The Multiversity

Elle y était, faire demi-tour était impossible, elle allait devoir subir ça, mais elle n'avait pas peur... c'est ce qu'elle essayait de se dire en tout cas. Son cul était découvert, en offrande à cette vampire avide de sexe qui était donc sa maîtresse. Cela faisait un peu beaucoup à avaler en une seule soirée, mais Tomoko à mis les pieds d'elle-même dans ce piège en se disant naïvement que Mélinda l'avait invitée pour une soirée privée à ses côtés et peut-être flirter doucement ensemble. Grosse, Grosse erreur ! Enfin, on ne pouvait pas dire qu'elle s'en mordait les doigts pour autant, mais voilà, il va falloir s'habituer à tout ça et ça ne risque pas d'être facile au début. Mais plus encore, il y avait d'abord ça à passer.... la sodomie... Mélinda la préparait doucement, avec son doigt, un second, puis de petits pincements, pour le moment, ça allait encore, même si elle devait s'y habituer doucement, disons que deux doigts, ça pouvait aller si c'était lent... Oui, sauf que Mélinda ne sera pas toujours lente et que son truc était plus grand qu'un doigt et un peu plus gros quand même. Tomoko allait vite savoir ce que ça faisait.

Mélinda la pinçait une dernière fois avant de se mettre en position, sentant le gland de la vampire taper à sa porte arrière avant de doucement s'enfoncer en elle, petit à petit. Son premier effet fut le souffle coupé, revenant doucement par acoup, mais surtout elle serrait les dents de plus en plus. Elle savait que ça ferait mal, mais ça dépassait ce qu'elle se disait. Pour comparer grossièrement, si elle pensait que niveau douleur ça aurait été comme se couper avec un couteau, non, c'était se couper avec un coup de hache là ! Mélinda cherchait à la rassurer, lui disant qu'elle pouvait crier, mais elle restait encore trop gêner et se refusait donc à avertir les autres de ce qui pouvait se passer derrière ses portes. Elle se contentait de serrer les dents, parfois la couverture en se demandant si ça allait vraiment devenir bon ? Est-ce que des gens aimaient vraiment ça ? Si par la suite son discours pourrait changer, pour le moment elle se disait qu'avoir accepté ce choix était une des plus grosses erreurs de sa vie. Mélinda pinçait encore son petit cul de temps en temps alors qu'elle continuait d'enfoncer son truc en elle. C'est pas possible, elle lui jouait un tour, c'est pas son machin qu'elle enfonçait, mais son bras ?

« Haaaaaa... Haaaa-haaaa... »

Pour le moment, ses cris étaient timides, plus des gémissements plaintif que le mal à expulser par as bouche, mais il y avait du progrès. C'est toujours ce qui faut se dire avec elle. Il ne faut pas se dire que le travail n'est pas fait, il faut se dire qu'il y a du progrès. La vampire y allait de plus en plus, ce n'était pourtant pas long, mais Tomoko qui subissait tout ça avait l'impression que c'était un train qu'elle comptait faire rentrer là-dedans. Elle s'accrochait aux draps, elle mettait Mélinda au défi de la faire lâcher, là, elle était sûr de ne pas perdre ce défi tiens ! Mais même si elle expulsait doucement sa douleur, la douleur arrivait plus vite qu'elle n'arrivait à la contenir si bien que, même si sa maîtresse approchait de la fin, trop, c'est trop !

« Haaaaaaaaaaaaaaa.... Mmmmhh AAAAAAAAHHHHH !!!! »

Et pourtant, le plus dur était fait, elle avait fini de faire rentrer sa queue en elle... Maintenant, il va falloir quelques allers et retour pour la dilater un peu afin que les prochaines fois soient plus agréables et dans un temps plus proche, que la douleur devienne du plaisir.

« J'ai... j'ai mal... Maî... Maîtresse... »

Elle préférait le souligner si ce n'était pas assez clair, qu'elle sache si cela était normal ou non. Si Mélinda voulait lui montrer qu'une sodomie, c'était plaisant à ressentir, c'est maintenant que ça devait se jouer. Et pourtant, dieu sait qu'elle en a vu des sodomies sur le net mais elle ne s'attendait pas à ça ! Respect à celles qui ont subit ça !

Une première sodomie… Un instant sacré, un moment qu’il ne fallait surtout pas rater ! Après tout, la première fois était toujours celle qui vous marquait le plus ! En ce moment, Tomoko devait à peine commencer à réaliser le virage qu’avait pris sa vie. Plus rien ne serait jamais comme avant. Quand on croisait le chemin d’un astéroïde comme Mélinda, on partait avec elle. Impossible de faire marche arrière ! Même si Tomoko la repoussait, son corps lui donnerait envie de revenir ! Cela faisait des siècles que Mélinda asservissait des personnes autour d’elle, elle savait donc comment ça marchait. Elle connaissait les limites du libre-arbitre, les limites du désir individuel à la liberté. Au-delà de la liberté, l’être humain cherchait surtout le bonheur personnel, son épanouissement, la sécurité, le confort… Soit autant de choses que Mélinda pouvait offrir. Très souvent, les gens voyaient en 1984 le récit d’une uchronie terrifiante et totalitaire, mais, dans l’absolu, Mélinda se référait plutôt au livre d’Aldous Huxley, Le meilleur des mondes. Ce roman dystopique dépeignait un monde consumériste, où les êtres humains avaient renoncé à la liberté au profit d’une vie toute entière consacrée au bonheur. Car le bonheur était, à n’en pas douter, une cage dorée infiniment plus résistante que la peur ou la tyrannie. Si le roman d’Huxley se terminait par la revendication d’un des protagonistes à être malheureux, ce n’était pas pour rien ! Tomoko était enchaînée à Mélinda, et c’était cette nuit qui serait décisive, ce moment… Car le bonheur de Tomoko viendrait par le sexe !

Mélinda la sodomisait donc, et grogna sur place, griffant les belles petites fesses de Tomoko. Elle sentait les parois anales de Tomoko se dilater progressivement, et constatait que celle-ci retenait sa douleur, se mordillant fortement les lèvres. Grognant encore, Mélinda la fessa une nouvelle fois, claquant ses belles fesses.

« Je… Je t’ai dit de la laisser sortir, To-Tomoko-chan, hmmm… !! LAISSE-LÀ SORTIR !! »

Elle la gifla encore, et cracha involontairement de la salive, qui décora le postérieur de Tomoko. Son postérieur se déformait progressivement, tandis que la vampire grognait, reprenant des forces, et donnait de nouveaux coups de reins. Mélinda grogna encore, et continua donc ses mouvements, s’enfonçant progressivement. Et, finalement, Tomoko finit par hurler. Elle se crispait sur place, et Mélinda savait que la douleur devait être intense. Elle s’enfonça jusqu’à la garde, et resta alors immobile, reprenant son souffle. En sueur, Mélinda avait également dû beaucoup forcer, et sa queue lui faisait très mal aussi, lui donnant l’impression d’être une espèce de piment rouge, tant elle avait forcé le passage.

Tomoko avoua alors que ça faisait mal, et Mélinda caressa de nouveau ses fesses.

« O-Oui, Tomoko, ça… C’est douloureux pour moi aussi, haaaa… Mais c’est comme ça… Comme ça qu’on prend son pied. La douleur… La douleur est inhérente au sexe, elle est le moteur du plaisir… Hmmm… Tu… Ne t’inquiète pas, haaa, laisse-toi aller, hmmm… Là, là… Laisse-toi faire, hnn… ! »

Mélinda se recula alors, commençant à libérer de la place, puis s’enfonça encore. Elle sentit le corps de Tomoko partir vers l’avant, et continua à accélérer, décrivant des mouvements plus ample,s plus profonds, tout en gémissant.

« Haaann… Lai-Laisse-toi partir, Tomoko, relâche-toi ! Pro-Profite de cette douleur, haaaann… Allez, allez ! Insulte-toi ! »

Une nouvelle fessée claqua sur le délicieux petit cul de Tomoko, plus forte que les précédents. Les parois anales de Tomoko se dilataient de plus en plus, démontrant, encore une fois, l’exceptionnelle élasticité du corps humain !

« Allez, allez, petite pute ! Hurle comme une bonne salope ! Tomoko-chan !! Tu… Tu es la salope de ta Maîtresse, haaaa… ! Dis-le ! Dis-le, sale CHIENNE !! Allez, allez !! »

Sa voix devenait plus ferme, plus stridente, tandis que la vampire bandait ses muscles, et continuait à déformer le fondement de Tomoko, la maltraitant à chaque coup de reins !

Elle y était, elle ne pouvait pas fuir et subissait comme elle pouvait la sodomie de Mélinda. Est-ce qu'elle s'y fera à cette sensation ? Il était trop tôt pour le dire, mais pour le moment, elle n'avait pas d'autre choix que d'essayer de s'y habituer et d'attendre la fin. Qui sait elle arrivera dans combien de temps ? En tout cas, cela semblait plaire à Mélinda qui continua de doucement s'enfoncer en elle, venant parfois la fesser à dire vrai, la douleur importait peu elle avait déjà assez mal donc un peu plus, un peu moins, il n'y avait pas tant de différence que ça. Tomoko continuait de serrer les draps comme si elle était suspendue au-dessus du vide, serrant les dents e,n gémissant doucement. Enfin, gémir, gémir... le plaisir n'y était pas totalement là. Elle y prenait un peu de plaisir, mais étant sa première fois ; elle était loin de bondir aux rideaux. Mais la vampire continuant, lui conseillant de crier pour mieux se libérer... Tomoko... crier... Elle qui arrivait à peine à faire une petite phrase sans bégayer ?

Mélinda conseillait même de s'insulter ? Malgré la douleur et l'inconfort du moment, elle avait bien entendue ? S'insulter ? Oui, elle savait que cela se faisait dans le porno, elle avait déjà vue ça, mais même en vrai ça se faisait ? Ce n'était pas un « bonus » pour les gens qui regardaient leurs vidéos ? Et de quoi elle doit s'insulter ? Elle devait aussi insulter Mélinda ou pas du tout ? La vampire lui posait un trop-plein de nouveauté entre les bras et elle ne savait donc pas comment gérer tout cela, ça s'emmêlait à force ! Un nouveau coup de rein freina ses pensées et elle pouvait donc mettre son cerveau en pause et faire bêtement ce qu'on lui demanda, à commencer par laisser sa voix se faire entendre.

« Haaaaaaaan !!! »

Voilà pour ça, ça se remettait doucement en marche, ses gémissements étant de plus en plus fort, elle n'était pas train de dire ce qui se passait dans cette pièce au manoir, mais ça venait doucement, il y avait du progrès quoi. Le ton plus autoritaire de Mélinda ne passait pas inaperçu pour Tomoko et face à sa demande de s'insulter, eh bien ça allait un peu plus de soi-même si au début ça avait un peu de mal à sortir... Y a un début à tout.

« Haaaaaaaan ouiiiiii ! Haaaaaa j-je su-suis... Haaaan ! Je s-sui une Saa-haaaa-lope ! »

Et le dire à voix haute avait, comme, retirer la barrière, car pour le coup, Tomoko et même Mélinda n'aurait pas cru cela arrivée. Enfin, Mélinda peut-être, mais pas Tomoko. Autant la fellation s'était faite presque naturellement et pratiquement aucune barrière, autant la sodomie était plus compliqué. Mais pour le coup de s'insulter, Mélinda venait de lui débloquer cela. Pas sûr que la vampire voyait son visage, le haut de son corps étant presque écrasé sur le lit, mais son visage avait tout d'une nymphomane. La langue pendue, les yeux presque révulsés, elle avait ouvert les vannes et c'était impossible à fermer à présent.

« Haaaaan, Maît-resse... La pute de Maîtresses ! Haaaaaan ouiiiiiiiii !!! Je suis la pute hmmm haaaa la SALOPE de MAÎTRESSE !!!!! HAAAAAA ENCOOOOOORE !!!!! HAAAAAAAAAA OUIIIIIIIII DE.... DEFONCER-MOI LE CUUUUUUUL !!! »

Qui sait si elle demandera une sodomie à nouveau de sitôt, mais pour s'insulter, ça semblait fonctionner même si une fois calmé, elle risquerait d'avoir honte de ce qui venait de se passer. Mais bon, son destin était de changer aux côtés de Mélinda, la transformation allait commencer, doucement, mais sûrement. Toujours accroché au lit, les yeux révulsé en ouvrant en grand sa bouche, la langue bien pendue comme la chienne qu'elle était devenue, laissant la bave couler sur le lit de Mélinda.

Et Mélinda le ressentit encore.

Le frisson. Une pointe d’excitation qui partit de sa verge, et se diffusa ensuite dans tout son corps quand, enfin, la petite Tomoko commença à comprendre ce que sa Maîtresse attendait. Elle devait se relâcher, elle devait s’aliéner et adhérer totalement à ce qu’elle subissait. C’était la seule condition possible pour apprécier cette sodomie intense et douloureuse. Le sexe, soit on s’y plongeait jusqu’à en disparaître, soit on restait sur la surface, sur le bord, mais il n’y avait pas de juste milieu, pas d’alternative. Finalement, quand Mélinda la fessa encore, après un énième coup de reins, quelque chose se débloqua chez Tomoko. Celle-ci acheva sa formation, ou, plutôt, son aliénation. Toute la frustration sexuelle de Tomoko explosa brusquement, et elle s’insulta… Ravie, Mélinda se pinça les lèvres, et la gifla plus sèchement, sa claque résonnant sur son cul.

C’était le coup final, et, dans un énième sourire, la vampire banda ses muscles, et enchaîna :

« Encore. »

Il n’y eut pas besoin de dire plus, pas besoin d’insister davantage. Tomoko hurla encore, et libéra de ses doucereuses lèvres une flopée d’insultes, de jurons bien sentis. Elle laissa parler son inspiration, sa langue pendouillant de ses lèvres. Mélinda frémit encore, et la gifla plus fort, avant de grogner à nouveau, ses mains griffant le cul de Tomoko, lacérant sa chair. La belle lycéenne se tortillait sur place, gémissant encore, plus fortement. Un régal continuel pour Mélinda ! Inlassablement, elle s’enfonçait en elle, et rythmait à son tour leurs ébats en insultant joyeusement sa partenaire :

« Han, ma petite pute ! Hmmm… Tu aimes ça, h-HEIN ? Haaaa, sale chienne ! Je… Je t’encule comme une CHIENNE ! Tu es MA chienne, Tomoko-chan, ma belle petite chienne salope ! Dis-le ! DIS-LE ! ABOIE COMME UNE BONNE CHIENNE, HAAA… !! »

Oui, la vampire se laissait aussi aller ! Mais, par ce biais, elle cherchait surtout à encourager davantage sa Tomoko ! Il fallait qu’elle se lâche totalement, qu’elle découvre le plaisir totalitaire du sexe ! En tout cas, celle-ci semblait déjà avoir trouvé une grande passion pour la sodomie, ce qui, bien évidemment, ne pouvait que ravir Mélinda !

C'était... Tomoko n'avait pas de mots pour décrire tout ce qu'elle ressentait sur le coup, elle se laissait faire, prise par Mélinda qui ne se privait pas de renforcer sa prise. La vampire la prenait avec de plus en plus de hargne alors que Tomoko laissait progressivement la douleur de côté pour mieux crier son plaisir ou sa douleur, peut-être les deux. La vampire avait raison, ça ne rendait pas la chose non-douloureuse, mais ça aidait vraiment à sentir la douleur moins vive, c'était plus calme. Tomoko s'insultait au fur et à mesure, peut-être même qu'elle ne se souviendra pas de tout ça une fois calmée, mais pour le moment, elle se laissait bercer par tout cela sans la moindre peine. Le cul relevé, bien tenue entre les mains de la vampire, le haut de son corps était pratiquement plaqué sur le lit, laissant tout le loisir à sa maîtresse de s'occuper d'elle comme bon lui semble.

Mélinda avait beau gifler son joli petit cul, elle était presque anesthésiée de la douleur, rien ne lui faisait vraiment mal, elle sentait juste le bas de son corps balancer d'un côté ou de l'autre, c'est tout. Après tout, la vampire tenait bien la barre. Elle poussait même le vice plus loin en demandant à Tomoko de continuer de s'insulter, même, d'aboyer. Vraiment ? La question ne se posait même pas dans le cerveau de la lycéenne, l'ordre arrivait, elle le faisait. Bien qu'elle était ainsi, elle savait encore faire un peu la différence entre ce genre de demande et d'aller tuer quelqu'un.

« Haaaaaaaaaaaaaaa Putaaaaaaain !!!!! JE SUIS UNE PUTAIN DE PUUUUUUTE !!!!! Rhaaaaaaaaa, chier ! Wa-WAAAAAAAN WAAAAAAN WAN !!!! »

Le visage presque posé sur le lit, Tomoko pendant que Mélinda s'en donnait à cœur joie. Sa gorge n'a jamais été aussi utilisée de presque toute sa vie. Elle était secouée pendant que la queue de sa maîtresse continuait d'utiliser cet unique, et même chemin encore et encore. Sauf qu'au bout d'un moment, Tomoko se calmait un peu sur les cris et les insultes, même si elle continuation de gémir, et ce, car l'orgasme arriva et éclaboussa Mélinda. Elle avait tellement jouit que sur le coup, elle se demandait si sa vessie n'était pas partie en même temps ? Mais non, rien à craindre, ce n'était que de la cyprine. Cependant, si Tomoko avait joui, ce n'était pas encore le cas de la vampire, chose qui arrivera bien tôt ou tard.

« Haaaaaa, Maî-Maîtreeeeesse ! »

C'était si intense, cette première fois, elle était loin de se douter de tout ce qui pourrait arriver ensuite en restant auprès de Mélinda... Elle peinerait à croire que c'était vrai, elle n'était pas au bout de ses surprises, la pauvre...

Tomoko était littéralement possédée, envahie par le démon, un redoutable démon lubrique qui s’amusait à la torturer, à la baiser furieusement, à disséquer méthodiquement et méticuleusement chaque portion de son âme, chaque parcelle de son humanité. Elle régressait au rythme effréné des coups de reins de sa Maîtresse, s’abandonnant à cette aliénation, à cet effondrement de soi-même, à la disparition de son individualité, de ce qui faisait d’elle Tomoko, pour ne laisser qu’une femme assoiffée, une créature charnelle en manque de sexe… Non plus une femme, mais bel et bien une chienne.

Dans son dos, Mélinda imposait un rythme soutenu, grognant doucement, griffant et giflant les fesses bien rougies de Tomoko, se délectant des émois de la jeune femme, des tortillements de son corps. Elle se laissa encore aller, hurlant plus fort, s’insultant, et aboya même ! Oui, oui ! Mélinda avait enfin réussi à percer la petite Tomoko, à percer cette digue que la jeune lycéenne avait construit autour d’elle. Plus rien ne serait désormais comme avant, car Tomoko avait admis l’inéluctabilité de sa situation, le fait qu’elle était joyeusement condamnée à être sa servante, à avoir une Maîtresse, une Maîtresse qui veillerait soigneusement sur elle, qui pourvoirait à ses désirs, à ses besoins… Mélinda gloussa en entendant ainsi Tomoko jurer, se disant que la jeune femme n’avait pas dû jurer depuis des mois, si ce n’est des années !

« Là, là, oui… Oh oui !| »

Ponctuant leurs ébats de fessées, Mélinda tremblait encore nerveusement. Sa verge s’enfonçait très douloureusement dans le corps de sa partenaire, se heurtant à la résistance de son corps, à l’étroitesse de son canal. Mais cette douleur était absolument merveilleuse, car c’était elle qui la stimulait, cette souffrance qui la forçait à redoubler d’effort, à amplifier ses coups.

« Hmmm-Hmmm… Haannn… » gémissait-elle.

Dieu, que c’était bon ! Oh oui, ça, jamais Mélinda n’arriverait à s’en lasser ! Elle sentit Tomoko atteindre le plaisir ultime, sa langue dut sûrement s’étirer, tandis que son sang explosa dans son corps, déclenchant un superbe orgasme. La vampire, grâce à ses pouvoirs magiques, ressentit tout cela, et sa queue trembla encore… Mais elle ne comptait pas jouir facilement. Tandis que Tomoko flottait dans une vague sensation de bonheur, Mélinda, elle, reprit encore ses coups de reins, accélérant ou ralentissant, jouant surtout sur la profondeur.

Plus expérimentée que Tomoko, et donc plus endurante, elle poursuivit, pinçant les fesses de Tomoko, s’attaquant à son cul, avant que la vague ne l’emporte. Sa queue tressauta nerveusement sur place, et, dans un ultime soupir, elle ferma les yeux, et se relâcha. Son membre tressauta sur place, et elle gémit lentement, s’abandonnant avec délice à cette petite mort, répandant joyeusement sa semence dans le corps de sa partenaire. Un long et doux orgasme, où elle se calma ensuite, après de longues secondes à jouir sans entrave en elle.

Enfin, Mélinda se retira des fesses de Tomoko, sa queue trempée de sperme, et sourit à celle-ci. Un regard nouveau lui faisait face, empreint de désir, et d’un plaisir immense, un plaisir mâture et profond, du genre à remonter profondément en elle et à la changer pour de bon. Mélinda tendit alors sa main, et caressa les cheveux de Tomoko, avant d’approcher sa paume de ses lèvres.

« Embrasse ma main, Tomoko… Jure de me servir, puis tu embrasseras ensuite ma queue en jurant de toujours jouir avec elle… Et, quand ce sera fait, nettoie ma verge avec ta belle petite bouche… »

Ayant habituellement une voix douce et effacée, Tomoko avait hurlé ce soir avec rage, avec une certaine forme de frénésie. Un spectacle exquis, inouï, mais aussi terriblement excitant, qui donnait envie à Mélinda de prolonger encore un peu cette soirée avec la jeune femme…

Ce qu'elle vivait là était intense, très intense même. C'était sa première sodomie, vraie de vraie, pas un simple fantasme qu'elle avait imaginer ou rêver, Mélinda était vraiment dans son dos, avec une vraie bite à lui prendre le cul comme si tout était normal. Mais tout l'était, non ? En tout cas, la vampire prenait là un pied d'enfer en butinant Tomoko, sa chair venait rebondir sur son cul, pour mieux revenir au fond de son anus, sa queue faisait toujours le même chemin et pourtant pour la jeune demoiselle, le plaisir était si grand ! Elle avait usé de sa propre voix, elle avait tant crier de plaisir, aussi parce que Mélinda l'avait un peu poussé à le faire, mais on ne pouvait pas dire que c'était un mauvais conseil. Ça avait aidé à libérer sa douleur, moins de douleur pour plus de plaisir. La pauvre en avait presque les yeux révulsés tant elle souffrait de plaisir tandis que sa maîtresse avait toujours la même fougue à s'enfoncer en elle, venant même parfois gifler son cul, mais étrangement, c'était assez bon. Elle n'avait rien contre regarder du SM sur Internet et se disait même qu'une fessée ou deux ne faisait pas de mal dans ce genre de situation. Eh bien, elle avait pensé juste.

« Haaaaaaaa-aaaaaaaaa... »

Elle continua sans se relâcher jusqu'à ce que Tomoko jouisse, le plaisir avait percer le plafond alors que sa voix atteignait des décibels jamais atteint depuis sa naissance, pour sûr que tout le manoir devait être au courant que Mélinda avait réussi son coup. Les yeux grands ouverts sa langue cherchait elle aussi à fuir hors de sa bouche alors qu'elle hurlait jusqu'à doucement se calmer. Elle avait joui, ça avait exploser entre ses jambes, elle en sentait les gouttes de mouilles couler le long de ses cuisses, du moins, les parties non couvertes. Mais si sa maîtresse s'était calmée en cet instant, elle reprenait de plus belle ! Car oui, Tomoko avait joui, mais pas encore Mélinda. Continuant autant les coups de butoirs que les fessées, voir même les pincements, Mélinda continuait de plus belle, Tomoko continuait de gémir, mais le plus gros avait été expulsé, et même si tout cela était agréable, ce n'était pas au même niveau que ce qui venait de se produire. Mais cela ne l’empêchait pas d'apprécier et de couiner, mais plus doucement, sans forcement en faire trembler les murs. Car enfin, Mélinda se soulageait en elle. Voilà, la bouche, l'anus, elle avait eu de ses premières fois avec sa queue. Ainsi que sa bouche avec sa bouche aussi.

Encore tremblotante par tout cela, elle était sur un petit nuage si doux, elle aurait pu s'endormir sans le moindre mal, malgré cette légère douleur anale, mais Mélinda venait se rapprocher d'elle, caressant ses cheveux avant de lui montrer la paume de sa main, demandant à être baisé et jurer une certaine fidélité. Elle ne savait pas du coup, si elle devait coucher qu'avec Mélinda ou non mais elle aurait pu tout demander, elle aurait dit oui sur le coup. Sauf peut-être sa virginité. Pour le moment, même dans les vapes, elle restait pour le moment accroché que c’était une personne spéciale qui l'aura. Elle ne se doutait pas que cette personne spéciale le savait déjà. Tomoko fit l'effort de se redresser en levant ses yeux verts vers Mélinda. Même si le baiser fut léger sur la paume de sa main, il était présent.

« Je jure, Maîtresse... Je... Je j-jure de... de v-vous... ser... servir. »

Le plus simple avait été fait, même si elle venait de faire bien pire, elle baissa les yeux vers sa queue, se rapprochant doucement, elle semblait luire et elle ne se disait pas que c'était sale, bien qu'elle venait d elui ramoner sa cheminée, après tout, dans tout ce que qu'elle a vue sur internet, ça ne gêne personne de passer de l'anus à la bouche donc ça doit être cool ? Sans risque quoi. Elle ravala quand même sa salive avant de poser un baiser sur le gland qui tressauta légèrement avant que Tomoko ne lève les yeux vers la vampire.

« Je jure... a-aussi.... de j-j-jouir que... qu'avec... v-vo-tre... queue, maî-Maîtresse... »

Voilà, elle lui avait obéit. Maintenant, la nettoyer ne devrait pas être bien compliqué même si elle n'était pas très habituée encore au goût de sperme, sucer, c'est ce qui avait été apparemment le moins compliqué à accomplir pour Tomoko qui avait fait ça avec presque tant d'aisance. Elle prit doucement le bout en bouche avant de commencer à la sucer en fermant les yeux, elle allait devoir la nettoyer donc, elle allait devoir aussi tôt ou tard la retirer pour venir nettoyer la base. Elle n'était pas encore prête à tenter une gorge profonde. Mais au moins, sa maîtresse avait ce qu'elle attendait d'elle, elle devait en être ravie ! Reste à savoir ce que la vampire avait dans sa manche, Tomoko n'était pas au bout de se surprises !

Mélinda n’avait qu’une parole, et elle la tiendrait. Elle avait affirmé à Tomoko qu’elle ne prendrait pas sa virginité aujourd’hui, et elle tiendrait parole. Son hymen serait préservé, mais son innocence, elle, était partie. Tomoko avait goûté au fruit défendu, elle avait planté ses crocs dans ce morceau de chair , et elle ne comptait pas s’en retirer ! Mélinda venait de la saillir, de jouir dans son postérieur. Aucun mouvement de repli de Tomoko, qui, d’une voix éreintante, alla embrasser sa paume, puis nettoya son sexe, en rajoutant à son serment une autre promesse : celle de ne jouir que sur sa queue. Mélinda sourit doucement, et caresse doucement les cheveux soyeux de Tomoko, tout en la laissant la pomper doucement. Elle la nettoya ainsi, commençant par lécher son membre, puis par entrouvrir ses lèvres, et par l’avaler, voyant la pointe durcie de son membre se redresser.

Elle gémit lentement, et caressa les cheveux de Tomoko, l’observant lentement. Nue aussi, Mélinda reprenait ses esprits, et la vampire joua avec ses mèches de cheveux, les rabattant derrière ses oreilles, laissant petit à petit Tomoko la sucer pleinement. Elle frémit doucement.

« Comme je te l’ai dit, Tomoko, je ne prendrais pas ton hymen ce soir. Ce sera à toi de revenir vers moi, de confirmer que tu souhaites bien me rejoindre… Mais sache que ce que tu as vécu ce soir n’est qu’un prélude… »

Un délicieux prélude avant le reste ! Mélinda accéléra un peu, et, petit à petit, sembla reprendre le goût du sexe, l’envie de lui faire de nouveau l’amour, de profiter de son délicieux corps innocent et pur. Oh, il y avait vraiment très peu de risques que Tomoko se rebiffe et décide de ne plus revenir vers elle, mais la vampire en aurait été frustrée ! Mine de rien, la jeune femme était très mignonne, et également très timide, ce qui, pour Mélinda, représentait un point positif non négligeable. Elle accéléra encore, crispant ses doigts sur ses cheveux, sa queue légèrement ramollie ne tardant pas à se durcir de nouveau.

Elle grogna encore, rougissant doucement, et continua à remuer, accompagnant les mouvements de Tomoko, jusqu’à sentir la vague la saisir. La vampire gémit alors, et cracha sa semence, jouissant avec plaisir dans la petite bouchez de Tomoko… Pour enchaîner ensuite rapidement, en retirant sa queue.

« N’avale pas, Tomoko, allonge-toi sur le lit, et viens m’embrasser avec ta bouche pleine de ma semence… »

Après tout, il n’y avait aucune raison de ne pas continuer à la provoquer et à l’initier sexuellement…

Tomoko devenait la chose de Mélinda, elle qui pensait en venant ici vivre une petite romance assez innocente où un baiser sur le bout des lèvres aurait été la plus grande chose vécue ce soir... C'était au final le plus innocent. Car elle était en train de nettoyer et jurer certaines choses que la queue de Mélinda. Autant dire qu'elle, acceptant de mettre les pieds ici, elle ne s'était pas attendue à cela, loin de là. Et pourtant, voilà ce qui se passait. Elle était de nouveau en train de la sucer même si c'est vrai, cette fois elle semblait moins passionné que la première fois. Elle ne faisait pas cela à contrecœur, loin de là, mais c'est vrai que la première fois, c'était instinctif, presque comme une pro, là, ça restait malgré tout bien. Il manquait juste cette petite flamme qui l'avait animé juste avant. Et pourtant, Tomoko continuait de sucer en laissant Mélinda donner le ton, lui caressant les cheveux pendant qu'elle prenait là son pied. La jeune femme continuait de sucer avec joie son long membre de chair et quand Mélinda venait à jouir, elle fut de nouveau confrontée à la crème blanche... Elle n'avait pas spécialement aimé ça quand elle avait goûté ça tout à l'heure... Devait-elle retenter ? Par chance, Mélinda lui demanda de la rejoindre, avec ce qu'elle avait en bouche, pour partager. Voilà qui l'arrangeait.

Avec ses joues gonflées comme un hamster, elle rejoignait la vampire sur le lit, se plaçant doucement au-dessus d'elle. La voir juste en dessous d'elle la rendait un peu nerveuse, mais elle passait outre et allait embrasser la jeune femme. Leurs lèvres se séparaient doucement pour que commence la valse buccale mais le sperme dans sa bouche coula rapidement dans cette de sa maîtresse, ce qui l'arrangeait, merci la gravitée. Même si derrière cet échange, il y avait un baiser très agréable, Tomoko sentait en elle venir quelque chose. Une envie, un fantasme, un fétiche, elle ne savait pas quel nom lui donner, mais tout ce qui touchait au sexe se débloquait doucement en elle, libérant bien des envies. Des envies qu'elle allait taire, car celle qui l'animait était passive. Ce n'était pas une chose qui devait se produire maintenant, mais plutôt demain, quand elle partira d'ici... Le frêle corps de la jeune timide s'allongea doucement sur elle, se pressant contre son corps de déesse pour s' blottir pendant ce baiser. Tomoko gardait cette habitude qui était de fermer les yeux pendant le baiser.

« Mmmmmh... »

Elle qui fut si réticente au départ, là, elle avait envie d'aller plus loin, de dormir avec elle dans ce lit, nue, quitte à ne rien faire de plus que dormir, mais voilà, dormir auprès d'une femme nue, elle aussi, ça pourrait être un léger fantasme de réaliser. Elle se demandait ce que ça faisait ? Si elle allait se réveiller au moindre de ses mouvements ou autre ? C'est vrai qu'en y repensant, ce serait bien la première fois qu'elle dormira avec quelqu'un... trouvera-t-elle le sommeil ou bien, elle ne va pas réussir ? Mince, un nouveau stress... Non, ça devrait aller, pas de raison de paniquer après tout... Et si d'autres personnes venaient rejoindre le lit ? Oh là... elle ne pourras pas fermer l'œil de la nuit, c'est sûr ! Voilà qu'elle stressait de nouveau ! Faut dire qu'avec elle, un rien la stress donc... c'était assez facile... Plutôt que sombrer dans la panique et une paranoïa continuelle, elle préférait se rassurer avant.

« Maî-Maîtresse.... je... c-cette n-nuit... p-p-personne ne-ne... vi-viendras.... n-no-nous re-rejoindre ??? »

Déjà que partager un lit inconnu avec une personne la stressait alors si en plus on y rajoute du monde, elle était bonne pour l'insomnie ! Ce ne serait pas la première fois que son cerveau lui fait faire de très courtes nuits. Ses cernes en sont une belle preuve. Tomoko n'était pas n'importe quelle nouvelle esclave pour Mélinda, elle était ce chaton constamment apeuré au moindre bruit, au moindre mouvement dans son champ de vision. Si elle la voulait aussi détendue et en sécurité que toutes ses autres esclaves, ça allait être un travail de longue haleine.

Mélinda partagea avec Tomoko un long et passionnant baiser. Si Tomoko ferma les yeux, Mélinda, elle les rouvrit de temps en temps. Elle se lova contre Tomoko, elle se blottit chaudement contre elle, enfouissant sa main dans ses cheveux, et l’embrassa énergiquement, avec passion. La petite Tomoko ne pouvait pas vraiment lutter, et se contenta de répondre à ce baiser. AU début, leurs langues jouèrent ensemble, mélangeant le sperme dans leurs bouches respectives. Tomoko s’avéra vite adorer ces baisers, et ça, Mélinda le sentit très vite. Elles étaient allongées l’une contre l’autre au début, entremêlant leurs jambes. Puis Mélinda finit par pousser en avant, et renversa progressivement Tomoko sous elle. Couchée sur son esclave, elle l’embrassa encore, même s’il n’y avait plus que de la salive entre elles. Un baiser plein de passion, plein d’énergie, et sa main fila sur son dos, allant caresser les fesses de Tomoko pour caresser ses cuisses, les griffant doucement. La timidité de Tomoko s’était envolée, il n’y avait plus aucun risque qu’elle vomisse, et son sang battait encore chaudement la chamade, trahissant sans aucun doute les pensées très érotiques qu’elle devait avoir en ce moment !

« Hmmm… »

La vampire frotta son nez contre le sien, au fur et à mesure que le baiser semblait se calmer. Tomoko était à nouveau toute chaude, et, si elle aimait les baisers, elle allait être servie avec Mélinda ! Celle-ci avait tout appris en matière sexuelle, et surtout l’art oral, l’art du baiser. Elle avait passé des heures et des heures à apprendre à embrasser avec une prêtresse de Lust, à découvrir tous les baisers, et la manière subtile d’embrasser. Elle commença donc par un baiser intense et appuyé, répondant ainsi à la passion de Tomoko, avant de descendre progressivement, relâchant la pression pour un baiser plus léger, plus suivi, destiné à faire durer le plaisir, alternant ainsi. Elle avait aussi pour elle ses belles dents pointues, et s’amusa, dans un second temps, à mordiller la lèvre inférieure de Tomoko, tirant doucement dessus, provoquant de délicieuses pointes de douleur qui remontèrent en elle.

Mélinda rompit le baiser après une longue période, et Tomoko, en tremblant, la fit alors sourire en lui demandant si d’autres personnes allaient venir. La vampire gloussa, et sa main caressa le visage de Tomoko, écartant quelques mèches de cheveux, les rabattant tranquillement derrière, et l’embrassa alors dans le creux du cou, mordillant sa chair.

« Sur le coup, je ne saurai dire… Est-ce que tu as envie ou pas qu’une autre personne nous rejoigne, hum ? »

Mélinda sourit alors, et empêcha Tomoko de répondre en l’embrassant à nouveau. Elle attrapa ensuite chacune des mains de Tomoko, et entreprit de les poser sur ses fesses. Une main après l’autre, et elle se tortilla un peu, frottant sa queue contre leurs ventres respectifs.

« Palpe mon petit cul, Tomoko, palpe-le bien… »

La vampire sourit une nouvelle fois, et reprit alors :

« Sache que je compte te faire l’amour jusqu’à l’aube, mais, comme tu le sais, je suis mariée… Et, au sein de mon couple, ma femme peut faire l’amour avec chacun et chacune de mes partenaires. Ceci peut avoir lieu ce soir, ou plus tard… Mais, moi et ma femme, Tomoko, nous te ferons sensuellement et longuement l’amour toutes les deux… »

Elle n’en rajouta pas plus, car elle était curieuse, intriguée de voir comment Tomoko allait réagir à cette annonce. Est-ce que son sang allait s’enflammer, est-ce qu’elle allait lire un agréable frisson d’excitation dans ses yeux ? Oh, Tomoko était pleine d’un potentiel infini que Mélinda ne demandait qu’à découvrir davantage !

Tomoko avait beau toujours être avec Mélinda, dans son lit, dire qu'elle était rassurée serait mal la connaître car devinant comment était sa maîtresse et tout ce qui l'entourait, elle savait bien que tôt ou tard des personnes pourraient venir, que ce soit juste pour regarder ou bien... bien plus... Elle voulait donc s'en assurer auprès de Mélinda pour savoir ce qu'il en serait vraiment de toute cette histoire ? Toujours aussi tactile et proche, Mélinda lui caressait le visage en essayant de détourner ses propos. Le fantasme de le faire à plusieurs était peut-être disponible en elle, mais de là à le faire, c'était une autre paire de manches ! Déjà que le faire avec Mélinda lui demandait une sacré dose d'énergie alors le faire avec une personne en plus... elle en serait incapable ! Pour le moment en tout cas. Il suffisait de la voir quand Mélinda se posait la question, un frisson lui traversait le corps à cette simple idée.

Sa maîtresse venait l'embrasser à nouveau en prenant ses mains pour les poser sur ses fesses en lui demandant de les palper. Le fantasme de le faire à plusieurs était peut-être disponible en elle, mais de là à le faire, c'était une autre paire de manches ! Déjà, quand elle parlait de faire l'amour jusqu'à l'aube, elle se demandait si c'était réellement possible ? Tant pour elle que pour Mélinda. Elle était vraiment novice dans le domaine alors bon, ce genre de chose, elle le voyait mal être possible... Mais elle continua de lui faire peur, disant qu'elle partageait tout avec sa femme et que cette dernière serait bien capable de venir les rejoindre tôt ou tard. Mélinda devait le sentir, en prononçant ses mots, les mains de Tomoko se crispaient un peu plus encore, tout comme ses lèvres...

« Je heum... se-serais p-pas p-pr-prête à à à ça, Maî-Maîtresse ! »

Mélinda avait déplacé les barrières de Tomoko très loin en une soirée là où déjà la demoiselle pensait que le plus fou serait un baiser du bout des lèvres, alors lui demander un plan à trois, elle risquait de tomber dans les pommes en voyant juste la femme de Mélinda déboulée ! Il n'était pas impossible que Tomoko en fasse les frais un jour, mais il ne faudrait pas non plus trop en demander en une seule soirée quand même. Même si la vampire pouvait faire des miracles, il ne fallait pas confondre vitesse et précipitation ! Surtout qu'elle ne l'avait pas encore dit à Mélinda, mais dans sa tête, elle ne se voyait pas forcément lui offrir sa première fois vaginale. C'est aller vite en besogne, mais admettons, elle rencontre quelqu'un avec qui elle se sent aussi bien qu'avec sa maîtresse et de fil en aiguille, elle couche avec et lui offre sa première fois ? Bon, certes, pour ça, il faudrait qu'elle soit moins crispée qu'avec Mélinda et ça, ce n'est pas gagné, mais quand même !

Toujours cette même peur dans le regard, cette envie de se recroqueviller sur elle-même pour se protéger de tout ce qui l'entourait. Tomoko pouvait devenir un véritable diamant, mais un diamant ne se façonne pas en si peu de temps. Mélinda allait avoir du boulot si elle voulait en faire un bijou. Elle le sentait bien qu'elle n'était pas normale, ici, combien de fille avait environ son âge et était actuellement en train de s'amuser avec une ou plusieurs partenaires ? Elle devait être la seule dans cette optique dans ce grand manoir !

« P-par-don... »

Son excuse était presque un réflexe, elle savait que quelque part, elle décevait Mélinda... pas besoin de mot ou de regard, elle le sentait... Elle était toujours ainsi même à l'école. Même en faisant des efforts – très peu – elle décevait. Elle était toujours comme ça et la changer ne sera pas une mince affaire...

Un léger sourire amusé éclaira les lèvres de Mélinda suite à sa proposition. Comme elle s’y attendait, le cœur de Tomoko s’emballa, mais pas de joie. Ses yeux exprimèrent une vive panique, et, si Mélinda n’appuyait pas sur ses bras, la vampire était sûre que sa partenaire se serait recroquevillée sur place, tant elle avait peur à l’idée qu’une autre personne arrive. En réalité, Mélinda s’était attendue à une telle réaction, et, quand Tomoko lui présenta ses excuses, la vampire l’embrassa doucement. Ce fut un chaste et délicat baiser, empreint de tendresse et de douceur, qui l’amena ensuite à lui sourire tendrement, délicatement, avec amour et affection.

« À vrai dire, je me doutais bien de ta réponse, ma petite Tomoko-chan… Pour ne rien te cacher, l’inverse m’aurait surpris, ma délicieuse timide aux joues rouges… »

Mélinda avait ce don inné de pouvoir être aussi sage que perverse, d’employer aussi bien des jurons que des mots doux et sucrés. La vampire sourit donc, ses beaux yeux verts se fixant encore sur sa partenaire. La jeune Tomoko semblait se détendre un petit peu, et Mélinda se pencha encore vers elle, optant pour un second baiser, plus long que le premier, et destiné, non seulement à la rassurer, mais aussi à l’exciter. Elle l’embrassa donc assez longuement, et, quand le baiser se termina, elle frotta tendrement son nez avec le sien. La confiance de Tomoko en elle-même était très fragile, et Mélinda ne voulait surtout pas qu’elle s’évapore.

Se frottant encore contre elle, Mélinda fit lentement pousser sa verge, qui retrouva sa dureté. Tomoko put sentir cette belle bosse se frotter contre ses cuisses, tandis que la vampire optait pour un troisième baiser, encore plus sensuel, et même mordant. Elle tira sur la lèvre inférieure de la bouche de sa délicieuse partenaire, et enfonça ensuite sa langue en elle sans vergogne, jouant longuement, tout en continuant à se frotter sur son bas-ventre. Son membre se redressait fortement, et se durcissait aussi, signe que l’appétit de la vampire venait de revenir.

Mélinda se redressa donc, et invita Tomoko à se retourner.

« J’ai envie de te prendre en levrette, mon petit trésor… Alors, mets-toi bien à quatre pattes, et cambre-moi ton joli dos en bombant ton insolent petit cul. Comme je suis d’humeur généreuse, je te laisse choisir par où je te prendrai… »

Ceci étant dit, Mélinda comptait bien aussi profiter du joli cul de Tomoko avec sa langue et ses mains…

Pour Tomoko, il était difficile de penser voir une autre personne regarder ou même participer à leurs ébats. C'était déjà dur pour elle alors si en plus elle devait se rajouter cette pression, Tomoko ne serait qu'un bloc de pierre. Mélinda comptait tôt ou tard faire participer sa femme, mais il était impensable pour le moment que cela puisse arriver. La demoiselle allait devoir faire beaucoup d'effort pour que cela puisse se réaliser. Malgré tout, la vampire la rassurait, lui baisant le front, ce n'était pas pour tout de suite – au grand malheur de Vanillia – que cela allait arriver. Sa maîtresse se montrait douce, venant l'embrasser encore et encore, mais à chaque baiser, l'intensité augmentait, finissant même par lui mordiller la lèvre avant qu'elle ne lui fasse sa demande. Une levrette ? C'était donc, grosso modo de se mettre sur le ventre, non ? Effectivement, elle le confirma avant que son cerveau ne fasse le déclic. Elle lui laissait le choix du trou, mais pour elle, c'était évident qu'elle n'était pas prête d'offrir sa virginité à la première venue. Un jour, peut-être, mais Tomoko restait bien japonaise, alors ça, c'était interdit pour le moment.

Elle se plaçait de dos, à quatre pattes sur le lit comme indiquer par Mélinda et elle venait baisser le haut de son corps, là où sa poitrine et sa tête profitait du lit, son petit cul était très bien mit en avant et en valeur pour Mélinda. Même si la vampire n'avait pas encore la réponse pour le trou à viser, Tomoko remontait sa main sur sa fesse, tentant de l'écarter un peu pour bien lui indiquer où elle devait passer pour la suite. De toute façon, si Mélinda tentait de lui prendre sa virginité, elle allait paniquer, le lui faire comprendre et elle risquait de briser le peu de confiance qu'elle avait gagné de sa part. Profiter pleinement de la jeune femme ne sera pas aussi simple qu'avec ses autres esclaves. Cela demandait beaucoup d'effort pour avoir Tomoko à ses côtés, mais quand elle sera enfin bien présente, tout les efforts de la vampire seront récompenser comme il se doit.

Elle ne savait pas si Mélinda allait rester douce ou partir sur son envie plus mordante en y allant un peu plus fort ? À dire vraie, Tomoko aussi ignorait ce qu'elle préférait ? Doux, forcément ça lui ira, mais plus... violent, un petit peu ? Est-ce qu'elle serait pour ou pas trop ? Difficile à dire, elle a souvent eu du mal à faire un choix, ou au moins de choisir le moins dangereux, comme ça, c'était réglé ! Mais là... les choix de Tomoko étaient toujours un véritable tribunal, devant voir toutes les possibilités et preuves avant de valider un choix. Autant dire que Mélinda avait du pain sur la planche avant que Tomoko ne se fonde parmi ses fidèles. Mais si elle aime les défis, elle sera servie, ça, c'est sûr !

Tomoko était petit à petit en train de sombrer. Elle avait déjà franchi le point de non-retour, celui à partir duquel elle ne pourrait plus jamais retrouver une vie normale. Mélinda avait posé sa marque sur elle, et la vit donc se mettre sur le ventre, puis à quatre pattes. Nerveuse, Tomoko ne parlait même plus, et releva son fessier, qui tapa contre la verge de la vampire. Souriant lentement, Mélinda posa ses mains sur les fesses de Tomoko, et commença à les malaxer. Elle appuya fermement sur chaque fesse, et les pinça, avant de remuer ses mains dans tous les sens. Ses doigts se crispèrent sur ce délicieux postérieur, et elle les remua de gauche à droite, ses pouces glissant contre sa croupe. Elle écartait ainsi chaque fesse l’une de l’autre, tout en frottant sa verge sur la croupe de Tomoko. Elle rapprochait ainsi son membre de sa porte arrière, et continua donc son office.

« Hihi, je sens la frustration se mélanger à tes craintes initiales, Tomoko-chan. Tu sens ma belle verge, hein ? En ce moment, ton corps désire la sentir s’enfoncer en toi… »

Mélinda continua ainsi à la titiller, bien décidée à faire lentement monter la sauce, à chauffer progressivement la soif de Tomoko. Rien n’était exagéré, rien n’était forcé, mais l’idée était bel et bien de l’exciter, d’enflammer ses sens. Talentueuse et calme, la vampire prenait son temps, ayant après tout plusieurs siècles d’expérience derrière elle. Sa belle Tomoko lui plaisait beaucoup, et rien ne pressait. Elle patiente donc plusieurs minutes, en frottant son membre contre ses fesses, jusqu’à sentir Tomoko prête. La jeune femme n’osait pas parler, mais son sang s’emballait fiévreusement, trahissant son excitation.

La vampire s’agenouilla ensuite, et, avant de fourrer sa queue dans le cul de Tomoko, lui donna des coups de langue. Elle se frotta contre elle, gémissant de plaisir, déposant des baisers au passage. Elle préparait soigneusement Tomoko. Certes, elle aurait pu y aller de manière plus violente, plus énergique, mais, avec une jeune femme encore très inexpérimentée, Mélinda ne voulait prendre aucun risque. Elle prépara donc soigneusement sa Tomoko, puis, lorsqu’elle estima celle-ci bien prête, la vampire se redressa. Maîtrisant son domaine, la belle femme y allait avec passion, et frotta de nouveau son membre contre le fessier de Tomoko. Dire qu’initialement, celle-ci avait cru ne pas être à la hauteur, qu’elle ne plairait pas à Mélinda… Quel aveuglement !

« Allez, je t’ai assez fait attendre, ma poupée… »

Et, sur ce, la vampire titilla son fessier avec son membre, et commença à s’y enfoncer doucement. Elle gémit en sentant le corps de Tomoko se tendre d’un coup, se crispant sous l’effet de cette pénétration anale. Mélinda se pinça les lèvres, crispant ses doigts sur les fesses de sa partenaire, et commença ensuite à doucement remuer.

« Oh, Tomoko-chaaaaannn… »

Quel pied !

Tomoko avait beau être excitée, elle restait quand même encore peureuse. Mélinda lui avait déjà pris sa virginité anale, et elle allait recommencer, mais elle était toujours aussi stressée et peu sûr d'elle. La vampire avait beau la rassurer, la titiller aussi, justement, ça ne l'aidait pas tellement à se détendre. Tomoko continuait d'avoir envie autant que de craindre la suite. Elle avait joué sur les contraires et ça, Mélinda allait vite le savoir, même si dans un sens, elle le savait déjà vu que sa partenaire restait muette, mais en revanche son corps ne la trahissait pas. La vampire lui malaxait les fesses, jouant avec, sa queue elle aussi venait taper contre sa porte arrière, menaçant cette dernière, d'enfoncer sa porte arrière, telle un bélier. Elle adorait ça... mais elle le craignait aussi. Il ne sera pas chose aisée pour la vampire de la transformer en une esclave disons, ordinaire, sa timidité allait être autant un frein qu'une arme redoutable !

Toujours sous mutisme, la jeune demoiselle trépignait, ses doigts se serraient sur les draps, autant sous l'effet de l'excitation que de la panique. Mélinda prenait un malin plaisir à le faire tarder, mais les choses avançaient doucement, la vampire y ajoutait sa langue, sûrement pour lubrifier sa petite entrée étroite avant que sa grosse queue ne commence enfin à la pénétrer. Tomoko se redressa doucement en serrant les dents, sentant ses yeux s'extirper de ses orbites petit à petit ! Sa bouche s'ouvrait un peu, mais aucun son n'en sortait pour le moment alors que son énorme mandrin s'enfonçait dans son étroit petit trou. Ce fut que lorsque Mélinda arriva au fond, que le son sortait enfin de sa bouche pour montrer à sa maîtresse que le plaisir était au rendez-vous !

« Haaaaaaaaaaaaaaa !!!! Huuuuuuuuuu-aaaaaaaaaah ! »

Mélinda avait beau y aller doucement, la jeune demoiselle remuait sous les coups de reins de la vampire, se laissant mener par le rythme de sa maîtresse, elle était après tout accrocher à sa grosse queue. Elle était bercée par ses vas et viens, sa voix faible se faisait de plus en plus entendre, il n'y avait que dans la luxure que la demoiselle y mettait de la voix. Elle y était un peu obligée, car elle ne pouvait retenir un tel plaisir qui devait sortir. Plus ça durait, plus elle se tendait en avant, donnant l'air de soit, s'étendre pour mieux laisser sa queue s'enfoncer en elle, soit s'enfuir de cette situation.

« Haaaaaaaaaaa ! Maî....tresse !!!!! »

Elle gémissait, limite, grognait alors que sa salive coulait le long de ses lèvres, allant à son menton pour doucement couler jusqu'au drap. Elle continuait de gémir et de remuer, elle ne savait pas comment se mettre. S'étaler sur le lit ? Se redresser ? Juste rester bien droite à quatre pattes ? Elle n'en savait rien, mais elle testait, c'était sa première séance sexuelle. Mélinda allait devoir sculpter son œuvre pour qu'elle devienne une véritable œuvre d'art !

Un sourire se glissa sur les lèvres de Mélinda. Ah, les deux femmes revenaient indéniablement de loin ! Dire qu’à l’origine, Tomoko était terriblement timide, et n’osait rien faire devant la vampire ! Elle avait même vomi quand Mélinda s’était rapprochée d’elle, tant elle était nerveuse ! Et, finalement, Mélinda avait réussi à en faire son esclave. Là-dessus, il n’y avait à vrai dire jamais eu le moindre doute. Mélinda avait été intimement convaincue dès le début du succès final de son opération, seul le chemin avait été encore sujet à interrogation. Elle ne s’était pas attendue à la peur panique ayant amené Tomoko à vomir, par exemple, mais elle avait fini par trouver son chemin… Jusqu’à entendre, au milieu des gémissements de Tomoko, la douce appellation, la suave et merveilleuse récompense…

Maîtresse.

Quand Tomoko prononça spontanément ce mot, ce mot qu’elle avait initialement refusé de dire, la main de Mélinda se releva, et la fessa. Elle claqua sur son cul, surprenant Tomoko, qui hurla à nouveau. Il n’y avait plus aucun retour en arrière possible, Tomoko lui appartenait corps et âme. Sa petite poupée était sienne, et ce constat suffisait à renforcer sensiblement l’excitation de Mélinda, qui continua ses coups de reins. La sodomie se poursuivit avec une intensité graduelle, au fur et à mesure que la puissante verge de Mélinda se trouvait un chemin dans le fondement de la petite Tomoko.

Face à elle, la timide lycéenne ne semblait plus savoir où donner de la tête, son sang s’affolait dans tous les sens, et Mélinda la gifla encore. Ses fessées avaient pour but de l’enflammer davantage, de l’amener à sortir de son carcan.

« Là, là, hmmm… Laisse-toi aller, ma belle, hmmm… Tu es si bonne, hmmm… ! »

Mélinda ne pouvait qu’aimer ça, tout simplement. Ce cul étroit, ce corps qui se tortillait sur place… Elle gifla à nouveau Tomoko, tout en continuant son office, s’enfonçant de plus en plus profondément en elle, sentant les parois anales de son esclave se dilater de plus en plus. La sodomie n’en devenait par conséquent que plus agréable encore, et Mélinda prenait joyeusement son pied, bien décidée à jouir à nouveau en Tomoko, mais pas avant de l’avoir fait jouir !

Cela faisait la seconde fois de la soirée que le cul de Tomoko allait rendre Mélinda très heureuse ! À quatre pattes, elle se laissait prendre, la vampire venait la prendre avec passion et une grosse envie ! Du moins, elle supposait, c'était la seule partenaire sexuelle de sa courte vie pour le moment. Après, elle a vue bien des genre de porno sur le net – actrices, hentai, 3D – mais en terme d'expérience, la vampire était la seule à remplir les conditions d'expérience réelle. Accrochée à ses hanches, elle continuait de la prendre, alors que Tomoko lâchait en de rares occasion quelques mots compréhensible bien qu'ils étaient à peine soufflés. Elle avait beau s'y habituer doucement, pour qu'elle soit aussi détendue que la majorité de ses esclaves, ça ne sera pas pour demain la veille ! La demoiselle était remuée sous les coups de reins de sa maîtresse qui se faisait peu à peu sa place en elle. Qu'elle en profite, car pour le moment, elle avait l'exclusivité entière de sa nouvelle esclave. Viendra un moment où son esclave volera de ses propres ailes et ira partager le lit d'autres filles, mais pour le moment, l'oisillon ne risquait pas de voler loin de sa « mère ».

« Mmmmmmhhhhhnnaaaaaaaaaa !!!! Ooooooouuuuuh... »

Même si ce n'était pas des mots compréhensibles, qu'elle les expulse était déjà en soit une sacré preuve qu'elle se lâchait un peu plus. Oui, quand on repense à leurs premières rencontre, cette pimbêche de Mélinda, si célèbre dans le lycée que tout le monde lui léchait les pieds, était venue lui parler, d'un peu trop près, son bento n'avait pas supporter la pression et elle avait eut la chance de ne pas vomir sur elle. Disons que Tomoko n'était pas du genre à supporter la pression, ça non. Mais maintenant qu'on la voit, il y a du progrès, à ne point en douter ! Même si la route était encore longue, la mèche était allumée au moins. Mélinda cherchait à la faire progresser, venant claquer sa fesse encore et encore, pour mieux entendre sa voix, dans un cri s'il le faut, mais bien qu'elle n'était pas insensible à cela, Tomoko lâchait de petits couinements, n'osant pas crier purement et simplement. Son cœur frappait si fort en elle qu'elle avait l'impression qu'il allait lui briser la cage thoracique !

« Haaaaa-aaaaaaah ! »

Doucement, doucement le travail de Mélinda portait ses fruits. Le haut de son corps était presque allongé sur le lit. Si sa poitrine serait mieux fournie, ils frotteraient sur le lit. Mais là, ses mains s'agrippaient aux couvertures, fixant le mur face à elle, sentant un peu de salive s'échapper de ses lèvres alors que Mélinda continuait d'envoyer sa queue le plus loin possible en elle, en plus des gifles sur son petit cul qui devait être bien rouge à présent. Au final, ce ne fut qu'à son orgasme que sa voix se fit plus entendre, exprimant enfin son plaisir !

« Ooooouuuuuuuhhhhhhhhh aaaaaaaaaaaaaahhhhhh !!!! »

Fermant les yeux, son corps ne supportant plus cette pression, elle retombait sur le lit. Le bas encore relevé, uniquement maintenue par Mélinda, sinon, elle n'était qu'une vulgaire peluche amorphe. Bien que Tomoko reprenait doucement son souffle et ses esprits, elle se retournait pour faire face à Mélinda, les bras recroquevillés sur elle, comme pour se protéger, observant avec difficulté sa maîtresse. Dans cette position, elle avait ce petit côté animal innofenssif et apeuré, face au prédateur. Soit on a envie de la taquiner, soit de la dorloter, au choix. Elle voulait parler, mais elle n'osait pas, plusieurs fois elle ouvrit la bouche, sans un son. Après plusieurs essaies, elle y arriva enfin, même si sa question sera longue, vu le nombre de fois où elle risquait de s'arrêter ou bégayer.

« Maî-maîtresse... j-je v-voulais sav-voir.... l-le p-p-plaisir est le m-même qu... quand vous a-avez u-un... un orgasme a-avec v-votre... bi... p-p-pénis... que q-quand on on on vous p-prend... p-par... par-d-derrière ? »

La version courte était de savoir si jouir avec un pénis était mieux, pareil ou moins bien que de recevoir cela dans le cul. Mais bon, Tomoko faisait comme elle pouvait. Non pas qu'elle voulait se voir avec un truc pareil entre les jambes, mais elle se demandait si la sodomie, c'était le péché mignon de sa maîtresse ou si elle préférait autre chose ? Tomoko en savait un rayon sur le sexe, mais en pratique, c'était une novice.

Un long soupir ténu s’échappa des lèvres de Mélinda. Ouh, que c’était bon ! Sentir ce petit cul serré se dandiner sous elle, remuer devant sa queue ! Elle s’enfonçait avec un appétit fort en elle. Sentir le corps de Tomoko se tortiller contre le sien était extrêmement agréable, mais la jeune femme était aussi très gourmande. À ce stade, Tomoko ne cherchait plus à parler, malgré les recommandations de Mélinda. Au lieu de ça, elle poussait de longs soupirs, se crispant sur le lit, tandis que, peu à peu, son fondement se dilatait. Les parois anales de la jeune femme s’écartaient avec appétit, au fur et à mesure que la verge de Mélinda gagnait de la place. C’était… C’était bon ! Un délice infini la submergeait, une vague grisante qui déferlait dans son corps. Oh oui ! Elle adorait vraiment ça ! Mélinda partageait avec sa femme, Vanillia, ce goût prononcé et intense pour la sodomie. Cette douleur était jouissive, et il ne faisait désormais plus aucun doute que la belle Tomoko allait, elle aussi, devenir une grande sodomite !

« Hmmm… !! »

Mélinda pinça les fesses de Tomoko, crispant ses griffes sur son cul. Le plaisir croissait encore, montant dans les octaves. Oh, oh ! Mélinda avait mal, car sa queue était écrasée dans le corps de Tomoko, tant ses parois anales se resserraient sur elle. Mais, paradoxalement, elle prenait un pied incroyable ! Han, quel plaisir ! Un plaisir intense et incroyable qui déferlait en elle, fondant dans son corps ! Elle adorait ce contact, elle adorait tout ça ! Imperturbable, elle accéléra encore, grognant, crachant même un peu de salive, jusqu’à sentir le plaisir suprême poindre !

Dans un dernier soupir, la vampire se relâcha alors. Elle se mit à jouir copieusement, s’abandonnant avec délectation dans le corps de sa partenaire. Sa queue tressauta furieusement, et elle répandit son sperme avec appétit dans son cul. Tomoko jouit également, et, pendant quelques instants, les deux femmes disparurent, s’absorbant dans l’ivresse orgasmique de ce moment, dans le plaisir inouï d’une jouissance magnifique, blanchâtre et puissante.

« Haaaa… »

Mélinda reprit peu à peu ses esprits, et ne tarda pas à libérer Tomoko. Elle se retira d’elle, et observa le corps engourdi de la jeune femme. Allongée sur le lit, les cheveux dissimulant partiellement son visage, la jeune femme semblait totalement épuisée. Ce spectacle fit doucement sourire la vampire, qui se pencha alors en avant, et alla se lover tendrement contre elle. Tomoko lui posa alors une question, et Mélinda sourit légèrement. Que répondre à cela ?

Elle s’humecta les lèvres, réfléchissant un peu, avant de parler :

« C’est difficile à dire, Tomoko… Tu vois, c’est à la fois similaire et… Très différent. Je ne peux pas vraiment te l’expliquer, ce sont des choses qu’on ressent. Le plaisir masculin est hypnotique, terrible, il s’empare de moi, et c’est comme si on ressentait une forte douleur dans le corps, une force qui ne demande qu’à sortir. Inversement, le plaisir féminin, s’il est tout aussi grisant, donne chaud, avec l’envie qu’on te remplisse. C’est… Je ne vois pas comment le dire autrement. J’aurai tendance à trouver l’orgasme féminin plus intense, alors que l’orgasme masculin est plus puissant. »

Ce n’était pas forcément très clair, mais, en même temps, elle ne voyait pas comment expliquer cela autrement, ou de manière très claire. Caressant l’épaule de Tomoko, elle l’embrassa dans le creux du cou.

« Ensuite, la sodomie, c’est encore différent. Notre culture amène les hommes à être réticents à l’idée de sentir une verge en eux, mais, crois-moi, tous les hommes que j’ai sodomisé adorent ça. Quand ils mettent de côté leur virilité stupide, ils ressentent un plaisir immense, vu qu’on titille la prostate. De manière générale, j’ai tendance à dire que la sodomie consiste à atteindre l’orgasme principalement par la douleur, alors que la pénétration vaginale mise plutôt sur le plaisir… Mais, l’un comme l’autre, la douleur est là, car elle est intrinsèquement liée au plaisir sexuel. »

Elle ne voyait pas vraiment comment résumer ça autrement, même si, à ses yeux, tout cela lui semblait clair.

Mélinda se redressa alors, et retourna doucement Tomoko, la couchant sur le dos. Son regard croisa ensuite le sien, tandis que le silence se fit. Elle avait encore une question très importante à poser, qu’elle glissa ensuite :

« Est-ce que tu as aimé ça, Tomoko-chan ? »

C’était la seule question importante qui méritait d’être posée…

Encore un orgasme, Tomoko ne s'attendait pas pouvoir jouir autant, en une seule soirée ! Elle avait déjà joui par le passé, jouer avec ses doigts, ça la connais, mais voilà, un orgasme lui suffisait en général, mais là, ouah ! Ou bien Mélinda était une véritable nymphomane ou bien elle avait encore beaucoup à apprendre sur le domaine. Tomoko ne cherchait pas vraiment à se dépasser ou tout apprendre d'un coup, avec tout ce qu'elle avait vécu ce soir, elle n'aurait jamais cru vivre tout cela, même étalé sur dix ans ! Donc quand Mélinda venait se lover contre elle, elle posait la question. Non car les futanaris dans les pages de manga ou animé en 3D ou même en 2D, c'est bien gentil et excitant mais ça n'explique rien en comparaison de plaisir. Alors oui, elle était un tantinet curieuse pour le coup. La vampire tentait de lui expliquer les choses de façon clair, mais même là, elle avait du mal à visualiser les choses. La prostate ? Le mot ne lui était pas inconnu, mais sans être une cancre, Tomoko était loin d'avoir de super note alors, que ça se trouve que chez l'homme, peut-être, mais à quoi ça peux bien servir ce truc ? Vu les explications de Mélinda, à titiller l'orgasme, mais encore ? Car du coup, c'était quoi le mieux ? Un orgasme puissant ou intense ? C'était la question à un million de Yen ça.

Après ses explications, Mélinda venait la retourner sur le dos, lui faisant face pour lui demander ce qu'elle en avait pensé, elle. Pourquoi lui poser ce genre de question aussi ? Tomoko détourna vite le regard, ses poings remonté vers sa poitrine, elle ignorait comment répondre ? Oui, oui, elle avait aimé et c'était même mieux que la première fois comme elle connaissait mieux la douleur, tout ça, mais encore ? Est-ce que ça allait devenir de mieux en mieux au fil des essais ou forcément, il y aura des hauts et des bas selon les jours, les personnes ? C'était toujours difficile de répondre à Mélinda, surtout quand elle lui faisait face. Son petit cœur s'emballait à chaque qu'elle s'apprêtait à ouvrir la bouche pour répondre, mais elle le devait, Mélinda avait beau commencer à connaître Tomoko, elle n'attendrait pas toute une vie pour avoir une réponse. Prenant son courage à deux mains alors que son cœur jouait un solo de batterie digne de figurer sur un album de metal, elle tentait de répondre en une fois, fermant les yeux, cela rendait cela un peu plus simple pour elle.

« Je oui ! J'ai b-bien aimé ça, Maî-Maîtresse ! »

Même si pour le moment, elle conservait sa virginité pour l'offrir à une personne importante qu'elle jugerait apte à former une relation amoureuse, vu son courage, il est plus qu'évident que ce sera Mélinda qui allait la faire saigner. Mais pour le moment, elle conservait son côté fleur bleue, puis qui sait, si parmi les esclaves de Mélinda, une tombe sous le charme de la petite timide ? Enfin, il ne faudrait pas non plus jouer avec ses sentiments justes pour obtenir sa première fois, ce serait méchant. Mais bon, Mélinda saura attendre et quand le moment viendra, sa petite chatte sera rien qu'à elle, elle pourra la remplir à loisir. Mais pour en revenir à la sodomie, elle ne savait pas ce qu'elle pourrait rajouter en réalité ? Enfin, il ne faudrait pas non plus jouer avec ses sentiments justes pour obtenir sa première fois, ce serait méchant. Mélinda attendait plus de détail ? Elle avait oublié de préciser une chose dans le fait d'avoir aimé ça ?

« E-et v-vous ? Je... »

Il était important aussi de savoir si Mélinda a aimé ou bien si elle jouait juste le rôle de jouet sexuel bon à juste faire le travail ? Car Tomoko reprenait aussi conscience de la réalité. Elle a aimé, c'était mieux que la première fois, mais ensuite ? Elle était petite, pas vraiment de forme, mal coiffé et habillée – enfin, ça c'est comme les cernes sous ses yeux, elle devait faire un peu d'effort, mais même bien coiffé, ses cheveux avaient facilement des épis ici et là, même en faisant attention. Au mieux ce qu'on l'enviait, c'était son teint de poupée de porcelaine, mais cela devait être le seul point, le reste... elle était glauque et invisible aux yeux des autres, ça, elle le savait bien.

« Je ne suis pas... pas c-comme... les... les autres... »

Après, il faut dire aussi que Tomoko avait déjà tenté de faire des efforts, mais elle n'avait aucun goût en matière de vêtements et le maquillage, elle trouvait ça inutile. Le peu qu'elle avait fait sur elle lui donnait envie de vomir. Elle n'avait pas une très bonne image d'elle-même, à force d'être ignoré et seule, elle s'était fait tout un tas d'idées...

Mélinda sourit doucement devant les réactions de Tomoko. La jeune femme venait d’enchaîner plusieurs orgasmes, et était encore un peu pantoise. Mélinda sourit doucement en la regardant, papillonnant doucement des yeux, et l’embrassa sur le bout du nez quand elle avoua avoir aimé ça, sur un ton très spontané. La vampire ne put que sourire, consciente surtout du fait qu’elle venait de gagner. Elle avait une nouvelle esclave ! Tomoko l’appelait d’ailleurs assez spontanément « Maîtresse », et semblait désormais admettre que Mélinda était digne de ce statut.

« Moi ? Si je n’avais pas aimé, je n’aurai pas joui en toi, Tomoko-chan… Évidemment que j’ai aimé ! »

Se penchant encore vers elle, elle l’embrassa dans le creux du cou, puis sur la joue, remuant doucement sur elle. Tomoko était encore toute chaude, toute bouillonnante, et Mélinda jouait avec elle, avant que, sur un ton plus bas, Tomoko indiqua ne pas être comme les autres. Mélinda savait évidemment à quoi elle faisait référence, mais elle répondit en commençant par mordiller le creux de son cou, arrachant à sa jeune esclave un soupir.

« Évidemment, Tomoko-chan… Personne n’est comme les autres ! Chaque personne est unique, toi, moi, les autres… »

Même si Mélinda faisait jeune, elle était en réalité plus âgée que les parents de Tomoko, ce qui faisait qu’elle avait malgré tout une certaine expérience, et qu’elle savait donc comment les choses fonctionnaient. Elle se rapprocha encore de Tomoko, et l’embrassa à nouveau, déposant un tendre baiser sonore sur ses lèvres. La vampire ne laissait pas Tomoko se reposer, et sa main retourna caresser son visage, glissant sur ses cheveux. Elle restait allongée contre elle, son membre amaigri caressant son bassin. Elle soupira doucement en la regardant.

Tomoko était une jeune fille isolée, qui n’avait aucun ami, et ça, Mélinda le savait, tout comme elle savait que c’était là le fond de sa remarque. Elle déplaça son pouce pour caresser les lèvres de Tomoko, glissant dessus.

« Être mon esclave est un immense honneur, tu sais… Tu as rejoint une très grande famille, maintenant. Chacun de mes esclaves sont désormais tes amis. Et toi, ma belle, tu vas pouvoir réaliser que tu es très jolie. Tu crois que je ferai l’amour avec toi si ce n’était pas le cas ? »

C’était évident, mais certaines évidences méritaient d’être rappelées ! Mélinda se frotta encore contre Tomoko.

« Tu n’as rien à te reprocher, Tomoko-chan, les Dieux vous ont façonné ainsi… Les humains ont été conçus pour obéir. Toute votre vie est fondée sur l’obéissance, que ce soit envers les parents, les professeurs, les policiers, votre supérieur hiérarchique, l’État… Et, au Japon, c’est encore plus vrai. Il n’y a rien de déshonorant à être mon esclave, Tomoko-chan, car ce n’est qu’ainsi que tu t’épanouiras, en me faisant confiance. Je te rendrai heureuse, je te rendrai belle, je te rendrai forte, à tel point que tu ne seras plus jamais seule et que tu n’auras plus jamais l’impression d’être inutile. »

Tout comme la plus grande peur d’un enfant était que ses parents l’abandonnent, la peur d’un humain était de ne servir à rien. Toute la vie humaine était centrée sur l’idée de lutter contre leurs peurs profondes, contre la vacuité de leur existence. Un être humain ne se sentait vraiment heureux que quand il avait le sentiment de contribuer à quelque chose d’important. Mélinda sourit encore à Tomoko, et l’embrassa à nouveau sur le bout du nez.

« N’est-ce pas cela qu’on enseigne aux Japonais ? De s’épanouir à travers la société ? Et bien, ici, la société, c’est moi… Et ta Maîtresse te trouve entièrement à son goût, ma Tomoko-chan. Jamais je ne t’abandonnerai. »

Et elle l’embrassa encore, avec tendresse et appétit, maintenant volontiers le baiser, tout en lovant et en serrant son corps contre le sien…