The Multiversity

Helena était tellement assoiffée qu’elle n’arrivait plus à penser à autre chose qu’au sexe. Ishtar tapit son gland contre son menton, laissant du liquide séminal sur sa peau qu’elle se dépêcha de ramasser avec sa langue. Elle garda la bouche ouverte et la langue pendante quand sa maîtresse lui ordonna, et elle la sentit changer de position sans pouvoir la voir. Elle sentit sa bouche se faire remplir par la lance de chair de la dragonne et sa tête se faire soulever par ses cuisses jusqu’à avoir son sexe au fond de la gorge. Pendant ce temps, elle s’allongea sur son corps pour aller lécher sa fente ruisselante. Un soixante-neuf dans les règles de l’art.

« Hhhmmm… ggghhh… »

L’humaine ne savait plus où donner de la tête. Entre le plaisir d’avoir ce sexe énorme dans sa bouche et sentir la langue percée d’Ishtar contre son entrejambe, elle était plus comblée qu’elle ne pouvait l’espérer. Et en plus, les grosses couilles de sa maîtresse étaient collées juste sous son nez, dégageant une forte odeur de sueur, de sexe et de latex, un parfum extrêmement excitant. Elle aurait voulu remplir sa bouche avec ces deux belles boules enflées, mais elle devait d’abord s’occuper de cette incroyable trique qui lui ramonait la gorge.

En moins de dix minutes, Helena avait déjà joui plusieurs fois et abondamment, répandant un torrent de mouille dans la bouche de la dragonne, dans le fond de sa robe et sur les draps de latex. Et pourtant, malgré les efforts qu’elles faisaient pour sucer la trique de sa maîtresse, elle ne parvenait pas à la faire juter. Pourtant, elle était heureuse comme tout car, tant que la baise continuait, elle prenait du plaisir et se sentait toujours plus dégradée, ce qu’elle adorait. Elle continua, encore et encore, jusqu’à finalement réussir à combler Ishtar et lui faisant cracher son sperme. Mais il y en eut bien plus que ce à quoi elle s’attendait, et cet orgasme en gorge profonde la noya sous un torrent de sperme épais et crémeux. Elle avala gorgée après gorgée, mais manqua de s’étouffer. Une fois l’éjaculation terminé, elle pu reprendre son souffle et se calmer.

« Aahh… ça… ça va… j’ai réussi… à tout avaler… »

Ce petit soixante-neuf lui avait fait cracher des litres de cyprine et lui avait pris une bonne partie de son énergie, mais elle avait encore assez de force pour se laisser aller à une dernière envie. Elle se colla tout près de sa maîtresse, se laissa rouler une pelle sauvagement et peloter les seins, mais cette fois elle répondit en pelotant la plantureuse poitrine d’Ishtar, malaxant et pressant ces superbes orbes de chair.

« Hhhmmm… maîtresse… votre bikini en V… je peux… le renfiler… s’il vous plaît ? Il sent bon… la sueur… et le sexe. Vos grosses couilles… ont transpiré dedans… et ce parfum… haaannn… me fait envie… »

Difficile de croire qu’un simple vêtement pouvait générer autant de désir, et pourtant…

Quand Ishtar lui refusa le plaisir de renifler son bikini de latex, Helena resta bouche bée un court instant. C’était la première de ses requêtes sexuelles que sa maîtresse refusait, mais elle ne pouvait de toute façon pas s’y opposer à cause du pouvoir du contrat magique. A la place, elle put se mettre à califourchon sur l’une des cuisses de la dragonne, avec la permission de lécher et toucher ce qu’elle voulait du corps s’offrant à elle. Et elle n’allait pas s’en priver. Elle commença par aller embrasser, lécher et mordiller la peau noire de son cou, une de ses mains alla palper sa poitrine tandis que l’autre glissa vers son cul pour le presser et le malaxer. Sentir ces courbes généreuses sous ses doigts et sa peau lisse et brillante comme du latex sous ses lèvres était un délice. Elle n’arrêtait de l’embrasser que pour déverser des paroles salaces.

« Aahh… maîtresse Ishtar… votre corps… est trop bon. Si bien fait… si délicieux… »

Après avoir bien marqué son cou de suçons et de marques de dents, elle alla s’attaquer à son visage et à ses joues, pendant qu’elle continuait à palper ses gros orbes de chair et que son autre main glissait de son bassin pour se diriger vers la bosse qui pointait sous son bikini. Elle avait peut-être joui récemment, mais son érection était toujours présente, alors l’humaine alla prendre en main sa belle queue dressée pour lui faire une petite branlette. Si elle devait bientôt s’arrêter pour la nuit, elle comptait bien offrir à sa maîtresse un beau final.

« Vous savez… durant les premiers jours… je voulais m’échapper d’ici… le plus vite possible… pour aller retrouver ma vie sur Terre. Mais maintenant… que je vous connais… que je connais Theorem… que j’ai vu vos petites pédales soumises… j’adore cet endroit. Et j’adore… baiser avec vous. Palper vos seins… sentir votre sueur sur votre peau… votre queue énorme… s’enfoncer dans ma bouche… pressée entre mes seins… me remplir la chatte… et le cul. Baiser avec vous… est aussi important pour moi… que manger ou boire. »

Difficile de croire que, en moins de trois mois, la grande et redoutable Huntress, la prédatrice du crime, la justicière impitoyable, s’était soumise à Ishtar à tel point de voir le sexe avec elle comme un besoin vital. Mais les mouvements de sa bouche et de ses mains ne mentaient pas sur ses sentiments.

« Comme vous l’avez dit… à mon arrivée… je suis une bonne gouine soumise… soumise à vous. »

S’en suivit un long et délicieux baiser, où les langues dansèrent intensément, produisant des bruits visqueux et pervers, qui ne prit fin que lorsque Helena sentit le sexe de la dragonne cracher son foutre sur ses doigts et dans son bikini de latex. Elle décolla alors ses lèvres et retira ses mains du corps de sa maîtresse.

« Maintenant… si vous n’y voyez pas… d’inconvénient… j’aimerais dormir… s’il vous plaît. »

Après plusieurs heures de baise dégradante et sauvage, Helena avait gagné le droit de se reposer. Ishtar l’aida à se coucher dans le lit, au milieu des mares de fluides corporels de leur jouissance, et elle se retrouva allongée sur le dos, les bras et les jambes tirés aux quatre coins du lit. Sa maîtresse lui enfila une gag-ball dans la bouche, un bandeau sur les yeux, lui passa un peu de pommade sur les tétons et le clitoris, sans doute aphrodisiaque puisque qu’elle les sentit se dresser et chauffer quelques secondes après, et lui installa des vibrateurs sur ces pointes sensibles.

« Aaahhh… hhhmmm… »

Difficile de croire qu’elle allait pouvoir dormir dans de telles conditions, et pourtant elle l’avait déjà fait la nuit précédente. Elle se contenta de relâcher son corps, de faire le vide dans sa tête, et de laisser son plaisir la bercer.

Le réveil fut plus difficile pour Helena que ce qu’elle pensait. Quand elle commença à ouvrir les yeux, sa vision était très floue, elle avait un peu mal à la tête et tout avait l’air de tourner autour d’elle. Il lui fallut presque une minute pour réaliser qu’elle n’était plus dans la chambre d’Ishtar, mais dans la love room de Karen, une grande chambre avec des éclairages tamisés et un lit en forme de cœur. Elle vit ensuite qu’elle ne portait pas l’ensemble que lui avait donné la dragonne mais un harnais de latex avec deux petits caches-tétons en forme de cœur. Soudain, Karen entra dans la chambre, vêtue d’une tenue de dominatrice, son sexe de futa sorti et prêt à l’emploi. L’humaine eut à peine le temps d’ouvrir la bouche que la kryptonienne la remplit avec son bâton de chair. Karen eut l’impression qu’on venait de mettre le feu à sa bouche, et elle commença à sucer ce sexe avec une incroyable énergie, comme si sa vie en dépendait. Au milieu de sa fellation, elle vit alors une autre personne arriver. C’était Ishtar, sa belle maîtresse dragonne, complètement nue et avec une belle érection. Elle la vit passer dans son dos, et sentit vite son énorme sexe se fourrer dans sa chatte, la baisant comme une sale chienne. Les yeux de l’humaine se révulsèrent de plaisir, elle se mit à baver et à gémir, mais ses sons furent étouffés par le mandrin de Karen dans sa bouche. Quand vint le moment de jouir, les deux futas se retirèrent pour pouvoir balancer leur crème partout sur le corps de leur soumise, la noyant sous un flot blanc et épais, la maculant de la tête aux pieds. Elles continuèrent ensuite à la baiser, dans toutes les positions possibles, enchaînant orgasme sur orgasme. La pauvre petite humaine en perdit l’esprit, et se transforma lentement en leur petit jouet sexuel, ne vivant que pour les satisfaire. Peu à peu, tout s’assombrit autour d’elle, alors qu’elle était traversée par un nouvel orgasme, qui lui fit lentement perdre conscience.

Helena se réveilla à nouveau à cause de secousses sur le matelas, mais ne parvint pas à ouvrir les yeux quand elle le voulut, et sentit quelque chose bloquer sa bouche. Elle pouvait aussi entendre des gémissements près d’elle. Elle se leva, enleva son bandeau et sa gag-ball, et vit Ishtar en train de besogner Theorem, habillé comme une pute. Elle réalisa que les images qui lui revenaient à l’esprit sur sa baise avec Karen et Ishtar n’étaient qu’un rêve, et ses pensées partirent alors vers Karen. Même si elle était heureuse ici, elle avait quand même hâte de retrouver sa camarade kryptonienne. Puis sa maîtresse lui ordonna de venir prendre son ‘‘petit-déjeuner’’, et elle vint sans discuter, le sourire aux lèvres.

« Tout de suite maîtresse. »

Tandis qu’elle gardait la bouche ouverte, prête à recevoir sa ration matinale, elle glissa une main sous ses vêtements et alla toucher sa vulve complètement trempée. Elle avait du jouir plusieurs fois au cours de la nuit car sa culotte était totalement inondée de cyprine, presque bonne à jeter. Mais cela ne la dégoûtait pas, elle alla joyeusement se doigter alors que le vibro sur son clitoris marchait toujours. Elle se fit plaisir avec ses petits doigts agiles mais n’eut pas le temps de jouir avant que la dragonne ne sorte sa queue du fondement du rouquin pour déverser son sperme dans la bouche de sa soumise, qui en récolta la moindre goutte et avala tout avec plaisir.

« Aaahhh… merci maîtresse… je me suis régalée. Mais maintenant… que j’ai pris mon petit-déjeuner… je dois prendre ma douche. »

Sur ces mots, Helena attrapa le pénis d’Ishtar à deux mains et se mit à le branler vigoureusement. Cette grosse trique noir et veineuse, épaisse comme un tronc d’arbre, était très agréable à toucher, et l’humaine ne se priva pas de la caresser, tripotant parfois les boules généreuses de la dragonne. Elle bavait parfois sur le mandrin pour faciliter la glisse de ses mains sur toute la longueur, et pour bien rappeler à sa maîtresse qu’elle n’était rien d’autre qu’une pute dégoûtante toujours en manque de bite. Finalement, à force d’insister, elle fit cracher le sexe de l’amirale, et dirigea les jets pour qu’ils arrosent la plupart de son corps. Une fois l’éjaculation terminée, elle étala le liquide blanc et collant sur l’intégralité de sa tenue et de son corps transpirant.

« Aahh… maîtresse… ce que c’est agréable… de me couvrir le corps… de sperme. »

Mais au-delà de ça, une vraie douche ne serait pas du luxe. Entre tout le sexe de la veille et ses orgasmes ininterrompus dans son sommeil, son corps et ses vêtements étaient souillés à tel point qu’elle ne pouvait plus l’ignorer.

« Maiîtresse Ishtar… accepteriez-vous… de m’accompagner… pour prendre un bain ensemble ? »

Avec ou sans Théo, peu importe, elle voulait juste pouvoir se rafraîchir.

Helena ressentait vraiment le besoin de prendre un bain pour se nettoyer de toute cette sueur et cette semence, mais Ishtar refusa de lui accorder ce plaisir. A la place, elle la conduisit dans une salle d’eau aux installations sommaires, l’installa sur un matelas noir gonflable, et se plaça au-dessus d’elle, uniquement vêtue de son bikini en V. Plutôt que d’être lavée, elle allait devoir se masturber encore plus, et offrir le spectacle à sa maîtresse.

« Bien maîtresse. Vos désirs sont des ordres. »

Helena glissa une de ses mains gantées sous sa tenue et alla trouver son intimité. Comme elle était déjà bien lustrée, elle y glissa directement trois de ses doigts tout en pressant son clitoris avec son pouce, ce qui fit grimper son plaisir très rapidement. Son autre main passa sous le haut de sa tenue pour aller malaxer fermement sa grosse poitrine. Il fallait vraiment qu’elle insiste pour pouvoir trouver un plaisir suffisant.

« Aahh… aaahhh… oui… ouuuiii… »

Elle observait en détail le corps voluptueux et luisant de la dragonne, à peine couvert par ce bikini si moulant qu’on pouvait voir les pointes de ses tétons et que son sexe masculin tentait de se faire la belle à force de grossir. Ishtar était devenu le fantasme ambulant d’Helena, qu’elle utilisait maintenant pour motiver son plaisir solitaire.

« Hhhmmm… maîtresse… dites moi… des choses excitantes… et insultez moi… aaahhh… j’en ai besoin… »

L’humaine ferma les yeux et, en même temps que sa maîtresse la gratifiait de paroles grivoises, elle fit marcher son imagination. Elle se vit en train de se faire prendre en levrette par la futa, d’abord par la chatte et ensuite par le cul, vêtue comme une prostituée, se faisant fesser et insulter en même temps que pénétrée. Elle n’était plus une femme, même pas une personne, elle n’était plus que le jouet sexuel de sa maîtresse… et ça lui plut tellement d’imaginer ça qu’elle n’en contrôlait même plus ses mains.

« Aaahhh… oui maîtresse… insultez moi… violez moi… ouuuiii… je suis votre chienne… votre pute… votre vide-couilles… hhhmmm… et j’adore ça… OOOUUUIII !!! »

Même si ça lui prit presque dix minutes et de grands efforts physiques, Helena finit par atteindre son point de rupture et jouit allègrement dans sa tenue. En bonne femme fontaine, elle éjacula une grande quantité de cyprine, souillant encore plus le bas de sa robe qu’il ne l’était déjà. La pauvre femme se sentait collante et répugnante, mais il y avait un petit côté excitant à ça. Elle espérait juste que l’excitation ne serait pas dépassée par la saleté engendrée par tous ces fluides contre sa peau. D’ailleurs, elle en fit part à la dragonne.

« Maîtresse… j’aime être une sale traînée couverte de sperme, de cyprine et de sueur… mais ne suis-je pas trop sale pour vous plaire encore ? »

Helena prenait son pied physiquement et mentalement grâce à Ishtar. Après s'être laissée aller à la jouissance et avoir giclée comme une fontaine, l'humaine craignait de ne plus être assez attirante pour sa maîtresse tant elle était sale, mais cette dernière lui répondit qu'elle adorait ça, et qu'elle comptait bien profiter d'elle dans cet état avant de la nettoyer. L'héroïne, complètement shootée par tous les orgasmes qui l'avaient déjà parcourue, se contenta de la fixer droit dans les yeux, et poussa un cri quand elle sentit son anus se faire remplir par le sexe de la dragonne.

« Aaahhh ! »

Mais ça ne s'arrêta pas là. Ishtar lui empoigna les seins et se figea un instant pour lui dire qu'elle comptait bien la baiser jusqu'à la voir glisser dans la crasse avec plaisir. Helena ne répondit même pas, elle se contenta de sourire et de se laisser docilement prendre en sodomie. Elle enroula ses jambes autour du bassin de la dragonne pour la garder le plus près d'elle possible, puis consacra toute son énergie à gémir, hurler et s'insulter.

« Hhhmmm... aaahhh... oui maîtresse... baisez moi... comme une grosse truie... défoncez moi le cul... aahh... moi qui ne suis... qu'une salope... une chienne en chaleur... ooohhh... qui ferait tout... pour de la bite... hhhmmm... »

Son esprit était noyé sous les informations, mais une chose était sûre : elle aimait se faire baiser de la sorte, au milieu des insultes, de la saleté et des fluides corporels. Jamais elle n'avait connu une expérience sexuelle aussi forte avec un autre de ses amants, même Karen n'avait pas pu faire mieux. Tout son corps était ballotté et secoué par les inlassables coups de butoir de sa maîtresse, qui lui remplissait l'anus tout en lui pétrissant la poitrine. Pas un coin de son corps ne tremblait pas d'extase entre les mains de cette femme.

Finalement, à force de se faire baiser comme un animal, Helena atteignit encore l'orgasme, une nouvelle vague de cyprine inonda son string de latex, souilla le matelas et le bassin d'Ishtar. Après ça, elle se retrouva dans un état second : elle était encore consciente mais elle n'arrivait plus à bouger, son visage était figé dans un sourire de plaisir et elle tremblait comme une feuille. Son cerveau, en revanche, tournait à plein régime.

Je suis une truie... une salope... une chienne... j'adore les grosses queues bien dures... me faire couvrir de sperme... me vautrer dans la fange... écarter les jambes sur demande...

Difficile de croire que le sexe avait pu avoir un tel effet sur elle.

Helena était dans un état second où elle n'arrivait pas à penser à autre chose qu'au sexe. Tous ses sens étaient stimulés dans ce sens, depuis l'odeur omniprésente de sueur et de sexe jusqu'aux fluides intimes couvrant sa peau. Seul les mots d'Ishtar, la désignant comme sexy, lui permirent d'émerger pendant une seconde.

« Vraiment... maîtresse... je suis... sexy ? »

Puis la baise reprit aussitôt. L'humaine vit la dragonne fourrer sa queue entre ses deux gros seins couverts de latex, et elle sentit son corps repartir dans un autre flot de plaisir crasseux et dégradant. Les anneaux traversant ses tétons lui procuraient encore plus de plaisir, elle ne pouvait plus se contrôler, elle en voulait juste plus, encore et toujours plus.

"Je vais te laver après... Mais avec ma langue ! Je veux que tu gardes ton odeur sexuelle... Tu pourrais adopter ce mode de vie ! Tu aimes être une grosse cochonne, cette odeur t'irais comme un gant ! Hmmm... Regarde mon gland sortir d'entre mes seins devant ton visage... Hmmm... Je vais juter sur ta face !"

« Oui maîtresse... OUI ! Je veux être... une grosse cochonne. Je veux avoir... votre jus... sur mon visage... OUI ! »

Jamais Helena ne se serait cru capable de descendre aussi bas dans le sexe, mais Ishtar avait le don de réveiller ce qu'il y avait de plus vicieux en elle, de l'ouvrir aux formes de SM les plus radicales qu'il lui ait été donné de voir. Elle était tellement excitée qu'elle commença à se caresser la chatte d'une main tout en pressant les melons de sa maîtresse de l'autre. Désormais, être sale et puante ne la dérangeait plus, elle était prête à accepter complètement cet état.

Au bout de dix minutes, après qu'elle ait joui de ses propres caresses, sa partenaire lui envoya plusieurs filaments de foutre épais et crémeux en plein visage, ce qui la fit à nouveau jouir. Elle avait beau avoir déjà balancée sa mouille plusieurs fois de suite, ses éjaculations féminines étaient toujours aussi impressionnantes, une vraie fontaine à cyprine.

"Tu as jouis avec ta chatte quand je t'ai juté dessus ? Veux-tu rester une cochonne toute sale ? Theorem peut très bien te laver avec sa langue de pédé si tu préfères ! C'est lui qui fait ma toilette tous les matins."

« Maîtresse... avec votre impression... j'aimerais au moins... être nettoyée à la langue... pour enlever cette sueur... ce sperme... et cette cyprine. Je dois être... un minimum présentable... pour vous. »

Puisqu'Ishtar avait ordonnée qu'elle garde son odeur sexuelle, le contrat empêchait Helena de prendre une douche, alors elle voulait au moins se débarrasser de tous ces liquides dégoulinants.

« Et aussi... si vous m'y autorisez... je voudrais... changer de robe. Celle-ci... est vraiment très sale. »

Elle avait tellement été maculée de foutre, de mouille et de transpiration, en mettre une nouvelle ne serait pas du luxe et l'aiderait à se sentir plus fraîche.

Finalement, Helena gagna le droit de se faire nettoyer le corps par la langue de Theorem. Ishtar envoya un SMS à son soumis pour le faire rappliquer et, dès qu'il arriva, il se retrouva avec un bandeau sur les yeux pour ne pas pouvoir observer le corps sulfureux de Huntress. Elle vit la petite pédale tâtonner pour trouver son chemin, il commença par lécher la semence et la sueur sur sa jambe droite, lustrant le latex avec sa petite langue rose. En quelques minutes, il termina avec cette jambe, puis passa à la suivante, puis à son ventre. Ce fut plus intéressant quand il s'attaqua aux aisselles, sa langue chatouilla l'humaine, qui riait doucement en la sentant passer sur sa peau. Pour terminer, il allait s'occuper de son entrejambe, mais là la dragonne alla s'asseoir et fit signe à sa servante humaine de venir sucer sa queue. Évidemment, elle se mit à quatre pattes avec un sourire ravi, et pendant que Theorem nettoyait l'intérieur de ses cuisses et de son rectum, elle taillait une pipe délicieuse à sa maîtresse.

« Hhhmmm... HHHMMM ! »

Impossible de couiner avec la bouche et la gorge remplie, mais Helena était heureuse. Même si ce n'était qu'un nettoyage superficiel, elle se sentait déjà plus présentable pour sa maîtresse. Cette dernière, en revanche, ne semblait pas vouloir se débarrasser des éclaboussures de mouille sur son bassin. L'humaine prenait son pied à se faire remplir la bouche par la bite juteuse de la dragonne et à se faire nettoyer le fondement par la langue du petit travelo. Elle laissa le plaisir l'envahir doucement comme un délicieux frisson, aspirant sans relâche le sexe de sa maîtresse jusqu'à le sentir tressauter plus fort.

Je viens juste d'être nettoyée, pas question de me faire souiller à nouveau.

Et le seul moyen de faire ça était de tout avaler. Mais quand Ishtar atteignit l'orgasme, et que le foutre commença à jaillir, Helena réalisa vite qu'il y en avait trop pour qu'elle le contienne. Elle avala le liquide encore et encore, mais il finit par déborder entre ses lèvres, et les gouttes atterrirent sur sa poitrine. Une fois l'éjaculation de la dame terminée, sa queue sortit de sa bouche et elle put à nouveau parler.

« Aahh... maîtresse... merci... de me rendre dégoûtante... »

Au final, même si elle avait demandé à être nettoyée, elle aimait quand même être sale pour sa maîtresse.

La matinée commençait à peine et Helena avait déjà été baisé comme une grosse chienne. Mais Ishtar avait encore d'autres projets pour elle. Après avoir rangé son sexe et renfilé sa robe et son manteau de cuir, elle emmena sa soumise avec elle, qui la suivit sans poser de questions. Encore pantelante et transpirante, elle suivit sa maîtresse de près jusqu'à l'une des salles inférieures du bateau, une salle d'entraînement pour les soldats de la dragonne. L'humaine observa un moment l'environnement avant de se tourner vers l'amirale, qui lui présenta un costume en latex noir et violet, assez semblable à sa tenue d'héroïne.

« C'est... c'est superbe maîtresse. »

Helena reçut ensuite l'ordre d'enfiler cette tenue pour aller combattre quelques robots, mais Ishtar lui enfila d'abord une ceinture gode avec deux dildos, un pour sa chatte et un pour son cul, et lui posa deux patchs en forme de cœur sur les tétons. Après ça, l'humaine fut habillée et reçut une bonne claque sur les fesses avant de voir sa maîtresse quitter la pièce. Elle savait très bien ce qui allait lui arriver avec une tenue pareille, et ce n'était pas pour lui déplaire. Elle mouillait déjà en imaginant la suite.

Dès que la porte se ferma, un robot humanoïde apparut et fonça sur l'héroïne avec un bâton long. Elle le bloqua sans peine et l'envoya valser contre le mur, en ayant au passage volé son arme. Elle lui assena un coup sur la tête pour s'assurer qu'il ne se relèvera pas, puis sentit quelque chose se passer sous sa tenue. Les godes logés dans ses orifices commencèrent à vibrer, de même que les patchs sur ses tétons. C'était léger mais néanmoins perceptible, et suffisant pour la perturber un peu. Deux nouveaux robots arrivèrent alors dans la pièce, armés de bâtons longs, et se jetèrent sur elle. L'humaine fit abstraction de son excitation naissante et se jeta dans la mêlée pour les mettre à terre. Et encore une fois, sa victoire fut récompensée par une augmentation d'intensité des jouets sexuels sous sa tenue.

« Aaahhh... »

Elle dut s'appuyer sur son bâton pour ne pas tomber sous l'effet de la surprise. Et ce n'était que le début de son supplice.

A chaque nouvelle vague, les robots étaient plus nombreux, mieux armés, et semblaient plus intelligents. Helena faisait de son mieux, mais à chaque fois qu'elle venait à bout d'un groupe, les vibrations dans ses zones intimes étaient plus fortes, et elle perdait sa concentration alors que de nouveaux ennemis venaient la combattre. Elle était blessée à plusieurs endroits, sa mobilité était réduite, mais elle tenait bon malgré la difficulté, craignant qu'Ishtar n'arrête tout de suite ses jouets si elle venait à abandonner. Elle se battait comme une lionne, mettant à la fois en pratique les enseignements de son père pour faire abstraction des distractions extérieures, et ceux de sa mère pour laisser parler sa sauvagerie au combat. Hélas, après avoir triomphé d'une énième vague, la force des jouets sous sa tenue fut telle qu'elle ne put retenir son orgasme plus longtemps.

« AAAHHH !!! »

Helena éjacula un grand jet de mouille qui alla former une flaque à ses pieds, puis elle s'écroula purement et simplement au sol. Les robots de la vague suivante l'encerclèrent, mais elle ne fit rien pour les combattre. Elle resta au sol, pelotant sa poitrine d'une main et se caressant la chatte de l'autre.

« Haaannn... maîtresse... pitié... je n'en... aaahhh... peux plus. Je veux de la bite ! AAAHHH ! Une belle grosse verge... bien dure... kkyyaahh... pour me bourrer la chatte... me remplir le cul... m'éjaculer à la gueule... hhhmmm... me couvrir de sperme... OOOUUUIII ! Je veux qu'on me baise ! »

Helena était une grande héroïne et une experte en arts martiaux grâce à l’entraînement de ses parents, mais aucun d’eux ne lui avait appris à combattre pendant qu’on stimulait ses plus bas instincts. De plus, elle avait été tellement habituée au sexe depuis son arrivée sur le navire d’Ishtar qu’il suffisait maintenant de peu pour la faire partir dans tous les sens. Après la cinquième vague de robots, l’envie de faire l’amour éclipsa tout le reste, et elle supplia sa maîtresse de venir la baiser. La dragonne arriva quelque minutes plus tard, désactivant les robots et annonçant à l’humaine qu’elle avait fait moins bien que Theorem, qui vient à bout de dix vagues par jour sans problème.

« Aahh… pardon… maîtresse. Je suis… désolée… hhhmmm… d’être une chienne… aussi… faible… ooohhh… »

La jeune femme sentit les vibrations de la ceinture s’accentuer, et son plaisir grimpa d’un seul coup. Elle se sentit approcher de l’orgasme, mais juste avant ça, le jouet dans son intimité s’arrêta net. La frustration l’envahit, elle aurait voulu crier mais elle ne pouvait rien contre les désirs de sa maîtresse, elle était toujours sous l’influence du contrat. Après quelques secondes, la ceinture redémarra, prit le temps de faire remonter sa porteuse dans les tours, mais la laissa encore sur sa faim au dernier moment.

Je sens que je ne vais pas aimer ce qui va suivre.

Helena fut redressée par Ishtar, qui lui menotta les mains dans le dos et lui passa une laissa autour du cou pour la guider. Pendant le trajet, le duo croisa plusieurs femmes de l'armée d'Infernis, qui ne se privèrent pas de se moquer de la pauvre humaine et de la provoquer en glissant leurs doigts dans leurs culottes pour se faire jouir. Huntress aurait voulu briser ses menottes et mettre une raclée à ces bonnes femmes, mais elle ne pouvait pas. Elle n'osa même pas les supplier de la laisser lécher leurs chattes. La balade lui parut durer une éternité à cause du jeu incessant de sa ceinture, mais quand elle arriva finalement, elle comprit que son supplice ne faisait que commencer.

Ishtar avait conduite sa soumise dans la Soute 8, une sorte de mini club SM réservé à l'élite des femmes haut gradées de son armée. Helena distingua les silhouettes imprécises de plusieurs dominatrices au milieu des lumières roses et bleues. Elles portaient des tenues en latex et soumettaient des marins avec plaisir. Elles étaient de vraies reines sexuelles. L'humaine suivit sa maîtresse jusqu'à ce qu'elle s'asseye sur son trône d'obsidienne. A genoux devant elle, l'héroïne l'écouta parler de celle qu'elle aurait pu devenir si elle avait rejoint les forces d'Infernis. Au lieu de ça, elle était devenue la soumise de l'amirale, et maintenant elle avait pour ordre de sucer sa queue, avec la possibilité d'un orgasme si elle faisait bien son travail.

« Aahh... oui maîtresse... »

Helena aurait fait n'importe quoi pour pouvoir enfin jouir. Elle pouvait sentir le regard et les rires des reines sexuelles autour d'elle, qui se moquaient de sa situation, mais ça lui était égal. Seuls deux choses comptaient à présent : la majestueuse queue de la dragonne et avoir un orgasme. Dans cette optique, elle se jeta sur ce sexe dressé et commença à le lécher de haut en bas. La position était difficile car elle avait les mains coincées dans le dos, mais elle ne se laissa pas arrêter pour autant. Elle lécha, encore et encore, jusqu'à ce que la verge soit trempée de sa salive, puis elle la prit en bouche pour la sucer goulûment. Elle faisait des bruits humides, bavait et se trémoussait un maximum dans l'espoir d'attirer la sympathie de sa maîtresse, ou au moins sa pitié. Elle n'en pouvait plus d'être privée ainsi de son plaisir, jouir était presque devenu vital pour elle.

Helena suça comme une damnée pendant de longues minutes, contractant ses abdos pour se maintenir en place, s'étouffant presque à forcer de gober cette trique géante, subissant les moqueries des autres dominatrices. Elle souffrait physiquement et mentalement, mais elle encaissait, juste parce qu'elle voulait atteindre son but. Et finalement, ses efforts lui permirent de faire éjaculer Ishtar, qui noya sa bouche sous un jet puissant de sperme. La plupart termina sur le sol ou sur la tenue de l'humaine, elle en avala une petite partie, mais une fois l'éjaculation de la futa finie, elle dégagea sa verge de sa bouche et toute sa frustration explosa d'un coup dans une seule demande.

« Que dois-je faire ici pour avoir un foutu orgasme ? »

Cette phrase s'adressait à tout le monde dans la pièce. Sa maîtresse tenait la télécommande, mais toutes les reines de latex autour voulaient peut-être aussi avoir un morceau de l'esclave frustrée.

La frustration de Helena avait atteint un tel niveau qu'elle aurait été prête à franchir certains extrêmes pour pouvoir enfin jouir. Heureusement, Ishtar se décida finalement à s'occuper d'elle. Elle lui retira les godes qui s'agitaient dans ses trous et glissa son pouce dans son anus dilaté, son autre main la tenant par les menottes.

« Aaahhh... maîtresse... »

L'humaine gémit de plaisir en écoutant la dragonne lui donner ses ordres : une bonne sodomie accompagnée de grognements de truie en signe de remerciement.

« Bien maîtresse... AAHH ! »

Elle sentit le sexe puissant de la futa s'enfoncer d'un coup dans son fondement. Il coulissait très facilement grâce à la préparation de son anus et à une bonne dose de lubrifiant. Prise par les menottes et par la hanche, l'héroïne se faisait ballotter comme une brindille par les mouvements de bassin de sa maîtresse, et comme si le fait de se faire baiser n'était pas déjà assez remuant, elle faisait face aux dominatrices de la soute qui profitaient du spectacle tout en se faisant lécher par leurs soumis.

Ah les garces. Elles doivent adorer me voir souffrir.

Au moins, cette souffrance allait connaître un dénouement heureux. Mais à force d'avoir été excitée et menée si près de la jouissance, le corps de Helena semblait faire de la résistance face au plaisir. Elle avait beau se faire enculer encore et encore par Ishtar, elle semblait ne pas pouvoir prendre assez son pied pour atteindre l'orgasme.

« Aahh... gruiiikkk... gaaahhh... gruik gruik... »

Que lui arrivait-il ? Elle se faisait sodomiser, pouvait regarder un tas de sous-hommes lécher de belles femmes en tenue de latex, et pourtant il lui manquait quelque chose pour que ce soit parfait. Et elle avait beau cogiter, elle ne trouvait pas ce que c'était.

Après plusieurs minutes à prendre du plaisir sans parvenir à jouir, Helena réalisa qu'il lui était arrivée exactement la même chose lorsqu'elle avait baisé avec Theorem, et le conseil qu'Ishtar lui avait donné à ce moment-là, c'était de se laisser aller et d'essayer de prendre son pied aussi bien physiquement que mentalement. Alors elle arrêta de réfléchir à ce qui lui arrivait et se laissa vraiment prendre au jeu. Sa maîtresse lui avait demandé de couiner comme une truie, alors elle se prêta encore plus au jeu.

« Gruuuiiikkk... gruik gruik... gruik ! »

Je suis une truie... une grosse cochonne... une truie dégoûtante et obsédée...

Elle aurait voulu hurler toutes ces insultes, mais après avoir commencé à moins réfléchir, il ne lui fallut pas longtemps avant de pouvoir enfin profiter de sa récompense.

« OOHH PUTAIN OOOUUUIII ! »

Pour Helena, cet orgasme fut comme un tsunami intérieur. Elle envoya un geyser de mouille hors de sa chatte, hurla comme une damnée, son visage se déforma en un ahegao délicieux. La jouissance la parcourut pendant de longues secondes, et quand les choses se calmèrent, elle sentit que ses muscles tremblaient, sa vue se brouilla, son esprit se vida, et elle tomba dans les pommes.