The Multiversity

Edith Parker était une toute nouvelle étudiante à la faculté Liberty de Bakersville, en Californie. Après avoir brillament réussie ses études au lycée au point de pouvoir obtenir une bourse au mérite, ses parents lui avaient financé la partie de ses études que son job d'été n'avait pas pu finaliser. Elle était donc partie pour une toute nouvelle année dans un environnement bien différent, celui de la fac ! Bien moins de contraintes étaient imposées par les professeurs, qui n'étaient plus dans votre dos pour s'assurer que vous faisiez vos devoirs, mais Edith comptait bien ne pas commettre l'erreur de se laisser aller et de se foirer. On disait aussi d'elle qu'elle était volontiers belle comme un ange, et son visage en tout cas lui donnait clairement cette apparence, elle avait dores et déjà pu noter qu'un certain nombre de garçons semblaient s'intéresser à elle et, même si ses études prenaient le pas sur tout, elle devait bien admettre que pareille attention ne l'avait pas laissée de marbre.

Cela avait été en tout cas le cas lors des premières semaines, mais depuis quelques jours, quelque chose de bien préoccupant lui envahissait l'esprit en permanence. Elle ne pouvait hélas en parler à personne, car on la faisait tout bonnement chanter. Il y a tout juste une semaine, ça avait été le tour d'Edith de passer par la case de la visite médicale auprès de la doctoresse en charge de la santé des étudiants sur le campus. Jusque là, rien de très anormal, et la session avait été en soit tout à fait comme elle aurait pu s'y attendre, jusqu'à ce qu'elle soit amenée à se déshabiller intégralement. Sur le coup pareille demande avait surpris la jeune femme, mais au vu de l'intimité offerte par l'infirmerie, le fait qu'elle était oscultée par une femme, Edith ne s'était alors pas non plus posée plus de questions que ça. Elle s'était bien entendu retrouvée gênée par le fait qu'elle recoive un semblant de contrôle gynécologique, ainsi que des palpations un peu partout sur son corps, mais elle était repartie finalement sans plus y repenser.

Le lendemain toutefois, Edith avait reçue sur son propre portable une série de sms pour le moins troublants, des clichées d'elle même nue, ainsi que la promesse que ces clichés seraient diffusés sur les réseaux sociaux si elle ne tenait pas sa langue, et si elle ne faisait pas "exactement" ce qu'on lui disait. Il était bien évident qu'il s'agissait du docteur Elizabeth, elle seule avait été dans la possibilité d'obtenir ces clichés dans l'infirmerie, et si dans l'absolu Edith aurait été dans son bon droit de porter plainte...la perspective que des photos d'elle nue se retrouvent à jamais sur le net la terrifiaient. Alors, elle s'était tue, et en cette fin de journée, elle se préparait à sa "séance".

*Seigneur si seulement c'était un cauchemar...*

La jeune étudiante se trouvait présentement devant son casier, à une quinzaine de minutes tout juste de la fin des derniers cours, les couloirs étaient pour ainsi dire déserts. Elle rangeait méticuleusement ses affaires dedans, mais avait la main tremblante d'anxiété, et l'esprit ailleurs, tant et si bien qu'elle ne se rendait pas compte d'une présence dans son dos qui s'approchait d'elle...

Le docteur Elizabeth Kailey travaillait au sein de la prestigieuse université Liberty. Un emploi qui, en quelques années, l’avait amené à voir beaucoup de jeunes femmes victimes d’abus sexuels. Elle-même en avait été victime plus jeune, quand elle avait rejoint une fête d’étudiants, et où un étudiant masculin qui avait trop bu avait été bien trop insistant à son encontre. Alors, elle avait décidé de protéger les jeunes filles d’elles-mêmes. C’est dans cette perspective que, cette année, sa nouvelle petite ange serait Édith Parker. Magnifique, très intelligente, elle avait aussi le profil de la jeune élève naïve qui risquait de se faire avoir. L’université privée abritait des fils de riches, des fils à papa qui n’avaient aucun respect pour les femmes. Le docteur Kailey voyait bien comment ils regardaient les jeunes filles. Alors, Édith refusait qu’il arrive à cette jeune femme la même chose qu’à elle. Pour cela, le docteur Kailey disposait d’un mode opératoire bien rodé. Elle avait commencé par glisser dans le casier d’Édith une photo d’elle nue, prise par une caméra cachée lors de l’examen médical, où les élèves se déshabillaient.

De fait, depuis ce moment, la jeune femme songeait toutes les nuits à Édith. Elle avait déjà formé des élèves, mais Édith était indéniablement la plus belle, et Elizabeth fantasmait déjà à l’idée de l’avoir dans sa chambre, de dormir avec elle, et de lui faire l’amour… Alors, ce soir, elle avait rendez-vous avec Édith. Elle avait pu noter que la jeune femme était nerveuse. Elizabeth lui avait donné rendez-vous dans une salle de classe, mais elle avait été la voir avant.

*Je me sens aussi excitée que si c’était ma première fois…*

À l’idée de la rencontrer, elle s’était masturbée hier soir en s’enfonçant un vibromasseur, puis au matin, et avait continué ainsi la journée, s’enfonçant le vibromasseur dans la chatte. Elle ne pouvait plus attendre ! Donc, elle avait rejoint le casier d’Édith, et la vit. Elle était sortie précipitamment de son dernier cours, et était en train de ranger ses affaires. Elizabeth se rapprocha lentement, consciente que, à cette heure-là, absolument personne ne viendrait les déranger. Elle se rapprocha encore… Puis passa à l’attaque ! Elle posa sa main droite sur la bouche d’Édith, jaillissant dans son dos, et la plaqua ainsi contre le casier, faisant trembler ces derniers.

« Là, là, shhhttt… Je ne pouvais plus attendre, ma chérie… Tu es toute tremblante, et c’est ma faute, alors, je vais te faire du bien… »

L’autre main du docteur se glissa sous la minijupe d’Édith, et elle la masturba à travers sa culotte, appuyant précisément. Elizabeth savait y faire, et elle avait mis un parfum très agréable, presque aphrodisiaque, de quoi motiver la jeune femme.

« Maman Elizabeth veille sur toi, ma chérie… »

Edith se trouvait un peu dans sa bulle, ce qui expliquait qu'elle ne sentit pas l'infirmière s'approcher d'elle dans son dos. Elle ne s'y attendait pas non plus, considérant que le côté public de ce couloir où se trouvait son casier ferait qu'il ne pourrait rien arriver ici. Le "contrat" de base stipulait qu'elle devait se rendre à l'infirmerie après ses cours, ce qu'elle était sur le point de faire, mais le tout en ne cherchant pas à se presser car elle était anxieuse. Edith était complètement vierge, mais il ne fallait pas être une génie pour comprendre que le docteur Kailey comptait faire d'elle une sorte de poupée sexuelle. La jeune femme aurait en réalité très bien pu porter plainte pour ce chantage, car l'infirmière s'était procurée ces clichées d'elle nue complètement à son insu, mais la perspective de risquer de les retrouver sur le net pour le restant de sa vie...non, elle ne pouvait pas se résoudre à ces conséquences là.
Edith bien entendu percevait mal ce que le docteur devait considérer comme une forme d'altruisme, que de la "former", et ses pensées étaient en pleine ébullition alors qu'elle était en train de fermer son casier...quand tout à coup, elle sentit une main féminine se poser sur sa bouche, et un corps se plaquer dans son dos, pour la plaquer contre son casier.

Hmmmmf !!!

Naturellement, Edith avait commencée à remuer pour chercher à ce dégager de cette étreinte surprise, mais elle se figea sur place en écarquillant les yeux quand elle reconnu la voix du docteur Kailey contre une de ses oreilles. Ce faisant, elle sut instinctivement qu'elle...ne devait pas chercher à lutter. Ce fut plus difficile à dire qu'à faire, surtout quand l'une des mains de l'infirmière se glissa sous sa mini-jupe pour aller commencer à carresser sa culotte. Edith se tortilla sur place, fermant par réflèxe ses cuisses autant qu'elle le pouvait, mais le tout sans véritablement pouvoir empêcher la femme dans son dos de la molester ainsi.

Hmmmmmn...

Edith de plus savait qu'elle ne devait pas faire trop de bruit. Il y avait toujours le risque que quelqu'un sorte d'une salle de cours non loin pour vérifier des bruits suspects...alors quand bien même elle se tortillait sur place, Edith se laissait globalement faire. Les frottements insistants des doigts du docteur Kailey sur sa culotte n'allaient d'ailleurs pas manquer, au bout d'un moment, de créer une réaction naturelle chez le corps d'Edith, et la femme pourrait finir par sentir une petite tâche humide se former sur le tissu de ce sous-vêtement, et l'élève progressivement se mettre à gémir de façon étouffée sous sa main qui couvrait sa bouche.

Le docteur Kailey faisait preuve de précipitation, ce n’était pas bien, et même dangereux ! Elle prenait des risques, bien sûr, le plus important étant qu’un étudiant en retard ou ayant une envie pressante ne fasse irruption dans le couloir. Mais, aussi froide et calculatrice puisse-t-elle être, le docteur Kailey était avant tout une femme pleine de passion, pleine de vie, quelqu’un qui laissait parfois ses fantasmes prendre le pas sur la réalité. En un sens, elle avait franchi la limite dès qu’elle avait commencé à faire chanter Edith. Si Miss Parker avait été un peu plus adulte et moins encline à paniquer, elle aurait vite pu percer à travers cette histoire de chantage. Mais elle avait paniqué, et elle se tortillait sur place. Le docteur Kailey la sentit se débattre naturellement, mais, quand elle se mit à parler,n le corps d’Edith se détendit progressivement. Une main sur la bouche d’Edith, Elizabeth avait glissé son autre main sous sa minijupe d’étudiante, et elle caressait son intimité, sentant ses poils pubiens sous sa culotte. Une belle toison.

« Hm, j’étais sûre que tu ne t’épilais pas… Je vais devoir remédier à ça, ma chérie… »

Edith avait dû reconnaître sa voix. Le docteur Kailey était plutôt connu ici. Elle menait souvent des interventions en classe, notamment pour mimer des exercices de secourisme. Et elle avait déjà choisi à l’époque comme cobaye sa Edith. Elle lui avait fait du bouche-à-bouche, et, déjà, à l’époque, elle en avait profité pour l’embrasser. Un geste furtif, qui avait sans doute étonné Edith, mais qu’elle avait dû assimiler à une forme de maladresse. Elle entendit les gémissements d’Edith diminuer. Elle ne cherchait plus à crier, et, si elle se mit à serrer ses cuisses, elle ne cherchait plus non plus à repousser la femme, qui glissa donc sa main dans sa culotte, et s’enfonça en elle. Elle glissa deux doigts dans sa chatte, et ne tarda pas à sentir celle-ci s’humidifier.

Souriant joyeusement, Elizabeth embrassa Edith sur la joue, puis la mordilla dans le creux du cou.

« Là, oui, tu mouilles, petite traînée… Il était temps que Maman Kailey intervienne, non ♥ ? Tu es trop belle pour rester vierge… »

Elle continuait à l’immobilier, et constata qu’Edith bavait sur sa main. Elle sourit alors, et retira brusquement sa main.

« Je ne veux pas que tu t’étouffes, mon amour… Voilà, tu es libre d’appeler à l’aide… »

Elizabeth pivota alors, et orienta la jeune femme face à une salle de cours. Elle la rapprocha de la porte.

« Allez, qu’est-ce que tu attends ? Dis-leur de venir t’aider, qu’ils voient à quel point tu es une cochonne… Tu es toute rouge, ma chérie, et tu es en train de mouiller sur mes doigts ! »

Elizabeth s’amusait, et remuait d’avant en arrière. Elle attrapa un objet dans sa poche, qui n’était rien d’autre qu’un collier en cuir, et le tendit à Edith, le glissant dans l’une de ses mains. C’était un collier ouvert, qui se verrouillait par l’arrière. Impossible alors de le retirer sans la clef, le collier se verrouillait.

« Enfile ce collier, je l’ai préparé spécialement pour toi… »

Elle avait fait broder un message à l’intérieur du collier : « PROPRIÉTÉ DE MAÎTRESSE KAILEY ». Consciente que la jeune fille voulait éviter le scandale, Elizabeth, tout en la masturbant, commença à dégrafer plusieurs boutons de sa chemise, et glissa une main dessous, venant malaxer l’un de ses seins. Poursuivant l’inversion accusatoire, elle enchaîna alors :

« Mets-le tout de suite, ma petite, ou j’appelle la sécurité, et je leur dis que je t’ai surprise en train de te masturber dans le couloir. »

Elle sentait qu’Edith allait jouir, et elle espérait que ce cocktail de surprise, de peur, et d’excitation, l’empêcherait de réfléchir, et qu’elle se contenterait juste d’obéir…

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Esclavagisme à la fac (pv)

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