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Italian Love (PV)

Posté : 21 nov. 2024 02:00
par Chloé Faure
Vittorio Valencio était un jeune lycéen italien qui vivait avec sa mère à Gênes, et ce dans un cadre très riche dans lequel il avait été élevé depuis autant qu'il s'en souvienne. Fils unique d'une mère qui avait toujours été célibataire, lui et Clara Valencio avaient toujours eu une relation très proche et fusionnelle. Vittorio n'avait jamais pu avoir de réponse très concrète sur l'identité de son père, et avait franchement abandonné l'idée de le savoir un jour, car seule sa mère lui importait en vérité. C'était elle qui avait été là pour lui, elle qui l'avait nourri au sein, et avec elle qu'il avait dormi lorsque plus jeune il avait eu des épisodes de terreurs nocturnes qui ne pouvaient passer que lorsqu'il était enlacé dans les bras de sa mère.
Une relation fusionnelle donc, mais qui était mise à mal depuis quelques mois maintenant, et qui avait étrangement commencé lorsque Vittorio s'était mis à considérer sa mère sous un bien autre angle. Le jeune homme était clairement atteint d'un complèxe d'Oedipe assez prononcé, une chose qu'il cachait de son mieux mais c'était très difficile avec la puberté qui le frappait de plein fouet. Il était bien au courant du tabou entourant de telles relations et sentiments vis à vis de sa mère, et gardait ce fardeau pour lui, mais en prime de ça Clara semblait prendre depuis quelques temps des mesures pour tâcher de s'éloigner de lui. Ils ne dormaient plus ensemble entre autres, elle se faisait plus distante, et surtout elle s'était visiblement trouvée après des années de célibat un nouvel amant qu'elle voulait lui introduire comme étant son "nouveau père".

D'ordinaire si posé, pareils développements dans sa vie d'adolescents avaient changé Vittorio. Ils s'était montré hostile et agressif vis à vis de cet homme qui osait considérer sa mère comme un bout de viande à troncher, et qui avait osé demander à ce qu'il l'appelle "papa". Depuis lors, le jeune homme avait beaucoup de mal à se concentrer sur ses études et ses résultats étaient en chute libre, tout semblait tellement se liguer contre lui qu'il lui arrivait de songer à vouloir même mettre un terme à tout ça...
Aujourd'hui, il avait été expulsé du lycée après s'être battu avec un camarade de classe, qui avait fait devant lui des commentaires sur sa mère, mentionnant à quel point elle était "bonne". En temps normal Vittorio se serait sans doute contenté de répondre avec son verbe bien éduqué, mais là avec tout ce qui se passait dans sa vie, la colère avait pris le dessus et il avait frappé son camarade au point qu'il aie été envoyé à l'hôpital. Et bien que les jours du lycéen ne soient nullement en danger, tout ça avait été suffisant pour qu'il soit convoqué par le directeur de l'établissement et sanctionné par une expulsion de plusieurs jours, sa mère avait bien entendu été mise au courant.

Vittorio attendait donc sa mère, assis dans le salon sur un divan, car sa mère lui avait ordonné par téléphone qu'ils aient une discussion sérieuse par rapport à cet incident. Vittorio semblait effectivement sur une pente descendante, il s'en voulait d'avoir réagi ainsi et de donner des ennuis à sa mère par ce biais, mais il était si malheureux et stressé. Il savait qu'il allait devoir donner des explications à sa mère, et que cette dernière le connaissait trop bien pour qu'il puisse lui mentir, surtout qu'elle allait vouloir qu'il lui dise la stricte vérité.

*Et elle va finir par être dégoûtée de moi, achevant ainsi cette descente aux enfers...*

Il entendit avec un pincement au coeur le bruit de la voiture de sa mère arriver dans la cour, et se prépara mentalement à subir une charge que honnêtement il savait qu'il méritait...

Re: Italian Love (PV)

Posté : 21 nov. 2024 02:03
par Reine Alice Korvander
Clara avait eu Vittorio très jeune, alors qu’elle-même était encore mineure, et que le père de Vittorio était plus vieux que le propre près de Clara. Si ce geste lui avait valu l’infamie, quand ses parents avaient appris que l’identité du forban était très connue, les choses avaient changé. Ses parents étaient des militants politiques, membre du parti politique majoritaire en Italie, un parti très conservateur. Le père de Vittorio était le chef de parti de ce mouvement, quelqu’un qui était devenu le Président du Conseil des ministres d’Italie, soit celui qui dirigeait le pays. Si son électorat apprenait qu’il avait enfanté une fille mineure, son régime s’effondrerait. Ses parents avaient obtenu une dot confortable, et Clara avait récupéré une villa luxueuse à Gênes, le long de la Riviera. C’était une villa hors de la ville, et Clara recevait chaque mois une somme confortable. Cet argent achetait son silence et assurait l’éducation de son fils, Vittorio.

Jeune et fougueux, Vittorio était son seul homme, et, depuis cette première fois, Clara n’avait plus jamais eu la moindre relation sexuelle. Pourtant, elle recevait régulièrement des propositions. Si le Président avait couché avec elle, c’était bien parce qu’elle avait eu très jeune une poitrine bien développée, et sa grossesse n’avait fait que renforcer cela. Clara était d’une très grande beauté, et, comme elle avait beaucoup d’argent, elle attirait beaucoup de personnes qui convoitaient sa fortune, et sa beauté. Seulement, une femme riche, jeune et célibataire, avait amené beaucoup de gens à voir Clara comme une sorte de mafieuse. Elle savait que la maison était surveillée, que le père de Vittorio voulait s’assurer que Clara ne commette jamais l’erreur de parler de ce gosse aux journalistes, ou de leur aventure. Mais Clara n’avait aucun intérêt à le faire. L’une des conditions de sa vie était de ne jamais se remarier, précisément pour ne pas attirer l’attention sur Vittorio. Clara se disait aussi que cette cage dorée était la marque de fabrique du Président, qui conservait ainsi son emprise sur une femme qu’il aimait sans doute plus que sa propre femme.

Vittorio était scolarisé dans un lycée privé à la discipline stricte. Quand le directeur appela Clara pour lui signaler que son fils avait violemment brutalisé un autre élève, Clara s’était donc empressée de venir. Ici, dans ce collège d’excellence, les mauvaises notes de son fils commençaient à faire jaser. Il avait toujours été talentueux avant son entrée au lycée. Sa chute coïncidait avec la décision de Clara de l’éloigner d’elle. Vittorio avait été un enfant turbulent, qui faisait beaucoup de cauchemars, et qui refusait de boire au biberon. Alors, Clara avait pris l’habitude de l’allaiter, de prendre son bain avec lui, et de dormir avec lui. Mais elle avait cessé quand elle l’avait senti avoir une érection lorsqu’il continuait à téter. Elle avait pris peur, craignant que Vittorio ne finisse par ressentir envers elle des sentiments déplacés. Ses mauvaises notes avaient fini par amener l’un des discrets hommes de main du Président, un certain « Luis », à venir au domicile pour s’en inquiéter. Il lui avait aussi dit que son fils avait de mauvaises fréquentations, et que le Président ne voulait pas que son fils finisse interpellé. Désormais, les flics faisaient systématiquement des prélèvements génétiques, et il y avait donc un risque pour que les empreintes génétiques de Vittorio remontent à celles du Président.

« Les enregistrements de vidéosurveillance montrent que Toni a provoqué Vittorio. Ses parents ne portent pas plainte, et nous avons décidé de ne pas faire de signalements… Mais cela ne peut plus durer, Mademoiselle Valencio. Nous pouvons vous recommander des spécialistes, notre académie dispose de pédopsychiatres aptes à vous aider pour ces problèmes de puberté… »

Le ton condescendant du directeur était souvent imperturbable. C’était un machiste pervers, et Clara fut convaincue que ce fut la vue de ses seins qui le convainquit de ne rien dire. Il chercherait sûrement à la faire chanter, mais, pour l’heure, Clara s’inquiétait surtout pour son fils. Il était rentré à la maison, et savait que sa mère allait revenir de chez le directeur. Depuis que Vittorio avait surpris Clara avec Luis, il se faisait tout un film. Clara lui avait assuré qu’il n’y avait rien de sérieux, mais elle soupçonnait son fils de faire un complexe œdipien tardif, sans doute lié au fait qu’il n’avait jamais connu son père. Luis était devenu un peu plus intrusif, se présentant comme une connaissance, évitant de trop en dire. Et lui aussi louchait volontiers sur les formes généreuses de Clara, ce qui n’avait pas dû échapper à Vittorio. Son imaginatif esprit d’adolescent avait ensuite fait le reste, imaginant des liens là où il n’y en avait pas. Car Clara n’avait qu’un seul homme, un seul homme à qui elle avait dédié toute sa vie… Son fils !

Sa voiture rejoignit la cour de leur somptueuse villa. Elle pilotait une voiture de luxe Ferrari, une F8 Spider, qui coûtait plusieurs centaines de milliers d’euros. Clara sortit rapidement, et rejoignit le salon principal.

Son fils était là. Elle soupira doucement en voyant sa tête basse. Il s’attendait à se faire disputer. Clara défit son manteau. Sous celui-ci, elle portait une robe beige mi-longue, ornée de paillettes, mettant ses gros seins en valeur. On pouvait voir qu’elle ne portait aucun soutien-gorge, car les bonnets de la robe retenaient l’ensemble. Elle congédia la domestique, puis rejoignit le salon.

« Niño, commença-t-elle,  tu seras ravi d’apprendre que les parents de Toni ne portent pas plainte. Les images de vidéosurveillance montrent que tu as défendu l’honneur de ta mère. Cela fait de toi, sur le principe, un bon enfant, niño. »

Elle rajouta ensuite, tout en croisant sensuellement ses interminables jambes fuselées :

« Néanmoins, niño, je ne peux laisser cela indifférent. Toni a fini à l’hôpital ! Tu es exclu pendant une semaine, d’ailleurs… Et tu m’as forcé à aller voir ce vieux débris de directeur. Il me déteste parce que j’éduque seule mon enfant, et croit pouvoir m’apprendre à moi comment éduquer mon enfant ! »

Clara grommela en reprenant son calme, puis rejoignit le canapé, et s’assit à côté de Vittorio. Sa main caressa ses cheveux, et il n’avait qu’à lever sa tête pour voir les seins de Clara, serrés dans sa robe…

« Niño, pourquoi as-tu fait ça ? Et pourquoi est-ce que tes notes baissent autant ? Tu es un enfant magnifique, tu es mi meraviglia, ma petite merveille… Pourtant, je sens que tu t’éloignes de moi, niño… Est-ce que j’ai fait quelque chose qui t’a déplu ? Tu sais que tu peux tout me dire, niño, et je ne compte pas quitter ce canapé tant que je n’aurai pas compris pourquoi tu t’es autant énervé contre ce garçon… »

Clara mettait aussi un parfum très sensuel. On aurait pu croire qu’elle faisait tout pour séduire son fils… Car, tandis qu’elle lui caressait la tête, son visage se rapprochait de ses seins, qu’il frôlait lentement…

Re: Italian Love (PV)

Posté : 21 nov. 2024 02:04
par Chloé Faure
Beaucoup de choses tournaient confusément dans l'esprit de Vittorio en attendant sa mère, tout ce qui l'avait mené à ce moment précis...et ce qu'il allait bien pouvoir dire pour se justifier. Il ne voyait pas d'autre choix pour lui que de déballer ce qu'il cachait depuis maintenant des mois, il savait pertinnement les conséquences que ça allait avoir, mais il ne pouvait plus le cacher, pas après ce qu'il avait fait. Clara rentra dans le salon où Vittorio l'attendait, et comme à son accoutumée, elle était splendide, somptueuse...diablement sexy. Vittorio s'en voulait à chaque fois qu'il avait ce genre de pensées sur sa mère, sur sa propre mère ! Il ne pouvait s'empêcher de regarder ses gigantesques seins, qui malgré leur taille avaient aussi le miracle d'être bien fermes, lui qui l'avait tété jusqu'à très tard était bien placé pour le savoir.

Je suis désolé Mamma...

Le fait qu'il aie été prouvé" par les caméras du lycée que Vittorio n'avait pas attaqué sans raison n'était en réalité qu'une piètre consolation au milieu de toute cette situation, et lorsque sa mère vint finalement s'asseoir à côté de lui, Vittorio baissa la tête. Il le faisait autant parce qu'il ne pouvait pas supporter son regard plein de déception à son égard, que pour arrêter de fixer régulièrement ses gros seins contre lesquels il avait envie de faire tant de choses. Son imagination fertile bourrée aux hormones d'adolescent en pleine puberté était couplée au manque de limites qu'un garçon "normal" était censé avoir vis à vis de sa mère, et il craignait d'avoir une érection incontrôlée en ce moment. La chose n'était pas rendue facile par le fait que Clara était d'un naturel tactile, elle se lovait volontiers contre lui, lui carressait les cheveux et tant d'autres petites marques d'amour qui hélas ne le laissaient pas indifférent, du moins pas d'une façon qui était appropriée.
Le jeune homme poussa un long soupir en se redressant finalement dans le divan.

C'est toi qui t'éloigne de moi, Mamma, et même si je comprends pourquoi, je n'arrive pas à le supporter...

C'était en soit assez cryptique encore, et il savait qu'il allait devoir préciser car cette fois sa mère n'allait pas lâcher l'affaire. Il était assailli par le doux parfum sensuel qu'elle mettait, par cette magnifique robe qu'elle portait, par sa chaleur et sa douceur qui faisait qu'il l'aimait et qu'il...

Tu veux la vérité alors ? Très bien je vais te la dire. Je t'aime Mamma, mais pas seulement comme un fils se devrait de le faire.

Il laissa une brève pause s'installer, peut-être que Clara ne comprendrait pas tout de suite, ou peut-être qu'au contraire il y aurait un début de soupçon, quoi qu'il en soit il poursuivit alors. Vittorio semblait sur le point de s'affaisser sur place tant il était stressé, mais il ne pouvait plus garder ça pour lui, ça lui faisait faire des conneries et il était malheureux en foutant son avenir en l'air.

J'ai commencé à avoir des érections quand tu me donnais le sein, et quand on dormais ensemble, parce que je te trouve sexy et que j'ai envie de te faire l'amour. J'ai pas de petite amie malgré la demande parce que je voudrais que ça soit toi. Je t'aime et je ressens une attraction physique à ton encontre Mamma. J'ai...j'ai essayé de le refouler, vraiment. C'est pour ça que j'arrive plus à me concentrer au lycée, parce que je pense à toi tout le temps et au fait que je suis un mauvais fils pour avoir ce genre de désirs. J'ai bien failli rouer de coups Luis quand il avait mentionné son envie de devenir mon "papa", et Toni quand il a dit que tu étais une "bonne salope", parce que en plus de ça je suis jaloux de les voir te tourner autour. Je me masturbe tous les jours en pensant exclusivement à toi, et après je passe le reste de la journée à contempler le sale pervers et l'échec de fils que je suis. Je n'arrive pas à le refouler, et je n'arrive plus à le cacher donc...voilà la triste et sale vérité Mamma...

Nul doute que ce qu'il venait tout juste de dire allait faire l'effet d'une bombe, et il s'attendait bien à ce que sa mère soit outrée, dégoûtée de lui...

Re: Italian Love (PV)

Posté : 21 nov. 2024 02:04
par Reine Alice Korvander
Clara le gifla.

Pas une claque violente, mais une gifle quand même.

Et, dans la foulée, elle attrapa le menton de Vittorio, et releva sa tête. Son regard croisa le sien, et celui de Clara avait durci, semblant annoncer la catastrophe imminente.

« Vittorio ! Je t’interdis de dire que tu es un ‘‘échec’’. Je te l’interdis ! »

Elle le vit rougir, et relâcha alors son menton, puis le serra dans ses bras.

« Si tu es un échec, alors c’est que j’en suis un aussi… Et tu n’es pas un échec. Tu es mon fils, et je t’aime plus que tout au monde. »

Clara sourit à Vittorio, son visage semblant s’adoucir, et elle se recula un peu, prenant conscience de tout ce qu’il avait dit. Mais cela avait été plus fort qu’elle. Que son fils se rabaisse ainsi, qu’il se déteste à ce point… Elle ne pouvait l’accepter ! En réalité, tout cela était sa faute. Clara se pinça les lèvres, et regarda devant elle, pour se confesser à son tour :

« J’ai souhaité que tu ne dormes plus avec moi, Vittorio, car j’ai senti tes érections nocturnes… Tu répétais mon nom avec ton sexe durci. Je ne voulais pas interférer dans ta sexualité, alors je t’ai laissé voir des filles. Je savais qu’un garçon aussi beau et mignon que toi trouverait des filles. Je voulais être une mère normale… Mais… »

Elle se pinça les lèvres, et le regarda ensuite :

« Bianca est la première fille avec laquelle tu es sorti. Elle était venue ici, et elle n’est jamais revenue ensuite. C’est quand je l’ai vu que j’ai su… Je l’ai détesté d’emblée. Une sale petite pimbêche qui roucoulait autour de toi… J’ai senti ce que tu as dû ressentir en me voyant avec Luis. La jalousie… J’ai été jalouse de cette femme, et l’idée qu’elle puisse me voler ta virginité m’était insupportable, Vittorio. »

Les mots choisis par Clara étaient très importants, et en disaient long sur le fait qu’elle ressentait exactement la même chose que lui.

« Je n’aime pas Luis, et ce type me casse les pieds. Tu es la seule personne que j’ai jamais aimé, Vittorio. Depuis que tu ne dors plus avec moi, je me morfonds dans mon lit… Tu sais, chaque fois que je nettoie tes vêtements, je renifle tes caleçons. J’aime y voir les traces de sperme et me dire que… Que tu jouis comme ça en pensant à moi. »

Clara rougit à nouveau, et rajouta ensuite, en attrapant l’une des mains de Vittorio.

« Je suis sans doute la seule fautive de tout ça. Inconsciemment, l’amour que je te porte t’a façonné, mon chéri. Je t’aime, mon Vittorio. Je t’aime en totalité. Et l’idée que tu me quittes m’est insupportable. »

Clara releva sa main, et embrassa doucement ses doigts.

« C’est de ma faute si tu as frappé ce mascalzone. Un homme qui n’est pas sexuellement satisfait devient violent et frustré. »

Elle caressa alors à nouveau ses cheveux.

« Alors, c’est vraiment à moi que tu penses quand… Quand tu te caresses ? »

La jeune femme demanda cela sur un ton court, comme si elle avait le souffle coupé. Elle était émue. Sa main se déplaça alors, et se glissa entre les cuisses de Vittorio, sentant une érection naissante, probablement quand Clara avait commencé à parler de ses culottes.

« Oh… Montre-moi, Vittorio. Si tu ne veux pas que je te punisse, montre-moi comment tu te masturbes en pensant à ta mamma. Mets-toi debout, et montre-moi… »

Re: Italian Love (PV)

Posté : 21 nov. 2024 02:04
par Chloé Faure
Vittorio s'était attendu à cette claque qui retentit sur sa joue, et qui lui fit détourner son visage de sa mère. Honnêtement il s'y était attendu, c'était la réaction la plus logique que pouvait avoir se mère face à ce qu'il venait tout juste de lui avouer, qu'il l'aimait au point de fantasmer sexuellement sur elle, et de se masturber en pensant à elle. Il avait eu "besoin" de le dire, car il gardait ça enfoui en secret depuis bien trop longtemps, et tout ça le perturbait au point qu'il en devenait méconnaissable par rapport au gentil garçon intelligent qu'il était en temps normal. Il s'attendait à prendre la rouste de sa vie et à ce que sa mère le renie, ce qui là aussi, aurait été le cheminement logique...mais à sa plus grande surprise, ça n'allait pas être le cas.
Vittorio commença à être troublé lorsque, alors qu'il était bien au bord des larmes, sa mère continua à déclarer qu'elle l'aimait plus que tout au monde en lui faisant un câlin. Sur le coup il ne sembla pas réagir, car il ne comprenait pas la raison de ce soudain changement de ton dans la conversation. Elle...elle ne lui en voulait pas ?

Mamma je...je ne comprends pas ?

Clara relâcha son étreinte pour s'éloigner un peu et lui faire face, alors que les deux étaient assis l'un à côté de l'autre sur le divan du salon. Sa mère commença alors à s'expliquer, comment elle avait notée le début de ce désir à son encontre, et qu'elle n'avait pas voulu interférer avec ça et qu'il aie une sexualité "normale" et qu'elle soit une mère "normale". Puis elle lui parla de Bianca, qui avait été une tentative pour Vittorio de passer à autre chose, mais qui avait complètement foiré. Vittorio commença toutefois à tiquer au vu de comment Clara lui en parlait, si il pouvait être normal pour une mère de ressentir de l'hostilité envers une petite amie de son fils, elle lui parla de jalousie, et du fait qu'elle lui "vole sa virginité".

M-Mamma ?

Il crû mal comprendre, ce qui se vit sur son visage qui exprimait de l'incompréhension, d'autant qu'au vu de la situation Vittorio n'était pas tout à fait capable de raisonner comme il le faisait d'ordinaire. Il se demandait ce qui se passait et, si il commençait peut-être à le comprendre, il n'osait pas en arriver à cette conclusion là. Les doutes commencèrent à se dissiper vraiment chez le jeune homme lorsque sa mère évoqua le fait qu'elle n'aimait pas Luis, ce qui très honnêtement sembla retirer un poids soudainement sur les épaules de Vittorio...mais juste après, Clara évoqua le fait qu'elle reniflait ses caleçons lorsqu'elle les mettait à la lessive.

Je...

Étais-ce seulement possible ? Il devait être en train d'imaginer tout ça, mais la main de sa mère qui se posa sur la sienne le ramena au fait qu'il était bien dans la réalité. Vittorio avait honnêtement l'impression d'être dans une sorte de rêve, et peinait à réagir car tout ça était beaucoup à encaisser. Lui qui s'était attendu à se faire rouster et expulser de la maison, voilà que sa mère adorée était en train de...d'avouer que ses sentiments étaient mutuels ? Vittorio semblait comme un spectateur dans son propre corps à ce moment, comme incapable d'agir, mais la main que Clara fini par déposer sur son sexe le ramena clairement à la réalité.

Ah...

Vittorio se tendit légèrement sur place sans toutefois chercher à s'enfuir, mais oui il la sentait...la main de sa mère qui venait de se poser sur son pantalon, à l'emplacement de son sexe. Il n'avait pas pu s'empêcher malgré tout ça de commencer à bander quand elle avait évoquée certaines choses, mais le contact de cette main sur la bosse naissante de son pantalon acheva de l'amener à bander vite et dur. Son regard croisa alors celui de sa mère comme jamais auparavant, quand elle lui demanda de lui montrer...
Il hésita l'espace d'une poignée de secondes, le temps pour lui de finalement accepter que tout ça était bien réel et puis...

Oh Mamma...

Ni une ni deux, Vittorio se sentit poussé par cette impulsion qu'il avait si longtemps refoulé, mais dont il venait d'obtenir l'autorisation de laisser s'exprimer. Le jeune homme se redressa donc, faisant face à sa mère qui demeurait assise sur le divan, puis il commença avec ses mains fébriles à défaire son pantalon et à l'abaisser au niveau de ses chevilles, le boxer qu'il portait suivant dans la foulée. Vittorio se retrouva face à Clara avec sa grosse verge tendue, qu'il empoigna alors, et il commença à se masturber. Clara était aux premières loges pour voir la bite tendue de son fils pointer dans sa direction, et comment il faisait coulisser ses doigts le long pour se branler. Le jeune homme respirait lourdement alors que son visage oscillait entre le visage de sa mère, et le somptueux décolleté qu'elle lui offrait par cette vue en contrebas. A ce rythme, il sentait qu'il n'allait pas pouvoir se retenir très longtemps.

Mamma je...je vais jouir si...si tu me dis pas d'arrêter...

Vittorio avait les bourses pleines, et son niveau d'excitation sur le moment n'avait jamais été aussi fort de sa vie. Si Clara ne l'en empêchait pas, il allait juter sur elle, et fort, ruinant sans aucun doute sa belle robe.

Re: Italian Love (PV)

Posté : 21 nov. 2024 02:04
par Reine Alice Korvander
Tout alla finalement très vite ensuite, comme si le bouchon de tension qui avait existé entre eux venait d’éclater. Les grands et beaux yeux de Vittorio exprimèrent la plus grande des surprises. Il n’avait sans doute jamais dû penser que ses sentiments envers sa mère étaient réciproques… Ou alors, s’il l’avait cru, il l’avait refoulé, en se disant que ça n’arriverait jamais, et que c’était mal. Oui, c’était mal, mais était-ce plus mal que de mettre enceinte une inconnue ? La vie n’était qu’un ensemble de mauvais choix… Mais, pour autant, en voyant son fils se déshabiller, Clara ne sentit à aucun moment la gêne l’envahir, ou la honte, ou le sentiment d’être une mauvaise mère. Il finit rapidement nu, avec le pantalon tombant sur ses chevilles, et sa belle verge se dressa vers elle, fièrement élancée. Il avait une très belle verge, et Clara se pinça les lèvres en l’observant. Une lueur brillait dans ses yeux, une lueur que Vittorio avait rarement dû voir chez sa mère : celle du désir, ce besoin bestial et animal qui s’emparait de vous, une pulsion primaire qui l’envahissait pleinement, et face à laquelle elle ne pouvait rien.

Soupirant doucement, Vittorio se masturbait, et Clara finit à genoux devant lui, entendant les bruits de mastication, la chair de ses doigts qui claquait contre la chair de son sexe. Il indiqua qu’il allait jouir si elle ne lui disait pas d’arrêter. Elle posa ses mains sur ses hanches, caressant sa fine peau, et approcha son visage de son sexe. Vittorio put sentir le souffle de ses lèvres dessus, et elle releva la tête, reniflant cette odeur… Oh, cette douceur odeur de sexe ! Cette odeur sale, renfermée, mais ô combien enivrante pour elle ! Clara sentit tout son corps frissonner, tandis qu’une saine chaleur remontait en elle, partant de son bassin pour se diffuser avec appétit dans le reste de son corps. Elle se mordilla les lèvres, et lui dit ce que son fils avait besoin d’entendre pour se relâcher :

« Je t’interdis de t’arrêter, mon chéri. »

Il se relâcha alors, presque instantanément après. Clara soupira en sentant des giclées de sperme tomber sur son visage. Elle ferma les yeux en le laissant jouir, se vidant sur sa tête, ainsi que sur le haut de sa robe. Il jouissait en soupirant longuement, et, comme elle pouvait s’y attendre, il jouit longuement, peut-être son orgasme le plus puissant à ce jour. Clara rouvrit les yeux en souriant, et caressa sa joue avec deux doigts, puis observa lentement le sperme de son fils. Elle écarta ses doigts, sentant le liquide suivre ses doigts, collant grassement à sa peau.

« Mon chéri, tu en as mis partout sur Maman… »

Clara se mordilla les lèvres, et observa sa queue trempée.

« Oh, tu en as mis partout sur ta queue aussi, mon amour… »

Elle parlait de sa voix douce, mais aussi chaudement excitée. Elle releva la tête vers le visage de Vittorio, constatant qu’il bandait toujours, puis se mordilla les lèvres en observant à nouveau sa queue, se rappelant qu’il y avait si longtemps qu’elle n’avait pas goûté à une verge, qu’elle n’avait pas senti un homme se vider en elle, jouir puissamment en l’étranglant. Un homme… Son homme. Elle frémit doucement.

« Je t’aime, mon fils, et tu as douté de mon amour… Désormais, je te rappellerai chaque jour combien je t’aime ! »

Et elle commença donc par attraper la base de sa queue, et vint le lécher, avalant son sperme.

« Je veux sentir ton foutre dans ma bouche, mon cœur… Jouis dans la bouche de Maman ! »

Une fois cela dit, elle commença donc à le sucer avec appétit…

Re: Italian Love (PV)

Posté : 21 nov. 2024 02:04
par Chloé Faure
Longtemps, Vittorio avait rêvé d'une scène similaire incluant sa mère, lorsqu'il fantasmait sur elle de jour, ou qu'il rêvait d'elle la nuit. Qu'elle soit là, à genoux face à lui, son visage proche de sa queue tendue et dressée. Vittorio n'était pas encore complètement sûr de ce que sa mère voulait, il fallait dire qu'il était encore un peu surpris par ce que lui même était en train de faire. Il s'était déshabillé avec une vitesse impressionnante, car ses vêtements lui avaient désormais paru trop lourds, et il était en train de se branler alors que Clara le regardait faire. Lorsqu'il la prévint donc qu'il n'allait pas pouvoir tenir très longtemps, et qu'il allait jouir si elle ne lui disait pas d'arrêter, le jeune homme vit donc sa mère quitter le divan pour venir se mettre à genoux directement devant lui.

M-Mamma...

Vittorio avait la respiration saccadée, non seulement car il était très excité par la situation, mais aussi car il sentait qu'il était vraiment proche du point de rupture et qu'il essayait de se retenir autant que possible. Puis, il vit et sentit les mains de sa mère adorée se poser sur les flancs de ses hanches, et surtout son visage s'approcher tellement de son sexe qu'il sentait le souffle chaud de sa respiration dessus. Elle était en train d'humer l'odeur de son sexe, et le fait de l'avoir si proche de lui dans cette position ne fit rien pour calmer le jeune homme. Alors, quand elle déclara lui interdire de s'arrêter, acquiescant par la même au fait qu'il allait lui jouir dessus...Vittorio ne parvint tout simplement plus à se retenir.

Aaaah...Haaaaa M-Maman !!! Haaaaaaa !!!!

Vittorio se tendit subitement sur place et entreprit de se masturber frénétiquement, alors qu'il commença à éjaculer. D'épais et longs filaments de sperme furent crachés qui tombèrent sur sa mère, couvrant progressivement plusieurs endroits de son visage, mais aussi de ses merveilleux seins et salissant au passage sa robe là aussi à de multiples endroits. Vittorio éjacula beaucoup, et assez longtemps, tout en ayant tout de même assez de "conscience" pour essayer de viser sa mère plutôt que le sol ou le canapé derrière elle. Lorsqu'il eut fini, et qu'il parvint à reprendre un peu ses esprits, le jeune homme pu constater qu'effectivement, il lui en avait mis de partout. Les joues, le front, et la commissure des lèvres de sa mère avaient de longues trainées de sperme, mais c'était surtout ses opulents seins et sa robe qui avaient pris le plus cher. Vittorio était toujours un peu "inquiet", mais quand il vit Clara récupérer un peu de son sperme entre ses doigts pour le regarder avec un sourire, cela dissipa ses derniers doutes.

Oui je...si tu savais combien de fois j'en ai rêvé...

Le jeune homme continuait de bander bien fort même après avoir joui, mais il semblait évident que ce qui venait de se passer l'avait calmé bien plus que simplement du fait d'avoir juste joui. Avoir désormais la certitude que ses sentiments vis à vis de sa mère étaient réciproques c'était...un poids d'une lourdeur inimaginable qui venait de lui être retiré de ses épaules. Vittorio se fichait bien du tabou que pouvait représenter pareille relation, du moment qu'elle était consentie. Le jeune homme aimait sa mère autant que cette dernière l'aimait, et l'une de ses plus grandes craintes avait toujours été de ne pas s'en montrer digne, et de la décevoir. Leurs regards se croisèrent, et Vittorio pu lire la flamme d'un désir intense dans les yeux de Clara, qui déclara l'aimer, et qu'elle comptait bien le lui rappeler tous les jours désormais. Immédiatement dans la foulée, Clara posa sa main à la base de son sexe, l'entourant de ses délicats doigts, avant d'approcher ses lèvres du bout de son sexe et d'aller lécher les quelques gouttes de sperme qui pendaient encore dessus.

Aaaah...

Vittorio se tendit encore une fois sur place, ne s'attendant pas à ce que sa mère se montre aussi enthousiaste, mais aussi parce que c'était la première fois qu'il sentait une main autre que les siennes se poser sur son sexe en érection...et cette langue. Vittorio cru bien fondre sur place quand finalement, sa mère déclara qu'elle voulait le sentir jouir dans sa bouche, comprenant qu'elle allait lui tailler une pipe, ce qu'elle fit dans la foulée. Le jeune homme vit, et sentit, sa mère ouvrir sa bouche pour acceuillir son sexe entre ses lèvres, et commencer à le sucer. Si il n'avait pas déjà joui, sans doute n'aurait-il pas pu se retenir, mais il allait de fait pouvoir un peu profiter de cette fellation. Le jeune homme posa délicatement une de ses mains sur la tête de sa mère, ses doigts glissant dans ses cheveux soyeux.

Oh Mamma...je suis tellement désolé de t'avoir causé tous ces soucis...je t'aime...aaaaah...

Vittorio était heureux, et il comptait bien se ratrapper de tous ses écarts de conduite qu'il avait pu faire au cours de ces derniers mois. Reprendre assidument ses études et rectifier son comportement, redevenir le gentil garçon qu'il avait toujours été...à ceci près que désormais, il comptait bien honorer Clara en devenant également son homme. Il peinait un peu à croire que c'était en train d'arriver, mais sa mère était bien là, à genoux devant lui, en train de le sucer, le visage et le corps encore couvert à bien des endroits de son sperme et il trouvait ça absolument sexy. Les bruits de succion qu'il entendait de sa bouche le rendaient honnêtement fou de désir, et il sentait son sexe coulisser dans la bouche de sa mère, sa salive l'humidifier, sa langue rouler dessus, et la pression exercée dessus alors qu'elle aspirait l'air pour le sucer. A mesure que Vittorio sentait la "sauce" monter, il commençait instinctivement à accompagner les va et viens de sa mère par des coups de rein lui même, cherchant à s'enfoncer bien dans sa bouche, sa délicieuse, chaude, et humide bouche...

Hmmm...je...je vais t'honorer comme il se doit Mamma...Oh je vais...je vais...Hnnnnnn !!!!!!

Si il était parvenu à tenir plus longtemps qu'avant, Vittorio n'avait pas encore pu se retenir plus longtemps face à cette fellation divine que lui offrit sa mère, et en crispant ses doigts sur ses cheveux, il se mit à jouir à nouveau, cette fois directement dans la bouche de Clara qui, là encore, allait avoir droit à une bonne dose de ce sperme qu'elle semblait tant apprécier...

Re: Italian Love (PV)

Posté : 21 nov. 2024 02:04
par Reine Alice Korvander
Clara était bien décidée à être pour Vittorio la mère juste et aimante qu’elle se devait d’être. Elle ne tolérerait pas que son fils devienne un banditi, ou qu’il rate ses études. Elle ne tolérerait pas non plus que, comme son père, sa fougue l’amène à rendre enceinte une autre jeune femme. Clara l’aimait trop pour ça, un amour obsessionnel et total. Tandis qu’elle le pompait, elle sentait ses pulsions remonter, comme si une digue cédait en elle, un barrage qui se fissurait totalement. Il avait joui une première fois, et elle soupira doucement en sentant sa main se serrer sur ses longs cheveux. Elle avait conservé sa beauté pour lui, inconsciemment, et elle le réalisait maintenant.

*C’est lui, l’homme que j’ai toujours aimé… Mon petit bébé devenu un grand garçon…*

Elle sentait sa belle verge grossir dans sa bouche, elle le voyait frémir, ses joues s’empourprant sur place. Ses mains se déplacèrent. Après avoir caressé les testicules de Vittorio, elle les posa chacune sur ses fesses, et s’appuya dessus. Ses doigts se crispèrent, et elle commença à onduler, d’avant en arrière. Son fils avait une belle verge, qui s’enfonçait dans sa bouche, jusqu’à sa gorge. Elle le pompait donc, serrant ses mains sur son cul, l’un de ses doigts se glissant contre sa croupe. Elle voyait le visage transi de Vittorio, le désir palpant dans ses yeux, dans tout son corps, dans toute sa chair. Oh ! Comme il était beau ! Elle continuait à le prendre, jusqu’à sentir le bassin de Vittorio remuer en harmonie avec elle, ses mains se crispant sur ses cheveux. Il essayait de tenir, et elle trouvait cela admirable, mais il manquait encore d’expérience. En revanche, son endurance était impressionnante, la fougue d’un jeune homme. Il soupirait longuement, et finit par jouir en elle.

Son orgasme vint au moment où Clara enfonça un doigt entre les fesses de Vittorio. Elle le glissa dans sa croupe, et déplaça son autre main, venant se masturber en glissant sa main sous sa robe,  et soupira doucement en sentant sa mouille suinter de sa culotte, tombant déjà sur le sol. Il jouit en elle, et elle se retira ensuite, avalant goulument ce sperme. Un sourire ravi sur les lèvres, elle prit son temps d’avaler le sperme devant lui, déglutissant bruyamment, puis se coucha en arrière. Elle s’assit sur le tapis rembourré situé sur le sol, et écarta les jambes, en lui montrant sa main imbibée de cyprine.

« Vittorio sera un gentil garçon, maintenant… Et tu fais mouiller ta Maman. Ton sperme est en moi, maintenant, et tu ne jouiras plus qu’avec moi. Ta Maman aime ton foutre, mon chéri… Viens goûter mon nectar, viens me lécher les lèvres, et viens te nourrir ensuite à la source, mon chéri… »

Re: Italian Love (PV)

Posté : 21 nov. 2024 02:05
par Chloé Faure
Vittorio avait écarquillé les yeux de surprise tout en se crispant sur place lorsque sa mère avait glissé son index dans la rondelle vierge de son anus, et contre toute attente, il en avait ressenti un certain plaisir. Ce doigt dans le cul alors qu'il se faisait sucer l'avait poussé à jouir, surprenant, mais certainement pas désagréable, il s'était même du coup relâché très copieusement dans la bouche de sa mère sur le coup, l'abreuvant de son sperme comme elle le désirait...et le méritait.

Oh Mamma...

Vittorio sembla peu à peu prendre conscience, après cette fellation divine doublée d'une légère pénétration anale par l'un des doigts fin de sa mère, que cette dernière devait bien avoir une imagination perverse au moins aussi grande que la sienne. Et si ça l'avait surpris indéniablement, il se surprenait également à ne pas avoir trouvé ça désagréable. Vittorio n'eut toutefois pas trop le temps de se pencher d'avantage sur la question, car Clara après avoir ostensiblement avalé tout son sperme sous ses yeux, bascula légèrement en arrière pour prendre place au sol sur leur tapis rembourré. Sa mère et...amante, écarta les jambes en prenant une position assise, tout en lui montrant les doigts de sa main qu'elle avait utilisée pour se masturber pendant qu'elle le suçait, et qui étaient couverts de sa cyprine. Elle lui demanda alors de venir s'occuper d'elle à son tour, ce à quoi Vittorio poussa un soupir avant de se déplacer.

Je suis là Mamma...

Vittorio se rapprocha et se mit à genoux à ses côtés, et pu enfin faire ce dont il avait envie depuis maintenant des mois...il posa ses mains sur les épaules de Clara, et approcha son visage du sien pour venir l'embrasser. Vittorio avait déjà embrassé des filles dans sa quête désespérée d'oublier ses désirs incestueux envers Clara, donc il savait plus ou moins y faire, et offrit à sa mère un long et langoureux baiser dont il avait depuis tellement longtemps l'envie. Il fourra de suite sa langue dans la bouche de sa mère pour faire un ballet avec la sienne, tandis que l'une de ses mains se déplaça sur l'un des seins de Clara pour l'empoigner. Cela aussi ça lui avait manqué, le contact de ses seins, tellement volumineux qu'on pouvait se perdre dedans. Avec son autre main, il se glissa dans son dos, et chercha la fermeture éclair de sa robe.

Tu dois te sentir à l'étroit dans tes vêtements celà dis...viens, enlevons les, moi aussi je veux te voir nue Mamma...

Il l'aida donc à se défaire de sa robe, assez rapidement. En dessous, Clara portait un beau body noir ainsi qu'une paire de collants en bas résilles. La mère de Vittorio portait beaucoup plus régulièrement ce genre de body, corsets et autre bustiers, que des soutien-gorges du fait de sa très grosse poitrine qui avait besoin d'être mieux soutenue, afin d'éviter des problèmes de dos.

Tu es si belle...

La voix tremblante par le désir qu'il ressentait, Vittorio vint l'embrasser dans le creux du cou, commençant à se rapprocher d'elle, tandis qu'il posa ses mains sur les deux fines bretelles qui retenaient le body au niveau des épaules de Clara pour les abaisser et les faire glisser le long de ses bras. Tandis que ses baisers descendaient progressivement le long du corps de Clara, ses mains suivaient pour retirer progressivement ce body noir et le faire glisser vers le bas. Ses seins finirent par être libéré du carcan solide dans lequel ils étaient, et à ce moment, Vittorio ne pu faire autre chose que de se jeter dessus. Il alla fourrer son visage entre les deux seins de sa mère en soupirant lourdement, heureux de pouvoir le refaire tant ses seins lui avaient manqué. Et tout en dirigeant juste après ses lèvres vers l'un de ses tétons pour le sucer, le jeune homme poussa de façon à faire basculer sa mère pour qu'elle s'allonge complètement sur le dos, tandis que lui vint s'allonger sur elle. Clara pourrait sentir la verge tendue de son fils au niveau de son ventre, tandis qu'il tétâit l'un de ses seins, pressait l'autre avec l'une de ses mains...et qu'il glissa l'autre entre ses cuisses pour aller carresser son intimité.

Oh Mamma je le sens, tu mouille si fort.

Vittorio n'était pas vraiment un expert pour caresser une fente intime féminine, alors il remua ses doigts dans une zone un peu générale, avant de finalement continuer à déshabiller sa mère. Il se redressa en se positionnant entre les jambes écartées de Clara, puis tira sur le body de façon à le faire glisser le long de ses belles jambes. Il ne lui laissa donc que ses collants, et demeura une petite poignée de secondes à observer le spectacle de l'intimité parfaitement épilée et humide que sa mère lui offrait, avant qu'il ne se rue dessus pour lui offrir ce cunni qu'elle lui réclamait, venant s'abreuver à la source...

Re: Italian Love (PV)

Posté : 21 nov. 2024 02:05
par Reine Alice Korvander
Vittorio était tout excité, et Clara l’était tout autant. Elle venait de faire jouir son fils deux fois, d’avaler son délicieux jus en grande quantité ! Ce liquide poisseux, collant, gluant… Elle aurait logiquement dû le trouver infâme, mais il était sans doute le plus doucereux liquide qu’elle ait pu ingurgiter de son vivant ! Tremblant d’excitation, elle vit Vittorio se rapprocher d’elle. Il s’assit à califourchon sur elle, sa verge trempée toujours dure, et se pencha vers elle, venant l’embrasser. Clara ne chercha nullement à le repousser. Au contraire, elle posa sa main sur la nuque de son fils, et l’embrassa avec ferveur. Elle se pressa contre lui, et renforça le baiser. Sa langue s’enfonça dans sa bouche, et elle déplaça son autre main sur le bas de son dos, pressant à nouveau l’une de ses fesses. Elle l’avait pénétré par là, presque spontanément, et elle avait sentit le corps de Vittorio se crisper, avant de jouir plus rapidement… De quoi lui donner des idées par la suite ! Mais, pour l’heure, son esprit était entièrement focalisé autour de sa verge, de son corps fougueux et juvénile.

« Mon chéri, je t’aime… » glissa-t-elle après ce long baiser.

Se montrant plus autoritaire et plus dominant, Vittorio tira sur sa fermeture Éclair située à l’arrière de sa robe beige, et, d’un mouvement d’épaules, elle l’aida à la retirer. Dessous, elle portait un solide bustier noir. Clara avait effectivement très peu de soutiens-gorges, car, vu sa grosse poitrine, il fallait des sous-vêtements solides pour les contenir, et pour qu’elle les porte plus facilement. Elle avait donc de multiples corsets, bustiers, et guêpières… Des sous-vêtements que Vittorio risquait désormais de voir très souvent ! Il vit donc ce bustier, et elle vit son regard s’éclaircir. Il tremblait sous l’excitation, mais Vittorio était bien décidé à faire ce que sa Mamma souhaitait. Quel gentil garçon ! Clara ne pouvait évidemment que l’aimer, c’était son fils, et il était donc parfait !

Doucement, nerveusement, il défit le body de Clara, qui frémit en le laissant faire. Les bonnets se retirèrent, et ses seins tendus se dressèrent fièrement. Le regard émerveillé de Vittorio n’échappa pas à Clara, qui l’imagina lui pincer les seins, les malaxer, et fourrer sa verge entre eux pour s’y masturber. La nature avait pour le coup magnifiquement doté Clara, et c’était en raison de ses seins que le père de Vittorio lui avait fait l’amour, en la pelotant là. Clara avait toujours été très sensible à hauteur de ses seins, et c’était aussi pour ça qu’elle portait des sous-vêtements lourds, pour les protéger.

« Vittorio, viens t’occuper de ta Maman… »

Et il vint donc ! S’allongeant contre elle, frottant sur sa peau, sa verge, Vittorio vint sucer son sein. Il l’embrassa, s’attaquant au téton, et, quand Clara sentit les lèvres douces et affamées de son fils sur son téton, elle soupira. Un frisson la traversa, et elle posa sa main sur ses cheveux. Les gestes étaient maladroits, fiévreux, mais Clara s’en moquait éperdument. Tout ce qu’elle sentait, c’était le plaisir immédiat qui l’envahissait. Un plaisir furieux, intense, qui ne demandait qu’à se développer davantage. Elle mouillait, ce que son fils lui fit observer, et qui amena sur les délicieuses lèvres de Clara un tendre sourire.

Vittorio continua ensuite à la déshabiller, tirant sur le body, découvrant lentement le corps de sa mère. Un corps voluptueux et parfaitement épilé… Une épilation au laser, qui lui assurait de ne jamais avoir à se raser. Elle écarta les jambes, et frémit en sentant le souffle de sa bouche sur son sexe. Sa main se serra nerveusement sur les cheveux de Vittorio, et elle enfouit sa tête contre ses cuisses. Clara appuya, et laissa sa langue se faufiler en elle. Il pouvait renifler sa chatte, la délicieuse odeur de sa mouille, son intimité, sa fleur secrète… Elle allait jouir contre lui. Elle le laissa faire, serrant et desserrant sa main sur ses beaux cheveux bouclés.

« Là, là, lèche encore, mon fils, mon petit chéri, ooohh… J-Je… Haaaaa… !! »

Elle soupira encore, et poussa un délicieux cri en succombant au plaisir suprême, en jouissant directement sur son visage !