The Multiversity

Mélona était en ce moment la plus heureuse des Slimes ! Elle flottait dans un océan de bonheur sous les attouchements de sa mère. Ce fisting douloureux la faisait couiner et gémir, mais sa Maman savait comment y prendre, alternant le fisting de coups de langue, de caresses buccales, ou d’intenses baisers. Et ses mots doux ! Des mots extrêmement gentils glissaient sur sa peau. Mélona allait rendre Maman Lissandre heureuse ! Heureuse ! Pour une fille gentille comme Mélona, rien d’autre ne pouvait lui faire plaisir ! Elle en aurait presque fondu comme une guimauve, mais elle devait se contenir ! Mélona avait encore une très bonne intégrité structurelle, ce qui fit que, quand les doigts de Lissandre s’enfoncèrent encore, et rejoignirent son col de l’utérus, Mélona soupira faiblement. Maman Lissandre ne pouvait tout simplement plus s’enfoncer, car il n’y avait plus de place.

La jeune Slime soupira doucement, et commença à se tortiller, sentant bien ce que Lissandre voulait faire. Après tout, Mélona l’avait déjà « avalé », mais, si la Slime faisait ça, elle allait perdre son intégrité physique ! La Slime soupira donc, et secoua la tête.

« Ma… Maman peut s’enfoncer dans un autre trou, si elle veut… »

Elle rougissait poliment, comme si cette idée l’excitait fortement. Mélona sentit Lissandre se retirer, et la jeune Slime se dépêcha de se redresser.

« Mais… Peut-être qu’on devrait aller dans la chambre de Maman, non ? Ce serait plus agréable pour Maman ! »

Mélona se blottit alors dans ses bras, réclamant subitement un câlin. Aussi instable soit-elle, Mélona semblait surtout vouloir une mère, même si elle avait une interprétation très personnelle de cette notion. Lissandre exerçait en tout cas sur elle un grand pouvoir, car Mélona était effectivement prête à subir pour elle un fist anal. De fait, elle salivait déjà à l’idée de se mettre à quatre pattes face à sa Maman, et de sentir celle-ci s’attaquer à son petit fessier. Pour le coup, Lissandre pourrait surtout envoyer sa main très profondément en elle, car elle allait vite constater que, une fois la porte arrière dilatée, Mélona pouvait se montrer très élastique !

Evidemment que Lissandre répondait au câlin de Mélona. C’était sa fille autant que l’autre maman de leur enfant. Chaleureusement, Lissandre donna donc de petites tapes dans le dos de celle qui était désespérément en manque d’amour. Quelle était son histoire ? Comment avait-elle vécue avant de rencontrer la bourgeoise au corps de latex rose ? Plus elle passait de temps avec elle, plus Lissandre se posait des questions. Et plus elle cherchait des réponses, plus elle avait envie de rencontrer celle qu’elle surnommait « Maîtresse ». Car de la colère naissait dans son cœur.

*Mélona n’est pas une jolie expérimentation. C’est un être avec des sentiments. Et ces sentiments n’ont pas été respecté ! *

« Tu as raison, ma Mélona. Allons dans la chambre. On sera bien mieux installés. Les sucreries seront pour plus tard ! »

Réagissant à un instinct, Lissandre ne fit pas quitter à Mélona leur étreinte. Elle se leva et commença à marcher avec elle. Donnant de petites tapes sur ses jambes pour qu’elle les croise autour de sa taille. Elle n’avait pas réfléchi à si c’était possible. Mais ce devait l’être. Mélona était une slime. Elle ne devait pas peser bien lourd, si ?

« Dis, Mélona. »

Les deux femmes étaient dans le couloir. Elles n’étaient pas encore rentrées dans la chambre.

« C’est gentil de penser à moi. Je suis contente que tu veuilles que ce soit plus agréable pour moi mais : est-ce que ça ira pour toi ? Lissandre ne voudrait pas te faire de mal. »

Tant bien que mal, elle trouva la poignée et ouvrit la porte. Lissandre laissa tomber Mélona qui rebondit sur le matelas. Puis elle posa un premier genou et un deuxième pour se retrouver au-dessus de Mélona.

Une flopée de bisou atterrit sur le visage, dans le cou puis sur les lèvres de Mélona. La main de Lissandre descendant déjà sur le ventre de la slime, caressant du dos de la main son Mont de Vénus. Avant de remonter vers ses seins et de caresser ses tétons.

« Lissandre ne veut vraiment pas faire de mal à Mélona. Et je ne veux pas te forcer à faire quoi que ce soit que tu ne voudrais pas. »

Et si Mélona donnait tout de même son accord, la main de Lissandre redescendait pour commencer à jouer avec l’anus slimesque. En tester la résistance à passer à travers.

Mélona soupira doucement quand Lissandre se mit à la porter. Elle aurait pu marcher à côté d’elle, mais elle trouvait cela encore mieux ! Croisant les jambes autour de sa taille, elle se lova contre le corps de Maman Lissandre, et apposa sa tête contre ses seins. C’était un endroit très confortable, chaud et tendre. Mélona frémissait doucement en sentant cette zone, et sentit ensuite la main de Lissandre caresser ses cheveux, tandis qu’elle lui indiqua qu’elle ne souhaitait pas lui faire de mal. Mélona balaya cette crainte en un soupir, relevant la tête pour regarder sa mère :

« Maman Lissandre ne pourra jamais faire de mal à Mélona. »

Ceci dit, elle posa à nouveau sa tête contre les seins de Lissandre, et laissa celle-ci grimper à l’escalier. Mélona utilisait volontiers ses propriétés slimesques pour coller plus facilement au corps de sa Maman, et elles rejoignirent ainsi la chambre de Lissandre. C’était une agréable pièce, avec un grand lit. Il tardait à Mélona d’avoir sa propre chambre, et de pouvoir la remplir de peluches ! Elle peindrait sûrement les murs en rose, et ferait un grand dessin d’elle avec sa Maman Elle avait souvent vu ça dans les chambres des petites-filles, tous ces dessins, et toutes les peluches. Mélona voulait donc aussi des peluches !

Lissandre referma la porte, et coucha Mélona sur le lit. La Slime rebondit doucement dessus, et frémit quand Lissandre se rua vers elle, venant l’embrasser sur le visage. Elle était à quatre pattes au-dessus d’elle, multipliant les baisers, les caresses, et l’embrassa sur le nez, puis sur les joues, lécha son cou, ses lèvres, et l’embrassa ensuite plus longuement. Soupirant faiblement, Mélona répondit à ce baiser en fermant les yeux, rougissant doucement. Le contact était très agréable, doucereux, sucré. Les baisers filaient sur sa peau, et Maman Lissandre se pressa contre elle, avant d’approcher ses doigts de son bassin.

Mélona frémit doucement, et soupira encore. Elle sourit une nouvelle fois à sa partenaire, et attrapa la main qui caressait ses seins, venant lécher et suçoter chaque doigt.

« Maman Lissandre n’écoute pas ! répliqua Mélona, avant de mordiller un doigt. Maman Lissandre ne pourra jamais faire de mal à Mélona. »

La Slime se retourna alors, et se mit à quatre pattes, bombant ses belles fesses vers Maman Lissandre. Il suffisait de remonter doucement sa robe pour y accéder, et elle les remua de gauche à droite, frissonnant doucement.

« Mélona… Mélona veut sentir sa Maman en elle ! » demanda alors la jeune Slime, visiblement transie d’amour vis-à-vis de sa mère adoptive…

Elle lui avait répété qu’elle ne pouvait pas lui faire de mal. Pourtant, Lissandre connaissait toujours un doute. Elle savait Mélona de nature magique. Mais elle ne pouvait s’empêcher de la voir comme une femme différente avec des sentiments semblables aux siens. Elle avait un corps humanoïde comme le sien et, forcément, y assignait ses limites physiques à elle.

Pourtant, il fallut seulement que Mélona se mette à quatre pattes et lui présente ses jolies fesses pour balayer ses inquiétudes !

*Hi hi ! On va bien s’amuser, je crois ! *

Les mains de Lissandre firent glisser cette petite jupe provoquante pour qu’elle descende le long du corps de Mélona. Elle déposa un premier bisou sonore sur la fesse gauche.

« Je vois que l’autre est jalouse : hi hi ! »

Elle colla un deuxième « smack » sur la fesse droite. Puis, très rapidement, l’index de Lissandre glissa sur la fente de la slime. A chaque nouvel aller, elle s’arrêtait un instant sur son anus. A chaque nouvel aller supplémentaire, elle appuyait un petit peu pour provoquer une pénétration. Le but était multiple : ne pas lui faire de mal –même si elle disait qu’elle ne craignait rien-, et prendre son temps pour que l’excitation grimpe de quelques paliers.

« Hum… Je crois bien que c’est un doigt qui vient de rentrer. Et, oui ! C’est un deuxième ! »

Lissandre prenait son temps. Elle jouait pour le moment dans l’intérieur de la slime de ses deux doigts. Des allers-retours. Des petits mouvements comme si elle grattait l’intérieur. Elle la stimulait à l’aveugle.

Puis elle retirait ses doigts pour coller de nouveaux baisers sur ses fesses. Pénétration et tendresse : c’était son leitmotiv.

Progressivement, usant de cette même rythmique de gestes, Lissandre allait glisser le troisième doigt. Le quatrième. Et finalement la main dans le fondement sucré et obscur de la slime !

Mélona frémit lorsqu’elle sentit les doigts de Lissandre glisser sur sa robe. Elle portait toujours avec elle une robe rose qui semblait tenir sur son corps par magie. La robe était très provocante, puisqu’elle laissait à l’air libre tout ce qu’il fallait couvrir, et au premier rang son opulente poitrine ! Les doigts joueurs de Lissandre s’attaquèrent à cette robe. En soi, concevoir un vêtement avait été un exercice de haute précision très difficile pour Mélona, qui avait dû s’entraîner de nombreux jours, sous l’égide de la Reine Noire ! Mais elle avait finalement réussi ! Le vêtement était très réaliste, de sorte que, quand Maman Lissandre défit les lacets dans le dos, la robe se décolla, et finit par tomber quand Lissandre l’abaissa. Mélona ne portait alors plus que son haut, un bustier très court recouvrant son cou et ses épaules. Débarrassée de sa robe, elle exhibait ses formes opulentes, sa magnifique poitrine, son corps somptueux et parfait !

« Oh, Maman Lissandre, Mélona est toute à vous ! »

Elle frémit quand les mains gantées de Maman Lissandre palpèrent ses seins, puis elle se mit à embrasser son très joli cul. Mélona frémit doucement, remuant sur place. N’était-elle pas, à ce moment, une humaine très satisfaisante ? Sa Maîtresse aurait tout simplement été très fière ! Lissandre prenait tout son temps, avant de finir par approcher ses doigts. Là ! Un premier ! Mélona soupira encore, serrant ses mains sur la couverture du lit, et gémit quand un second s’enfonça en elle. Son cul était très souple, et les parois anales ne tardaient pas à se dilater. Mélona ayant pour l’heure un corps très humain, elle ressentait des sensations exquises, une douleur joyeuse qui remonta en elle, tandis que sa petite chatte s’humidifia joyeusement.

Prenant tout son temps, Maman Lissandre continuait à jouer avec son fondement, et commença enfin à fourrer sa main, s’aidant de son autre main pour écarter les fesses de Mélona. La petite Slime se mit à gémir doucement, et ses mèches de cheveux commencèrent à remuer. Plusieurs formèrent des tentacules violets qui se relevèrent alors, et formèrent à leur extrémité des petites mains violettes, qui allèrent palper les seins de Maman Lissandre, pinçant ses tétons.

« Hmmm… Ma-Maman Lissandre fait du bien à Mé-Mélona, alors… Mélona lui fait aussi du bien ! »

Qui oserait prétendre qu’elle était une mauvaise fille ? Faire plaisir à sa mère, voilà tout ce que Mélona souhaitait ! Que Maman Lissandre la couve de compliments, qu’elle lui assure qu’elle était une bonne fille, c’était tout ce que Mélona souhaitait ! En attendant, sa main pouvait s’enfoncer en elle, et Lissandre allait vite contacter que fister Mélona s’avérait être très agréable ! Mélona continuait à soupirer, commençant même à suer. La magie rose suintait en elle, et elle la libéra autour d’elle, dégageant sous l’effet de l’excitation une délicieuse odeur envoûtante et aphrodisiaque, irrésistible !

Toute la main était dans les fesses de la slime. Lissandre était heureuse d’entendre et de voir réagir ainsi Mélona. C’était en soi une récompense bien plus plaisante que le simple acte du fist. Il y avait quelque chose de précieux, d’intime. Il y avait un lien entre les deux femmes. Une complicité qui permettait de transformer un simple acte d’amour en quelque chose qui transcendait.

Les tétons de Lissandre étaient stimulés par les cheveux-mains de la slime. Et ce n’était pas de refus ! Preuve en était des petits bouts de peau qui cherchait à repousser le latex et à gonfler. Sans compter que les gémissements de Mélona l’amenaient à transpirer. Ce qui produisait un délice visuel et une odeur excitante !

« Et Lissandre aime beaucoup ces petites mains sur ses tétons. C’est très bien, ma Mélona. Je suis contente de toi. »

Sa main remuait à l’intérieur des fesses de la slime. Pour le moment, l’exploration n’était pas allée plus loin. Elle avait réussi à passer tous les doigts et jouaient maintenant avec chacun d’eux. Lissandre s’émerveillait des caractéristiques élastiques et humides de Mélona. Elle s’adaptait si bien à sa main ! Comme si les deux femmes étaient faites l’une pour l’autre !

Lentement, elle chercha à récupérer sa main. Elle força le passage gentiment pour retirer chacun de ses doigts. Pour cela, elle caressa le dos de sa partenaire amoureusement. Elle posa des bisous sur ses fesses. Elle le fit en douceur jusqu’à revoir sa main humide.

« Je suis désolé de te laisser si… vide. Mais j’ai trop envie de tester quelque chose ! »

Lissandre récupéra le vêtement qu’elle avait retiré de Mélona. La petite jupe. La couleur rose. Et tout le reste lui plaisait. Elle était même certaine que ça lui irait très bien par-dessus sa combinaison de latex rose !

« Tu m’aides à la mettre ? Et ensuite… »

Elle montra sa première main et fit onduler ses doigts dans les airs.

« Cadeau ! »

Elle montra alors sa deuxième main. Les doigts aussi ondulaient, anticipation d’un fist hardcore à venir !

*Est-ce que ma Mélona a des limites ? Je suis trop curieuse de l’apprendre : hi hi ! *

Plus Mélona était excitée, sexuellement parlant, et plus elle se sentait humaine, tangible… Une sensation incroyablement exquise et gratifiante pour elle ! La Reine Noire l’avait conçu ainsi. Pour que Mélona ne soit pas comme les autres Slimes, c’est-à-dire indomptables et sociopathes, elle avait développé chez elle une forte soif sexuelle, liant cette soif à son envie de cohésion. Car, si la Reine Noire avait bien compris quelque chose au contact des Slimes, c’était que, en incorporant en eux une conscience humaine, ils voulaient être humains. Ils adoptaient naturellement des formes morphologiques bipèdes, alors qu’ils auraient pu prendre n’importe quelle autre apparence. Mélona ne faisait pas exception, et, même si elle pouvait encore continuer à utiliser ses pouvoirs, le chewing-gum géant qu’elle était se complaisait dans l’idée d’avoir un corps solide. De fait, il était difficile pour Lissandre de s’enfoncer plus profondément. Ce n’était pas impossible, mais la jeune femme s’y refusa finalement, et récupéra ses doigts. Ils étaient très propres, car Mélona était par nature très propre, et son organisme ne produisait pas d’excréments.

Lissandre désira alors enfiler sa robe ! Surprise, Mélona se retourna. Ses opulents seins se dressaient fièrement, ainsi que son magnifique corps nu. Elle se mit ensuite à genoux, et vint aider sa mère, lui demandant de tourner le dos.

« C’est une robe spéciale, elle va s’adapter à la taille de Maman… »

Mélona l’aida à serrer les lacets dans son dos, mais la robe fit ensuite le reste. Comme Mélona l’avait dit, cette robe n’était finalement qu’une excroissance d’elle-même, un petit bout de Mélona qui s’assembla sur le corps de Lissandre. Toutefois, la tenue n’était pas encore complète, car Mélona dégrafa également ses épaulières roses, et les mit sur les épaules de sa mère. Elle les attacha ensuite, et sourit. Mélona était désormais toute nue ! Sa robe s’étirait sur le corps de Lissandre, cette robe si particulière qui ne protégeait que les hanches.

La Slime observa sa mère en clignant des yeux. Habituellement, elle portait cette robe pour cacher les imperfections de son corps slimesque, les plis et les bosses. Avoir une peau humaine lisse, ce n’était pas si simple ! La robe permettait donc de cacher ça, et les épaulières également. C’est ce qui fit que Méloina rougit doucement, un peu gênée à l’idée d’être nue, craignant que Lissandre ne voit les éventuelles bosses ou plis… Quand bien même ceux-ci n’étaient pas là ! Ainsi, quand Lissandre remua ses doigts en l’air, Mélona ne la suivit pas, car elle avait surtout peur de lire dans les yeux de sa mère le dégoût.

« Je… Maman ne trouve pas Mélona… Trop laide ? » demanda-t-elle alors, d’une toute petite voix, en n’osant pas la regarder, la tête baissée.

Entièrement concentrée à découvrir que la robe de Mélona se mêlait très bien avec sa combinaison de latex, Lissandre avait accusé un temps de retard avant de découvrir la détresse de sa compagne.

« Hey ! »

Elle releva la tête gentiment de la slime en posant son doigt en-dessous son menton. Lissandre accueillit le retour de Mélona d’un grand sourire. Elle était heureuse. Et elle se devait de partager son état !

« Laide ? Où est-ce qu’il y a quelqu’un avec cet horrible défaut ? »

Mettant sa main en visière, Lissandre commença à regarder à gauche et à droite. Evidemment, c’était un jeu. Elles se trouvaient toute les deux dans la chambre et il n’y avait qu’elles deux. Mais Lissandre allait continuer son jeu. Après tout, même si Mélona avait un corps de femme et des aptitudes sexuelles de femme : elle restait une enfant.

« Tu sais ce qu’on va faire, on va se lever et se rapprocher du miroir derrière toi. Ok ? »

Lissandre sortit du lit et se présenta face à un grand miroir longiligne. Elle put ainsi constater à quel point le rose lui allait bien. Que ce soit sa combinaison moulante ou la robe de la slime. Se retournant et tendant une main pour inviter Mélona, elle la plaça devant elle. Elle posa ensuite son menton sur son épaule et enroula ses bras autour de la taille de la slime.

« On va faire comme si on ne surveillait pas. On va toutes les deux observer les deux canons dans ce miroir. Et si l’une de nous deux voit cette femme laide. On CRIE ! D’accord ? AH ah ah ! »

Un bisou fut déposé à la base du cou de la slime. Puis un autre sur son épaule. Ses mains commençaient également à caresser le joli ventre de Mélona.

« Mmm, Maman Lissandre est peut-être un peu distraite. C’est parce que la robe de Mélona lui va beaucoup et parce qu’elle ne peut pas s’empêcher de déposer de délicates attentions sur son corps parfait. Puis, de toute façon, maintenant que j’y réfléchis : mon escadron de la mort qui surveille ma maison a une règle fondamentale à respecter. »

Elle attendit un peu. Juste de quoi mettre un début de suspens. Enfin, elle répondit.

« Mon escadron de la mort repousse toute forme de laideur. Il n’y a que la beauté qui est autorisée à passer les portes. »

Ce sur quoi elle fit un clin d’œil et un nouveau bisou sur la joue de la slime.

Il avait été très compliqué pour Mélona de réussir à avoir un corps harmonieux. Avec sa Maîtresse, elle avait découvert le concept de la vallée dérangeante. Quand il fallait faire son corps, elle avait du mal à se modeler. Un œil plus gros que l’autre, des bourrelets qui tombaient vers le sol à hauteur du ventre. Ça, le ventre, ça avait été compliqué ! C’était une partie molle, par définition, alors elle avait dû s’entraîner longtemps. Pour maintenir un corps harmonieux, elle devait avoir toute sa concentration et toute son énergie sexuelle, mais il arrivait souvent qu’il y ait des défauts, des imperfections. Mélona n’osait de fait même pas regarder, tant elle craignait cela, tout en exposant aussi à Lissandre sa plus grande peur… Celle qu’on la prenne pour un monstre ! Elle voulait être une humaine !

Maman Lissandre entreprit alors de la réconforter, à sa manière. Mélona papillonna des yeux en la regardant faire, puis se retrouva finalement devant un miroir. Lissandre prenait de grands gestes expressifs, et Mélona s’observa dans le miroir. Elle ne vit rien de choquant. Son petit estomac, surtout, ne dégoulinait pas avec une série de plis et de bourrelets qui tomberaient vers le bas. Elle ne vit aucune coulure sur ses jambes, et se retourna alors vers Lissandre, quand celle-ci lui expliqua que la laideur était interdite dans son manoir.

Les yeux évasifs de Mélona s’illuminèrent alors, et elle bondit alors contre sa Maman, venant l’enlacer.

« Maman Lissandre ! »

Mélona avait opté pour la fameuse prise du koala, enroulant ses jambes autour de la taille de Lissandre et ses bras autour de son cou.

« Mélona est si heureuse d’avoir Lissandre comme Maman ! »

Elle l’embrassa alors sur les lèvres, pressant plus fermement son corps sur le sien. Ses longs cheveux tombaient dans son dos en cascade, et ce baiser sucré dut remonter dans les narines de Lissandre. Mélona, même si elle voulait à tout prix être une humaine, conservait sur elle cette douce aura de sexe et de sucreries. Elle se pressait contre le corps de sa partenaire, fourrant sa langue dans sa bouche, sentant le contact de sa robe sur le corps de sa Maman.

Rompant ensuite le baiser, Mélona semblait avoir retrouvé son engouement naturel, et frotta son nez contre celui de Lissandre.

« Maman trouve Mélona belle ? »

Certes, Lissandre venait déjà de le dire, mais… Et bien, c’était le genre de choses que Mélona adorait entendre ! Car c’était bien là la preuve qu’elle n’était pas monstrueuse, vu qu’il était bien connu que les monstres étaient laids ! Alors, si elle était belle… C’était là l’ultime preuve qu’elle n’était pas monstrueuse ! Pour Mélona, ce n’était donc que du bonheur, tout simplement !

« Maman a déjà dit qu’elle trouvait Mélona belle. Elle n’écoute pas ? Elle veut encore une punition ? »

Faisant les gros yeux… mais souriant de malice, Lissandre savait qu’elle n’était pas crédible. Mais peu importait ! Elle s’amusait comme une petite folle avec sa Mélona ! Elle ne voyait pas le temps passer.

« Pourtant, c’est Maman qui devrait avoir des soucis pour t’écouter. »

En y réfléchissant un instant, Lissandre ne savait plus quel temps il faisait dehors. Enfin, plutôt quelle heure il faisait dehors. Faisait-il nuit ? Nuit fin de soirée ou nuit genre 4h du matin ? Lissandre ne savait plus. Mélona lui faisait vraiment perdre le contrôle de sa journée. Et ce n’était pas une mauvaise chose !

« Maman ne sait même plus quelle heure il est et si elle est fatiguée. Tu te rends compte ? »

Ses doigts se frottèrent les uns contre les autres. Les souvenirs lui revinrent. Pas ceux concernant l’heure qu’il était : ceux concernant pourquoi ses doigts étaient humides et… elle les monta à son nez : et odorants. Ces doigts étaient allés dans le fondement de sa Mélona et pourtant, pourtant ça sentait le dessert sucré !

« Tu es incroyable, Mélona ! Sens ! C’est sucré ! »

Elle ne résista pas et laissa sa langue sortir. Une hésitation ? Un moment de suspens ? Lissandre finit par se lécher les doigts. Et un sourire étira ses lèvres. Oui, ça avait goût de sucré !

Mélona dans ses bras façon koala, Lissandre pouvait facilement aller titiller ses fesses. Y rentrer un doigt. Racler le bord comme on le fait avec un excellent dessert et se délecter de ses dernières miettes sucrées. Lissandre goûta à nouveau l’intérieur de Mélona. Comment faisait-elle pour ne pas toujours se goûter elle-même ? Si elle avait ce corps, Lissandre deviendrait folle de sentir et de goûter aussi bon et…

*Attends. Et si elle pouvait… Non. Si ? Quel goût ça aurait ? *

« Euh, Mélona. »

Lissandre posa un nouveau baiser sur ses lèvres.

« Est-ce que tu es une femme-fontaine ? Je veux dire, ce n’est pas grave si tu ne l’es pas, hein. C’est juste que… »

Elle ne pouvait pas avoir honte d’une telle demande. Pas avec Mélona avec qui elle partageait tant !

« C’est juste que j’adorerais en boire ! »

Mélona gloussa doucement quand Maman Lissandre lui indiqua que son liquide était… Sucré. Elle pouffa, plutôt, comme une petite-fille à qui on viendrait de faire une plaisanterie. La Slime se mordilla ensuite amoureusement les lèvres. Si craquante, elle était si craquante ! Face à elle, on ne pouvait que s’effondrer ! La Slime papillonna des yeux, sans trop savoir quelle heure il était… Et, à vrai dire, elle s’en moquait ! Mélona n’avait pas besoin de dormir. En fait, elle n’aimait même pas dormir seule, car, pendant qu’elle dormait, son corps se disséquait. Elle avait en revanche parfois besoin de purger son organisme. On pouvait apparenter ça à une forme de « sommeil », mais Mélona le faisait rarement. Généralement, elle simulait le sommeil, mais, quand elle se purgeait, elle prenait une forme beaucoup plus dure, cristalline. Lissandre y aurait peut-être droit, mais, pour l’heure, Mélona frémit quand la main de sa Maman glissa sur ses fesses. Elle soupira quand le doigt de Lissandre rentra dans son fessier, et gémit alors, tandis que sa maman lui demanda si elle pouvait… Boire.

« Oh… Maman a soif ? »

La Slime l’embrassa tendrement, et remua alors. Lissandre portait toujours sa robe, et Mélona put sentir, contre ses fesses, le renflement de la verge de sa Maman. Une nouvelle idée était en train de germer dans son esprit facétieux, et elle poussa sa Maman, venant la coucher sur le lit.

« J’ai une idée, Maman, tu vas pouvoir boire autant que tu veux ! Mais moi aussi, je veux boire ton jus ! »

Hey, Mélona aussi avait soif ! Et quoi de mieux que la verge de Maman Lissandre pour se servir ? Celle-ci ne tarda pas à se dresser, et, à califourchon sur le corps de Lissandre, Mélona se retourna. Elle se pencha alors en avant, et posa ses lèvres sur la verge de Lissandre, tout en se penchant lentement, se cambrant de plus en plus. Ainsi, Lissandre allait pouvoir s’attaquer aux lèvres intimes de Mélona, qui ruisselaient déjà de sa délicieuse mouille sucrée. C’était un magnifique 69, qui allait sûrement ravir sa Maman ! Mélona, elle, se régalait déjà à l’idée de lécher ce beau membre dressé devant elle, et commença à s’y attaquer, sa langue glissant dessus avec appétit.

Mélona sentit rapidement le membre de Lissandre durcir, et le prit en bouche, gémissant de plaisir, remuant son corps, impatiente de mouiller pour sa chère Maman !

L’enthousiasme de Mélona était contagieux. Enfin une personne qui pouvait suivre le rythme infernal qui rythmait la vie de Lissandre ! C’était formidable !

*Je dois perdre la tête. J’avais une verge moi ? Je pensais plus. A moins que j’inverse la situation avec autre chose ? Mais avec quoi ? WOH ! Soit l’excitation est une drogue, soit Mélona en produit naturellement ! Hi hi ! *

Peu importait la raison, Lissandre appréciait déjà cette position de 69. Cette vue qu’elle avait de la slime lui mettait l’eau à la bouche. Le contact des lèvres de Mélona sur sa verge magique lui procurait déjà de nouveaux frissons.

*Est-il possible de se lasser de pareille situation avec le temps ? Je ne pense pas ! Hi hi ! *

Ses mains glissèrent sur les cuisses de Mélona. Elle avait la peau si douce, si parfaite. En fait, elle avait la peau dont rêvait Lissandre ? Mais comme elle, elle avait dû travailler pour l’avoir. Lissandre l’avait choisi dans un magasin. Mélona l’avait sculpté à l’aide de sa magie et de son imagination.

Ses mains glissèrent donc sur ses cuisses tandis que sa langue glissait lentement vers la fontaine sucrée. Le Mont de Vénus en pente douce. Le clitoris qui était comme un délicieux dos-d’âne. Puis les lèvres qui dissimulaient leur trésor. Il fallait pourtant si peu pour que sa langue perce les défenses. Et tellement était donné en retour ! Cette mouille sucrée : c’était un bonheur.

*Est-ce que je peux la faire mouiller plus ? Plus abondamment ? Est-ce que je peux faire jaillir un jet ? Peut-être qu’en appuyant au bon endroit, je peux titiller au bon endroit et la transformer en femme-fontaine ? Enfin, en slime-fontaine ? *

Après s’être délectée directement de lèvres à lèvres, Lissandre quitta presque à regret ce délicieux nectar. S’appuyant de sa main gauche sur le sol, elle enfonça son majeur et son annulaire à l’intérieur de sa Mélona. Elle la stimula, essayant de mettre tous les sens de son corps à l’affût. La moindre contraction devenant un jeu de « tu chauffes » « tu refroidis » « tu te réchauffes ! » « c’est très chaud ! ».

Lissandre visait une unique chose : la jouissance explosive ! Le geyser sucré !!

Le sexe était un plaisir continuel pour Mélona, quelque chose dont, par définition, elle ne pouvait pas se lasser. Elle avait été pensée pour ça, conçue pour que le sexe soit le moteur de son humanité. C'était somme toute plutôt bien pensé de la part de la Reine Noire, car cela supposait que Mélona se livre à des interactions sociales, et obtienne le consentement de ses partenaires pour faire l'amour. Ainsi, cela amenait indirectement Mélona à se sociabiliser, et à s'humaniser. C'était pour ça que Mélona détestait ses imperfections éventuelles. Elle voulait plus que tout être une humaine, et détestait qu'on la considère comme un monstre. Comme une sorte de Gepetto moderne, la Reine Noire avait conçu son Pinocchio personnel, une poupée qui souhaitait être humaine. Allait-elle accomplir cet objectif avec Lissandre ? On pouvait raisonnablement l'espérer. Le comportement survolté de Lissandre se mariait plutôt bien avec l'excentrique Mélona, et les deux femmes continuaient donc à se faire l'amour, optant pour une approche lente et sensuelle, chacune venant se lécher intimement.

Mélona soupirait de plaisir, et continuait à lécher avec appétit l'intimité de sa Maman. Lissandre se tortillait sous elle, remuant, et c'était vraiment très agréable. Sa petite bouche de plaisir était un pur régal pour la Slime, qui enfonçait sa langue, n'usant pas de ses tentacules ni de ses facultés slimesques. Sans ses vêtements, c'était plus compliqué, car elle devait les générer directement à partir de sa peau, et... Et bien, cela la déformait ! Or, elle voulait être la plus belle possible pour sa Maman ! En ce ce moment, son corps restait toutefois indissociable, au niveau du toucher, d'un corps d'humain normal ! Il fallait toutefois rajouter l'odeur sucrée qui s'échappait du corps de Mélona, un petit ajout qui ne semblait toutefois nullement déplaire à Lissandre.

« Hmmm... »

Lissandre continuait à la lécher également, et sentir ses mains palper ses cuisses ou ses fesses, cela contribuait à l'exciter ! Oh, par les Slimes, qu'elle aimait ça ! Elle avait tellement hâte de raconter à sa Maîtresse qu'elle avait désormais un foyer, et une Maman ! Oui, elle allait en prendre soin, elle voulait être la plus adorable des filles ! Jamais elle ne ferait pleurer sa Maman, elle sera toujours là pour elle ! C'était ce qu'on attendait d'elle, et, pendant ce temps, elle mouillait pour sa mère, répandant sa délicieuse cyprine sur ses lèvres, se tortillant sur place en gémissant encore.

« Hnnnnn... ! »

C'était délicieux ! Elle se laissait aller, et, au bout de quelques minutes, Lissandre eut finalement droit à sa juste et légitime récompense... Mélona se mit à jouir avec appétit, et sa cyprine sucrée se répandit sur le visage de sa Maman, venant lui offrir son magnifique liquide rose !

Mélona était un rêve éveillé. Un concentré de douceurs, de sexe et de choses sucrées. Que pouvait-on créer de supérieur à ça ?! Rien. Lissandre ne pouvait concevoir quelque chose ou quelqu’un de mieux. Impossible !

« Tu es tellement délicieuse, ma Mélona ! Hmm ! »

Elle redoublait d’efforts pour explorer l’intimité sucrée de la slime. Sa langue lappait comme une chatte assoiffée. Ses mains caressaient comme une personne en manque. Son corps dansait sur le rythme de l’amour. En harmonie avec les efforts de Mélona. Tout son corps ne vivait qu’à travers cette expérience sexuelle. Elle était un tout. A tel point qu’elle associait ça à une expérience mystique. Une sorte de Nirvana ?

« Lâche-toi. N’aie pas peur. Eclabousse le visage de Maman ! Nourris Maman jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus rien boire ! Jusqu’à ce qu’elle ait mal à la mâchoire à force de te donner du plaisir : hmm ! »

Et ce qu’elle attendait arriva. Un beau jet de femme-fontaine. En plein dans son visage alors qu’elle s’en écartait au dernier moment. Le liquide rose coulait sur son visage. Et sa langue essayait d’en lécher le plus possible. En même temps, ses mains s’étaient posés sur les cuisses de Mélona. Puis elle lui avait écarté les jambes. Elle voulait tout voir. Ça la fascinait !

« C’est tellement sucré : hi hi ! »

Les grandes lèvres de la slime. Elles étaient tellement mouillées. Sans s’en rendre compte, Lissandre donna donc quelques coups de rein. Une envie la prenait soudain. Cette vision de l’intimité ouverte et bavant d’une sorte de jus de barbe à papa. C’était plus fort qu’elle ! Lissandre se releva d’un bond. Elle fit un demi-tour et se laissa retomber. Une chute tout de même contrôlée suivi rapidement d’un baiser au goût sucré. Le visage de Lissandre se releva un peu et observa Mélona. Des gouttes de cyprine sucré éclaboussait sur le visage de la slime. Puis, sans prévenir, Lissandre s’inséra dans Mélona. Son sexe de latex rose dans son vagin sucré et dégoulinant.

« J’avais trop trop envie ! Hi hi ! »

Ses reins bougèrent à un rythme plutôt rapide. Déjà ses lèvres venaient cherchaient celles de Mélona. Des bisous passionnés. Et elle ne s’arrêtait pas de la pénétrer. En fait, Lissandre était excitée. Combien de temps, enfant, lui avait-on dit de ralentir sa consommation de bonbons parce que le sucre était un excitant et qu’elle ne dormirait pas de la nuit ? Hi hi !

Mélona prenait un pied d’enfer avec Maman Lissandre, et jouit généreusement dans sa bouche, ainsi que sur son visage. Elle se relâcha copieusement, sentant tout son corps se détendre. Son beau corps beige, qui ne se déformait pas ! Elle était si ravie, si heureuse qu’elle aurait pu en pleurer de joie ! Là, elle n’était pas un monstre, elle était la fille aimante de Maman Lissandre ! Pour elle, c’était parfait, c’était même tout ce qu’elle désirait, et rien de plus. Elle crispa ses petites mains sur les fesses de sa Maman, sentant les plis de sa robe recouvrant la combinaison rose de Maman Lissandre. Sa belle verge cracha son sperme dans sa belle bouche, et Mélona avala tout cela avec appétit. Elle se tortilla sur place, et laissa le fluide jaillir en elle. C’était un contact qu’elle aimait tout particulièrement, un liquide savoureux qui la soulagea de toute sa soif.

« Hmmm… ! »

Lissandre ne la laissa toutefois pas souffler longtemps, puisqu’elle se redressa alors. Mélona bascula en arrière, et, surprise, tomba sur les fesses sur le lit. Maman Lissandre la domina ensuite, et la coucha sur le dos, venant la dominer. Son visage était parcouru de la mouille rosâtre de Mélona, décorant sa tête. La Slime rougit doucement en écartant les jambes. Son corps se présentait à Lissandre sans artifice, avec sa peau parfaite, ses seins pointant vers elle, et son ventre légèrement rebondi. Elle la regarda en clignant des yeux, entrouvrant les lèvres.

Pour seule explication, Lissandre la pénétra en lui expliquant qu’elle en avait tout simplement « trop, trop envie(/i] ». Mélona rougit en gémissant, et se pinça les lèvres, avant de regarder sa Maman, et remonta ses mains. Elle attrapa ses cheveux, et alla l’embrasser. Maman Lissandre s’affala contre elle, venant la prendre en missionnaire. La petite Slime gémit doucement en répondant à son baiser, jouant de sa langue avec la sienne.

« Moi aussi, hmmm… J’ai envie de toi, ma Maman… »

Elle la sentit remuer en elle, et couina encore. Les mains blanches recouvrant habituellement les seins de Mélona s’écartèrent alors, et se posèrent sur la tête de sa Maman, la maintenant ainsi près d’elle, tandis qu’elle déplaça ses autres mains. Elle les utilisa pour caresser le corps de Maman Lissandre, glissant sur son dos, et allant jusqu’à palper ses délicieuses fesses. Elle sourit en sentant le corps de sa Maman se crisper et se cambrer contre elle.

« Encore, Maman, encore, hmmm… ! C’est si bon, haaa… De te sentir en moi ! Haaaann.. !! »

Et elle allait encore l’embrasser avec appétit, savourant ses magnifiques lèvres, fourrant sensuellement et suavement sa langue dans sa bouche…

La petite bouille de la slime. Ses gémissements. Ses pincements de lèvres. Tout ça faisait cavaler le cœur de Lissandre. Elle l’aimait sa Mélona !

« Je ne compte plus m’arrêter. J’ai beaucoup trop d’énergie : hi hi ! »

Elle ralentit et arrêta de donner des coups de rein. Toujours logée à l’intérieur de la slime, Lissandre voulut profiter un instant de toutes ses mains qui glissaient dans son dos. Puis elle approcha ses lèvres des seins parfaits de la slime. Sa bouche engloba le téton et sa langue fit plusieurs tours de rond-point. Elle fit de même avec l’autre.

« Tu es vraiment très belle, ma Mélona. C’est comme si tu avais cette beauté au naturelle que j’avais dû trouver en m’habillant de mon latex. Je pourrais presque être jalouse ! »

C’était dit sur le ton de la plaisanterie. Bien que dans le fond, et elle s’en ferait surement la réflexion lorsque Mélona aurait quitté sa vie, Lissandre ressentirait effectivement une jalousie. Mais… à la reflexion, pouvait-elle se permettre un tel sentiment ? Elle avait été né au naturel alors que Mélona était artificielle. Chacune des deux mélangeaient une partie de naturelle et d’artificielle. Et toutes les deux étaient des demoiselles avec des sentiments et des désirs. Elles étaient donc identiques à bien des égards !

Les lèvres de Lissandre allèrent chercher celles de Mélona. Elle quitta le contact pour dégager sa tête et laisser couler un filet de sa bave et de la cyprine sucrée. Elle voulait jouer d’un baiser passionné et humide. Combien de vidéos avait-elle pu regarder entre deux femmes s’échangeant « seulement » un baiser ? Beaucoup trop diraient certains ! Mais il y avait une telle décharge d’érotisme dans ces baisers humides où elles échangeaient leurs salives. Ce petite jeu d’ouvrir la bouche et de récupérer celle de l’autre. Lui redonner. Ne pas hésiter à embrasser goulument et laisser le menton humide. Un baiser irraisonné. Un acte de gourmande !

« Je t’aime, ma Mélona. Je t’aime ! »

Et doucement, les coups de rein reprirent.

Mélona était sans aucun doute la Slime la plus heureuse du monde en ce moment. Couchée au milieu du lit, elle sentait sa Maman s'enfoncer en elle avec force et appétit. Cette belle verge remuait dans les tréfonds de sa chatte, lui arrachant de longs soupirs de plaisir. Elle se tortillait sur place, sentant son excitation croître au fur et à mesure que sa Maman continuait à la prendre. Lissandre pouvait sentir plusieurs paires de mains glissant sur son dos, tels de longs tentacules rosâtres qui venaient notamment palper ses belles fesses, malaxant son cul moulé de latex, écartant chaque fesse l'une de l'autre, ou grattant le milieu de son dos, faisant vibrer le latex. Comme elle portait la robe de Mélona, Lissandre pouvait également sentir celle-ci vibrer doucement, venant enflammer et exalter ses sens. Lissandre s'enfonçait en elle, et s'arrêta alors progressivement, souhaitant plutôt mordiller ses seins, tout en venant complimenter Mélona. Elle était belle, elle était parfaite, et Maman Lissandre aurait presque pu être jalouse d'elle !

« Hihi, Maman raconte n'importe quoi ! » plaisanta Mélona, malgré tout flattée des compliments de Maman Lissandre.

La Slime était si heureuse ! Si elle aimait bien le sexe, c'était parce que, dans ces moments, elle se sentait plus humaine que jamais ! Son corps était alors parfaitement solide, et elle était sensible à tout ce qui se passait. Ses tétons étaient durcis, ses seins frémissaient, et tout son corps était alors parfaitement tangible, le corps d'une humaine parfaite. Un spectacle saisissant et enjôleur qui ne pouvait que ravir Lissandre, qui remonta ses lèvres, et opta pour un baiser plus appuyé avec Mélona. Un baiser sucré et liquide, où elle partagera sa salive avec la sienne, rompant le baiser pour mieux le reprendre, temporisant par ailleurs au niveau de ses coups de reins, ralentissant le rythme pour profiter de ça.

Une telle situation n'allait clairement pas déplaire à Mélona, qui remonta ses mains dans le dos de Lissandre, caressant sa combinaison, serrant ses cheveux, et ferma les yeux, s'absorbant pleinement dans ce baiser. C'était sa Maman, et la rendre heureuse était tout ce que Mélona souhaitait faire, tout ce à quoi la jeune Slime aspirait.

« Hmmm... »

Les deux femmes s'embrassèrent donc avec appétit, la salive de Maman Lissandre se glissant tendrement dans sa bouche. Soupirant lentement, Mélona appréciait fortement ce contact, et Lissandre reprit ensuite progressivement ses coups de reins, accélérant après plusieurs minutes d'un intense échange buccal, qui ne devrait toutefois pas se terminer facilement. Mélona posa en effet sa main sur la tête de sa Maman, et continua le baiser, l'encourageant ainsi à la pénétrer et à la baiser tout en devant aussi faire durer ce baiser. Une tâche qui n'était pas simple, mais, après tout, qui avait dit que coucher avec une Slime serait simple ?

En fermant les yeux, Lissandre imaginait tout de suite plusieurs Mélona tout autour d’elle. Toutes ses mains dans son dos. Cette intimité chaude qu’elle pénétrait encore et encore. Oui, elle avait l’impression d’être au lit avec plusieurs Mélona !

*Toi aussi tu aimes ma douce Mélissandre, hein ! Je te sens vibrer de plaisir ! Et tu ne peux pas savoir à quel point ça rend Maman fière et horny ! Hi hi ! *

« Hum ? »

Lissandre pensait rompre le contact et remettre toute son énergie dans ses coups de rein. Mais c’était sans compter l’indomptabilité et l’appétit sans fin de la slime ! Elle allait encore perdre la tête ! Baiser, embrasser et se faire tripoter par une seule personne comme si elle était dix ? L’esprit de Lissandre allait encore être conduit à ses limites. Elle allait voir l’abysse et tomber dans un abyme de plaisirs qu’un être humain ne devrait pas connaître.

*Ce plaisir est-il pour le futur de l’humanité ? Est-ce que ça fait de moi une pionnière ? Peut-être suis-je une sorte d’élue comme dans les histoires que je me plais à raconter ?! Une femme incomprise dont les travaux ne seront compris que dans un ou deux siècles ? *

Cette idée ridicule avait également le mérite de faire ressentir Lissandre comme une personne spéciale. Une sorte de second souffle l’envahit. Son cerveau stoppa les mécanismes de réflexion. Elle n’était plus qu’action. Ce qui résultait d’une intensité renouvelée. Mais surtout, l’humaine pouvait suivre le rythme de la slime ! Baiser et embrasser en synchronicité ! C’était… c’était… WAOUH !

A un moment, l’esprit de Lissandre pensa à faire faire à la jambe de Mélona un grand arc de cercle pour que ses deux jambes soient liées l’une à l’autre. Une variante de position pour une variation de plaisir. Mais le plaisir d’aller et venir en elle avait été plus fort. Tout comme cette idée en avait amené une autre. Son esprit avait fait revenir les images d’un vieux livre indien du Kama-sutra. Plusieurs positions lui étaient venu en tête. Mais une nouvelle fois, la pénétrer encore et encore avait été plus puissant que se risquer à des acrobaties et des délires sexuels.

Embrasser sans interruption. Baiser sans arrêt. Se faire tripoter par les propriétés extraordinaires de la slime. Se faire stimuler par son enfant-latex. Tout était déjà là pour un cocktail d’orgasme certain ! Alors, pourquoi changer l’alchimie ?

Sa Maman était sous le charme total de la Slime, ce qui ne pouvait que faire fortement plaisir à celle-ci ! Elle sentait Lissandre se tortiller sous elle, et ses yeux commencèrent à se perdre dans le vague, se nimbant d'une lueur rosâtre. Elle sentit Mélissandre s'enrouler autour de sa jambe, et celle-ci alla se relever pour se poser sur le corps de Lissandre, en appui. Mélona gémit encore, sentant l'épaisse verge de sa Maman la pilonner avec appétit. C'était si agréable, si bon, si... Si puissant ! Lissandre ne se ménageait pas dans ses efforts, elle la prenait vigoureusement, et cette belle verge slimesque remplissait avec amour le corps de Mélona. La Slime gémissait fortement, et crispait ses délicieuses mains sur le corps de Lissandre. Caressant ses épaules. Imperturbable, Lissandre continuait à la prendre, accélérant progressivement.

« Hmmm... Han, Maman ! »

Que pouvait-elle dire de plus ? Elle savourait ce contact, et Maman Lissandre l'embrassa à nouveau, pressant son corps contre le sien. Mélona n'avait pas encore déployé ses tentacules, à l'exception de ses mains blanches. Quatre mains palpaient donc le corps de Maman Lissandre, et l'une des mains blanches s'allongea dans le dos de Lissandre, jusqu'à pouvoir palper ses fesses. La main se redressa ensuite, et...

...Commença à gifler le délicieux cul de Lissandre. Une première fessée, puis une deuxième, faisant crisser le latex. Mélona se faisait plaisir, se serrant contre le corps de Lissandre. Sa verge baignait dans sa chatte, et, quand elle pinça encore le cul de Lissandre, Mélona se laissa aller à l'orgasme. Une vague immense de plaisir la traversa, et elle inversa alors les rôles.

« Hmmm... !! »

Mélona se retourna, et se dressa au-dessus de Lissandre, s'empalant donc sur sa verge, offrant ainsi à sa Maman le spectacle savoureux, somptueux, d'une Mélona qui dansait sur sa verge, qui couchait avec elle. Mélona gémissait fortement, son corps massif et voluptueux remuant sur le corps de Lissandre. Le lit craquait au fur et à mesure de ses coups de reins, tandis qu'elle suait et haletait avec plaisir, diffusant autour d'elle ses délicieuses spores aphrodisiaques.

De quoi sans doute amener enfin sa Maman à jouir en elle !

Cette nouvelle position de la part de Mélona. Voir ainsi son corps s’agiter juste sous son nez. Ce point de vue sur sa plastique parfaite. Il n’allait plus falloir longtemps avant qu’elle cède ! C’était garanti.

« Tu es vraiment parfaite, Mélona. Han ! Vraiment très belle. Han ! »

S’il n’y avait que la vue. Tous les sens de Lissandre semblaient s’ouvrir à de nouveaux détails. Son nez sentait comme une atmosphère sucrée. Sa peau semblait à fleur de nerfs. Chaque assaut sexuel se répercutait dans son corps comme un délicieux écho.

« Je vais bientôt venir. Bientôt. Vraiment très bientôt ! »

Sa verge rose sembla grossir. Elle se contracta. Elle était si proche de ce désir de mâle. L’orgasme accompagné d’un puissant jet ! Encore quelques assauts. Rhaa ! Et ce corps qui dansait sur elle. Cette poitrine qui rebondissait. Et cette vue magique : un véritable tour de magicien qui faisait disparaître et apparaître sa verge.

« AAaaah !!!... C’est trop délicieux. Hum ! »

L’orgasme. L’explosion de sperme au sein de Mélona. Lissandre appréciait d’être déjà allongée. Elle se laissa aller à fermer ses yeux. Pour apprécier le plaisir qui voyageait dans son corps. Ressentir la chaleur de la verge de la slime. Ressentir sa propre semence qui coulait et…

« Mélona. Mets tes jolies lèvres intimes sur mon visage. Je veux te donner encore un peu de plaisir. Je veux aussi nous goûter. Nous sommes tellement délicieuses : hi hi ! »

Impossible de ne pas jouer avec les fluides. Ce serait une torture que de refuser ce fantasme à sa Maman Lissandre !