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Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:41
par Doutzen Kroes
Doutzen et Aoki se retrouvaient. Quoi de mieux pour ça que du sexe intense, déluré, et débridé ? Doutzen salivait devant la tenue magnifique de sa Maîtresse. Un superbe ensemble en latex, qui lui allait vraiment à ravir, moulant ses formes à la perfection. Dans cet ensemble, elle était tout simplement somptueuse. La jeune femme se mordillait les lèvres en la regardant, proche de ce latex. Elle pouvait en percevoir les lignes, les contours, et sentir les crissements. Le cœur de Doutzen bondissait nerveusement dans sa poitrine, exprimant toute son excitation, et elle sentit soudain la main de sa Maîtresse, ferme et douce, qui alla plaquer son visage contre l’espace creux entre ses seins.

« Mmmhmmm… »

C’était une zone moelleuse et chaude, en forme de cœur, épousant également le visage de Doutzen. Elle commença par y frotter son nez, puis aventura ensuite sa langue, léchant cette zone, effleurant de son organe lingual cette douce peau, l’espace creux entre les seins de la femme. Sans hésitation, Maîtresse Kou appuyait avec sa main sur la tête de Doutzen, enfonçant un peu plus son visage contre ses seins, ce qui provoqua une série de crissements et de tendres craquements. Ah ! Le délectable et jouissif son du latex… Ceci n’avait pas de prix ! Doutz’ adorait vraiment ce bruit, ce son délectable et jouissif.

Elle frottait donc son visage contre les monts de plaisir de sa Maîtresse, tout en entendant cette dernière lui demander de s’occuper de sa verge, qui avait perdu de sa contenance. La première idée de la jeune blonde fut d’utiliser ses lèvres, mais la prise d’Aoki sur sa tête ne faiblit pas, l’amenant donc à déplacer ses mains. Jusqu’à présent, ses mains caressaient les hanches de Kou-san, grattant la combinaison en latex, et elle descendit donc une main, sentant rapidement la trompe.

La masturbation était un domaine dans lequel Doutzen, sans fausse modestie, excellait. Elle avait l’habitude, et sa main ne tarda donc pas à caresser ce sexe. La jeune femme le serra entre ses doigts, et remonta dessus, glissant sur la hampe de chair, puis repartit en arrière, tout en veillant à redresser ce membre. Elle le sentait pulser entre ses doigts, vibrer contre la paume de sa main, s’égaillant doucement. Un sexe était un organe vivant, très actif, qui ne demandait qu’à ce qu’on le stimule pour se déployer. Et c’était exactement ce qu’il faisait en ce moment.

Doutzen, avec sa bouche, embrassait les seins de la femme, et les léchait ensuite, surtout. Sa langue glissait sur la peau, cherchant parfois à lécher le latex, mais sans trop de succès, car Aoki la maintenait bien.

*Elle a une de ces poignes, c’est incroyable !*

Doutz’ était clairement sous le charme, et Aoki finit par la relâcher. Sa virilité était bien raide, et elle lui demanda ce qu’elle voulait faire. Doutzen sourit, et se mordilla les lèvres.

*Vraiment ? Parce qu’il y a un doute là-dessus ?*

Elle sourit malicieusement, et se pinça les lèvres.

« Eh bien… Je ne suis pas en porcelaine, Maîtresse. Il faut me baiser bien fort, vu que mon corps n’a pas eu l’occasion de sentir le vôtre depuis… Trop longtemps. Alors… Baisez-moi comme si j’étais la Reine des salopes ! Car, si c’est ce que vous voulez que je sois à vos yeux, alors c’est tout ce que je serais ! »

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:41
par Aoki Kou
Revoir sa petite Doutz-chan était si plaisant. Aoki en avait vécu des choses depuis qu'elle avait confisqué ses petits bonbons et maintenant qu'elle la retrouvait dans ce cercle intime et non-professionnel, elle savourait. Sa peau douce contre la sienne, sa petite langue sur ses seins, ses petites mains qui la caressaient, que de plaisir. Nul doute que la jeune femme savait que Doutzen était, ce qu'elle devait faire mais elle voulait l'entendre le lui dire avant de s'y lancer. Sa queue bien dure était la preuve que ça pouvait commencer mais pas avant d'avoir droit à son petit plaisir, voulant entendre de la bouche de Doutzen certains mots...

Aoki souriait en caressant sa joue, ce qu'elle l'adorait cette petite... Tant ses talents pourraient lui permettre de réaliser ses rêves, sans son charme et sa perversion était tout à fait à son goût.

« Mais tu EST la reine des putes ma petite Doutz-chan... Qui c'est qui met exprès de la lingerie de petite salope juste pour que je vienne la punir après les cours ? Qui c'est qui m'excite juste pour que je la baise rapidement entre deux rendez-vous ? Qui c'est qui me tend gentiment son cul pour que je vienne la punir ou l'enculer... quand ce n'est pas les deux ? »

Tout ce qu'elle disait était vrai, même si cela fait un moment que ce n'était pas arrivé et qu'avant, elle usait de jouet pour la prendre, maintenant, c'était une toute autre histoire. Lui tenant la main, elle l'amena sur son canapé – oui, elle en avait un dans son bureau, parfois pour s'y reposer ou prendre quelques clichés pour les filles voulant devenir mannequin. Elle la faisait s'allonger dessus, avant de venir la rejoindre, d'abord en se positionnant juste au-dessus d'elle, sa queue tendue n'attendait qu'une seule chose.

« Bien maintenant petite pute, il est temps de déterminer ce qui est meilleur chez toi ? Ton joli petit cul que je viens de prendre ou ta petite chatte ? Il est possible que je me tâte et que je t'encule de nouveau après mais, essayons d'abord ce chemin. »

La jeune femme gardait sa queue dans une main en l'enfonçant doucement en elle, soupirant légèrement avant de serrer les dents une fois bien dedans. Jouer les futas, elle n'en était pas encore habituée ! Reprenant ce sourire si rassurant, elle gardait sa petite Doutzen dans son regard.

« On va voir maintenant, en combien de temps tu me fais jouir ma petite pute d'amour ? »

Elle se pencha sur elle, l'embrassant alors qu'elle commençait aussi à se mouvoir, le début d'un rodéo enflammé ! Les mains sur le canapé, elle lui donnait de puissants coups de reins car la douceur, ce n'était que rarement entre elles, juste quand elle avait très bien travaillé ou pour finir avant de se quitter. Sa poitrine remuait un peu dans sa tenue de latex mais c'était surtout de voir le joli minois de Doutzen, déformé par le plaisir qui était si beau !

« Huuuum! Ooooh ouiii, ça m'avais manqué.... Ma petite pute d'amour! Huuum ! Han, je vais, hum, tellement te baiser que, ouh.... je vais te foutre enceinte ma salope. »

Elle ne pensait pas ce qu'elle disait, Félicia lui avait déjà dit qu'aussi amusant soit ce genre de jouet, le risque de tomber enceinte frôlait le zéro, et même avec de la magie ou la technologie pour augmenter le taux, ça restait très bas. Mais Aoki se demandait quelle serait la réaction de sa petite Doutzen qui irait s'imaginer enceinte ? De sa prof particulière. Cela ferait un très beau bébé vu les deux femmes en tout cas. Mais Aoki maman, elle n'imaginait pas encore cela, même avec Félicia, elle évitait le sujet, non pas qu'elle ne voulait pas en parler mais Félicia avait déjà des enfants et elle ne voulait pas, d'une façon ou d'une autre qu'elle ne pense trop à eux, rester en Amérique. Enfin, cela ne concernait en rien Doutzen.

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:41
par Doutzen Kroes
Doutzen était dans une situation critique. Elle était furieusement excitée par sa Maîtresse, par sa perversion, par ce latex, par le fait de la revoir en pleine forme, elle qui avait traversé des évènements tragiques récemment. La période de deuil était finie, et elles pouvaient maintenant repartir sur autre chose. Doutzen était sûre que, si Kanzaki pouvait les voir, elle comprendrait. La mort ne devait pas empêcher les vivants de continuer à vivre, et c’était bien là ce qui se passait ici. Après avoir sodomisé Doutzen, Aoki passa à une autre partie de son corps, en la déplaçant. La jeune lycéenne se retrouva couchée contre le canapé, et sentit la queue de Maîtresse Kou s’enfoncer en elle, remontant dans son vagin.

« Haaaaa... !! »

Le plaisir vint à exploser dans le corps de la jeune femme, qui se tortilla sur le canapé, gémissant longuement tout en sentant la femme remuer contre elle, lui offrant une vue magnifique. Dressée au-dessus d’elle, Aoki la prenait contre le canapé, leurs corps couchés dessus. Doutzen entendait les crissements du latex, elle voyait la combinaison briller, se tordre, se détendre, épousant les formes et les mouvements de sa Maîtresse.

Doutzen soupirait donc, remuant sur place, ses mains se crispant sur le dossier du canapé, ou venant s’appuyer contre l’épaule de la femme. Kou-san continua à remuer, enfonçant sa verge en elle, aussi loin que possible. Les joues de Doutzen devinrent cramoisies, et elle poussa des soupirs supplémentaires, en se tortillant sur place, sentant la queue de sa Maîtresse onduler en elle, remuer d’avant en arrière, la prenant joyeusement, sans ménagement, avec une force impressionnante malgré sa carrure.

« Hmmm... Maî-Maîtresse, haaaaa... !! »

Tant de plaisir, tant de passion ! Maîtresse la prenait durement, s’allongeant de plus en plus contre elle, amenant Doutzen à caresser son latex, s’appuyant dessus, crispant ses doigts le long des lanières de son décolleté en latex, s’enfonçant dedans, la plaquant davantage contre elle, de telle sorte qu’elles puissent partager entre elles un délicieux baiser. Leurs langues jouaient mutuellement, et Doutzen émettait de longs soupirs, remuant son corps contre le sien, soupirant encore.

« Oui, ouiii, haaaaa... Maî-Maîtresse, hmmm... !! »

Après la sodomie qu’elle avait vécu, accompagnée de jurons bien sentis, Doutzen était ravie d’être prise par là, de partager ce moment terriblement et merveilleusement intime. Elle mouillait abondamment, et chaque coup de reins de Kou-san voyait de la cyprine affluer de sa chatte, la rapprochant de l’orgasme, qu’elle atteignit dans un long soupir. Sa tête partit vers l’arrière, et, dans un long soupir, Doutzen s’abandonna au plaisir ultime.

Mais, même après cette vague furieuse, son corps restait encore assoiffé... Encore, encore, voilà ce que son être réclamait !

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:42
par Aoki Kou
Elles avaient tant à rattraper et pas uniquement sur le plan de carrière, là aussi, il va falloir mettre les bouchées doubles mais avant ça, c'était sa poupée qui avait besoin d'aide. Dans une relation de domination, il était important d'entretenir les liens, sinon, c'est comme une plante en manque d'eau, à trop attendre, le lien se meurt. Doutzen aurait pu trouver une nouvelle maîtresse ou passer à autre mais heureusement, leur lien semblait toujours solide. Et ce n'était pas le fait d'être futa qui changeait quelque chose. Plaquée contre son corps, elle se plaisait à enfoncer sa queue en elle, à l'entendre gémir comme une petite pute en manque, à passer son nez contre sa peau, sentant chaque vibration que son corps émanait, des vibrations de plaisir.

« Han, tu aimes, çaaaaa, ma petite pute ! »

Rares étaient les jouets d'Aoki, elle en as accumulé, qui durait plus ou moins longtemps mais elle ne savait pas si c'était le fait d'être son seul jouet extra-conjugal ou bien car elle était exceptionnelle mais si demain elle devrait abandonner Doutzen, ça lui fera un vide. Ses mains caressaient ses cuisses, ses ongles caressaient sa peau – sans la griffer ou la marquer – et parfois, une claque se faisait entendre, claquant ce petit cul, elle aimait l'entendre couiner, de plaisir ou de douleur, les deux. Le souffle chaud et haletant, Aoki aimait le faire sentir dans son cou, sur son oreille en venant lui glisser quelques mots qui allaient rendre sa poupée encore plus chaude.

« Je t'enculerais encore après... et je te baiserais aussi... Han ! Tu quitteras... ce bureau... que quand mes couilles seront v-vides ! Ma petite sex-doll à moi... Ma p-petite Doutz-chaaaan ! »

La jeune femme y allait toujours de plus en plus fort et quand arriva enfin les derniers coups de reins, elle mordait son cou, sans aller jusqu'au sang mais de quoi laisser une petite marque sur sa peau. Une envie de jouer les vampires ? Non, juste de lui faire mal. Son cœur ayant repris un rythme plus normal, elle se décalait doucement, se relevant un peu en écartant quelques mèches du visage de sa poupée en lui souriant presque tendrement. Aoki se retira pour poser ses fesses sur le canapé, tirant les mains de sa petite Doutzen pour la faire venir, venant lui plaquer le visage sur sa poitrine, non pas pour lui offrir une délicieuse pression entre ses seins, mais pour lui caresser les cheveux tendrement. Aoki était toujours aussi perverse et dominante mais aussi toujours aussi douce et câline. Une façon d'éviter de se montrer trop méchante lors de sa domination ? Peut-être mais Doutzen a connu bien pire avec Aoki que ce qui venait de subir. Après tout, il faut une raison pour se montrer gentille.

« Je suis si heureuse de te revoir, ma petite Doutz-chan. Reste un peu avec moi trésor... Après, tu me suceras mais juste pour nettoyer ma bite. Après ça, tu iras te changer et mettre mon cadeau, ensuite... Attendons de voir comment te va ton cadeau, d'accord ? »

Nouvelle sodomie, gorge profonde, vaginale ? Elle ne savait pas trop mais le sexe allait continuer. Qui sait, sa nouvelle tenue va peut-être inspirer Doutzen ? Elle acceptera peut-être un petit caprice de sa part ? Elle verra bien. Comme promis dans son bureau, il y avait un paquet pour elle, une ravissante lingerie bleu ciel, très bau, très fin et très doux au toucher. Avec sa couleur de cheveux, ça lui ira comme un gant, elle sera plus que bandante sa petite poupée. Voilà qui promet de rallonger un peu leur petite séance !

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:42
par Doutzen Kroes
Diable, quelle énergie, quelle force ! Aoki était bel et bien de retour, avec une énergie incroyable à revendre. Ce qu’elle faisait subir à Doutzen... Oh, il n’y avait pas de mots suffisamment forts pour résumer ça ! Doutzen dansait sur elle, faisant crisser sa combinaison, tout en sentant les mains de la femme caresser son dos, glissant sur sa peau nue et en sueur. Les cheveux de Doutz’ virevoltaient à droite et à gauche, tandis qu’Aoki crispait ses doigts sur elle, la giflait, grognant et soupirant.

« Hmmmm... Haaaaa... Votre queue... Maîtresse, hmmm... Elle est si-si grosse ! »

Elle ne disait même pas ça pour la flatter. Doutzen avait déjà connu avec des hermaphrodites, et savait que ces dernières pouvaient se doter d’une verge aussi grosse que celle des hommes, si ce n’est plus, grâce à la magie. Et c’était bien cette magie qui parlait, en ce moment. Doutzen la sentait remuer en elle, s’enfonçant profondément dans sa chair Elle continuait à gémir, encore et encore, sentant les minutes défiler. Oui, oui, sa Maîtresse était vraiment incroyable !

Dans ces conditions, Doutzen finit par jouir, quand Kou-san se pressa contre elle. Elle crispa ses doigts sur ses cheveux, et la mordit. Doutzen hurla alors, en sentant une vague de plaisir et de douleur la transpercer de part en part.

« HAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Un hurlement de plaisir la transperça, et elle s’abandonna alors, tout en sentant le sperme de sa Maîtresse remonter en elle, venant la remplir pendant plusieurs secondes. Tendu, le corps d’Aoki se détendit ensuite, et la main de sa Maîtresse se posa sur ses cheveux, venant caler sa tête contre le creux de sa poitrine. Fermant les yeux, Doutzen se pressa contre elle, venant caresser sa joue et son nez sur ce morceau de peau. Ce geste de douceur était à la hauteur de ce que Maîtresse Kou lui inspirait, pouvant se montrer autant violente que douce.

Doutzen reprenait sa respiration contre elle, tout en la sentant caresser ses cheveux en sueur, avant qu’elle ne passe à la suite. Doutz’, en entendant parler de son cadeau, redressa alors son visage, et se pinça les lèvres, les yeux venant à briller de désir.

« Maîtresse... »

Elle sourit, et hocha la tête, avant de reposer sa tête contre ses seins, et d’y déposer plusieurs baisers.

« Je suis si heureuse de vous revoir, Maîtresse... J’aime tant être votre jouet personnel, votre vide-couilles personnel.... »

Entre elles, il n’y avait aucun mot tabou. De fait, Doutz’ rajouta rapidement, en déposant un nouveau baiser sur le rebord de l’un des seins de la femme.

« Vous pouvez même uriner, je sais que c’est une chose qu’on ressent souvent après avoir fait l’amour. »

Aucune gêne, aucune pudeur ! Doutzen finit par s’écarter, venant se mettre à genoux, pour commencer, et alla s’attaquer à son sexe. Elle commença à le caresser avec sa main, et le lécha ensuite délicatement, venant avaler les dépôts de sperme qui s’y trouvaient. Ceci fait, elle vit rapidement la queue, déjà dure, se redresser de plus bel, trahissant l’exceptionnelle vigueur de sa Maîtresse. Se pinçant les lèvres, Doutzen ouvrit bien grand les lèvres, et suça donc ce sexe.

Suite à sa proposition, elle sentait la main de Kou-san se crisper sur ses cheveux, tandis que ses muscles se tendirent... Puis la femme vida ses couilles en elle, en pissant joyeusement. Doutzen ferma les yeux, en sentant une irrépressible et perverse vague de désir la traverser. Non seulement elle avala tout ce liquide doré, mais elle lécha ensuite le membre d’Aoki, le nettoyant des quelques gouttes qui s’y trouvaient. Difficile, à ce stade, de reconnaître en elle cette jeune fille innocente et naïve. Yoake avait transformé Doutzen, avait révélé en elle des parts de perversion insoupçonnées.

Maintenant qu’elle avait soulagé sa Maîtresse, elle se releva, et ouvrit son cadeau.

« Oh, Maîtresse... »

Ses doigts effleurèrent la belle tenue bleue électrique, très douce et très fine.

« Mais... Ça a dû vous coûter une fortune ! »

Aussi gênée que flattée, elle s’empressa toutefois de l’enfiler, et se dandina ensuite dessus, se penchant sur le côté en se retournant devant sa Maîtresse.

« Comment Maîtresse me trouve ainsi ? Est-ce qu’elle a envie de baiser bien fort sa petite poupée dans une telle tenue ? »

Elle, en tout cas, elle se trouvait terriblement belle dans cet ensemble !

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:42
par Aoki Kou
Aoki l'aimait sa petite Doutzen. Pas du même amour que pour Félicia mais si elle aurait dû choisir un jouet préféré parmi celles qu'elle s'occupait, c'était forcément Doutzen. Elle remplaçait peut-être le rôle de grande soeur qu'elle avait avec Kanzaki sur Doutzen ? Bon, avec Kanzaki, il n'y a eu qu'une seule fois un rapport, elle n'était pas très portée lesbienne alors Aoki respectait son choix. Mais là, c'était un peu comme avec Kanzaki, le sexe en mieux et en plus débridé surtout. Elle aurait pu prolonger ce petit moment de câlin, lui proposant d'aller ouvrir son cadeau après lui avoir un peu nettoyé la queue. Elle le fit même très bien, proposant même de lui pisser dessus. C'était déjà arriver mais juste pour lui montrer ce qui se passait en cas de punition. Mieux vaut qu'elle goûte à cela plutôt que faire exprès de la merde pour savoir ce qu'elle gagnait.

« C'est normal ma chérie, que ce soit aujourd'hui, demain ou dans dix ans, quand tu seras une star... si nous sommes seules, tu seras mon sac à foutre, ma petit pute préférée, mon adorable petite salope... »

Tant de douceur derrière ce genre de mot, cela se mariait parfaitement avec son expression si douce qu'elle avait pour elle. Laissant Doutzen faire son travail, Aoki gardait une main sur sa tête, la laissant la sucer en nettoyant bien sa queue, elle était peu habituée au fait d'être une futanari mais elle ignorait si cela était normal ou juste pour elle mais sa gaule avait du mal à être moins dur. Cela avec Félicia aussi, sa petite amie avait toujours une trique plus dure que l'acier peu importe le nombre de fois où elle jouissait. Elle soufflait trente secondes et c'était reparti !

« Mhhhh mouiiiii... Avale là, tu aiiiiimes la sentir tout au fond, ma petite salope adorée... »

Sans lui faire de gorge profonde, Aoki aimait bien la voir avaler sa queue entièrement, quitte à y aller doucement en la laissant gérer son rythme. Cependant, elle était quand même curieuse de pisser avec ce jouet, alors, pour faire plaisir à Doutzen et pour ne pas mourir bête, elle essayait et ce que l'on pouvait dire, c'était que c'était compliqué de pissé avec ça ! Elle poussait mais ça ne voulait pas ! Par chance, après avoir joui dans sa petite bouche, elle arrivait aussi à pisser même si ce fut plus dur avec sa trique. Au moins, elle sait que pour la punir avec sa golden shower, ce ne sera pas en futa !

« Va ouvrir... ton cadeau... Tu l'as mérité... »

En attendant, elle se reposa sur le canapé en attendant la suite, observant avant tout le visage de Doutzen face à son cadeau. Pas le genre de cadeau que ferait normalement un manager envers son élève mais leur lien était au-delà de ça.

« Le prix n'a aucune importance, essaie-le, je suis sûre que je ne me suis pas trompé en te l'achetant. »

Et en effet. Une fois prête, Doutzen était plus belle que jamais dedans. Si Aoki n'aurait pas eu la gaule, elle l'aurait eu e trois secondes en voyant sa sexdoll dedans. Elle était bien belle mais il serait bien dommage de déjà lui retirer une telle chose alors qu'elle venait tout juste de l'enfiler.

« Oh non ma chérie, je veux pas te baiser dedans, et encore moins te faire l'amour. Je veux te défoncer le cul et la chatte dedans. Mais on y viendra après, pour le moment, vient poser cet adorable petit cul sur mes cuisses. »

Autant prendre quelques minutes plus sobres pour mieux jouer avec leur langue que leur corps. Aoki s'empressa de caresser son corps moulé dans ce délicat tissu, caressant son corset, sa petite culotte comme sa poitrine. Doutzen avait tout d'un bijou très rare dans cette petite tenue. Aoki lui baisait le cou, caressant son corps avec délicatesse, même si sa queue lui hurlait de la prendre, elle écoutait avant tout son corps. En se retenant un peu, ça allait rendre ça que meilleur.

« Tu sais, je ne t'ai pas acheté que cette petite chose... J'ai d'autres cadeaux... que tu devras mériter. Mais j'ai aussi acheté des tenues dans la même collection, pour moi, et Hardy-senseï... Quand tu viendras nous rendre une petite visite... tu enfileras cette petite chose, nous, on enfilera les nôtres. Tu seras très bien reçu entre nous deux, ma petite sexdoll... »

Ne pouvant freiner son envie de la caresser, elle continua, venant même tourner son visage vers le sien pour un baiser aussi délicat que lent, si son corps ne pouvait résister contre le sien, au moins sa bouche était un peu plus lente pour elle.

« Ce soir, ou plus tard, tu diras à ton père que je veux bien le recevoir dans un restaurant pour parler de toi ou de ce qu'il veut, mais ensuite, tu viendras dormir chez moi, on se fera une soirée pyjama, avec ton professeur aussi. »

Ce qu'elle avait parlé juste avant. Même si ce ne fut pas son attention, Aoki avait bien partager une soirée très intime avec Haley Quinn et Poison Ivy juste après son deuil, elle avait même goûté à une Félicia futa pour la première fois. Elle voudra bien partager la sexdoll d'Aoki pour une petite soirée après tout. Depuis ces événements, Aoki débordait de confiance, que ce soit sa relation avec Félicia qui n'était plus secrète ou son possible passage en tant qu'agent du SHIELD, elle n'avait plus peur de Reto, alors que ce soit ce soir ou demain, qu'importe, elle va voir qui des deux à la plus grosse paire de burnes !

« Par curiosité... comment, selon toi on s'amuse, avec ton professeur ? »

Elle voulait voir si dans ses fantasmes, Aoki avait le dessus sur Félicia, si elle restait proche de la réalité ou si elle voyait carrément autre chose. La pauvre ignorait que certains soir, le duo Black Cat & White Cat ronronnait toute la nuit ! Aoki avait même déjà une autre surprise pour la venue de Doutzen dans leur lit. Le chaton va ronronner, pour sûr !

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:42
par Doutzen Kroes
C’était comme une sorte de rêve éveillé. Maîtresse devait tout de même faire attention, car, à distribuer ainsi autant de bonnes nouvelles, elle risquait bien de provoquer chez le cœur de la petite Doutz’ une crise cardiaque ! Elle était loin, cette époque où Doutz’ avait sa situation en horreur, et voulait s’évader de la maison de Reto. Maintenant… Maintenant, elle n’était plus si sûre de ce qu’elle voulait. Fuir ? Mener une autre vie ? À quoi bon ? Reto était un monstre, mais, au moins était-il honnête. Reto n’était un monstre que parce que la société était monstrueuse, dissimulant ses intentions derrière des sourires hypocrites et des visages neutres en col blanc. Avec Reto, Doutzen avait vu de quoi les élites de la société étaient faites… Et, si elle voulait devenir une star, elle allait nécessairement évoluer dans ce milieu. Elle l’avait déjà dit à sa Maîtresse, mais, en définitive, elle ne pensait pas Reto si mauvais… Du moins, par rapport à d’autres. Son père ne l’avait jamais battu, par exemple, même s’il avait fait d’elle une prostituée. Et puis, il avait veillé à son éducation, elle allait à l’école, alors qu’il aurait pu la maintenir chez lui, en la droguant perpétuellement, comme les Mafias avaient l’habitude de le faire avec leurs prostituées. Lui l’avait éduqué, précisément parce qu’il ne voulait pas d’une simple prostituée, mais d’un Petit Chaperon rouge.

Bref, tout ça pour dire que Doutzen avait, elle aussi, sombré dans les voies de la luxure, et pensait maintenant que Reto n’était qu’une autre des facettes de Yoake. Elle ne pouvait tout simplement pas critiquer son autoritarisme et aduler celui d’Aoki. Quand Aoki jouait la Maîtresse, elle avait un rôle similaire à celui de son père. Et c’était, en ce moment, le cas. Doutzen, assise sur les cuisses de sa Maîtresse, soupirait en sentant ses lèvres caresser son cou, es mains frotter son corps. Elle était sa délicieuse poupée, et mouillait sur elle, surtout en sentant sa queue contre elle. Elle la regardait parfois, si dure, si grosse. Kou-san avait beau avoir jouir récemment, elle était toujours aussi excitée.

« Maî-Maîtresse… »

Soupirant et haletant, en ce moment, tout ce dont Doutzen rêvait, c’était d’avoir Kou-san chez elle, en compagnie de Reto, dans sa combinaison en latex noire, à la torturer. Doutz’ n’avait qu’un référent paternel, et, dans sa psyché débridée et perverse, elle voyait en Aoki ce qui s’apparentait à un référent maternel. Son plus sincère désir était donc de les rapprocher, elle et Reto… Aussi, quand Kou-san glissa qu’elle allait accepter une soirée avec Reto, Doutzen en gémit.

« Vrai-Vraiment, Maîtresse ? »

Jadis, Aoki avait catégoriquement refusé ce rapprochement. Bien sûr, entre-temps, la jeune blonde avait vécu des aventures extraordinaires, mais ça, Doutzen l’ignorait. En revanche, ses yeux brillaient d’envie, et une soif furieuse se mit à naître en elle, signe de sa profonde excitation. Kou-san enchaîna les bonnes nouvelles, puisque, non seulement elle acceptait de se rapprocher de Reto, mais elle comptait aussi inviter Doutzen à une soirée avec elle et Hardy-senseï.

En entendant tout ça, Doutz’ sentit de multiples frissons parcourir son corps.

« Maîtresse… !! »

Il y avait tout simplement trop de bonnes nouvelles d’un coup, et Doutzen tremblait sur place, mouillant encore plus, les joues rouges et les seins tendus. Kou-san lui demanda alors comment, à son avis, les deux femmes s’amusaient ensemble, et Doutzen rougit. Elle était l’élève d’Hardy-sensei, et savait combien la jeune femme était impliquée. Elle était très sportive, car, contrairement à tous les autres professeurs de sport, elle, elle ne se contentait pas de s’asseoir sur un banc, et d’ordonner à ses élèves d’agir. Elle participait aux matchs, aux séances d’escalade ou de gymnastique, et provoquait parfois quelques érections quand elle faisait de la gym’.

Alors, forcément, Doutzen, qui n’avait jamais vu chez Hardy-senseï la Chatte Noire, ne put que répondre, en toute innocence (pour ainsi dire) :

« Oh, eh bien… Je gage que vous devez faire l’amour longuement avec elle, Maîtresse, et, que, comme avec moi, vous ne lui laissez aucun répit. Quand je vois ses fesses en cours… Je me dis que vous devez bien en profiter ! »

Elle se frottait lascivement contre elle. Parler longuement était difficile, car elle était très chaude, et respirait lourdement, en haletant, et frottait régulièrement son corps contre la queue de la femme. Malicieuse, elle termina ensuite :

« …Comme vous allez le faire avec moi sous peu, non ? Vous ne pouvez pas me laisser ainsi, Maîtresse, pas après avoir ravi mes oreilles de tant de bonnes nouvelles. Il faut que vous me baisiez bien fort ! »

Mais, ce qui était clair, c’est qu’elle n’arrivait pas à se représenter Kou-san sous les signes d’une soumise.

Autant dire que cette soirée promettait d’être passionnante !

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:46
par Aoki Kou
Retrouver sa petite Doutzen était une véritable joie mais Aoki comptait bien rattraper leur retard. Tant sur sa carrière que sur la vie privée. Elle avait des tas de choses de prévus pour elle, sur les deux plans, sa petite protégée allait bientôt vouloir ne plus quitter son manager. Aoki avait déjà prévu une soirée chez elle – ou chez Félicia plutôt – avec sa petite amie, elle allait lui en parler mais elle sera d'accord. De même qu'elle acceptait de voir Reto, dîner avec lui s'il voulait mais ça n'ira pas plus loin. En dehors de Doutzen, Aoki ne côtoyait personne d'autre pour le moment, en dehors de Félicia. Et ce n'est certainement pas un mafieux qui allait l'avoir ! Bref, Aoki ne pouvait que se ravir des prochains jours et semaines. Avec sa petite sex doll, elle lui demandait comment elle voyait sa relation avec son professeur ? Elle était dans le juste mais en inversant les rôles.

C'était Félicia qui profitait surtout des fesses d'Aoki, même si cette dernière en profitait aussi, la Japonaise était du genre à être un gentil chaton en présence de la Chatte Noire. Même si parfois, elle sortait les griffes et elle feulait, elle était toujours dominée par la belle héroïne qui avait volé son cœur. Doutzen s'excitait même toute seule en imaginant tout cela. Que c'était mignon ! Aoki caressa son corps sans passer à l'action pour le moment, tout sourire qu'elle était, elle se demandait comment elle allait prendre son pied quand elle sera entre deux femmes qui ont de l'expérience.

« Mais dis donc toi, tu commences à trop aimer cette queue, je trouve... Pour ça, je vais devoir te punir ma petite salope ! Mais... de quelle façon ? »

La question était rhétorique, elle n'attendait pas de réponse, elle imaginait juste chaque chose en fixant Doutzen, étirant parfois son sourire alors que ses mains parcouraient sa peau douce, caressant le tissu délicat qui l'habillait. Fixant ses petites lèvres, elle se voyait bien la punir via une fellation. Mais ça risquait de manquer de charme, Aoki aimait entendre Doutzen crier, qu'elle adore ça ou qu'elle a mal. Une cravate de notaire ? Hum non, elle attendra que la petite porte autre chose qui mettrait sa poitrine plus en valeur. Une sodomie ? Elle y a déjà eut le droit mais... peut-être. Des fessées ? Trop classique mais... ha, elle avait une certaine hésitation mine de rien. Aoki avait bien deux ou trois objets qui traînaient ici qui pourrait servir... mais non. Elle ne voulait pas déjà tout mélanger, d'abord qu'elle profite bien de cette queue, ensuite, plus tard, elle pimentera la chose avec de nouvelles saveurs.

« Oh, je sais ! Combien de temps tu peux retenir ton souffle ma petite salope ? Autant être franche, je vais te butiner la gorge ! Mais on va faire un petit jeu. Chaque fois que ma queue ne sera pas dans ta gorge car il faut bien que tu puisses respirer, je te punirais une fois que je me serais vidé en toi. C'est-à-dire, par exemple si tu dois dix fois reprendre ton souffle avant que tu n'avales mon foutre, ton cul va souffrir dix fois ! Compris ? Allez, je ne suis pas si méchante, je te laisse commencer quand tu veux mais attention... je ne veux que tes lèvres et ta langue sur ma bite. Tes petites mains, où tu veux mais pas dessus. »

La queue tendue, Aoki l'embrassa délicatement sans oublier de mordre sa petite lèvre inférieure pour bien lui rappeler que derrière la douceur se cachait un petit piment. Les jambes écartées, elle n'attendait que sa petite gorge au bout de sa queue. Doutzen était habituée aux gorges profondes ? Surement et si ce n'est pas le cas, elle lui trouvera un autre jeu. Elle veut s'amuser avec, pas la traumatiser. Mais une chose est sûre, Aoki tiens à entendre de délicieux bruit de sucions, de gorge et parfois, contre sa volonté, elle va la sucer un peu plus longtemps. Mais patience, les mains d'Aoki pour le moment étaient le long du canapé, elle profitait simplement.

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:46
par Doutzen Kroes
Doutzen avait encore du mal à croire à tout ce qu’elle vivait, tant tout cela était... Non seulement précipité, mais aussi jouissif. Maîtresse comptait se rapprocher davantage d’elle ! Elle allait revenir sur sa promesse de ne pas se rapprocher de Reto. Qui sait ce qui allait se décider ensuite ? Doutzen espérait juste que son père saurait se montrer moins intimidant, cette fois, et choisir un meilleur angle d’approche. Et puis, d’un strict point de vue pervers, il y avait, bien évidemment, cette queue qui se dressait devant elle, ce phallus assoiffé, ce vit érigé, qui était la preuve que Doutzen n’était plus une jeune femme douce, innocente, et sexuellement naïve. Yoake l’avait marqué, avait fait d’elle une belle perverse, totalement épanouie en la matière. C’était un rôle qu’elle assumait pleinement, maintenant, et Aoki l’avait remarqué.

Là, devant cette verge, elle observait en effet ce membre avec appétit. Elle s’en mordillait doucement les lèvres, ce qui conduisit Aoki à lui faire un nouveau jeu... Relativement original. Doutzen, qui portait toujours sa belle tenue bleue, sourit quand elle lui expliqua l’enjeu. L’idée était simple : une fellation intense, consistant en une gorge profonde, et où Doutzen devait la faire jouir sans reprendre son souffle. À chaque fois qu’elle reprendrait son souffle, elle aurait droit à autant de punitions, sans qu’Aoki ne précise le contenu de ces « punitions », laissant à Doutz’ le soin d’imaginer ce qu’elle lui ferait.

Doutzen sourit donc, et posa ses mains sur les cuisses de sa Maîtresse.

« Entendu, Maîtresse. »

Il était honnêtement impossible qu’elle arrive en une fois à la faire jouir. Elle savait combien sa Maîtresse était endurante, sexuellement parlant, et, comme elle avait déjà joui au cours de leurs retrouvailles, lui faire atteindre le plaisir suprême une seconde fois serait nécessairement plus difficile. Doutzen se rapprocha donc, reniflant l’odeur de ce vit, cette peau dure venant caresser son nez. Ses lèvres déposèrent un bref baiser dessus, puis elle se redressa encore un peu, et ouvrit la bouche... Puis l’avala.

Dans un gémissement, Doutzen força le passage, et couina encore en sentant le phallus s’enfoncer en elle. Doutzen soupira encore, mais réussit à enfoncer ce membre en elle, le sentant taper contre sa gorge. Yeux clos et joues rougies, elle commença ensuite à remuer, respirant par le nez. Avec un tel membre en elle, la respiration était difficile, car, même si elle pouvait utiliser son nez pour inspirer, le sexe d’Aoki bloquait le passage. Et elle avait l’interdiction de se retirer ! Doutzen sentit alors les mains gantées d’Aoki se poser sur sa tête, et sa Maîtresse l’aida à remuer un peu sa tête.

Concrètement, la jeune blonde fit surtout pointer sa langue, léchant ce phallus de haut en bas, s’y attaquant délicatement, en reprenant encore son souffle.

« Hmmm... !! »

Doutzen recouvrait ce membre de sa salive, et, soupirant à nouveau, finit par se retirer, afin de respirer à nouveau. Pour autant, elle ne rompit pas la fellation, mais écarta juste assez le phallus de sa Maîtresse pour pouvoir respirer avec ses narines, et recommença ensuite, provoquant bruits de mastication et soupirs multiples. Ses mains, elles, s’étaient crispées sur les cuisses de la femme, et caressaient ses collants en latex avec plaisir.

Oui, en ce moment, la jeune femme se régalait !

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:46
par Aoki Kou
Aoki comptait bien rattraper ce petit retard qu'elle avait prise avec tout ce qu'elle avait vécu ses derniers temps. Si elle avait bien rattrapé cela avec Félicia, sa petite Doutzen n'allait pas passer à côté, surtout maintenant qu'elle élargissait ses horizons en jouant aussi avec une queue. Elle voulait bien faire progresser leur relation, au-delà du plan professionnel, elle pouvait aussi voir plus loin. Certes, sa Black Cat restera celle qu'elle aime vraiment mais rien n'empêche cette future star de devenir une vraie perle, de devenir aussi sa sex-doll voir même, leur sex-doll. Félicia ne sera surement pas contre cette idée. Avec son petit défi, elle comptait bien savourer sa victoire mais Aoki n'allait pas tout gaspiller en une seule fois, elles allaient en profiter longuement. Il n'y avait pas besoin de défi pour subir ce genre de chose avec la belle Japonaise mais ça ajoutait une petite justification pour montrer qu'Aoki n'était pas si... méchante.

Elle pouvait très bien réussir ce défi sans recevoir de punition mais c'était comme joué avec une extrême facilité, cela deviendrait vite lassant. Cependant, elle ne la brusquait pas, elle faisait que faire bouger son bassin, enfonçant son membre dans sa bouche, venant parfois se cogner contre sa gorge. Délicieux. Si déjà, Aoki trouvait ça délicieux avec quand elle sera prise au piège avec elle et Félicia, la nuit promettait d'être longue !

« Huuuuum oh ouais. Regarde-toi ma belle... je suis sûre, hum, que tu pourrais faire ça toute la journée. »

Peut-être bien... En tout cas Aoki continua, laissant sa main sur sa tête pour faire continuer le mouvement pour savourer son savoir-faire. Sa petite langue sur sa queue, c'était si bon... Félicia ressentait ça aussi avec elle ? Pas étonnant que depuis son opération, elle souhaitait user au maximum de son investissement ! Après de délicieuses et longues et surtout savoureuses minutes, Aoki se crispa en saisissant sa tête, lachant la purée dans sa petite bouche en gémissant, une libération qui n'était que pur bonheur.

« Haaaaaaa ! Avale tout, ma salope.... Han ouais.... Han, c'est si bon de jouir dans ta petite bouche... »

Retirant sa queue, les dernières gouttes seront au bout de sa queue ou tomberont au sol, ce n'était pas important. Elle se pencha sur elle, baisant ses lèvres doucement en lui frottant la tête comme elle le ferait avec Rex, son berger allemand.

« Tu as aussi beaucoup de talent dans ce domaine. Si tu n'avais pas autant de talent à vendre à une vraie caméra, je suis sûre que j'aurais pu te trouver de quoi devenir une super star du cul. Mais toi ma petite étoile, tu ne dois pas briller dans les bas-fonds des quartiers, toi, tu brilleras au-dessus d'Hollywood ! Rhabille-toi, Doutz-chan, on va devoir partir donc, parle à Reto de notre futur rendez-vous, j'organiserais de mon côté notre petite soirée pyjama... »

Pour sûr, il n'y aura pas tant de pyjamas que ça...

« Et pour ce qui est des punitions... » Qu'elle a réussi à le faire sans retirer sa bouche ou non, Aoki avait toujours le dernier mot. « On fera ça quand je le déciderais, tu pourras te reposer pour le moment tout comme craindre que ma sentence ne tombe n'importe quand... Mais je te rassure, ça ne sera pas pour aujourd'hui. »

Doutzen va devoir vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de sa tête, non pas que ce soit vraiment dérangeant vu l'épée qu'elle brandissait entre ses jambes. Aoki retirait peu à peu sa tenue pour redevenir Kou-san, celle qui gérait la carrière de sa petite étoile, Maîtresse Aoki va se reposer. À la limite, en rentrant, il était possible qu'elle soit de nouveau utilisée mais surtout comme soumise cette fois, pas en dominante. C'était rare de la voir dans ce rôle avec Félicia dans les parages. Pratiquement de retour dans son rôle sérieux, elle agrafait doucement mes boutons de sa chemise en se penchant sur Doutzen, caressant ses beaux cheveux blond.

« N'oublie pas pour demain, après tes cours, tu n'a pas théâtre, on va devoir te faire passer ton premier vrai casting. »

Ce n'était que de la figuration mais aucune idol – chose que Doutzen n'était pas encore – ne commençait à tourner dans un film avec un vrai rôle en si peu de temps dans le showbiz ! Même avec des relations. Ce petit rôle peu très bien propulsé sa carrière d'un grand bond en avant mais même un petit bond était bon à prendre. Vu que casting il y a lieu, il est possible qu'Aoki laisse sa protégée tranquille jusqu'à sa représentation mais après... Demain est un autre jour.

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:46
par Doutzen Kroes
Le retour d’Aoki fut une merveilleuse chose. Doutzen quitta le club en étant ravie, les yeux dans les nuages, et annonça ensuite à Reto que Kou-san voulait s’entretenir avec lui. Son père en fut ravi, et, dès le lendemain, appela l’agence d’Aoki. Il fut rapidement en ligne avec elle, et l’invita à une soirée à l’un des restaurants gastronomiques les plus riches de la ville, le Muramasa-jo.

« Il faut que nous repartions sur des bases plus saines, vous et moi. »

Le restaurant fut prévu Vendredi soir, et, après ça, Doutzen passa une semaine plutôt normale. Elle participa aux castings d’Aoki, et apprit ainsi que son rôle dans une série se précisait de plus en plus. Pour elle, c’était un grand moment qui se rapprochait, mais, comme elle était encore mineure, Aoki en était arrivée au point où elle avait impérativement besoin de l’autorisation de Reto pour que sa fille participe à une série télévisée. Les producteurs de la série étaient emballés par la jeune fille, et comptaient bien lui donner un rôle important. C’était une série télévisée pour adolescents, sans grande envergure. Le script était celui d’une love story pour teenagers, et le studio avait eu l’autorisation de tourner les scènes au lycée Jimmu pendant les vacances scolaires.

Doutzen présenta le script à son père, qui en fut ravi.

« Tu es heureuse de devenir actrice, Doutz’ ? »

Elle n’avait pu qu’acquiescer, faisant sourire son père.

« J’ai toujours su que tu avais un grand talent, Doutzen. Je ne t’ai pas pris uniquement pour ton minois. Mais je ne vais pas encore signer l’autorisation. Je dois d’abord m’entretenir avec ta  ‘‘Maîtresse’’ auparavant. »

Entre-temps, Aoki avait également parlé à Félicia de la situation, notamment de ses doutes avec Reto. Mais Félicia, elle, n’avait jamais été une super-héroïne pure et blanche, comme pouvait l’être Spider-Man.

« Tu sais, j’ai souvent eu affaire à des criminels au cours de mon existence, et j’en suis moi-même une. Tu ne dois pas être trop brusque, Aoki... Et puis, ce que tu fais avec Doutzen est également illégal. Ce que je veux dire, c’est que Reto a aussi des bons côtés, et Doutzen a l’air de voir en toi plus qu’une simple coach. »

Félicia avait eu l’occasion de se renseigner sur les Petrovski. Reto, par exemple, était originaire de Russie, et le clan des Petrovski était en train de gagner un pouvoir considérable.

« C’est une mafia qui gagne en influence et en pouvoir. Grâce à Doutzen, tu disposes d’une porte d’entrée dans cette mafia, qui intéresse de près le S.H.I.E.L.D., car ils font affaire avec des criminels de Terra. C’est une occasion rare, à ne pas négliger. »

Mais le choix, finalement, appartenait à Aoki. Elle n’avait reçu aucune instruction du S.H.I.E.L.D., pour l’heure. Quoi qu’il en soit, Vendredi soir finit par approcher. Le Muramasa-jo était à la fois le nom d’un restaurant et du château historique de Yoake, bâti dans les collines de la ville. Un fort qui avait jadis protégé la ville contre des clans ennemis, et était maintenant la propriété des Guramu, le plus puissant clan yakuza de la ville. Ils avaient acquis ce fort historique suite à la Seconde Guerre Mondiale, et avaient aménagé une partie des locaux au public, en créant un restaurant gastronomique de luxe, dans un style traditionnel, et un musée.

Reto s’occupa de tout le financement, et un taxi alla chercher Aoki, pour la conduire au restaurant. Par SMS, Doutzen avait bombardé Aoki, indiquant qu’elle était « impatiente » de la voir. Le taxi rejoignit donc les hauteurs de la ville, longeant la forêt, et s’arrêta sur la cour. Un serveur vint en personne accueillir Aoki, portant d’élégants gants blancs, et l’invita à le suivre.

Le restaurant comprenait une grande place centrale en bois, avec un énorme aquarium au centre, et des alcôves permettant d’offrir de l’intimité et de la discrétion aux clients.

« C’est ici, Madame. »

Reto et Doutzen étaient déjà là... Ainsi qu’une autre femme. C’était une table avec deux banquettes, et Reto était assis à côté d’une femme.

« Ah, Kou-san ! Il ne manquait plus que ça ! Bonsoir ! Je vous en prie, prenez place à côté de Doutzen ! »

La jeune femme s’assit donc. Doutzen portait sa belle robe rouge, et, rapidement, Reto fit les présentations :

« Kou-san, je vous présente Olga Gurluchenko. Olga nous vient tout droit de Russie, et elle est arrivée il y a quelques semains à la maison.
Je suis enchantée de vous voir enfin, Kou-san. Doutzen parle énormément de vous. »

Olga portait une robe en latex plutôt courte. Difficile de se méprendre sur la nature de la relation qu’elle entretenait avec Doutzen.

« Olga est une formatrice de Doutzen... Une formatrice sexuelle.
En Russie, je suis une Maîtresse. Je travaille dans le sadomasochisme auprès de riches clients, mais mes employeurs m’ont relocalisé ici pour que je m’occupe exclusivement de Doutzen... »

Doutzen rougit lentement, et, consciente que c’était à elle de s’exprimer, elle rajouta :

« Je... J’aimerais que vous veniez chez moi, Maîtresse. Mais... Pour ça, il faut que ce soit avec une autre femme, au moins au début.
Bien sûr, nous ne sommes pas là pour ça à proprement parler, mais nous parlons de l’avenir de ma fille. Le choix vous appartient. Doutzen veut se performer dans le domaine du sexe, et, comme vous avez pu le comprendre, je suis plutôt ouvert sur la question. Alors, je vous propose l’assistance d’Olga si vous le souhaitez. En toute hypothèse, elle sera là pour former également Doutzen. C’est une demande qui vient de très haut.
Je pourrais m’occuper seule de la formation sexuelle de Doutzen, mais nous nous sommes dits que ce serait mieux de le faire ensemble... Avoir un programme commun, en quelque sorte. »

Le choix appartenait à Aoki...

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:53
par Aoki Kou
Aoki ne pouvait pas encadrer Reto, depuis leur première rencontre, elle avait vu quelque chose de pas net entre lui et sa « fille », même en apprenant par la suite qu'aucun lien de sang ne les liait, elle ne trouvait pas ça saint. Avec la suite, elle avait vu qu'elle ne pouvait pas ouvrir les yeux de Doutzen, ne pouvant pas non plus simplement dénoncer ça, vu son cas, elle devait faire avec les moyens du bord. Sans violence, elle va propulser Doutzen sur le haut de la scène et, à défaut de l'enfermer, elle fera en sorte de l'éloigner de Reto. Lui qui a ses affaires louches, il ne pourra pas suivre sa fille partout, c'était déjà ça. Puis vint la perte de Kanzaki et sa remise en question. Elle était donc décidé à aider Doutzen, peu importe la façon mais elle va commencer par la manière douce. En plus, étant à présent presque une agent du SHIELD, elle pouvait les aider donc c'était tout bénéf' !

Se préparant pour le rendez-vous, elle n'avait aucun agent sous couverture pour l'aider, voulant paraître à tout pris clean pour ce rendez-vous. Sa seule surveillance était d'envoyer un message à Félicia à certaines heures pour lui dire que tout allait bien mais bien sûr, sans être aussi direct, avec un certain code. Prendre des nouvelles de son chat pour dire que tout allait bien, des nouvelles de son chien pour dire que ça ne sentait pas bon, et des nouvelles de son chat et de son chien pour dire qu'elle devait venir la chercher de suite ! Mais comme la soirée débutait, elle n'en était pas encore aux codes. Vu l'endroit, Aoki était bien habillé, rien de vulgaire non plus, c'était avant tout un rendez-vous professionnel. Arrivant au restaurant avec chauffeur, elle fut surprise de voir une autre personne en plus de sa petite Doutzen et de Reto, surtout vu la façon dont elle était habillé, ce ne serait sûrement pas sa tante, mère ou même nourrice.

Cette Gurluchenko venait de Russie et Doutzen lui avait beaucoup parlé d'elle ? Tiens donc ? De quel genre de chose avait-elle partagé se disait-elle ? Aoki lui renvoya la balle en étant enchanté de la connaître mais quand elle apprenais qui était cette femme, son regard se tournait doucement vers Doutzen, un regard quelque peu accusateur à vrai dire, bien qu'aucun mot ne sortait de sa bouche pour le moment. Elle les avait laissé parler pour s'étendre sur ce qu'ils avaient à dire mais elle ne comptait pas approuver cela bien gentiment, même si elle voulait aussi éviter de faure de vagues.

« Je suis ici avant tout pour m'assurer de la carrière de Doutzen, de lui trouver des rôles, de l'aider à améliorer son jeu. Pour ce qui est de cet autre apprentissage, ça regarde avant tout Doutzen. Je n'ai rien contre l'aider sur cette voie mais ce n'est pas ma priorité, ma priorité, c'est que d'ici quelques années, en allumant la télévision, un magazine ou n'importe quelle page internet, je vois ma petite Doutzen illuminé tout les médias, que tout le monde l'adore pour sa beauté comme son talent. »

Aoki se voulait pro sur cet entretien, mais il y avait un lien entre elle et son élève, un lien qu'aucun contrat et aucun accord ne puisse déceler. Aoki était sa maîtresse et Aoki n'était pas du genre à se laisser voler sa proie comme ça. Olga la formait peut-être depuis plus longtemps qu'elle, qui sait, mais Aoki comptait conserver son jouet pour elle. Rien n'empêcherait de jouer a deux avec le même jouet mais Aoki comptait bien montrer à cette Russe qu'elle n'allait pas se laisser faire. Peu importe la réponse de la petite blonde, dés qu'elle aura un moment de libre avec elle, elle va lui rappeler qui est sa véritable maîtresse et à qui elle doit lécher les pieds. Elle ne lui en voudrait pas, comme elle l'avait dit, pour venir la voir, elle devra être avec quelqu'un, autant que ce soit cette Olga qui était sélectionnée par quelqu'un de haut placé. Tôt ou tard, Aoki réussira à vendre assez d'information au SHIELD mais pour le moment, elle devait faire profil bas.

« Donc, tant qu'on me laisse réaliser le rêve de Doutzen, je me fiche de savoir qu'elle veut aussi développer ses autres facultés. Je priorise son rêve, le reste n'appartient qu'au libre choix de notre petite Doutzen. »

Ce qui était faux, Aoki comptait bien faire d'elle une femme fatale, qui en dehors de ses pattes sera une femme qui ne se laissera pas marcher sur les pieds, dominante et aussi dure qu'Aoki mais une fois de retour entre ses mains, elle compte retrouver cette brave petite chienne docile qu'elle aime tant.

« Tu as les cartes en main pour bâtir ton avenir, Doutzen, c'est à toi de décider de ce que tu souhaites pour ton avenir, qui pour te former, et sur quel sujet ? »

Aoki avait la priorité sur son rêve mais nul doute qu'elle sera aussi sur la case sexuelle, très certainement avec Olga pour ne pas froisser son père. Mais qu'importe, Aoki devait passer pour une fille propre pour ne pas élever les soupçons sur elle, il n'y avait aucun micro ou espions ici – à sa connaissance – donc autant les brosser tout les trois dans le sens du poil pour le moment. Tant qu'Aoki garde la main mise sur l'avenir de Doutzen, ça lui va. Elle regardait cette dernière avec un doux sourire, pour mieux cacher le loup qui était en elle et qui allait dévorer le petit chaperon rouge qu'elle était une fois seule en sa compagnie. Ce n'était pas sa faute ce qui arrivait mais laisser son père proposer une autre maîtresse qu'Aoki ? C'était une insulte. Bref, quoi qu'il se passe, la suite allait être délicieux en compagnie de Doutzen, voir même d'Olga ? Qui sait, Aoki pourrait se faire une amie ?

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:54
par Doutzen Kroes
Aoki assura que seul l’avenir professionnel de Doutzen l’intéressait. Tout ce qu’elle voulait, c’était la former. Reto esquissa un léger sourire, pendant qu’Aoki demandait finalement à Doutzen son avis. Rougissant benoîtement, la jeune fille ne savait tout simplement pas quoi dire. Reto intervint alors :

« Je vous avoue avoir du mal à saisir le rapport entre la formation pour devenir actrice, et les relations sexuelles que vous entretenez avec Doutzen. »

Reto savait tout ce que Doutzen et Aoki faisaient… Ce qui, visiblement, irritait Aoki. Son discret regard n’avait nullement échappé à cet homme. Il avait beau être musclé et ressemblé à une brute, Reto n’en était pas moins intelligent, et très observateur. Il avait donc vu le regard discret d’Aoki vers Doutzen, et précisa rapidement les choses, afin de désamorcer la situation.

« Inutile de nous mentir, Kou-san. Pensiez-vous vraiment que Doutzen me mentirait ? Qu’elle ne me dirait pas ce que vous faites ? Alors que je vous avais dit être au courant de votre pedigree ? Je n’ai pas envoyé Doutzen chez vous sans raison. Je voulais que vous soyez autre chose qu’une simple agente de management… Je voulais que vous soyez sa Maîtresse. »

Inutile d’être grand clerc pour savoir que Doutzen manquait d’un référent maternel dans sa vie. Ses parents l’avaient abandonné, et elle vivait dans un environnement très masculin, avec Reto et ses hommes. Olga Gurluchenko, parlant de là, était une sacrée surprise, un revirement de situation qui pouvait perturber les choses, en faisant d’elle une potentielle rivale… Ce que Reto ne voulait pas. Cette soirée avait donc bien des raisons d’être, mais, dans tous les cas, Reto savait qu’Aoki ne ferait rien sans Doutzen.

C’est pour ça que la jeune femme se mit à parler, en regardant Aoki :

« Je… Ce n’est pas un piège, Kou-sama. Mon… Mon père ne cherche pas à te piéger, il n’y a pas de micro, ni de journalistes.
Nous parlons librement, trancha Reto. Vous n’avez pas à vous cacher, Aoki. Vous êtes la Maîtresse de Doutzen, et je respecte ce statut. Comme moi, vous tenez à cette jeune fille. C’est pour ça que je l’ai pris sous mon aile, vous savez. Rien ne me forçait à l’éduquer, à l’adopter même. Je l’ai fait parce que j’ai senti en elle un pouvoir important… Et vous, vous contribuez à faire d’elle une Louve. Seulement voilà, Aoki, vous n’êtes pas de la famille… Ni Russe. Je ne peux décemment pas dire aux autres que Doutzen a comme Maîtresse une Japonaise sans attirer les soupçons.
Je suis votre caution, traduisit Olga. Je ne veux pas être votre rivale, mais plus… Une sorte d’assistante. »

Les informations défilaient à toute allure. Reto ne cachait nullement appartenir à la Mafia russe, estimant que, à ce niveau, seule une honnêteté sans faille pouvait permettre à Aoki d’avoir suffisamment confiance en lui pour accepter de venir dans sa maison. Mais, encore une fois, c’était à Doutzen d’intervenir, ce qui amena cette dernière à serrer sa main contre celle d’Aoki.

« Je… J’aimerais beaucoup que vous veniez chez moi, Maî-Maîtresse… Après tout, vous m’avez invité chez vous, et… Ce serait juste que je vous retourne la pareille. »

Elle rougit en le disant, tout en se mordillant les lèvres.

« Je sais que vous ne m’aimez pas. Je ne peux pas vous en vouloir, j’ai fait des choses mauvaises. Mais, en ce qui concerne Doutzen, je n’ai jamais rien fait qui soit contre son intérêt. Je reconnais que mes méthodes sont un peu… Brutales… Mais je ne l’ai jamais frappé, ni torturé. Tout ce que je veux, dans le fond, c’est la même chose que vous… En faire une femme forte, puissante. Rien ne me ferait plus plaisir que de voir Doutzen sur grand écran, car… Elle le mérite. Elle est intelligente, douée, futée… Et jolie. Le profil parfait. Mais vous comme moi savons combien le monde du showbiz est lié à celui du sexe… Ce qui fait de vous la formatrice idéale pour elle. »

C’était, en définitive, aussi simple que ça.

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:54
par Aoki Kou
Il faudrait se crever les yeux pour ne pas voir qu'Aoki restait calme face à Reto uniquement car elle le faisait pour Doutzen. Ce genre de type à profiter de tout et de rien, elle en a connu. Même dans son agence, elle n'a pas atteint ce prestige uniquement grâce à son travail. Elle s'est vengée en prenant la place de ses types qui pensait être au-dessus d'elle mais ce Reto... Elle tentait bien de noyer le poisson mais ce qu'elle disait était vrai, avant tout, elle voulait faire de Doutzen une star, lors des premières fois face à elle, elle ne pensait qu'à Félicia et pas à elle ou une autre. Sans cette maudite copine qui gérait leur cours de théâtre, jamais elle n'aurait joué avec Doutzen et si elle aurait craqué, ça n'aurait pas été aussi vite.

« Que cela parte de ''bonnes'' intentions ou non, j'ai du mal à voir ça d'un bon œil... Que je le décide ou que Doutzen me le demande, j'aurais trouvé ça plus normal... Mais vous, qui êtes comme un père pour elle, vous venez non seulement me dire ça en face et devant elle en plus ? »

C'était ça qui l'irritait, quel père irait demander à quelqu'un de devenir la maîtresse de sa fille ? Ça lui sortait par les yeux. Enfin, ils n'étaient pas ici pour parler de ça, il fallait bien faire avancer les choses, au moins pour Doutzen. Cette histoire de mafia russe ne lui plaisait pas, via une des amies de Félicia, qui a une amie qui travaille dans la police, elle sait que la mafia russe est en ville, ils traînent autour d'un night-club pour le moment et la police compte agir bientôt. Peut-être Reto va tomber aussi à ce moment ? Allez savoir. Mais ça l'inquiétait de savoir que ce type n'était pas le chef, elle le pensait. Peut-être pas le parrain de mafia russe mais au moins chef d'une petite famille ? Elle ne connaît la mafia qu'à travers les films après tout.

« Je l'ai dit et je le redis, j'ai décidé de m'occuper de sa carrière, ce que je compte faire. Elle est pratiquement inconnue aujourd'huis mais bientôt, le monde entier s'arrachera Doutzen. Elle n'y ai pas encore mais évidemment je comptais la mettre en garde contre ses requins aux idées mal placée. Pour le moment et à pour toujours, elle sera en dessous de moi, je serais sa maîtresse. Mais quand je la lâcherais dans la nature, monde du showbizz ou pas, elle montrera aux autres ce que je lui ai appris et c'est elle que l'on appellera maîtresse, dans le privé. »

Même si elle avait eut un léger sourire, elle avait déjà décidé ça depuis le début, même si elle n'avait rien dit. À quoi bon en faire une petite star si elle se laisse marcher sur les pieds et avoir par les producteurs véreux et pervers ? Ça non, Doutzen sera une femme fatale, à l'écran comme ailleurs, c'est ce qu'elle comptait faire. Déposant le verre, elle reprenait avec tout son sérieux.

« Je sais que vous avez sûrement des conditions à tout cela mais je préfère déjà poser les miennes d'abord, honneurs aux dames, non ? Il est évident que je verrais tout pour lui décrocher les meilleurs rôles, les meilleures places pour sa carrière et pour cela, j'ai besoin qu'elle soit toujours libre pour moi. Je ne parle pas de sa seconde formation-là, de sa vraie carrière. Évidemment, si elle est malade ou qu'elle a un souci personnel, je n'y peux rien, je ne suis pas un dieu. Mais sans empêcher ses études, je veux faire en sorte qu'elle soit toujours disponible pour moi, pour me suivre aux différents castings ou shoot qu'elle pourrait avoir. »

Naturellement, Aoki avait pour mission de la rendre célèbre.

« Pour ce qui est de sa seconde formation, je veux bien que Gurluchenko-san soit à mes côtés mais évidemment, je tiens à ce que j'ai des moments seules avec Doutzen. Comment avoir une bonne relation si on est constamment épiée ? »

Si Olga reste avec elles que chez Reto, ça lui va, si elle doit la supporter à chaque fois qu'elle emmene Doutzen quelque part, ça risque de devenir lassant... Doutzen est son jouet après tout.

« Comme dernier point, je tiens à ce que jamais on m'interdise de la voir. Que ce soit parce qu'elle a oublié quelque chose dans mon bureau ou que je tiens à lui parler de quelque chose de privé, je veux toujours pouvoir la voir. »

Doutzen était un peu la Kanzaki qu'elle avait perdue, à la différence qu'entre elles, c'était bien plus sexuelle. Kanzaki avait couché une seule fois avec elle et n'avait pas aimé cette relation lesbienne, choix qu'elle a accepter, continuant de gérer sa carrière sans ses propositions. Alors elle voulait pouvoir être là pour Doutzen, que si quelque chose ne va pas, elle soit là pour elle, qu'elle lui parle de problème de cœur ou de vie, elle sera là pour l'écouter et l'aider. Ce sont là trois points qu'elle tiens à avoir de son côté, si elle les obtient, ce sera pas mal. Aoki était dominante, même sans cravache et tenue en cuir, elle devait le montrer aux autres. Bien que ce soit Felicia la femme à queue du couple, parfois, Aoki devait se faire pousser des bourses pour les poser sur la table, comme maintenant.

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:54
par Doutzen Kroes
Aoki se mit alors à parler, et exposa ses conditions, se dressant face à Reto. Il y en avait beaucoup, et l’homme resta silencieux, l’écoutant parler, pendant que Doutzen rougissait en entendant les plans d’Aoki la concernant. Reto, en réalité, était plutôt amusé par la situation, et, quand la jeune Japonaise termina, il avala un peu de bière, avant de lui répondre, tranquillement, et calmement :

« C’est amusant, n’est-ce pas ? Vous me reprochez d’être trop dirigiste concernant ma fille... Alors que vous avez des projets visiblement très importants pour elle, à long terme. Ironique, n’est-ce pas ? »

La jeune femme pouvait dire ce qu’elle voulait sur lui, la vérité était qu’ils étaient très proches, l’un de l’autre.

« Enfin... Je sais que mon éducation vous surprend, et je l’admets volontiers. Je ne suis pas un père atypique... Mais ce que je dis est vrai. Doutzen souffre d’une carence affective, du manque d’une figure maternelle dans sa vie... C’est ce manque que vous comblez. Je ne vois pas en quoi il est si horrible que ça de vous laisser la voir. Tu n’es pas d’accord, Doutz’ ?
-  O-Oui, Père... »

Elle rougissait sur place. Reto commença ensuite à attaquer les entrées. Il s’avéra manipuler à la perfection les baguettes japonaises, enfilant entre ses lèvres des barquettes de crustacés, tout en poursuivant :

« J’ai pris note de vos conditions. Aucune ne me dérange. Mais j’ai moi aussi les miennes. »

Il s’attaqua ensuite à un petit bol en verre, en avalant le contenu, dont plusieurs crevettes élégamment saucées. C’était un restaurant gastronomique, alors la nourriture était à la hauteur de ce qu’on pouvait espérer.

« Vous voyez ce repas ? Toute ma vie, j’ai rêvé de manger dans un restaurant comme ça. J’ai grandi dans des quartiers populaires de Moscou, comme Ramenki, croulant sous une immigration massive venant de la campagne. J’ai envié les riches et les oligarques toute ma vie. Je n’ai pas honte de dire que je me suis sali les mains pour arriver à ce poste, Aoki. J’ai fait du mal, j’ai blessé des gens... Certains l’avaient mérité, d’autres... Moins. Mais je ne suis pas un monstre. »

C’était une précision importante qu’il tenait à faire.

« Vous voulez faire de Doutzen une star ? Très bien. Elle le mérite. J’approuve entièrement. Alors, oui, je vous laisserai l’éduquer comme vous le voulez, et elle sera toujours disponible pour vous. Mais... Comme je vous l’ai dit, j’ai mes conditions. »

Des conditions qu’il n’avait toujours pas exprimé, car il avait dévié pour expliquer à Aoki qu’il n’était pas aussi monstrueux qu’elle ne le pensait. Le passé de Reto était, de fait, assez nimbé de mystères. Il avait grandi dans les rues de Moscou, et avait vu très vite que l’injustice régnait totalement dans ce monde.

« Je veux que vous passiez au moins une nuit avec Doutzen à la maison par mois. Ce n’est pas pour moi, c’est pour elle. Pourquoi croyez-vous que je vous rencontre ici ? Que je suis aussi honnête avec vous ? Doutzen vous apprécie beaucoup, mais elle est trop timide pour le dire. Alors, oui... Je pense que ce ne serait que bénéfique que vous puissiez dormir dans sa chambre au moins une fois par mois, en sachant que vous serez toujours la bienvenue. »

Une offre risquée, bien sûr, mais qui fit rougir Doutzen, son cœur se mettant à bondir dans sa poitrine à cette idée.

« Pour le reste... Je tiens à continuer à être investi dans la vie de Doutzen, comme vous devez vous en douter. Mais j’ai confiance en vous. Ce n’est pas réciproque, je sais bien, mais je suis au moins ravi que vous acceptiez la présence d’Olga. »

L’intéressée sourit alors, et se pencha vers Aoki :

« Mon unique désir sera de vous assister autant que possible, Kou-san. Ne voyez vraiment pas en moi une rivale, ce n’est pas mon objectif. Mais vous ne pouvez pas veiller continuellement sur Doutzen, n’est-ce pas ? Alors que moi, je pourrais vous seconder, et suivre vos directives en votre absence... »

Reto reprit ensuite, après avoir laissé s’écouler quelques secondes :

« Alors... Marché conclu ? Êtes-vous prête à passer une nuit par mois au manoir ? »

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 19:54
par Aoki Kou
Cela pouvait bien être vrai, elle n'aimait pas être comparée à lui. Ce qu'elle faisait avec Doutzen n'avait rien de légal mais elle n'avait pas de lien avec elle alors que Reto, même adoptif, était son père ! Mais elle ne disait rien, ça ne sert à rien de constamment se jeter la balle. Elle écouta donc ce qu'il avait à dire, à raconter concernant son passé dans les rues de Moscou quand il était jeune, des choses peu recommandable qu'il avait pu faire. Que du bonheur. Quand arrivaient les conditions, elle avait un peu peur, peur que ce type ne lui demande la lune ou quelque chose qui reviendrait presque à lui faire abandonner Doutzen. Mais elle fut soulagée, même si elle craignait une quelconque entourloupe à cela. Passé une nuit par mois, donc pas par semaine, chez elle ? Passé du temps dans le lit de Doutzen ne la dérangeait pas mais dormir au milieu de mafieux ne lui plaisait pas énormément... Soit ce type restait réglo et elle ne s'occupait que de la petite, soit elle était impliqué indirectement dans tout ça si jamais la police débarque... Et
Demander à Félicya de veiller sur elles toute une nuit, ce ne sera pas amusant...

De son côté, Olga est là pour faire suivre les ordres d'Aoki en son absence. Sur ça, elle n'avait pas trop besoin d'aide. Elle voulait apprendre à Doutzen à savoir se montrer dominante et non docile face aux futurs requins du showbiz donc sans sa présence, ça ne servait à rien. Mais Olga pourrait toujours l'aider pour ses divers exercice pour son rêve donc ça ira. Dans un sens, une nuit par mois, c'était très bien, par semaine, elle aurait eut peur que Félicia ne commence à se sentir abandonné, une nuit par mois, ça ira. Il va falloir voir avec elle comment s'organiser côté surveillance, mais ça ne devrait pas trop poser de soucis.

« Tant que j'ai le choix sur la date, ça me va. »

Pas question de sauter un dîner ou un rendez-vous important pour ça, pire, louper un anniversaire futur comme celui de leur premier dîner où tout avait commencé ou ce genre de date. Autant dire que sa petite Doutzen aura bientôt droit à la visite d'Aoki, après avoir passée une sacrée soirée avec Félicya, elle allait devoir la formée la nuit mais aussi prendre soin d'elle. Peu à peu, Doutzen devenait sa nouvelle Kanzaki, cette fille qu'elle voulait protéger et voir réussir. Ce n'est pas que la discution avait un blanc à présent que tout était réglé mais Aoki restait très pensif sur la suite. Tant ce sur cet accord que sur la carrière de Doutzen. Elle prenait son métier à cœur et cherchait toujours ce qu'il y avait de mieux pour ses élèves, Doutzen aussi évidemment. Un toast fut même proposé, tous ensemble pour la future carrière de Doutzen. Aoki avait tant à mettre en place pour elle, elle était impatiente de la voir en haut de l'affiche.

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 20:04
par Doutzen Kroes
« Bien sûr. Nous sommes partenaires, après tout. »

Qu’elle accepte de venir, c’était en tout cas une grande victoire... Non seulement pour lui, Reto Kroes, mais aussi, et surtout, pour Doutz’, qui s’en pinça les lèvres, toute émoustillée à l’idée d’apprendre que sa Maîtresse viendrait dormir chez elle ! Reto, bien sûr, comprenait la méfiance d’Aoki, alors il avait joué la carte de l’honnêteté, en se disant que, s’il était transparent, ou, tout du moins, le plus transparent possible, à terme, cela rassurerait Aoki. Ce n’était pas un piège, ce n’était pas un traquenard, comme une manière de se débarrasser d’une rivale, il pensait sincèrement ce qu’il disait. Doutzen manquait d’une figure maternelle, et, à ses yeux, Kou-san était ce qui s’en rapprochait le plus. Partant de là, il était donc tout à fait normal que Reto tâche de se montrer le plus sociable possible.

Il proposa donc un toast à la future carrière de Doutzen, et commença à se dire, au cours de la soirée, que Kou-san commençait à se détendre. Doutzen sortit même de sa coquille, en parlant de ses études, de ce qu’elle faisait, et en évoquant avec Aoki ses plans de carrière, les contrats possibles, et l’avenir se profilant à elle. On aurait presque cru à une conversation normale, en réalité, ce qui était d’autant plus impressionnant. La soirée se déroula donc plutôt bien, et Reto ne put que noter la complicité entre les deux femmes. C’en était touchant, et très affectueux.

Le repas se prolongea donc. Au moins, le quatuor put bien manger, et même Olga parla d’elle-même, en évoquant son passé :

« J’ai grandi dans une triste ville de Russie... Une ville pauvre, avec un père alcoolique et une mère effacée, qui me battait régulièrement. J’ai fugué avec un petit-ami à Moscou, en pensant trouver une nouvelle vie, mais mon petit-ami n’a pas hésité à me prostituer pour payer les factures, s’acheter des montres de luxe, ce genre de choses... »

Ce n’était clairement pas une belle histoire.

« Je l’ai pris sous mon aile, expliqua-t-il. Alors, certes, elle n’a pas quitté le monde du sexe, mais je lui ai appris à maîtriser le sexe, et à dominer ses clients, plutôt qu’à se faire dominer par eux. Elle a été une élève très brillante, et elle te sera très pratique, Aoki, même si je vois bien que tu n’en es pas convaincue. »

Elle n’avait pas vraiment le choix, de toute manière.

« C’est une vie qu’on m’a imposé au début, mais que j’ai choisie ensuite. Alors... Je suis sûre qu’ensemble, on fera du bon travail, Aoki ! »

Le repas se termina donc ensuite, et Doutzen se retrouva seule avec Aoki, sur le parking, et l’enlaça alors, se serrant contre elle.

« Je suis très heureuse que tu aies acceptée notre invitation, Aoki ! »

Elle lui sourit joyeusement, et rajouta ensuite, une lueur espiègle dans les yeux :

« Prochaine étape... C’est chez toi, non ? »

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 20:04
par Doutzen Kroes
« Bien sûr. Nous sommes partenaires, après tout. »

Qu’elle accepte de venir, c’était en tout cas une grande victoire... Non seulement pour lui, Reto Kroes, mais aussi, et surtout, pour Doutz’, qui s’en pinça les lèvres, toute émoustillée à l’idée d’apprendre que sa Maîtresse viendrait dormir chez elle ! Reto, bien sûr, comprenait la méfiance d’Aoki, alors il avait joué la carte de l’honnêteté, en se disant que, s’il était transparent, ou, tout du moins, le plus transparent possible, à terme, cela rassurerait Aoki. Ce n’était pas un piège, ce n’était pas un traquenard, comme une manière de se débarrasser d’une rivale, il pensait sincèrement ce qu’il disait. Doutzen manquait d’une figure maternelle, et, à ses yeux, Kou-san était ce qui s’en rapprochait le plus. Partant de là, il était donc tout à fait normal que Reto tâche de se montrer le plus sociable possible.

Il proposa donc un toast à la future carrière de Doutzen, et commença à se dire, au cours de la soirée, que Kou-san commençait à se détendre. Doutzen sortit même de sa coquille, en parlant de ses études, de ce qu’elle faisait, et en évoquant avec Aoki ses plans de carrière, les contrats possibles, et l’avenir se profilant à elle. On aurait presque cru à une conversation normale, en réalité, ce qui était d’autant plus impressionnant. La soirée se déroula donc plutôt bien, et Reto ne put que noter la complicité entre les deux femmes. C’en était touchant, et très affectueux.

Le repas se prolongea donc. Au moins, le quatuor put bien manger, et même Olga parla d’elle-même, en évoquant son passé :

« J’ai grandi dans une triste ville de Russie... Une ville pauvre, avec un père alcoolique et une mère effacée, qui me battait régulièrement. J’ai fugué avec un petit-ami à Moscou, en pensant trouver une nouvelle vie, mais mon petit-ami n’a pas hésité à me prostituer pour payer les factures, s’acheter des montres de luxe, ce genre de choses... »

Ce n’était clairement pas une belle histoire.

« Je l’ai pris sous mon aile, expliqua-t-il. Alors, certes, elle n’a pas quitté le monde du sexe, mais je lui ai appris à maîtriser le sexe, et à dominer ses clients, plutôt qu’à se faire dominer par eux. Elle a été une élève très brillante, et elle te sera très pratique, Aoki, même si je vois bien que tu n’en es pas convaincue. »

Elle n’avait pas vraiment le choix, de toute manière.

« C’est une vie qu’on m’a imposé au début, mais que j’ai choisie ensuite. Alors... Je suis sûre qu’ensemble, on fera du bon travail, Aoki ! »

Le repas se termina donc ensuite, et Doutzen se retrouva seule avec Aoki, sur le parking, et l’enlaça alors, se serrant contre elle.

« Je suis très heureuse que tu aies acceptée notre invitation, Aoki ! »

Elle lui sourit joyeusement, et rajouta ensuite, une lueur espiègle dans les yeux :

« Prochaine étape... C’est chez toi, non ? »

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 20:05
par Aoki Kou
Aoki ne pouvait s'empêcher de se montrer méfiante vis-à-vis de Reto, depuis le début, elle avait du mal à sourire franchement devant ce personnage. Mais si elle faisait tout cela, c'était avant et surtout pour Doutzen, personne d'autre. Elle avait vu dés le début le potentielle de cette petite, sachant qu'elle ira loin si elle s'investit réellement dedans. Elle continua le repas simplement en bavardant de tout et rien , prêtant surtout attention à ce que sa petite Doutz pouvait dire. Depuis ses retrouvailles, elle aimait vraiment cette petite – elles avaient au pire dix ans d'écart mais ça restait une petite fille pour elle – qui semblait vraiment aimer la vie et ce qui l'attendait, se voyant déjà en haut de l'affiche, ce qui était une bonne chose. Il faut être réaliste sans pour autant partir du mauvais pied. Olga avait une histoire peu envieuse mais au moins aujourd'hui, elle portait la culotte et c'est ce qui compte. Elle espéra qu'une fois l'oiseau aura pris son envol, elle ne se laissera pas avoir dans ce monde de perversion qu'était le showbizz. Ne pas se droguer et se faire avoir. Même si effectivement, Aoki avait du mal à croire Olga, elle disait peut-être vrai ? Ce sera une chose à voir une prochaine fois, pourquoi pas.

Une fois le repas terminé, sur le parking, Doutze, n'hésitait pas à enlacer Aoki, montrant sa joie. C'est dans ce genre de moment qu'elle passerait bien plus d'une soirée avec sa petite Doutz. Mais la voir demander à aller chez elle la surprenait, de la bonne façon évidemment.

« Ma foi, si ton père est d'accord, tu es toujours la bienvenue. »

Oui, autant elle était sceptique à venir chez elle, autant la faire venir chez elle ne lui causait aucun souci, enfin, tant que ça ne gênait pas sa vie avec Félicia. Puis c'était surtout chez Félicia, depuis peu elles habitaient ensemble mais Aoki ne manqua pas de d'envoyer un petit mail à Felicia avec son portable pour l'avertir de la venue de Doutzen. La dernière fois, leur soirée pyjama était été bien ancrée dans les mémoires, à voir si ce soir, il en sera de même. Le voyage ut plutôt sage, Doutzen continua d'évoquer ce qu'elle voulait faire sur les prochaines semaines, sa joie d'avoir Aoki venir chez elle, ce genre de choses.

Une fois devant la porte de Félicia, Aoki y glissa les clés en faisant entrée la jeune femme dans l'antre de la Black Cat, où de nombreux curieux venait voir le retour d'Aoki mais aussi de cette nouvelle déjà venue ici Et au milieu de tout ses chats, il y avait Rex, son berger allemand. Venir habiter ici voulait aussi dire que Rex et Kumaneko viendraient aussi, pas question de les abandonner.

« Installe-toi, je vais voir ce que fait Félicia. »

Ce fut aussi une excuse pour se changer car la dernière fois, elles n'avaient pas fait quelque chose, leur montrer une lingerie aussi sexy que celle qu'Aoki lui avait offert, cette même lingerie qui était aussi ici. C'était une soirée pyjama alors elle lui avait garder le sien en attendant la soirée lingerie. Elle la trouva dans la chambre, prête à venir les rejoindra mais Aoki la bloquais d'abord avec un baiser de retour, venant lui donner un petit conseil avant.

« Je vais me mettre plus à l'aise, tu devrais en faire de même, non ? »

Aoki comptait bien opter pour une petite lingerie de la même collection que celle offerte à sa petite protégée, un modèle qui plaisait bien à Félicia puisque l'arrière était équipé d'un petit trou, idéal pour se montrer érotique et sensuelle face à sa nouvelle queue. Depuis son opération, Aoki pensait à des choses aussi bandante que sexy ! Ceci en faisait partie.

« Je vais aller la chercher, je fais vite. »

Déambulant dans le couloir, elle retourna au salon, dans sa petite tenue des plus ravissante, faisant signe à Doutzen de se rapprocher, elle l'embrassa du bout des lèvres, le jeu n'avait pas encore commencer.

« Je t'ai préparé de quoi te changer dans la salle de bain, tu nous rejoins dans la chambre, d'accord ? »

Le temps qu'elle aille se changer, elle retourna voir sa petite amie, se blottissait dans ses bras en l'embrassant langoureusement, caressant son dos avec ses mains.

« J'ai passé un accord avec Reto, une fois par mois, j'irais dormir chez eux, pour dormir avec Doutzen, en échange, il ne me pose pas de soucis pour avoir Doutzen, pouvant ainsi la faire évoluer dans le métier. On en reparlera plus en détail demain. J'espère que ça te dérange pas ? Autant que j'y aille qu'elle dorme ici ce soir... »

Pour ce qui était du cas Reto, elle se montrait prudente, même si elle se doutait bien que la venue de Doutzen ici ne dérangerait pas Felicia mais bon, il ne faut pas oublier que Félicia était celle qui dressait Aoki comme un chaton, elle courbait facilement l'échine devant elle.

Re: Future étoile [Aoki Kou]

Posté : 30 août 2024 20:06
par Doutzen Kroes
En parlant d’aller chez elle, Doutzen n’avait pas forcément entendu de le faire le soir même, mais l’idée sembla tellement plaire à Aoki qu’elle l’interpréta aussi. Et Reto, en signe de bonne volonté, laissa la chose se faire. Doutzen grimpa donc avec Aoki, et les deux retournèrent dans le centre-ville. Doutzen était légèrement impatiente, et très excitée. Elle n’avait encore jamais eu l’occasion d’aller chez Kou-senseï, et on pouvait donc comprendre son excitation, surtout qu’elle allait aussi rencontrer Hardy-senseï. Doutzen avait d’ailleurs pu comprendre que sa prof’ de sport portait à l’école un patronyme différent (Félicity Harmon) de son vrai nom (Félicia Hardy). Difficile à expliquer, mais Kou-senseï ne lui en avait pas dit plus. Elle lui indiqua en route qu’elles allaient faire une « soirée pyjama », et, en chemin, elle reçut une réponse favorable de Félicia. Doutzen en rougit.

*Je vais rencontrer une autre esclave...*

Pour Doutzen, il était impensable que sa Maîtresse puisse être la soumise de Hardy-san. Et pourtant... Autant dire que la jeune blonde allait être bien surprise quand elle verrait la réalité de la situation ! Le duo rejoignit l’un des grands immeubles du centre-ville, ces gratte-ciel qui avaient signé le renouveau économique de la ville après la crise économique du début des années 1990’s. Les appartements ici étaient plutôt cossus, et la voiture fila dans le parking souterrain, se garant près de l’ascenseur. Doutzen suivit Aoki dans un ascenseur, qui les emmena au dernier étage, comme une preuve supplémentaire de la fortune de cette Hardy-san.

*Comment une prof’ peut, avec son salaire, vivre dans un appartement pareil ?*

Kou-san avait les clefs de l’appartement, un vaste penthouse, et, quand les deux femmes entrèrent, Doutzen ne tarda pas à être surprise par la flopée de chats qui se trouvaient là. Kou-san lui demanda d’attendre dans le salon. Grâce à des détecteurs de mouvement, les lumières s’allumaient à son passage.

« D’accord... C’est sympa ici, en tout cas ! »

C’est le moins qu’on pouvait dire. Ce penthouse ressemblait aux endroits habituels où Doutzen accomplissait ses prestations. Regardant nerveusement autour d’elle, elle vit plusieurs portraits de New York City, notamment Times Square... Et un chat bondit soudain sur ses genoux, l’arrachant à ses pensées. Doutzen sourit, et caressa la brave bête.

« Coucou, toi ! »

Il y avait vraiment beaucoup de chats. Doutzen avait déjà vu ça, dans une maison détenue par une vieille quinquagénaire. L’une des amantes les plus âgées de Doutz’, une femme musclée qui, sous son kimono, portait une tenue serrée en cuir, et un gode énorme, avec lequel elle l’avait pénétré longuement. La jeune femme vit alors Aoki revenir... Et rougit en voyant sa magnifique tenue jaune, lui rappelant la tenue bleue électrique qu’elle avait offerte à Doutzen récemment.

« Oh... Cette tenue vous va très bien, Maîtresse ! » s’exclama Doutzen.

Autant dire que le ton de cette « soirée pyjama » était donné ! Kou-san expliqua à Doutzen qu’elle allait devoir se changer dans, la salle de bains, lui indiquant ensuite où aller. Doutzen, un peu nerveuse, hocha la tête. Pour une fois, elle couchait avec une inconnue, sans que ce ne soit voulu par Reto. De fait, une certaine chaleur commençait à progressivement se former entre ses cuisses, mais elle y alla.

De son côté, Aoki rejoignit la chambre, où Félicia avait, elle aussi, opté pour un « pyjama » très particulier : l’ensemble de la Méchante Reine ! Aoki avait fait découvrir à Doutzen une collection très spéciale, inspirée des personnages de Disney, et que Félicia avait acheté intégralement. Les deux femmes s’embrassèrent très rapidement, dans cette pièce sans fenêtre, éclairée par des bougies, permettant de mettre en valeur les différents instruments sexuels situés à l’intérieur : croix de Saint-André, sangles, chevalet... La « chambre » d’Aoki était le donjon de Félicia, sa salle des plaisirs interdits, comprenant un grand lit rouge en forme de cœur, avec des sangles et des encoches tout autour, pour pouvoir attacher plus facilement ses partenaires.

« Hmmm... ! »

Une fois le baiser terminé, Aoki parla à Félicia de son accord avec Reto, ce qui fit sourire l’intéressée.

« Je pense que tu as très bien fait, ma chérie. Mais oui, je te donnerai aussi plus d’informations. Sache juste que ça fait des semaines, si ce n’est des mois, que le S.H.I.E.L.D. essaie d’obtenir des informations sur le manoir Kroes, ou encore de s’y infiltrer. Grâce à Doutzen, tu disposes d’une entrée unique... »

Mais Félicia n’allait pas pouvoir développer, car on toqua à la porte de sa chambre, puis cette dernière s’ouvrit. Doutzen entra alors, dans une séduisante tenue bleue, qui ressemblait beaucoup à celle d’Aoki. Un large sourire se dessina sur les lèvres de Félicia.

« Euh... Bon-Bonsoir, Ma... Madame...
Maîtresse, précisa rapidement Félicia. Bonsoir, Maîtresse, ma petite Doutzen. Ici, je ne suis pas ta prof’ de sport, mais... Ta Maîtresse. »

Doutzen rougit en se mordillant les lèvres, regardant brièvement Aoki, sans trop comprendre pourquoi c’était Hardy-senseï qui portait une tenue si dominatrice, et Aoki... Une tenue bien plus légère !

« Aoki-chérie... Je crois que ta petite Doutzen ne s’imaginait pas à ce tableau. Mais oui, ma Doutz’-chérie, Aoki a beau être ta Maîtresse, ici,  nous sommes chez moi ! Et j’ai hâte de voir si Aoki a été une bonne Maîtresse avec toi, et a fait de toi une bonne soumise... Tu penses l’avoir bien éduqué, Aoki ? Montre-moi ça... »

Félicia se faisait très rapidement à son rôle de Maîtresse, comme toujours !