The Multiversity

[Les soeurs Seishi]

Cette petite histoire débute il y a quelques semaines, chez un client assez fortuné pour payer plusieurs filles et organiser une belle sauterie chez lui. Je vous passe les détails : quelques filles charmantes, dont certaines que j’espère bien revoir, beaucoup de personnes masquées qui sont là pour en profiter et un déferlement de débauche… heureusement que l’hôte avait prévu une pièce où nous remettre de nos émotions avant notre départ. Et c’est là-bas que j’ai eu une délicieuse discussion avec l’une de mes collègues, que j’avais déjà eu la chance de croiser dans un club où se rendent parfois les personnes pas totalement humaines.

« Mademoiselle Shizuka, je pourrais peut-être vous conseiller un endroit… »

« Vraiment ? De quoi s’agit-il ? »

« Tenez… »

Alors qu’elle me tend discrètement ce qui ressemble à une carte de visite, elle me murmure à l’oreille :

« Vous pourriez y découvrir des plaisirs plus… exotiques, si vous voyez ce que je veux dire. »

Elle m’offre un petit clin d’œil entendu avant que nous ne reprenions la route.
C’était donc il y a quelques semaines, et depuis je n’avais pas eu le temps de me rendre à cet endroit… mais qu’à cela ne tienne, aujourd’hui je vais enfin pouvoir aller y jeter un œil ! Bien sûr, j’en ai aussi parlé aux filles pour qu’elles sachent où je serais.

« Je file, à plus tard ! »

« Amuse toi bien Shizu’ ! »
« Fait toi bien démonter ! Tu nous raconteras ! »

Ce n’était pas très subtile ça Megumi, mais c’est effectivement mon intention ! D’ailleurs mon apparence du jour est peut-être moins voluptueuse que les autres, mais je porte une tenue mettant bien en valeur mes jambes qui devrait tout de même faire son effet. Non pas que je pense la garder sur moi toute la soirée.

La première difficulté est de trouver le lieu en question. La raison est simple : il n'y a pas d'adresse sur la carte de visite, juste un numéro de téléphone. J'aurais dû mieux regarder, ça m'aurait évité de m'en rendre compte une fois prête à partir ! Bon, voyons voir...

« Bonjour ? »

Le téléphone portable en main, j'échange quelques mots avec la dame à l'autre bout du fil en lui expliquant vouloir venir sur conseil d'une connaissance, mais que je n'avais que ce numéro. Elle n'a pas l'air plus surprise que ça, et après lui avoir donné quelques renseignements je me retrouve nez à nez avec une porte. Pas celle d'entrée non, une autre qui semble sortir de nulle part. Au moins je suis sûre d'une chose : c'est ouvert aux non-humains, alors je n'aurais pas à me cacher.

Je passe donc la porte, curieuse de découvrir ces fameux plaisirs exotiques que l’on m’a vanté. Mais la première étape est bien sûr l’accueil, où je m’enregistre et me fait tatouer une étoile. On m'y donne aussi un petit guide pour m'aider à me repérer, ce qui n'est pas de refus ! On dirait bien qu’il s’agit d’un club select, je me demande même si j’aurais eu une chance de le découvrir sans la carte de visite que l’on m’a donnée ?

En avançant, je me rends compte de plusieurs choses.
Déjà, c’est visiblement très grand. Le plan du guide le confirme !
Il y a de la vie aussi – c’est bon signe, et d’ailleurs je remarque qu’il n’y a que des femmes ici. C’est loin de me déplaire, d’autant que si j’en crois le guide que l’on m’a gentiment donné elles pourraient avoir des pénis… en bref, ces dames ont l’air parfaites !
Avec tout ça, je ne sais pas bien où donner de la tête. Il semble y avoir de tout ici, du onsen au bar en passant par le restaurant, le club, et… la salle de sport ? Là je suis intriguée ! Il y a bien un type de sport que j’aimerais faire, mais il est purement sexuel… même si la brochure parle de machines spéciales… bon ça ne peut pas faire de mal d’y jeter un œil !

« Oh… »

Et bien je ne m’attendais pas à ça, mais ça me plait déjà beaucoup. Je m’inquiétais de ne pas avoir de tenue adaptée, mais visiblement ne pas avoir de tenue tout court est parfaitement autorisé. J’essaie tout de même de ne pas trop me rincer l’œil pour ne pas déranger les gens en pleine activité, puis cherche le vestiaire où me changer… ou plutôt me déshabiller. Et je n’y suis pas seule, car je vois deux belles femmes non humaines nues, probablement en train de se préparer elles aussi… ? Comment je sais qu’elles ne sont pas humaines ? Et bien il y a leurs oreilles animales, et leurs queues aux formes différentes de celles des humains. Je louche dessus un instant en me mordant la lèvre, avant de me reprendre.

« Hm… bonjour mesdames ! »

Je prends un casier et commence à me dévêtir. Je prends mon temps sans non plus être lente, car j’ai envie de leur offrir un petit spectacle à mon tour. Je ne sais pas exactement comment les choses se passent ici, et encore moins comment aborder les autres clientes ou les employées… alors je vais la faire mi-innocente mi-aguicheuse !

« Dites, vous avez des choses de prévues ? C’est ma première fois ici, et je n’aurais rien contre des partenaires pour ma première séance. Vous savez, histoire de la rendre plus agréable. »

[Famille Acasia-Purity]

Resa et Elda Acasia-Purity, sportives

Au sein du Lys, deux cousines futanari difficilement séparables se préparent pour leur session de sport, après avoir couché ensemble, bien sûr. Non, elles ne sont pas amoureuses l'une de l'autre, elles ont même chacune une petite-amie, donc les plans à 4 ne sont pas rares de leur côté, loin de là. Mais contrairement à leur petite-amie, elles sont incapables de se passer du sport, et donc Sheyla les connaissent très bien.

Un jour comme les autres, si on peut appeler ça un jour, les deux femmes sont dans les vestiaires pour se préparer et discuter de ce qu'elles vont faire, quand une femme leur attire l'attention. Une belle humaine aux cheveux noirs, une poitrine assez forte, de belles jambes… et elles remarquent qu'elle n'a pas d'affaire de sport. Elles ont affaire à une cliente, c'est sûr et certain.

	"Salut beauté."
	"Bonjour mademoiselle."

D'ailleurs, elles ne peuvent pas s'empêcher de voir le petit spectacle que la femme offre. Elles sont habituées à ce genre de spectacles, on est au Lys après tout, mais elles ne peuvent pas s'empêcher de bander en voyant ça. Elles n'ont aucun problème à le dire et à le montrer, mais elles voient qu'elle est du genre peu pudique et provocatrice. Les deux femmes se mettent sous leur tenue de sport, mais c'est évident qu'elles ont une sacrée bosse sous leur short.

"Bien sûr… tu t'appelles ?"

Bien sûr, la belle femme leur donne son nom, à savoir Shizuka. Elles comprennent qu'elle vient de la Terre, mais elles ne savent pas qu'elles ont affaire à une succube, ce qui de toute façon est banal. En tout cas, une belle femme qui fait l'aguicheuse, facile de l'apprécier.

"Du coup je m'appelle Resa, et voici Elda, ma cousine. Tu voudrais privilégier les machines classiques ou érotiques ?"

Quelque chose leur dit qu'elle voudrait prendre l'es machines érotiques… après, elles sont toutes les deux tentées de remplacer le jouet qui rend les machines érotiques par leur propre engin. Elles ne peuvent pas s'empêcher de se regarder, et d'un regard, elles comprennent déjà leur envie, avant de regarder Shizuka. La prendre à deux ? Une belle idée qui s'annonce, mais elles ne veulent pas non plus qu'elle s'asphyxie. Non, c'est plus une envie de la prendre en pleine pause.

[Les soeurs Seishi]

« Enchantée, moi c’est Shizuka. »

Mes deux camarades de vestiaire, Elda et sa cousine Resa, ont l’air tout à fait charmantes et bien membrées ! Elles ont beau enfiler un short, je vois bien qu’elles apprécient beaucoup de me voir me déshabiller. Et ça tombe bien, car c’est le but !
L’une d’elle, Resa de son petit nom, me demande sur quel genre de machine je voudrais m’entraîner. Elles ont l’air partantes pour m’aider, et je suis persuadée qu’elles ont bien compris que je cherche à m’amuser sexuellement avant tout.

« Honnêtement, j’étais très intriguée par les machines érotiques. Ce n’est pas quelque chose que l’on voit partout… »

Car oui, jusqu’à preuve du contraire, il n’y a pas de machines de ce type dans les salles de sport classique ! Et c’est dommage car je suis sûre que ça motiverait certaines personnes… moi et mes sœurs les premières. Nous devrions peut-être venir ici régulièrement tiens.

« … et en même temps, si vous m’aidez ça serait dommage d’en utiliser une non ? »

Quelque chose me dit qu’elles iraient bien prendre la place des jouets présents sur certaines des machines. Et ça m’irait bien, car je préfère largement avoir l’une d’elle en moi qu’un jouet ! Voir même les deux.
Je me dirige vers la salle avec elles, me demandant tout de même par où commencer. Je crois que le plus simple pour faire déraper les choses serait une petite séance de yoga, mais vu que je suis nue tout pourrait bien se finir peu importe la machine choisie.

« Vous me conseillerez quoi pour… hm… l’endurance ? »

J’ai presque eu envie d’ajouter ‘et pour encaisser des bons coups de rein’, mais il faut tout de même un minimum de subtilité pour s’amuser ! En plus, je suis sûre que je vais avoir l’occasion de m’appuyer sur Resa et Elda durant la séance… elles vont sans doute être les piliers qui vont me soutenir… je devrais surement aller plus souvent dans les salles de sport !

[Famille Acasia-Purity]

Même sans être des papillons ni des aventurières… bref même sans avoir un travail en rapport avec l'extérieur du Lys, elles se doutent que les machines érotiques sont inexistants sur Terre. Alors les deux cousines n'ont pas eu de peine à comprendre la curiosité de la Japonaise.

"Ah ça ! On te comprend !"

C'est vrai que le sextoy ne devrait pas être utilisé, si elles se mettent à aider Shizuka... mais en même temps, il y a bien quelque chose qui travaille l'endurance de manière ludique, c'est bien les machines érotiques. Mais il y a quand même moyen d'imiter ça en quelque sorte, et il y a moyen que Shizuka y pense. Elles rient doucement, joyeusement. Ce serait dommage, en effet. Elles remarquent d'ailleurs que la belle Japonaise a appris la subtilité dans l'envie de profiter des autres. Elda peut montrer un peu de subtilité, alors que Resa se dit que la subtilité, c'est pour les bourgeoises.

Elles entrent dans la salle de sport, où elles vont toutes les trois s'amuser. Elles ont une idée de par où commencer, et vu à quel point la belle Japonaise est aguicheuse, et que c'est un lieu où la luxure est maîtresse, aucune d'entre elles ne va refuser.

"Tu vois, le vélo, là ?"

Resa montre celui qui est standard, mais cela dit, elle baisse un peu le siège avant de s'assoir dessus et de sortir son membre, avec un sourire montrant son appétit.

"Tu t'assis sur moi et tu pédales. On va voir combien d'éjacs tu vas tenir."

Elda n'est pas jalouse, elle y est habituée. Surtout qu'elle a un moyen de se rendre utile, et ça ne peut que faire plaisir aux deux. Elle rit doucement et pose sa main aux fesses avec le sourire.

"Gagnante-gagnante. Et puis, si jamais tu as soif, n'hésite pas à te servir."

Elle lui fait un clin d'œil. Pas besoin de faire un dessin, surtout que c'est possible qu'elle n'ait pas amené de bouteille d'eau, la Terrienne. Elda compte en profiter, pendant que Resa profite du plus gros. Elle en profite pour embrasser doucement la belle, car elle se doute bien que si elle est là, c'est pas seulement pour s'entretenir.

[Les soeurs Seishi]

Les deux belles félines n’ont visiblement aucun mal à me comprendre, que ça soit par mon attrait et ma curiosité envers les machines érotiques du club ou mon envie de les mettre de côté pour aujourd’hui. Après tout, pourquoi se contenter d’un jouet quand on peut avoir deux belles femmes prêtes à m’offrir une expérience nouvelle ?

Rapidement prêtes pour les exercices à venir, nous recherchons une machine sur laquelle nous… nous exercer ? J’ai un doute sur le côté sportif de nos envies, mais faisons comme si c’était le cas ! Resa, la jolie brune, me montre un vélo. Je m’en approche avec elles, me demandant comment nous allons nous installer… oh et bien on dirait que je ne vais pas avoir le temps de me poser la question tiens.

« Je devrais bien tenir en place avec quelque chose d’aussi rigide en moi, hm ? »

J’ai un petit air amusé et joueur. J’ai terriblement envie de chevaucher cette belle queue dressée, et je suis impatiente de découvrir les sensations que sa forme va me procurer. Je suis presque désolée que Elda ne puisse pas elle aussi se placer sur la machine pour s’amuser avec nous, mais visiblement elle a quand même une idée en tête.

« Que vous êtes prévenante Elda, je compte sur vous pour me tenir hydrater ! »

Je l’embrasse tendrement, avant de faire de même avec Resa et de chercher à m’installer. Je glisse une jambe par-dessus la machine, mon corps penché et mon cul tendu vers la féline. D’une main je viens saisir sa queue pour la guider en moi, et je finis par abaisser lentement le bassin pour m’installer confortablement…

« Aaaaah… oooh Resa… bon sang… quelle sensation incroyable… ! »

Je dois avouer qu’il me faut un petit temps d’adaptation pour m’accommoder de cette verge qui me plait déjà beaucoup. Ça serait surement faire preuve de gourmandise que d’avouer que j’adorerais avoir celle d’Elda en moi en plus non ? Pourtant l’idée me traverse l’esprit, même si pour le moment je suis censée… censée faire quoi déjà ? Ah oui, le vélo… !

« Ça… ça va être dur… de se concentrer. »

Mais je tente de le faire quand même ! Mes pieds trouvent rapidement les pédales, et je commence à m’activer. Bien sûr je bouge énormément le bassin, et la queue profondément glissée en moi frotte chaque recoin de mes parois vaginales à cause de mes mouvements. Je me maintiens aux poignets du vélo, heureusement solides, le corps déjà bien penché. Et, d’un air aguicheur, je fais un petit clin d’œil à Elda et ouvre les lèvres comme pour l’inviter à venir s’amuser elle aussi…