The Multiversity

Elles en profitaient, et elles avaient raison. S'il y a bien une fois où, dans leur relation, elles devaient se libérer, ce n'était lors de leur nuit de noces. Ses parents ont toujours mis un voile de pudeur dessus, mais la seule chose qu'elles affirmaient, c'était qu'elle était arrivée dans le ventre de sa mère, lors de cette nuit. Pour sa sœur Hana, elle était arrivée un peu plus tard dans le ventre de son autre maman. Peut-être elle aussi tomberait enceinte cette nuit, ça, elles ne pouvaient le prédire. En tout cas, ce n'était pas en passant par ce chemin que cela allait arriver. La belle Kokoro, dans son magnifique ensemble aussi doux que raffinée se faisait prendre par sa femme, elle aussi tout en beauté, mais dans une matière dont la belle princesse n'avait pas l'habitude. Tant à voir que toucher, mais elle allait devoir s'y faire, ce ne serait pas étonnant que la sorcière tienne de ses parents sur ça. Doucement, la prochaine reine du pays se lâchait, pour le plus grand plaisir de sa sorcière qui n'allait pas la contredire.

Kokoro était à quatre pattes, à se faire prendre par son épouse, elle s'en donnait à cœur joie d'explorer de nouveau son fondement, tout en s'affirmant sous un nouveau jour. Devoir dominer sa femme, cette idée était loin de lui déplaire, commençant par se montrer plus ferme, usant de la force, tant sur sa peau que dans son rythme. La princesse couinait juste un peu plus, montrant la joie qu'elles partageaient toutes les deux, avant qu'Arya ne vienne empoigner aussi ses cheveux pour la tirer un peu plus en arrière. Sa belle, mais pas opulent poitrine était mise en avant, scintillant sous la lumière, à cause de la sueur, elle remuait sous l'effort, la jeune femme respirait fortement, tout en laissant le bout de sa langue sur sa lèvre inférieure. La jeune sorcière ne la voyait pas, mais elle était malgré tout toujours aussi belle tandis qu'elle sentait sa puissance de frappe rebondir sur ses fesses. La jeune femme se courbait un peu, laissant ses fesses mieux épouser le bas-ventre de sa femme, même si elle restait peu contre elle, plus intéressée par le fait de la prendre, que de rester simplement en elle. Kokoro usait de son poids, et un peu de sa force pour lui prendre la main qui l'empoignait les cheveux pour la faire tomber en avant sur ce qui était leur lit désormais. Ainsi allongée, elle va pouvoir la prendre encore plus facilement. La prochaine reine se sentait proche de l'orgasme, elle comptait bien faire venir Arya avec elle dans cette direction. La sentir blottie dans son dos, pendant qu'elle se faisait enculer... elle avait honte de penser à de tels termes, mais elle aimait ça.

Arya se laissait peu à peu aller. La sodomie, c’était un acte sexuel intense, très fort, et qu’elle adorait. Elle avait ses fantasmes, et elle comptait bien les partager avec Kokoro. Quand elle faisait l’amour avec ses mamans, elle adorait quand l’une venait la prendre par l’arrière. C’était très souvent Maman Sha. Maman Kiriko était une guerrière redoutable, mais plus dominatrice en ordonnant à Kokoro d’aller au lit qu’en lui faisant l’amour. Elle était un peu fleur bleue, avec un cœur comme un artichaut ! Maman Sha était tout autant aimante, mais en couvant moins ses filles. En tout cas, Arya comprenait le pied qu’elles pouvaient prendre en s’enfonçant dans d’étroits petits culs ! Pour elle, c’était une première, la première fois qu’elle sodomisait sa Kokoro, ou même que quoi que ce soit s’enfonçait dans l’antre serré de sa Kokoro. Elle la sentait se tortiller sous elle, gémissant lentement, et Kokoro crispait ses mains sur les hanches d’Arya, sentant l’étroitesse de son fondement, la douleur autour de sa queue… Une douleur si jouissive ! Plus que jamais, Kokoro ressentait le paroxysme des contradictions inhérentes au rapport sexuel, ce mélange exquis de plaisir et de douleur, de souffrance et de jubilation.

« Oooh, ce que tu es serrée, ma belle… Hmmm… !! »

Elle se faisait plaisir, indéniablement ! Arya multipliait les coups de reins, s’enfonçant toujours plus profondément en elle, la douleur devenant le moteur d’une formidable énergie, un élan intense et dévorant qui envahissait totalement la jeune femme. Arya se laissait aller, la prenant avec force. Cela fit que, quand Kokoro lui attrapa la main, Arya bascula naturellement sur elle. Elle se coucha contre le dos de Kokoro, et gémit doucement, avant de reprendre son office, sa verge tendue et assoiffée ne désirant plus qu’une seule chose : se perde davantage dans les profondeurs onctueuses et savoureuses du corps de sa femme. Elle s’appuya sur le lit, bras à gauche et à droite de Kokoro, et fila encore d’avant en arrière, abattant et redressant son bassin, gémissant contre l’oreille de sa belle.

« Han, ma chérie, hmmm… C’est… C’est si bon de te p-prendre par là, hmmm… !! »

Sous ce rythme, l’orgasme d’Arya ne faisait aucun doute, alors elle essayait tout de même de tenir le plus longtemps possible, et d’offrir à sa femme un spectacle qui la ferait elle aussi joyeusement orgasmer !

Cela était en train de devenir officiel, si Kokoro était la prochaine reine d'Edoras, faisant d'Arya son épouse, ces dernières consumaient leur nuit de noces. En cette soirée si spéciale, nul doute que bien des couples devaient en faire de même au palais. Leurs parents – qui sait, peut-être ensemble – ainsi que bien d'autres couples plus ou moins officiel, comme Kon et Alicia Karistal. Depuis que le petit couple s'était déclaré leur flamme, la neko venait bien plus souvent ici, tout comme sa petite sœur qui a déjà mis les pieds à Mijak et prévoyait sous peu, avec sa bien-aimée, de rendre visite à leur tante Rhian, de voir ses épouses et leurs cousines. Mais pour en revenir à nos moutons, la jeune reine se faisait prendre par sa sorcière, sa puissante verge restait encore très douce avec elle, mais l'acte était quand même intense et rendait la jeune mariée complètement folle ! Sa chère Arya mélangeait la douceur et la rudesse, cet acte ne pouvait être aussi doux comme l'amour classique, s'enfoncer par-là, ce n'était pas une chose si simple. Qui sait, quand elle y sera habituée, peut-être, mais ça ne risquait pas d'être ce soir.

« Haaaaaan, Tu... Tu es la seuuuuule à... hum, à pouvoir m'avoir~ »

Logique en même temps, elles étaient tout juste mariées, mais là où Arya avait un minimum d'expérience avec l'aide de ses parents – entre autres – Kokoro n'avait connu que sa femme comme partenaire. Alors certes, à l'époque, le plaisir était surtout saphique, mais il était temps de passer à autre chose, surtout si plus tard, elles devaient assurer la descendance. Elles y sont encore loin, même si fonder une famille avec sa femme était son souhait le plus cher, elle voulait profiter un minimum de leur amour. Même si ses parents seraient ravis de jouer aux grands-parents, la jeune reine voulait profiter de son épouse d'abord. Elle sentait sa sorcière l'écraser doucement dans son dos, ses coups de butoirs toujours plus fort et tout autant délicieux, elle sentait tout son amour passer par le moindre contacte. De ses mains, de sa peau contre la sienne, par sa verge.

« Hou, ouiiii.... Prends-moi... autant que t-tu le voudras, Arya-chaaaaaaaaaan !!!! »

Si sa sorcière tentait de faire l'effort de se retenir, pour Kokoro, c'était impossible. Elle se relâchait sur le lit, la cyprine inondant les draps, encore une fois, mais c'était encore loin de faire jouir sa femme. Elle reprenait son souffle, passant un regard par-dessus son épaule.

« Pa-pardon... C'était trop bon... »

Et c'était loin d'être fini en plus ! Sa lingerie fine qui se frottait à celle plus épaisse et crissante de sa femme, le contraste était parfait, quand bien même sa sorcière à la peau couleur caramel était quand même encore très douce avec elle. La jeune reine gémissait en se dandinant légèrement contre elle, voulant amener sa femme dans le même état qu'elle.

« Vi-vide tes... tes couilles dans... dans mon petit cul, Arya-chan... »

La vulgarité semblait lui plaire, elle qui était une vraie princesse bien droite dans ses bottes, elle avait encore un peu de mal à se montrer vulgaire, mais pour sa femme, elle pouvait bien faire ça.

• Tenue d’Arya (vue de derrière)
• Tenue de Kokoro (vue de derrière).

Petit à petit, Arya la faisait basculer. Sa douce Kokoro-chan, elle allait la rendre plus perverse, elle allait la rendre beaucoup plus perverse. Oh, que c’était bon ! Plaquée contre son dos, Arya continuait à la sodomiser, enfonçant avec délectation sa queue dans son petit cul serré. Cuir contre lingerie fine, les deux fétichismes s’exprimaient. Elle, Arya, en noir, Kokoro, sa belle Kokoro, en blanc. Elle s’enfonçait donc dans son cul, et déplaçait ses mains pour palper ses seins, remuant toujours aussi énergiquement en elle, gémissant contre son oreille.

Arya soupirait donc, et finit par sentir la vague venir. Avec ses mères, elle avait acquis une certaine endurance, endurance qu’elle mettait à bon escient pour besogner Kokoro-chan.

« Haaaaaannn… !! »

Le sperme afflua avec force dans le fondement de Kokoro-chan. Avec un soupir heureux, Arya sourit, et s’abandonna encore dans le corps de sa partenaire. Elle jouit avec force, lâchant de longues et savoureuses giclées de sperme. Un sourire heureux sur les lèvres, Arya resta encore un peu dans le fondement de sa partenaire, se régalant de la manière dont celle-ci, au moment d’orgasmer, était devenue bien plus salace. Ses jurons et mots crus étaient du petit lait pour ses oreilles.

Arya se redressa ensuite lentement, la respiration lourde. Sa queue se retira du cul de Kokoro, et elle sourit en l’observant.

« Tu en as assez ? Car moi, je compte encore te baiser très longuement, tu sais… »

La jeune sorcière sourit encore, et se masturba lentement, caressant sa verge trempée.

« Allez, ne t’endors pas trop vite, ma belle, viens me sucer… Ma queue attend ta belle bouche pour pouvoir s’enhardir, et te faire encore l’amour… Encore et encore, jusqu’à ce que l’aube se lève. »

Et, en disant cela, Arya sourit encore, malicieusement, continuant à promener doucement sa main sur sa verge…

Leur amour remontait à aussi loin que remontait leur souvenir et à présent, elles étaient unies par des lois sacrées. On ne parlait pas de deux filles qui se mariaient, non, elles étaient destinée à régner sur Edoras. Ses parents leur laissaient une année pour voyager et vivre leur vie de jeune mariée, mais pour leur premier anniversaire de mariage, Edoras aura deux nouvelles. Princesse et sorcière, le pays n'a encore jamais connu une telle figure, mais ça ne choquait pas. Edoras a eu bien des reines et époux. Homme, elfe, kunoichi, princesse d'un autre pays, c'est aussi pourquoi l'idée d'avoir des princesses à la peau caramel ne choquait pas, du temps de la reine rose, la princesse avait ce joli teint de peau. Si les jeunes mariées profitaient de leur première nuit en tant qu'épouse, l'ange Sya avait mis le palais sous le signe de Lust, chaque couple vivait, une nuit, pleine d'amour. Leurs parents, leurs sœurs que ce soit de nouveau entre leurs familles ou chacun de leur côté, de l'amour pur, doux et innocent ou plus adulte et sexuel. Lust se renforçait ce soir dans ce pays.

Arya se terminait dans le fondement de l'ancienne princesse, arrosant le lit de sa cyprine tandis que le corps chaud et lourd de son épouse l'écrasait derrière. Ce n'était pas gênant, cela formait un doux cocon chaud et agéable, mais la sorcière était loin de brandir le drapeau blanc. Elle se redressa, tenant son sexe en main pour se masturber doucement sous ses yeux, lui demandant de venir la sucer. Kokoro se redressa doucement, comme sortie d'une longue nuit de repos, son visage se trouvait à quelques centimètres de sa verge qui reprenait doucement sa solidité. Elle prenait la main de sa femme, celle qui la masturbait, l'empêchant de continuer.

« Ne gâche pas ma semence... Ce qui se trouve dedans... C'est rien qu'à moi, n'est-ce pas ? »

Disant cela, elle venait embrasser ses testicules, sa queue venait la gêner un peu, mais ce n'était pas réellement gênant. Kokoro ne pensait pas devenir maman de suite. Si cela arrivait, elle en serait heureuse, mais ses parents leur offraient une année pour voyager et profiter, ce serait un peu dommage d'écourter cela pour rester au palais. Puis qui sait, avec le temps, ce sera peut-être la sorcière qui portera le bébé de la reine ? Prenant la main d'Arya elle léchait sa paume et ses doigts, chaque endroit maculé de foutre passait dans sa bouche ou sur sa langue, levant les yeux vers sa femme, sa queue se redressant doucement sous l'effet de ce nettoyage. Kokoro savait se montrer coquine, pas de façon naturelle et libérée comme Arya mais elle l'était de façon plus distingué et noble. Ce n'était que le début, Arya savait bien que sa femme était une débutante. Lors de leur première fois en femme, elle a cru pendant l'orgasme d'Arya que cette dernière lui avait uriné dessus. Ce n'était pourtant que de la cyprine. Son innocence faisait partie de son charme après tout. Sa main nettoyée, la future reine venait prendre sa queue à la base et elle la nettoyait doucement, avalant sa queue doucement, observant sa femme dans les yeux quand c'était possible.

Sa peau cuivrée et resplendissante sous l'effet de l'effort et la sueur, elle était la plus belle femme à ses yeux. Cette petite sorcière un peu taquine était devenue une belle femme, montrant bien l'union de la beauté de deux femmes comme Kiriko et la déesse Sha. Kokoro aussi était la fusion de deux belles femmes comme ses parents, mais deux edorasiennes, ça donnait forcément une edorassienne. Arya était à moitié déesse, à moitié Celkhane aussi et quelque part, un peu edorassienne. Hattori, ça sonnait bien d'ici après tout. Les grands-parents d'Arya devaient avoir des origines ici avant d'être reconnue Celkhane ? Kokoro suçait doucement, mais goulûment sa femme, gémissant tendrement pendant que ses mains prenaient ses testicules, les caressant comme un objet précieux et convoité. Leur futur se trouvait peut-être là ? Pas ce soir, pas la semaine prochaine, mais leurs enfants allaient commencer leur vie ici, pour la passer ensuite en elle ? Est-ce qu'elles auront autant d'enfants que leurs parents ? Les deux aînées de deux familles nombreuses, elles allaient vaincre des records de nombre d'enfants ou seront-elles plus raisonnables ? Impossible à savoir pour le moment.