The Multiversity

Le potentiel de perversion et de soumission de la jeune Princesse était très impressionnant, et avait, en réalité, très souvent surpris Mélinda, qui ne s’était pas attendue à ce que cette femme soit... Aussi perverse. Alice la surprenait donc agréablement, et c’était pour ça que la vampire la poussait souvent à bout, au-delà des limites supportables par une personne normalement constituée. Mélinda savait que la résistance si exceptionnelle d’Alice venait du sang du Dragon qui bouillonnait en elle, ce sang qui expliquait pourquoi elle ne s’était pas encore écroulée sur place, alors qu’elle continuait à faire l’amour depuis maintenant des heures. En sueur, elle couinait aux claques qu’elle recevait, Mélinda essayant de les donner en même temps que Shiro, tout en utilisant son autre main pour prendre appui sur son corps, caressant et griffant sa hanche et ses côtes, exactement comme la jeune femme l’aimait. Ses cheveux retombaient joyeusement en cascade sur son visage, lui donnant un air de petite salope en sueur, qui n’était pas désagréable à voir. Ses cheveux dissimulaient l’un de ses yeux, et elle respirait profondément, les avalant parfois, avant de les relâcher, la sueur continuant à couler tout le long de son magnifique corps.

Et son cul continuait à souffrir, car les mains gantées de Mélinda et de Shiro s’abattaient encore sur elle, la faisant gémir. Oh, quelle endurance ! Shiro, oui, était vraiment surprenante ! Alice avait un don inouï pour se trouver des amies extraordinaires, et, en ce moment, Mélinda était intimement convaincue qu’elle avait trouvé une femme qui reviendrait volontiers dans ce manoir, et elle, elle serait naturellement prête à l’accueillir avec la plus grande joie du monde.

« Haaaa... !! Haaaa... !!
-  Tu as vraiment... Un cul... Merveilleux ! »

Alice avait l’habitude que sa Maîtresse la complimente sur son fessier, mais elle en rougissait de plaisir, ainsi, aussi, que de l’effort qu’elle était en train de fournir. Soupirant profondément, elle sentait les claques se multiplier, sa salive tombant de ses lèvres, jusqu’à ce que son corps s’effondre, et qu’elle ne s’affale sur le lit, laissant une traînée de mouille, le visage enfoncé dans le lit, le cul relevé vers l’arrière, dans une position relativement grotesque, mais également étrangement excitante.

Mélinda sourit, et retourna Alice, qui peinait à répondre. Se retrouvant couchée sur le dos, jambes écartés, elle avait du mal à maintenir les yeux ouverts. En théorie, la vampire aurait dû la laisser se reposer, car Alice s’était bien dépensée ce soir... Mais, au lieu de ça, Mélinda se retourna vers Shiro, et l’embrassa sur la joue, en caressant son visage avec sa main.

« Je sais que tu es dotée d’un pouvoir particulier, Shiro... Et j’ai encore envie de jouer un peu avec notre chère Princesse. Pas toi ? »

Il serait dommage de se priver d’un si joli lot...

Effondrée par son dernier orgasme, Alice est figée dans une drôle de position, qui met en avant son délicieux cul malmené par toutes ces fessées. Shiro a dans l'idée de la laisser un peu tranquille pour qu'elle reprenne des forces, mais Mélinda la retourne pour la mettre sur le dos, jambes écartées, et approche de l'infirmière en lui demandant de faire usage de ses talents pour motiver encore un peu la belle princesse.

« Tu es sûre que c'est bien sage ? La pauvre a l'air d'être à plat. Je ne veux pas la pousser au-delà de ses limites. »

Mais la vampire assure à son invitée que la blonde peut encore tenir, du moment qu'elle a la motivation appropriée. Convaincue par son hôte, la jeune femme accepte finalement.

« D'accord, je vais le faire. Mais alors c'est moi qui choisis ce qu'on fait avec elle, et quand c'est fini on la laisse se reposer. »

Shiro se penche au-dessus d'Alice, la regarde jusqu'à avoir son attention, puis se baisse en souriant jusqu'à son oreille, pour y murmurer ses mots emplis de magie rose.

« Debout ma chérie. Tes maîtresses ont encore besoin de toi. »

Une fois la lycéenne remontée, l'infirmière se relève juste un peu pour lui présenter sa poitrine.

« Ils te font envie n'est ce pas ? Alors viens les téter, ça va te redonner des forces. »

Shiro aide Alice à relever son visage et la soutient tandis qu'elle aspire son téton dans sa bouche, le suçant comme un petit bébé accroché aux seins de sa mère. Amusée par la situation, l'infirmière lui caresse les cheveux en souriant. Bien qu'étant une incroyable perverse et une amatrice de sensations fortes, elle sait aussi apprécier les moments de douceur quasi-innocents comme celui-ci. Et comme par magie, la princesse semble retrouver de l'énergie rien qu'en tétant sa maîtresse humaine. Après quelques minutes, cette dernière la rallonge sur le lit et se met à califourchon sur elle, lui présentant son mât de chair tendu.

« Ta petite langue a été très agréable sur mes seins... mais maintenant, je la veux sur ma queue. Lèche là... puis suce-là... fais moi juter encore une fois... »

Pendant que Shiro profite de la bouche d'Alice, Mélinda peut toujours profiter de ses deux autres trous.

Mélinda n’en avait pas encore tout à fait fini avec Alice. Oui, elle était capable d’en endurer encore un peu. La vampire connaissait en effet très bien cette belle blonde, et elle savait qu’elle disposait de ressources insoupçonnables. Le sang du Dragon d’Or bouillonnait en elle, ce qui faisait qu’elle n’était pas qu’une humaine, mais une Korvander digne de ce nom. Il fallait la pousser dans ses derniers retranchements, et elle en approchait. Avec un tel corps, il fallait, de surcroît, bien s’attendre à ce que ce dernier soit utilisé plus que de raison. Shiro fut donc convaincue, mais posa néanmoins une condition : Alice suivrait ses ordres. Un sourire amusé éclaira les lèvres de Mélinda, qui haussa les épaules.

« Si tu veux... Ça revient un peu au même, ma chérie. »

Alice respirait profondément, et, quand Shiro proposa de s’attaquer à ses seins, elle le fit sans hésitation, s’approchant d’elle, et posa sa tête contre la belle poitrine de l’infirmière, venant mordiller un téton, posant ses mains le long de ses hanches. Yeux clos, Alice s’attaqua à en sucer un, tournant légèrement sa tête, donnant de multiples coups de langue, et s’en prit ensuite à un autre, alternant sensuellement et énergiquement entre les deux. Elle était douée, car elle adorait ça, et, malgré sa fatigue, elle s’évertuait à offrir à chacun de ces seins la plus tendre des attentions, les recouvrant de sa salive, à force de les embrasser et de les lécher.

« Hmmm... »

La Princesse se concentrait à sa tâche, jusqu’à ce que Shiro ne finisse par lui dire d’arrêter. Il fallait bien attendre que, effectivement, Shiro avait une très belle poitrine, et la Princesse se redressa, se mordillant doucement les lèvres, le cœur battant encore la chamade dans sa poitrine. Les joues d’Alice rougissaient toujours, mais Mélinda pouvait entendre sa respiration, moins prononcée, comme si le fait de mordiller ainsi les seins de Shiro l’avait aidé à se détendre.

Shiro ne laissa pas Alice ne reste très longtemps. La prenant par la main, elle l’invita à se coucher au milieu du lit, puis se redressa à son tour, et se mit à califourchon sur elle, à hauteur de son visage, de telle sorte que le sexe de Shiro se posa sur le visage de la femme. Alice soupira silencieusement, remuant les jambes, et entreprit d’attraper ce sexe, s’aidant de l’une de ses mains pour le fourrer dans sa bouche, redressant pour cela la tête. Ses mains ne tardèrent pas à se déplacer, s’appuyant sur les cuisses de Shiro pour lui permettre de ne pas avoir trop mal au cou, et elle entreprit d’effectuer les désirs de Shiro, sans trop parler, économisant sa salive pour passer directement à l’acte.

C’est ainsi que le sexe de Shiro remua dans la bouche d’Alice, glissant d’avant en arrière, un spectacle très joli à voir, presque autant que celui des jambes de la Princesse, qui remuaient entre elles, essayant de se rapprocher, comme pour satisfaire cette chaleur qui continuait à imbiber le bourgeon de la Princesse. Rien de tout cela n’échappait à Mélinda, qui finit par poser ses mains sur les jambes d’Alice, les immobilisant.

*Ne t’inquiète pas, ma chérie, je vais m’occuper de toi...*

Du fait de la présence de Shiro, Mélinda n’avait pas assez de place pour la pénétrer, alors elle choisit d’avancer sa tête, et entreprit, elle aussi, de sucer Alice, fourrant sa langue entre ses lèvres intimes, caressant (et griffant aussi un peu) les cuisses et le bassin de la Princesse, tout en léchant avidement sa délicieuse fleur. En retour, elle sentit rapidement le délicieux jus de la femme imbiber ses lèvres, et ce pour son plus grand plaisir.

Shiro fait de son mieux pour faciliter la position d'Alice, afin que son plaisir ne soit pas gâché par une douleur au cou. Elle sent la bouche de la belle princesse qui file d'avant en arrière, gobant sa trique juteuse, un joli spectacle à observer. L'infirmière gémit doucement en caressant le visage et les cheveux de la demoiselle, l'excitant toujours plus grâce à ses pouvoirs.

« Haann... oui... comme ça... c'est très bien petite chienne... mmmhhh... ta maîtresse est très contente de toi. »

Elle sent que les cuisses de la lycéenne remuent derrière elle, sans doute parce qu'elle veut apaiser le feu de son petit bourgeon. Heureusement, Mélinda est là. Shiro ne se prive pas de la mater tandis qu'elle enfouit sa tête entre les cuisses d'Alice, léchant sa petite fleur pour calmer son excitation. Il est aussi bandant de la regarder que de regarder la jeune fille qui lui suçait la queue.

« Tant de luxure... tant de plaisir... ooohhh... »

La voix de Shiro fait monter la température dans la pièce, les trois femmes sont en extase, en particulier Alice, qui se fait remplir la bouche et lécher le bourgeon. Elle est la première à jouir, et mordille la queue de l'infirmière dans le feu de la passion.

« Et alors, on se met à mordre petite traînée ? Pour la peine, je vais remplir ta bouche de mon foutre chaud, et tu as intérêt à tout avaler. »

Elle prend la tête de la princesse entre ses mains et la bouge rapidement d'avant en arrière sur sa queue, s'offrant une délicieuse pénétration buccale, poussant jusqu'au plus profond possible dans sa gorge. La blonde émet des bruits humides et érotiques, l'infirmière couine et gémit comme un animal. En quelques minutes, elle jouit et envoie des chapelets de foutre épais et crémeux dans la gorge de son amante qui, en bonne soumise, avale jusqu'à la dernière goutte de ce fluide. Sa maîtresse la relâche et l'embrasse.

« Tu as été une bonne chienne, je te félicite. Mais maintenant il faut te reposer. Si tu n'as pas sommeil... »

Shiro se déplace pour aller se coller à droite de Mélinda, poitrine contre poitrine, leurs sexes tendus se frottant l'un contre l'autre.

« … tu peux toujours nous mater. Mais interdiction de te toucher ou de nous rejoindre. C'est fini pour toi ce soir. »

L'infirmière va chercher les lèvres de la vampire avec les siennes, attaquant sa langue comme une bête en chaleur, masturbant son sexe pour lui donner le plus gros volume possible. Elle use même de ses pouvoirs pour rendre les choses encore plus torrides qu'elles ne le sont déjà.

« Mélinda... j'ai envie de sucer ta queue. »

Shiro se penche pour lécher le gland de Mélinda, souffle dessus pour bien teaser la dame, puis l'enfourne dans sa bouche tout en allant tripoter ses testicules avec sa main. De temps en temps, elle la sort de sa cavité buccale et la masturbe avec sa main le temps de pouvoir prononcer quelques obscénités avec sa voix magique.

« Han... maîtresse... faites claquer vos mains... sur mon cul de salope... hhhmmm... »

Cette femme l'excite tellement.

Même Alice, boostée avec le sang du dragon doré, avait ses limites. Mélinda était en réalité particulièrement surprise, car son amie était en train de battre un véritable record d’endurance. Le pouvoir magique de Shiro devait particulièrement bien fonctionner sur elle, ramenant dans son organisme des réserves insoupçonnables d’énergie, l’amenant à agir, encore et encore, auprès de l’infirmière. Elle reçut encore une fois son foutre, tandis que Mélinda jouait avec le corps d’Alice, léchant son bassin et le massant, pour la relâcher ensuite. Shiro crispa en effet ses mains sur le visage d’Alice, s’abandonnant une énième fois en elle, pour la relâcher ensuite. Épuisée, Alice clignait des yeux, et fut posée à côté, sur le lit, où elle avala ce sperme, respirant bruyamment, incapable de parler.

Shiro avait gagné tous ses galons ce soir, mais elle n’en avait pas encore fini... Tout comme Mélinda. La vampire était, elle aussi, particulièrement endurante. Elle respirait également lourdement, et on pouvait discerner, à ses joues rouges, la fatigue qui commençait à perler, mais qui ne la stoppait pas. Elle sourit quand Shiro demanda à la sucer, et écarta les jambes, assise sur le lit.

« Alors, viens, petite traînée... Tu as peut-être épuisé Alice, mais, pour me fatiguer moi, il faudra encore insister un peu... »

Elle la provoquait, et laissa Shiro se rapprocher. L’infirmière était toujours aussi belle à voir. Elles n’avaient beau réellement se connaître que depuis quelques heures, Mélinda avait déjà le sentiment d’avoir trouvé, en elle, une grande amie, et savait déjà qu’elle serait très heureuse de la revoir à chaque fois. Tessia savait comment s’entourer. Shiro se pencha donc, son visage entre les cuisses de Mélinda, léchant son membre, qui durcit un peu, se roidissant sur place, provoquant des frissons et des fourmillements dans le corps de Mélinda, qui s’en pinça les lèvres, poussant un gémissement et quelques longs soupirs.

Shiro savait y faire, et ne tarda pas à gober son membre dans sa bouche. La main de Mélinda, en retour, se crispa sur ses cheveux, et elle se dandina un peu sur place, remuant des fesses, comme pour mieux aider l’infirmière à avaler son sexe. Avec l’une de ses mains, Shiro alla soupeser ses testicules, les caressant, provoquant des vagues de frissons supplémentaires, tout en finissant par se redresser. Refusant de délaisser ce sexe, elle posa sa main dessus, la masturbant, retournant ensuite jouer à la soumise. Shiro avait bien compris la règle d’or avec Mélinda ; quand on l’appelait « Maîtresse », elle était toujours plus conciliante. Cependant, vu sa position, Mélinda, étant assise sur le lit, avait bien du mal à atteindre les fesses de Shiro.

Avant d’agir, elle alla néanmoins la narguer un peu, en posant ses mains sur son visage, ses pouces se posant sur son front, rabattant quelques mèches de cheveux rebelles en arrière. Un sourire moqueur et malicieux se dessina ensuite sur ses douces lèvres, tandis qu’elle se mit à lui parler :

« Ton cul a déjà tellement pris ce soir, et tu en redemandes encore... Ma parole, tu es vraiment insatiable, Shiro ! »

Mélinda avait, fort heureusement, une idée pour pouvoir la fesser de nouveau, tout en l’occupant.

« Ne néglige pas si rapidement Alice... Va lécher son sexe, et, pendant que tu feras ça, ma petite pute, je pourrais te fesser... Te fesser beaucoup ! »

N’était-ce pas un merveilleux plan ?

Oui, le cul de Shiro a déjà beaucoup pris ce soir, mais elle est loin d'avoir eu son compte, et ne dit jamais non à une bonne fessée. Elle a aussi compris que, quand on appelle Mélinda ''maîtresse'', elle est plus docile et perverse. Mais vu leur position actuelle, ça va être difficile pour la vampire de fesser son amante. Du coup, elle lui propose de changer de position en allant lécher l'intimité d'Alice, de cette façon elle pourra s'occuper de son petit cul.

« Je ne sais pas trop. Alice a déjà tellement donnée, on devrait peut-être la laisser tranquille... »

Mais la blonde intervient tout à coup en demandant à ne pas être ignorée. Visiblement, elle n'est pas encore complètement rassasiée.

« Tu es sûre ? Tu veux continuer ? »

Aucune personne, aussi obsédée soit-elle, ne se mettrait en danger pour une vulgaire histoire de cul. Si Alice dit qu'elle en est capable, c'est qu'elle sait ce qu'elle fait. Shiro se retourne donc, la langue pendante hors des lèvres, et se penche en avant pour mettre son visage au niveau de la petite fleur de la princesse et relever son petit cul, qu'elle dandine en guise de provocation. Derrière elle, elle sent les mains de Mélinda se poser sur ses belles fesses, les tâter et les malaxer avant d'y mettre une première claque. En même temps, l'infirmière se met à lécher l'intimité de la jeune fille, prenant quand même d'y aller suffisamment doucement pour qu'elle puisse savourer les sensations, et que son orgasme ne soit pas trop brutal, craignant toujours de la pousser hors de ses limites. Mais il est difficile de se contrôler quand une femme vous met une correction aussi délicieuse, si bien que Shiro marque parfois des pauses dans son cunni' pour faire usage de ses pouvoirs.

« Haann... oh oui... maîtresse... fessez moi... bien fort... punissez... votre traînée... préférée... »

L'infirmière ne connaît Mélinda que depuis quelques heures, mais elle sent déjà qu'elle va adorer travailler dans son manoir : de jolies filles, de la luxure à foison, et une maîtresse dont les performances sexuelles égalent presque celles de Tessia. Tout ce qu'il faut pour être comblée.

En quelques minutes, l'infirmière arrive au septième ciel grâce aux fessées de la vampire. En même temps, sa petite langue s'active de plus en plus sauvagement sur la fente d'Alice, qui couine et se tortille jusqu'à jouir discrètement dans sa bouche. La femme avale ce petit jet de liquide, fait un clin d’œil à la princesse, puis retourne son attention sur celle qui la punit.

« Oohh... oui, oui... encore... ENCORE... AAAHHH ! »

Et hop, un orgasme de plus, dont le liquide vient souiller le lit déjà bien maculé de fluides en tout genre. Shiro reprend rapidement son souffle, son envie de sexe lui donnant un regain de forces, puis elle se colle peau contre peau à Mélinda, l'embrassant du bout des lèvres juste pour la taquiner.

« Oh... maîtresse... prenez moi encore... montrez moi comme vous êtes forte... et puissante... »

Elle ne ressent plus le besoin d'utiliser ses pouvoirs, convaincu que l'excitation a déjà atteint son paroxysme ce soir.

« Je veux m'offrir à vous... vous donner mon corps... pour votre plaisir... et le mien... »

Mélinda pouvait se féliciter de s’être entraînée si intensivement dans les jours et les semaines qui avaient entouré son mariage avec Vanillia. Avant ça, elle était déjà une amante endurante, mais, après avoir suivi les formations dispensées par les prêtresses de Lust, elle avait encore atteint un statut supplémentaire. Elle était terriblement douée, au-delà de tout ce qu’elle aurait pu imaginer, bénéficiant d’une endurance sexuelle exceptionnelle, digne des succubes. Alice aussi, du reste, n’était pas à sous-estimer, et, même si elle était épuisée, de simples baisers et caresses ne pourraient pas la déranger, et, au contraire, risquaient même d’être tout ce dont la femme avait besoin pour se laisser finalement emporter dans le monde du sommeil. Mélinda ne comptait plus la baiser aussi violemment qu’avant, mais, puisque Shiro était toujours d’attaque...

Les mains de Mélinda s’activaient furieusement sur sa croupe, la giflant à plusieurs reprises. Couinant et gémissant, Shiro laissait, encore une fois, tout son plaisir s’exprimer, par le biais de moult hurlements et autres rugissements de plaisir. Le désir explosait en elle, remplissant son corps, l’inondant, au fur et à mesure que Mélinda multipliait les coups sur sa croupe, tapant parfois assez fort. Elle ne la pénétrait même pas, pour l’heure, grognant et soupirant, l’adrénaline engendrée par les claques qu’elle lui infligeait la galvanisant.

« Petite... Catin... Traînée... Salope... !! »

Shiro était là depuis peu, mais avait effectivement déjà compris une règle essentielle avec Mélinda ; quand on l’appelait « Maîtresse », elle était fortement stimulée... Et beaucoup plus passionnelle. Elle multipliait donc les claques, ce qui amena finalement Shiro à jouir, tout comme Alice, qui poussa un ultime soupir, avant de s’étaler sur le lit, le souffle court, et la respiration haletante. Mélinda, en souriant, se rapprocha de son amie, et l’embrassa sur le front.

« Repose-toi, Alice...
-  Haaaa...
-  Tu auras bien baisé ce soir, ma chérie, mais là, ton corps a besoin de repos... »

Alice soupira encore, puis Mélinda se retourna vers Shiro, qui avait demandé à se faire prendre... Encore. Loin de refuser, Mélinda lui offrit un sourire vorace, mais, avant de satisfaire à sa requête, s’approcha du bout de la chambre, où un rideau dissimulait la fenêtre. Elle écarta alors ce dernier, et les deux filles purent ainsi voir que les premières lueurs du jour étaient en train d’arriver. Ce n’était pas encore l’aube, mais l’aurore. Une atmosphère bleuâtre et grisâtre laissait place à l’épaisseur de la nuit, et il y avait une légère brume matinale. Depuis la fenêtre, on voyait normalement la forêt entourant Yoake, mais qui était voilée dans un drap blanc, spectral, irréel.

« Nous avons baisé toute la nuit, Shiro. Je te félicite, c’est la première fois qu’une invitée tient aussi longtemps... Maintenant, mets-toi à quatre pattes, ma chérie, et je vais te fourrer bien proprement... »

Elle attendit qu’elle se mette en position, puis retourna en elle, en ciblant cette zone qui émoustillait tant Shiro : son cul.

Et ce dernier était tellement dilaté qu’il ne fut pas bien difficile de s’y enfoncer, et de la pénétrer rudement, en grognant et en soupirant profondément de plaisir.

Au lieu d'être prise immédiatement, Shiro regarde Mélinda se lever et aller vers un rideau qu'elle tire immédiatement. Les premières lueurs de l'aurore pénètrent dans la chambre. L'infirmière ne vient pas jusqu'à la fenêtre pour voir les détails, mais elle comprend au moins que cette joyeuse soirée de luxure a bien duré toute la nuit. Selon la vampire, l'infirmière est la première invitée à tenir aussi longtemps.

« Vraiment ? Même Tessia n'a pas pu faire mieux ? »

Ce serait bien la première fois qu'elle surpasse la succube en terme d'endurance. Suivant les instructions de son hôte, elle se met à quatre pattes, prête à se faire fourrer, et sent très vite une belle hampe de chair se glisser entre ses fesses, la faisant délicieusement couiner.

« Haann ! »

L'anus de Shiro est tellement dilaté que le sexe de Mélinda y rentre facilement. L'humaine se laisse complètement faire par la vampire, calant le rythme de son bassin sur le sien, couinant et haletant sans vraiment y croire. Après une nuit entière de débauche à plein régime, n'importe quel humain serait épuisé, et elle ne fait pas exception à la règle. Elle prend du plaisir, mais il n'est plus aussi intense que ce qu'elle a pu ressentir lors de l'apparition de son nouveau sexe.

« Hhmm… oohh… Mélinda… c'est bon… »

Peu à peu, Shiro sent la force des pilonnages de Mélinda augmenter, enfonçant ce pieu toujours plus loin dans son cul, et ses gémissements se changent à nouveau en cris. Même si son corps est fatigué, elle ne peut pas échapper au plaisir, et il se répand à nouveau en elle tel un délicieux poison. Elle soupire, tremble et crie, prise comme une traînée mais adorant ça.

« Ouuii… oouuii… aahh… quel délice… haaannn… »

La sodomie se poursuit ainsi pendant un long moment, le plaisir se répandant lentement dans le corps de l'infirmière, mais finalement, l'orgasme arrive dans un délicieux hurlement.

« OOUUII ! HAAANNN ! »

Des filets de sperme s'échappent de son sexe en érection et viennent tâcher le lit tandis que son cul se fait remplir par la semence de la vampire. Une fois le choc de la jouissance passé, Shiro tourne la tête pour regarder Mélinda.

« Aahh… Mélinda… c'était… aahh… »

Soudain, l'infirmière s'écroule sur le lit. Toute cette activité nocturne l'a fatiguée et, en réalisant que le jour se profilait déjà à l'horizon, son corps a soudainement lâché prise. La jeune femme s'est tout simplement endormie comme une masse, reprenant doucement des forces durant les quelques heures qui la séparent de son départ au lycée.

« Hum... Disons que j’exclue les succubes de ma compétition. Elles sont un peu hors-concours, tu sais... »

Comme elles se nourrissaient d’énergie sexuelle, on ne pouvait pas les épuiser. Tessia avait été à cette image. Mélinda se souvenait encore très bien de son passage ici, et la succube était réellement infatigable. Shiro était très endurante, mais elle avait ses limites, et Mélinda la prenait donc. Le plus impressionnant, c’était que, contrairement à elle, l’infirmière n’avait suivi aucune formation auprès des prêtresses de Lust. Qui sait de quoi elle serait capable, ensuite ? En tout cas, Mélinda savoura encore son cul, optant pour une sorte d’ultime sodomie en la pénétrant rudement. Shiro haletait et couinait, mais, pourtant, entre ses cris de plaisir, la vampire commençait à sentir la fatigue de l’humaine... Comme si le fait de voir que le jour était venu avait déclenché une sorte de réflexe en elle.

Elles avaient fait une nuit blanche, sous bien des aspects, et savouraient en ce moment leur ultime moment. En poussant de profonds soupirs, Mélinda approchait du point de chute. Elle aussi commençait à sentir la fatigue pointer dans ses muscles, ce qui, néanmoins, ne l’empêchait pas de profiter du délicieux cul de Shiro. Un popotin magnifique, tendre et agréable, bien ferme, avec un trou tellement élargi qu’elle pouvait s’y enfoncer, sa rondelle ouverte comme la Porte des Étoiles s’offrant à elle sans aucune restriction.

« Hmmmm... »

Ses dents serrèrent ses lèvres, et tout son corps se relâcha, atteignant le point suprême, explosant contre sa queue. Le sperme afflua dans le corps de Shiro, et la vampire se mit à pousser d’intenses soupirs, le corps en sueur.

« Pffffiouhhhh... Hmmm... Haaaaaa... !! »

Mélinda reprenait ses forces, ayant une pointe de côté, l’impression d’avoir couru un marathon. Pour le coup, on pouvait dire qu’elle avait fait un marathon sexuel, et elle vit Shiro s’effondrer près d’Alice, qui dormait déjà. Shiro ferma aussi les yeux, sa longue chevelure rose glissant sur son corps, et la vampire leur sourit. Elle ne dormait pas encore, mais sentait que son corps était suffisamment affaibli pour lui permettre de s’écrouler entre les deux femmes.

Sa main glissa sur la douce chevelure de Shiro, caressant ensuite son épaule.

*Tu as un potentiel incroyable, Shiro... Je suis vraiment ravie d’avoir fait ta connaissance, ma chérie. Crois bien que tu reviendras très souvent ici...*

Pour une première fois au manoir, Shiro avait placé la barre très haut. Soupirant encore, Mélinda se laissa tomber entre elles, et sentit également le sommeil réparateur s’emparer d’elle.

Demain serait une autre histoire...