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La dernière des Hohenstaufen [PV]
Posté : 15 déc. 2024 02:46
par Reine Alice Korvander
On dénombrait en Alsace de nombreux châteaux-forts et autres manoirs médiévaux massifs. Ils étaient le fruit de l’histoire complexe dans cette région frontalière entre l’Allemagne et la France. Beaucoup de ces structures remontaient à l’ère du duc Frédéric II de Souabe, dit « Frédéric le Borgne ». Il faisait partie de la célèbre lignée des Hohenstaufen, lignée qui abrita bon nombre d’Empereurs du Saint-Empire romain germanique comme Frédéric Barberousse. Le Borgne érigea de nombreux châteaux pour protéger son domaine des envahisseurs. L’Histoire perdit la trace des Hohenstaufen au cours du 13
ème siècle, mais ceux-ci ont en réalité toujours survécu, et leur lignée s’est perpétuée. Aujourd’hui encore, la dernière représentante de cette lignée dispose d’une vaste richesse. Par le truchement de sociétés civiles immobilières, de placements boursiers et d’investissements, celle qu’on considérait encore comme «
la Duchesse Hohenstaufen » dirigeait son empire depuis un ancien fort rénové à la Renaissance, reconstruit en
un immense manoir luxueux, le
manoir Hohenstaufen.
Elle s’appelait
Frederika Hohenstaufen. On la surnommait « La Duchesse », mais aussi « La Sorcière »… Car elle était une sorcière. Elle affirmait à quiconque l’interrogeait qu’elle était la fille du dernier des Hohenstaufen à avoir été couronné, l’Empereur Frédéric II, qui fut assassiné le 13 décembre 1250. Un Empereur talentueux, qui parvint à mener à bien la sixième croisade en Terre Sainte, la seule croisade qui se fit de manière pacifique, mais fut comparé par le Pape Grégoire IX à l’Antéchrist, et fut même excommunié deux fois. Le conflit entre Frédéric II et Grégoire IX précipita d’ailleurs la chute de l’Empereur, le Pape l’accusant de nombreux griefs, dont d’hérésie. L’Empereur alla même jusqu’à assiéger Rome, avant de mourir de maladie. Le fait est que l’Histoire oublia que l’Empereur aimait une sorcière, une femme qui fut inhumée avec lui dans son tombeau sous la cathédrale de Palerme. Frederika affirmait que cette femme était sa mère, une femme que l’Empereur récupéra en Terre Sainte, où elle avait appris la sorcellerie. Les gens étaient naturellement en droit de douter des affirmations de la Duchesse, mais sa magie était réelle.
Aujourd’hui, son manoir allait se préparer pour un rituel ancestral que la Duchesse répétait régulièrement. Elle attendait avec impatience. Les technologies du futur n’avaient pas échappé à la Duchesse, et elle avait découvert l’existence d’Internet, des réseaux sociaux, constatant que tous les vices étaient désormais libres et diffusés partout, notamment celui de la luxure. Elle avait réuni un profil d’une vingtaine de jeunes femmes, des
camgirls, ces femmes qui s’exhibaient librement sur Internet. Sur ces vingt noms, des propositions avaient été faites, celles de participer à un concours spécial d’une semaine, le «
concours de la perverse sexuelle ». Le principe était fort simple : accepter pendant une semaine d’être une esclave sexuelle en se livrant à quantité d’actes sexuels pervers et osés. La récompense était détonante, puisque les organisateurs proposaient à celles qui acceptaient leur offre un acompte de 100 000 euros. Celle qui gagnait ensuite les sélections recevrait un second acompte de 500 000 euros, et pouvait ensuite remporter 7 000 000 d’euros, soit un million d’euros par jour. Les offres étaient très sérieuses, car elles avaient été diffusées aux
camgirls par leurs sponsors. Pour celles qui étaient surprises du prix, on leur disait que, pour voyager dans l’espace, les touristes spatiaux avaient dû payer un billet de 25 000 000 d’euros par tête.
La grande gagnante avait été une
camgirl gothique sur laquelle Frederika avait parié dès le début :
Maud Bailey. Une gothique qui n’hésitait pas à faire des
live exhibitionnistes en public, comme se masturber à la fac’, dans un centre commercial, se prostituer en pleine nuit dans un parc. Elle était à la frontière de la légalité, et la Duchesse avait senti en elle une perverse née.
*
La candidate rêvée pour accomplir le rituel…*
Une fois par siècle, Frederika devait réaliser un rituel particulier, une offrande de luxure à destination de sa Déesse. Sa récompense était de conserver ensuite sa jeunesse pendant un nouveau siècle.
Le soir était tombé quand la voiture qu’elle avait fait venir à la gare de Mulhouse se rapprocha. La route menant à son manoir était méconnue, elle ne figurait même pas sur les GPS. La Duchesse tenait à sa discrétion. La voiture se gara sur des garages situés sur une allée annexe au grand manoir. Le domaine était immense, avec un grand chenil pour chiens, et une écurie pour ses chevaux. Intégralement nue, la Duchesse ne portait qu’un long manteau noir qui traînait derrière elle avec une capuche, sa simple tenue de sorcière. Tandis qu’elle rejoignait le hall, elle lévitait un peu au-dessus du sol, les portes s’ouvrant toutes seules à son approche. Il en allait de même pour les bougies, qui s’illuminaient sur son chemin.
Maud fut quant à elle guidée par une très belle maid, qui lui demanda d’attendre dans le Grand Hall. C’était une grande pièce plongée dans la pénombre, avec un énorme escalier intérieur, une mezzanine, et un immense lustre en or qui était éteint… Les bougies s’allumèrent alors, et illuminèrent le Grand Hall. Il y avait des canapés dans les coins, ainsi que de grands candélabres dorés qui s’illuminèrent comme par enchantement. L’escalier intérieur, quant à lui, montait à une estrade avant de se séparer à gauche et à droite. Un immense vitrail se trouvait au-dessus de l’estrade, représentant une divinité nue.
La jeune femme put alors entendre les aboiements de deux chiens, qui s’arrêtèrent sur l’estrade, la regardant, avant de voir Frederika descendre, semblant glisser sur les marches, sa fine main glissant sur la rambarde.
«
Ah ! Vous voilà enfin, Mademoiselle Bailey ! J’avais hâte de vous rencontrer ! »
Elle arriva à l’estrade, et descendit encore, avant de poser ses pieds sur le tapis rouge rembourré. Elle s’avança vers Maud, son manteau ouvert dévoilant sans aucune gêne ses parties intimes. Sa main caressa la joue de Maud, et Frederika, avec ses impeccables lèvres noires, lui sourit.
«
Enfin, on peut se tutoyer, je suppose… Tu es encore plus belle que ce que je pensais, ma chérie. Je suppose que tu dois avoir faim, non ? J’ai souhaité que nous mangions ensemble. »
Tandis qu’elle marchait, ses deux chiens la suivaient. Ils se rapprochèrent de Maud, et vinrent frotter leurs museaux contre ses jambes, en la reniflant.
«
Ne t’inquiète pas, Conrad et Fido sont très obéissants. »
Elle tendit sa main vers Maud, pour que celle-ci la saisisse, avant de rejoindre la salle à manger. Là encore, les portes s’ouvraient devant elles, comme par magie…
Re: La dernière des Hohenstaufen [PV]
Posté : 15 déc. 2024 17:51
par Chloé Faure
Maud était finalement arrivée à destination, après un long voyage de plusieurs heures qui l'avait vue quitter son studio de Paris pour rejoindre la campagne Alsacienne. La jeune femme au look gothique pleinement assumé n'avait guère emportée plus que le strict nécessaire, on lui avait assurée que la totalité de ses besoins seraient pourvus sur place, et à voir la gueule du manoir dans lequel elle allait entrer...oui effectivement.
*Diable, pour avoir du fric, ça, elle doit vraiment en avoir en trop...*
Maud peinait encore à croire dans un certain sens qu'elle se trouvait ici. Tout avait commencé quelques semaines auparavant, quand elle avait reçue dans sa boîte mail pro une proposition pour le moins étonnante, et qui avait aux premiers abords eut tout l'air d'un scam, tant ça semblait trop beau pour être vrai. Maud avait rarement passée une seule période de sa vie sans avoir des problèmes d'argent, et la voilà qui, en n'ayant pas fait grand chose de plus que d'accepter de participer à des "sélections", se retrouvait avec pas moins de 600.000 euros sur son compte en banque, et elle se trouvait ici dans l'optique d'en gagner plus.
La jeune femme avait été repérée via son compte Chaturbate, par une richarde qui, de toute évidence, l'avait trouvée à son goût et souhaitait disposer de ses services pour une semaine entière, tous frais compris. Les tarifs qui lui étaient offerts étaient proprement démentiels, car outre ces centaines de milliers d'euros qu'elle avait reçue juste en participant à une audition en visio, et en étant sélectionnée, Maud avait été garantie de gagner pas moins d'un million d'euros par jour. Forcément, l'idée qu'il devait y avoir des conditions que la jeune femme n'avait pas encore cernée, ne la quittait pas, et elle ne pouvait qu'imaginer ce qui pouvait bien justifier qu'elle soit payée une telle somme. Cela étant, toute aussi prudente soit-elle, l'idée aussi d'avoir ses besoins financiers couverts pour au bas mot une décennie en échange d'une semaine de "travail" avait eu de quoi la faire franchir le cap, et accepter de venir ici.
Maud n'avait qu'un petit sac à dos sur son dos, comportant ses affaires essentielles comme son pc portable et son téléphone. Même si on était le soir, les températures de ce plein mois de juillet rendaient sa tenue actuelle, composée de rangers, d'un mini-short en jean, et d'un débardeur sans manches noir, bien confortable. Après un bref moment à contempler cette bâtisse, dont la seule entrée faisait plusieurs fois la taille de son logement, elle rentra et patienta dans le hall que la propriétaire des lieux ne vienne la chercher. Tout, absolument tout dans ce lieu, sentait le luxe associé à la décadence. Elle fût sortie de ses rêveries en entendant des aboiements, en provenance de deux bergers allemands qui se pointèrent dans sa direction. Naturellement prudente, elle entendit aussi toutefois, et très vite, une voix venir d'en haut.
Bonsoir, Madame.
Polie, Maud n'allait toutefois pas se risquer à essayer de prononcer, et donc de charcuter, son nom de famille à consonnance germanique. Ce petit détail mis à part, Maud eût alors bien du mal à ne pas regarder la "duchesse". Elle avait vu des photos d'elle en faisant quelques recherches sur le net, mais en vrai, elle était encore plus sublime, un fait exacerbé par le fait qu'elle était quasiment nue. N'osant pas encore trop bouger et ne sachant guère où se mettre, en partie car elle avait la peur irrationelle de casser quelque chose qui vaudrait des dizaines de milliers d'euros, Maud laissa Frederika s'approcher d'elle, et poser une main sur sa joue.
Et bien je...je ne dirais pas non, le voyage jusqu'ici a été long, même si la vue en vaut la peine.
Voulait-elle parler de l'environnement, ou bien du spectacle que la propriétaire lui offrait ? Elle se mirent en marche, Maud frémit un instant à la sensation des deux chiens qui s'étaient glissés derrière elle, et qui frottèrent leurs museaux contre ses cuisses.
Oh je...suppose ? Désolée je ne suis pas vraiment habituée à côtoyer des chiens, mais ils ont l'air de bien vous...enfin te protéger. Pardonne ma curiosité mais je ne peux m'empêcher d'avoir énormément de questions quand à ce qui est attendu de moi durant cette semaine. Enfin, j'ai des doutes bien sûr, mais je n'ai jamais été payée autant pour mes services...
Re: La dernière des Hohenstaufen [PV]
Posté : 15 déc. 2024 19:46
par Reine Alice Korvander
À l’ère des réseaux sociaux, même Frederika ne pouvait échapper à une discrète notoriété. Sur Google, son nom renvoyait à des articles historiques, à des conférences qu’elle avait organisés, et à une interview qu’elle avait tenu au journal Historia sur la dynastie des Hohenstaufen. En regardant bien, on pourrait aussi voir qu’elle avait des liens avec les politiciens. Elle était titulaire de la Légion d’honneur, et consentait des prêts à l’État français. Son nom apparaissait aussi dans certains sites complotistes, ces mêmss sites qui affirmaient que François Mitterrand consultait une voyante, avant qu’Elisabeth Teissier ne confirme avoir été consultée.
La Duchesse rejoignit une grande salle à manger, avec une grande table antique. Frederika s’en éloigna toutefois, et rejoignit un coin salon avec une grande cheminée éteinte, une peau d’ours blanc sur le sol, et un canapé avec deux fauteuils. Elle claqua des doigts avec sa main libre, et le feu s’illumina alors, les bûches s’enflammant. Le manteau de Frederika se défit alors, et elle invita Maud à s’asseoir sur le canapé. Elle-même s’assit sur le fauteuil, à gauche du canapé, et déplia ses longues jambes, qu’elle posa sur les genoux de Maud. Frederika lui sourit alors, tout en mordillant un bout de son doigt. Une servante lui apporta à boire dans un calice doré.
« J’ai eu envie de faire simple ce soir, l’un de mes hommes devrait nous amener un McDo. »
Des goûts simplistes qui tranchaient avec l’austérité et la solennité de ce vaste manoir.
« Tu vas avoir l’occasion de poser toutes tes questions, ma chérie, mais je vais commencer par y répondre. Pour ce qui concerne l’argent, cela n’a jamais été un souci pour moi. J’ai des cabinets d’investissement qui ont investi mes fonds dans divers placements boursiers et autres actions. Donc, n’aie pas peur de me ruiner, mon cœur, sache juste que tu vaux entièrement l’investissement que j’ai placé en toi. »
Frederika avala le contenu de son verre, tandis qu’on présenta aussi à Maud un même calice. Le goût du liquide variait selon les personnes et leur goût, mais il correspondait à ce que Maud aimait le plus au niveau des boissons. Frederika remua légèrement ses doigts de pied en poursuivant :
« Je t’ai choisi parmi bien d’autres, car j’ai senti que tu avais en toi le potentiel de réussir mon… Petit séminaire. Sache qu’il ne t’arrivera rien d’irréversible. Tu ne vas pas mourir, ou être découpée en rondelles, ou droguée pour être prostituée à Bangkok, ou que sais-je encore. Non, non… Ces sept jours que tu vas passer ici seront néanmoins bien orientés sous le signe de la luxure et du vice. Si tu réussis, nous serons toutes les deux gagnantes, à un point que tu ne peux l’imaginer, et tu gagneras le droit, soit de retourner chez toi et de vivre ta belle petite vie de multimillionnaire jusqu’à devenir vieille et mourir, soit de rester ici. Le choix t’appartiendra. »
Maud put constater que le contenu du calice se remplissait de nouveau quand elle avait fini, lui proposant une boisson différente. Frederika laissa glisser sa main libre vers la peau de bête. Ses deux chiens s’y étaient couchés, et l’un d’eux mugit en venant lécher ses doigts. Frederika sourit doucement, puis regarda à nouveau Maud.
« Vas-y, pose tes questions, ma belle… Et n’hésite pas à caresser mes pieds si tu le souhaites… » proposa-t-elle sensuellement, la lumière issue des flammes se réfléchissant sur le corps de la Duchesse.
Re: La dernière des Hohenstaufen [PV]
Posté : 15 déc. 2024 21:17
par Chloé Faure
Que Maud se pose des questions sur la nature de sa présence ici n'avait pas de quoi surprendre, elle avait bien une petite idée, mais les spécificités exactes lui étaient encore inconnues. Et, quand on est payée un million d'euros la journée, les spécificités devaient bien avoir leur importance. Maud fût amenée dans ce qui semblait être une bonne grande salle à manger, mais fût menée, plutôt qu'à la table, vers un luxueux canapé bordé à droite et à gauche de fauteuils. Au pied de cet ensemble se trouvait une peau de bête, et un peu plus loin encore, une grande cheminée, avec un feu qui s'alluma instantanément dès lors que Frederika claqua des doigts, ce qui ne manqua pas de surprendre Maud.
Wow...c'est...pratique comme système d'allumage.
Pour autant qu'elle le sache, les portes qui s'étaient ouvertes à leur venue étaient équipées d'un système automatisé, et il devait aussi y avoir de bons équipements high-tech camouflés dans cette cheminée à l'apparence pourtant authentique. Que ne pouvait-on pas se permettre d'avoir dans sa résidence quand on était aussi riche ? Maud prit place sur le canapé, là où Frederika s'installa sur un des fauteuils adjacents. Maud sentit sa gorge brièvement s'assécher quand la duchesse laissa tomber son fin manteau, se révélant complètement nue avant de s'asseoir, puis de dresser ses jambes de façon à les poser sur les généreuses cuisses de Maud. L'atmosphère montait vite en température, et pas que à cause du feu qui crépitait désormais non loin d'elles. Bisexuelle assumée, Maud éprouvait une réelle attirance vis à vis de son hôte, qui avec ses cheveux roux, sa peau pâle, et ses formes sveltes, avait de quoi faire saliver n'importe qui. Elle se fit également servir un chalice, dans lequel semblait se trouver une de ses boissons favorites, à savoir de la vodka orange finement dosée. Comment avait-elle pu le savoir ? Bonne question, mais la duchesse tenait à parler avant toute chose pour dissiper certains des doutes que Maud pouvait avoir. La jeune femme n'avait cela guère plus que la parole donnée de son hôte qu'il ne se passerait rien de dangereux mais...allez savoir pourquoi, son instinct lui disait que c'était bien le cas.
Hmmm et bien, vous venez de répondre à une bonne partie. Désolée si j'ai pu sembler méfiante, mais ce n'est encore une fois pas tous les jours qu'on propose une telle somme, même si ça ne représente pas grand chose pour vous. Généralement, quand c'est trop beau pour être vrai, c'est que ça l'est...mais...disons que je vous fais confiance.
Le charme naturel de sorcière faisait effet sur l'esprit de Maud, ainsi que un petit peu l'alcool qu'elle venait d'ingurgiter. Elle reposa toutefois son chalice au bout d'un moment, afin que ses deux mains puissent être dédiées à caresser les pieds et les mollets de Frederika.
Si effectivement aucun mal ne m'est fait, alors je suppose que ça couvre une grande partie de mes questions. Du reste, je dois admettre avoir envie de tout savoir dans les moindre détails, mais de l'autre, je suis assez tentée de me laisser surprendre par ce que vous estimez valoir un million d'euros par jour. Alors hum...disons que je vais me laisser le plaisir de la découverte, au fur et à mesure. Je n'ai qu'une seule condition, si il doit y avoir enregistrements, que ça soit à votre usage privé exclusif, pas de diffusion où que ce soit, ou sous quelque forme que ce soit.
Que ce qui se passe dans ce manoir, reste dans ce manoir en somme. Pendant ce temps, Maud massait avec une certaine expertise les parties de jambes qui lui étaient offertes.
Vous avez une peau très douce, maîtresse...[/i]
Re: La dernière des Hohenstaufen [PV]
Posté : 16 déc. 2024 01:32
par Reine Alice Korvander
Quand Maud avoua être méfiante, et s’en excusa, Frederika gloussa joyeusement.
« Darling, tu es invitée au fin fond d’une vallée en Alsace, dans un immense manoir qui serait parfait pour un décor de film d’horreur, avec une hôtesse qui ouvre les portes et allume les feux par magie, et qui est à poil comme si c’était naturel… Que tu n’aies pas fui en courant est à mon sens la preuve que tu es complètement irrationnelle… »
Frederika but encore un peu, tout en remuant encore ses orteils. Ses ongles avaient été teints en noir, eux aussi.
« Ou peut-être que, au fond de toi, inconsciemment, tu te dis que tu es peut-être face à la chance de ta vie. Toi, une modeste étudiante qui as dû mettre tes gros seins en ligne pour avoir de quoi payer ton loyer… Peut-être bien que tu le ressens en toi… Ce frisson, cette excitation du risque, et la promesse que tu vas vivre ici une aventure extraordinaire. J’étais sûre que tu serais la bonne, Maud, je l’ai su dès que j’ai commencé à t’étudier. »
La Duchesse sourit ensuite. Maud avait complimenté la qualité de ses pieds, en l’appelant tout naturellement « Maîtresse ». Elle apprenait vite. La Duchesse se redressa un peu.
« Ce soir, ça ne compte pas, les épreuves commenceront demain. Ce soir, j’ai juste envie de te faire l’amour, ma belle… Demain, les choses sérieuses commenceront. Alors, on va commencer par épancher ta soif, ta vraie soif… »
Frederika releva son pied, et le posa contre le bas du visage de Maud, fourrant plusieurs orteils dans sa bouche, tandis que son autre pied se releva également pour frotter l’un des seins de Maud. Frederika fit durer le plaisir pendant quelques instants, s’appuyant avec ses mains sur les accoudoirs de son fauteuil, surélevant ainsi un peu son corps. Cela confirmait aussi qu’elle était effectivement très svelte et acrobate. Elle retira ensuite ses pieds, et sourit.
« Déshabille-toi, ma poupée. Je veux voir tes formes somptueuses, je veux que tu t’agenouilles sur cette peau de bête, et que tu me lèches les pieds en disant combien tu as envie de me faire l’amour… »
Re: La dernière des Hohenstaufen [PV]
Posté : 16 déc. 2024 11:46
par Chloé Faure
Il y avait définitivement quelque chose d'étrange qui se passait dans ce lieu, et avec sa propriétaire, chose que cette dernière ne manqua pas d'ailleurs d'elle même lui faire noter, au vu du fait que Maud était toujours là. Par magie ? S'agissait-il d'une espèce de métaphore, ou bien voulait-elle dire ça au sens littéral ? Avec ses airs, son attitude, et son apparence, Frederika aurait presque pu qualifier pour avoir tous les attributs d'une sorcière.
Et bien...quel est ce proverbe déjà ? La chance souris aux audacieux, ou quelque chose du genre ? J'imagine que je suis au minimum curieuse de ce que tout..."ça" signifie.
Maud avait-elle son jugement altéré par une quelconque magie ? Si c'était le cas, elle n'en aurait absolument pas l'impression. Elle ne pouvait nier qu'il y avait comme une espèce d'ambiance de mystère ésotérique qui s'échappait de sa situation actuelle, mais elle n'avait pas l'impression d'être en danger ici, et puis, ce n'était pas comme si Maud était une catholique pratiquante, ou quelque chose du genre...
Il y avait aussi, indéniablement, le fait que Maud commençait à se sentir excitée par son hôte, qui était d'une beauté redoutable, et dont l'aura naturelle lui avait donnée naturellement l'envie de l'appeler "maîtresse". C'était sorti très spontanément, sans y réfléchir plus que ça, car ça lui semblait adapté, non seulement à ce qui allait se dérouler dans les prochains jours, mais aussi à ce qu'elle avait envie. Frederika mentionna que les choses sérieuses ne commenceraient qu'à partir de demain, et que ce soir, elles allaient "juste" s'amuser ensemble. Maud esquissa un sourire, mais n'êt guère l'occasion de répondre dans la foulée, puisque la duchesse se redressa sur son siège, prenant appui sur les accoudoirs pour pouvoir hausser encore la hauteur à laquelle elle pouvait placer ses pieds. De ce fait, avec cette posture qui demandait une certaine agilité et un sens de l'équilibre, Frederika pu poser l'un de ses pieds à hauteur de la bouche de Maud, et l'autre sur un de ses seins. La belle gothique en profita naturellement alors pour déposer quelques coups de langue sur ces orteils qui lui étaient offerts, mais ça ne dura pas très longtemps.
Frederika retira ses jambes, puis donna quelques instructions à Maud. Cette dernière hocha la tête en signe d'approbation, puis se releva avant de finalement s'approcher d'assez près de la duchesse.
Là, je ne voudrais pas que vous en loupiez la moindre miette, surtout que j'adore qu'on me matte comme vous êtes en train de le faire, maîtresse.
Maud n'avait pas de chaussures à enlever, puisqu'elle les avait déposées dans le hall d'entrée avant de pénétrer plus profondément dans le manoir. Elle pu alors directement saisir le bas de son débardeur noir, qu'elle commença alors à remonter. Sans y aller lentement, Maud ne cherchait pas non plus à être dans l'urgence de se déshabiller entièrement, elle prenait juste assez son temps pour que Frederika aie de son côté le sien pour regarder un peu plus en détail ce qu'elle dévoilait. Maud retira donc son débardeur, et se retrouva en soutien-gorge, qui semblait avoir presque du mal à contenir la poitrine de sa propriétaire. La jeune femme sourit en voyant le regard de son hôte naturellement se diriger vers ses seins, surtout quand elle fini par dégrafer son soutif, pour les laisser à l'air libre.
Vous voulez les toucher ? Je ne doute pas que vous avez déjà du les voir si vous avez fait des recherches sur moi, mais entre voir et sentir, il y a un monde de différence...
Maud aida même à sa façon, en se penchant, et en prenant appui avec ses bras tendus sur les accoudoirs du fauteuil où Frederika était assise. Ainsi penchée vers elle, Maud positionnait ses seins généreux plus ou moins à hauteur du visage de Frederika, qui pourrait à loisir les toucher, ou les embrasser, ou pourquoi pas même les deux.
Hmmm...vous aimez mes gros seins maîtresse ? Ils sont là rien que pour vous...
Maud ne faisait clairement pas "que" suivre bêtement les consignes qui lui étaient données, et laissa donc pendant un moment à sa maîtresse l'opportunité de profiter de ses seins comme bon lui semblait, jusqu'à ce que doucement, Maud se redresse...puis se retourne.
Mais je suppose qu'il n'y a pas que ça que vous avez aussi envie de sentir...
Elle se courba légèrement en avant, bombant de la sorte ses fesses, tandis qu'elle déboutonna son mini-short en jean pour le laisser ensuite glisser le long de ses jambes. Maud ne portait pas de culotte en dessous, alors Frederika eût vite en face d'elle le prestigieux cul de sa gothique en location. Cette dernière se courba encore, se penchant en avant, tout en posant ses main sur ses genoux pour y prendre appui, dans une position où elle offrait à sa maîtresse ses deux agréables fesses, ainsi qu'une vue toute aussi belle sur sa chatte proprement épilée, et son anus qui semblait bien étroit. Le choix de comment s'en occuper était celui de Frederika, là encore, Maud lui offrait son corps sans gêne ni crainte, bien au contraire.
Hmmmm...Je...dois-je en conclure que maîtresse est satisfaite de son investissement ? Haaa...<3
Maud en tout cas semblait bien partie sur l'optique de lui en donner pour son argent. Une fois encore, au bout d'un moment, la gothique finirait par changer de position, et par adopter sensuellement celle que sa maîtresse lui avait demandée de prendre. A genoux, face à elle, elle posa alors ses mains sur le talon et le mollet d'une des jambes de la duchesse pour la remonter, et mener son pied à hauteur de son visage pour commencer à le lécher.
Vous êtes magnifique maîtresse, si belle, et tellement sexy. Je vous ferai la totale, et tout ce que vous désirez, toute la nuit si c'est ce que vous voulez, hmmm...
Re: La dernière des Hohenstaufen [PV]
Posté : 16 déc. 2024 21:44
par Reine Alice Korvander
«
Scheiße… » soupira Frederika quand Maud se dandina devant elle, et lui présenta ses deux obus moelleux, ce qui l’amena à utiliser la langue allemande, signe évident chez elle qu’elle était confuse.
La Duchesse frémit lentement en les observant. Oui, elle ne pouvait pas nier l’évidence, la poitrine de Maud l’intriguait énormément ! Elle était en aloi avec le reste de son corps. Frederika, qui avait une très petite poitrine (elle aurait pu utiliser la magie pour les gonfler, mais cela aurait brisé l’harmonie de son corps), soupira donc. Sa main se déplaça, et elle pinça l’un des seins de Maud, le malaxant, tandis que celle-ci, bien moins timide que ce qu’on aurait pu croire de prime abord, s’amusait du désir de Frederika. La Duchesse était en tra in de se dire que Maud était sans doute la plus belle des femmes qu’elle ait eu de toute son existence… Et l’une des plus perverses. À chaque fois, ses amantes se rebiffaient, paniquaient, aucune ne se montrait aussi délurée. Frederika s’en mordilla les lèvres, et malaxa ensuite le second sein de la femme. Elle les pressa ensuite, amoureusement, les remuant en les écartant, serrant ses doigts dessus.
Elle se pencha ensuite, et embrassa l’un de ses seins, léchant le téton, puis croisa le regard de Maud.
«
Oui… Tes gros seins moelleux… C’est à croire que tu as été façonnée pour être une salope, ma chérie… »
Frederika l’insultait déjà, comme un moyen de marquer son empreinte sur elle. Elle sentit les tétons de Maud se durcir, mais celle-ci se retira ensuite, et continua à se déshabiller, lui présentant désormais la vue torride de
ce délicieux cul.
«
Heilige Scheiße ! Tous tes profils sont décidément irrésistibles, ma belle… Mein wunderschöner Schatz… »
La Duchesse releva son pied, et le posa sur les fesses de la femme. Elle appuya dessus. Elle avait senti les lèvres de Maud embrasser ses orteils, et elle appuya dessus, tout en caressant avec les orteils de son autre pied sa croupe, titillant sa porte arrière, puis ses lèvres intimes. Elle écouta Maud parler, et Frederika sourit, sentant elle aussi une vive chaleur entre ses cuisses.
«
Oh… Pour l’heure, tu tiens toutes tes promesses, Fräulein… »
Frederika la laissa ensuite se retourner, tout en ayant dans sa tête beaucoup d’idées peu chastes. Elle serra ses mains sur les accoudoirs, tandis que Maud remonta jusqu’à lui lécher le visage. Frederika frémit alors… Et releva ses jambes, qu’elle enroula autour de la taille de Maud. Elle posa alors sa main sur sa nuque, et poussa en, avant, ce qui fit que Maud bascula au sol, emportée par Frederika.
«
Bordel, tu es vraiment une sacrée catin, toi ! »
La Duchesse l’embrassa énergiquement, se pressant contre le corps à moitié couché de Maud. Elle serra ses cheveux dans sa main, optant pour un baiser sensuel et fiévreux, un baiser empreint d’énergie et de passion, où sa langue s’enfonça dans la bouche de Maud avec appétit. Elle posa dans la foulée ses genoux sur le tapis, et rompit ensuite le baiser, tandis que le feu s’embrasa dans la cheminée.
«
Haaaa, ce que j’aime ce frisson, cette excitation… Ce plaisir à l’idée de baiser avec de petites gourgandines comme toi… »
Souriant lentement, elle caressa doucement la joue de Maud, et promena son pouce sur ses lèvres. Elle la poussa ensuite, et la tête de Maud alla se reposer sur le flanc d’un des chiens de Frederika. L’autre chien s’était redressé, et Frederika pressa encore les seins de la femme, puis alla les suçoter, tandis que le chien approcha son museau du visage de Maud… Et entreprit alors de la lécher à son tour, promenant sa langue râpeuse sur ses joues et sur ses lèvres…
Re: La dernière des Hohenstaufen [PV]
Posté : 17 déc. 2024 11:54
par Chloé Faure
Si la raison principale de la présence de Maud ici était effectivement l'argent, elle n'était pas la seule pour laquelle la jeune gothique ne se contentait pas "que" de suivre à la lettre les instructions de Frederika. Cette dernière était tout simplement belle, et tout aussi simplement, Maud avait envie de coucher avec elle, une envie qui n'avait rien à voir avec une quelconque somme d'argent pour le coup. Cette femme l'excitait, elle l'avait excitée forcément dès le premier regard où elle s'était présentée presque complètement nue, et elle l'excitait à ainsi la palper avec envie, et à lui parler parfois en allemand, tout en la gratifiant de petites insultes érotiques ça et là qui contribuaient à installer leurs rôles respectifs.
Maud s'offrait donc volontairement, et très sensuellement, aux caresses et aux baisers de la duchesse, qui profita amplement de son généreux corps. Des contacts très charnels, très chauds, qui firent naturellement monter la température chez Maud.
Hmmm...Je suis contente que maîtresse me trouve à son goût...<3
Et c'était bien peu dire ! Maud s'était retournée après avoir offert sa croupe aux caresses de pied de Frederika, suite à quoi cette dernière lui sauta presque littéralement dessus, en enroulant ses jambes autour de sa taille, et en la saisissant par la nuque. Ce faisant, et en la poussant, Maud perdit son équilibre et se retrouva donc assise au sol, avec Frederika "assise" en tailleur sur elle, ses jambes lui entourant la taille, et elle ne manqua pas de la traiter de catin.
Ouf...et bien, on dirait presque que je suis la première qui vous fait autant d'effet...
Maud lui offrit un sourire coquin avant de répondre chaleureusement à son baiser, qui dénotait toute l'envie que la duchesse éprouvait à son égard. Pas timide pour un sou, et très excitée par le petit show que Maud venait de lui donner, Frederika y alla rapidement avec sa langue, venant à la rencontre de la sienne dans un ballet ou leurs têtes remuaient de concert au rythme des tournoiements de leurs langues l'une contre l'autre. Maud profita de sa position pour glisser ses mains, respectivement, sur une fesse et un sein de la duchesse, afin de les malaxer et de les pincer. Si Frederika semblait apprécier les courbes très prononcées de Maud, cette dernière appréciait tout autant le côté svelte de sa partenaire, qui faisait un beau contraste entre elles. Oh oui ça y est, Maud était pleinement excitée. Quand Frederika retira ses lèvres pour glisser son pouce sur ses lèvres, Maud le prit instinctivement dans sa bouche pour brièvement le sucer, avant qu'elle ne se fasse à nouveau pousser se sorte à être pleinement allongée sur le sol.
La position n'était toutefois pas désagréable, elles se trouvaient sur la large peau de bête et, à sa surprise initiale, Maud se retrouva avec sa tête et ses épaules reposées sur le flanc d'un des chiens qui s'était mis en position couchée derrière elle.
Ah...
Maud hésita un bref moment, avant de constater que le chien ne bougeait absolument pas, semblant la tolérer, voire même s'attendre à ce que pareille chose finisse par se produire. Maud demeurait naturellement prudente face à des chiens qu'elle ne connaissait pas, surtout face à deux gros bergers allemands, mais ces derniers semblaient...au delà du stade d'être juste bien dressés. De ce fait, non seulement celui sur lequel Maud était partiellement allongée ne bougea pas d'un iota, mais le deuxième se redressa pour venir vers elle, et commença à venir lui lécher le visage.
Hmmm...
Maud fut initialement surprise, mais comprit aussi, étonnament très vite, que la façon dont se chien était en train de la lécher n'était pas quelque chose de classique, comme pouvait naturellement le faire n'importe quel chien ainsi. Non il...c'était comme si il insistait sciemment, d'autant qu'il se dirigea rapidement vers ses lèvres, avec ses multiples coups de langue, fourrant son museau contre elle comme si il voulait...l'embrasser.
*Est-ce que...il veut me...*
Maud se risqua finalement à entrouvrir ses lèvres, et le chien glissa effectivement sa langue dans sa bouche afin de la lécher ici, frénétiquement. La jeune femme se crispa sur place, certainement pas habituée à pareille interaction avec un chien, et pendant ce temps, Frederika s'occupait de ses seins, visiblement autorisant pleinement son chien à agir de la sorte, comme si c'était...attendu. Au bout d'un moment, le chien se retira après l'avoir longuement léchée dans l'intérieur de sa bouche, et entreprit de lui lécher le creux de son cou.
Aaaah...M-maîtresse est-ce que...vous allez me faire baiser avec vos chiens ? Je...je n'ai jamais fait ça...
Une pointe d'appréhension la traversait bien sûr à l'idée que ça soit potentiellement le cas, et au vu de ce qui se passait, plus de la somme qu'elle était payée, que la zoophilie fasse partie des tâches qui étaient attendues d'elle ne semblait pas exclu. Mais à l'appréhension, semblait indéniablement aussi se mêler, une pointe de curiosité et d'excitation...
Re: La dernière des Hohenstaufen [PV]
Posté : 17 déc. 2024 22:30
par Reine Alice Korvander
La douce fraîcheur de Maud, cette perversion juvénile… Oui, Maud n’était pas une jeune fille, elle était tout à fait mûre, mais, aux yeux de la Duchesse, elle était jeune, si jeune… Alors, oui, la Duchesse ressentait un irrésistible frisson. Cette petite Maud était très bonne, dans tous les sens du terme, ce que ses chiens avaient ressenti. Frederika n’avait pas donné l’ordre à Conrad d’aller lécher le visage de Maud et de l’embrasser. Elle avait réagi en le laissant faire, mais elle pouvait sentir une certaine forme d’appréhension chez Maud, même si elle ne repoussa pas son berger allemand. Conrad avait une solide érection, et il fourra sa langue baveuse en elle, pendant un certain temps. Mais, quand il se retira, Maud lui fit part de ses doutes. Frederika se redressa un peu, et embrassa alors Maud sur les lèvres. Elle se pressa contre elle, pressant son svelte petit corps contre celui plus généreux de Maud. Elle fourra encore une fois sa main dans ses cheveux, les pressant, tout en s’appuyant contre elle, voulant à nouveau sentir les mains de Maud pétrir ses fesses. Elle s’était aussi attaquée à ses seins, faisant frémir la Duchesse, même si, quitte à choisir, elle préférait largement qu’on palpe son postérieur,
son délicieux cul bien ferme et rebondi. À chaque fois que Maud le pressait, Frederika frissonnait sur place, ce qui conduirait sans doute Maud à comprendre que la Duchesse était une grande sodomite.
Rompant ce baiser bien baveux également, elle lécha à son tour la joue de Maud, glissant sur la salive de Conrad.
«
Navrée, Conrad ne devait pas se réveiller, mais il a dû sentir combien j’étais excitée… Tu n’as rien à craindre de mes chiens, Maud, ils ne te feront jamais de mal… Sauf si tu tentes de te reculer alors qu’ils te font l’amour. C’est le seul moment où leur instinct d’animal reprend le dessus, mais ils ne te mordront jamais. Tu peux me faire confiance, je les ai éduqués pour ça. »
Tandis qu’elle parlait, Conrad se déplaçait. Frederika commençait à doucement bomber ses fesses vers l’arrière. Son chien lécha cette partie de son corps, et Frederika frémit doucement, commençant même à mouiller.
«
On ne va pas brûler les étapes, mon cœur… Mais oui, l’une des étapes de ton séminaire ici va être de coucher avec mes braves animaux. Je sens que cela te partage… Entre un désir profond et une anxiété. Ta conscience qui se heurte à tes désirs, tu es si mignonne… Alors, je vais te montrer que tu n’as pas à t’en faire, ma chérie. Conrad va me sodomiser sous ton nez… Tu vas me voir jouir devant toi, et tu comprendras combien c’est bon… Et que, peu importe ce que je te fais subir, hmmm… Tu ne risqueras rien d’autre que prendre ton pied comme tu n’as jamais pu en rêver. C’est ça que je te propose, Maud… Une semaine de pure jouissance, une semaine de folie dans ta vie où tu auras le choix, à la fin, de vivre cela jusqu’à la fin des temps, ou de revenir à la raison, et de rêver toutes tes nuits à cette vie pleine de délices et de stupre dont je t’offre un avant-goût… »
Conrad s’était relevé. Il avait patiemment léché le fondement de Frederika, puis son corps massif s’appuya sur le sien. Ensuite, Conrad approcha sa verge de son délicieux cul.
«
Écarte mes fesses, ma chérie… Je veux sentir tes mains me malaxer le cul pendant que Conrad me défonce… »