Page 1 sur 1

Orientation professionnelle [Inoue Yurina]

Posté : 15 déc. 2024 15:28
par Fubuki Aihara
NdA : RP annulé, car incompatible avec le nouveau BG de Inoue

Fubuki jouait avec son collier en cuir d’une main et se caressait le ventre de l’autre. Elle avait rarement été aussi heureuse ! Qui aurait cru qu’il fallut pour cela qu’elle soit une esclave ? Elle jouait avec le collier d’esclaver que sa Maîtresse, Mélidna Warren, lui avait remis quand Ai, sa petite-sœur, l’avait convaincu de venir dans le manoir de Mélinda. Elle avait été mordue par une vampire, officiellement une lycéenne ici ! Fubuki avait été jalouse d’elle, de la relation intime entre sa Maîtresse et Ai, sa petite-sœur adorée. Alors, sa Maîtresse avait fait ce qu’elle savait faire de mieux : la soumettre sexuellement. Maintenant, Fubuki était en couple avec une autre esclave de Mélinda, Bakugo-sensei, une professeur qui était inféconde jusqu’à ce que Maîtresse ne lui permettre de porter la vie. Fubuki l’avait enfanté, et elle avait elle-même été fécondée par Ai, accomplissant enfin son amour incestueux envers sa sœur. Cependant, si Ai-chan adorait vivre au manoir, Fubuki était un peu plus grande, et elle envisagerait désormais de vivre avec Bakugo-sensei, dans une maison à l’extérieur du manoir, tout en y étant à jamais liées. Et, maintenant que Fubuki servait Mélinda, il lui appartenait de trouver de nouvelles recrues. Pour cela, Fubuki pouvait compter sur son poste de conseillère d’orientation, qui lui permettait d’accéder aux dossiers des élèves.

C’est ainsi qu’elle avait trouvé sa proie potentielle, en la présence de Yurina Inoue. Elle avait connu sa grande-sœur, Erika, car elles avaient fait leurs études ensemble, à l’université. Comme quoi, le monde était petit ! Erika Inoue… Fubuki se rappelait que les garçons lui tournaient autour en raison de sa poitrine, et, comme elles étaient toutes les deux originaires d’Atarashï Yoake, cela les avait rapprochés. Elle avait parfois pu voir Yurina quand elle était venue rejoindre Erika dans leur appartement. Les deux avaient même été provisoirement colocataires, mais Fubuki avait fini ses études universitaires avant Erika.

Elle constata vite que, si Yurina était une bonne élève, elle était aussi discrète… Très discrète ! Une timidité qui en devenait même compliquée, car elle n’avait encore rejoint aucun club extrascolaire. Sa timidité confinait à une forme d’enfermement liée, selon les données du psychiatre du lycée, au décès accidentel de sa mère.

*Erika m’en avait parlé…*

Maintenant qu’elle y repensait, la relation entre Erika et Yurina avait été assez fusionnelle, elle aussi, deux sœurs qui s’étaient rapprochées suite au décès de leur mère. C’était sans doute ça qui avait convaincu à l’époque Fubuki de se rapprocher d’Erika, l’idée que l’histoire des Inoue ressemble à celle des Aihara. Elle avait décidé de convoquer Yurina pour un entretien d’orientation, une excuse parfaite pour sa première mission. Elle avait également rencontré sa Maîtresse, qui avait étudié avec elle le dossier de Yurina, et lui avait donné son aval. Enfin, comme Maîtresse aimait les relations incestueuses, et que cela était aussi le cas de Fubuki, elle avait écrit à Erika, en l’invitant à passer un week-end à Yoake. Elle apprit dans la foulée qu’Erika recherchait un stage de fins d’étude dans un cabinet d’avocat. Cela tombait bien, car Fubuki était souvent en lien avec le cabinet d’avocat qui administrait le Fonds Jinmu, un fonds d’investissement public et privé servant à financer le lycée : le cabinet Dowell.

Fubuki attendait donc Yurina dans son bureau, et, quand elle toqua à la porte. Fubuki parla d’une voix forte :

« Tu peux entrer ! »

Elle s’extirpa de son fauteuil, et sourit doucement à la belle Yurina.

« Vas-y, installe-toi, je suis ravie de te voir, Inoue-san. »

Fubuki se courba légèrement en signe de politesse, puis elle laissa Yurina s’asseoir.

« C’est notre premier entretien d’orientation. Tu n’as pas à être inquiète, et je sais que tu as passé une longue journée de cours. Le lycée Jinmu veille beaucoup à l’orientation professionnelle de ses élèves, et c’est à ce titre qu’il me semblait important que nous nous rencontrions. »

Fubuki se racla la gorge après quelques secondes :

« Tu te souviens de moi, ou pas ? J’étais la colocataire de ta grande-sœur, tu étais venue parfois dans notre appartement à Tokyo. Tu as bien grandi, en tout cas ! Donc, tu comprends pourquoi je voulais absolument m’occuper de toi ! Est-ce que tu sais ce que tu comptes faire plus tard ? »