The Multiversity

En soi, Usagi n’avait même pas besoin de préparer le petit cul de Courtney. Il portait continuellement un plug anal pour pouvoir être prêt à subir une sodomie surprise. Les F-Girls n’avaient pas la délicatesse d’Usagi. Elles n’hésitaient pas à le prendre au détour d’un couloir, l’alpaguant pour un quickie mural. Courtney soupira donc quand il sentit Usagi retirer délicatement son plug, puis approcha ses lèvres. Il lécha son fondement, et Courtney frémit, se tortillant doucement. Il se fit alors la curieuse réflexion qu’il était davantage habitué à sentir une verge qu’une langue dans ce petit trou étroit.

« Ah, oui, vas-y, enfonce-moi bien ta langue, hmmm… Je te sens en moi, Usagi, hihi… »

Il le sentait, et il fallait bien admettre que c’était un contact très agréable ! Courtney se tortillait doucement sur place, sentant la langue de son partenaire continuer son office. Il s’enfonçait encore en lui, tout en malaxant ses fesses, s’imbibant de cette sensation. C’était doux et humide, et Usagi continuait son office, jusqu’à finir par se relever. Courtney frémit en sentant la verge dressée du petit lapin, qui se frotta contre ses fesses.

« Oh, tu es très excité, mon chéri… Prends-moi bien fort, surtout ♥ ! »

Pour une première fois, Courtney ne s’attendait pas forcément à des miracles, mais l’idée d’être le premier (et peut-être dernier ?) amant d’Usagi homme ne pouvait que le stimuler. Derrière lui, Usagi se mettait en position, et Courtney se coucha sur le lit, les jambes sur le rebord du lit. Il sentit alors la verge d’Usagi s’enfoncer en lui, et soupira. Même si ce n’était pas le calibre d’une F-Girl, une verge tendue restait une verge tendue ! Courtney la sentit donc entrer en lui, et se mordilla les lèvres, se crispant sur place. Son corps se détendit petit à petit, car ses parois anales étaient bien dilatées, ce qui fit que son amant put assez rapidement se glisser en lui jusqu’à la garde. Les belles fesses rebondies de Courtney s’abattaient sur sa verge, semblant l’engloutir, lui empêchant de sortir.

Relevant la tête, Courtney croisa les bras sur sa tête, et sourit en voyant les joues rubicondes d’Usagi, ce plaisir inné qui se voyait sur son visage.

« Vas-y, lâche-toi ! Cette douleur en toi ne demande… Hmmm… Qu’à s’exprimer ! Tire-moi les cheveux, insulte-moi… Dis que je suis une pédale, allez, hmmm… ! Ta petite pédale bonne à se faire fourrer le cul, hihi ♥ ! »

Malgré sa voix doucereuse et sa fine silhouette, Courtney était un vrai petit pervers…

Malgré sa voix doucereuse et sa fine silhouette, Courtney est un vrai pervers. Alors que je le sodomise déjà avec ce que je pense être mon meilleur rythme, il m’encourage à laisser s’exprimer toute la tension et la douleur qui accompagne le plaisir de la sodomie en lui tirant les cheveux et en l’insultant. Je reconnais que c’est assez excitant vu que je l’ai déjà vécu mais j’étais une femme à ce moment-là. Les clientes du Lys aimaient bien me donner des petits surnoms fleuris telles que « grosse salope » ou « vide-couilles » et elles aimaient me tenir par les cheveux pendant qu’elles me baisaient. En revanche je n’ai jamais essayé de le faire moi-même, et franchement ça ne m’emballe pas trop.

« Hhhmmm… je préfère… garder mon souffle. »

En revanche, plus le temps passe et plus l’excitation grimpe, plus je ressens cette douleur dont m’a parlé Courtney, et au bout d’un moment j’ai envie de l’exprimer. Je n’arrive pas à lui lancer des insultes mais j’attrape ses cheveux d’une main et je les tire vers moi. Exprimer ma puissance de cette façon me donne encore plus de plaisir mais pas encore assez pour oser l’insulter. En revanche, alors que je sens l’orgasme approcher, j’ai encore envie d’exprimer la tension qui me gagne alors j’utilise mon autre main pour lui donner une grosse fessée. Les claques pleuvent sur son joli petit cul, encore et encore, jusqu’à ce que je sente l’orgasme arriver. A ce moment-là j’enfonce ma queue aussi profondément que possible dans le fondement du F-Boy et je laisse le sperme jaillir en poussant un couinement de joie.

« Pppyyyooonnn ! »

Cette sodomie a été un régal. Maintenant je comprends mieux pourquoi les F-Girls y prennent autant de plaisir : la douleur, la frustration, la tension, tout ça qui monte en même temps que le plaisir… ça donne envie de se lâcher, de tirer les cheveux et de donner des fessées. Et quand l’orgasme arrive enfin, quel plaisir c’est. Je me retire du fondement de Courtney en le remerciant d’avoir bien voulu m’offrir cette première fois. Je crois que lui comme moi on est prêt à remettre ça mais voilà qu’une femme habillée en infirmière passe la porte.

« Monsieur Usagi ? »

« Ah ! »

« Oh pardon, je ne voulais pas vous faire peur. »

« Non c’est… ça va, merci. »

« Le Dr Stuart est prête à vous recevoir, je vais vous conduire à elle. »

Je ronchonne intérieurement de devoir me séparer de Courtney mais je ne veux pas faire attendre le docteur, elle doit avoir un emploi du temps chargé.

Usagi s’était bien amusé avec Courtney, et avait pu jouir dans ses fesses. Le jeune homme avait bien senti que son amant n’était pas très à l’aise dans la position du dominateur brutal, et l’accepta donc. Ce fut bien moins violent que quand une F-Girl le prenait, mais Courtney couchait aussi régulièrement avec des amants moins expérimentés et plus doux. Qu’on le traite bien ne lui déplaisait pas, et la preuve en est que sa verge était bien tendue. Son sexe se frottait contre le lit, et, quand Usagi fut appelé, Courtney se mit à jouir sur le drap, éclaboussant aussi son ventre. Il sourit donc en félicitant Usagi, qui était toutefois peiné de le quitter. Alors, pour le consoler, Courtney lui fit un délicieux baiser, tout en le masturbant d’une main, nettoyant aussi sa verge. Il lécha ensuite ses doigts, y avalant son sperme.

« Ne t’inquiète pas, mon beau lapinou, je vis ici, tu sais… Mais il ne faut pas faire attendre le docteur, file ! »

L’infirmière était une belle poupée en uniforme de latex, une jeune esclave venant de la Terre, capturée et rééduquée par les F-Girls. Elle s’appelait Asuka, et rougit doucement en comprenant ce qui venait de se passer. Mais il ne fallait effectivement pas faire attendre le docteur !

« Je vous en prie, suivez-moi ! Et laissez votre sexe à l’air libre, ça ne sert à rien de le remettre dans votre pantalon. »

Asuka le guida jusqu’à un couloir, et toqua à la porte. Un écriteau sur la porte annonçait le cabinet du docteur Stuart. Usagi put ensuite entrer, et vit donc la fameuse doctoresse… Si elle ne portait pas de latex, Ashley Stuart exhibait sous sa blouse une tenue de travail très sensuelle. Son chemisier était ouvert sur le dessus, offrant un décolleté plongeant. Elle portait une minijupe avec des porte-jarretelles. Elle lui sourit quand il entra, et Asuka le suivit, refermant la porte derrière eux.

« Bonjour, Usagi. L’une des règles ici est que tous mes patients soient nus, je ne veux pas qu’on me cache quoi que ce soit. Asuka chérie, aide le patient à se déshabiller. »

Le bureau était un bureau médical tout ce qu’il y avait de plus classique. Il y avait un lit médical au fond, une porte qui donnait sur le laboratoire, et des tableaux sur les murs, avec des affiches… Dont un poster sur l’érection, montrant une verge qui grossissait et les différentes étapes de l’érection. Usagi finit tout nu, et, quand il tenta de cacher son sexe, Asuka lui attrapa le poignet en secouant la tête. Sans se priver de le mater, la doctoresse sourit doucement.

« Vas-y, assieds-toi. »

Usagi put prendre place, tandis qu’Asuka se déplaçait.

« Bien… Comme tu le sais, tu es ici pour suivre une thérapie génique très particulière, et à ce stade encore expérimental. Vois-tu, cela fait depuis quelques années que notre gouvernement cherche un moyen de transformer les hommes en femmes. Tu sais comment fonctionne la société uatéenne, n’est-ce pas ? J’ignore ce que les autres F-Girls ont pu te dire pour te convaincre, mais tu dois savoir que le F-Gen, dans sa formule de base, sert à modifier les capacités physiques d’une personne. C’est ce qu’on appelle la phénotype. Pour changer de sexe, il faut toucvher aux caractéristiques génétiques, ce qu’on appelle le génotype, et c’est plus compliqué. La plupart des cas, les essais ne sont pas concluants, c’est pour ça que nos sujets sont gardés en observation. Parfois, la transformation fonctionne, mais les gènes luttent contre le changement, et il faut donc que nous inversions le processus. Bref, on t’a déjà parlé des risques, mais je tenais à te le dire. Néanmoins, ton cas est très spécifique, Usagi, et ce pour deux raisons… »

Ce ton très sérieux jurait avec lme contraste, comme la nudité d’Usagi, et Asuka qui se déplaçait, faisant à chaque fois crisser sa combinaison.

« Premièrement, tu as passé un certain temps au Lys, un endroit magique où les hommes se changent en femmes. Ton organisme s’est donc habitué à être une femme, de sorte qu’on peut espérer qu’il ne repousse pas le traitement. »

Tandis qu’elle parlait, Asuka ouvrit un placard, et sortit une sorte de curieuse ceinture avec une longue trompe phallique sur le devant, qu’elle brancha à un appareil, puis commença à l’allumer.

« Deuxièmement, nos examens ont révélé des nanites dans ton corps. Tu as fait partie d’un programme militaire expérimental, Weapon Nano. Ce programme a été abandonné suite à l’explosion du centre de recherches, et je sais que les autorités recherchent les cobayes de ce programme. Rassure-toi, nous n’envisageons pas de te mener à eux, tu es bien trop précieux pour ça. Car, vois-tu, les nanites que tu as reçus sont très complexes. Elles ont été conçues à partir des nanomachines de Novac, qui sont les spécialistes du genre. Nous avions craint initialement que tes nanites ne s’opposent au F-Gen, mais, en réalité, il semblerait qu’elles vont plutôt s’y associer, en considérant le F-Gen comme une sorte de solution alliée. »

Le docteur Stuart sourit alors :

« Tu vas peut-être le premier cobaye à réussir une transformation complète et définitive… N’est-ce pas formidable ? »

Après un « Au revoir » rapide avec Courtney je suis l’infirmière qui me dit que je n’ai pas besoin de remettre mon sexe dans mon pantalon. Après avoir traversé un couloir on s’arrête devant une porte sur laquelle l’infirmière toque et j’entre dès qu’on m’y invite.

Je fais la rencontre du docteur Ashley Stuart, une beauté blonde portant une tenue de travail très sensuelle offrant un décolleté plongeant et des porte-jarretelles des plus provocateurs. Difficile pour une petite nature comme moi de retenir mon érection en la voyant, même si cela veut dire qu’elle va le voir tout de suite vu que mon sexe est toujours à l’air libre. En plus de ça elle a pour règle que tous ses patients doivent se présenter à elle nus pour ne rien lui cacher, du coup l’infirmière me débarrasse de mes derniers vêtements. J’ai le réflexe d’essayer de cacher mon érection naissante mais l’infirmière m’en dissuade aussitôt. Je me retrouve assis devant la doctoresse qui commence à m’expliquer les tenants et les aboutissants du traitement que je m’apprête à recevoir. D’après elle, peu d’essais du F-Gen ont été concluants jusqu’à présent, et même quand la transformation a bien lieu il arrive que le corps lutte contre le changement et finisse par revenir à son état initial. Cependant j’ai d’après elle deux particularités qui rendent mon cas très spécifique.

D’abord, mon séjour au Lys. Le fait que j’ai été dans le corps d’une femme de manière prolongée a habitué mon organisme à cette idée, il y a donc moins de chances qu’il fasse un rejet du traitement. Et ensuite la présence de mes nanites, qui semblent traiter le F-Gen comme une solution alliée. Comme je sais déjà qu’ils sont au courant je ne réagis pas tout de suite, mais quand elle commence à parler du programme WeaponNano et des sujets en fuite je me braque sur ma chaise. En un éclair je me prépare à fuir et à retourner au Lys mais elle m’assure qu’elle n’a pas l’intention de me livrer, que je suis un sujet trop précieux pour ça.

Je veux bien la croire… pour l’instant.

Grâce à ces deux avantages je pourrais être le premier cobaye de Fut-Corp à réussir une transformation complète et définitive.

« Ouah… je ne me rendais pas compte que c’était à ce point. Maintenant j’ai encore plus envie de recevoir le F-Gen. »

Devenir une femme de manière complète et définitive sans devoir compter sur la magie du Lys… ce serait incroyable. Mais là tout de suite il y a une chose qui attire mon attention. Depuis le début de l’entretien l’infirmière tourne dans la pièce en faisant crisser sa combinaison, et là elle vient de sortir une curieuse ceinture avec une longue trompe phallique sur le devant qu’elle branche à un appareil.

« Euh… excusez-moi mais qu’est-ce qu’elle fait là ? »

Je reste prêt à m’enfuir au cas où.

L’enthousiasme de Usagi était palpable, et le docteur Stuart était également ravi de cette situation. Elle allait pouvoir disposer d’un cobaye viable, et ainsi faire avancer les recherches sur le F-Gen. Elle savait que la patronne avait des liens avec les politiciens. Peut-être arrivera-t-elle à obtenir des données sur le projet Weapon Nano ? L’armée avait développé tellement de projets scientifiques… Ces projets fonctionnaient en partenariat avec les mégacorporations uatéennes, le Sénat ne faisant finalement office que de courroie de transmission. Elle revint à elle quand Usagi, un peu nerveux, demanda ce que l’infirmière faisait. Ashley sourit alors.

« Eh bien, nous parlons d’un changement de sexe permanent… Je sais que la magie divine du Lys permet de faire ça, mais, avec la science, c’est toujours plus compliqué. Il y a des mesures et des relevés à faire, et c’est à ça que sert cet appareil.
-  La procédure est précisée dans le manuel que vous avez reçu, Monsieur Usagi… Mais vous n’avez peut-être pas songé à le lire en détail ? »

Il fallait admettre que, depuis qu’il était là, Usagi avait davantage passé son temps à faire l’amour dans tous les sens que l’inverse. Ashley lui présenta donc le manuel, et tourna les pages.

« La procédure d’inoculation du F-Gen consiste à te mettre dans un caisson qu’on remplit de ce liquide. Ton corps est relié à des machines pour surveiller ton état, et cet appareil est placé sur ton sexe pour le transformer. On te le fait porter avant pour trouver le bon dosage à mettre. Tu comprends, dans ton cas, ton sexe va devoir… Enfin, il faut transformer ton pénis en vagin. C’est cet appareil qui s’en charge. Il faut que tu le mettes avant pour qu’on ait les bonnes données pour que cela se fasse pendant la procédure. »

Asuka l’invita à venir. Usagi se releva donc, et Asuka lui enfila l’appareil. On aurait dit une sorte de grosse culotte métallique assez froide, mais une mousse ne tarda pas à se former autour de son sexe. Quand Asuka verrouilla la machine, elle appuya sur un bouton, et la verge d’Usagi se retrouva comprimée dans une mousse agréable et chaude, qui vibrait lentement.

« En revanche, pendant les quelques heures où tu portes cette machine, l’appareil va stimuler ton sexe. Il va aussi falloir que tu jouisses beaucoup. L’appareil va mesurer ton taux d’excitation, la manière dont tu jouis, et va analyser ton sperme. Les données qu’il va capter seront utilisées quand le F-Gen te recouvrira pour transformer ce beau sperme en cyprine.
-  Donc, pendant les prochaines heures, nous allons devoir te faire jouir… Plus tu jouiras, plus nous aurons de données exploitables. »

Pour ça, la machine disposait d’une ouverture sur l’arrière, et Usagi put alors sentir quelque chose vrombir dans ses fesses. Un plug s’enfonça dans ses fesses. Asuka invita alors Usagi à la suivre, et ils sortirent du bureau. Ils rejoignirent une nouvelle pièce, qui était composée de chevalets. D’autres personnes étaient déjà là, des cobayes comme lui, et des F-Girls les pénétraient.

« On va t’attacher à un chevalet, puis une F-Girl viendra s’occuper de toi… »

La machine que manipule l’infirmière va permettre de faire des relevés dans le cadre de la procédure de changement de sexe grâce au F-Gen. Apparemment c’est détaillé dans le manuel qu’on m’a donné en arrivant mais je dois bien avouer que je n’ai pas eu beaucoup de temps libre pour lire. Le docteur Stuart me présente le manuel et tourne les pages tout en me détaillant la procédure. Elle consiste à m’immerger dans un caisson rempli de liquide, avec tout un tas de machines reliées pour pouvoir surveiller mes constantes, et cet appareil précis sera apposé sur mon sexe pour opérer le changement. L’infirmière me fait alors lever de ma chaise pour pouvoir le mettre en place. On aurait dit une sorte de grosse culotte métallique assez froide, et dès qu’elle est installée je sens qu’une mousse se forme autour de ma verge, une mousse agréable et chaude qui vibre lentement.

« Aaahhh… c’est normal les vibrations ? »

Ashley m’explique que je vais devoir beaucoup jouir pendant les quelques heures où je vais porter cet appareil sur moi. Les données qu’il va capter seront utilisées quand je serai immergé dans le F-Gen et que les changements s’opéreront sur moi et en moi.

« D’accord… alors comment on procède pour… kkyyaahh ! »

Je couine un bon coup quand je sens un plug s’enfoncer dans les fesses puis l’infirmière me fait la suivre jusqu’à une autre pièce remplie de chevalets. Sur chacun d’eux une personne portait le même appareil que moi et était en train de se faire prendre par une F-Girl, et c’est également ce qui m’attend.

« Hhhmmm… et ça va durer combien d’heures exactement ? »

Je pose autant la question par inquiétude que par impatience. Se faire sauter par une F-Girl est toujours un bonheur mais c’est aussi très éprouvant. On pourrait croire que je suis habitué depuis le temps mais je ne le suis pas encore totalement. De toute façon il va bien falloir que je prenne le coup, je suis ici pour servir de fille de joie à ces femmes après tout. Tout ce que j’espère c’est que la F-Girl ne me malmènera pas trop.

L’infirmière m’installe sur le chevalet et le docteur Stuart me dit qu’une F-Girl sera bientôt là pour me baiser afin qu’elle puisse avoir ses mesures en vue de mon intervention.

« D’accord… merci docteur. »

Je n’ai plus qu’à attendre. J’espère qu’elle ne tardera pas trop, cette position n’est pas vraiment ce qu’il y a de plus confortable.

Un écran se trouvait surélevé au centre, et Asuka le désigna du doigt après avoir attaché Usagi par les poignets et les chevilles au chevalet :

« Cet écran détermine les records d’endurance. Tu resteras ici aussi longtemps que ton organisme pourra l’endurer. Tu ne le sens pas, mais il y a des capteurs sur ce chevalet. Quand tu auras atteint ta limite, ce sera terminé. Si tu finis parmi les trois premiers, tu auras droit à un cadeau. »

En regardant l’écran, Usagi put voir qu’un jeune homme avait réussi à tenir 14 heures ! Un score qui semblait surréaliste, comme tout ce qu’il vivait ici. Asuka lui sourit, et elle s’éloigna alors. Usagi put sentir une main caresser ses fesses, et put voir Courtney se mettre à côté de lui.

« C’est Peach qui détient le record… Moi, je suis numéro 2. On utilise aussi ces chevalets pour renforcer notre endurance. Je suis curieux de voir jusqu’où tu pourras tenir. »

Courtney s’écarta un peu en levant la tête. On put entendre des talons sur le sol, et une main plus ferme lui malaxa le cul, ainsi que le renflement d’une verge contre ses fesses. Un parfum fort ne tarda pas à l’enivrer, et la silhouette émergea derrière lui. Originaire de la Terre, Chibi était un peu magicienne. Elle portait de longues bottes et un justaucorps moulant. Ses longs cheveux roses tombaient jusqu’au milieu de ses jambes, et sa solide verge était déjà déployée.

« Voilà donc le beau petit Usagi… Tu sais que toutes les F-Girls veulent te baiser ? Ce n’est pas tous les jours qu’on reçoit un homme aussi endurant… Et aussi mignon naturellement ♥ ! »

Chibi sourit, et elle l’embrassa sur le front.

« Ton beau petit cul est à moi… Maîtresse Chibi va te faire prendre ton pied ♥ ! »

Elle se glissa donc derrière lui, et, quand elle le pénétra, le chevalet se mit à vibrer, s’illuminant d’une vive lueur rose. Elle soupira en attrapant d’une main les cheveux d’Usagi, et tira dessus, tout en s’enfonçant rapidement dans son fondement, jusqu’à la garde. Elle se mit à remuer avec appétit.

« Of, putain ! Je m’enfonce en toi comme dans du beurre, hmmm… Ah, tes parois se dilatent si vite, mon petit lapin ! »

Un sacré rodéo allait pouvoir commencer…

Après m’avoir attaché au chevalet l’infirmière me montre un écran surélevé au centre devant moi, qui indique les records d’endurance des patients. D’après elle je vais rester sur ce chevalet jusqu’à ce que mon corps n’en puisse plus, et si je parviens à me hisser dans le top 3 des records d’endurance j’aurai droit à un cadeau.

« Quel genre de cadeau ? »

Elle ne me dit rien là-dessus et s’en va. Juste après c’est Courtney qui vient me voir, sa main caressant mes fesses, et il m’explique que c’est Peach qui détient le record d’endurance et qu’il est à la deuxième place. Apparemment ils utilisent ces chevalets pour améliorer sans cesse leur endurance.

« Je ne sais pas si je pourrai vous battre… mais je vais tout faire pour au moins atteindre la troisième place. »

Je dis ça mais je vois qu’un patient a tenu 14 heures et il n’est même pas sur le podium. Je vais devoir me donner à fond si je veux cette troisième place.

Courtney s’en va puis j’entends des talons claquer dans mon dos avant de sentir une main presser fermement mon derrière, ainsi que le renflement d’une verge contre mes fesses, puis un parfum fort et enivrant qui me fait tourner la tête. C’est la F-Girl qui va s’occuper de moi, une certaine Chibi.

Apparemment je commence à être connu dans l’entreprise parce que Chibi me dit que toutes les F-Girls veulent me baiser et que je suis un homme à la fois endurant et mignon.

« Et bien… merci. »

Elle m’annonce qu’elle va me faire prendre mon pied et passe aussitôt dans mon dos pour me pénétrer. Grâce au plug et à mon entraînement des dernières 24 heures elle s’enfonce en moi jusqu’à la garde sans problème et m’attrape par les cheveux avant de commencer à remuer.

« Aaahhh… maîtresse Chibi… votre sexe est si bon… dans mon petit cul de lapin ! Ppyyoonn ! »

Très vite je remarque que le chevalet se met à briller d’une intense lumière rose et je sens que cette lumière agit sur moi. Je me sens plus… réceptif au plaisir, je sens mieux la façon dont Chibi me sodomise et me tire les cheveux, son parfum m’excite plus et j’ai envie de faire des choses que je ne ferais pas d’habitude, comme…

« Ooohhh… le petit lapin… aime les grosses carottes des F-Girls… quand elles défoncent son joli petit cul. »

En fait ce n’est pas surprenant que j’ai envie de dire ce genre de choses pendant que je fais l’amour, mais je ne l’ai presque pas fait depuis que je suis chez Fut’Corp. Ici je couine beaucoup quand les F-Girls me baisent mais je lance assez peu d’insanités. Au Lys en revanche, quand je suis avec une cliente qui en veut, je ne me prive pas.

Le Lys… cette lumière… et si c’était de la magie rose ?

Ou en tout cas quelque chose qui a un effet similaire. Avec ça je devrais pouvoir tenir plus longtemps, ça me laisse une belle chance d’atteindre le podium. Pour mettre toutes les chances de mon côté j’appelle mes nanites en leur donnant un ordre clair : booster mon endurance. Je dois tenir aussi longtemps que possible pour décrocher au moins la troisième place et avoir mon cadeau. Je suis curieux de savoir ce que c’est.

Moi, Peach et Courtney… les trois salopes les plus endurantes de Fut’Corp.

Ça sonne bien. On pourrait faire une belle équipe, être proposée en lot aux F-Girls pour les tenir une journée entière… Si j’arrive sur le podium je proposerai l’idée à Charlie.

Usagi ne le réalisait pas encore, mais les F-Girls, au-delà de leur endurance sexuelle phénoménale, développaient parfois avec le F-Gen un pouvoir spécial, souvent lié au sexe. Chez Chibi, sa mutation avait débloqué chez elle la capacité de diffuser autour d’elle des spores aphrodisiaques, un charme envoûtant qui la rendait redoutable, et qui justifiait son côté très pervers. Originaire de la Terre, elle aimait se rendre dans des endroits louches, des bars mal famés, et laissait ensuite ses spores agir pour devenir la cible d’une véritable tournante. Ou alors, elle se rendait dans des tripots, des bordels, afin de se taper toutes les putes du coin. Chibi était une véritable réussite en soi, et une F-Girl digne de ce nom. Quand elle se rendait dans les bureaux de la Fut-Corp, on pouvait s’attendre à ce que sa visite se transforme en une grosse orgie débridée. Et Usagi avait l’immense honneur de se faire sodomiser par elle ! Elle s’enfonça en lui comme du couteau dans du beurre, et serra sa main sur ses fesses, déplaçant son autre main pour attrapêr ses cheveux. Quand il expliqua aimer qu’on le pénètre, elle sourit, et donna une grosse gifle sur son cul :

« Petit-Lapin est bien impudique… Maisd… Hmmm… Ton cul est vraiment très agréable. Si tu savais comme ça… Sodomiser des hommes. Je reviens dans ma dimension natale juste pour ça, tu sais… Ici, il n’y a pas assez d’hommes. »

Chibi remuait avec force, faisant crisser sa magnifique combinaison. Les tatouages sous sa combinaison s’illuminaient en rose, brillant joyeusement, signe de son excitation, mais aussi de l’énergie qu’elle insufflait. Usagi allait pouvoir pleinement l’inhaler, et il ne faisait aucun doute que cela agirait aussi sur ses nanites, de manière à le rendre bien plus endurant. Le chevalet se tendait lentement, continuant à luire, tandis que les coups de reins s’accentuaient. Usagi devait jouir dans la machine pour que celle-ci dispose de son sperme, et qu’elle dispose de données suffisantes lors de la mutation. Le chevalet était un accessoire préliminaire, mais Usagi pourrait voir, pendant la première heure qui suivit, que d’autres pensionnaires étaient détachés, pour se livrer à d’autres poses. Et il pourrait aussi voir que, quand on les détachait, ils avaient sur le ventre un sigle magique, un inmon élaboré.

« Hmmm… Le chevalet ne sert qu’à t’imbiber d’énergie… Ensuite, on te baise dans toute la salle, mon petit lapin… »

Sur la première heure, Usagi resta toutefois attaché à son chevalet, subissant les assauts réguliers de Chibi. Elle le pénétrait avec vigueur, se couchant contre lui de tout son long. Cela lui permettait de lui lécher le cou, d’embrasser et de mordiller son lobe de l’oreille. Lui pouvait inhaler son odeur irrésistible, ce parfum sensuel et bestial qui devait le rendre fou. Chibi soupirait contre lui, et mordilla son cou, serrant ses dents dans le creux, puis poursuivit son office avec force, se relevant pour le prendre avec puissance, donnant de gros coups de reins quand elle sentait qu’il ne hurlait pas assez fort. Et elle lg filait souvent, frappant son cul, réclamant qu’il s’insulte, qu’il couine, qu’il se traite de tous les noms.

C’était assurément une sacrée tournante qui s’annonçait !

Chibi trouve que je suis impudique mais je sais qu’ici c’est un compliment. Elle enfonce sa trique en moi avec une facilité surprenante, mon fondement se dilate avec joie pour accueillir son membre de F-Girl, je sens ses mains me tenir fermement par les cheveux et les fesses et je m’insulte joyeusement tandis qu’elle me sodomise avec vigueur. J’entends les crissements de sa combinaison à chacun de ses coups de reins en plus du bruit humide de pénétration.

« Ooouuuiii… aaahhh ! J’adore les carottes… surtout quand elles sont bien grosses… longues… et dures… comme la vôtre. Dans ma bouche ou dans mon cul… ooohhh… peu importe… du moment qu’elles me remplissent bien. »

Mais ce qui me plaît peut-être encore plus que sa verge, c’est l’odeur qui s’émane d’elle. D’abord c’est un parfum léger, diffus, qui me fait juste saliver plus que d’habitude. Mais ensuite, quand Chibi change de position pour venir s’allonger sur moi, ça prend une tout autre dimension. Mes narines s’emplissent de ce parfum sensuel et bestial et tous mes sens en sont stimulés. Bon sang, même mes nanites sont affectés et agissent sur mon corps pour le rendre plus endurant. Pas de doute, il y a de la magie à l’œuvre ici. Mais pour le moment je m’en fiche pas mal, je suis juste trop content de me faire sauvagement prendre par cette F-Girl à la trique énorme et à l’odeur sensuelle. En plus elle me met des fessées quand elle trouve que je ne couine pas assez ou qu’elle veut que je m’insulte plus, et ça a le don de me redonner de l’entrain.

« Aaaggghhh… Petit-Lapin est une vilaine pute… juste bon à vider les couilles des F-Girls ! Tout à l’heure les employées ont filmé Petit-Lapin… pendant qu’il se faisait baiser… ooohhh… de tous les côtés. Comme ça toute l’entreprise verra… à quel point Petit-Lapin… est une grosse salope ! OOOUUUIII ! »

Au bout d’une heure à enchaîner les orgasmes, la lumière rose qui brillait sous le chevalet s’estompe peu à peu. Chibi me libère de mes attaches en m’expliquant que maintenant que je suis bien imbibé d’énergie, je vais me faire baiser dans toute la salle. J’ai toujours l’appareillage autour de mon sexe destiné à faire les relevés nécessaires au Dr Stuart mais apparemment je peux me déplacer librement à présent.

« Est-ce que… est-ce que vous restez avec moi ? J’aime bien être avec vous… vous sentez si bon… et vous me baisez si fort… »

Honnêtement je doute qu’une heure ait suffi à la rassasier, je suis sûr qu’elle veut encore baiser mon délicieux petit cul. Je peux aussi la prendre en bouche ou utiliser mes mains pour varier les plaisirs mais c’est à elle de décider. De toute façon, avec elle ou avec quelqu’un d’autre, l’important est que je donne assez de données aux médecins de l’entreprise pour qu’il puisse réaliser l’opération. Et si en plus je peux tenir assez longtemps pour aller sur le podium d’endurance, ce sera toujours ça de pris.

Après une première heure, Chibi était bien chauffée. Son pouvoir s’était enclenché, et, plus elle était excitée, et plus son odeur était marquante, hypnotique, sensuelle. Usagi avait pu la ressentir de très près, et cela ne l’avait pas laissé de marbre. Le petit lapîn avait déjà joui cinq fois pendant toute cette heure, une longue, et pourtant trop rapide, heure à se faire défoncer le cul. Chibi s’était abattue sur lui, et elle l’avait prise avec force, lui arrachant des cris, des soupirs, l’insultant délicieusement pendant cette heure. Elle le sodomisait, se redressant pour tirer sur ses cheveux et le gifler, ou s’aplatissait sur lui, l’écrasant sous son corps massif de F-Girl. Entre elle et ses mains expertes, il n’était plus qu’une poupée de chair sexuelle que la F-Girl malmenait à loisir selon ses envies. Elle l’avait donc pris, et, maintenant qu’Usagi était bien échaudé, elle sourit quand il lui demanda de rester. Sa verge tendue se rapprocha du visage d’Usagi, et elle lui attrapa les cheveux d’une main. Avec l’autre, elle lui approcha sa queue durcie, et la fourra contre son visage.

« Je suis encore très loin d’en avoir fini avec toi, ma petite pédale… Savoure cette baise, c’est la dernière de ta vie en tant que mâle ! Renifle ma queue, inhale mon odeur… »

Tenant la base de sa verge avec son autre main, Chibi s’amusa à le bifler. Sa queue fila à droite et à gauche, heurtant les joues du jeune homme. Le petit lapin lui appartenait totalement, et elle s’amusa donc à fouetter comme ça son visage pendant quelques instants, avant de fourrer sa trique épaisse dans sa bouche. Ses deux mains se posèrent sur sa tête, à l’emplacement de ses oreilles, et elle commença à remuer en lui, venant désormais lui baiser la bouche. Elle remuait encore et encore, et heurta rapidement sa gorge. Elle commença à descendre en lui, mais sans qu’à aucun moment, il ne ressente l’envie de vomir. Son odeur produisait des effets miraculeux ! On en devenait addict, accroc, et totalement nympho’ !

Chibi soupirait, imposant au jeune homme un rythme soutenu, une baise orale puissante et éjaculatoire. Elle continuait à le prendre comme ça pendant de nombreuses minutes, ses testicules claquant régulièrement sur le menton du jeune homme.

« Là… Là… Prépare-toi, mon petit lapin, je vais… Hmmm… Je vais juter en toi ! »

Sa queue tendue était prête à exploser… Et, en effet, sa queue se mit à cracher d’épais filaments de foutre entre les lèvres d’Usagi. Crispant fortement ses mains sur ses cheveux, Chibi jouit, et ce fut un orgasme très sensoriel ! Son odeur devint plus sensible encore, et le doux visage de Chibi fermant les yeux et soupirant en jouissant était une vision magnifique… Comme voir le visage même du Paradis qui déversait en vous ses litres d’amour blanc !

Quand je demande à Chibi si elle va rester avec moi pour la suite, elle me fait mettre à genoux devant elle et me tient par les cheveux tandis qu’elle approche son mandrin de mon visage. Apparemment elle est loin d’en avoir fini avec moi, elle veut m’offrir une baise mémorable pour mes derniers moments en tant que mâle. Je renifle à pleins poumons l’odeur forte de son sexe tandis qu’elle me bifle avec, et puis tout à coup elle le rentre dans ma bouche. Loin de me laisser démonter je commence à la pomper, c’est presque devenu un réflexe pour moi. Au bout de quelques minutes elle passe à la vitesse supérieure et se met à me baiser la bouche, heurtant le fond de ma gorge avec son gland et tapant ses couilles contre mon menton. Le rythme est intense et les pénétrations profondes mais je ne ressens rien d’autre qu’un désir immense envers cette femme.

« Hhhmmm… »

Très vite Chibi me dit qu’elle va juter en moi et l’instant d’après je sens d’épais filaments de foutre arriver dans ma bouche. Le plaisir qui s’empare de moi est si intense que je ne fais pas attention à la main qui me tire les cheveux ni au fait que je jouis presque au même moment qu’elle. Dans les derniers moments de cet orgasme je lève les yeux vers ma maîtresse du moment et…

Bon sang, elle est magnifique !

C’est peut-être à cause de son parfum qui me monte de plus en plus à la tête mais la vue de son visage en plein soupir d’extase est vraiment une vision agréable. Après avoir avalé son foutre et qu’elle ait retiré son sexe de ma bouche, je me tiens à genoux face à elle, les yeux remplis d’étoiles avec encore un peu de semence au coin de la bouche.

« Vous êtes si belle… maîtresse. Dites-moi comment je peux vous satisfaire. »

Que ce soit en lui servant de vide-couilles ou en m’offrant à quelqu’un d’autre pour qu’elle admire le spectacle, peu importe. Tout ce que je veux c’est rester près d’elle. En plus il faut encore que je donne des échantillons au Dr Stuart pour l’opération.

Face au charme irrésistible de Chibi, le petit Usagi était en train de succomber. Pouvait-il lutter contre une telle femme ? Sa beauté et sa force étaient déjà des armes redoutables, mais qui se couplaient à cette odeur, aux phéromones qu’elle émettait. Elle lisait tout son désir dans ses yeux. Il ne voulait pas la voir partir, et, pour que son organisme s’habitue un peu mieux aux phéromones de Chibi, il allait encore falloir le baiser beaucoup ! Fort heureusement, Chibi sourit, sa verge tendue et trempée allant se poser sur le visage d’Usagi, le dominant pleinement. Comment pouvait-il lutter, en effet ? Face à une telle tentation, le mieux était d’y céder pleinement ! Chibi sourit donc devant son regard envieux.

« Tu peux me servir en faisant preuve d’endurance, mon mignon… Je suis encore très loin d’en avoir fini avec toi ! »

Chibi sourit donc, et souleva Usagi. Elle ne le remit pas sur son chevalet, mais l’attrapa par la gorge. Elle le souleva d’une main, preuve de sa puissance, et l’étala sur une table à proximité. Ce faisant, Chibi put l’embrasser avec appétit, frottant sa solide verge contre sa cage. Elle s’appuyait sur lui, et serra ses mains dans les siennes. Chibi l’embrassa alors longuement. Elle fit durer le plaisir, sa langue glissant dans sa bouche, jouant avec la sienne. Un baiser magnifique, tout simplement, ô combien envoûtant ! Chibi savait y faire, et elle le lui démontrait, l’embrassant énergiquement et durement. Le brave petit homme ne pouvait espérer lutter éternellement contre une telle femme. Elle l’embrassa donc longuement, puis releva ensuite ses jambes. Elle les souleva, les écartant l’une de l’autre, de telle sorte que ses jambes formaient un « V ».

Souriant doucement, Chibi se redressa, et approcha sa verge de son cul, relevant pour ça encore les jambes de son partenaire. Chibi opta pour une pose assez intense, la position de l’enclume. Les jambes relevées, les fesses d’Usagi suivirent également, et elle sourit donc, retournant le sodomiser, serrant ensuite ses jambes avec sa main.

« Han, tu es tellement bon, mon petit soumis ! Quand tu auras un vagin, tu pourras te faire doublement pénétrer, tu sais ! Deux F-Girls qui se presseront sur toi, qui t’écraseront sous leurs muscles… Tu es notre chose, Usagi, hmmm… Un… Un petit sous-homme que l’on va fourrer, encore et encore ! Tu es… Ma petite pute ! »

Et elle ponctua cela de plusieurs fessées bien prononcées sur son insolent petit cul !

Apparemment, tout ce que veut Chibi de moi pour le moment c’est que je sois endurant, parce qu’elle est loin d’en avoir fini avec moi. J’acquiesce avec joie mais aussi avec un peu d’appréhension, me demandant dans quoi je viens de me lancer. Et à juste titre puisque voilà que la F-Girl m’attrape à la gorge et me soulève d’une seule main, m’étranglant à moitié tandis qu’elle démontre sa puissance.

« Ggghhh… »

D’un geste rapide elle m’étale sur une table puis vient m’embrasser avec force, frottant sa verge tendue contre le dispositif que j’ai autour de ma verge. Le baiser dure, et dure… La F-Girl joue habilement de sa langue, elle me domine de tout son corps et diffuse ses phéromones autour d’elle pour que je m’en enivre, c’est un moment de pur plaisir. Finalement elle prend mes jambes et les relève jusqu’à les placer en forme de « V », pour ensuite enfoncer sa trique au fond de mon cul. C’est dans cette position qu’elle se remet à me sodomiser, enfonçant profondément son membre en moi tout en me disant que je pourrai bientôt me faire doublement pénétrer une fois que l’opération aura eu lieu.

« Ooohhh… ooouuuiii… je suis votre petite pute… maîtresse. »

Mon cerveau est en pilotage automatique, complètement enivré par les phéromones qui me submergent. Chaque fois que Chibi me donne une fessée, je couine et j’en demande plus en m’insultant. Quand je jouis c’est à peine si je le sens, tout mon corps est dans un état perpétuel d’excitation et je perds complètement la notion du temps. Du moment que mon endurance arrive à suivre je suis sûr que je peux atteindre le podium des records de temps passé dans cette salle, à condition que Chibi reste avec moi bien sûr. Je ne vois pas quelle autre F-Girl pourrait me pousser aussi loin sans m’épuiser totalement.

En plein trip phéromonal je laisse mon cerveau vagabonder, mon imagination débridée et enfiévrée s’occupant de me créer des visions fantasmées de mon futur chez Fut’Corp. Je me vois dans mon corps de femme en train de déambuler dans les couloirs du bâtiment, je porte des vêtements très légers et très révélateurs qui ont aussi l’avantage de pouvoir s’enlever facilement. J’entre dans une salle de réunion et j’ai pour consigne de baiser toutes les F-Girls qui s’y trouvent afin qu’elles puissent décompresser avant leur prochaine réunion. Ni une ni deux je me retrouve nue et à genoux devant elles à sucer leurs mandrins, à me prendre des biffles et à les écouter dire que je suis une bonne salope, puis elles m’allongent sur la table de réunion et la tournante commence.

Voilà mon avenir… et il est plutôt agréable.

Chibi prenait Usagi avec force, s’enfonçant en lui. Après avoir relevé ses jambes en V, elle les poussa en avant, soulevant le bassin d’Usagi, et elle le prit ainsi, en position de l’enclume. Ses lèvres se rapprochèrent d’Usagi, tandis que la table se mit à remuer. Fort heureusement, elle était soudée au sol, ce qui évitait qu’elle ne bascule sous le poids combiné des deux amants. Chibi l’embrassa encore, notant les yeux d’Usagi dans le vague. Il délirait, en plein ahegao. La luxure s’exprimait en lui, et elle savait qu’il était prêt. Elle continua à le prendre, notant la présence d’un inmon, qui flamboyait sur son pubis. Il devait délirer, s’imaginant vivre sa nouvelle vie de prostituée de luxe au sein de la Fut-Corp, une vie à être entourée de femmes hermaphrodites comme Chibi, des femmes endurantes, insatiables, qui le baiseraient manifestement pendant des heures, sans relâche, et avec passion.

« Ouiii, ma belle, laisse-toi porter… »

Chibi finit ensuite par le jeter au sol. Son corps réagissait automatiquement, et il se mit à quatre pattes, se faisant prendre avec force. Elle attrapa ses cheveux, et l’amena à relever la tête. Elle le sodomisait encore, grognant en s’enfonçant sans arrêt dans son cul. Sa main giflait son cul sans relâche, et elle relâcha ensuite ses cheveux. Usagi glissa sur le sol, et Chibi grogna, continuant à le prendre. Depuis combien de temps est-ce qu’elle le sodomisait ainsi ? Elle le prenait maintenant depuis plus d’une heure et demie, et le plaqua ensuite contre le mur. Il s’écrasa dessus, et Chibi soupira longuement, empoignant d’une main ferme ses cheveux, puis sa gorge avec son autre main.

Elle appuya dessus, et descendit ensuite son autre main pour le masturber à travers sa cage, donnant des coups de reins en grognant dans son dos. Chibi lui mordilla le creux du cou. Elle était en sueur, haletant.

« Regarde-moi ça, tu es un vrai… Réservoir à foutre ! Ton cul est fait pour recevoir des verges, tu as été fait pour te faire baiser ! Ta naissance en tant qu’homme est une erreur de la nature que nous allons corriger… »

Chibi soupira encore, et finit par jouir dans son cul, en le plaquant au mur. Elle s’abandonna en lui, soupirant, couinant doucement, ses chapelets de foutre venant tapisser ses parois anales.

« Dieu, ce que tu es bonne, ma chérie… Tu aimes me sentir en toi, hein ? Me sentir juter dans ton petit cul ? »

Chibi souriait doucement, des mèches de cheveux plaquées sur son front maculées de sueur, tandis qu’elle se mit à l’embrasser dans le creux du cou.

Sans que je m’en rende compte immédiatement je me retrouve jeté au sol et mon corps réagit automatiquement en se redressant pour me mettre à quatre pattes. Chibi continue de me sodomiser sans relâche, giflant mon cul et tirant mes cheveux dans la limite du supportable. La douleur est grande mais le plaisir l’est presque autant, voir plus. Puis je me retrouve plaqué contre un mur, toujours à me faire prendre sauvagement par la F-Girl. Elle commence à utiliser le féminin pour me qualifier, allant même jusqu’à dire que ma naissance en tant qu’homme était une erreur qu’il allait falloir rectifier.

« Aaahhh… oui maîtresse… oui maîtresse. »

Honnêtement je suis trop largué par les effets de la magie rose et des phéromones pour dire autre chose. A travers Chibi j’ai l’impression d’entendre la propagande uatéenne s’exprimer, qui place l’homme en-dessous de la femme en le voyant comme le « sexe faible » et qui prône l’avènement du « troisième sexe », un état qui permettrait aux femmes de se reproduire sans l’intervention des hommes, une contrainte qui était peut-être la seule pour laquelle le gouvernement uatéen n’avait encore pris aucune mesure vraiment répressive envers les hommes. On se contentait de leur interdire les meilleures carrières et de limiter leurs droits civiques. Toute ma vie j’ai dû lutter contre ce phénomène, j’ai même songé à me faire passer pour une fille quand j’ai postulé à l’université pour suivre un cursus en mathématiques appliqués afin d’être sûr que mon sexe de naissance ne me desserve pas. Finalement ça n’a pas été nécessaire mais je suis sûr que certains ont dû aller jusque là pour espérer faire quelque chose de leur vie.

Mais là tout de suite je m’en fiche royalement. Honnêtement je ne me considère déjà plus comme un homme depuis que j’ai décidé de rester au Lys. Certes j’ai retrouvé mon corps masculin en venant ici mais les derniers sursauts de masculinité qui me restaient venaient de la découverte du sexe en tant qu’homme. Et honnêtement j’ai pris plus de chibres dans le cul que je n’en ai enfoncés moi-même. Bientôt le F-Gen me changera en femme pour toujours et je dirai adieu à ce corps pour de bon. Du moins si le produit réagit bien avec mon corps comme les scientifiques de l’entreprise s’y attendent. Et pour ça je dois donner autant de sperme que possible au Dr Stuart, ce qui veut dire que je vais encore devoir secouer mon petit cul d’homme pendant quelques temps.

L’endurance de Chibi était telle qu’on pouvait l’imaginer de la part d’une F-Girl : surnaturelle ! Elle besognait Usagi avec force, et dans toutes les positions ! Maintenant, elle le serrait contre le mur, le baisant avec force. Quand elle mordilla et tira sur son oreille, si elle lui arracha un cri, elle voyait, à son regard, qu’Usagi n’était plus en réagir ou de réfléchir correctement. Elle l’avait baisé trop fort, trop longuement, le plaçant dans un état second, comme si son cerveau, devant ce déluge de sexe, avait décidé de couper certaines fonctions cérébrales pour revenir à un mode plus reptilien, plus archaïque. Chibi continuait à le besogner par l’arrière, puis le déplaça encore. Elle le coucha sur le dos, et l’étrangla en retournant le sodomiser, relevant ses jambes avant de le tenir par le cou. Elle souriait, rigolait même, tandis que ses coups de reins se poursuivaient. Une véritable tornade, une frénésie sexuelle !

Ce ne fut qu’au bout de plusieurs heures que Chibi jouit une ultime fois dans le cul d’Usagi. Le jeune lapin s’effondra au sol, et put sentir le sperme de Chibi continuer, éclaboussant son dos, remontant sur sa peau.

« Oh, eh bien… Voilà ce que j’appelle… Une sacrée baise ! »

Lentement, la F-Girl se déplaça. Elle sortit une cigarette, et l’alluma. Elle commença à fumer tout en s’agenouillant à côté d’Usagi. Son cul était bien rouge, et elle sourit doucement, en promenant sa main sur ses mèches de cheveux. Elles étaient collées à son front. Elle les écarta, et le poussa doucement. Il se retrouva ainsi couché sur le dos, la respiration lourde, le corps en sueur.

« Reprends tes esprits, Usagi… Ou repose-toi, je crois que tu as suffisamment joui pour collecter des données. »

Toutes les étapes requises avaient été franchies, et elles étaient couronnées de succès.

La prochaine étape serait donc l’épreuve finale, définitive : celle où Usagi renoncerait à sa masculinité, et deviendrait une femme !

« Il y a un truc qu’on ne t’a peut-être pas dit… Comme tu es un cobaye, si jamais ta transformation en femme est un succès, tu pourras choisir laquelle d’entre nous te fécondera. Tu as déjà croisé plusieurs F-Girls, je suis curieuse de savoir laquelle tu choisiras… »

J’ignore combien de temps s’est écoulé, des heures probablement. Toujours est-il que je finis par revenir à moi après que Chibi ait joui une ultime fois dans mon cul. Elle est en train de fumer et me dit que j’ai suffisamment joui pour fournir au Dr Stuart et à l’équipe médicale toutes les données dont ils ont besoin.

« Ooohhh… ça veut dire que… la fête est finie ? »

Oui je suis déçu que la baise doive se terminer mais il ne faudrait pas en abuser, qui sait dans quel état je pourrais finir si j’allais trop loin avec une F-Girl. Chibi m’explique aussi que, en tant que cobaye, j’aurais le droit de choisir quelle F-Girl me fécondera.

« Comment ça… me féconder ? »

Est-ce qu’elle parle de reproduction ? C’est vrai que c’est une question que je n’ai jamais eu à me poser au Lys, la magie du lieu faisait en sorte que je ne puisse jamais tomber enceinte peu importe à quel point mes amantes déversaient leur semence dans mon utérus. Mais ici je serai une femme à cent pour cent et donc biologiquement apte à porter un enfant. Est-ce que c’est de ça dont il est question ? Je ne me souviens pas avoir lu ou entendu quelque part que j’allais être mise enceinte en acceptant ce travail.

« Tu veux dire que… je vais devoir porter un bébé ? »

Ca me paraît quand même bizarre, quelque chose doit m’échapper.

Juste après cette discussion l’assistante du Dr Stuart vient me récupérer pour la suite de mon examen médical. Je vais enfin savoir si le F-Gen est totalement compatible avec mes nanites et si je vais pouvoir devenir une femme. Mais une autre question me trotte dans la tête, une question que je n’ai pas pensé à poser à Chibi avant de partir.

« Excusez-moi… vous savez si j’ai atteint le podium des records d’endurance ? »

Chibi sourit doucement quand l’idée de porter un bébé sembla paniquer Usagi.

« Non, ce n’est pas une obligation, c’est… Plutôt un bonus. Mais tu es libre de ne pas l’accepter. Cependant, pourquoi vouloir devenir une femme, si ce n’est pour pouvoir porter la vie ? C’est cela qui fait de la femme le sexe fort, le seul sexe appelé à survivre. »

Il allait sans doute falloir qu’Usagi y réfléchisse, mais Chibi tenait en tout cas à le rassurer sur ce point : ce n’était pas obligatoire. Mais, pour elle, il semblait incongru qu’un homme enfin transformé en femme puisse être hostile à cette idée ! Aussi perverses soient-elles, les F-Girls restaient liées au culte d’Aphrodite, et, si la Déesse aimait le sexe, et même le sexe sauvage et débridé, elle était aussi une Déesse de la maternité et de la fécondité. Elle aimait donc les bébés, et cette passion, elle l’avait retransmis à chaque F-Girl.  Sur cela, Chibi se retourna en voyant Asuka arriver. La belle assistante et infirmière était légèrement en sueur, et, vu sa démarche, Chibi en déduisit qu’elle avait dû croiser une F-Girl dans un couloir, et que son fessier avait servi de réceptacle à une grosse verge. Et voir cette belle infirmière ne manqua pas, d’ailleurs, d’exciter Chibi.

Néanmoins, le devoir passait avant tout. Chibi souffla un baiser à Usagi, puis Asuka l’attrapa par la main. Elle sourit ensuite quand Usagi lui demanda s’il avait atteint un record.

« Oui, oui, tu es un patient très doué… Et, pendant que tu te reposais, le docteur Stuart a pu obtenir les résultats de tes analyses. »

Elle le guida donc, non pas jusqu’au bureau du docteur Stuart, mais à une autre partie du complexe médical : les salles d’opération et le secteur d’analyses. Ici, à travers de grandes baies translucides, Usagi pouvait voir des femmes qui subissaient régulièrement des scanners. Il pouvait s’agir de contrôles optiques, mais aussi des scanners plus complets. Les femmes se couchaient alors dans une sorte de grosse machine ressemblant à une IRM, et subissaient ainsi un examen approfondi. Mais d’autres salles étaient plus sexuelles. Ils passèrent ainsi à côté d’une vitre où des F-Guards en combinaison renforçaient leur endurance en sodomisant des partenaires, qu’il s’agisse de femmes ou d’hommes efféminés. Fait notable : les verges des F-Guards étaient des excroissances de leurs propres combinaisons, ce qui signifiait qu’elles portaient des combinaisons symbiotiques, évoluables. Très clairement, le complexe médical était une grosse partie de la Fut-Corp, et il s’étalait sur plusieurs niveaux.

Asuka et Usagi purent ainsi retrouver le docteur Ashley… Qui était occupée dans le bureau d’une F-Girl chargée de gérer une partie du complexe médical, Bambi. Ashley était occupée à sucer l’épaisse verge de Bambi, qui était assise sur son fauteuil, et qui se retourna vers le duo.

« Ah, voilà enfin notre invité prodige ! Je te souhaite la bienvenue chez nous, Usagi ! »

Porter un enfant n’était pas une obligation, juste un bonus offert par la compagnie si j’étais tenté par l’idée. Après tout pourquoi se changer en femme si ce n’est pour pouvoir porter la vie ? Ça fait partie de la doctrine uatéenne sur le sexe féminin comme sexe fort. Asuka me confirme également que j’ai réussi à atteindre le podium des records d’endurance de Fut-Corp mais sans me dire jusqu’où j’ai pu me hisser. Ce n’est pas très important finalement, l’essentiel est que j’y sois parvenu.

Je m’attendais à retourner dans le bureau du Dr Stuart mais Asuka m’amène dans une autre partie du complexe médical : les salles d’opération et le secteur d’analyses. Ici je peux voir, à travers de grandes baies translucides, des femmes en train de passer des scanners et d’autres sorts d’examens avec du matériel de pointe. Mais d’autres salles étaient plus sexuelles, avec des F-Girls qui sodomisent vigoureusement leurs partenaires, qu’il s’agisse de femmes ou d’hommes efféminés. Clairement cet endroit est un haut lieu d’activité, même pour un bâtiment aussi énorme que le siège de Fut-Corp.

Je finis par retrouver le Dr Stuart en train de sucer l’épaisse verge d’une F-Girl. Je ne sais pas qui c’est mais elle a l’air importante, et comme toutes les F-Girls elle a une plastique de rêve, mélangeant des charmes féminins et masculins pour un effet des plus plaisants. Elle me souhaite la bienvenue chez Fut’Corp et il me faut un petit moment pour réaliser ce qu’elle veut vraiment dire.

« Merci. Vous savez je suis vraiment content de… Attendez. Quand vous dites que vous me souhaitez la bienvenue, vous voulez dire que… les tests sont positifs ? Je vais pouvoir recevoir le F-Gen et intégrer la société pour de bon ? »

Je m’emballe peut-être un peu, elle n’a rien dit de la sorte et je tire des conclusions hâtives. Mais je suis tellement enthousiaste à l’idée que tous ces tests et tout cette attente puisse enfin être récompensée. En plus, même si je viens de passer les dernières heures à me faire prendre dans tous les sens, voir une F-Girl en train de se faire pomper juste devant moi n’est pas pour me laisser indifférent.