Re: Future étoile [Aoki Kou]
Posté : 30 août 2024 19:41
Doutzen et Aoki se retrouvaient. Quoi de mieux pour ça que du sexe intense, déluré, et débridé ? Doutzen salivait devant la tenue magnifique de sa Maîtresse. Un superbe ensemble en latex, qui lui allait vraiment à ravir, moulant ses formes à la perfection. Dans cet ensemble, elle était tout simplement somptueuse. La jeune femme se mordillait les lèvres en la regardant, proche de ce latex. Elle pouvait en percevoir les lignes, les contours, et sentir les crissements. Le cœur de Doutzen bondissait nerveusement dans sa poitrine, exprimant toute son excitation, et elle sentit soudain la main de sa Maîtresse, ferme et douce, qui alla plaquer son visage contre l’espace creux entre ses seins.
« Mmmhmmm… »
C’était une zone moelleuse et chaude, en forme de cœur, épousant également le visage de Doutzen. Elle commença par y frotter son nez, puis aventura ensuite sa langue, léchant cette zone, effleurant de son organe lingual cette douce peau, l’espace creux entre les seins de la femme. Sans hésitation, Maîtresse Kou appuyait avec sa main sur la tête de Doutzen, enfonçant un peu plus son visage contre ses seins, ce qui provoqua une série de crissements et de tendres craquements. Ah ! Le délectable et jouissif son du latex… Ceci n’avait pas de prix ! Doutz’ adorait vraiment ce bruit, ce son délectable et jouissif.
Elle frottait donc son visage contre les monts de plaisir de sa Maîtresse, tout en entendant cette dernière lui demander de s’occuper de sa verge, qui avait perdu de sa contenance. La première idée de la jeune blonde fut d’utiliser ses lèvres, mais la prise d’Aoki sur sa tête ne faiblit pas, l’amenant donc à déplacer ses mains. Jusqu’à présent, ses mains caressaient les hanches de Kou-san, grattant la combinaison en latex, et elle descendit donc une main, sentant rapidement la trompe.
La masturbation était un domaine dans lequel Doutzen, sans fausse modestie, excellait. Elle avait l’habitude, et sa main ne tarda donc pas à caresser ce sexe. La jeune femme le serra entre ses doigts, et remonta dessus, glissant sur la hampe de chair, puis repartit en arrière, tout en veillant à redresser ce membre. Elle le sentait pulser entre ses doigts, vibrer contre la paume de sa main, s’égaillant doucement. Un sexe était un organe vivant, très actif, qui ne demandait qu’à ce qu’on le stimule pour se déployer. Et c’était exactement ce qu’il faisait en ce moment.
Doutzen, avec sa bouche, embrassait les seins de la femme, et les léchait ensuite, surtout. Sa langue glissait sur la peau, cherchant parfois à lécher le latex, mais sans trop de succès, car Aoki la maintenait bien.
*Elle a une de ces poignes, c’est incroyable !*
Doutz’ était clairement sous le charme, et Aoki finit par la relâcher. Sa virilité était bien raide, et elle lui demanda ce qu’elle voulait faire. Doutzen sourit, et se mordilla les lèvres.
*Vraiment ? Parce qu’il y a un doute là-dessus ?*
Elle sourit malicieusement, et se pinça les lèvres.
« Eh bien… Je ne suis pas en porcelaine, Maîtresse. Il faut me baiser bien fort, vu que mon corps n’a pas eu l’occasion de sentir le vôtre depuis… Trop longtemps. Alors… Baisez-moi comme si j’étais la Reine des salopes ! Car, si c’est ce que vous voulez que je sois à vos yeux, alors c’est tout ce que je serais ! »
« Mmmhmmm… »
C’était une zone moelleuse et chaude, en forme de cœur, épousant également le visage de Doutzen. Elle commença par y frotter son nez, puis aventura ensuite sa langue, léchant cette zone, effleurant de son organe lingual cette douce peau, l’espace creux entre les seins de la femme. Sans hésitation, Maîtresse Kou appuyait avec sa main sur la tête de Doutzen, enfonçant un peu plus son visage contre ses seins, ce qui provoqua une série de crissements et de tendres craquements. Ah ! Le délectable et jouissif son du latex… Ceci n’avait pas de prix ! Doutz’ adorait vraiment ce bruit, ce son délectable et jouissif.
Elle frottait donc son visage contre les monts de plaisir de sa Maîtresse, tout en entendant cette dernière lui demander de s’occuper de sa verge, qui avait perdu de sa contenance. La première idée de la jeune blonde fut d’utiliser ses lèvres, mais la prise d’Aoki sur sa tête ne faiblit pas, l’amenant donc à déplacer ses mains. Jusqu’à présent, ses mains caressaient les hanches de Kou-san, grattant la combinaison en latex, et elle descendit donc une main, sentant rapidement la trompe.
La masturbation était un domaine dans lequel Doutzen, sans fausse modestie, excellait. Elle avait l’habitude, et sa main ne tarda donc pas à caresser ce sexe. La jeune femme le serra entre ses doigts, et remonta dessus, glissant sur la hampe de chair, puis repartit en arrière, tout en veillant à redresser ce membre. Elle le sentait pulser entre ses doigts, vibrer contre la paume de sa main, s’égaillant doucement. Un sexe était un organe vivant, très actif, qui ne demandait qu’à ce qu’on le stimule pour se déployer. Et c’était exactement ce qu’il faisait en ce moment.
Doutzen, avec sa bouche, embrassait les seins de la femme, et les léchait ensuite, surtout. Sa langue glissait sur la peau, cherchant parfois à lécher le latex, mais sans trop de succès, car Aoki la maintenait bien.
*Elle a une de ces poignes, c’est incroyable !*
Doutz’ était clairement sous le charme, et Aoki finit par la relâcher. Sa virilité était bien raide, et elle lui demanda ce qu’elle voulait faire. Doutzen sourit, et se mordilla les lèvres.
*Vraiment ? Parce qu’il y a un doute là-dessus ?*
Elle sourit malicieusement, et se pinça les lèvres.
« Eh bien… Je ne suis pas en porcelaine, Maîtresse. Il faut me baiser bien fort, vu que mon corps n’a pas eu l’occasion de sentir le vôtre depuis… Trop longtemps. Alors… Baisez-moi comme si j’étais la Reine des salopes ! Car, si c’est ce que vous voulez que je sois à vos yeux, alors c’est tout ce que je serais ! »