The Multiversity

Les grandes histoires ont de petits commencements. Dans le cas de cette relation qui allait influer, c'était tout à fait vrai. Akimbo avait été rappelé pour ramener des éléments terriens à Nachtheim. Ishtar avait fait une liste, dont une caisse de lubrifiants fantaisies en tout genre mais aussi son péché mignon : le beurre de cacahuètes. Comme la dragonne payait généreusement, c'était toujours une bonne occasion de retourner là-bas. Bon, il allait moins s'impliquer vu que Theorem semblait avoir trouvé un autre "client préféré" et c'est cet évènement qui l'avait fait se remettre en question et travailler pour un autre. Mais quelque part ce moment avait aussi permit à Akimbo de découvrir que le dieu le plus à même de l'accueillir dans son giron était Moccus, le dieu porcin. A cette découverte, ses prothèses s'étaient adaptées et en prime il avait déjà fait des cochonneries avec Alexandre qui avait bien joué là-dessus. C'est d'ailleurs ce dernier qui lui avait dit d'accepter la mission pour Nachtheim et qu'il aurait peut être la chance de trouver un authentique Buta... Ce quiproquo du destin fit en sorte qu'il se retrouva au Manoir von Nacht pour la livraison pile le jour où Bouhta finissait de s'entretenir avec Ishtar pour le rachat de Theorem... Mais la dragonne avait été claire avec lui : Theorem avait gagné sa liberté et il n'était pas intéressé par quelqu'un d'autre. Ishtar ne mâchait pas ses mots dans ces cas là car, alors qu'elle signait le reçu d'Akimbo, elle s'adressait encore à Bhouta.

"Je ne vais pas dire et répéter. J'entend que votre appétit voulait découvrir Theorem, mais il restera hors de portée de votre influence et même s'il était encore à vendre, je n'ai jamais songé à accepter la revente. ... Mais bon, vu le chemin que vous avez fait, je vous offre le gîte. Akimbo va vous montrer les chambres d'amis... J'ai comme l'impression que lui aussi apprécie les cochons..."

Le changement de prothèses d'Akimbo n'avait pas échappé à Ishtar, même si elle ne lui adressa qu'un coup d'oeil furtif en lui rendant les documents signés et le bon de paiement. Sur ces mots, Ishtar quitta le couloir sans s'excuser et on l'entendit répondre à son téléphone pour demander à Alice de l'attendre dans sa chambre. Akimbo resta silencieux un moment en regardant Bhouta. Alexandre s'avait pour ce Buta qui allait se rendre à Nachtheim ? En tout cas le destin lui apportait l'occasion d'en savoir d'avantage sur la culture du peuple de Moccus. L'humain s'empressa de se présenter.

"Pardon, je me nomme Akimbo. Je ramenait des vivres de la Terre à l'Amirale Gouverneure. Et comme on est visiblement invités dans ce manoir, je sais où la maîtresse de maison accueil les visiteurs. Suivez-moi."

Akimbo marchait devant mais s'interrogeait. Bhouta était-il du peuple Buta ? Bon leurs noms étaient très proches, mais tout était possible. Pendant qu'il marchait dans les couloirs du manoir, Akimbo guida Bhouta jusqu'à une chambre non loin de l'accès au grenier. Il y avait une kitchenette et un lit. C'était un endroit très éloigné des activités du manoir et Akimbo se disait toujours que c'était là qu'Ishtar envoyait ceux qu'elle ne voulait pas trop voir. Akimbo alluma les lampes avant de s'asseoir sur une des chaises autour de la table centrale.

"Je m'interroge, Bhouta... Mais un masque et un vampire m'a indirectement conduit à vous rencontrer... Et j'imagine que vous êtes du peuple Buta... Le dieu Moccus souhaite m'accueillir dans votre clan et... Enfin ce serait trop fortuit pour moi de ne pas passer du temps avec vous. On peut passer du temps ensemble ?"

Cette phrase anodine pouvait probablement être mal interprétée, mais bon... La machine était lancée !

Bhouta avait fait un long voyage pour venir jusqu’ici, convaincu que Theorem était son Porcinet. Mais ses informations n’étaient finalement plus à jour. Il pensait que Theorem était toujours l’esclave d’Ishtar Naviento, mais elle lui avait assuré qu’il était libre, et qu’il menait une vie de prostitué. Bhouta en avait été assez agacé, et s’était rapproché de Chengzu pour pouvoir contacter Theorem. Il se disait qu’il pourrait toujours le recruter. Chengzu, le mari d’Ishtar, lui avait toutefois indiqué que ce n’était pas le cas. Quand Bhouta avait vu Chengzu, il était en compagnie de sa concubine, Mallaurie. Bhouta avait eu l’occasion de faire l’amour avec une autre amante de ce couple très ouvert, une belle blonde, Alice Korvander. Il lui avait fait l’amour avec force, et avait décidé de prolonger son séjour à Nachtheim. Il était donc revenu voir Ishtar, et avait eu droit à une chambre dans l’une des ailes du manoir.

*La Déesse ne m’a pas menti…*

Ishtar lui avait confié Akimbo comme guide. Bhouta sortit donc du bureau en latex de la Gouverneure, et croisa rapidement Akimbo.

« Salut, Akimbo… Moi, je suis Bhouta. »

Sa présence ne se justifiait pas que par la nécessité de trouver son Porcinet, Bhouta espérait bien ouvrir un restaurant ici. Mais sa priorité restait après tout de trouver son élu. Bhouta avait atteint l’âge où il devait commencer à procréer, mais, tant qu’il n’avait pas son élu, la chose était tout simplement impossible.  Absorbé dans ses pensées, il suivit patiemment le jeune homme. Ils rejoignirent une pièce assez éloignée du hall central, près du plafond. Bhouta observa lentement la pièce. Il y avait fort heureusement un lit grand et costaud. C’était après tout nécessaire pour permettre à Bhouta de s’y coucher. Il espérait bien en tout cas pouvoir se défouler sur la petite tête blonde qu’il avait baisé la dernière fois. Cette Alice était un sacré coup ! D’un autre côté, coucher avec des traps le motivait aussi, il était là pour ça.

Akimbo l’interpella alors. Bhouta le regarda lentement, surpris.

« Pardon ? »

Bhouta cligna des yeux à plusieurs reprises, et sembla alors vraiment s’intéresser à cet Akimbo.

« Tu veux rejoindre mon clan ? Je n’ai jamais entendu parler de toi, l’ami… Que sais-tu exactement du dieu Moccus ? Et qu’est-ce que c’est que cette histoire de masque ? »

Bhouta semblait quelque peu interrogatif devant les demandes d'Akimbo. Mais c'était à s'y attendre vu qu'ils ne se connaissaient pas. En plus cette histoire de masques et de vampires devait sembler quelque peu alambiquée. L'arpenteur comprit de suite qu'il allait devoir bien s'expliquer et fouilla dans son sac pour ressortir le dit masque de Moccus, prêté par Alexandre. Il le présenta à Bhouta sans plus d'inquiétude, se disant qu'il allait forcément réagir à la vue de cet objet.

"Je ne saurais dire d'où il provient exactement mais j'ai ressentit sa connexion. Je pourrais presque dire que j'ai sentit le regard de Moccus quand je l'ai enfilé. Mes prothèses mécaniques ont réagit à cet état émotionnel et sont devenus celles d'un cochon... Pour autant j'ai encore ce masque humain sur moi si on peut dire. Je ne demande qu'à connaître d'avantage votre société et évoluer si Moccus m'accepte."

Il finit par s'installer plus convenablement pour raconter son histoire de vie.

"Je ne prendrais pas beaucoup de votre temps, mais je suis partit à l'aventure il y a bien longtemps, en quête de moi-même. J'ai vécu parmi les Ushi dont j'ai hérité pas mal de ma tenue actuelle. Mais la divinité Gao Mata m'a ignoré. C'est même Malaurie, l'amante de Chengzu, qui m'en a parlé à l'époque. Déçu de cette déconvenue, j'ai tout recommencé et j'ai vécu parmi les Same. C'est comme ça que j'ai obtenu le Proteus, mon submersible. Mais la déesse des mers Mami Wata est une entité versatile et elle m'a finalement rejetée après autant de vie chez eux. Par curiosité je suis arrivé à Nachtheim pour découvrir les peuplades Ryu et Haiena, mais finalement, perdu et indécis, j'ai prit du recul et j'ai travaillé pour Alexandre Dowell. Mon paiement, comprendre enfin pour qui j'était destiné chez les dieux animaux. Il a fallut que le dieu Moccus soit le seul à répondre favorablement à ma demande et voila que je vous rencontre totalement fortuitement... Je ne veux pas laisser cette occasion passer."

Après ce monologue assez concis et précis de la situation d'Akimbo, il se déplaça pour s'asseoir à côté du cochon pour se mettre à côté de lui dans le lit. La thymie générale d'Akimbo était assez basse mais on sentait qu'il avait un rebond vital depuis quelques heures qui ne cessait de s'accroître. Au lieu d'un homme abattu par les refus, c'était quelqu'un d'assez positif et enjoué par ce changement qui parlait avec Bhouta, voir un peu excité.

"Je veux tout savoir de votre culture, la découvrir et peut être un jour réaliser ma connexion divine et enfin obtenir de véritables attributs. Mais je ne pourrais pas faire cette découverte seule... J'ai besoin d'un guide pour cela... Vous accepteriez ce rôle ?"

C'était sans détour, mais il en avait réellement envie...

Bhouta devait bien admettre qu’il n’avait pas vu venir cette rencontre ! Déçu de sa rencontre avec Ishtar, du fait de ne pas pouvoir même voir Theorem, il se retrouvait avec Akimbo. Il n’avait jamais entendu parler de ce dernier, et il attrapa le masque de Moccus qu’Akimbo lui tendit. Bhouta l’examina lentement, et sentit rapidement qu’il s’agissait bel et bien d’un artefact divin, puissant. Akimbo lui expliqua avoir côtoyé plusieurs divinités à la recherche de ce qu’il était supposé faire, et que sa quête l’avait finalement amené sur la route du dieu Moccus. Surpris, Bhouta n’était toutefois pas encore au stade de se dire qu’Akimbo pouvait être son porcinet. Néanmoins, si Akimbo était là, c’est qu’il devait être important pour Ishtar, et qu’il pourrait donc peut-être faire un échange mutuel avec lui, profitable aux deux parties.

« Hum… Eh bien, votre histoire n’est pas banale, Akimbo, ça c’est sûr. Moi, je suis Bhouta, je viens de Volony, car Mocca m’a dit que je trouverai ici mon porcinet. C’est… Hum… Je dirige une ferme importante à Volony, et le porcinet est l’élu, l’amant qui me permettra de procréer, et ainsi d’assurer ma descendance, et la continuation de mon savoir. Malheureusement, Ishtar n’a pas envie que je le vois. Je ne sais pas exactement ce que je peux faire pour toi, Akimbo, mais j’accepte d’être ton guide, si je parviens à avoir une entrevue avec Theorem. Je souhaite lui exposer la situation, et voir s’il sera prêt à me suivre. J’ai trop investi pour être congédié aussi inélégamment. »

Peut-être que Theorem refuserait. Alors, Bhouta aura vraiment tout essayé, et ne pourra que se convaincre qu’il était tombé sur le mauvais choix. À ce stade, il ne songeait pas du tout qu’Akimbo puisse être la personne qu’il recherche. Il avait davantage le profil d’un aventurier que d’un soumis, et, après tout, Bhouta n’avait pas encore renoncé à Theorem.

« Alors, voilà mon marché, Akimbo… Débrouille-toi pour m’accorder un rendez-vous avec Theorem, et je t’enseignerai tout ce que tu souhaites voir sur le culte de Mocca, Volony, ma ferme… Enfin, tout ce dont je dispose, quoi. »

Akimbo avait l'impression de patiner un peu mais il allait rendre ce service à Bhouta histoire d'avoir quelqu'un pour l'introniser au sein des Buta. Il n'avait pas le choix d'accepter après tout s'il voulait avancer. Cela lui prit quelques jours mais il parvint à avoir une entrevue entre Bhouta et Theorem. Ce dernier avait accepté de faire ce cadeau à son ancien favoris. Le Haiena s'attendait à un truc formel, quelque chose en lien avec les travailleurs de la colonie, mais pour lui c'était une énième proposition de fan pour copuler. Theorem n'était pas disposé ce jour là à le faire avec beaucoup d'entrain. Il resta néanmoins professionnel et Bhouta en eut pour son argent. Une nuit de débauche un peu classique et quid délesta son client de 200Ke pour le tour de manège. Quand enfin ce fut terminé, Theorem lui signifia ne pas être disponible avant plusieurs mois avant de partir prendre une bonne douche. Ce ne fut que le soir-même qu'Akimbo se disait qu'il allait tenter les choses avec son nouveau mentor.

Assis dans la chambre voisine, l'humain modifié sentir le stress monter. Bhouta allait il le rejeter ? Au contraire, allait il aimer ce qui allait se passer ? Akimbo n'était pas taillé pareil que le femboy qu'il voulait côtoyer. Mais il allait mettre toutes les chances de son côté. Après une bonne douche et une crème dépilatoire, il enfila soigneusement ses longs bas en latex rose confiés par Alexandre Mc Dowell avant de mettre les longs gants qui allaient avec. Le latex rose, probablement du lapoxinyle également, s'adaptait parfaitement à sa morphologie et créait des vagues lumineuses sur les plis. Il se fit le plus présentable possible avant de mettre son collier et le nose hook qui retroussait ses narines et transformait son visage humain en facies porcin. Une fois changé, il installa dans son postérieur un plug anal pour le préparer au calibre de son amant. Sa cage de chasteté cochon complétait le tableau alors qu'il entendait presque son coeur battre dans sa poitrine. Le stress montait sérieusement alors qu'il posa sa main sur la poignée de la porte de sa chambre. Akimbo savait qu'après cela, il ne pourrait plus revenir en arrière. Finalement il le fit et vint toquer à la porte de la chambre d'Bhouta. Il priait intérieurement qu'aucune servante ne passe dans le couloir à ce moment là mais quand la porte s'ouvrit, il se prosterna soudainement en dogeza devant Bhouta, n'osant presque pas regarder sa réaction.

"J... Je suis ici pour que vous honoriez votre part du marché, Maître Bhouta... Je serais votre truie pour cette nuit, humble et repentant, oink oink !"

Le discours préparé fut un peu expédié et il se disait qu'il sonnait mieux dans sa tête... Mais maintenant il ne pouvait plus faire marche arrière. Soit son maître le congédiait, soit il explosait de rire, soit il sentait son pied sur sa tête et il était invité à entrer...

Dire que Bhouta était déçu était assez vrai. Ce séjour à Nachtheim ne s’était pas passé comme prévu, et l’amenait à se demander s’il n’avait pas mal interprété les messages de sa Déesse. Sa nuit avec Theorem avait eu un goût âcre dans la bouche. Theorem n’était nullement intéressé par sa proposition, et lui avait fait l’amour mécaniquement. Bhouta en était ressorti plus frustré qu’autre chose, mais s’était encouragé à attendre encore un peu. Une attente qui lui avait permis de coucher à nouveau avec Alice. Mais, dans cet environnement de latex, Bhouta faisait un peu tâche, avec son corps massif. Il s’apprêtait donc à repartir, mais, le jour de son départ, le trajet avait été reporté en raison d’une tempête. Agacé, Bhouta avait pu consulter les terminaux informatiques de Nachtheim, mais n’avait rien trouvé de particulier en consultant ces vieux écris verdâtres à la police d’écriture criarde. C’est donc le dernier soir que Bhouta fit finalement une rencontre à laquelle il ne s’attendait presque plus.

Il avait eu l’occasion de repenser à Akimbo pendant son séjour, au fait que l’homme connaissait le culte du Dieu Moccus, et possédait un masque sacré. Bhouta buvait donc une bière en songeant machinalement à tout cela quand on sonna à la porte de sa chambre. Surpris, l’homme se dirigea vers la porte, et haussa les sourcils quand il vit, devant lui, le bel Akimbo… Celui-ci portait désormais un ensemble rose moulant avec des bas et des collants, et surtout un nez de cochon, cet artifice que certains humains, un crochet qu’on glissait dans les narines pour les aplatir. Le sujet parlait alors d’une voix nasillarde, proche de l’accent des Buta, même si Bhouta avait une voix plutôt gutturale. Tenant toujours sa bière à la main, il observa le jeune homme, un peu surpris.

« Mon marché ? »

Sur le coup, Bhouta ne vit pas à quoi il faisait référence, avant que la mémoire ne lui revienne.

« Ah ! Oui, bien sûr… Entre donc, mon joli… »

Ce soir, il avait initialement souhaité être avec Alice, s’offrir une dernière baise avec cette blonde chaude comme la braise, car Ishtar était de sortie. Mais elle était en compagnie de Chengzu ce soir. Bhouta referma la porte derrière Akimbo, et contempla sa minijupe, notant une pointe qui en ressortait. Il portait un plug anal, ce qui le fit brièvement sourire, tout en réchauffant sa verge.

« Ma truie, hein ? Je croyais que tu voulais juste des connaissances… Comme tu le sais sans doute, ma rencontre avec Theorem a été décevante, et je sens que je n’ai rien à faire ici. Mais je dois te prévenir, mon joli… Avec une telle tenue, tu me donnes furieusement envie de te baiser, et… Tu dois savoir que, une fois que je me lance… Je me lance. »

Bhouta le prévenait, en toute amitié. Il se rapprocha d’Akimbo, et attrapa avec sa main épaisse son menton, relevant sa tête.

« Tu as une seule chance de sortir d’ici, Akimbo. Sinon, je compte bien épancher toute ma frustration sur toi, et te baiser comme on t’a jamais baisé…Faire de toi ma truie, ma petite pute… ! »

Akimbo s'était offert à Bhouta avec l'intime conviction que c'est ce que désirait le Dieu Moccus. Bien entendu, en tant que simple humain, il n'avait pas encore la capacité de prier ou d'échanger avec sa divinité. Tout ce qu'il avait, c'était ce masque sacré qui l'avait guidé ici. Le système informatique corrompu de son pip boy semblait afficher un cochon. Tout l'OS avait changé pour montrer cette étrange mascotte. Il pensait à un guide envoyé par Moccus, mais avant de pouvoir se connecter à son projecteur holographique, il fallait déjà renforcé son lien avec le dieu porcin. Et son maître lui avait été tout désigné : Bhouta. Quand enfin l'homme cochon l'empoigna pour lui faire bien comprendre que sa seule chance de faire demi-tour, c'était maintenant, son regard se porta machinalement sur la porte. Il fit quelques pas vers la sortie. Le pallier était juste là... Il lui suffirait d'ouvrir, de sortir, de revenir à sa vie d'Arpenteur et de peut être espérer la réponse d'une autre divinité animale. Sa main un peu fébrile se posa sur la poignée...

"J'ai fait mon choix... Maître Bhouta."

Sa main descendit plus bas et de sa main gantée de latex rose, il tourna la clé dans la serrure de la porte, la verrouillant. Il se retourna face à son interlocuteur avant de poser ses mains derrière sa nuque et de plier les genoux en écartant les cuisses, exposant totalement son corps.

"M.. Moi... Maximo Jabali, dit Akimbo l'Arpenteur... J'implore le Maître Bhouta d'Arcadia, de... de me prendre comme truie... Et de faire de moi un authentique Buta. Oink oink !"

Akimbo c'était renseigné comme il avait put de la culture Buta. Il avait découvert que certaines postures devaient être faites, certaines tournures de phrase et surtout se montrer aussi humble que possible. Il savait qu'après cette tirade, il ne pourrait plus faire marche arrière. mais au delà du sexe et de la décadence qui l'attendait, il allait surtout découvrir la société des Buta qui avait connu une quasi extinction. Mais là, il allait devoir faire preuve de dévotion et son Maître allait pouvoir étancher sa soif de sexe comme il le voulait désormais. Akimbo s'était préparé, mais ses rares relations avec des hommes se limitaient à Chengzu. Cependant il avait déjà découvert à l'époque qu'il aimait les jeux un peu intensifs. Il n'y avait plus rien à ajouter, juste à encaisser et y prendre le plus de plaisir possible !

Ce retournement de situation était franchement inattendu. Bhouta considérait Akimbo avec surprise, et, quand le jeune homme se prosterna sur le sol, croisant les mains derrière sa tête, Bhouta sentit un fourmillement le traverser. Se pouvait-il qu’il se soit trompé depuis le début ? Peut-être avait-il finalement bien compris le message de la Déesse Mocca, mais en s’étant trompé sur la personne ciblée ? Bhouta sourit donc lentement en se rapprochant d’Akimbo, et défit son pantalon. Il se déshabilla assez rapidement, exhibant son corps nu et massif. Un vrai colosse, une masse de chair qui avait de quoi légitimement faire peur. Akimbo semblait en effet si petit en comparaison à ce colosse… Bhouta attrapa sa verge, et la redressa, pour la pointer vers Akimbo.

« Faire de toi un Buta, hum… Nous verrons bien si tu es capable de l’endurer. Il existe certains rituels, des bénédictions que la Déesse Mocca peut accorder aux humains. »

Un rituel que Bhouta pratiquait régulièrement dans sa porcherie, sur les personnes qui étaient dignes de faire partie de sa famille.

« Alors, montre-moi ta dévotion… »

La verge rose de Bhouta était épaisse et solide, formant une belle barre qui remontait contre son ventre. Il s’écrasa contre le visage d’Akimbo, ses bourses heurtant la tête du jeune homme. Pour lui, il n’y avait plus aucune échappatoire. Serait-il digne de surmonter le rituel ?

« Suce-moi bien comme il faut, Akimbo… Montre-moi ta dévotion aux Butas… Ne néglige rien de mon sexe, lèche mes bourses aussi… Montre-moi ! »

Akimbo se retrouva rapidement face à une verge dépassant de loin ses critères personnels. Elle était massive, odorante, lourde et déjà en semi érection. Posée sur son crâne, il ne put s'empêcher de penser que son ancien amant Theorem avait dut en sucer beaucoup plus que lui et des calibres plus imposants encore. Devant ce défi qui serait loin d'être son dernier, l'arpenteur commença à le prendre doucement en main, jugeant devant lui de l'imposant sexe. Il positionna ses mains de manière à avoir une soupesant ses bourses et l'autre sur laquelle son gland reposait dans sa paume recouverte de latex rose. Avec son nez ouvert par le nose hook, il prit une inspiration de ce pénis de porc, sentant son odeur de mâle et... ça avait quelque chose d'excitant. En tout cas il réagissait aux odeurs de mâles de Bhouta qui, même s'il ne négligeait pas son hygiène, ne pouvait pas cacher son odeur corporelle longtemps à cet endroit. Akimbo se montra délicat et commença plusieurs inspirations sur ce sexe comme s'il s'agissait d'un rail de coke avant de le couvrir de baiser et de coups de langues. Cela fut suffisant pour le rendre tout dur et imposant. Ne pouvant se fier qu'aux nombreux hentai qu'il avait vu relatifs aux Buta et aux quelques pornos, il improvisait totalement, espérant que Bhouta réagirait favorablement. Il décida de reproduire une scène de ces nombreux hentai et se plaça face à son dominant, les mains croisées derrière sa tête, les cuisses écartées mais les hanches pliées, les genoux fléchis, exposant son corps à son dominant. Ne portant que ses bas et ses gants de latex rose, c'était surtout sa cage de chasteté rose en forme de cochon qui s'agitait quand il fit danser ses hanches. Son corps en sueur invitait au vice devant Bhouta.

"Je sais désormais que je suis une salope porcine que seule une grosse queue peut désormais faire jouir. C'est pourquoi je fais ma danse sexuelle pour vous, Maître Bhouta, Oink oink !"

Voila qui était des plus dégénéré, mais Akimbo ne pouvait plus reculer, ni faire demi-tour. Le sexe en érection de son dominant laissait comprendre qu'il réagissait positivement à cette scène. Une fois bien chaud, Akimbo se positionna bien devant ce pénis et commença l'entreprise de l'avaler. Les mains posées sur les cuisses de Bhouta, il débuta par prendre son gland qu'il entoura de ronds avec sa langue avant de mieux positionner sa tête. Alignant sa gorge avec son corps, il fit d'abord des vas et vient pour que sa bouche serve de vaginette à son amant... Puis il essaya plus profond. Le réflexe vomitif ne tarda pas à se montrer, mais Akimbo avait probablement l'aide de sa future divinité car les relants ne le stoppa pas. Il avala d'avantage de son sexe avant d'écraser son nez retroussé contre son pubis. Il resta une poignée de seconde avec ce sexe dans la gorge, le groin dans ses poils pubiens avant de se retirer doucement pour laisser un pénis tout dur et couvert de salive devant lui. Akimbo répéta l'opération plusieurs fois, sentant ce sexe pénétrer sa gorge alors qu'il mimiquait au mieux les prostitués des scènes de porno qu'il avait vu. Mine de rien, cela était rapidement épuisant car au bout de dix minutes de fellation intensive, il était déjà bien épuisé au niveau de la mâchoire, mais il était surtout terriblement en chaleur. Ce mâte brillant de salive devant lui, Akimbo ne put se retenir plus longtemps, il était temps de salir son corps et son âme à jamais.

"Maître Bhouta, baisez-moi comme une truie, par pitié... Faites de moi votre esclave... Oink oink..."

La messe était dite... Le châtiment allait arriver...

Bhouta allait se faire plaisir avec Akimbo. Il était encore un peu sous le choc, car il se demandait si Akimbo était bel et bien celui qu’il était venu chercher. L’engouement du jeune homme ne faisait aucun doute, et Bhouta le vit se mettre en position, astiquant son membre en ne s’aidant pas de ses mains. Il les serra derrière sa nuque, et palpa son sexe, avant de vraiment s’y attaquer. Bhouta le regarda faire, et dut bien admettre… Qu’il était doué ! Bhouta n’était pas un expert en la matière, loin s’en faut. Il avait de l’expérience, bien sûr, mais il devait bien admettre que la manière dont Akimbo le suçait était… Divine. Il soupirait longuement, laissant Akimbo agir sur lui. Sa main serrait sa tête, mais sans trop appuyer. Il n’insistait pas, préférant le laisser agir.

« Hmmm… Ouais, comme ça, oui, continue, mon mignon… »

Après avoir astiqué, léché et embrassé sa verge, Akimbo finit par le prendre en bouche. Cette queue épaisse rentra dans sa bouche, et il enchaîna, optant pour une gorge profonde, arrachant à Bhouta de profonds soupirs. Le puissant homme-cochon soupirait longuement à ce contact, et le laissait faire, encore et encore. Bhouta grognait, soufflant longuement. Avec sa truffe, ses soupirs étaient assez nasillards, puissants et prononcés. Finalement, Akimbo l’avait bien excité, et, quand il demanda à ce que Bhouta le baise, le sang de ce dernier ne fit qu’un tour. Il grogna.

« Fous-toi à quatre pattes, mon joli ! »

Il se mit en position, et sentit les mains épaisses de Bhouta palper son corps. Dans un grognement, il approcha sa verge de son cul. Le petit corps d’Akimbo semblait encore plus mince sous le ventre massif de Bhouta, qui se plaqua sur son corps. Bhouta appuya dessus en soupirant, et grogna encore. Sa main se serra sur le cou d’Akimbo, l’étouffant à moitié. Impossible de voir quoi que ce soit, alors il se guida, et enfonça son membre dans le fondement d’Akimbo. Bhouta grogna lentement à ce contact, et commença à vraiment le prendre, accélérant en lui, grognant et bavant… Un véritable animal en rut !

C'était sa première fois en tant que pig. Bien entendu, Akimbo anticipait beaucoup. Il savait qu'au bout du compte, Moccus allait forcément poser son regard sur lui à un moment. Quand le gland dur et humide du Buta se posa sur sa rondelle, l'Arpenteur ne put réprimer un petit couinement à peine audible. La main puissante de son Maître enserra sa nuque, le faisant un peu suffoquer. Ces quelques ultimes secondes avant de se faire sodomiser par cet imposant dominant se passèrent pendant qu'il luttait pour respirer un peu, si bien que quand son calibre poussa sur sa rondelle, ce furent des gémissements et des gasp un peu étouffés qui sortirent de sa bouche. Sentant le poids imposant du dominant sur son dos, ça ne mit pas longtemps pour que cette force se retrouve à pilonner son postérieur. Bhouta était large et imposant, dans tous les sens du terme... Ainsi, son cul ouvert et remplit à l'extrême se retrouva rapidement assaillit, défoncé plus fort qu'il ne l'avait jamais été. La poigne de son maître ne s'était pas amoindrit, au contraire... Il y mettait encore plus de force maintenant qu'il était lancé. Akimbo se faisait baiser si dur et de manière si intensive que son esprit perdait peu à peu pieds dans cette réalité pour ne s'enfermer que dans ce tourbillon de sensations inédites et intensives.

"Akhhh... Guuuh... Ghnnn..."

Akimbo ouvrit la bouche pour prendre le plus d'air possible et sa langue pendait de cette bouche grande ouverte. L'oxygène s'amenuisant tout en se faisant durement prendre le fondement. Il prenait cher, très cher. C'était la baise la plus intensive de sa vie et la plus physique. Mais quelque chose grimpait dans son être. Une sensation remontait le long de sa colonne vertébrale, gonflant, enflant à chaque vas et vient. Son sexe en cage de chasteté avait prit du volume mais il ne semblait plus être si important que ça. Sa sexualité résidait ailleurs actuellement. Son esprit embrouillé dans ce sexe décadent et primitif s'entortilla autour de sa simple idée de devenir la salope de Bhouta, sa Truie. Il serra ses mains sur les draps du lit, ses pieds s'étirèrent au maximum avant que son corps ne s'abandonne totalement à la luxure de cet instant. Ses yeux roulèrent vers le haut alors que cette sensation grandissante ne remonte jusque dans son cerveau, tapant l'arrière de sa tête en une vague de chaleur intensive et électrique. Son gémissement fut plus fort encore car, hasard des choses ou volonté divine, la semence brûlante du Buta inonda son postérieur en simultané. Akimbo en poussa un cri bestial, porcin...

"Buhiiii buhiiiiiii !"

Gruinkant comme un porc, le corps perclus de cette électricité orgasmique, sa vision brouillée par le manque d'oxygène, il redevint rapidement mou dans les bras de son dominant. Le souffle court, en sueur, souillé dans son corps et dans son être, il reprit doucement son souffle avant que les ultimes secondes de brouillard laissèrent la place à la soudaine réalisation de ce qu'il venait de faire. Cet orgasme assez unique en son genre avait été terriblement intense mais ne l'avait pas satisfait pour autant. Ce ne le rendait qu'encore plus salope. Quand son esprit redevint normal, il ne put échaper à cette pensée qui l'envahissait : il était bel et bien devenu la truie de Bhouta. Il poussa un gémissement de soudaine réalisation avant que la chaleur que ressentait son corps ne l'inonde à nouveau. Akimbo se plaça sur le dos, écartant les cuisses en levant les jambes, exposant son anus grand ouvert surmonté par son sexe en cage de chasteté. Akimbo savait qu'il allait abandonner toute humanité, alors autant le faire avec panache pour exciter un maximum son partenaire.

"Oink oink !"

Couina-t-il comme un porc, attirant son dominant par ses gémissements et ses appels de truie. Mais cette fois, en missionnaire, face à son maître...

Comme Akimbo pouvait s’y attendre, la nuit qui s’annonce promettait d’être sportive. Bhouta ne savait pas s’il aurait l’endurance surréaliste d’une Ishtar, mais il allait tout de même faire de son mieux pour montrer à Akimbo qu’il était, lui aussi, un dominant ! Le fait est que Bhouta était gros. Plusieurs centaines de kilos qui remuaient dans le dos de l’homme. Cela faisait son petit effet. Certes, son aspect physique était assez impressionnant, voire repoussant, mais, quand il s’agissait de tringler quelqu’un dans tous les sens, il était redoutable dans ce domaine ! La jeune Princesse de Sylvandell en avait fait les frais, et il comptait bien faire subir à Akimbo toute la frustration accumulée depuis qu’il était ici !

Pour Bhouta, il était impensable qu’Akimbo tienne longtemps la cadence, car, même si l’homme-porc se promettait parfois d’y aller doucement, le naturel finissait toujours par revenir. Il commença donc par une sodomie puissante et douloureuse, intense, et où la base de sa verge se contracta, formant un redoutable nœud pénien. Il grogna encore, soufflant longuement, et continuant son office, empêchant Akimbo de s’écraser sur le lit en le retenant par le cou, ou par les cheveux, ou en enfonçant ses gros doigts boudinés dans sa bouche, tirant dessus en arrière, arrachant ainsi à l’homme des mugissements.

« Gnnn… Grrrroonnnn… »

Avec son museau, Bhouta poussait de longs soupirs gutturaux, et commença à user de son autre main pour donner de grosses claques.

« Je vais te faire rougir le cul, mon joli ! Tu voulais que je te défonce, hein ? Les humains, vous pétez plus haut que votre cul ! Au fond, vous n’êtes que des petits cochons roses qui aiment couiner ! Grrrrroooonnnn… !! »

Les coups de reins étaient amples, puissants, et c’était sa masse qui se déplaçait, faisant trembler et grincer le lit. La sueur de Bhouta, épaisse, commençait à jaillir de son corps, mais rien ne semblait devoir l’arrêter. Akimbo n’était plus qu’une poupée de chair, la pièce se rythmant par les coups de reins de Bhouta, par les bruits saccadés et spongieux de sa verge porcine qui s’élançait dans le cul d’Akimbo, dilatant et déformant son postérieur.

« Ton cul s’ouvre si facilement… Ça, c’est le cul de quelqu’un qui aime se faire dominer ! Tu es mon petit cochon à moi, hahaha ! »

Si Akimbo avait espéré de la douceur de la part de son amant, il allait vite déchanter. Brutal et intense, Bhouta comptait bien le pousser dans ses derniers retranchements. Il ne jouit qu’au bout de trois quarts d’heure, ce qui défit alors son nœud, et inonda avec appétit le cul de son amant, puis le relâcha.

Akimbo s’affaissa sur le lit, et Bhouta, qui s’attendait à ce que ce soit fini, commença à allumer une cigarette. Il la fuma en respirant lourdement, et se masturba encore, jouissant encore quelques giclées sur le cul élargi et le dos de l’Arpenteur. Il sortit ensuite un trait noir, et inscrivit le mot : « PÉDALE », sur son dos. Puis, il mit un trait noir sur ses fesses, symbolisant sa première jouissance.

Son partenaire se retourna alors, et écarta les jambes en relevant le buste, implorant une deuxième saillie. Bhouta sourit lentement en continuant à fumer, et exhala de longues traînées de tabac par ses narines. Un tabac fort, infernois, doucement aphrodisiaque aussi.

« Alors, comme ça, t’es gourmand, hein ? »

Bhouta renâcla, et attrapa les jambes d’Akimbo, puis les poussa en avant. Il releva ainsi le bassin de son amant, et put le sodomiser à nouveau, tout en rabattant totalement ses jambes, entamant un second rodéo encore plus intense et savoureux que le premier…

« Tâche de ne pas tomber dans les pommes trop vite, haha ! »

Akimbo s'ouvrit totalement pour son dominant. Le sexe fut brutal et intensif. La baise avait quelque chose d'animal, de bestial et Bhouta ne manqua pas à sa réputation. La nuit de sexe pour l'Arpenteur allait devenir quelque chose de paradoxalement coincé entre enfer et paradis, entre douleur et plaisir, quelque part dans un torrent émotionnel dont il peinait à garder la tête hors de l'eau. Le sexe avait prit une nouvelle dimension pour l'humain modifié aujourd'hui. Il avait l'impression qu'à chacun de ses orgasmes, il perdait un peu plus de cette humanité pour l'empoisonner de la bestialité porcine. Et pour le coup, Bhouta injecta beaucoup de choses en Akimbo ce soir là. Entre les levrettes violentes, les missionnaires dont Akimbo n'avait que l'image de son dominant devant lui, et dont il essayait de tempérer le rythme en plaquant ses mains sur sa poitrine, il devait se résoudre à une suprême soumission. A peine la baise débuta son second rodéo que le cowboy perdit totalement trace du temps.

"Haa ! Buhii ! Daddy Bhouta... Haaaan !!"

Il trouva cependant l'énergie de l'embrasser pendant l'acte, roulant sa langue avec la sienne avant de serrer ses jambes gainées de latex rose autour des hanches massives de son dominant. Ses mains gantées contre les pectoraux de ce dernier ne lui servait qu'à se retenir mais bientôt il les passa dans le cou de son dominant pour se tenir mieux. La baise évolua en des dizaines de positions plus avilissantes que la précédente. Le temps fila plus vite que les orgasmes et quand l'horloge murale indiqua déjà le petit matin, il n'était plus qu'une loque couché sur un lit de latex imbibé de leurs sueurs et de leurs baises. Le corps marqué par les poignes de son homme, formant des motifs de mains autour de ses épaules et de ses cuisses, des quelques suçons, ecchymoses et autres témoignages de ce sexe intensif, il restait également les tâches de fluides et les marquages dont certains partiellement effacés des insultes sur son corps et du compte des orgasmes de son maître. Akimbo se redressa doucement, n'ayant que des souvenir de sexe bestial avant de sentir la douleur et la fatigue de cette nuit de folie. Fourbu, il se dirigea vers la douche en remarquant que son maître n'était pas là, mais il avait souvenir qu'il lui avait dit descendre en cuisine pour manger. Il entreprit de mettre une robe de chambre, sentant l'envie de le rejoindre... par addiction ? Il sortit dans le couloir avec inquiétude vu son état, regardant dans les couloirs avant de rapidement aller vers la cuisine. Il ne put que rougir comme une pivoine en croisant Chengzu, lui qui l'avait initié à ça. Il n'osa pas croiser son regard en passant rapidement avant de finalement arriver à la cuisine. Là il trouva vite Bhouta le nez dans le frigo industriel qui contenait les denrées. Akimbo interpella son dominant par une toux discrète avant de s'approcher de lui, ouvrant sa robe de chambre pour montrer son corps souillé et marqué, toujours dans son latex rose qui enserrait ses jambes et ses bras, son nez retroussé par le nose hook et son cou serré par un collier.

"Maître... C'était vraiment bon... Je... Je peux savoir quand vous allez faire de moi un vrai Buta ?... On va devoir partir ?..."

Il ne savait pas que Bhouta ne faisait que le plein de nourriture...

Et Bhouta le baisa donc toute la nuit ! Son endurance exceptionnelle avait de quoi rivaliser avec Ishtar. Bhouta était d’autant plus puissant dans le sexe que quand il avait bien mangé. Un véritable appétit de cochon, et pour cause ! Si certains aimaient la diététique, ce n’était clairement pas avec Bhouta qu’ils s’épanouiraient ! Autant il aimait bien manger, autant il baisait avec force. Plus le temps passait, et moins Bhouta était humain, baisant Akimbo de manière méthodique, sauvage et brutale. Il grognait, son groin soufflant longuement tandis que, inlassablement, Bhouta baisait Akimbo avec force. Il commença par une classique lévrette, qu’il termina en écrasant Akimbo sur le lit. Ses énormes mains s’aplatirent sur les petites mains d’Akimbo, et il le prenait en grognant et en ricanant dans son dos, son énorme ventre appuyant sur le bassin d’Akimbo, le clouant au lit (image d’illustration).

« Gnnnn, ce que t’es étroit, ma petiote fiote… Héhé… Gruuuiik !! »

Bhouta grognait, poussant des cris aigus, des grognements furieux d’une bête en rut. Sa solide verge n’était pas forcément extrêmement longue, mais elle était surtout très épaisse. Bhouta le prit comme ça, serrant ses cheveux dans sa main, tirant dessus pour relever son amant, frottant sa truffe contre son visage. Il jouit comme ça, étouffant à moitié Akimbo, puis le retourna ensuite. Le jeune homme semblait sonné, et Bhouta prit soin de prendre un feutre noir, et de marquer de premières inscriptions sur son torse, en ouvrant à chaque fois la combinaison rose. Il écrivit un nerveux « TAFIOLE » avant de soulever les jambes d’Akimbo.

La position de l’enclume eut ensuite lieu. Les jambes d’Akimbo se rteplièrent sur le lit, et Bhouta le prit comme ça, toujours allongé, en léchant son visage, et en l’embrassant ensuite. Le jeune homme remuait d’avant en arrière, en sueur, ses lunettes remuant sur son nez. Bhouta ricana en le masturbant.

« Tu as une petite queue de porcinet… »

Il le masturba jusqu’à le faire jouir, continuant à salir Akimbo. Une deuxième injure manifesta le second orgasme de Bhouta, un gros « SODOMITE » sur le torse. Bhouta profita ensuite du regard vague d’Akimbo pour lui mettre sa cage de chasteté. C’était celle qu’il destinait initialement à Theorem, et le fait de la lui mettre n’était pas totalement innocent.

« Ne t’endors pas trop vite, la nuit est encore loin d’être finie… »

Akimbo se retrouva ensuite jeté au sol, et dut sucer l’épaisse verge de Bhouta. Il sentit la grosse main du phacochère serrer ses cheveux, tirant dessus. Bhouta le laissa le sucer, puis amplifia progressivement le rythme, jusqu’à enfoncer sa trique au fin fond de sa bouche. C’est là que l’homme-porc se mit à jouir à nouveau.

« Tu es mien, Akimbo, ma petite pute rien qu’à moi… »

Bhouta le dégrada. Il urina sur ses lèvres après ce troisième orgasme, et inscrivit sur son torse en diagonale le mot « PEDALE ». Ensuite, Bhouta commença à le prendre debout. Il souleva le jeune homme, et le projerta contre le mur. La paroi trembla, et Akimbo fut pris par l’arrière, où il put hurler fort, maintenant que son ventre n’était plus comprimé.

« Tu cries comme une petite fille, hahahaha !! Si des servantes nous entendent, elles vont croire que je te torture, hihi !! »

Bhouta le prit contre le mur, et jouit encore en lui. Sa libido semblait sans fin, et Akimbo glissa ensuite sur le mur pour s’affaler au sol.

…

Quand il en eut fini, l’aube se levait sur Nachteim. Le lit avait tenu le coup, signe que les lits ici étaient renforcés. Bhouta fumait tranquillement sur le rebord du lit, tandis qu’Akimbo fixait avec un regard béat le plafond. Bhouta venait de prendre une brève douche, insuffisante pour effacer l’odeur de sexe, mais qui lui avait permis au moins de s’habiller.

« Quand tu auras émergé, je serai dans la cuisine. »

Bhouta le laissa comater, et sortit donc. Il croisa sur sa route Chengzu, qui sortait de sa chambre. Bhouta le salua, puis rejoignit la salle à manger, en descendant des volées de marches. Akimbo le trouva la tête dans le frigo, récupérant du beurre.

« Hmmm… Tu es debout ? C’est surprenant… »

Bhouta posa le beurre sur la table, puis fit signe à Akimbo de venir. Ils n’étaient pas tout seul. Portant un plateau en argent, l’une des récentes esclaves d’Ishtar, Alice Korvander, dans une redoutable tenue de maid, apporta le petit-déjeuner de Bhouta.

« Tenez, Maître… »

Il y avait du pain et un chocolat chaud, avec des viennoiseries. Bhouta avait le sexe à l’air libre, et écarta les jambes, en laissant Alice s’agenouiller devant pour le sucer.

« Ishtar n’apprécie pas trop les mâles peu efféminés comme moi, donc, ouais, on va devoir partir. Mais, partout où je passe, je tisse des liens. La bouffe, c’est important. Si tu veux me suivre, on ira sur Volony, dans ma ferme. Je connais un traitement pour te transformer en Buta. Enfin, je pourrais même le faire ici, Ishtar a l’équipement nécessaire pour ça. Mais, une fois que tu seras un Buta, ta formation commencera vraiment. »

Bhouta se tut, et fixa Alice.

« Tu en parleras à Ishtar, hein ? Il y a un laboratoire là-dessous, je pourrais te transformer en Buta…
-  Je lui ferai part de votre requête, Maître… Dès que j’aurai fini mon service avec vous. »

Bhouta sourit malicieusement.

« Ça pourrait même se faire aujourd’hui. J’étais persuadé que Theorem était l’élu, celui destiné à être mon Porcinet… Mais peut-être que c’est toi, finalement ? »

Akimbo n'était pas encore habitué à autant de sexe, autant de perversion mais aussi et surtout à sa nouvelle position clairement de soumis. Alice léchait le sexe de son maître sans que ça ne choc qui que ce soit, mais surtout il était juste en peignoir et en tenue de latex rose juste dessous, encore souillé par le sexe intense qu'il venait de vivre. Le petit déjeuner se déroula et avant même que le reste du manoir ne s'éveille, une fois revenu dans l'intimité de la chambre, Akimbo passa à la casserole à nouveau. Il semblait évident pour l'humain augmenté que même s'il se sauvait de cet endroit, Bhouta finirait toujours par le retrouver et son corps viendrait réclamer un jour au l'autre de nouveau ce traitement de choc. Mais pendant qu'ils baisaient comme des animaux et faisaient de cette chambre une véritable porcherie, Alice passa le mot à Ishtar qui sembla réfléchir à cette proposition avec un intérêt curieux. Ce n'est qu'une fois que Bhouta ait terminé sa baise du matin et laissé Akimbo inconscient dans le lit et dans un état encore plus déplorable que la dragonne invita l'homme porc à le suivre vers le double escalier du hall d'entrée. Déverrouillant la grille derrière les marches avec deux médaillons, elle descendit les marches en silence, se permettant de se justifier avant que celui qui l'accompagnait ne pose la question de pourquoi elle acceptait de l'aider.

"Avant que tu ne demandes, je ne fais pas ça pour toi... Ni même pour Akimbo... Mais je vois là une opportunité unique qui ne risque pas de se présenter plusieurs fois de bon grés."

Une fois le dédale souterrain traversé, et surtout le passage devant une fausse fontaine extérieure donnant sur un monte-charge, Ishtar fit découvrir à Bhouta son repaire secret. Il arrivait à la dragonne de disparaître plusieurs jours dans cet endroit dont peu de monde en connaissait l'étendu. A peine dans la salle d'entrée, la dragonne enfila une blouse blanche par dessus son uniforme avant de pousser la grande porte double. Les assistants de la dragonne étaient d'autres membres de la famille Naviento qui ne gagnaient pas à être connus. Chacun semblaient concentrés sur des recherches loufoques ou puériles, d'autres sur des projets purement sexuels alors qu'Ishtar amena Bhouta dans les couloirs sombres et scabreux ou d'infortunés esclaves découvraient des sérums de féminisation forcée, des appareils d'electro stimulation et de contrôle d'orgasme, mais aussi des résultats monstrueux qui échappaient un peu à la compréhension.

"Pour ta santé mentale, ne regarde pas trop en détail ce qui se passe dans les autres salles..."

Utilisant une autre clé, Ishtar entra dans son bureau de recherche. Son laboratoire comportait plusieurs alambiques et appareils technologiques alors qu'un grimoire visiblement très vieux trônait au centre. La dragonne regarda l'intérieur et les pages jaunies en tournant les pages avec une extrême précaution.

"Il est vrai que je ne t'apprécie pas beaucoup, Bhouta. Je trouve ton espèce vulgaire et simpliste... Mais les humains te surpassent dans le spectre négatif que j'ai. Quand Akimbo est arrivé parce que Theo s'était amouraché de lui, je me suis demandé comment le faire partir, mais je ne voulais pas vexer mon petit mari obéissant... Alors quand Alice m'a dit ton envie de faire une transformation d'être humain en Buta, je me suis dit que je tenais là la clé d'un jugement bien précis que je peux réserver aux serviteurs humains qui me déplaisent... Tous les moyens sont bons pour faire progresser ma science ésotérique. Je pourrais peut être un jour faire de mes plus fidèles humains des Ryu puissants ! Mais avant cela j'avance en tâtonnant... Heureusement Akimbo est volontaire pour évoluer. Si ce rituel fonctionne, je pourrais en faire un protocole complet... Restez donc le temps de le réaliser ici... Et puis je peux m'arranger pour que des papiers officiels fassent d'Akimbo ta propriété. Tant que je parvient à le changer en Buta, il n'aura plus aucun intérêt pour moi..."

Ishtar se tourna vers son livre avant de s'arrêter sur une page comportant des symboles ésotériques étranges et des images vaguement animales et des silhouettes humaines. Le tout semblait quelque peu aléatoire et mystérieux, mais la dragonne commença à mélanger des produits et des éléments, faisant courir son doigt sur les pages comme si elle suivait une recette de cuisine. Elle parvint à finaliser la chose après plusieurs essais avant de tenir un erlen rempli d'un liquide rouge un peu iridescent.

"Une goutte de ton sang activera cette potion. Mais il faut le faire uniquement quelques minutes avant, ou tu perdra les liaisons chimiques. Ensuite il te faudra faire augmenter le système respiratoire d'Akimbo et augmenter son système limbique. Hmmm pour faire simple le mieux serait de baiser avec lui. Met-le dans un état de soumission et d'humiliation assez grand pour qu'il cède ses défenses psychiques. Ca devrait affaiblir son organisme assez pour que le mutagène fusionne ton ADN avec le siens. Et comme c'est un rituel, il faut y mettre les apparats. Cercle de transmutation, idole porcine, bougies et decorum adapté... Je demanderais à Malaurie de vous faire un nid adapté. Elle connait bien les religions. Si c'est bon pour toi, je garde la potion ici et d'ici ce soir on feras le rituel. De ton côté, assure-toi de bien convaincre Akimbo et de le conquérir sexuellement. J'installerais des caméra pour filmer discrètement le rituel. Si c'est un succès, j'aurais les données nécessaires et vous pourrez revenir au manoir pour que je garde un oeil sur les constantes d'Akimbo et référencer sa transformation. Je vous offre la chambre 02 de la Résidence. Je ne sais pas si sa transformation sera progressive ou d'un seul coup, mais selon mon grimoire, il devrait se changer au moment de l'orgasme..."

La dragonne était malgré elle excitée par cette perspective de transformer un humain en autre chose. Rien que l'idée de pousser plus loin chez Alice son ascendance draconique la rendait folle. Elle cacha néanmoins son début d'érection avant de ramener Bhouta à l'extérieure du complexe.

"Va le retrouver et soumet-le... Dans quelques heures le site du rituel sera prêt, et il sera réalisé comme il faut."

Bhouta termina son petit-déjeuner, ce qui, chez lui, se traduisait généralement par une furieuse envie de baiser. Alice aurait été un choix parfait, mais elle était cadenassée comme un saucisson, alors, il partit pour un second tour avec Akimbo. Alice devait de plus prévenir Ishtar. Bhouta besogna donc Akimbo en retournant dans leur chambre, qui n’avait fort heureusement pas encore été faite. Comme à son habitude, Bhouta y alla fort et passionnément, et laissa Akimbo après une bonne heure, à moitié dans le coma.

*Très clairement, il va falloir qu’il s’endurcisse…* s’amusa Bhouta en sortant.

Il eut la surprise de voir Ishtar. Bhouta cligna des yeux à plusieurs reprises. Comptait-elle le jeter dehors ? Elle avait visiblement été prévenue par Alice, et lui expliqua qu’elle comptait l’aider.

« Oh… Fort bien… »

Pour transformer Akimbo en Buta, Bhouta s’était fié à sa foi et à ce qu’il savait du culte de Moccus. Il était dit que l’élu serait transformé en Buta par Moccus, mais il pouvait aussi précipiter les choses. Sa petite expérience avait intrigué Ishtar, et il la suivit donc dans la zone interdite du manoir, les souterrains, puis le laboratoire. La femme enfila une épaisse blouse. Bhouta n’avait aucune blouse à sa taille, et s’efforça de la suivre à travers des couloirs froids et métalliques. Tandis qu’il marchait, il pouvait voir diverses expériences, des hommes dans des bocaux translucides, flottant dans un liquide verdâtre, d’autres à qui on injectait des liquides. Il vit aussi des hommes plus monstrueux. Ishtar l’avertit de ne pas être trop curieux, et Bhouta souffla lentement.

« Je ne pense pas que ce sera plus sale que ce qu’on fait dans un abattoir, ma chère. »

Bhouta rejoignit Ishtar dans son bureau, où celle-ci lui expliqua ce qu’elle avait en tête. Elle pouvait l’aider à transformer Akimbo en Buta. Plus elle décrivait le rituel, et plus Bhouta percevait son excitation, le timbre de sa voix s’amplifiant. Il l’écouta silencieusement, puis hocha la tête.

« Votre plan me semble réussi, Ishtar. Vous avez beau trouver mon espèce… Vulgaire et simpliste, personne ne sait aussi bien que moi cuisiner de la viande. Et puis, question vulgarité, de ce que j’ai cru comprendre, vous n’êtes pas en reste, vous non plus. Enfin, je vous remercie pour votre aide. »

Les discussions les plus courtes étant les meilleures, Ishtar raccompagna ensuite Akimbo hors de son antre, puis l’invita à rejoindre Akimbo. Bhouta sourit brièvement.

« Akimbo n’est pas aussi endurant que votre Theorem, ma chère… Il est en train de comater. Il suffira de le transvaser là où le rituel aura lieu. »

Bhouta chargea Alice d’organiser le transport, et qu’Akimbo se réveille attaché. Lui en profita pour examiner la cabine, un chalet en bois situé à l’entrée d’une forêt profonde. Un endroit isolé, discret, et même assez effrayant.

*Vivement que je retourne dans ma ferme, c’est quand même moins flippant qu’ici…*

Il avait bon espoir de mettre fin ce soir à son séjour sur Nachtheim, et à retrouver sa délicieuse ferme, avec ses vaches propres et généreuses…

Theorem fut chargé de conduire Bhouta à la cabane. Cet endroit était un peu éloigné du manoir principal mais il était beaucoup plus champêtre et calme. Bien entendu, vu la météo de Nachtheim, la traversée de la cour et de la petite forêt pouvait donner quelques frayeurs mais en vrai, comme le domaine von Nacht était sécurisé, il n'y avait pas de réelles menaces. Une fois dans cet endroit, Theorem la déverrouillai avec une clé qu'il confia au dominant porcin avant d'ouvrir l'endroit. Un feu dans la cheminée était le bienvenue alors qu'il refit le lit pour les deux tourtereaux.

"Ne te fis pas à l'aspect ancien de cet endroit. En vérité il est beaucoup plus confortable qu'il n'y paraît. Un couple Ryu a vécu ici, Ishtar les a hébergés. Maintenant elle est vide mais ils y étaient heureux. Cela dit, comme elle m'a expliqué, vous n'êtes ici que le temps du rituel. Quand elle sera sûr que la transformation d'Akimbo est effective et qu'il n'a pas de séquelles, vous serez libres de partir. Mais elle m'a bien signalé que si vous le vouliez, elle vous logerait à la Résidence. C'est bien plus grand et agréable."

Un bruit se fit entendre à l'arrière de la chambre. Malaurie venait d'ouvrir la trappe menant au sous-sol. La Ushi épousseta sa robe de nonne avant de secouer son voile. Elle avait travaillé un moment pour arranger ce sous-sol en un lieux idéal pour le rituel, s'inspirant de livres sur le culte de Moccus qu'elle avait lu il y a longtemps. Etant missionnaire, elle s'était renseigné sur tous les cultes. Theorem de son côté alla chercher Akimbo pour le préparer au rituel qui allait avoir lieu. Malaurie de son côté descendit dans le sous-sol avec Bhouta pour lui montrer l'endroit. Il fallait descendre une échelle mais une fois en bas il y avait un grand lit dans une cavité, éclairé par des bougies. Il était là si après le rituel, Akimbo n'avait pas la force de remonter. Mais le plus intéressant était la pièce voisine. Malaurie avait nettoyé un grand autel plat entouré de bougies en tout genre. Il faisait face à une statue du dieu cochon, érodée mais imposante. Ishtar était présente, installant les caméra nécessaires à son expérience avant de s'approcher.

"Toutes les images seront transmises dans mon laboratoire. Mais vous aurez toute l'intimité que vous aurez besoin à l'étage ou dans la chambre annexe. N'oublis pas que tu dois activer le mutagène avec une goutte de ton sang. Dès qu'Akimbo sera transformé en Buta et qu'il ira bien, tu pourras l'emporter chez toi. 'ai préparé les papiers d'esclavage. Ils sont sur la table de chevet à côté du lit d'à côté. C'est pré-remplis, il te suffira de faire signer Akimbo et aux yeux du gouvernement d'Inferis et de Nachtheim, il sera ta propriété. Dans l'éventualité où la transformation se passerait mal, tu fais signe à la caméra et on débarque."

Malaurie approcha de Bhouta.

"La statue est une antique trouvaille que les Naviento gardaient dans une salle. Mais je ne pense pas qu'elle ait été volée, c'est un vestige d'une possible civilisation Buta quelque part ici... Dans tous les cas j'ai respecté vos rites et le cercles d'invocation sur l'autel est celui décrit dans mes livres pour que Moccus pose son regard sur les mortels. J'espère que tout se passera bien et que ça te plait."

L'endroit pouvait sembler scabreux et dégoutant, mais en vérité il avait été nettoyé avec attention. Il n'y avait pas grand chose à faire de plus alors qu'après une heure, Theorem revint avec Akimbo enveloppé dans un plaid. Personne ne savait ce que la hyène lui avait dit mais Akimbo semblait rassuré et surtout prêt à se faire transformer. Ce dernier se plaça dans son dos avant de prendre les côtés du plaid et de l'écarter pour révéler le corps de l'humain. Sa peau conservait quelques vestiges du sexe intensif qu'il avait connu. Des insultes et des symboles sexuels aussi dégradants qu'humiliants trônaient encore. Quelques bleus et suçons étaient aussi présents. Sa cage de chasteté cochon rose était toujours là mais surtout ses bas de latex rose et ses longs gants ornaient toujours ses extrémités. Ishtar lâcha un rire de bon coeur en le voyant réduit à cela alors que Malaurie se couvrit le bas du visage de sa main pour cacher un peu son sourire.

"Vous êtes mignons..."

"Bon, laissons les à leurs ébats. Commencez à votre rythme, que je sais intensif..."

Ishtar déposa le graal sur l'autel avec le mutagène dedans. Theorem fit un long baiser sur les lèvres d'Akimbo. Ce fut long et intensif avant qu'il n'y mette fin, donnant une claque sur son cul.

"Allez, va vers ton maître, Akimbo. Il va enfin te libérer de ta prison humaine..."

Theorem, Malaurie et Ishtar quittèrent la pièce, mais seulement pour se rincer l'oeil quelques dizaines de mètres plus loin sur des écrans HD dans le laboratoire. Akimbo était un peu tremblant mais pas de la température... Il vivait ses ultimes moment d'humain... L'appréhension, l'anxiété et surtout il savait qu'il allait se faire baiser bien dur dans peu de temps.

"Hmm je... Je suis prêt... Maître..."

« Nous y sommes, Akimbo… C’est la première étape qui vise à faire de toi mon élu. Je suis venu ici pour chercher celui qui recevra la grâce de ma Déesse, Moccus, et qui me permettra d’avoir des héritiers. La Déesse m’a dit de venir ici. Ce soir, je vais te transformer en Buta, tu ne seras plus un simple et vulgaire humain faible et sans intérêt. Tu seras un Buta, un homme-cochon… Mon Buta. »

Dans la chambre servant de rituel, Bhouta résumait ce qui allait se passer. Il avait aussi éteint la lampe électrique, car il ne voulait pas que l’électricité influe sur le rituel. Il avait laissé les caméras, car elles étaient moins dérangeantes. Bhouta avait allumé des bougies et avait préparé le pentacle en attendant l’arrivée d’Akimbo. Sur une commode, il y avait le calice abritant le mutagène, le couteau sur lequel il devrait se couper pour y mettre son sang, et un livre écorné qu’il avait posé avec une couverture en cuir. C’était un livre dédié à Moccus, abritant des rituels ésotériques. Il avait préparé le pentacle à l’aide d’une craie, puis dispersé les bougies ici et là, donnant à l’ensemble une touche très ésotérique.

Bhouta ne portait que son chaps, et son sexe à l’air libre se dressait furieusement. Il dominait toute la pièce, et se déplaça derrière Akimbo, qui se mit à quatre pattes.

« Pour te métamorphoser, je vais devoir te baiser… Je t’ai bien préparé cette nuit et ce matin, donc tout devrait bien se passer. »

En contrebas, dans le laboratoire, Ishtar pouvait observer la scène, tandis qu’Alice était agenouillée entre ses jambes, et s’occupait de la sucer. Chengzu rejoignit ensuite le laboratoire, et s’amusa à peloter Malaurie tout en regardant la scène. Depuis leur grand écran, ils purent voir Bhouta prendre Akimbo à quatre pattes, et entendirent les halètements et gémissements de ce dernier. Les coups de reins de Bhouta étaient puissants, très intenses, et Chengzu pouvait sentir Malaurie se tortiller lentement, chaudement excitée par ce spectacle. De l’autre côté de l’écran, Bhouta y alla franchement, comme à son habitude, sodomisant avec force Akimbo. De grosses claques résonnaient sur le cul de l’homme, dont les gémissements mouraient dans sa gorge, se cassant en borborygmes. Les bruits étaient forts, intenses, ils trahissaient la passion dont Bhouta faisait preuve, l’intensité furieuse et démentielle de ses coups de reins. On l’entendait grogner et soupirer.

Les minutes défilèrent, et, peu à peu, le pentacle s’illumina d’une lueur intense, les lignes tracées à la craie brillant d’une lueur rose évanescente. L’objectif était simple : il fallait le mettre dans un état secondaire, un état de délire, pour préparer ensuite l’élixir, et lui faire boire le mutagène. La main de Bhouta tirait sur les cheveux trempés d’Akimbo, faisant durer le plaisir, le baisant longuement et puissamment…

Akimbo n'avait jamais eut autant de sexe en si peu de temps. Pour ne rien cacher, il avait presque l'impression d'être dans un tourbillon sexuel tellement il était sollicité au niveau de ses émotions et de ses sensations. Quand Bhouta l'invita à rejoindre le pentacle, il savait qu'il vivait là ses derniers moments en tant qu'être humain. Son corps portait encore pas mal de stigmates des précédentes sessions sexuelles qu'il avait enduré avec son dominant, mais là c'était différent. Son cul encore ouvert par le plug anal qu'il portait depuis le départ de l'homme cochon de son lit fut retiré et l'espace vide aussitôt comblé par la verge imposante de son Maître. Coincé sous le poids de ce dernier, empoigné par les épaules, la poitrine, les hanches ou les cheveux, Akimbo ne pouvait plus se débattre ou chercher à s'enfuir. Il devait accepter cette défaite... abandonner...  s'abandonner en fait.

"Haaa ! Haa! Hmm ! Gnn !! Haaaw !!!"

Bavant presque au sol, ses poings serrés dans le latex rose qui emprisonnait ses bras, il poussa un moment un soupire qui bien qu'anodin était dû à une vague de plaisir très intense qui remonta sa colonne vertébrale jusqu'à l'arrière de son crâne. Sous sa peau souillée et marquée, son âme opérait déjà des changements alors que ses yeux se perdaient dans le vide, voir louchaient par moment alors que sa langue pendait de sa bouche bien qu'il était la plupart du temps obligé de crier un peu tellement Bhouta y allait fort.

*Quelque chose... au plus profond de moi... arrive...*

Akimbo y résistait de son mieux. La première heure de baise très intensive et dure vit le cul de l'humain virer au rouge sous les claques de son dominant et il était totalement en transpiration. Le pentacle luisait maintenant autour d'eux et il ne parvenait plus à penser correctement. Le futur esclave de Bhouta voyait ses barrières de résistance s'amenuiser de plus en plus sous la fatigue et la charge mentale. Quelque chose lui disait de laisser sa truie intérieure prendre le dessus, mais sa nature humaine la combattait malgré lui. Face à ce déferlement de sensation et de baise dure, il ne pouvait pas vraiment faire le poids, et il était certain que face à un dominant moins endurant, sa nature humaine aurait résisté jusqu'au bout... Mais Bhouta avait une endurance exceptionnelle ! Entre la fatigue et le délire il commençait à se dire que le mieux, c'était probablement de l'accepter, de se laisser faire... Pourquoi continuer à résister quand il pouvait s'engouffrer dans le confort de l'impuissance et juste laisser Bhouta prendre son âme.

"Huf huf huf ! Guuuh ! Oink oink !"

Tout en se faisant besogner, il savait que la prochaine heure n'allait pas se passer sous forme humaine. Dans son état, il ne vit même pas Bhouta prendre le petit couteaux rituel et s'entailler le pouce pour y verser de son sang dans le graal. Le contenu brilla plus fort avant qu'on ne lui présente la coupe. Akimbo avait soif, tellement soif... A peine eut-il le bord en métal contre les lèvres qu'il ouvrit la bouche pour laisser ce liquide rougeâtre et lumineux descendre dans sa gorge. Le goût était particulièrement infâme, mais au moins il buvait. Le liquide avalé, l'humain sentit rapidement son bas ventre lui brûler tant il était chaud et la douleur physique disparue. Il eut même un regain de force et de vitalité alors que le sexe avec Bhouta semblait plus... délicieux ?... Oui, c'était vraiment vraiment bon... C'était comme si son corps s'ajustait naturellement à la verge de son homme, comme si ses zones érogènes se déplaçaient pour offrir l'expérience la plus délectable et comme si la douleur devenait plaisante...

"Ah putain !!! Gnnnnnnnnnnnnn !!! Aaah... Aaah... Oooh... Bordel..."

Au dessus de la raie de ses fesses, là où l'implant de sa queue de cochon se trouvait, la zone devint franchement brûlante, à la limite du désagréable alors que ses oreilles subissaient la même chose. Mais ce qui compensait cette soudaine douleur, c'était le plaisir indéniable de la situation. De la lumière vive et rosée entoura cette partie métallique alors qu'Akimbo perdit toutes notions de ce qui l'entourait. Un énorme orgasme remonta dans son corps pour pulvériser ses ultimes défenses, comme si un porc venait de défoncer la barrière de son esprit. Comme résonnant dans son esprit, ce cri bestial inonda sa perception alors que le plaisir le fit presque tomber au sol si son maître ne le retenait pas solidement. Il lui fallu plusieurs secondes pour réaliser que ce cri... c'était le sien.

"BUUHIIII !! BUUUHIIIIII !!!"

Au moment même de cet orgasme puissant et inédit, la lumière entourant ses oreilles et sa queue rayonna dans toute la pièce avec celle du pentacle avant que tout ne redescende doucement. Là où le métal trônait pour simuler des appendices porcins, une vraie queue en tire-bouchon bien naturelle trônait. Ses oreilles étaient désormais mobiles et bien vivantes, étant celle d'un véritable cochon. Sa nature humaine avait été complètement balayée, il était enfin un Buta. Akimbo reprit difficilement son souffle après une telle expérience que son esprit resta flou pendant quelques temps, comme sa vision... Avant que la réalisation ne s'écrase sur lui. Son corps entier avait changé. Il était désormais impossible pour lui de revenir sur Terre, ou de dire qu'il était un humain... Non non... Il réalisa enfin qu'il était un authentique Buta, écrasé sous son dominant... La honte teinta son plaisir, mais il se caressa les lèvres avec sa langue. Après tout... Maintenant que le sexe était encore meilleur avec Bhouta...

Pourquoi résister d'avantage ?...

"Han Daddy ! Prenez-moi encore bien fort... J'ai tellement envie de sexe et d'orgasmer encore !! Oink oink !"

Ça allait être une baise torride, très intense ! Bhouta n’avait encore jamais transformé d’humain en Buta si rapidement. C’était habituellement un processus très long, et tous les candidats étaient préalablement envoyés dans son ranch à Volony, où ils suivaient une formation spéciale. Ici, c’était inattendu, précipité, et, malgré l’aide d’Ishtar et de son rituel, il y avait quand même de fortes chances pour que Moccus ne reconnaisse pas en Akimbo un candidat idéal. D’un autre côté, s’il était vraiment le « Porcinet » que Bhouta recherchait, la Déesse le reconnaîtrait tout de suite ! Dans cette cabane exigue et ancienne, le bois craquait, le plancher grinçait, et on avait l’impression que toute la cabane allait s’écrouler. Bhouta n’y allait pas de main morte. Le sol tremblait, tandis qu’il opta pour une longue levrette initiale, défonçant le cul d’Akimbo, le fessant régulièrement. Le brave homme trébucha à plusieurs reprises, sa tête heurtant le sol. Bhouta empoignait alors ses longs cheveux, et tirait dessus, tout en ricanant, suant abondamment.

« Ne-Ne t’écroule pas tout de suite, ma petite lopette, je… Je ne fais que commencer ! »

Bhouta ricana encore, tout en grognant. Sa queue remuait encore dans le fondement d’Akimbo, lui labourant le cul. Bhouta se pencha ensuite, s’allongeant sur lui, et continua à le prendre, l’étouffant à moitié. Son corps massif s’abattait sur lui. Bhouta faisait sans doute au moins deux fois son poids, c’était donc une masser incroyable et puissante qui s’aplatissait sur lui. Il lui mordilla le creux de l’oreille, et lécha son cou, sentant le latex d’Akimbo crisser. La combinaison protégeait aussi le jeune homme de se faire trop mal sur le sol en bois. Serrant ses mains sur ses poignets, Bhouta continuait à le prendre, faisant preuve de toute sa force.

De l’autre côté de l’écran, le spectacle était impressionnant. Malaurie s’empalait avec appétit sur Chengzu, impatiente. Les hurlements d’Akimbo étaient délicieux, et, chaque fois qu’elle regardait la scène, elle semblait espérer que Chengzu la prenne comme ça. Il le faisait à chaque fois qu’ils faisaient l’amour, bien sûr, mais pas maintenant. Elle jetait également des œillades à Alice, comme pour la défier du regard, et lui rappeler que, des deux, c’était elle que Chengzu avait fini par choisir. Theorem s’était retrouvé à genoux en compagnie d’Alice, chacun suçant et léchant la verge d’Ishtar. Quand elle jouissait dans la bouche de l’un d’entre eux, ils s’embrassaient mutuellement, galvanisés par les couinements d’Akimbo. Sans voir l’image trop souvent, Alice put constater que les cris d’Akimbo devenaient de plus en plus aigus, bestiaux… Comme s’il commençait à se transformer.

Le pentacle de Moccus continuait à s’illuminer fortement. Après une bonne heure à baiser Akimbo, Bhouta entendit le minuteur sonner. Il était temps ! Akimbo était suffisamment excité, et le pentacle brillait furieusement.

« Allez, Akimbo, c’est le moment de commencer ta nouvelle vie ! »

Retirant sa queue du cul déformé d’Akimbo, Bhouta alla récupérer le couteau, se trancha la paume de la main, et versa son sang dans le calice. Gisant au sol, Akimbo avait les yeux dans le vague. Bhouta lui fit boire le contenu du calice et gloussa encore.

« On y retourne, mon joli ! »

Il souleva encore Akimbo, et retourna le prendre. Bhouta soupira, et ne tarda pas à sentir les changements sur le corps d’Akimbo. Celui-ci devait être en train de délirer, tandis que la formule agissait en lui. Et, finalement, Bhouta vit ses oreilles s’étirer, devenant plus porcine, tandis qu’une petite queue en tire-bouchon s’étira au-dessus de ses fesses.

« Voilà !! Ouuui, accepte le don de la Déesse, Akimbo ! Rejoins ma grande famille, hahaha ! »

Bhouta exultait de joie, et Akimbo sentit une nouvelle énergie l’envahir. Quand il appela Bhouta « Daddy », celui-ci le fessa encore, une claque plus puissante que les autres. Il grogna ensuite, et releva Akimbo, puis le plaqua furieusement contre le mur. Une planche craqsua, tandis que Bhouta releva les jambes d’Akimbo, de droite à gauche, et le sodomisa à nouveau, avant d’aller l’embrasser.

« Ressens cette énergie en toi, mon chéri ! Tu es à moi, maintenant ! La Déesse t’a vu, et elle t’a accepté parmi les nôtres ! Profite ! Cela mérite que je te baise toute la nuit, héhé !! »

Et cela, il comptait le faire, avec un rythme particulièrement intense !