Être une bonne chienne [Higashiyama Kobeni]
Posté : 27 nov. 2024 00:19
Récemment, les membres de la Devil Hunter Organization avaient tous été attaqués par des Hominidémons. Une attaque coordonnée et précise, qui avait ciblé chaque membre, et dont l’organisateur était encore inconnu. Ils avaient notamment affronté le démon-katana, qui avait été neutralisé au terme d’un combat violent et sanglant dans la planque de ces Hominidémons. Maintenant que la bataille était finie, Makima procédait au briefing de ses différentes unités. Ils étaient revenus à Yoake, et, dans son bureau, Makima observait depuis son fauteuil la ville à travers sa grande fenêtre. Elle avait vu ses différents agents en entretien, et une douce et timide main toqua à la porte. Près de Makima, il y avait l’un de ses chiens, qui dormait à ses pieds. Elle l’observait lentement, puis pivota sur son fauteuil.
« Entrez ! »
La porte s’ouvrit, et une petite brunette nerveuse entra. Higashiyama Kobeni. Sans doute la plus nulle des Devil Hunters. La grande partie de ses collègues s’étaient plaints de sa couardise, du fait qu’elle perdait ses moyens en combattant. Elle avait même été jusqu’à tenter de tuer l’un des agents quand ils avaient été piégés dans un hôtel par un Hominidémon ! Mais, récemment, elle s’était illustrée en défiant le démon-katana, et en parvenant à esquiver ses attaques. Makima savait que Kobeni n’était pas devenue Devil Hunter par choix. Elle venait d’une famille pauvre, et ses parents l’avaient forcé à devenir un Devil Hunter, ou à défaut d’être une prostituée. Cela en disait long sur sa famille. Makima avait étudié son dossier avant de l’accepter au sein de son organisation, et personne n’osait remettre en doute ses choix devant elle. Elle savait que ses collègues ne l’appréciaient pas, mais aucun n’osait ne le lui dire. Comment pourrait-on remettre en cause les choix de Makima ?
Makima la vit donc entrer, portant sa tenue de travail. Homme ou femme, ils portaient tous une chemise blanche avec cravate et pantalon, et veste noire.
« Bonjour, Agent Kobeni. Les médecins m’ont dit que tu t’étais remise de tes blessures. Je t’en prie, installe-toi. »
Kobeni put s’asseoir devant elle, et le chien de Makima fila alors devant elle, et posa son museau sur ses chevilles. Makima lui sourit doucement.
« Nous avons été attaqués par des ennemis qui connaissaient notre emplacement, et nos effectifs. À ce stade, il est indiscutable que nous avons des traîtres au sein de notre organisation. Je souhaitais juste savoir si tu allais bien, et ce que tu étais prête à faire pour m’aider à débusquer les traîtres… Et à me confirmer toi-même que tu n’es pas une traîtresse. »
« Entrez ! »
La porte s’ouvrit, et une petite brunette nerveuse entra. Higashiyama Kobeni. Sans doute la plus nulle des Devil Hunters. La grande partie de ses collègues s’étaient plaints de sa couardise, du fait qu’elle perdait ses moyens en combattant. Elle avait même été jusqu’à tenter de tuer l’un des agents quand ils avaient été piégés dans un hôtel par un Hominidémon ! Mais, récemment, elle s’était illustrée en défiant le démon-katana, et en parvenant à esquiver ses attaques. Makima savait que Kobeni n’était pas devenue Devil Hunter par choix. Elle venait d’une famille pauvre, et ses parents l’avaient forcé à devenir un Devil Hunter, ou à défaut d’être une prostituée. Cela en disait long sur sa famille. Makima avait étudié son dossier avant de l’accepter au sein de son organisation, et personne n’osait remettre en doute ses choix devant elle. Elle savait que ses collègues ne l’appréciaient pas, mais aucun n’osait ne le lui dire. Comment pourrait-on remettre en cause les choix de Makima ?
Makima la vit donc entrer, portant sa tenue de travail. Homme ou femme, ils portaient tous une chemise blanche avec cravate et pantalon, et veste noire.
« Bonjour, Agent Kobeni. Les médecins m’ont dit que tu t’étais remise de tes blessures. Je t’en prie, installe-toi. »
Kobeni put s’asseoir devant elle, et le chien de Makima fila alors devant elle, et posa son museau sur ses chevilles. Makima lui sourit doucement.
« Nous avons été attaqués par des ennemis qui connaissaient notre emplacement, et nos effectifs. À ce stade, il est indiscutable que nous avons des traîtres au sein de notre organisation. Je souhaitais juste savoir si tu allais bien, et ce que tu étais prête à faire pour m’aider à débusquer les traîtres… Et à me confirmer toi-même que tu n’es pas une traîtresse. »