enculer.

« A ton tour... petite salope. Approche... hhhmmm... et nettoie mon sexe. »

Alors que la magicienne commençait son œuvre, la déesse sentit quelqu’un se plaquer dans son dos et agripper ses seins.

« Que... »

Elle se tourna et vit un bel homme à la peau bronzée qui lui souriait. Elle sentait ses muscles forts contre sa peau, et ses mains malaxaient sa poitrine avec une prise ferme. En plus, son corps était agréablement chaud, c’était comme serrer un chat contre soi.

« Aahh... »

Dans un premier temps, elle fut tentée de le repousser, mais elle se dit ensuite qu’elle aimait bien l’avoir contre lui. Elle décida de le laisser faire pour l’instant, elle aviserait ensuite.

Alice reprenait lentement ses esprits, couchée sur le sol. Elle réussit à se retourner paresseusement au bout de plusieurs minutes. Une partie de son visage était dissimulé derrière ses longues mèches de cheveux, collés à sa joue du fait de sa sueur. Elle soupira encore, les yeux dans le vague. Puis Alice se redressa alors… Et vit Shykarka en train de se faire pomper par Sluty. Nue, la Princesse sursauta soudain quand on lui jeta quelque chose sur le corps. Deux hommes venaient d’arriver devant elle, souriant malicieusement. Ils avaient chacun un torse glabre, et de belles verges se dressant fièrement. Surprise, Alice constata qu’il s’agissait… De sa robe chinoise dorée et noire ! Cette robe que Mélinda avait fait broder pour elle lors de son mariage !

« Mais… Comment ?
-  Rien n’échappe à la Déesse Lust, surtout venant de l’une de ses favorites…
-  Enfilez cette robe, Princesse, et nous vous baiserons dedans… »

Alice rougit lentement. Sa robe chinoise lui allait très bien, et, devant elle, l’un des hommes tenait dans sa main un double gode doré, les godes étant reliés par une chaîne brillante en or. Alice rougit donc tout en enfilant les gants, tout en se relevant un peu. Elle releva brièvement la tête vers la sphère centrale, se disant que la Déesse devait continuer à les observer… Et ne remarqua même pas la marque de Lust, qui se mit à briller autour du nombril de la Princesse.

De son côté, Shykarka sombrait peu à peu. La bouche de Sluty avait quelque chose de magique, et Shykarka soupirait longuement, Sluty multipliant les gorges profondes. La fille de Lust semblait avoir une passion innée pour le sexe oral, ce qui n’échappait nullement à Ayano. La petite-sœur de Sakura avait été récupérée par les forces de Sylvandell alors qu’elle était utilisée comme esclave sexuelle dans un harem. Mais il avait été impossible de la sevrer de tout ce qu’elle avait vécu. Ayano était devenue une magicienne, mais avait eu l’occasion, par la suite, d’assouvir ses penchants sexuels. Ici, elle était heureuse, dans ce qui ressemblait à un Paradis du sexe.

« Hmmmm… !! »

Sluty gémit de plaisir en sentant le sperme divin et puissant de Shykarka jaillir en elle. Shykarka se rapprocha ensuite d’Ayano, qui commença à lécher son sexe, avalant les traînées de foutre. Sluty, elle, frissonnait sur place, le sperme filant en elle, comme une dose d’énergie furieuse. Ayano léchait ce membre avec appétit quand un homme se rapprocha de Shykarka, et se logea dans son dos. La dragonne sursauta doucement, sentant une main ferme palper son sein.

« Là… Déesse Shykarka… »

Un autre homme se rapprocha, également très bien monté, musclé, et embrassa Shykarka sur les lèvres. Leurs verges en érection se frottaient contre sa peau. Celui-ci avait la peau claire, et une barbe blonde le faisant ressembler à un guerrier scandinave, sorte de puissant Viking, là où l’homme à la peau bronzée ressemblait plutôt à l’un de ses solides soldats papuans subissant d’intenses formations militaires.

« Nous faisons partie des concubins et des esclaves personnels de Lust… »

La marque de Lust brillait sur leur abdomen.

« Nous avons renié nos propres Dieux pour servir Lust à notre mort… Une invitée comme vous se doit d’être traitée avec les honneurs dus à son rang… »

Ils lui montrèrent Alice. Celle-ci était pour l’heure à quatre pattes, avec le double vibromasseur doré enfoncé dans sa chatte et dans ses fesses. Une laisse était reliée à un collier autour de son cou. Le plaisir suintait sur son visage, ses délicieux cris traversant l’air, tandis qu’elle se mettait à lécher une queue devant elle.

Le Viking guida Shykarka par la main, l’approchant d’une alcôve.

« Venez, la Déesse Lust tient à vous présenter une créature tout à fait particulière… »

Les deux hommes l’amenèrent ainsi auprès d’une scène étrange, bestiale. Deux sœurs incestueuses étaient en train de s’offrir à un dragon rouge, qui avait une verge disproportionnée.

« Le Monde Érotique de Lust contient toutes sortes de fantasmes, et une serre géante où nous élevons des animaux pour nous adonner aux plus intenses plaisirs. Parmi ceux-ci, nous avons quelques dragons. J’ai cru comprendre que vous étiez vous-même une Déesse draconique. »

Mais que comptait-elle faire de ce dragon ? L’utiliser pour elle-même… Ou lui donner des ordres ?

Shykarka avait été surprise par l’arrivée soudaine de l’homme collé dans son dos, mais il était plutôt doué de ses mains, alors elle le laissait agir. Ensuite, un autre homme arriva, un homme à la peau claire et à la barbe blonde, qui embrassa la déesse. Elle fut surprise une fois de plus, mais cet homme-là aussi était doué, alors elle laissa couler. Ces deux hommes lui expliquèrent ensuite qu’ils étaient des concubins personnels de Lust, ce qui expliquait en partie leur talent. Apparemment, leur maîtresse voulait offrir à son invitée un traitement privilégié, tout comme Alice. La princesse avait repris des forces, et elle profitait maintenant d’une belle verge lui étant offerte tandis qu’elle était tenue en laisse et qu’un double gode en or s’agitait dans sa chatte et dans son cul.

« Ouh... ce genre de traitement... m’a l’air intéressant. »

Le viking guida Shykarka jusqu’à une alcôve, où elle eut le plaisir de se retrouver face à deux sœurs s’ébattant joyeusement avec un dragon rouge diablement bien monté. Pendant que l’une se faisait sodomiser, l’autre regardait et se caressait avec joie devant le spectacle, allongée contre des coussins. On lui expliqua que ce dragon faisait partie des animaux élevés par Lust pour satisfaire les fantasmes de ses fidèles. Et à présent, elle pouvait faire de ce trio ce qu’elle voulait.

« Ce que je veux ? »

Il ne lui fallut pas longtemps pour décider. Shykarka se dirigea vers la sœur qui ne faisait rien et se coucha sur elle.

« Salut toi. Tu n’en a pas marre de regarder sans rien faire ? »

Elle frotta sa verge tendue contre l’intérieur de sa cuisse.

« J’ai envie de me soulager, et tu m’as l’air parfaite pour ça. »

La déesse embrassa la courtisane à pleine bouche et se pressa contre elle, caressant sa poitrine avec la sienne, une main dans ses cheveux et l’autre caressant ses hanches. Son corps était doux et bien potelé, il y avait fort à parier qu’elle allait être un très bon coup. Quand elle sépara ses lèvres des siennes, elle laissa de la salive couler sur sa poitrine.

« Hhhmmm... allez, à quatre pattes ma belle. »

Shykarka mit la jeune femme dans la même position que sa sœur, face au dragon, pour que chacun puisse profiter de la vue de l’autre en train de prendre son pied. La déesse dirigea ensuite sa queue vers l’anus de son amante pour la prendre de la même façon que le faisait le dragon avec l’autre demoiselle. Elle enfonça progressivement sa verge dans sa rondelle, sentant ses parois rectales la serrer délicieusement. Une fois bien logée en elle, elle commença à bouger.

« Aaahhh... couine bien fort... petite cochonne. »

Et pendant qu’elle s’amusait avec la courtisane, elle essaya d’engager une conversation avec le dragon en face d’elle.

« Salut mon beau. Aaahhh... comment ça va ? »

Fiona & Brianna étaient deux femmes très particulières ici. Elles venaient toutes deux de la France médiévale, sur Terre. Brianna était la sœur aînée de Fiona. Elle était jadis en couple avec un jeune prélat de l’Église, et, alors qu’elle lui faisait une fellation, le couple avait été surpris par le supérieur du jeune moine. Brianna avait fini attaché, et, tandis que le père supérieur corrigeait son disciple, des Vikings menés par le courageux Eirik avaient assiégé le monastère. En découvrant Brianna, Eirik l’avait violé, et ils avaient fait l’amour copieusement, avant que Brianna ne soit emmenée avec lui dans ses terres natales. Là, elle avait découvert les joies du stupre, jusqu’à retrouver sa jeune sœur, Fiona, qui avait été emmenée par l’homme à qui Brianna devait initialement se marier, un seigneur. Celui-ci, en apprenant que les Vikings avaient capturé sa promise, avaient mené une expédition pour la ramener. Cependant, le baron ne comptait pas épouser Biranna par amour, mais voulait la sacrifier, avec sa sœur, à un démon. Il était assisté d’une sorcière, une sorcière qui lui avait indiqué que Brianna et Fiona étaient deux perverses, et que leur sacrifice ferait de lui un homme fort et puissant. Finalement, l’expédition du baron avait échoué, et Brianna avait retrouvé sa sœur.

Depuis lors, Brianna & Fiona étaient inséparables, et, à leur mort, avaient rejoint le culte de Lust. Le fait est qu’Eirik avait été un seigneur viking très particulier, car, s’il menait des raids, sa priorité était de ramener de belles femmes qu’il emmenait dans une sorte de temple païen jadis voué à la Déesse Ishtar, et maintenant à la Déesse Lust. Brianna & Fiona avaient donc juré de servir la Déesse Lust, et les hommes qui entouraient Shykarka en ce moment n’étaient autre qu’Eirik et ses fidèles. Nu, Eirik était d’ailleurs à proximité, tenant Alice par une laisse. La Princesse blonde venait lécher sa queue, glissant sa langue dessus.

Shykarka, quant à elle, se rapprocha de Brianna, qui sourit en la voyant.

« J’ai entendu parler de vous, Déesse Shykarka… Vous êtes une hôte de marque, et sentir votre bite dans mon cul… Cette seule idée suffit à m’émoustiller… »

Voir sa sœur se faire prendre par Runghild, le puissant dragon rouge, était également exquis. Shykarka l’amena devant sa sœur, et s’empressa de s’enfoncer en elle. Brianna poussa un hurlement de plaisir en sentant l’épais mandrin de Shykarka dans sa rondelle. Elle se pinça les lèvres, et gémit encore, crispant ses doigts sur le tapis de sol, un épais tapis de fourrure destiné à protéger ses genoux. Devant elle, Fiona gémissait longuement, et leurs visages se heurtèrent l’un contre l’autre. Elles s’embrassèrent même, tout en couinant. Shykarka gardait sa forme humaine, et, quand elle s’adressa à Runghild, le dragon grogna, soufflant sur place.

« Rrrrr… Humaines bonnes… Moi heureux ici… Déesse… »

Même si Runghild n’était pas de Rosteria, il semblait ressentir en Shykarka une sorte d’empreinte divine, de force supérieure… Une force exquise et très excitante, grisante et jouissive…

Même si Shykarka n’était pas à 100% un dragon, et qu’elle visitait le monde de Lust sous une forme humaine, le dragon rouge qui lui faisait face semblait percevoir son aura divine. Et de la même façon, elle sentait la puissance primaire qui se dégageait de lui, une force qui lui donnait envie. Ou peut-être était-ce juste à cause de la demoiselle qu’elle baisait avec allégresse.

« Aaahhh... ton cul est des plus... ooohhh... appétissants. »

Brianna encourageait Shykarka à la démonter en y allant bien fort, que son cul lui était offert et qu’elle pouvait se faire plaisir. La dragonne se mit à lui donner des fessées en même temps qu’elle allait et venait dans son fondement, et elle se délectait autant de la baise qu’on lui offrait que du spectacle de Fiona se faisant tout aussi bien sauter par le dragon rouge. Les deux sœurs étaient vraiment sexy ensembles, à s’embrasser et à se complimenter sur leur dépravation respective.

Ces sœurs sont une belle trouvaille pour Lust.

La dragonne fit longuement l’amour avec Brianna avant de jouir dans son cul, jutant une bonne dose de semence à l’intérieur. Mais cela ne lui suffisait pas, l’influence de la magie rose du monde de Lust lui donnait sans cesse envie de faire l’amour, et ces sœurs étaient de très jolies femmes, alors pourquoi se priver ? Aussitôt son éjaculation finie, elle sortit sa queue de son fondement et l’enfonça dans sa chatte. Elle était déjà trempée et la cyprine dégoulinait, alors elle n’eut aucun mal à aller profondément en elle.

« Aaahhh ! Ooouuuiii... ça aussi, ça va me plaire ! »

La chatte de la femme était chaude et accueillante, et Shykarka prenait son pied à la culbuter. Et ce n’était pas seulement un plaisir physique, Brianna l’encourageait et lançait des obscénités. Pas de doute, elle allait bien s’amuser avec elle.

Ici, Alice pouvait laisser exprimer toute sa perversion, toute son appétence pour le sexe. Rien de ce qui se passait ici ne pouvait ressortir, et rien de ce qu’on faisait ici n’avait de conséquences. Le Monde Érotique de Lust était une sorte de Paradis de luxure, ce qui expliquait pourquoi la Déesse était si proche des succubes, et pourquoi son plan astral était relié au Cercle de la Luxure. Alice estimait que tout individu prisonnier du Cercle de la Luxure devait souhaiter se rendre ici… Mais, après tout, elle ne connaissait pas spécialement les règles applicables en la matière. Qu’est-ce qui pouvait amener tel ou tel individu à rejoindre tel ou tel plan divin à sa mort ? Alice était liée aux dragons de Sylvandell, mais, au vu de sa perversité, irait-elle au Monde Érotique à sa mort ? Ou serait-elle purifiée dans le feu du Dragon pour aspirer à une nouvelle existence ? Ce genre de choses la dépassaient pleinement, et, pour l’heure, elle sa satisfaisait surtout de la verge d’Eirik.

Le puissant Viking observait la scène avec fascination, tout en tirant sur la laisse d’Alice. Il avait mené une vie pleine d’orgie, en grande partie à cause de sa femme, Gunnhild, qui s’était acoquinée avec une sorcière de Lust, Kassandra. C’était leur femme qui, sous l’influence de Kassandra, avait converti leur fille, Edda, à de vils plaisirs saphiques. Eirik, tout en étant un puissant guerrier, avait finalement préféré mener une vie d’orgies à une vie de guerre, faisant de lui un chef assez rare, qui avait été assez ostracisé des autres. À sa mort, il avait décliné le Valhalla avec ses hommes pour continuer à servir la Déesse Lust. Un choix qu’Eirik ne regrettait guère, surtout en voyant la belle tête blonde se dandinant devant lui.

« Hm, quel appétit… »

Dans le dos d’Eirik, des mains jaillirent, ainsi que des seins. Gunnhild venait de rejoindre son époux, et l’embrassa dans le creux du cou.

« Ces deux-là m’excitent tellement… Je pense que cette chère Princesse plairait beaucoup à notre fille, tu ne crois pas ? »

Eirik grogna doucement, laissant Alice pomper son dard. C’était une belle et longue fellation, qui se voulait énergique et intense. De son côté, Shykarka savoura le cul de Brianna avec plaisir, sans se douter qu’elle était la cible de Kassandra. La sorcière s’amusait de toute cette perversité, et, quand Runnghild exprima tout son plaisir, Shykarka se laissa aller. Elle jouit dans le corps de Brianna, qui gémit encore.

« Han putain, ouais, défoncez ma chatte, Maîtresse, hmmm… !! »

Shykarka sentit sa queue grossir encore, et ses écailles se répandre également. Sous l’effet du vice et de la luxure, elle se transforma progressivement, jusqu’à adopter une forme purement draconique. Elle avait une taille de « petit » dragon, similaire à celle de Runnghild, et sa queue, massive et monstrueuse, s’enfonça dans le con de Brianna, qui hurla encore, en ayant presque la voix cassée. Son visage heurta celui de Fiona, glissant contre sa peau. Des spasmes musculaires la traversèrent,  et Shykarka n’avait plus qu’à remuer, et à pouvoir embrasser Runnghild…

…De quoi sûrement faire jalouser Alice !

En arrivant dans le monde de Lust, Shykarka pensait qu’elle était là pour une mission diplomatique agrémentée de quelques parties de jambes en l’air pour pimenter le tout, mais maintenant, il était clair que tout était toujours ramené au sexe dans ce monde. La dragonne ne savait plus depuis combien de temps elle était là, ni même si la notion du temps dans cette dimension était la même que sur les autres Rayons, mais elle était sûre qu’elle pourrait rester dans ce monde encore longtemps. Que ce soit les hommes, les femmes, ou même les créatures, elle avait ici une quantité impressionnante d’amants avec lesquels faire l’amour, et elle ne pourrait sans doute jamais tout voir avant que de nouveaux délices n’apparaissent.

« Aaahhh... ooouuuiii... »

La déesse se faisait plaisir en baisant sèchement Brianna, qui continuait d’en réclamer. Elles avaient beau enchaîner les orgasmes, les deux amantes n’en avaient jamais assez, et elles continuaient à baiser sans relâcher. Mais peu à peu, Shykarka sentit que quelque chose changeait en elle. Trop concentrée sur le joli petit cul de la demoiselle qu’elle démontait, elle ne remarqua pas que sa verge grossissait, comme tout le reste de son corps, et que ses écailles recouvraient de plus en plus sa peau humaine. Elle était en train de se transformer complètement en dragon, dans une forme proche de celle de Runnghild. Sa verge prit une dimension si imposante qu’elle en faisait hurler Brianna à se casser la voix. Le visage des deux sœurs se heurta, leurs joues se caressant au rythme des balancements de hanches de leurs amants profondément logés en elles. Quant à la dragonne, quand elle leva les yeux, elle vit le visage du dragon rouge juste devant le sien.

« Ggghhh... ggrraahh... »

Cette mâchoire puissante, aux courbes dures et droites, ces écailles rouges qui suintaient de transpiration, cette grosse langue qui pendait au coin de sa bouche... Shykarka sentit une pulsion presque animale la traverser en voyant tout ça, et elle colla sa bouche contre celle du dragon. Sa langue se mit à danser avec sa jumelle en faisant des bruits humides, et elle remua son bassin de plus en plus vite sous l’afflux de plaisir, multipliant les fessées bien sonores contre le cul de Brianna. Sans la magie de Lust, il y avait fort à parier que la puissance de la déesse aurait déjà brisé le corps de son amante.

« Hhhmmm ! »

Quand Shykarka se sentit à nouveau jouir, elle ne continua pas à baiser son amante. Elle délogea sa queue de sa chatte et la porta pour la déposer sur les coussins où elle se caressait quelques minutes plus tôt. Puis elle revint vers Runnghild, ses yeux fixés dans les siens, et elle caressa son corps écailleux avec ses grosses mains. Ce dernier, comme s’il comprenait ce qu’elle voulait sans qu’elle ait à parler, écarta Fiona du passage et posa ses mains sur le cul de la déesse, empoignant son derrière ferme et écailleux.

« Runnghild... mon beau... »

Les dragons s’embrassèrent à pleine bouche. Shykarka sentait ses seins appuyer contre les muscles de son amant, leurs verges tendues se frotter l’une contre l’autre, et elle alla à son tour palper ses jolies fesses musclées avec ses mains. Le dragon avait un corps des plus savoureux, et en restant en contact avec lui, la femme sentit ses envies de pénétrer s’amenuiser. Elle avait envie de faire l’amour comme une femme, et d’offrir son corps à ce bel animal. Quand leurs bouches se séparèrent, elle lécha le contour des lèvres de Runnghild.

« Tu me fais trop envie... mon beau dragon. »

Elle se libéra de son étreinte et se mit à genoux pour caresser sa grosse verge de dragon avec ses mains.

« Aaahhh... lequel de mes trous... tu veux remplir ? »

Après tout, la dragonne restait une femme, et elle avait un vagin caché sous ses testicules.

« Elle vient de Sylvandell, Eirik… Un royaume qui vénère les dragons… »

Dans le Monde Érotique de Lust, on comprenait à quel point il était difficile d’en sortir. Il y avait tant d’amants potentiels, tant de scènes de sexe possibles… Partout, ce n’était qu’orgie, luxe, volupté… Alice n’avait encore jamais eu la chance de rencontrer ces Vikings, mais elle savait déjà qu’elle les adorerait ! La main ferme d’Eirik serrait ses cheveux, et elle sentait son épais mandrin remuer en elle. Gunnhild, la femme d’Eirik, caressa également ses cheveux, se rapprochant d’elle.

« Hmmm, elle suce bien…
-  Eirik capturait des femmes pour les ramener chez nous… Des amantes dans notre harem, tandis que, pendant son absence, je couchais avec ses guerriers restés sur place pour me protéger… »

Là où bien des Vikings avaient traversé les mers européennes pour piller des richesses ou violer des femmes sur place, Eirik avait cherché des femmes à ramener. Il avait été jusqu’en Perse, avait pillé des harems, ramenant des beautés noires dans les plaines nordiques. Alice pouvait visualiser leurs somptueuses orgies dans le temple de Lust que Gunnhild avait construit là-bas. Elle soupira doucement, et commença à se caresser intimement, le mandrin d’Eirik disparaissant dans sa bouche.

Une main saisit soudain la sienne, et, dans son dos, Adda se lova, se chargeant ensuite de jouer avec les vibromasseurs d’Alice, lui arrachant plusieurs soupirs.

« Tut-tut… Tes deux mains doivent s’occuper du corps de mon père, petite Princesse… Cela fait pas mal de temps que nous envisagions de te baiser bien fort, ma belle, n’espère pas pouvoir faire ce que tu veux. Nous sommes des Vikings, après tout… »

Alice ne put que soupirer à nouveau, mouillant de plaisir…

…Runnhild, de son côté, grognait lentement. Après avoir joui une épaisse quantité de foutre dans le corps de l’humaine, il se rapprocha de Shykarka, et frotta son museau contre le sien, avant de partager avec elle un baiser long et intense, où sa longue langue se mêla à la sienne. Si elle le palpait, il en faisait tout autant. Runnhild remontait ses pattes avant pour caresser le corps de la femme, et changea également, de manière à pouvoir se tenir sur ses pattes arrières, se redressant ainsi.

Le dragon rouge souffla longuement, et palpa aussi le corps de Shykarka, qui se mit à quatre pattes. Sa verge trempée se redressait toujours, et elle put sentir le corps du dragon s’abattre sur le sien.

« Toi… Magnifique femelle… »

Runnhild n’était pas aussi éduqué que Shykarka, et dirigea son sexe vers le sien, puis la pénétra alors. Au beau milieu de la pièce, le dragon en rut se mit à besogner encore Shykarka. La dragonne verte se tortilla sur place, leurs écailles luisant et se frottant l’une contre l’autre.

« Rrrrrr… Rrrrrrrrrrrrrooaaaarrrr… !! »

Grognant furieusement, Runnhild exprimait tout son plaisir, tandis que les griffes de Shykarka s’enfonçaient dans le sol, lézardant ce dernier, comme pour témoigner de l’intensité de leurs coups de reins, le tout sous les yeux d’un public ravi et conquis…

A entendre la façon dont parlait Runnhild, ce n’était pas un dragon très éduqué. Shykarka fut un peu surprise de ce manque d’élocution, mais d’un autre côté, elle n’avait pas rencontré beaucoup de dragons dans sa vie. Et pour l’instant, la seule chose qui l’importait vraiment chez ce beau mâle, c’était sa vigueur sexuelle. Toutes ses écailles frémirent quand elle sentit son corps puissant s’abattre sur le sien en soufflant fort. Et quand sa verge entra en elle d’un coup sec, elle laissa échapper un grognement de joie.

« Rraahh ! Ooouuuiii ! »

Runnhild se mit à besogner Shykarka, qui couinait et gémissait de plaisir en recevant ses assauts fougueux. Les griffes de la dragonne s’enfonçaient dans le sol, laissant des marques sur ce dernier tant son plaisir était grand, et ses écailles luisantes de transpiration se frottaient contre celles du dragon rouge. Elle était habituée à ce que les mâles hybrides de Rosteria la prennent avec force, mais là, c’était clairement un cran au-dessus.

« Oui... vas-y Runnhild... aaahhh... baise moi fort. »

Rien qu’à sentir la prise ferme de Runnhild et la force de ses coups de butoir dans sa chatte, Shykarka savait qu’elle avait affaire à un amant qui allait lui donner un coït puissant et la faire crier. Et cerise sur le gâteau, elle pouvait voir devant elle Fionna et Brianna, qui se caressaient l’une l’autre en observant le couple de dragons s’envoyer en l’air. Le faire devant un public pimentait un peu les choses.

« Ooohhh... ooouuuiii... comme ça... aaahhh ! »

La dragonne enroula sa queue caudale autour de la taille de son amant et l’utilisa pour être sûre qu’il tapait toujours aussi profondément que possible dans son antre intime. Et elle sursauta quand elle sentit le dragon lui donner une fessée.

« Rraahh ! »

La déesse sentit tout son corps frémir. Même avec ses épaisses écailles, son cul bien charpenté sentait quand même les claques tomber. En voyant sa réaction, Runnhild continua de la fesser, pour son plus grand plaisir.

« Oui ! Oui oui oui ! Vas-y, défonce-moi... avec ta grosse bite. OOOUUUIII !!! »

Shykarka prenait son pied. Son visage affichait une merveilleuse expression de plaisir, la langue pendue au coin des lèvres et les yeux révulsés. Elle criait sans cesse qu’elle adorait se faire baiser par ce dragon et qu’elle en voulait encore. Ce n’était pas encore aussi bon que le sexe avec le monstre tentaculaire, mais c’était sur la bonne voie.

Runnhild n’était effectivement pas très bien éduqué. C’était un puissant dragon, mais avant tout éduqué ici, au sein du Monde de Lust. Dans cet univers, il était un dragon puissant, qui couchait régulièrement avec de nombreux amants, aussi bien des femmes que ders hommes. Runnhild grognait longuement, enfonçant sa trique massive dans le cul de Shykarka, et déplaça sa patte avant, giflant fortement le cul de Shykarka. C’était là de grosses claques, solides, qui résonnèrent sur les écailles de Shykarka. Ce sexe bestial était assez surréaliste, car Runnhild imposait à Shykarka un rythme lourd et soutenu. Rien ne lui était épargné, et elle se faisait proprement défoncer, le corps massif de Runnhild s’écrasant sur le sien.

« Rrrrrrrrrr… Rrrrrroooaaarrr… » grognait-il, surexcité.

Contrairement à Shykarka, Runnhild n’avait jamais pris forme humaine, ce qui expliquait sûrement sa sauvagerie, cette brutalité que Shykarka ressentait derrière elle. Il ne faisait pas preuve de la même passion méthodique que le monstre tentaculaire, qui s’attaquait précisément aux zones érogènes de Shykarka. Non, Runnhild optait juste pour la brutalité, pour un coït violent, pour une sodomie brutale et intense, particulièrement douloureuse. Runnhild grognait dans son dos, accélérant encore, et déplaça sa patte pour s’appuyer sur Shykarka, ses ailes se soulevant et s’abaissant, comme pour accompagner ses coups de reins.

Autour des deux dragons, le public les observait, les gens étant comme fascinés. Les Vikings se déplaècrent encore, Alice avançant à quatre pattes, au bout d’une laisse. Eirik la prit également en levrette, la baisant sur place, tandis qu’Adda, s’agenouillant à côté d’Alice, l’amena à relever la tête.

« Regarde-là bien, c’est ta Déesse… Regarde sa belle queue qui tangue, et pense à la queue de mon père qui s’enfonce dans ton cul de petite traînée. Tu n’es pas une Princesse, ici, Alice, tu es juste notre salope, une belle salope que mon père fourre… Et, ensuite, c’est Shykarka qui viendra te défoncer. »

Alice ne put que déglutir, et sentit Eirik la gifler à son tour. D’un bout à l’autre de la pièce, c’était une formidable débauche de sexe qui était en train de s’opérer…

Shykarka vivait un moment délicieux à se faire sauvagement baiser par Runnhild. Après avoir joui dans sa chatte, il passa aussitôt à son cul, enfonçant sa trique massive dedans sans la moindre retenue, ce qui fit hurler la dragonne.

« AAAHHH ! Ooohhh... ooouuuiii !!! »

Son amant n’essayait même pas de se retenir ou de se demander s’il lui faisait mal, il déchaînait sa force à travers ses coups de butoir et à travers les fessées qu’ils faisaient pleuvoir sur le cul de la déesse. Et cette dernière en réclamait encore plus. C’était du sexe puissant, bestial, où la douleur ne faisait que sublimer le plaisir, et elle aimait autant se faire remplir l’anus par une grosse bite que se faire tanner la peau à coups de fessées.

« Hhhmmm... Runnhild... aaahhh... remplis-moi... AAGGHH ! »

Shykarka, qui était déjà bien ballotée par les mouvements énergiques de Runnhild, continua de le suivre même quand il accéléra. Et comme lui, elle déployait et rabattait ses ailes au rythme de ses vas-et-viens, rendant l’action plus vivante. Elle avait rarement autant apprécié sa féminité qu’à cet instant.

La dragonne se fit sauvagement pilonner sans relâche, jouissant deux fois avec sa chatte et sa verge, répandant ses fluides intimes sur le sol et sur le bassin de son amant, jusqu’à ce qu’elle sente ce dernier jouir à son tour. Une puissante décharge de sperme jaillit dans son fondement, qu’elle sentit vite déborder et recracher l’excès de semence. Mais même après avoir joui, le dragon rouge avait encore envie de profiter du corps de son amante. La déesse le regarda se tourner et changer de position pour se mettre à genoux face à elle, avec son énorme bite encore humide devant son visage.

« Runnhild... tu veux que... »

Elle n’eut pas le temps de finir sa question que son amant lui prit la tête à deux mains et enfonça sa queue dans sa bouche. La dragonne ne réfléchit même pas, elle se mit tout de suite à sucer cette belle trique puissante et veineuse qui s’agitait dans sa bouche. Son amante lui imposait toujours le rythme, et il l’obligeait à enchaîner les gorges profondes, mais se sentir baisée de la sorte continuait de l’exciter. Elle espérait bien que cela continuerait pendant encore des heures, et que le dragon rouge la pousserait dans ses retranchements.

La verge d’Eirik s’enfonçait douloureusement dans son corps. Alice gémissait sur place, tandis qu’Adda l’amenait à voir le spectacle effrayant et impressionnant – mais non moins excitant – de Shykarka en train de se faire enculer par Runnhild. Les deux dragons hurlaient furieusement, et leurs pattes fracturaient le sol, provoquant de petites lézardes, tandis qu’Alice sentait un collier s’enrouler autour de son cou, avec une laisse que le Viking attrapa. Il tira dessus, l’étranglant en la soulevant, et gifla joyeusement son cul, y décernant de puissantes gifles qui la firent gémir et hurler de nouveau.

« Merde, qu’est-ce qu’elle est bonne, hurrrmpff !!
-  Eirik se sent toujours frustré face à Runnhild, et veut toujours se dépasser dans ce genre d’occasions », commenta Gunnhild, qui se déplaça lentement.

Alice n’allait pas s’en plaindre, mais elle commençait à mouiller, et risquait fort de jouir à nouveau. Runnhild, de son côté, était comme possédé. Ses solides coups de reins martelaient le corps de Shykarka, il griffait ses écailles sans ménagement, et finit par jouir copieusement en elle. Runnhild soupira longuement, mais la présence d’une dragonne, qui était de plus dotée de sang divin, le rendait très énergique, et très envieux de bien faire.

Il se retira du corps de Shykarka, et se redressa ensuite sur ses pattes arrière, prenant une pose similaire à celle des bipèdes. Shykarka reprenait ses esprits, et Runnhild se rapprocha d’elle, l’aidant à se relever.

« Moi… Rrrrrr… Continuer à aimer… Toi… !! »

Et Runnhild enfonça sa trique dans la gueule de Shykarka, serrant sa tête entre ses pattes, et remua d’avant en arrière, grognant sur place, se rappelant sans doute ces fois où des humaines léchaient sa queue. Runnhild était très apprécié ici, car il était rare d’avoir un dragon comme amant. Et, dans le domaine, il était terrible, une masse de guerre qui vous défonçait dans tous les sens. Alice observait le couple avec envie, et, quand l’orgasme la traversa, ce fut à l’idée folle de sentir Runnhild s’écraser sur elle, la chevaucher également, enfoncer sa trique massive et énorme dans sa petite chatte.

Runnhild, de son côté, comptait bel et bien jouir une ultime fois dans la gueule de Shykarka, comme un moyen de signer définitivement son amour et son respect pour elle…

Après avoir été utilisé son cul et sa chatte, voilà que Runnhild voulait jouir dans la bouche de Shykarka. Cette dernière laissa son corps se faire manipuler par le mâle fougueux, qui vint fourrer sa trique dans sa bouche, serrant sa tête entre ses pattes. La déesse ne pouvait pas résister à un amant si puissant, et elle se laissa entraîner quand il commença à lui baiser la gueule avec force.

« Hhhmmm... »

La dragonne n’était pas habituée à être dans la posture de la soumise. En général, c’était plutôt elle qui affirmait sa domination sur ses amants en les baisant sèchement. Mais là, être à genoux devant ce beau dragon rouge à la puissance si grande, qui lui remplissait la bouche avec son énorme verge, la faisait trembler de plaisir de la tête aux pieds. Ses écailles frémissaient, ses ailes étaient à moitié déployées et sa queue se balançait de gauche à droite. Elle aurait crié de bon cœur si elle n’avait pas eu la bouche pleine. C’était la deuxième fois qu’elle finissait dans la posture de la dominée dans le monde de Lust, et encore une fois, elle adorait ça.

Runnhild... mon beau dragon... fais-toi plaisir. Ma bouche... est toute à toi.

Shykarka ne se contentait pas de se faire baiser la gueule, elle léchait et suçait ce beau mandrin autant qu’elle le pouvait. Elle voulait que Runnhild ait un orgasme si puissant dans sa bouche qu’il se souviendrait longtemps d’elle. Et la magie rose du monde de Lust se mit à réagir à son désir. La marque sur son bassin brilla, et le sexe du mâle dragon se mit à gonfler dans sa bouche. Elle ne se rendit même pas compte de la différence, elle était juste trop contente de pomper une si belle bite.

La température montait rapidement entre les reptiles, qui se livraient à un coït délicieux. Shykarka se régalait de la verge de son amant et de ses râles de plaisir qui arrivaient à ses oreilles. Runnhild lui tenait fermement la tête, multipliant les allées et venues dans sa gorge de plus en plus vite et profondément. La dragonne se retrouva à enchaîner les gorges profondes pour satisfaire son mâle, et elle en était très satisfaite. Sa bouche faisait des bruits humides de régurgitation, son corps frémissait de plus en plus fort, tout lui semblait presque trop bon pour être réel.

« Hhhmmm... gggnnhhh... »

Ce petit jeu de baise continua jusqu’à ce que Shykarka sente la queue de Runnhild tressauter sur place et que son foutre ne jaillisse dans sa gorge. Elle avala les giclées les unes après les autres, manquant de s’étouffer tant il y en avait, et se reçut les dernières décharges sur le visage et sur la poitrine.

« Aaahhh... »

Secouée jusqu’aux entrailles, en sueur, et maintenant couverte de foutre, la déesse était comblée. Et son amant semblait l’être aussi.