The Multiversity

Tout comme sa sœur, Bran savait employer les mots justes. En son for intérieur, il ne comprenait pas trop la volonté d’Ishtar, cette envie de transformer son amant en un homosexuel avec lequel elle ne coucherait plus jamais. Bran ne comprenait pas ça, mais, honnêtement, il s’en moquait. Il faisait ce qu’on lui ordonnait de faire, et la seule chose qui comptait, c’était que sa Maîtresse soit fière de lui. Le reste… Tout le reste était accessoire. Il sentait l’homme lui sucer la queue, pendant que ses mots semblaient faire mouche dans l’esprit fragilisé de Theorem. L’homme acquiesça, confirmant que tout ce que disait Bran était vrai. Ishtar l’avait féminisé. Dans l’esprit de Bran, il aurait été plus logique que l’homme devienne purement hétérosexuel, au vu des mœurs infernoises. Il lui avoua ne pas avoir pénétré une femme depuis plus d’un an, et Bran, tout en lui caressant les cheveux, finit par jouir en lui.

Dans un profond soupir, le corps musculeux de Bran sembla se détendre d’un coup. Il aspergea la bouche de l’homme de son sperme, enfonçant ses doigts dans ses cheveux, et jouit généreusement, balançant de multiples giclées de foutre.

« Hmmmm… !! »

Bran se relâcha ensuite, libérant les cheveux de l’homme, qui s’évertua alors à lui montrer qu’il avait avalé tout le sperme de Bran. Ce dernier sourit lentement, sa queue toujours grosse.

« C’est bien, ma petite pute… Mais il faut encore autre chose pour que ton repas soit parfait. »

Bran se redressa alors, et agrippa à nouveau les cheveux de Theorem, puis enfonça d’un coup sa queue en lui, ses testicules venant fouetter les lèvres de Theorem, avant qu’il ne se positionne. Bran soupira lentement, puis se détendit d’un coup… Et urina joyeusement dans sa bouche. Il vida sa vessie pendant de longues secondes, son corps se détendant au fur et à mesure qu’il pissait, comme un moyen de marquer le coup après avoir joui en lui.

Le vampire pissa donc pendant de longues secondes, puis se retira ensuite, en souriant légèrement.

« Voilà qui fait du bien… Pas vrai, petite pute ? Lèche mes bourses… »

Bran le laissa faire pendant un certain temps, juste pour permettre à sa queue de retrouver rapidement son érection.

« Bien, bien… Il est temps de passer aux choses sérieuses, maintenant, petite fiotte… Fous-toi à quatre pattes, bien comme il faut, dandine ton cul et supplie-moi de venir défoncer le cul du sale pédé que tu es. »

Bran allait inaugurer la nouvelle orientation sexuelle de Theorem. Dire qu’il n’y prenait aucun plaisir serait mentir, vu la taille de sa queue. Bisexuel par excellence, Bran prenait du plaisir au sexe, et, au-delà de ça, l’idée d’honorer sa Maîtresse, de faire en sorte qu’elle soit fière de lui, et que tout se passe bien avec Ishtar, le ravissait encore plus. Véritable esclave dévoué, il considérait que son propre plaisir était insignifiant, car seule comptait la volonté de sa Maîtresse. C’est ce qui faisait de lui un si bon esclave, capable de faire tout ce que sa Maîtresse lui dirait. En ce moment, son objectif était d’achever le fait de transformer Theorem en homosexuel. Bran savait que tout ça était un peu artificiel, mais il s’en moquait.

Son esclave se mit donc à quatre pattes, et Bran sourit, avant de se rapprocher. Et hop, il salua ce joli cul d’une belle claque sur l’une des fesses. Une claque forte. Bran n’avait pas la poigne d’Ishtar, mais il était, ne l’oublions pas, un solide guerrier. Partant de là, sa claque fit naturellement sursauter Theorem.

« Une peau toute douce, une belle peau de petite pute... »

Il sourit donc, et, avant de le pénétrer, posa son autre main sur son autre fesse, et les écarta avec ses pouces, dévoilant ainsi son anus, qu’il alla renifler et lécher.

« Oui, ça sent la bite et le foutre. Combien de fois est-ce qu’on te prend par là par jour, hum ? »

La réponse à cette question n’était guère importante, et Bran le gifla à nouveau, puis alla ensuite le besogner. Nul besoin d’une préparation supplémentaire, l’esclave était déjà très bien formé. C’est ainsi que Bran s’enfonça en lui, soupirant. Bran aussi avait l’habitude de sodomiser, ou de se faire sodomiser. Et, à l’instar de sa sœur, il aimait bien ça. En serrant les dents, en grognant, et en enfonçant parfois ses griffes dans le tendre petit cul de Theorem, il se mit donc à jouer avec lui, remuant d’avant en arrière, glissant sa verge le plus loin possible.

« Hmmm... Putain, haaaa... »

Bran accélérait de plus en plus. Fort heureusement, ses gants en latex émoussaient un peu ses griffes, de manière à ne pas faire saigner Theorem. L’homme le prenait donc, avec force, de la sueur commençant à glisser le long de son corps.

« Hmmmmmmmmmmmm... !! »

Avec un esclave tel que Bran, il était difficile de savoir quand il agissait pour le plaisir de sa Maîtresse, ou quand il agissait pour lui-même. Bran était un esclave parfait, merveilleusement abouti, ce qui impliquait que son propre égo disparaissait totalement au profit de celui de sa Maîtresse. Dès lors, et la question était légitime, le plaisir qu’il allait ressentir à sodomiser Theorem viendrait-il du plaisir en lui-même, ou du fait de rendre honneur à sa Maîtresse ? Dans tous les cas de figure, le fait est que, lorsque sa queue vint taper contre le petit cul tendre et moelleux de Theorem, Bran en ressentit une féroce excitation. Prostré devant lui, Theorem lui annonçait se faire sodomiser environ une dizaine de fois par jour. Cette réponse, Bran la connaissait déjà, car il était très observateur, mais il voulait aussi que Theorem, à sa manière, participe à sa propre décrépitude. L’humilier, le rabaisser, le traiter plus bas que terre, il savait que c’était l’objectif poursuivi par Ishtar, et que tenter de le transformer en personne homosexuelle s’inscrivait dans cette démarche intellectuelle.

Bran, lui, ne se sentait guère offusqué de savoir qu’il ne déflorerait pas le cul de Theorem. En un sens, il était même très excitant de constater à quel point l’homme avait une expérience importante. Et Bran, du reste, avait effectivement une verge impressionnante. Les vampires étaient généralement réputés pour être de très bons amants, car, du fait de leur contrôle sanguin, ils disposaient d’une vitalité exceptionnelle.

« Allons, petite pute, ne va pas me faire croire que la queue de ton Maître est démesurée par rapport à celle d’Ishtar… Mais c’est flatteur. »

Bran, et c’était ça qui était fabuleux chez lui, du moins selon Mélinda, n’était pas qu’un tueur impitoyable et un guerrier redoutable, mais aussi un homme très cultivé, et très intelligent. Sa queue s’enfonça rageusement dans le cul de Theorem, et il pinça ses fesses, venant les gifler, en grognant lentement.

« Tu… Hmmm… Tu veux savoir pourquoi tu trouves ça… M-Meilleur, petit pédé… ?! »

Il respirait lourdement, profondément, car sa queue était toute comprimée dans cet espace étroit. Il s’appuyait sur ses hanches, usant de tous ses muscles, griffant parfois ses fesses, tout en accélérant progressivement, intensifiant lentement ses coups de reins.

« C’est… Hmmmm… Parce que tu préfères le faire avec un homme ! Haaa… Sale fiotte ! »

Bran accélérait, au fur et à mesure que sa queue s’enfonçait en lui. Au-delà de ça, il fallait reconnaître que sa verge était à la fois dure et longue, et que, en accompagnant cela avec tous ses muscles, il était un véritable étalon. Quoi de surprenant là-dedans ? C’était un Warren, il avait été formé ainsi, c’était la marque de fabrique de la maison. Sodomiser un homme ne lui posait pas de problème, un trou restait un trou, et il fallait reconnaître qu’il se glissait très facilement dans le corps de Theorem, confirmant que ce dernier était effectivement un grand sodomite.

« Régale-moi de tes hurlements de tarlouze, sale pute… Allez, allez, couine, sale chienne, hurle, HURLE !! »

Sa main gifla à nouveau le cul de Theorem, claquant férocement dessus.

« Tu étais jadis un chevalier. Et maintenant ? Tu es une CHIENNE ! Une salope qui ne sert plus qu’à se faire défoncer le cul et à se prendre des bites à longueur de journée ! Alors, HURLE COMME UNE CHIENNE ! »

Bran avait une voix très grave, qui résonnait intensivement dans cette petite pièce.

Les deux amants se faisaient l’amour avec pugnacité et férocité. Visiblement, le traitement avait l’air de ravir Theorezm, qui, profitant d’un moment de battement, se retourna. L’une de ses mains se posa sur la nuque de Bran, et l’homme, posant ses mains gantées sur ses hanches, souleva son esclave, pour l’amener ainsi à s’enrouler contre lui, sa grosse et dure verge toujours plantée dans le corps de Theorem. Bran avait effectivement une superbe virilité, qui allait de pair avec un corps musclé et bien bâti. Tout ceci faisait de lui un amant particulièrement redoutable, un étalon magnifique, qui embrassa Theorem, posant une main sur les cheveux de l’homme, l’autre posé sur ses fesses, maintenant ainsi le corps de ce dernier contre le sien.

Bran, au demeurant, restait aussi un amant ayant une expérience sexuelle formidable. Il couchait très fréquemment avec sa sœur, ainsi qu’avec les autres femmes et hommes du harem. Comme sa sœur, il était difficile à épuiser sexuellement, et, comme sa sœur, il avait multiplié les positions, pénétrant autant de culs qu’on avait pénétré le sien. Les puissants de Bran vinrent enserrer le corps de Theorem pendant leur baiser, ses griffes s’enfonçant dans sa chair, maltraitant doucement sa peau.

« Hmmm… ! »

L’amant vampirique se faisait Plaisir, mordillant les lèvres de Theorem, trouvant effectivement que sa bouche avait tout de celle d’une femme. Pour autant, il fallait bien reconnaître qu’il n’y avait pas tant de différences que ça. Entre une bouche féminine et une bouche masculine, la différence, sexuellement parlant, était souvent plus psychologique qu’autre chose. Cependant, outre ses lèvres, Theorem avait un corps particulièrement fin, une silhouette très androgyne, autant d’éléments qui le faisaient ressembler à une fille.

Bran finit par grogner ensuite, et passa à un rythme plus rapide, puisqu’il alla contre le mur, retira sa queue du corps de Theorem, et le retourna, plaquant ce dernier contre le mur, le bras se coinçant contre sa nuque, dans une position typique de violeur en puissance, sa queue retournant caresser son cul.

« Ouais, ouais, petite pute, je vais te faire hurler, tu vas voir… »

Le vampire n’avait retiré aucun des vêtements offerts par Ishtar. Il avait toujours ses gants en latex, qui épousaient la forme de ses griffes, et ce curieux pantalon ouvert à hauteur du sexe. De la sueur commençait à couler le long de son torse, et il s’enfonça à nouveau dans le cul de Theorem, aplatissant ce dernier contre le mur, repartant en arrière, puis s’enfonçant ensuite en avant, son membre filant jusqu’à la garde dans son cul.

« Hurle, ma SALOPE, HURLE !! »

Bran se lâchait. Quelle force, quelle énergie, quelle vitalité ! Ah, il n’était pas un Warren pour rien. Aussi soumis soit-il, c’était bien lui qui agissait. En aucun cas, il ne se sentait forcé, et prenait un plaisir particulièrement jouissif à sodomiser ainsi la petite lopette qui rebondissait contre le mur. C’était bon, c’était intense, c’était tout ce qu’on voulait. Theorem rebondissait contre le mur, ses jambes soulevées à droite et à gauche du corps de Bran, tendues vers l’arrière. Le petit homme ne touchait même plus le sol, son cul étant perforé par le pieu de chair qui remuait en lui. Bran grognait et soupirait, enfonçant ses griffes dans la chair de l’homme, les gants en latex empêchant ce dernier de trop souffrir. Violent, dominateur, brutal, Bran était visiblement bien taillé pour jouer le rôle de dominateur, maltraitant le cul de Theorem avec une passion très virile, et une énergie insoupçonnable. Le vampire se lâchait à fond, s’enfonçant dans son cul, encore et encore, multipliant les voraces coups de reins.

Le brave Theorem en était tellement pris qu’il avait du mal à retenir sa propre salive, heurtant à chaque fois le mur, sa queue s’aplatissant contre ce dernier. Bran grognait et soupirait, maintenant un rythme soutenu, tellement heureux d’avoir droit à de telles choses. Sa Maîtresse le faisait beaucoup souffrir, mais elle lui offrait aussi quantité de cadeaux… Comme Theorem. L’homme se tortillait sur sa queue, et Bran sentait, à la manière dont le sang de Theorem s’emballait, que l’homme approchait de l’orgasme, hurlant son plaisir.

« Ouuiiii-OUUUUIIII… Jouis, JOUIS, ma PÉDALE, JOUUIIS !! »

Les orgasmes fusèrent donc. Bran avait appris à calquer son rythme pour jouir en même temps que sa Maîtresse, et c’était une chose qu’il avait conservé en lui. Dès lors, quand Theorem atteignit l’orgasme, et explosa dans sa cage de chasteté, Bran en fit de même, balançant d’impressionnants chapelets de foutre dans le tendre petit cul de Theorem.

« Hhmmmmm… !! »

Bran se vida en lui, jouissant pendant une bonne minute, ralentissant progressivement le rythme tout en expulsant son foutre, puis finit par s’écarter du mur. Theorem ne tomba pas sur le sol, mais resta maintenu par les bras de Bran, qui s’assit sur un fauteuil, et amena l’homme à se retourner, posant sa tête contre son torse. Un élan de tendresse particulièrement surprenant, quand on voyait la manière dont Bran l’avait traité au début de leur rencontre.

Le corps du vampire était en sueur, et il serra le corps de Theorem contre lui, ses mains caressant ses jambes, Theorem étant assis en amazone sur les cuisses de Bran, le sexe du vampire coincé contre le ventre du vampire et les cuisses du jeune homme.

« Ça t’a plu, hein ? Te faire prendre comme une pute ? Parce que moi, j’ai adoré défoncer ton petit cul… »

Il posa sa main sur le menton de Theorem, redressant un peu son visage, et l’embrassa tout doucement. Par bien des égards, un tel comportement était très similaire à celui que sa sœur, en ce genre de situations, empruntait régulièrement.

« Tu es heureux d’être une pédale ? D’avoir enfin admis ce que tu étais vraiment en ton for intérieur ? »

Bran avait appliqué sa propre variante, avec Theorem, de la doctrine Warren. Il avait fait parler le bâton avant de montrer la carotte. Un Warren se devait d’osciller entre les deux, et, tout aussi servile soit-il, Bran n’en restait pas moins le grand-frère de Mélinda Warren. Il partageait son quotidien depuis des siècles, et estimait être le plus proche confident de la femme, celui à qui Mélinda pouvait se confier sans souci, car Bran préférerait mourir, plutôt que de la trahir. C’est donc tout naturellement qu’il avait été brutal au début, car ce qu’il avait en tête, justement, était, conformément à la volonté d’Ishtar, brutal et violent. Mais, maintenant, il estimait nécessaire de serrer cette main de violence dans un gant de douceur, comme une sorte de touche finale pour faire accepter à Theorem sa nouvelle orientation sexuelle.

Theorem, après leur baiser, décida de nettoyer la queue de son Maître, qui le laissa faire. Bran avait généreusement joui, ce qui fit que son membre avait bien diminué. Il ne répondit pas aux remerciements de Theorem, ne voyant pas vraiment de quoi il devait être remercié. Certes, il l’avait accompli avec passion, mais sodomiser Theorem avait avant tout été une mission donnée par leurs Maîtresses respectives, qui avaient probablement dû bien se régaler à les voir ainsi. De plus, ce n’était pas comme si ça avait été un fardeau pour Bran, son orgasme était là pour témoigner du plaisir fou qu’il avait eu à sodomiser le petit homme.

À genoux devant lui, Theorem avoua avoir envie de le revoir, et un léger sourire orna les lèvres de Bran.

« Cela, ça dépendra entièrement de nos Maîtresses. »

Bran savait que Mélinda tenait beaucoup à Theorem, ce qui, en réalité, ferait que tout dépendrait de ce qu’Ishtar souhaiterait.

« Nous sommes des esclaves, Theorem, ne l’oublie pas. Peu importe ce que nous souhaitons, ce sont nos Maîtresses qui décident de nos destinées. »

C’était une manière relativement habile de lui dire qu’il tenait à lui, mais que, en l’état, cette donnée n’avait aucune importance. Bran avait été bien formé. Même face à un amant, sa Maîtresse était encore devant lui, garantissant ainsi à Bran de ne jamais pouvoir être libre, car sa volonté serait toujours soumise à celle, impérative, de sa Maîtresse et sœur.

À Ishtar de voir, donc, mais Bran ne doutait pas, maintenant qu’ils avaient fini, qu’il aurait bientôt des nouvelles des deux femmes.

« En attendant nos Maîtresses, continue donc à me nettoyer… Lèche mes pieds. »

Un Warren n’étant pas fétichiste ne serait pas vraiment un Warren…

Pendant que Bran et Theorem avaient joyeusement copulé ensemble, Mélinda et Ishtar, elles, ne s’étaient guère tournées les pouces. Bien au contraire, elles avaient joyeusement forniqué ensemble, devant le spectacle magnifique de son grand-frère, le puissant Bran, baisant avec Theorem. Après des débuts musclés, décidés à imposer le rapport de force, Bran avait fini par se montrer relativement doux. Sa sodomie, elle, avait manifestement été à la hauteur des espérances de son amante, ce qu’Ishtar avait prouvé en allant régulièrement la sodomiser. Leur lit était parcouru, ici et là, de tâches de foutre, mais aussi des traces de griffure de Mélinda, qui avaient zébré ce dernier en se faisant prendre par l’arrière, dans la position de levrette. Elle avait rapidement sorti sa queue, afin de pénétrer à son tour Ishtar, les deux femmes alternant régulièrement, même si Ishtar prenait clairement son pied quand elle butinait le cul de quelqu’un d’autre. L’idée, néanmoins, était de montrer qu’elles se considéraient mutuellement sur un pied d’égalité.

Là, Ishtar termina de jouir en elle, faisant gémir Mélinda, qui s’abaissa sur le lit, en soupirant longuement, ses longs cheveux dispersées le long de son dos et de ses bras.

« Ooooohhhh… Ishtar, haaaaa… Quelle énergie, c’est à croire que… Que tu es infatigable… »

En un sens, elle devait sûrement l’être. Les dragonnes, ça pouvait être très énergique, et voir Theorem se faire traiter ainsi avait considérablement excité Ishtar. Mélinda, elle, pouvait se féliciter de voir qu’elle appréciait les talents de Bran, et elle finit par repousser Mélinda, la couchant sur le dos, avant de s’empaler sur elle. Presque automatiquement, les mains de la vampire allèrent se poser sur ses hanches, les palpant et les massant tendrement, tandis qu’elle se mordillait les lèvres, frissonnant en sentant sa queue remuer dans l’anus de son amante.

« Oui, Ishtar… Hmmm… Fais-en ce que tu veux, il t’appartient… »

Mélinda savait néanmoins que son avis, et ses idées, comptaient beaucoup pour Ishtar, et, tandis que la dragonne s’empalait sur elle, et que le corps de la vampire se détendait, couchée en plein milieu du lit, elle laissait parler ses pensées.

« Ne… Ne lui retire plus sa cage de chasteté, oui… Et… Entraîne bien son… Son petit cul. »

Il était dommage de ne plus pouvoir se le faire, mais Mélinda, fondamentalement, ne perdait pas tant que ça au change. Elle avait fait plaisir à Ishtar, et pouvait donc espérer avoir renforcé ses relations avec elle. Oh, bien sûr, la vampire n’avait pas oublié la surprenante déclaration d’amour que la femme lui avait faite, mais, en l’état actuel des choses, elle essayait de ne pas trop songer aux conséquences que cette déclaration impliquait.

En attendant, elle voyait la queue d’Ishtar rebondir contre son ventre, et, quand l’orgasme vint, le sperme d’Ishtar éclaboussa le visage de Mélinda, tandis qu’elle-même se mit à jouir dans le cul de la femme, enfonçant ses griffes contre ses fesses.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaa… !! »

Un cri de plaisir s’échappa joyeusement des lèvres de la femme, dont tout le corps se tendit, avant de se relâcher d’un coup. Son sperme fusa dans le délicieux cul de la femme, et Mélinda relâcha un peu la pression, un sourire épanoui sur les lèvres.

« Tu es toujours aussi merveilleuse, ma dragonne d’amour. Viens… Je veux sentir ta langue me nettoyer le visage… »

Tout, ici, à Nachtheim, baignait dans le stupre.

Mélinda n’avait aucune envie d’en finir.

Visiblement, Bran avait convaincu Ishtar, et ça, c’était bien tout ce qui faisait plaisir à Mélinda. Elle n’aurait jamais choisi la voie empruntée par Ishtar vis-à-vis de Theorem, mais la vampire respectait ça. Elle avait déjà noté, quand elle avait eu Theorem chez elle, qu’il était très enclin à la soumission, à tel point que même ses esclaves les plus soumises arrivaient à le soumettre. Alors, peut-être qu’Ishtar avait raison… C’était probablement le mieux pour Theorem, que d’en faire un homme uniquement attiré par le plaisir anal, par le fait d’avoir un rôle passif. Elle n’irait pas jusqu’à dire qu’il était homosexuel, car elle ne voyait pas Theorem coucher avec uniquement des hommes, surtout à Inferis, un environnement très féminin, mais elle saisissait l’idée… Et, en attendant, ça ne l’empêchait nullement d’apprécier le moment, à savoir le fait d’être sous le corps de cette magnifique et puissante dragonne. Être sous elle, c’était un spectacle féérique, voir ce corps massif s’abattre sur ses cuisses, englobant sa queue comme si ce n’était rien. Mélinda avait vraiment trouvé une égale en la personne d’Ishtar, et, même si son orgueil lui interdisait de trop l’admettre, elle savait que, en un sens, cette femme lui était supérieure. Une puissante dragonne de Luxure, une dirigeante à la main de fer, qui avait fait de toute une nation une nation de perverses fétichistes… Comme un rêve devenant réalité.

Avoir tapé dans l’œil d’une telle femme n’était pas sans flatter durablement l’égo de Mélinda, et elle ne voulait pas gaspiller une telle amitié, d’où sa volonté de la renforcer, et d’y inclure sa femme. L’amour d’Ishtar était une chose troublante, et Mélinda, alors qu’elle était là, sous le corps de la femme, à se répandre dans le lit de Theorme, et à partager avec elle un baiser particulièrement humide, le sperme étant présent un peu partout dans la pièce, ne pouvait s’empêcher de se demander jusqu’à quel point cette « romance » inattendue avec elle avait influencé la relation entre Theorem et Ishtar. Car, qu’on le dise ou non, le fait de restreindre Theorem en l’enfermant dans une situation homosexuelle aurait nécessairement pour conséquence de distendre un peu la relation entre lui et sa Maîtresse. Mélinda avait-elle involontairement joué la fauteuse de troubles dans leur couple ? Cette hypothèse était séduisante.

En attendant, elle savourait l’instant présent, le délicieux baiser d’Ishtar, et jouit une ultime fois dans le cul de la dragonne, caressant avec ses griffes sa puissante musculation.

« Hmmm… ! »

Ishtar était à contre-courant des canons de beauté classiques. Loin d’être maigre, elle dégageait une puissance terrifiante, et, malgré sa taille, et son poids, il se dégageait d’elle une beauté incroyable, non seulement par sa passion immodérée pour le latex, mais aussi parce que, de manière plus générale, elle avait des formes très agréables à voir. Coucher avec elle était un vrai bonheur, et, dans un énième soupir, mélangé d’un cri de plaisir, ses griffes heurtant la moelleuse chair de la femme, elle s’abandonna en elle, se vidant dans son cul.

« Haaaaa… !! »

Après tous ces ébats, les deux femmes en sueur sortirent de la chambre, laissant le soin à un serviteur de la nettoyer. En sortant, Mélinda sentit l’érection du brave homme, et se contenta d’en sourire. Ici, à Nachtheim, tout n’était que sexe et débauche. Savoir que Mélinda était tout autant propriétaire qu’Ishtar ne pouvait que lui faire plaisir. Tandis que les deux femmes marchaient, la vampire, néanmoins, sentait une certaine fatigue musculaire pointer. Sa respiration était haletante, ce qu’Ishtar sembla noter.

« Hmmm… Oui, Ishtar, je n’ai pas ton endurance… Mon corps a besoin de reprendre des forces. »

Et, pour ça, rien de mieux que du sang. Quand Ishtar lui proposa son sang, celui de Mélinda ne fit qu’un tour, et elle se retourna vers elle.

« Tu m’offrirais ton sang ? demanda-t-elle. Je ne peux qu’accepter une telle offre… j’ai tellement couché avec toi que j’ai pu me faire une bonne idée de ce dernier. Ton sang est fort, Ishtar, et puissant. »

Autrement dit, elle avait très envie de le goûter.

Les deux femmes rejoignirent ainsi la salle du trône, où Ishtar s’installa sur son fauteuil, puis Mélinda, une lueur de plaisir dans les yeux, grimpa sur ses cuisses. Il y avait de nombreuses personnes ici, et Mélinda embrassa doucement le cou de la femme, le léchant.

« N’hésite pas à sortir ta queue pour m’enculer pendant que je te sucerai, Ishtar… Ça ne rendra la chose que d’autant plus plaisante… »

Elle sourit à nouveau, puis ses canines jaillirent, et s’enfoncèrent finalement dans le cou de la dragonne, faisant jaillir son sang dans la bouche de Mélinda…

…Qui le but fort volontiers.

C’était comme un téléphone portable ; quand un vampire n’avait plus de batterie, il fallait le recharger. Et un vampire ne fonctionnait pas à l’électricité, mais au sang. Dès lors, il en résultait qu’un vampire était théoriquement infatigable, puisqu’il suffisait de le recharger à chaque fois pour qu’il reparte du bon train. Dans les faits, néanmoins, si, certes, un vampire pouvait faire preuve d’une vitalité exceptionnelle, le sommeil était nécessaire même pour eux. Pour l’heure, Mélinda carburait au sexe et au stupre, mais, quand son corps n’en pourrait plus, elle partirait pour une longue sieste.

Collée contre la puissante Ishtar, elle savourait en effet sa puissance, sa musculature. Mélinda n’était pas affiliée qu’à un type de beauté. Elle était pansexuelle dans le sens où elle avait des goûts très diversifiés, et les femmes présentant un physique très musclé n’étaient ainsi pas pour lui déplaire. Ishtar était très belle, majestueuse, pleine de puissance… Même sans avoir encore commencé à la mordre, Mélinda sentait sa puissance, la qualité féroce de ce sang… La vampire, se pinçant les lèvres, alla donc la mordre, atteignant rapidement la carotide, qu’elle effleura très légèrement. Elle pouvait tuer Ishtar juste en tranchant sa veine, déclenchant une hémorragie interne. La vampire l’effleura donc très faiblement, de telle sorte que le sang de la dragonne pouvait continuer à circuler normalement… Sauf si elle se mettait à sucer.

« Hmmmm… »

Elle suça donc, et sentit le sang taper contre sa gorge, et… Haa, quel sang ! Quelle énergie, quelle force ! Ce sang, ce sang délicieux, Mélinda le sentait s’enfoncer en elle, remuant dans son corps. Oui, ouiii… ! Hann, qu’il pouvait être bon ! Onctueux, savoureux, magnifique, les premières gorgées ne manquèrent pas d’exciter furieusement Mélinda, qui mordit encore un peu Ishtar quand la grosse queue de son amante s’enfonça dans son cul. Han oui ! Boire du sang en se faisant baiser, ça n’avait vraiment pas de prix.

La grosse queue d’Ishtar remuait dans son fondement, et les solides bras de la dragonne l’écrasaient contre son corps, faisant joyeusement crisser ce latex. Au bout de seulement quelques minutes, Mélinda eut un délicieux orgasme, ses mains s’enfonçant contre les épaules d’Ishtar, la griffant afin d’y trouver un appui pour que sa bouche, jamais, ne se retire de son cou. Ishtar y allait « doucement », comme si elle avait peur que Mélinda ne fasse une fausse manœuvre. Sur ce point, néanmoins, elle n’avait pas spécialement à être inquiète, car Mélinda avait une longue expérience en la matière. Toutefois, il fallait bien admettre que le sang d’Ishtar était d’une rare qualité. En le buvant, la vampire sentit toute sa soif sexuelle revenir, et jouit donc généreusement sur les cuisses de son amante, répandant sa mouille sur les rebords de son trône.

Un second orgasme suivit assez rapidement le premier, tandis que la vampire continuait tendrement à sucer, aspirant ce sang magique. Ha, la petite se régalait ! Ce sang était vraiment magique. L’avaler ainsi, c’était un grand régal, mais Mélinda savait qu’elle ne devait pas abuser des bonnes choses. C’est de cette manière que, au bout d’une dizaine de minutes, elle finit par se retirer, soupirant contre l’oreille d’Ishtar. Cette dernière, visiblement plus amusée qu’autre chose, lui expliqua alors la puissance de ce sang, et Mélinda, qui lécha son cou, pour en avaler les quelques traces de sang, ne put qu’acquiescer, en souriant.

« Oui, Ishtar, ton sang est vraiment magnifique… À ton image, tout simplement. »

Elle lui sourit encore, et ondula un peu plus sur le corps de la femme, afin de mieux sentir sa queue en elle.

« Haaaaaaaaaaaaaaa… !! » soupira la jeune prunelle en fermant les yeux.

Elle les rouvrit après quelques secondes, conservant, sur ses lèvres, ce tendre et malicieux sourire.

« Il a même réveillé en moi… Une autre faim, hmmm… »

Le sang d’Ishtar avait effectivement revitalisé la belle Mélinda, qui se sentait maintenant prête pour un nouveau rodéo. La fatigue, qu’on avait pu apercevoir dans ses yeux, avait disparu au profit de yeux pétillants de malice et de désir. Elle frissonnait sur place, hypersensible pendant quelques instants, le sang dynamisant et amplifiant ses sens. Elle sentait tous les battements cardiaques environnants, les murmures et les soupirs éloignés des quelques Infernois et ouvriers mijakiens qui bandaient dur devant ce couple. Tout ça, Mélinda le perçut, et suivit la puissante dragonne à travers les couloirs de Nachtheim, jusqu’à rejoindre Bran et Theorem.

Bran n’avait effectivement pas quitté Theorem, et était assis sur le rebord du lit, dans une pièce composée d’instruments sadomasochistes. Mélinda regarda brièvement son frère, puis Theorem, et laissa ensuite Ishtar jouer avec lui, à sa manière. Tout était fait pour convaincre les personnes présentes que Theorem n’était plus attiré par les charmes féminins, mais par les charmes masculins. Démonstration fut faite en la personne de Mélinda, et, du fait de ses pouvoirs décuplés, la femme sentit clairement l’absence de réaction en voyant sa chatte, luisante de mouille, puis le désir venir quand son sexe masculin en jaillit. Une queue bien dure des forma, veineuse, un membre érectile, gonflé par le sang d’Ishtar, qui amena Mélinda, en sentant ce phallus jaillir, à soupirer faiblement.

« Hmmm… Oui, elle te plaît, ma queue, hein ? »

Mélinda s’avança à son tour, et sa main vint se saisir du menton de Theorem, soulevant son visage. La poigne était autoritaire, solide comme un étau d’acier. Un sourire malicieux perla sur les lèvres de Mélind,a qui planta ses yeux dans ceux de Theorem.

« Quand je t’ai connu, Theorem, tu étais déjà une petite pute comme on en faisait rarement… Tu aimais déjà passer des heures sous mon bureau, à me lécher mes pieds, à sucer ma queue, et à te délecter de ma pisse. Être une petiote fiotte, c’est ce que tu as toujours désiré. Plus jamais ta queue ne rentrera dans quoi que ce soit. Tout ce que tu es, maintenant, c’est un parking à bites sur pattes ! »

Peu glorieuse, l’expression était néanmoins à la hauteur de la réalité. Mélinda relâcha l’homme, puis se glissa dans son dos, et le força à se mettre à quatre pattes. Sans plus attendre, sa queue s’enfonça dans son cul, et elle crispa ses mains sur ses hanches, le griffant, tout en commençant à le prendre. Sa queue n’était pas aussi épaisse que celle de son frère, mais on la sentait quand même passer.

« Haaa… Haaaa… C’est… C’est toujours aussi bon de te défoncer ton petit cul de pute, Theorem, hmmm… »

Oui, c’était même très bon !

Régulièrement, des gifles vinrent s’abattre sur sa croupe, tandis que les mouvements d’avant en arrière se poursuivaient…