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Agression nocturne [PV]

Posté : 21 nov. 2024 01:33
par Vaas Montenegro
C’était une rave party organisée hors de la ville, dans la grande forêt qui entourait Atarashï Yoake. Une fête illégale, clandestine, qui avait lieu dans une ferme silencieuse. La fête durait une bonne partie de la nuit, avec tout ce qu’on pouvait imaginer. Outre une musique dantesque, on fumait, on buvait… Les adolescents venaient ici en nombre, venant s’amuser, s’égayer, oubliant la journée… Ils s’abandonnaient totalement, et cela était aussi le cas d’une adolescente, Marin Kitagawa. Belle et accomplie, Marin venait d’un lycée privé où elle menait une éducation stricte. C’était une fille très populaire, qui était venue participer à cette rave pour se détendre, s’amusant avec ses amies. La jeune fille ignorait toutefois qu’un homme allait jeter son dévolu. Doté de jumelles, le chasseur observait ces proies. Il regardait les étudiantes et les étudiants, cherchant laquelle frapper depuis son refuge, perché au sommet d’un arbre.

« Hmmm… »

Il cibla plusieurs filles, mais son regard finit par s’attirer sur Marin Kitagawa. Elle portait une minijupe à carreaux, et une chemise de lycéenne ouverte. C’était de toute évidence sa tenue d’étudiante, signe qu’elle avait dû filer directement de l’école à la rave. Elle portait même encore sa cravate, toutefois largement dénouée, tombant le long de son corps. Il sourit doucement, un sourire de prédateur, et la vit s’écarter précipitamment de ses amies. Elle rejoignit la forêt, s’éclairant à l’aide de la lampe-torche  de son téléphone portable. Elle s’éloigna un peu, allant derrière des buissons. L’homme se laissa alors discrètement tomber sur le sol, sortant de sa ceinture la lame argentée d’un couteau de chasse acéré. Il se déplaça lentement, évitant de se frotter contre les buissons, contre les branches et les racines sur le sol. Elle était en train d’uriner, et il sourit. C’était parfois si simple… Vaas se déplaça donc, et se rapprocha encore, voyant la lumière du téléphone, petit phare dans l’obscurité ambiante de la forêt.

Visiblement pudique, la jeune fille s’était éloignée de la rave party. On entendait encore les sons de la fête, mais il n’y avait à ce stade aucun risque qu’on vienne jusqu’à eux. Elle commença à se relever, et, alors que ses deux mains saisirent sa culotte pour la repositionner, Vaas bondit brusquement.

Tout alla très vite.

Sa main gauche se posa sur la bouche de la femme, et la main droite, qui tenait l’arme, se nicha contre sa gorge. Le couinement apeuré de la jeune femme mourut contre sa main, et il serra le corps agréable et doucereux de cette femme contre le sien.

« Là…Shhttt, chica. Laisse-toi faire, ma beauté… Tu sais comme c’est dangereux de se promener dans les bois la nuit ? Tes parents ne t’ont jamais lu Le Petit Chaperon Rouge, hum ? »

Il restait serré contre elle, l’empêchant de trop se débattre, et lécha alors la femme dans le creux du cou.

« T’es bonne, chica… Tu es venue ici pour te faire troncher, non ? Alors, estime-toi heureuse, tu as touché le gros lot… Je vais t’envoyer au Paradis ce soir, ma salope ! Aie foi en Vaas pour ça ! »

Re: Agression nocturne [PV]

Posté : 21 nov. 2024 01:34
par Chloé Faure
Marin était une jeune lycéenne de 16 ans qui suivais ses études dans un lycée privé. Issue d'une famille financièrement assez aisée, ses parents dont elle était la fille unique avaient voulu le meilleur pour elle en évitant de la mettre au lycée public qui était...parfois réputé pour être un lieu de débauche. Et si il était vrai que au sein de ce lycée privé une discipline stricte reignait, cela n'empêchait pas Marin de vouloir à l'occasion profiter un peu de sa jeunesse et de décompresser avec ses amies. Ce soir, elle et son groupe de potes allaient dans une rave party sauvage dans la bordure de la ville, prêt d'une grande forêt. Rien de tout ça n'était légal, alors le principe était de profiter au maximum avant l'arrivée des flics. Il y avait toutefois sur place plusieurs centaines de participants, alors pour mobiliser assez d'effectifs policiers pour dégager les squatteurs, la fête aurait déjà le temps de battre son plein. Marin était arrivée ici avec une bande d'amies directement après la sortie du lycée, et se trouvait donc sur la place de cette rave party depuis quelques heures, ne voyant le temps passer que par le fait que le soleil descendait progressivement. Elle buvait de l'alcool, dansait, et flirtait même volontiers avec quelques garçons dans l'euphorie de l'ambiance festive, c'était une très bonne soirée qui se déroulait jusque là, et qui se culminerait sans doute avec un mec qu'elle allait choisir pour se faire prendre en quickie avant de rentrer chez elle.

Marin avait déjà à ce stade de la soirée plusieurs bières et quelques gorgées de vodka dans son système, ce qui faisait qu'elle était bien pompette, mais aussi qu'à un moment donné, et bien tout ce liquide devait être évacué une fois traité par son organisme. La nature improvisée et illégale de cette rave party sauvage faisait qu'il n'y avait pas de cabines de toilettes, et la seule vraie option pour avoir un peu d'intimité, c'était la forêt. Marin abandonna donc temporairement son groupe d'amies, avec l'intention de revenir dès qu'elle aurait pu se soulager derrière un buisson dans les bois. Elle marcha quelques temps, assez pour que le son de la fête soit plus diffus par les arbres et la distance, puis elle releva sa jupe, abaissa sa culotte, et s'agenouilla non loin d'un arbre pour uriner.

Pfouuu...

La jeune femme laissa échapper un long soupir de soulagement, et peu après, entreprit de se redresser tout en relevant sa culotte...quand subitement...

HMMMMMFFFF !!!!

La jeune femme écarquilla les yeux et son corps se tendit comme une corde de violon par réflèxe quand elle sentit une main se poser sur sa bouche, étouffant de fait le cri qu'elle était en train de pousser, mais qu'elle arrêta presque immédiatement en sentant aussi un corps se blottir contre elle et...et une lame, dont elle sentit le fil aiguisé contre sa gorge. Ce contact qui pouvait être coupant, et l'égorger sans difficulté, la fit se figer sur place alors qu'elle prenait conscience qu'un mec la prenait seule dans ce bois isolé, et elle frémit de dégout quand il lui lécha la joue. Elle était instantanément terrifiée, mais ne pouvait pas fuir de peur de se faire potentiellement tuer, et elle avait de plus encore sa culotte au niveau de ses genoux ce qui...n'était pas l'idéal pour une tentative de fuite rapide. Elle était piégée, et elle paniquait en comprenant bien vite que ce mec avait l'intention de la violer...

Re: Agression nocturne [PV]

Posté : 21 nov. 2024 01:35
par Vaas Montenegro
Vaas sentit rapidement la situation s’instaurer. Elle ne se débattit pas trop, et il pouvait l’entendre gémir. Il sentit ensuite des gouttes sur ses doigts, et comprit que la jeune fille devait être en train de pleurer.

« Oh, allons, allons, chica, tu pleures ? Pourquoi tu pleures, hum ? Tu es sapée comme une voiture volée qu’on viendrait de tuner. T’as le cul en feu, et je viens t’apporter une grosse lance pour l’éteindre ! Tu crois que je t’ai pas vu tortiller du cul devant tous ces idiots ? Mija, ils sont bourrés, défoncés ! S’il y en a un qui tente de t’enfourner ce soir, il te dégueulera dessus, putain ! Je viens t’aider, j’ai répondu à tu appel, tu comprends ?! Je suis ton putain de chevalier héroïque à l’armure étincelante ! Tu comprends ça, salope, hein ?! »

Il lécha encore sa joue, et se déplaça un peu. Il relâcha alors la jeune femme, la poussant en avant. Elle tomba au sol, et il se pencha vers elle, la forçant à se coucher sur le dos, puis conserva sa lame sur sa nuque, la ramenant.

« Inutile de te dire que, si tu hurles, je serai contraint de mettre fin à notre relation naissante de manière très précipitée, ma petite chatte… Tu le comprends, ça ? Tu le comprends, hein ? Cligne des yeux si tu comprends ! »

Vaas attendit patiemment le clignement de yeux, puis hocha la tête. Semblant satisfait, il se redressa alors, et sourit à la jeune femme, à sa manière.

« Tu vois, je suis un gentleman… Je vais te baiser ce soir, ma chérie, mais je te laisse choisir… Tu préfères que je passe par où en premier ? Ta p’tite chatte serrée de salope ? Ou ton cul bien étroit ? Je te laisse l’embarras du choix, ma puce… Ou peut-être qu’on commence par ton adorable bouche ? Tu m’excites tellement, ma chérie… Ce soir, ça va être l’éclate, bordel ! »