Cela faisait déjà un moment que Lyli patientait sur la terrasse d'une belle auberge, proche d'une zone maritime. Elle n'était pas trop dépaysée, avec l'eau en première ligne de vue, et les effluves salines parfumant l'air. Grâce à ses jambes, et son aisance même en dehors de l'eau, personne ne la soupçonnait d'être une créature marine, variantes des légendaires sirènes. Au pire des cas, on la prenait juste pour une étrange femme, belle, avec une tenu, excentrique, moulante et brillante. C'est d'ailleurs cette même particularité, qui avait intrigué trois jours plus tôt cette femme du nom de Purah.
Comme une rencontre aquatique avait parlé à Lyli de l'existence du Lys et de ses mœurs, la sirène avait été assez curieuse pour aller y faire un tours. Comme la race de Lyli est unique est très méconnue, elle fut assez vite une curiosité. Croiser une sirène, c'est une chose, mais la variante à laquelle Lyli appartient est rare, et peu d'ouvrage en parle. Cette rareté est surtout du à son peuple vivant très reclus, n'ayant normalement aucune interaction avec les autre espèces. Ces guerrières des mers doivent protéger les failles abyssales, pour que les monstres vivant ne remontent pas ! Lyli étant une déserteuse, c'est surement l'une des seules membres de son espèce depuis des générations, à avoir eu des interactions sociales hors de son peuple.
Voila pourquoi elle avait tant attiré la curiosité, et avec le nombre de prétendante qui s'étaient bousculées, cette femme nommée Purah arriva... un peu tard ! sa curiosité envers Lyli semblait sans limite, et elle ne semblait pas farouche, toujours en quête d'expérience. Cependant, Lyli avait été reput ce soir là, elles n'ont donc fait que parler, rien de plus. La sirène lui parla plus amplement de son espèce, de leurs connaissances de certains lieux antique et...C'est ainsi que Lyli vint à attendre ici, sans même savoir si elle était en avance ou en retard, vu sa notion du temps pourrit. C'est pas comme si les sirènes portaient des montres...
- J'ai accepté de venir mais en y pensant... j'espère qu'elle ne va pas faire de moi son sujet de test scientifique...
Lyli se mit à avoir de bien drôle d'idée et d'imaginer la belle Purah en scientifique folle. Elle chassa vite cette idée, d'après leur discussion, ce qui intéressait Purah était plutôt cette étrange épave antique, possédant une technologie étrange et méconnue. Même l'ouverture des sas principaux semblaient... bien différents de ceux connus. Aucun signe d'effractions malgré la carrosserie bien vieillissante, donc Lyli pensait que personne n'était venu sur place depuis longtemps. La simple évocation d'une possible technologie méconnue avait fait brillé la lueur d'intérêt de la jolie scientifique aux lunettes rouges. Elles en sont donc vite venu à ce rendez-vous hors du Lys, pour une exploration... Mais Lyli doute tout de même encore un peu, ce lieu antique était il vraiment la seule chose que Purah avait envie d'explorer... ?
En attendant, elle se faisait désirer !
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Le Lys
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Purah ajusta ses lunettes rouges sur son nez, observant la côte qui s'étirait devant elle. Le vent marin caressait son visage et faisait voleter quelques mèches rebelles de ses cheveux. Sa sacoche, remplie d'outils, de carnets, et de gadgets, reposait fermement contre sa hanche. Elle adorait ce genre de journées où l'inattendu promettait d'être au rendez-vous. Et, depuis qu'elle avait croisé cette mystérieuse femme du nom de Lyli, "l'inattendu" avait pris une tout autre dimension.
Lyli… Même rien que son nom semblait chantant, aquatique. Purah ne pouvait nier que son apparence l'avait tout d'abord intriguée : cette tenue moulante et brillante ainsi que ses mouvements gracieux. Mais ce qui avait véritablement captivé Purah, c'était les récits de cette femme sur sa race méconnue et sur l'épave qu'elle avait mentionnée. Une technologie inconnue ? Une structure restée intacte malgré l'épreuve du temps et des éléments ? C'était plus qu'une simple découverte potentielle. Pour Purah, c'était une opportunité en or de mêler exploration et recherche scientifique. Et, peut-être, de mieux comprendre cette femme fascinante en chemin.
En marchant le long du petit sentier qui menait à l’auberge, Purah sentit son cœur battre un peu plus vite. Elle n'était pas particulièrement nerveuse, ce n'était pas dans sa nature, mais elle était excitée à l'idée de ce qui l'attendait. Sa curiosité insatiable grondait en elle comme une mer agitée.
Elle poussa enfin la porte de l’auberge, un sourire léger sur les lèvres. L’odeur de sel marin et de bois usé s’intensifia. Ses yeux balayèrent rapidement le lieu, ainsi que la terrasse, où Lyli l’attendait, assise. Purah prit une seconde pour observer la scène, pour capturer l’image de cette femme à la beauté irréelle dans un environnement qui n'était pas le sien. Les rayons du soleil mettaient en valeur la brillance de sa tenue et les reflets singuliers de ses cheveux. C'était comme si Lyli n'appartenait pas tout à fait à ce monde, mais Purah n'aurait su dire si c'était à cause de son apparence ou de la curiosité qu'elle suscitait.
Purah inspira profondément, serrant la sangle de sa sacoche, puis elle s'avança, ses chaussures frappant doucement le bois de la terrasse. Une fois à proximité, elle s'arrêta juste assez loin pour ne pas l'interrompre brusquement, mais suffisamment près pour qu'elle remarque sa présence. Son sourire joueur s'élargit tandis qu'elle sortit son carnet et son stylo de sa poche, les faisant tourner entre ses doigts.
"Alors, Lyli," dit-elle doucement, son ton un mélange de légèreté et de malice. "Prête à m’emmener explorer des merveilles englouties ?"
Elle s’installa sur une chaise en face de Lyli, son regard pétillant de cette soif insatiable de savoir. Elle ouvrit son carnet, dévoilant une série de croquis rapides et de notes griffonnées. Des représentations approximatives de ce que Lyli avait décrit, accompagnées de réflexions théoriques et de schémas de mécanismes possibles. Elle tourna quelques pages avant de poser son regard sur la sirène.
"Je t'avoue que je n'ai pas pu m'empêcher de réfléchir à cette épave. Rien que d'y penser, c'est comme si les engrenages de mon esprit tournaient sans cesse depuis trois jours. Si ce que tu m'as dit est vrai, alors on est peut-être sur le point de découvrir quelque chose d'inestimable. Mais... j’ai quand même une question pour toi." Elle s’arrêta un instant, inclinant légèrement la tête.
"Pourquoi tu as accepté de m’y emmener ? Qu’est-ce qui te motive, toi ?" demanda-t-elle en plantant son regard perçant dans celui de Lyli, comme si elle espérait voir au-delà des mots qu’elle allait prononcer.
Elle referma doucement son carnet, le posant sur la table, avant de croiser les mains sous son menton. "Oh, ne t’en fais pas, ce n’est pas une question piège. Je suis juste... curieuse."
Purah se redressa légèrement sur sa chaise, jetant un coup d’œil vers l’horizon marin. "Enfin, quoi qu’il en soit, je suis prête. Dis-moi juste quand on part."
Elle laissa sa phrase en suspens, prête à écouter Lyli avec une attention totale, mais toujours avec ce sourire joueur qui semblait ne jamais quitter ses lèvres.
Lyli… Même rien que son nom semblait chantant, aquatique. Purah ne pouvait nier que son apparence l'avait tout d'abord intriguée : cette tenue moulante et brillante ainsi que ses mouvements gracieux. Mais ce qui avait véritablement captivé Purah, c'était les récits de cette femme sur sa race méconnue et sur l'épave qu'elle avait mentionnée. Une technologie inconnue ? Une structure restée intacte malgré l'épreuve du temps et des éléments ? C'était plus qu'une simple découverte potentielle. Pour Purah, c'était une opportunité en or de mêler exploration et recherche scientifique. Et, peut-être, de mieux comprendre cette femme fascinante en chemin.
En marchant le long du petit sentier qui menait à l’auberge, Purah sentit son cœur battre un peu plus vite. Elle n'était pas particulièrement nerveuse, ce n'était pas dans sa nature, mais elle était excitée à l'idée de ce qui l'attendait. Sa curiosité insatiable grondait en elle comme une mer agitée.
Elle poussa enfin la porte de l’auberge, un sourire léger sur les lèvres. L’odeur de sel marin et de bois usé s’intensifia. Ses yeux balayèrent rapidement le lieu, ainsi que la terrasse, où Lyli l’attendait, assise. Purah prit une seconde pour observer la scène, pour capturer l’image de cette femme à la beauté irréelle dans un environnement qui n'était pas le sien. Les rayons du soleil mettaient en valeur la brillance de sa tenue et les reflets singuliers de ses cheveux. C'était comme si Lyli n'appartenait pas tout à fait à ce monde, mais Purah n'aurait su dire si c'était à cause de son apparence ou de la curiosité qu'elle suscitait.
Purah inspira profondément, serrant la sangle de sa sacoche, puis elle s'avança, ses chaussures frappant doucement le bois de la terrasse. Une fois à proximité, elle s'arrêta juste assez loin pour ne pas l'interrompre brusquement, mais suffisamment près pour qu'elle remarque sa présence. Son sourire joueur s'élargit tandis qu'elle sortit son carnet et son stylo de sa poche, les faisant tourner entre ses doigts.
"Alors, Lyli," dit-elle doucement, son ton un mélange de légèreté et de malice. "Prête à m’emmener explorer des merveilles englouties ?"
Elle s’installa sur une chaise en face de Lyli, son regard pétillant de cette soif insatiable de savoir. Elle ouvrit son carnet, dévoilant une série de croquis rapides et de notes griffonnées. Des représentations approximatives de ce que Lyli avait décrit, accompagnées de réflexions théoriques et de schémas de mécanismes possibles. Elle tourna quelques pages avant de poser son regard sur la sirène.
"Je t'avoue que je n'ai pas pu m'empêcher de réfléchir à cette épave. Rien que d'y penser, c'est comme si les engrenages de mon esprit tournaient sans cesse depuis trois jours. Si ce que tu m'as dit est vrai, alors on est peut-être sur le point de découvrir quelque chose d'inestimable. Mais... j’ai quand même une question pour toi." Elle s’arrêta un instant, inclinant légèrement la tête.
"Pourquoi tu as accepté de m’y emmener ? Qu’est-ce qui te motive, toi ?" demanda-t-elle en plantant son regard perçant dans celui de Lyli, comme si elle espérait voir au-delà des mots qu’elle allait prononcer.
Elle referma doucement son carnet, le posant sur la table, avant de croiser les mains sous son menton. "Oh, ne t’en fais pas, ce n’est pas une question piège. Je suis juste... curieuse."
Purah se redressa légèrement sur sa chaise, jetant un coup d’œil vers l’horizon marin. "Enfin, quoi qu’il en soit, je suis prête. Dis-moi juste quand on part."
Elle laissa sa phrase en suspens, prête à écouter Lyli avec une attention totale, mais toujours avec ce sourire joueur qui semblait ne jamais quitter ses lèvres.
Et bien, cette Purah n'a pas chômé, c'est le cas de le dire. Des plans à partir des mots de la sirènes, et tout un tas de schéma, Lyli est admirative, et en même temps presque effrayée par un dévouement si profond. Après tout, ce ne sont que des suppositions, que la scientifique montre à Lyli, impossible de savoir ce qu'il y a à l'intérieur. Elle le lui rappelle bien, pour qu'elle ne se fasse pas de fausses joies.
- Attention quand même... tu as l'air si heureuse d'y aller, mais en réalité on ne sait rie nde ce qu'on y trouvera. Cela pourrait être autant dangereuse que banal. Ne te fait pas trop de fausses joies, hein.
Lyli soupire, mais revient très vite croiser le regards de la belle scientifique, en affichant un large sourire. Que pouvait elle répondre à sa question ? En fait, Lyli ne sait pas trop pourquoi elle l'aide, elle même. Elle n'avait rien de mieux à faire ? Peut-être... Ou alors projetait elle de s'attirer les faveurs du Lys, pour pouvoir y retourner et obtenir un traitement de faveur comme ils semblaient si bien savoir le faire. Sur le ton de l'humour, elle se décida à simplement lui répondre.
- Je le fais pour la science ?
Mais le ton comique de Lyli s'accompagne bien vite d'un geste en avant avec son pied, venant heurter la cuisse de la belle scientifique comme s'il s'agissait d'un accident. Ce n'en est clairement pas un, déjà parle fait que son pied est bien trop insistant, jusqu'à ce que Purah puisse sentir le revêtement moulant en écaille y passer tout le long jusqu'à sa cuisse, mais aussi par le sourire taquin que Lyli affiche. Elle remet néanmoins bien vite sa jambe en place, avant de se lever.
- Ou peut-être que c'est pour tes beaux yeux... qui sait. Même les scientifiques du Lys sont mignonne, et t'as pas l'air d'avoir froids aux yeux, pour suivre une sirène que tu connais à peine... vu ce que les légendes racontent sur nous, c'est un gros risque pour toi.
Mais bon, Lyli n'est déjà pas une sirène ordinaire, et aucune femme de son peuple ne s'est jamais nourrit d'une autre personne, du moins à ce qu'elle en sait !
- Mais pour te répondre franchement, c'est que je suis moi même curieuse... On pourrait y croiser des dangers, qui sait, mais ce vestige ne semble pas être à sa place là ou il est... comme hors du temps et de ces lieux ! Ca m'intrigue beaucoup.
Et là Lyli est sincère, même si le corps de Purah ne la laisse pas indifférente, loin de là même. La sirène finit par prendre la main de la scientifique avec un sourire.
- On y va ? J'espère que tu as prévu un joli maillot !
Le regards de Lyli par dessus son épaule semble également lui dire " que je puisse me rincer l'œil pendant le trajet ! ". En parlant de trajet, Il avait été convenu qu'il se rendraient sur place en bateau, histoire de ne pas épuiser Purah à nager pendant des kilomètres, surtout à la vitesse à laquelle nage Lyli, qui n'est pas franchement adapté au commun des mortels, si elle ne se bride pas. Le trajet serait peut-être un peu plus long, quoi qu'on lui avait assuré que ce genre de bateau pouvait accélérer grâce à un système alimenté par des pierres magique... Un sorte de variante de bateau à moteur qu'ils ont sur terre donc ? De toute façon, Lyli n'allait pas se plaindre d'être toute seule en mer en si charmante compagnie, avec rien autours !
- Voila ! Bon par contre je te laisse payer... les sirènes n'utilisent pas d'argent alors... je suis fauchée ah ah ! Je t'indiquerais la direction dans laquelle nager et... au fait ça va , tu es à l'aise avec l'eau au moins ?
Le temps de payer, et elles pourraient se rendre sur les lieux en discutant au passage des derniers détails de l'expédition... ou d'autre choses...
- Attention quand même... tu as l'air si heureuse d'y aller, mais en réalité on ne sait rie nde ce qu'on y trouvera. Cela pourrait être autant dangereuse que banal. Ne te fait pas trop de fausses joies, hein.
Lyli soupire, mais revient très vite croiser le regards de la belle scientifique, en affichant un large sourire. Que pouvait elle répondre à sa question ? En fait, Lyli ne sait pas trop pourquoi elle l'aide, elle même. Elle n'avait rien de mieux à faire ? Peut-être... Ou alors projetait elle de s'attirer les faveurs du Lys, pour pouvoir y retourner et obtenir un traitement de faveur comme ils semblaient si bien savoir le faire. Sur le ton de l'humour, elle se décida à simplement lui répondre.
- Je le fais pour la science ?
Mais le ton comique de Lyli s'accompagne bien vite d'un geste en avant avec son pied, venant heurter la cuisse de la belle scientifique comme s'il s'agissait d'un accident. Ce n'en est clairement pas un, déjà parle fait que son pied est bien trop insistant, jusqu'à ce que Purah puisse sentir le revêtement moulant en écaille y passer tout le long jusqu'à sa cuisse, mais aussi par le sourire taquin que Lyli affiche. Elle remet néanmoins bien vite sa jambe en place, avant de se lever.
- Ou peut-être que c'est pour tes beaux yeux... qui sait. Même les scientifiques du Lys sont mignonne, et t'as pas l'air d'avoir froids aux yeux, pour suivre une sirène que tu connais à peine... vu ce que les légendes racontent sur nous, c'est un gros risque pour toi.
Mais bon, Lyli n'est déjà pas une sirène ordinaire, et aucune femme de son peuple ne s'est jamais nourrit d'une autre personne, du moins à ce qu'elle en sait !
- Mais pour te répondre franchement, c'est que je suis moi même curieuse... On pourrait y croiser des dangers, qui sait, mais ce vestige ne semble pas être à sa place là ou il est... comme hors du temps et de ces lieux ! Ca m'intrigue beaucoup.
Et là Lyli est sincère, même si le corps de Purah ne la laisse pas indifférente, loin de là même. La sirène finit par prendre la main de la scientifique avec un sourire.
- On y va ? J'espère que tu as prévu un joli maillot !
Le regards de Lyli par dessus son épaule semble également lui dire " que je puisse me rincer l'œil pendant le trajet ! ". En parlant de trajet, Il avait été convenu qu'il se rendraient sur place en bateau, histoire de ne pas épuiser Purah à nager pendant des kilomètres, surtout à la vitesse à laquelle nage Lyli, qui n'est pas franchement adapté au commun des mortels, si elle ne se bride pas. Le trajet serait peut-être un peu plus long, quoi qu'on lui avait assuré que ce genre de bateau pouvait accélérer grâce à un système alimenté par des pierres magique... Un sorte de variante de bateau à moteur qu'ils ont sur terre donc ? De toute façon, Lyli n'allait pas se plaindre d'être toute seule en mer en si charmante compagnie, avec rien autours !
- Voila ! Bon par contre je te laisse payer... les sirènes n'utilisent pas d'argent alors... je suis fauchée ah ah ! Je t'indiquerais la direction dans laquelle nager et... au fait ça va , tu es à l'aise avec l'eau au moins ?
Le temps de payer, et elles pourraient se rendre sur les lieux en discutant au passage des derniers détails de l'expédition... ou d'autre choses...
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Le Lys
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Purah sourit doucement en écoutant Lyli, ajustant ses lunettes rouges sur son nez tout en observant la sirène qui semblait pleine d'assurance, mêlée à une curiosité sincère. Elle ne put s'empêcher de rire légèrement à la réponse humoristique de Lyli, bien que le contact "accidentel" du pied de la sirène sur sa cuisse l’ait un peu surprise. Ses joues rosirent à peine, mais elle conserva son calme, habituée à garder un certain contrôle sur ses émotions, même lorsqu'elle était confrontée à quelqu'un d'aussi... intrigant.
"Pour la science, hein ?" répondit-elle en notant mentalement le sourire taquin de Lyli. Elle tapota légèrement son carnet, une lueur de malice dans ses yeux. "Je suppose que c'est une réponse aussi valable qu'une autre. Et pour ce qui est des légendes sur les sirènes, je vais être honnête... Elles me fascinent, mais elles ne m'effraient pas. Après tout, la science est là pour démystifier les mythes, non ?"
Elle termina sa phrase avec un petit clin d'œil avant de ranger son carnet dans sa sacoche. Lorsqu'elle sentit la main de Lyli se refermer sur la sienne, elle baissa les yeux vers leurs mains entrelacées, puis leva à nouveau son regard vers celui de la sirène. Ce sourire joueur ne la quittait pas, et bien que Purah fût généralement difficile à troubler, il y avait quelque chose dans cette assurance presque espiègle qui la rendait légèrement nerveuse. Une bonne nervosité, celle qui promettait une aventure hors du commun.
"Un joli maillot, hein ?" murmura-t-elle, plus pour elle-même que pour Lyli, son regard toujours pétillant d'excitation. "Je crains de ne pas avoir emporté de maillot de bain, mais... je m'adapte vite. Quant à l'eau, tu n'as pas à t'en faire. J'ai passé pas mal de temps à nager dans des grottes sous-marines et des lacs pour mes recherches. Peut-être pas à ta vitesse, mais je sais me débrouiller."
Elle observait toujours Lyli. Il y avait quelque chose de rafraîchissant dans sa manière de voir les choses. Cette femme – ou plutôt cette sirène – n'était pas juste une curiosité scientifique ou un mystère à résoudre. Elle était une énigme vivante, complexe et, surtout, captivante.
Purah ne put s'empêcher de rire légèrement lorsque Lyli la laissa "élégamment" régler la note. Elle sortit quelques pièces et les posa sur la table, puis se redressa, sa sacoche fermement attachée à sa hanche. "D'accord, c'est noté. Les sirènes n'ont pas de portefeuille. Si je l'avais su, je t'aurais offert un porte-monnaie comme cadeau de bienvenue au Lys !" dit-elle en souriant, son ton moqueur mais amical. "Allez, allons-y avant que je ne change d’avis et que je décide de te facturer pour tout le matériel que j’ai préparé."
Une fois qu'elle eut payé, Purah ajusta une dernière fois sa sacoche et jeta un regard vers l'horizon marin. Le bruit des vagues et l'air salin l'apaisaient, lui rappelant pourquoi elle adorait tant ce genre d'excursions. Avec Lyli qui l'attendait déjà près de la sortie, elle ne pouvait s'empêcher de ressentir cette excitation familière qui accompagnait chaque nouvelle exploration.
Elle passa la porte de l'auberge, rejoignant Lyli qui l’attendait déjà dehors, impatiente. "Bon, c'est toi la guide, alors montre-moi la voie, Madame la Sirène." Purah posa ses mains sur ses hanches et inclina légèrement la tête, comme pour signifier qu'elle était prête à suivre Lyli, peu importe où cette aventure les mènerait.
"Pour la science, hein ?" répondit-elle en notant mentalement le sourire taquin de Lyli. Elle tapota légèrement son carnet, une lueur de malice dans ses yeux. "Je suppose que c'est une réponse aussi valable qu'une autre. Et pour ce qui est des légendes sur les sirènes, je vais être honnête... Elles me fascinent, mais elles ne m'effraient pas. Après tout, la science est là pour démystifier les mythes, non ?"
Elle termina sa phrase avec un petit clin d'œil avant de ranger son carnet dans sa sacoche. Lorsqu'elle sentit la main de Lyli se refermer sur la sienne, elle baissa les yeux vers leurs mains entrelacées, puis leva à nouveau son regard vers celui de la sirène. Ce sourire joueur ne la quittait pas, et bien que Purah fût généralement difficile à troubler, il y avait quelque chose dans cette assurance presque espiègle qui la rendait légèrement nerveuse. Une bonne nervosité, celle qui promettait une aventure hors du commun.
"Un joli maillot, hein ?" murmura-t-elle, plus pour elle-même que pour Lyli, son regard toujours pétillant d'excitation. "Je crains de ne pas avoir emporté de maillot de bain, mais... je m'adapte vite. Quant à l'eau, tu n'as pas à t'en faire. J'ai passé pas mal de temps à nager dans des grottes sous-marines et des lacs pour mes recherches. Peut-être pas à ta vitesse, mais je sais me débrouiller."
Elle observait toujours Lyli. Il y avait quelque chose de rafraîchissant dans sa manière de voir les choses. Cette femme – ou plutôt cette sirène – n'était pas juste une curiosité scientifique ou un mystère à résoudre. Elle était une énigme vivante, complexe et, surtout, captivante.
Purah ne put s'empêcher de rire légèrement lorsque Lyli la laissa "élégamment" régler la note. Elle sortit quelques pièces et les posa sur la table, puis se redressa, sa sacoche fermement attachée à sa hanche. "D'accord, c'est noté. Les sirènes n'ont pas de portefeuille. Si je l'avais su, je t'aurais offert un porte-monnaie comme cadeau de bienvenue au Lys !" dit-elle en souriant, son ton moqueur mais amical. "Allez, allons-y avant que je ne change d’avis et que je décide de te facturer pour tout le matériel que j’ai préparé."
Une fois qu'elle eut payé, Purah ajusta une dernière fois sa sacoche et jeta un regard vers l'horizon marin. Le bruit des vagues et l'air salin l'apaisaient, lui rappelant pourquoi elle adorait tant ce genre d'excursions. Avec Lyli qui l'attendait déjà près de la sortie, elle ne pouvait s'empêcher de ressentir cette excitation familière qui accompagnait chaque nouvelle exploration.
Elle passa la porte de l'auberge, rejoignant Lyli qui l’attendait déjà dehors, impatiente. "Bon, c'est toi la guide, alors montre-moi la voie, Madame la Sirène." Purah posa ses mains sur ses hanches et inclina légèrement la tête, comme pour signifier qu'elle était prête à suivre Lyli, peu importe où cette aventure les mènerait.
Une fois le bateau payé Lyli saisit amicalement et comme un enfant qui a hâte d'en découdre la main de Purah, la faisant presque trébucher dans la petite embarcation. Elle la laisse s'assoir, et penche la tête en souriant et en fermant les yeux l'espace d'un instant. Pour démarrer le véhicule marin, c'est un peu plus compliqué, Lyli n'a pas trop l'habitude, mais l'espèce de moteur alimenté par une pierre magique est heureusement assez simple de compréhension. De temps en temps, Lyli arrête le bateau et plonge un petit moment pour vérifier si c'est encore loin. Ben oui, Elle sait se repérer facilement dans l'eau, même si pour les humains tous les fonds marins se ressemblent surement, mais en bateau, c'est un peu moins aisé.
- Cette fois-ci j'ai reconnu ! On est plus très loin, encore 5 ou 6 minutes de navigation.
Lyli rallume le moteur magique te regarde Purah dans les yeux, repensant à ce qu'elle avait dit plus tôt " pas de maillots, mais je m'adapte vite. " Ca laisserait sous entendre qu'elle aller se baigner toute nue ? Ce serait bien le genre de la maison, de ce qu'elle a vu du lys ! Et ce ne serait pas pour la déplaire. La scientifique malgré ses airs et derrière ses grandes lunettes rondes, semble cacher une certaine liberté corporelle... Elle ne semble pas avoir froid aux yeux, et la sirène s'imagine bien Purah se mettre à nue sans aucune pudeur. Cela l'amuse, alors la sirène décide de la titiller un peu durant le reste du trajet, histoire de voir ses réactions.
Elle met sa main par dessus celle de Purah, souriant, et s'approchant de la scientifique avec un sourire et un regard mi-clos.
- N'oublies pas, si tu as besoin de respirer, je serais ta bouteille d'oxygène personnelle, ma petite scientifique !
Lyli balance légèrement son visage vers l'avant, assez pour que son petit nez touche celui de la scientifique et ses lunettes. Leurs lèvres sont ainsi très proches, et elle recule en lui offrant un clin d'œil plein de promesses.
- Ne t'en fais pas, si c'est pour respirer, ça ne comptera pas comme un vrai baiser.
Mais bon, comme si cela l'aurait gêné de toute façon, hein ? Une fois arrivé, la sirène coupe le moteur et se jette à l'eau pour vérifier. 2 ou 3 minutes plus tard, la créature aquatique remonte pour confirmer qu'il s'agit bien du bon endroit. Elle reste à la surface, profitant de l'eau en attendant que la scientifique soit prête à la rejoindre.
- Dépêche toi de me rejoindre ! L'eau est plutôt bonne !
En plus, la descente bien que très profonde, ne sera pas si compliquée, car le bateau est juste au dessus du site à explorer ! Une simple plongée verticale, donc.
- Cette fois-ci j'ai reconnu ! On est plus très loin, encore 5 ou 6 minutes de navigation.
Lyli rallume le moteur magique te regarde Purah dans les yeux, repensant à ce qu'elle avait dit plus tôt " pas de maillots, mais je m'adapte vite. " Ca laisserait sous entendre qu'elle aller se baigner toute nue ? Ce serait bien le genre de la maison, de ce qu'elle a vu du lys ! Et ce ne serait pas pour la déplaire. La scientifique malgré ses airs et derrière ses grandes lunettes rondes, semble cacher une certaine liberté corporelle... Elle ne semble pas avoir froid aux yeux, et la sirène s'imagine bien Purah se mettre à nue sans aucune pudeur. Cela l'amuse, alors la sirène décide de la titiller un peu durant le reste du trajet, histoire de voir ses réactions.
Elle met sa main par dessus celle de Purah, souriant, et s'approchant de la scientifique avec un sourire et un regard mi-clos.
- N'oublies pas, si tu as besoin de respirer, je serais ta bouteille d'oxygène personnelle, ma petite scientifique !
Lyli balance légèrement son visage vers l'avant, assez pour que son petit nez touche celui de la scientifique et ses lunettes. Leurs lèvres sont ainsi très proches, et elle recule en lui offrant un clin d'œil plein de promesses.
- Ne t'en fais pas, si c'est pour respirer, ça ne comptera pas comme un vrai baiser.
Mais bon, comme si cela l'aurait gêné de toute façon, hein ? Une fois arrivé, la sirène coupe le moteur et se jette à l'eau pour vérifier. 2 ou 3 minutes plus tard, la créature aquatique remonte pour confirmer qu'il s'agit bien du bon endroit. Elle reste à la surface, profitant de l'eau en attendant que la scientifique soit prête à la rejoindre.
- Dépêche toi de me rejoindre ! L'eau est plutôt bonne !
En plus, la descente bien que très profonde, ne sera pas si compliquée, car le bateau est juste au dessus du site à explorer ! Une simple plongée verticale, donc.
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Le Lys
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Purah sentit un frisson voluptueux onduler le long de son échine lorsque Lyli la guida avec une sauvagerie délicieusement tendre vers l’embarcation, ses doigts humides enserrant sa main comme une caresse audacieuse. Elle trébucha avec une grâce calculée, un rire doux et provocateur s’échappant de ses lèvres alors qu’elle se laissait emporter, ses bottes effleurant le bois usé du bateau avec une sensualité feutrée. Elle s’installa sur le banc, ajustant sa sacoche étanche contre sa hanche avec une lenteur envoûtante, ses lunettes rouges glissant sur son nez dans un geste langoureux sous la caresse du vent marin. Ses yeux rougeoyants s’attardèrent sur chaque mouvement de Lyli, qui manipulait ce moteur magique avec une maladresse exquise, son esprit s’embrasant à l’idée des trésors technologiques qu’elles allaient caresser dans les profondeurs. Chaque plongée de Lyli pour vérifier leur route attisait une chaleur douce, son imagination s’éveillant aux mystères qu’elles allaient effleurer.
Quand Lyli ralluma le moteur, Purah se redressa avec une élégance provocante, un sourire sensuel et espiègle étirant ses lèvres alors qu’elle laissait ses doigts danser sur le bord de sa jupe, jouant avec l’idée de se dévoiler comme une déesse du désir. Elle avait elle-même murmuré plus tôt, avec un rictus taquin, qu’elle n’avait pas de maillot pour nager, une pensée qui faisait maintenant frémir son corps d’anticipation, ses yeux mi-clos débordant d’une envie subtile. Elle se leva dans un roulé de hanches fluide, laissant sa cape glisser au sol dans un murmure soyeux, exposant la courbe voluptueuse de ses seins sous sa robe ajustée. Ses mains descendirent avec une lenteur hypnotique, faisant descendre ses leggings le long de ses cuisses, révélant sa peau pâle ornée de traces rouges délicates, ses cuissardes rouges tombant avec un souffle sensuel. Nue sous le soleil, elle cambra les reins avec une grâce lascive, laissant l’air marin caresser ses tétons durcis comme une promesse. Elle retira ses gants noirs avec une délicatesse provocante, les glissant, avec tous ses vêtements et ses bottes, dans sa sacoche étanche, qui semblait absorber l’infini avec un espace sans fin, puis échangea ses lunettes rouges contre une paire de lunettes de plongée qu’elle ajusta avec un clin d’œil envoûtant, prête à plonger, son corps frémissant d’une attente sensuelle.
Quand Lyli remonta, Purah s’avança jusqu’au bord du bateau avec une démarche de séductrice, ses hanches ondulant comme une vague de désir. Elle plongea avec une élégance audacieuse, sa sacoche étanche solidement fixée à son épaule, l’eau froide enveloppant son corps nu dans une étreinte frissonnante, contrastant avec la chaleur qui palpitait en elle. Elle nagea vers Lyli avec des mouvements fluides et provocants, ses seins effleurant les vagues comme une offrande, et s’arrêta près d’elle, laissant l’eau danser contre sa peau nue. « Admire-moi, ma belle… je t’avais promis pas de maillot, et vois comme je suis déjà trempée pour cette aventure, n’est-ce pas irrésistible ? » murmura-t-elle d’une voix rauque et veloutée, ses yeux derrière les lunettes de plongée scintillant de désir. Puis, feignant une peur délicate, elle s’enroula autour de Lyli avec une tendresse calculée, ses mains nues se posant sur ses hanches dans une caresse possessive. « Oh, j’ai si peur de couler, ma sirène… sois ma bouée, enveloppe-moi », susurra-t-elle avec un rire sensuel, ses doigts s’aventurant à palper les courbes fermes de Lyli, glissant sous l’eau pour effleurer ses cuisses avec une douceur provocante.
Elle pressa son corps nu contre celui de Lyli, ses seins s’écrasant doucement contre sa poitrine dans un frottement intime, utilisant la sirène comme un flotteur tout en laissant ses mains explorer avec une tendresse audacieuse, frôlant l’intérieur de ses cuisses dans une caresse brûlante. « Viens, ma douce, tiens-moi près de toi… j’ai besoin de sentir ta chaleur pour ne pas m’égarer. » chuchota-t-elle, sa voix tremblante de désir contenu, ses doigts nus s’attardant près de son entrejambe avec une délicatesse provocante, traçant des cercles légers sur sa peau humide. « Et si j’ai besoin de respirer, oh, je te laisserai me guider dans cette quête enivrante, ma sirène… reste ma bouée ensorcelante », murmura-t-elle, ses hanches ondulant contre Lyli dans une danse aquatique, ses ongles effleurant sa peau avec une tendresse suggestive.
Purah plongea son regard dans celui de Lyli, un sourire provocateur et envoûtant illuminant son visage derrière ses lunettes de plongée. « Oh, j’ai une faim dévorante de cette épave… alors enlace-moi fort, ma belle, et fais-moi frémir d’impatience avec tes secrets marins, allez ! » lança-t-elle avec un rire doux et séducteur, son corps ondulant comme une vague de désir, déterminée à faire monter l’anticipation avant de plonger dans les ténèbres de l’épave, sa sacoche étanche oscillant légèrement à son côté, gardienne de ses secrets vestimentaires..
Quand Lyli ralluma le moteur, Purah se redressa avec une élégance provocante, un sourire sensuel et espiègle étirant ses lèvres alors qu’elle laissait ses doigts danser sur le bord de sa jupe, jouant avec l’idée de se dévoiler comme une déesse du désir. Elle avait elle-même murmuré plus tôt, avec un rictus taquin, qu’elle n’avait pas de maillot pour nager, une pensée qui faisait maintenant frémir son corps d’anticipation, ses yeux mi-clos débordant d’une envie subtile. Elle se leva dans un roulé de hanches fluide, laissant sa cape glisser au sol dans un murmure soyeux, exposant la courbe voluptueuse de ses seins sous sa robe ajustée. Ses mains descendirent avec une lenteur hypnotique, faisant descendre ses leggings le long de ses cuisses, révélant sa peau pâle ornée de traces rouges délicates, ses cuissardes rouges tombant avec un souffle sensuel. Nue sous le soleil, elle cambra les reins avec une grâce lascive, laissant l’air marin caresser ses tétons durcis comme une promesse. Elle retira ses gants noirs avec une délicatesse provocante, les glissant, avec tous ses vêtements et ses bottes, dans sa sacoche étanche, qui semblait absorber l’infini avec un espace sans fin, puis échangea ses lunettes rouges contre une paire de lunettes de plongée qu’elle ajusta avec un clin d’œil envoûtant, prête à plonger, son corps frémissant d’une attente sensuelle.
Quand Lyli remonta, Purah s’avança jusqu’au bord du bateau avec une démarche de séductrice, ses hanches ondulant comme une vague de désir. Elle plongea avec une élégance audacieuse, sa sacoche étanche solidement fixée à son épaule, l’eau froide enveloppant son corps nu dans une étreinte frissonnante, contrastant avec la chaleur qui palpitait en elle. Elle nagea vers Lyli avec des mouvements fluides et provocants, ses seins effleurant les vagues comme une offrande, et s’arrêta près d’elle, laissant l’eau danser contre sa peau nue. « Admire-moi, ma belle… je t’avais promis pas de maillot, et vois comme je suis déjà trempée pour cette aventure, n’est-ce pas irrésistible ? » murmura-t-elle d’une voix rauque et veloutée, ses yeux derrière les lunettes de plongée scintillant de désir. Puis, feignant une peur délicate, elle s’enroula autour de Lyli avec une tendresse calculée, ses mains nues se posant sur ses hanches dans une caresse possessive. « Oh, j’ai si peur de couler, ma sirène… sois ma bouée, enveloppe-moi », susurra-t-elle avec un rire sensuel, ses doigts s’aventurant à palper les courbes fermes de Lyli, glissant sous l’eau pour effleurer ses cuisses avec une douceur provocante.
Elle pressa son corps nu contre celui de Lyli, ses seins s’écrasant doucement contre sa poitrine dans un frottement intime, utilisant la sirène comme un flotteur tout en laissant ses mains explorer avec une tendresse audacieuse, frôlant l’intérieur de ses cuisses dans une caresse brûlante. « Viens, ma douce, tiens-moi près de toi… j’ai besoin de sentir ta chaleur pour ne pas m’égarer. » chuchota-t-elle, sa voix tremblante de désir contenu, ses doigts nus s’attardant près de son entrejambe avec une délicatesse provocante, traçant des cercles légers sur sa peau humide. « Et si j’ai besoin de respirer, oh, je te laisserai me guider dans cette quête enivrante, ma sirène… reste ma bouée ensorcelante », murmura-t-elle, ses hanches ondulant contre Lyli dans une danse aquatique, ses ongles effleurant sa peau avec une tendresse suggestive.
Purah plongea son regard dans celui de Lyli, un sourire provocateur et envoûtant illuminant son visage derrière ses lunettes de plongée. « Oh, j’ai une faim dévorante de cette épave… alors enlace-moi fort, ma belle, et fais-moi frémir d’impatience avec tes secrets marins, allez ! » lança-t-elle avec un rire doux et séducteur, son corps ondulant comme une vague de désir, déterminée à faire monter l’anticipation avant de plonger dans les ténèbres de l’épave, sa sacoche étanche oscillant légèrement à son côté, gardienne de ses secrets vestimentaires..