The Multiversity

Hina Kazama était une jeune élève discrète et timide, qui étudiait au lycée Suiren. C’était un agréable lycée, très propre, qui était au cœur de plusieurs régions reculées du Japon, loin de la grande mégalopole japonaise. Ce lycée était desservi par plusieurs villages et hameaux environnants. Hina était une élève assez studieuse, qui avait pour meilleure amie Shion Hinaba. Fille unique, Hina était très proche de Shion, qu’elle connaissait depuis la maternelle. Elles avaient grandi à Suiren, car le lycée abritait aussi la maternelle et les autres établissements scolaires de la région. Le Directeur de l’établissement disposait donc d’un grand pouvoir local, puisqu’il pouvait régenter la vie de tous les enfants du coin.

Hina était une jeune fille sans histoire, assez discrète, contrairement à Shion, qui était assez désinvolte, et plutôt extravertie. Elles dormaient toutefois très souvent ensemble, car leurs familles étaient voisines. Elles avaient donc grandi ensemble, tant à l’école qu’en dehors. Shion aimait beaucoup Hina, car Hina permettait de la cadrer, mais c’était souvent Shion qui l’emmenait sortir. Dernièrement, elles avaient profité de leurs vacances pour faire un road trip à Tokyo ! Pour Hina, ça avait été fantastique, et elle avait même vu Shion embrasser plusieurs garçons. Tout ça avait troublé un peu Hina, qui ne connaissait encore pas grand-chose au sexe. Cependant, Shion en savait plus qu’elle, et avait l’avantage d’avoir une poitrine tout simplement incroyable, énorme et bien développée ! Hina n’avait pourtant pas à se plaindre de sa poitrine, mais ils étaient plus petits que les siens.

Si Hina était toujours vierge, elle était persuadée que Shion ne l’était plus. Et, aujourd’hui, alors que les cours étaient terminés, Hina s’interrogeait encore sur Shion.

*On dit qu’elle n’est plus vierge… Elle l’aurait vraiment fait ?*

La jeune fille peinait à y croire, ça semblait dingue ! En même temps, beaucoup de rumeurs folles circulaient au lycée, et Shion n’avait pas vraiment de petit-ami… Hina avait d’ailleurs été surprise de la voir embrasser plusieurs garçons lors de leur séjour à Tokyo. Elle savait aussi que Shion avait des revues pornographiques dans son casier, car elle avait parfois surpris Shion à la lire. Réalisait-elle les risques qu’elle prenait ? Si quelqu’un la voyait, elle risquait un blâme !

Hina comptait retourner chez elle, mais, avant ça, elle avait un rendez-vous dans le bureau du Directeur, ce qui l’inquiétait un peu. Que lui voulait-il ? Hina était très sage ! Elle laissa donc ses amies, et fila vers le bureau du Directeur, dans son élégant uniforme scolaire. Elle ne voyait plus beaucoup Shion en ce moment, car celle-ci était très occupée… Est-ce que cela pouvait avoir un rapport avec cette convocation ?

*J’espère qu’elle n’a rien fait de stupide, elle est parfois tellement insouciante !*

Nerveuse, Hina se retrouva donc dans la salle d’attente, attendant que le Directeur soit disponible…

Eido Kawazashi était le proviseur du lycée Suiren depuis maintenant plusieurs années, et alors qu'il approchait peu à peu de l'âge de la retraite, il était évident qu'il finirait sa carrière ici. Il avait été initialement muté ici dans le cadre d'une mutation administrative, suite à des accusations non prouvées de la part d'une élève dans l'ancien établissement qu'il dirigeait, si les attouchements n'avaient pas pu être prouvés, il avait cependant été muté pour éviter toute polémique. Cela faisait maintenant donc quelques années qu'Eido s'était assagi de toute évidence, aucun scandale n'était venu entâcher à nouveau sa carrière, et son lycée tournait bien pour un lycée de campagne, et il avait mis tout en oeuvre pour que, à force, son passé ne le ratrappe pas.
Néanmoins les vieux démons étaient difficiles à chasser, et le proviseur était typiquement un vieux pervers qui fantasmait sur ses jeunes élèves. C'était sous son influence que toutes portaient un uniforme scolaire à chaque fois un peu trop court, blâmant des impossibilités de livraisons d'autres tailles, ou d'autres excuses pour justifier que les lycéennes portent des jupes aussi courtes et des chemises laissant légèrement apparaître leurs nombrils. Eido se voyait presque comme une sorte de champion de la cause des lycéens, qui eux de leur côté pouvaient autant se rincer l'oeil que lui, n'était-il donc pas généreux à sa façon ?

Mais au delà de ça, le proviseur avait aussi fait installer des caméras très discrètes dans plusieurs lieux clefs de lycée, comme les toilettes et les vestiaires du gymnase. Peu prompt à retenter l'expérience d'abuser une de ses élèves et que cette dernière ne se plaigne, il s'en était alors rabattu sur la collection de vidéos cachées, et il se branlait frénétiquement chaque soir devant son écran, avec les vidéos de ses belles lycéennes se changeant dans les vestiaires ou allant aux toilettes. C'était par ce biais que, avec de la patience et de l'attention, il était finalement parvenu à trouver une solution à son problème, celui de ne pas avoir une petite pute à baiser pour satisfaire ses pulsions.
Il suivait avec attention l'une des élèves du lycée, Shion Hinaba, qui était une véritable bombe avec un corps absolument parfait, et qui était d'un naturel assez joueuse avec les garçons. Eido avait mis sa main à couper qu'elle ne devait certainement pas être pure, et avait fini par en avoir la preuve en vidéo, lorsque Shion était entrée dans les toilettes du lycée après les heures de fermeture, pour faire l'amour avec un des lycéens. Cette vidéo avait été la preuve qu'il lui avait suffi pour convoquer Shion dans son bureau, et ainsi la faire chanter, la menacer de renvoi et de rendre le fait qu'elle était une petite salope qui se faisait culbuter dans les toilettes public. Cela avait été un sacré pari...mais la jeune femme avait cédé presque immédiatement, préférant que cette vidéo ne sorte pas au grand jour, elle était devenue l'esclave sexuelle du proviseur. Cela faisait maintenant un bon mois que cela durait, et peu à peu, la jeune Shion était passée de victime récalcitrante...à petite salope heureuse, et grâce à son aide, Eido pouvait maintenant se tourner vers une deuxième cible.

Hina Kazama était la meilleure amie de Shion, et cette dernière lui avait racontée bien des choses sur cette petite timide, mais d'une grande beauté. Leur amitié transcendait absolument tout, et Shion était convaincue qu'avec les bons arguments, Eido pourrait aussi en faire sa petite pute personnelle. Il avait muri son plan, qui était au final assez simple, grâce à Shion qui était devenue tellement perverse, que l'idée de former un threesome avec sa meilleure amie l'excitait au plus haut point. Ce jour était donc le grand jour, Hina qui attendait dans la salle d'attente, pu voir la porte du bureau s'ouvrir, et le proviseur apparaître dans l'encadrement, avec son sourire se voulant chaleureux.

Bonjour Hina, viens je te prie.

Rien pour le moment ne devait laisser penser ce qui se tramait vraiment dans sa tête, Eido avait à force acquis une bonne capacité à dissimuler ses vraies intensions. Il l'invita à prendre place, tout en prenant tout de même soin de mater son beau petit cul, qui n'était qu'une partie attirante de ce corps parmi d'autres, il prit alors place en s'asseyant sur le bureau, face à Hina.

Je tiens à te rassurer d'emblée Hina, tu n'a rien fait de mal qui pourrait justifier ta présence dans mon bureau, tu es une excellente élève, et je tiens d'ailleurs à te féliciter pour ton travail assidu et ton comportement exemplaire, tu es un modèle pour notre lycée.

Il pouvait sentir combien elle était tendue, et comptait ainsi lui faire un peu baisser sa garde avant d'attaquer.

Si je t'ai demandé de venir, c'est plutôt concernant Shion. J'ai cru comprendre que vous étiez de très bonnes amies toutes les deux, très proches, et je me disais que...enfin...il y a quelque chose que je dois te montrer que j'ai eu en ma possession, et qui est assez boulversant.

Le proviseur se saisit alors d'une tablette tactile posée sur son bureau, la tripatouilla quelques instants, avant de tourner l'écran en direction de Hina...qui pu alors voir une vidéo, celle de Shion en train de sucer un de ses camarades dans les toilettes du lycée. Eido n'avait même pas pris la peine de couper le son, et avait par ailleurs prit soin de charger la vidéo à un moment clef, où Shion finissait juste sa fellation pour ensuite se faire prendre à même un évier, tout en gémissant comme une chienne.

Il s'agit de Shion, dans les toilettes de notre lycée, après la fermeture...je suppose que tu peux comprendre pourquoi cela est très grave pour elle ?

Le lycée se trouvait dans le sud du pays, où le climat était assez tropical, car on se rapprochait de la ligne équatoriale. C’était l’une des justifications pour le port d’uniformes scolaires assez courts. C’était du moins ce qu’on expliquait à Hina, mais il était parfois difficile de se faire à des chemises qui dévoilaient une partie de son ventre, juste sous son nombril. Elle trouvait aussi les minijupes un peu trop courtes, et devait par conséquent souvent faire attention, car il lui suffisait de se pencher un peu trop pour que d’autres élèves puissent voir sa culotte ! Hina ne savait pas trop quoi en penser, même si elle devait bien admettre que, lors des épisodes caniculaires, ce sailor fuku prouvait davantage son efficacité !

Elle rejoignit donc le bureau du Proviseur. Kawazashi-sama était un homme assez âgé, très arrondi, avec une calvitie prononcée. Hina l’avait rarement rencontré, si ce n’est à l’occasion des discours de rentrée, ou lors de certains évènements. Elle se demandait vraiment ce qu’il lui voulait, et rentra dans le bureau en le saluant, s’inclinant lentement, mettant légèrement en valeur ses seins.

« Bonsoir, Kawazashi-sama. »

Bien élevée, Hina rejoignit l’intérieur du bureau. Un grand bureau en bois lui faisait face, avec, derrière, une grande vitre permettant de voir le soleil, qui était doucement en train de se coucher. Derrière elle, Kawazashi-sama referma la porte, et se déplaça ensuite. Elle attendit sagement qu’il l’invite à s’asseoir, et s’assit devant le bureau. Elle l’attendait à voir s’asseoir sur son fauteuil, mais fut surprise de le voir s’asseoir sur son bureau. Elle se racla lentement la gorge, et fut légèrement soulagée quand le Directeur lui annonça que cette entrevue n’avait rien à voir avec une quelconque sanction. Au contraire, celui-ci vint la complimenter, et elle rougit encore poliment, surtout quand il avoua qu’elle était « un modèle ». Hina se mordilla doucement les lèvres, tout en se demandant, du coup, pourquoi il l’avait invité ?

N’osant rien dire, car assez timide, elle commença à écarquiller les yeux quand Kawazashi-sama lui expliqua que sa présence était liée à…

*Shion ?!*

Son petit cœur se mit à bondir dans sa poitrine, et elle le vit attraper une tablette tactile. En ce moment, sa surprise d’entendre parler de Shion balaya celle de voir son directeur s’asseoir, non pas sur son fauteuil, mais sur son bureau, si proche d’elle que ses jambes étaient très proches des siennes. Il lui présenta donc la tablette. Hina l’attrapa pensivement, et, et…

…

…Ses yeux s’écarquillèrent, tout comme sa bouche, et elle se mit à rougir confusément devant cette vidéo choquante, impensable ! Elle voyait Shion en train de… De… Non ! Hina était tellement naïve qu’elle ne pouvait pas s’empêcher de trouver ça… Répugnant ! Une vidéo truquée ? Elle avait envie de le croire, mais elle ne voyait pas pourquoi Kawazashi-sama s’abaisserait à cela. Le Directeur lui expliqua que la scène avait eu lieu dans les toilettes du lycée. En d’autres circonstances, elle aurait pu se demander pourquoi il y avait des caméras dans les toilettes, mais cette vidéo était tellement incroyable !

Hina rougit et devint blanche ensuite, avant de rougir encore quand elle vit Shion avaler le sperme de l’élève, un lycéen qui jouit furieusement dans sa bouche. Elle posa sa main devant sa bouche, tellement choquée qu’elle retint son cri dans sa bouche. Elle releva les yeux vers le Directeur, puis vers la tablette, et à nouveau vers le Directeur.

« Je… »

La jeune femme n’arrivait plus à réfléchir. Shion… Shion ne pouvait pas faire ça ! C’était tout simplement impossible ! Ce n’était pas digne d’elle ! Certes, Hina savait qu’elle avait tendance à flirter, mais, de là à faire ça, il y avait quand même un sacré pas de franchi ! Hina savait les risques que prenait Shion en faisant ça, mais, tout ce qu’elle arriva à dire, d’une petite voix blanche, ce fut :

« Pou… Pourquoi vous me montrez ça ? Je ne peux pas croire qu’il s’agisse de Shion… C’est forcément une erreur ! »

Eido devait faire preuve d'un grand sang-froid pour ne pas bander trop fort dans son pantalon, surtout en pensant à tout ce qu'il allait faire avec cette petite fleur, fraîche, innocente, et tellement belle. Hina était vraiment très bonne dans son uniforme, et à peu de choses près, le vieil homme aurait presque pu discerner la naissance des plis de sa petite culotte maintenant qu'elle était assise. Honnêtement, il avait une furieuse envie de la prendre maintenant, tout de suite, mais il ne savait que trop bien quelles conséquences cela pourrait avoir si il le faisait avant d'avoir établi une claire relation de domination sur elle.

*Mais crois moi ma petite, je vais faire de toi ma délicieuse petite esclave...*

Évidemment, voir Shion, sa meilleure amie, en train de sucer un de ses camarades sur une vidéo la troubla énormément, ce qui était tout à fait normal et en même temps escompté. Eido fit là encore de son mieux pour ne pas sourire face à la jeune femme qui se trouva désarconnée, choquée au plus haut point, alors que pourtant, Shion ne faisait "que" sucer un de ses camarades. Cela confirmait effectivement ce que son amie avait dit à son sujet, qu'elle était complètement vierge et inexpérimentée, ce qui allait apporter un petit changement pas désagréable par rapport à Shion. Oh le proviseur ne comptait nullement abandonner sa première chienne bien sûr, mais elle avait déjà de l'expérience quand il avait mis la main sur elle, mais dans le cas de Hina, la perspective d'être le premier homme qui allait la souiller et fourrer sa queue en elle par tous ses orifices, cela avait quelque chose de diablement excitant !
Lorsque la vidéo s'arrêta, Hina releva la tête, légèrement plus pâle qu'avant d'entrer dans le bureau, et sembla refuser de croire, même si c'était très hésitant, qu'il s'agissait bien de son amie sur cette vidéo.

Je crains malheureusement qu'il ne s'agisse pas d'une erreur, Hina-chan. J'ai vérifié, c'est bel et bien ton amie Shion que l'on voit ici en train de sucer un de ses camarades.

L'homme se redressa alors, et entreprit de faire quelques pas dans son bureau, les bras croisés dans le dos, en prenant un air grave.

Je suis désolé d'avoir eu à te montrer ça, Hina-chan, mais cela me semblait nécessaire au vu du lien fort que vous partagez toutes les deux...afin que...tu aie l'occasion de t'y préparer.

Se préparer ? Eido laissait volontairement la jeune femme dans une sorte d'expectative, même si elle pourrait logiquement commencer à se douter où le proviseur voulait en venir, tout en en ayant sans doute trop peur d'envisager cette possibilité. Après avoir fait quelques pas en lui tournant le dos, le proviseur se retourna alors pour lui faire face.

Je n'ai hélas pas d'autre choix que de suspense Shion, et de la convoquer à un conseil de discipline dans les jours à venir, Hina. Ce genre de comportements, dans les toilettes publiques de ce lycée, ne peut être toléré je suppose que tu le comprends ? Je crains que ton amie ne risque un renvoi définitif, et il est fort probable que les raisons finissent par s'ébruiter. Quelle tragédie, une fille aussi belle et gentille...cela risque de lui coller au dos pour le reste de sa vie, mais en l'état, je ne vois pas d'autre solution.

Il laissa alors plâner un léger silence.

A moins que...peut-être...Hum...peut-être qu'il existerait un moyen pour que tu puisse aider Shion, Hina...peut-être...mais est-ce que le "prix" n'en serait pas trop élevé pour toi ?

Hina n’était pas le genre de fille qui lutterait contre l’autorité. Elle avait un naturel très soumis, ce qui faisait qu’elle avait toujours tendance à suivre Shion, qui était sur ce point bien plus mâture qu’elle. Elle avait déjà vu Shion faire des bêtises, mais à ce niveau-là… Hina ne savait pas quoi dire ! Elle était choquée, et encore trop naïve pour songer au plaisir que cela faisait. En d’autres circonstances, si Shion lui en aurait parlé lorsqu’elles dormaient ensemble, Hina aurait été tout autant horrifiée, mais… Elle aurait rebondi plus vite ! Ici, elle était tout de même face à l’incarnation, à ses yeux, de l’autorité suprême ! Kawazashi-sama était après tout le Directeur, le grand chef du lycée ! Elle le connaissait depuis toute petite, vu qu’elle avait toujours étudié ici, et que lui était là depuis de nombreuses années. Le fait qu’il n’ait jamais été muté ailleurs avait d’ailleurs souvent été un sujet de conversation entre les élèves, comme si Kawazashi-sama n’avait plus aucune chance de promotion. Maintenant qu’il était proche de la retraite, cela ne faisait désormais plus aucun doute.

L’esprit d’Hina s’emballait, divaguait, et elle déglutit quand le Directeur lui avoua qu’il allait devoir exclure Shion, la renvoyer. Hina devint alors blême en relevant la tête, n’arrivant pas à en croire ses oreilles. Shion, exclue ? Shion, renvoyée ? Ce n’était pas possible ! Hina se pinça les lèvres, et réagit très spontanément quand Kawazashi-sama l’évoqua, parlant du « conseil de discipline », chose qui, dans la tête d’Hina, s’apparentait à une sorte d’hara-kiri social ! Très empathique, elle imaginait déjà sa pauvre Shion au milieu d’une grande pièce sombre, devant une sorte de directoire composé d’hommes sévères en costume qui la jaugeraient de haut, et qui la puniraient ! Oh non, non, non !

« Je… Ce n’est pas possible, Monsieur ! »

Shion était sa meilleure amie ! Pendant longtemps, elles avaient dormi ensemble, aussi bien dans la chambre d’Hina que dans celle de Shion. De vraies inséparables ! Vivre à la campagne, dans un endroit isolé, avait souvent le don de rapprocher les gens, et Hina avait toujours vu Shion comme la grande-sœur qu’elle n’avait jamais eu, une fille qui lui servait d’exemple. La simple perspective de la voir partir lui était tout simplement insupportable. Elle était son amie, elle pouvait bien faire quelque chose ! Mais quoi ? Hina ne voyait en l’état qu’une seule solution. Aurait-elle été moins prude qu’elle aurait pu anticiper les pensées réelles de son proviseur, mais elle voyait en lui l’incarnation de l’autorité. Impossible de se dire qu’il avait pour elle des pensées très impures !

« Vous… Vous voulez que je témoigne en sa faveur devant le conseil de discipline ? Je… Je suis prête à le faire, Shion est ma meilleure amie, elle… Je suis sûre qu’il y a une explication à tout ça ! Je ferai tout pour elle ! » renchérit-elle, sans prendre conscience de la portée d’une telle affirmation.

Mais ça, elle risquait en réalité vite de s’en rendre compte…

Hina était absolument terrorisée à la perspective de ce qui risquait d'arriver à Shion, si cette dernière venait à se trouver en conseil de discipline pour ce motif là, ce qui confirma les dires de cette dernière en ce qui concernait leur relation. Elles étaient vraiment proches, des amies intimes qui avaient passées toute leur enfance à grandir ensemble, et Hina semblait tenir beaucoup à Shion. C'était touchant, mais Eido voyait surtout cela du point de vue du vieux pervers qu'il était, et qu'il s'agissait là de la faille rêvée pour faire d'Hina ce qu'il voulait. Bien sûr, tout ce qu'il disait était un mensonge, le vieux proviseur n'avait aucune intention de rendre cette vidéo publique, vu que Shion était désormais devenue sa chienne tout à fait volontaire, il n'en avait même plus besoin pour la faire chanter, et ne voulait donc surtout pas qu'elle se fasse renvoyer. A dire vrai, cette idée de se servir de cette vidéo pour Hina était principalement celle de Shion, car si Eido l'avait peut-être envisagé, c'était Shion qui avait vraiment donnée forme à ce plan. Il fallait dire qu'Eido baisait sa petite salope au moins une fois par jour, lors d'assez longues sessions d'une perversité sans nom, et si la jeune femme parvenait tout de même à trouver du temps pour ses études, elle en passait moins avec sa meilleure amie. Eido était donc plus que généreux ! Lorsqu'il aurait atteint le même niveau de soumission à sa volonté qu'avec Shion, il pourrait alors les réunir, ses deux putes personnelles, heureuses de se faire troncher par lui !
Eido laissa donc la panique s'infiltrer dans l'esprit de la jeune femme, c'était précisément ce qu'il cherchait, car on arrêtait de réfléchir correctement pour laisser place à ses instincts, et à des décisions hâtives. Tout ce que Eido avait à faire, c'était parvenir à la convaincre de se laisser faire au moins cette fois. Bien entendu, son bureau était truffé lui aussi de petites caméras, et il lui suffirait de parvenir à ses fins aujourd'hui pour avoir un autre matériel de chantage que juste la vidéo de Shion. Cela ne l'empêcherait bien évidemment pas de subir de grosses conséquences si Hina se mettrait à parler malgré tout, mais il était confiant, au vu du tempérament timide d'Hina, cette dernière préfèrerait sans aucun doute possible être secrètement sa chienne, plutôt que de subir des humiliations publiques pour le reste de sa vie. La beauté du puritanisme japonais, qu'Eido utilisait là à son avantage.

Tout pour elle n'est-ce pas ?

Eido cette fois ne pu s'empêcher d'afficher un très léger sourire, car il était temps de voir jusqu'à quel point Hina était prête à transformer ses paroles en actions. Le vieil homme se rapprocha alors du siège où Hina était assise, en se positionnant dans son dos, et posa alors ses deux mains sur ses épaules.

C'est tout à ton honneur Hina-chan, mais je crains que ça ne soit pas suffisant. Si Shion devait comparaître devant un conseil de discipline, le motif serait bien évidemment rendu public. Je sais très bien comment cela risquerait d'évoluer, même si Shion n'était pas renvoyée, tout le lycée et ses parents seraient au courant, et ce serait terrible socialement pour elle.

L'homme se mettait à doucement caresser les épaules d'Hina, d'une façon de plus en plus étrange...

Mais cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas de solution...tu as à vrai dire, toutes les cartes en main pour que rien de tout ça ne se produise. Vois-tu Hina-chan, personne d'autre que moi n'est au courant, hormis toi maintenant bien sûr, et je suis le seul dépositaire de cette vidéo compromettante. Je ne peut que supposer que tu garderais volontiers cela secret pour protéger ton amie, et si je venais à ne rien dire non plus...et bien pas de conseil de discipline pour ta chère et tendre amie. Ne serais-ce pas merveilleux ?

Tout cela semblait parfaitement prodigieux en effet, mais Eido se mettait à caresser la jeune femme d'une façon de plus en plus inapropriée, allant jusqu'à sentir la peau de sa nuque et de son cou...avant de se mettre à descendre plus bas, et à empoigner chacun de ses délicieux seins.

Voici ce que je te propose Hina-chan. Je garderais tout cela secret...mais à la condition que tu accepte de devenir...ma petite salope personnelle. Réfléchis bien avant de dire non, car je sais que c'est ce que tu dirais instinctivement, mais réfléchis-y. Si tu refuse, rien ne m'empêchera de ruiner la vie de ta meilleure amie de façon irrémédiable, et ce sera entièrement de ta faute Hina-chan. Ne t'en fait pas...personne ne saura...absolument personne...Hina-chan...

Sa voix se faisait de plus en plus empreinte d'une lourde excitation, alors qu'il continuait à lui malaxer les seins au travers de sa petite chemise...

Hina était mortifiée ! Elle aimait trop Shion pour que tout ça lui arrive ! C’était un endroit petit, tout le monde serait au courant, ses parents allaient la renier ! Hina paniquait en imaginant tout ce qui allait lui tomber dessus. Non, non, ça devait être une mauvaise blague ! Mais le Directeur enchaîna encore, explicitant tout ce qu’Hina craignait.

« Non, ça ne peut pas arriver, Shion est gentille, Monsieur, elle ne mérite pas ça ! » s’insurgea-t-elle.

Mais que pouvait-elle y faire ? Elle sursauta doucement quand Kawazashi-sama posa ses lourdes mains sur ses épaules, et lui expliqua qu’il n’y avait que deux personnes ici qui étaient au courant de cette situation : elle… Et lui. Alors, en définitive, c’était lui qui pouvait prendre la décision, ou non, de transférer l’image de vidéosurveillance au conseil d’administration. Trop émue pour réfléchir, Hina cligna des yeux à plusieurs reprises. Elle avait évidemment confiance dans le Directeur, symbole de l’autorité, de cet État dans lequel il fallait croire et se soumettre. Elle lui vouait une obéissance aveugle, mais, quand les mains du Directeur commencèrent à glisser le long de ses épaules, elle frissonna encore.

Le Directeur lui avoua que, finalement, tout ce qu’il y avait à faire, c’est que personne ne dise rien, sur un ton troublant. Un ton qui n’était pas froid, mais plutôt sensuel, sans compter qu’il l’avait tout de même touché… Ce qui, au Japon, n’était pas rien ! C’était un pays où le contact corporel était réservé à un cadre strictement intime. Elle rougit lentement, se demandant ce que l’homme voulait dire.

« Je… Oui, mais… Que voulez-vous dire, Monsieur ? »

Elle frémit en sentant ses doigts remonter sur ses épaules pour glisser sur son cou, caressant sa peau délicatement, mais aussi fermement. Les mains d’Hina se crispèrent alors sur les accoudoirs, et elle se mit à rougir, devenant plus blême… Avant que les mains de Kawazashi-sama ne descendent encore. Elles filèrent sur sa chemise, et pressèrent subitement ses seins à travers.

« Haaa… ! »

Hina frémit encore, sentant ses mamelons remuer sous les doigts de Kawazashi-sama, qui parla d’une voix plus profonde, plus sensuelle. Elle écarquilla les yeux quand il proposa qu’elle devienne sa « salope personnelle ». Comment son Directeur pouvait-il dire ça ? Proférer de telles choses ? Hina n’arrivait tout simplement pas à croire à ce qu’elle entendait, si bien qu’elle se figea, tout en rougissant furieusement, et en tremblant sur place. Elle couina alors quand il malaxa plus fermement ses seins, pinçant les tétons, et elle se mordilla les lèvres en fermant les yeux, se recroquevillant sur place. Sa bouche s’asséchait sur place, tandis qu’il poursuivait.

La jeune lycéenne ne savait tout simplement pas quoi dire ! C’était… Totalement imprévu ! Mais elle devait aussi faire ça pour Shion… Cependant, Hina ne pouvait pas non plus… Enfin… C’était son Directeur ! Et elle… Elle n’était pas comme ça ! Elle couina encore quand il pinça ses seins, et tourna la tête sur le côté, rougissant encore, mortifiée. Comment pouvait-il ressentir de telles choses envers elle ? Elle n’arrivait plus à parler, et c’est finalement en se concentrant très fort, d’une petite voix blanche, qu’elle réussit à murmurer :

« Ce… Ce… N-Non, Ka… Sensei… » déglutit-elle lentement.

Était-ce un mauvais rêve ? Oui, ça devait sûrement être le cas !

Le proviseur prenait dores et déjà son pied. Depuis qu'il s'était un peu plus intéressé au cas de Hina, sous l'impulsion de son amie Shion, il devait bien avouer trouver un charme particulier à cette petite timide, qui pourtant avait un corps à en faire chavirer plus d'un. Là, il pouvait enfin toucher ses seins, en les empoignant généreusement à pleines mains, et en n'hésitant pas à pincer légèrement les téton de la jeune femme au travers de ses couches de vêtements. Sans pour autant "accepter" cet attouchement, ce qui n'aurait pas du tout été son style, Hina toutefois ne se débattit pas vraiment face à ces mains balladeuses et insistantes, pour le plus grand plaisir du proviseur qui continua ses assauts pervers sur elle.
Au bout d'un moment toutefois, Hina-chan prononça un petit non, mais ce dernier était hésitant, pas vraiment franc, ce qui fit que l'homme n'arrêta nullement sa besogne, tout en rapprochant alors ses lèvres d'une des oreilles de la jeune lycéenne.

Non ? En est-tu certaine Hina-chan ? Ce non me semble bien hésitant, et je pense savoir pourquoi tu hésite ma chérie...

Le proviseur...cessa alors de masser les seins de sa jeune élève, qui entretemps s'étaient durcis. Mine de rien, il avait beau être vieux et physiquement assez repoussant, Eido avait pas mal d'expérience sexuelle, qu'il avait pu remettre au goût du jour avec sa petite chienne, Shion. Il se redressa alors, et repassa face à Hina, qui en étant assise se trouvait avec le visage à la même hauteur que l'érection du proviseur, qu'il ne cherchait cette fois plus à cacher.

Tu es vierge, je suppose que je ne me trompe pas ? Allons n'aie pas peur, le sexe est une chose superbe tu sais, il suffit de voir avec quel plaisir Shion suçait son camarade sur cette vidéo. Cependant, je suppose que la perspective de le faire avec un vieil homme comme moi doit pour l'instant te rebuter, et je peux le comprendre mais...en réalité Hina-chan, as-tu vraiment le choix ?

Eido reprit la tablette tactile dans ses mains, et relança alors la vidéo en la montrant de nouveau à Hina, afin de lui raffraîchir un peu la mémoire.

Tu sais, je ne plaisante absolument pas, en affirmant que cette vidéo pourrait ruiner la vie de ton amie. Nous vivions dans une société qui est encore hélas très puritaine. Que vont penser ses parents quand ils recevront un mail anonyme contenant cette vidéo ? Je peux dores et déjà te le dire Hina, il vont la virer de chez eux et refuser de lui parler à nouveau. Elle sera également renvoyée de ce lycée, et je doute qu'un autre accepte de l'intégrer. Que penses-tu alors qu'il va se passer ? Shion n'aura sans doute d'autre choix que de partir, loin, sans doute à Tokyo pour trouver un job minable et vivre dans un studio miteux...ou peut-être même devra-t-elle se prostituer dans les rues ?

Eido dépeignait volontairement un cadre très sombre pour marquer la jeune femme, et la faire se sentir responsable, même si c'était lui qui menaçait.

Shion ne mérite-t-elle donc pas mieux, Hina ? C'est étrange, j'aurais pourtant crû que votre amitié était plus forte que ça, tu as dit toi même que tu était prête à tout pour la protéger mais...je suppose que ce n'était que des paroles en l'air après tout.
Je vais néanmoins te le demander une ultime et dernière fois. Soit ma salope personnelle, ou non seulement Shion sera virée de ce lycée, mais je m'assurerais aussi que cette vidéo trouve son chemin sur les plus grands sites pornographiques du monde, afin que tout le monde puisse voir ta meilleure amie sucer de la queue et avaler du sperme ! Je le ferais si tu sors d'ici sans accepter ma proposition ! Et sache que si tu raconte ça à qui que ce soit, je nierais en bloc, mais je m'assurerais aussi que le reste de ta scolarité soit bien plus difficile que tout ce que tu pourrais imaginer, Hina-chan !

Eido appuyait lourdement pour faire craquer ses véléités de résistance qui pouvaient tout de même se révéler dangereuses, alors il ne laissait nullement la place aux sentiments, et écrasait Hina sous son autorité naturelle de proviseur.

Tu es libre de partir si tu le souhaite Hina, mais réfléchis lourdement aux conséquences de tes actions ma belle. Sinon...lève toi, et soulève le devant de ta jupe pour me montrer ta culotte, et me prouver que tu m'accepte comme ton maître...mais aussi que ton amitié avec Shion veut vraiment dire quelque chose.

C'était un gros coup de poker, qui avait plutôt intérêt à marcher !

Hina était comme absente, sans vraiment comprendre ce qui lui arrivait. Kawazashi-sama jouait avec elle, torturant ses seins, et, si son corps s’enflammait doucement, elle n’arrivait tout simplement pas à y croire. Non, non, c’était forcément une blague ! Mais Kawazashi-sama semblait particulièrement sérieux, et se posta devant elle, continuant ses explications. Il lui indiqua que, si elle refusait de lui obéir, il détruirait la vie de Shion. Hina n’avait tout simplement aucune échappatoire, et semblait comprendre, peu à peu, ce que le proviseur lui disait. Que faire d’autre ? Elle ne pouvait pas faire ça à Shion, et se mit évidemment à culpabiliser quand Kawazashi-sama insista sur le fait que, si elle refusait ses avances, la déchéance de Shion serait de sa faute exclusivement. C’était faux, bien sûr, mais, en ce moment, Hina était si confuse qu’elle ne pouvait s’empêcher de croire à cela, d’y adhérer silencieusement.

Tête basse, elle se frictionnait maladroitement et nerveusement les mains. Lui laisser le choix était sans doute encore pire ! Car elle ne pouvait pas se placer en position de victime, elle se devait de réfléchir ! Hina se pinça les lèvres, et releva lentement la tête. Elle allait perdre l’esprit… Elle observa le corps massif et ventripotent du Directeur, et attrapa nerveusement sa minijupe.

« … »

Restant toujours aussi silencieuse, et la tête basse, elle se releva alors. Elle déglutit lentement, ayant tout d’un coup très chaud, sans comprendre ce qui lui arrivait. Nerveuse, elle s’était donc relevée, et releva la tête, pour croiser le regard du Directeur. Rougissant furieusement, elle pensa encore à Shion.

*Shion… Je fais ça pour toi, Shion, rien que pour toi !*

Mais… Était-ce vraiment le cas ? C’est ce qu’elle se disait pour le moment ! Hina releva sa minijupe, et peina à parler, sa voix tremblotant nerveusement, avant de poursuivre :

« Je… Je le ferai… P-Pour Shion, mais… Je… Je… Je ne sais pas co-Comment fai-Faire… »

Si fragile, elle avait du mal à assembler ses syllabes face à lui, sans trop savoir ce qu’il lui réservait, et espérant toujours que quelqu’un viendrait la libérer de cette situation… Avant qu’il ne soit trop tard !

Intérieurement, Eido se mettait toute de même à espérer que Shion ne s'était pas trompée dans les grandes largeurs, car mine de rien si cette petite conne se mettait tout de même à parler, s'en serait fini de lui au vu de son passif. Personne n'en savait rien bien entendu, mais il était évident qu'une autre affaire de harcèlement sexuel pour lui ferait rejaillir ces anciennes affaires, et qu'il aurait bien des chances de finir en prison cette fois. Heureusement, Eido était un vrai caméléon qui avait appris depuis bien longtemps à cacher ses émotions, à ne pas les laisser transparaître dans son comportement et ses expressions lorsqu'il ne le souhaitait pas. Son coeur s'arrêta tout de même de battre un léger instant lorsque Hina se redressa de la chaise, allait-elle sortir ? Qu'allait-il bien pouvoir faire dans cette optique ? Il n'allait quand même pas la kidnapper ?!?!
Heureusement...cette perspective tout de même terrifiante, car dans l'absolu il ne lui voulait pas de mal, "juste" en faire son esclave sexuelle, n'eût pas besoin de se concrétiser. Hina fit suivre sa position debout par ce que Eido lui avait ordonné de faire pour montrer qu'elle acceptait ses conditions, et elle utilisa ses délicates mains pour relever l'avant de sa courte jupe. Le proviseur eut alors droit une magnifique vision de la petite culotte de son élève, qui bégaya alors qu'elle le ferait, pour Shion, mais qu'elle ne savait absolument pas quoi faire.
Un large sourire éclaira alors le visage du vieux pervers, qui sentit une vague de soulagement et d'excitation le traverser.

Évidemment que tu ne sais pas comment faire ma petite, tu es vierge après tout, mais ne t'en fait pas...je vais t'apprendre, je suis là pour ça après tout n'est-ce pas ? Pour t'éduquer comme il le faut...

Oh ça pour "l'éduquer", il allait le faire. Le proviseur s'approcha alors doucement de son élève, son regard fuyant sur l'intégralité de son corps, mais revenant quand même régulièrement vers l'entrejambe de son élève.

Reste comme tu es Hina-chan, nul besoin de bouger, ton maître s'occupe de tout.

Le vieil homme s'approcha au point de se coller contre le corps d'Hina, qui pu alors sentir son ventre bedonnant contre elle. Il força d'ailleurs un peu afin de vraiment se serrer contre son corps, en posant ses mains dans le dos de son élève pour l'aider à se maintenir en place, et qu'elle ne parte pas à la renverse. Ainsi, Hina-chan pu sentir l'érection de son proviseur contre sa petite culotte, la frottant au travers de son pantalon déformé par cette grosse bosse.

Tu sens ma queue Hina-chan ? Sens comme tu me fait bander ma douce..."ma" Hina-chan, car tu m'appartiens désormais, si tu veux que Shion continue de mener une vie normale.

Le vieil homme bandait dur, et était fortement excité d'imposer son autorité de cette façon particulière sur cette petite fleur bleue, il avait une forte envie de la prendre là, tout de suite, mais il n'avait pas envie de non plus trop la forcer. L'objectif était après tout de l'amener à progressivement aimer ça, alors il se devait d'être progressif dans son approche, surtout avec une vierge. Il approcha alors son visage du sien, et alla lui lécher le creux de l'oreille.

Hmmmm tu sens si bon Hina-chan, et ta peau est si douce...ne t'en fait pas, tout ça restera strictement entre nous...personne ne saura...personne...Ooooh Hina-chan...

Eido commençait à se laisser aller, il avait descendu ses mains pour empoigner le délicieux cul de son élève, à la fois doux et ferme, tout en continuant de frotter la bosse de son érection contre la culotte d'Hina, titillant ainsi indirectement sa fleur intime. Après avoir passé un certain temps à lui lécher l'oreille, Eido se déplaça, et plaqua ses lèvres contre la bouche frâiche de son élève, et ne lui laissa guère d'autre choix que d'accepter sa langue dans sa bouche. Oh les choses qu'il allait lui faire...

Hina-chan était… Complètement perdue. Totalement désorientée. Elle était incapable de comprendre ce qui lui arrivait, incapable de réaliser vraiment ce que cela signifiait. Il y avait en elle une sorte de sensation irréaliste, l’impression qu’elle n’était pas vraiment à sa place, qu’elle n’était pas là… Hina se mit à ventiler, et à réfléchir inconsciemment. Elle se demanda alors comment Shion réagirait à sa place.

*Shion ne paniquerait pas, elle est forte, elle saurait comment rebondir !*

La jeune fille sentit Kawazashi-sama se rapprocher d’elle. Le Directeur était massif, et pressa son corps ventripotent et solide contre le sien. Elle sursauta en rougissant, sentant ses mains fermes contre son dos, et, surtout… Une bosse qui se forma contre son corps. Elle rougit plus furieusement, comprenant qu’il s’agissait du sexe de Kawazashi-sama… Le sexe du Directeur ! Hina n’arrivait pas à y croire ! Elle écarquilla les yeux, et sentit alors les mains de l’homme glisser contre son dos, et se presser sur ses fesses. Hina déglutit doucement, sans être capable d’articuler quoi que ce soit, tout en se disant que, face à une telle situation, Shion réagirait sûrement de manière à ne pas se laisser marcher dessus trop longtemps ! Elle trouverait une solution, une manière de rebondir.

Kawazashi-sama lui assurera que personne n’en saurait rien, et elle releva alors la tête… Et il l’embrassa alors. Sa tête massive se pressa contre la sienne, et elle releva ses mains, venant les appuyer sur les pans de la veste de son Directeur. Nerveusement, elle se crispa dessus, et soupira faiblement, sentant la langue de l’homme s’enfoncer dans sa bouche. Hina gémit encore, sentant cette langue s’imposer en elle.

« Hnnnn… !! »

Confuse, elle le laissa faire, sentant des émotions différentes la traverser. Elle avait peur, peur qu’il lui fasse du mal, peur qu’il la tape, peur qu’il la blesse… Hina était sensible ! Non, elle n’était pas comme Shion, elle n’osait pas parler tant la présence du Directeur la tétanisait. Qu’allait-il lui faire ? Elle tremblait nerveusement, tout en sentant également d’étranges émotions la traverser… Comme cette douleur irritante à la poitrine, mais aussi, plus curieusement, entre ses jambes. Une certaine chaleur était en train de croître, et tout cela la troublait fortement. Elle n’arrivait pas à comprendre ce qui se passait, et déglutit encore quand le baiser se termina.

Hina baissa encore la tête en tremblant encore. Elle ressentait des frissons sur tout le corps, sans trop comprendre leur origine. Pourquoi une telle nervosité ? Elle ne savait plus quoi dire, ni quoi penser, tant tout cela la perturbait !

« Je… Je vous en prie, j’ai peur, vous… Vous allez me faire du mal ! »

Elle se recula alors précipitamment, venant heurter le mur à proximité, et détourna encore la tête, honteuse de tout ce qui se passait, et surtout de ces sensations encore inédites pour elle et assez inexplicables…

L'imagination et la perversité du vieil homme était presque sans bornes, et allait jusqu'à le pousser à faire chanter ses propres élèves pour pouvoir coucher avec elles. C'était toutefois, avec Shion, la première fois depuis qu'il travaillait ici qu'il osait vraiment passer à l'acte. Il avait fallu de longues années avant que ses supérieurs dans l'administration du ministère ne lui lâchent la grappe, et à force qu'il n'y aie aucune plainte et aucun incident, ils avaient fini par se dire qu'Eido avait du retenir sa leçon et voulait juste finir sa carrière le plus discrètement possible. Mais même après ça, Eido n'avait pas pu tomber sur la perle rare, car il n'avait tout simplement pas le droit à l'erreur. A dire vrai, que Shion fasse cette erreur avait été un vrai miracle pour lui...
Dans tous les cas, il était particulièrement heureux et excité à l'idée d'avoir non pas une, mais deux petites salopes à son service. Shion lui était maintenant complètement acquise, car même si en apparence Eido n'en menait pas large, il avait en vérité une libido très grande pour son âge, qui dépassait même celle de certains de ses élèves qui pourtant étaient en pleine puberté. Il profitait donc pleinement de l'opportunité qui lui était offerte de toucher et d'embrasser le jeune corps d'Hina, cette petite fleur fraîche, et tellement sexy. Elle se laissa globalement faire tout du long, mais lorsqu'il arrêta de l'embrasser, cette dernière recula jusqu'à se coincer dos au mur, affirmant qu'elle avait peur et qu'il allait lui faire du mal.
C'était...touchant dans un sens, mais Eido était bien trop dans l'optique de soumettre sexuellement cette petite pour avoir un véritable élan de pitié, même si il ressentit le besoin de clarifier les choses. Il s'approcha donc à nouveau d'Hina, ne souhaitant pas qu'il y aie autant de distance entre eux, et cette fois collée dos au mur, elle ne pu empêcher son proviseur de venir bien se coller contre elle, en l'écrasant assez délicatement avec son gros ventre.

Te faire du mal ? Allons Hina-chan, ce n'est pas du tout mon intention, je souhaite au contraire t'éduquer, et je n'ai jamais cru aux châtiments corporels dans cette optique.

Le vieux proviseur glissa alors ses mains sous la petite chemise d'Hina, depuis son ventre pour remonter jusqu'à ses seins, qu'il pressa à nouveau entre ses doigts, au travers de son soutien-gorge, et sourit à nouveau en constatant qu'ils étaient bien durcis. Et puis ces joues rougies, cette respiration un peu lourde chez son élève, il était presque certain que malgré elle, elle commençait à doucement être excitée, mais le stress et son inexpérience l'empêchaient de mettre des mots sur ce qu'elle ressentait.

Il est normal d'avoir un petit peu peur Hina-chan, tu es vierge, et je pense ne pas me tromper en disant que...tu ne t'es probablement jamais caressée intimement hum ? Dis moi...est-ce que tu as chaud ? Est-ce que tu commence à ressentir comme une petite crampe au niveau de ton bas-ventre ? Car moi là ce que je constate, juste en caressant tes délicieux seins...

Il s'approcha alors de nouveau de son oreille, qu'il prenait un malin plaisir à mordiller et à lécher.

C'est que Hina-chan commence à être excitée par le fait que son proviseur la touche comme ça...

Cette fois, il n'allait pas la laisser reculer, car il la bloquait bien fermement contre le mur, mais sans aller jusqu'à trop l'étouffer. Il avait désormais assez de marge de manoeuvre pour descendre une de ses mains de son insolente poitrine, et de la glisser sous la mini-jupe de son élève. Quand bien même Hina aurait comme réflèxe de serrer ses cuisses, elle ne pourrait empêcher le vieux pervers de pouvoir caresser son clitoris avec son index, au travers de sa délicieuse petite culotte. Eido y allait même avec un doigté expérimenté, appuyant juste assez pour stimuler ce bouton de plaisir, il décrivait des petits ronds avec son index, tout en massant les seins de son élève avec son autre main. Il l'embrassait dans le cou et sur son visage, mais se gardait pour l'instant de l'embrasser, car il souhaitait l'entendre gémir.

Là là...tu commence à le sentir n'est-ce pas ? Cette espèce de vague qui monte en toi, de plus en plus à mesure que je caresse ta petite fleur...je vais te faire jouir Hina-chan, juste avec mon doigt, tu va avoir ton premier orgasme, et ce sera moi qui vais te le donner...oooooh oui ma petite fleur...

Hina n’arrivait pas à lutter ! Il y avait ce réflexe naturel d’obéissance qu’elle devait envers ses supérieurs. Qui irait la croire si elle se mettait à dire que le Directeur l’avait touché, qu’il lui avait fait… Mais personne ne la croirait ! Pire, on l’accuserait d’avoir menti, de vouloir faire son intéressante ! Et Hina n’était vraiment pas le genre de personne capable de lutter, de tenir tête aux accusations ! Oh non, elle allait s’effondrer comme un ballon de baudruche ! Si elle confrontait Eido-sama en public, elle paniquerait très vite ! Accolée au mur, elle laissa Eido-sama se rapprocher d’elle, venant la palper. Elle était troublée, trahie par les émotions de son corps. Jamais ses seins n’avaient été si douloureux ! Enfin, disons plutôt la pointe, les tétons ! Ils étaient tout durs, et elle commençait aussi à avoir des démangeaisons au niveau de sa chatte ! Shion lui avait déjà dit qu’elle s’épilait par là, ce qui avait surpris Hina. Est-ce que cela n’était pas dangereux ? Ne risquait-elle pas de se couper ainsi ? Et pourquoi faire ça ? Hina, elle, avait encore une toison de poils pubiens, et cette toison allait rapidement être à découvert !

Eido-sama lui assura qu’elle avait au fond envie de ça, et qu’il n’allait pas lui faire de mal. Il lui indiqua que, au fond d’elle, elle avait envie de coucher avec son Directeur, de… D’être « excitée » ! Ce simple mot remua dans sa tête, tandis qu’elle avait de plus en plus chaud. Elle faisait ça pour Shion, oui, mais… Cela n’empêchait pas de comprendre ! De comprendre ce qui arrivait à son corps, ce qu’elle ressentait en ce moment ! Car tout cela était en l’état très confus ! Son esprit vagabondait au gré de ses pensées perturbées, et Eido-sama continuait à lui parler.

« Hmmm… ! »

Elle serra les lèvres en se les mordillant, tandis qu’Eido-sama l’embrassait chaudement, s’écrasant contre son petit corps. Elle soupira et couina quand il approchait son doigt de sa chatte, et ferma alors les yeux, mortifère. Eido-sama avait pris une voix plus douce, plus sensuelle, ce qui la troublait encore plus.

« Je… Ei… Eido-sama, je ne comprends pas… J’ai chaud, et… Je ne me sens pas bien, je… »

Elle serra alors ses cuisses en fermant les yeux encore. On aurait pu croire qu’elle voulait s’opposer à ce qu’elle ressentait, mais ce n’était pas ça… Elle sentait son liquide intime s’échapper de son corps, et releva la tête vers Eido-sama.

« Je… Je suis désolée, Sensei, mais… J-Je… Je suis en train de me faire dessus ! »

La pauvre ! Elle semblait à ce point ignare qu’elle ne comprenait même pas le désir sexuel ! Shion n’avait pas menti en parlant d’Hina, la jeune fille était d’une naïveté confondante !

Hina-chan était tellement écrasée par l'autorité et la position de son proviseur, que même en subissant des attouchements sexuels aussi poussés, elle n'arrivait pas vraiment à dire non...mais il y avait aussi autre chose, une chose qu'Eido n'avait pas vraiment prévu de faire tout de suite rentrer dans l'équation, mais dont la présence précoce était plus que bienvenue. Hina mouillait, c'était une certitude, et son corps était en train de ressentir un plaisir sincère face aux attouchements qu'il lui infligeait, ce qui était plus qu'une aubaine pour le vieux proviseur, mais presque un miracle, car il aurait d'autant plus de facilités ainsi à retourner Hina comme une crêpe en lui faisant admettre qu'elle aime se faire molester par un vieux pervers comme lui, preuve à l'appui ! Cela galvanisa le vieil homme, qui se pressa bien contre Hina tout en lui caressant sa chatte d'une main, et son sein de l'autre, la jeune femme commençait à émettre des petits couinements de plaisir, mais ne comprenait pas ce qui lui arrivait, elle serra même ses cuisses non pas pour l'empêcher de la caresser, mais parce qu'elle était convaincue qu'elle allait se pisser dessus.

Oh vraiment Hina-chan ? Attends, laisse moi vérifier ça...

Le proviseur arrêta alors momentanément de caresser le clitoris de son élève, et alla alors fourrer sa main dans la culotte d'Hina. Il sentit cette fois directement sa toison assez épaisse de poils pubiens le long de ses doigts, encore une autre preuve de l'innocence de cette jeune femme, et descendit encore de son mont de vénus jusqu'à sa chatte qu'il tâta du bout des doigts.

Hmmm ce n'est pas de l'urine ça ma toute belle, mais de la cyprine. Ton corps sécrète ce liquide lorsque tu es excitée, afin de lubrifier ta petite chatte...tu sais donc ce que ça veut dire...

Il approcha de nouveau sa bouche d'une des oreilles de son élève, tandis qu'il reprenait sa masturbation, touchant cette fois son clitoris directement avec le bout de son index.

Cela veut dire que tu aime ce que je te fais, Hina-chan. Ton corps ne peut pas se mentir à lui même, cette cyprine entre tes cuisses veut dire que tu ressens du plaisir à ce que je te fait, et cette sensation que tu ressens, ce n'est pas une envie de pisser non...c'est juste un orgasme qui approche de plus en plus, à mesure que je carresse ta belle petite chatte d'amour...oh oui ma petite...tu va jouir contre mes doigts, ton premier orgasme...

Et pendant ce temps, le vieux pervers en avait profité pour remonter la petite chemise de Hina au dessus de ses seins, et en fit de même avec son soutien-gorge pour libérer complètement ses seins à l'air libre, et tandis qu'il la masturbait cette fois un peu plus intensément, mais en prenant bien garde à ne jamais rentrer ses doigts trop loin dans son vagin pour ne pas briser son hymen, des bruits humides s'en échappaient.

Laisse toi faire Hina-chan...écarte tes cuisses pour me laisser pleinement te caresser, et ne lutte pas contre cette vague...là...là...laisse toi faire...

Tout en disant ça, Eido avait fini par descendre son visage jusqu'à la hauteur des seins de la jeune femme, et s'attaqua à l'aide de sa bouche à l'un d'entre eux, tout en allant s'occuper de l'autre à l'aide de sa main libre. Le vieil homme poussa un grognement de satisfaction dès qu'il pu se mettre à sucer ce sein, et il n'y allait guère de façon romantique, assez vigoureusement même tant il avait envie de le sucer.

Face à Eido-sama, Hina était vraiment confuse, elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait ! Elle était face à des sensations inédites pour elle, et son Directeur lui expliqua que son corps réagissait positivement à ce qu’elle subissait, parce que son corps aimait ça ! Hina ne pouvait pas le croire ! Ceci étant dit, elle ne voyait pas pourquoi il lui mentirait, car, si cette sensation était troublante, elle n’était pas forcément douloureuse. C’était davantage comme une sorte de démangeaison intestinale, qui remontait progressivement en elle, et qui prenait peu à peu le pas sur le reste. Hina, qui n’avait encore jamais ressenti ça, ne savait pas quoi en penser ! Est-ce qu’Eido-sama disait vrai ? Se pouvait-il qu’elle soit vraiment attirée par lui ? Eido-sama se pressait encore contre elle, et lui expliqua qu’elle s’approchait de l’orgasme.

« Hmmm… »

Elle écarta lentement les cuisses, se dandinant sur place, sentant la chaleur remonter, ainsi que des idées… Fort peu convenantes pour une jeune élève ! Des pensées impures s’insinuaient en elle, et elle soupira une nouvelle fois. Il lui annonça qu’elle allait avoir un orgasme bientôt, et continua à titiller son sexe. Shion lui en avait déjà parlé, mais jamais Hina ne l’avait fait ! Quand elle ressentait ce genre de choses, elle patientait, jusqu’à ce que la vague finisse par partir.

« Haaaaa… »

Eido-sama releva lentement son chemisier, qui se colla un peu contre ses seins, faisant rebondir ceux-ci.

« Ei-Eido-sama… ! » couina la petite Hina.

La jeune lycéenne rougit encore, et sentit la main d’Eido-sama relever également son soutien-gorge blanc. Avec sa peau très pâle, ses rougeurs ressortaient encore, et elle gémit à nouveau. Ses seins lui faisaient très mal, et Eido-sama continuait à agir, avant de descendre son visage. Il l’approcha de ses seins, et s’y attaqua alors. Quand ilm empoigna l’un de ses seins pour le rapprocher de ses lèvres, Hina gémit à nouveau en sentant les lèvres de l’homme sur son téton !

Un couinement s’échappa donc de ses lèvres, et elle heurta encore le mur, mouillant encore. Elle ferma les yeux, et colla ses mains sur le mur, se laissant peu à peu aller.

« Eido-saaamaa… »

Hina était en train de perdre prise, de se laisser progressivement faire. Impossible de résister ! Elle sentait le plaisir croître encore en elle… Et se pinça encore plus les lèvres, l’orgasme venant brusquement la traverser. Ses yeux se révulsèrent dans ses orbites, sa mouille continua à affluer sur ses poils pubiens, et elle soupira, sentant un immense soulagement la traverser, qui se manifesta par…

« E…EIDO-SAMA !! »

…Un hurlement de plaisir !

Hina-chan était à ce stade un peu trop excitée, et trop inexpérimentée encore, pour pouvoir s'exprimer par des phrases cohérentes en étant autant excitée...mais elle n'eut pas besoin de ça pour donner implicitement son accord pour que Eido continue à la carresser, car elle écarta effectivement ses jambes, lui laissant ainsi pleine liberté d'explorer sa petite chatte. Le proviseur était quand à lui bien trop occupé à sucer son sein pour la féliciter ou lui parler, mais il accentua alors ses caresses, qui témoignaient elles de la grande expérience qu'il avait en la matière. Si il n'avait pas eu beaucoup d'aventures dans ce lycée, son ancienne carrière avait elle été riche d'élèves qu'il molestait sans vérogne, et il avait eu l'occasion de se remettre en selle récemment avec Shion. Il était en tout cas très satisfait des progrès rapides qu'il était parvenu à faire avec cette petite fleur, et notait également dans un coin de sa tête qu'il allait devoir...récompenser Shion pour sa magnifique idée d'incorporer son amie. Pas tout de suite, mais dans quelques temps, quand il aurait bien entamé de transformer Hina en sa petite soumise et salope, il pourrait alors se taper les deux en même temps, mais pour l'instant, il était complètement focalisé sur Hina-chan.
Cette dernière cessa complètement de résister, et se laissa aller à un bel orgasme qu'Eido eut le temps d'anticiper, en accentuant le rythme de ses doigts dans la culotte de la jeune femme, qui joui alors contre ses doigts en se crisant contre le mur, et en laissant échapper bien fort son nom alors qu'elle était en train de jouir. C'était une très bonne chose que, en plein orgasme, elle associe son nom à ce plaisir inédit et sans aucune comparaison possible. Il l'accompagna tout du long, et n'arrêta ses caresses que progressivement, car il aimait beaucoup la sensation de ses doigts se couvrant de cette cyprine chaude, dans cette culotte et contre cette intimité fraîche et délicieuse. Malgré tout, il garda sa main dans sa culotte quand il arrête de sucer ses seins pour remonter embrasser Hina-chan, après que cette dernière aie eu un peu le temps de reprendre son souffle et ses esprits.

Oh...c'était un bien bel orgasme ça, ma Hina-chan. Tu as même criée mon nom pendant que tu était en train de jouir contre mes doigts...

Le proviseur retira alors délicatement sa main de la culotte de la jeune femme, pour la redresser jusqu'à la hauteur de leurs visages respectifs, il étaient trempés de ce liquide transclucide, qu'il s'amusa alors en remuant ses doigts les uns contre les autres, à former des filets pour que ça soit bien visible de la jeune femme.

Tu vois Hina-chan ? Ta cyprine, ton propre liquide d'amour, la preuve que tu as joui, et que tu as aimée que ton proviseur te caresse la chatte et te suce les seins...oh ma belle petite...

Eido mettait un point d'honneur à continuellement abreuver Hina de "preuves" qu'elle aimait ça, même si il fallait bien avouer qu'après un tel orgasme, ses paroles auraient sans doute bien du sens dans l'esprit troublé de la jeune femme. Il ammena alors certains de ses doigts à sa bouche, pour goûter la mouille de son élève, puis approcha alors son index et son majeur de celle de son élève.

Tiens goutte, lèche bien, et goûte comme tu est bonne Hina-chan.

Il n'hésita pas à légèrement forcer si nécessaire, car il voulait vraiment sentir son élève lui lécher les doigts, la pousser dans ses retranchements en lui faisant admettre de plus en plus qu'elle était excitée par ce qui se produisait. Mais au bout d'un moment, le vieux pervers ne pouvait plus ignorer ce que lui même ressentait au niveau de sa queue, qui lui semblait lourde comme une enclume, et serrée dans ce pantalon.

Oh ma belle tu es tellement belle et bonne...je ne peux plus me retenir.

L'homme, qui ne s'écrasait plus contre Hina,, amena alors ses mains vers son pantalon, défit sa ceinture et sa braguette, puis abaissa son pantalon et son slip en même temps, révélant alors sa queue massive qui bandait très fort.

Regarde comme tu me fais bander fort Hina-chan...il faut que tu t'en occupe ma toute douce, il le faut, tu ne peut pas me laisser dans cet état, pas après que je t'aie donnée un bel orgasme n'est-ce pas ? Alors...qu'est-ce que tu préfère ma belle ? Tu peux me sucer comme Shion le fait sur la vidéo...ou bien est-ce que tu veux sentir ma bite dans ta chatte ?

Terriblement confuse, Hina ne savait pas comment réagir à tout ça. Eido-sama la perturbait, il la plaçait dans une situation qu’elle n’avait jamais connue, et la faisait ressentir des émotions incompréhensibles pour elle ! Était-ça ce que Shion ressentait ? Comment pouvait-on aimer ça ? Hina était une femme prude, très intègre, et elle associait cette sensation à ce que son père ressentait quand il était ivre. Il lui arrivait parfois de boire un peu trop de saké, et il devenait alors… Très bizarre ! Il racontait n’importe quoi, il imitait son patron, et avait tendance à multiplier les allusions sexuelles envers sa femme, déclenchant la froide colère de sa mère. Quand elle était jeune, Hina rigolait beaucoup quand son père était ivre. Il lui arrivait aussi, dans cette situation, de faire irruption dans sa chambre, se jetant sur sa jeune fille en lui disant combien il l’aimait, avec son haleine empoissée qui faisait éternuer Hina. Mais elle avait compris qu’il existait au monde des substances capables de vous faire perdre le contrôle, de réveiller en vous des forces latentes, des choses que personne ne réalisait.

Hina se faisait l’effet d’être une funambule suspendue sur sa corde raide, au-dessus du vide. Eido-sama lui expliqua qu’elle venait de jouir. Son cerveau n’arrivait plus à réfléchir, comme s’il venait de se fracturer de l’intérieur. Elle cligna des yeux quand il approcha de ses lèvres ses doigts boudinés et humides, en lui expliquant qu’il s’agissait de sa mouille… Sa cyprine. Quand il lui demanda de goûter, Hina, qui fonctionnait un peu en pilotage automatique, acquiesça, et ouvrit la bouche. Elle posa ses lèvres sur ce doigt, et le suça. Elle ne sentit en réalité rien de particulier, car sa salive noya tout le reste, mais… Ce feu bouillonnait encore en elle.

*C’est perturbant… Mais ce n’est pas si désagréable que ça ?*

Pourquoi était-ce si compliqué ?! Ne pouvait-elle pas se contenter de choses simples ? Elle ignorait si elle avait envie de s’arrêter là, ou même comment le faire ! Elle avait besoin de Shion pour l’aider ! Eido-sama la sortit encore de ses interrogations en lui rappelant cette bosse qu’elle avait sentie tantôt. Elle écarquilla les yeux en le voyant abaisser son pantalon, et… Et… Hina avait déjà vu le sexe d’un homme, à savoir celui de son père, par mégarde quand elle allait dans la salle de bains et qu’il en sortait. Ce truc mou qui pendouillait l’avait toujours intrigué, car elle ignorait qu’un sexe d’homme pouvait durcir à ce point ! Jamais celui de son père n’avait fait ça… Et celui d’Eido-sama était si gros !

Hina l’observa en clignant des yeux, fléchissant les genoux pour l’observer. Elle sursauta quand Eido-sama proposa d’enfoncer… Ça… Dans sa petite chatte ! Un moment de panique la saisit, et elle releva la tête vers son Directeur. En d’autres circonstances, le simple fait de coucher avec le responsable du lycée aurait pu la surprendre, mais le sexe avait été comme une grosse pierre jetée dans la mare. Elle n’arrivait plus à penser à autre chose, ce qui était sans doute le signe larvé d’une frustration galopante en elle. Et, au fond, peut-être bien que l’idée de coucher avec le directeur l’excitait, ce qui expliquait pourquoi son esprit se focalisait, finalement, assez peu là-dessus.

« M-Mais, Sensei, je… C’est… C’est trop gros, ça ne rentrera jamais ! »

Elle le pensait sincèrement. Ce membre monstrueux l’impressionnait, et elle approcha nerveusement sa main. Elle toucha sa queue du bout des doigts, et sentit un frémissement parcourir le corps d’Eido-sama. Elle retira alors ses doigts en sursautant, nerveuse. Shion avait vraiment sucé une queue comme ça ? Hina ne pouvait pas le croire !

*Je n’y arriverai pas, c’est impossible…* songea-t-elle.

Eido se sentait quand même bien mieux en ayant enfin pu libérer son sexe de son pantalon et de son slip, qui le serraient alors qu'il bandait bien dur, et il ne pu s'empêcher d'éprouver un bref sentiment de fierté en voyant Hina loucher sur sa bite, et avoir l'air impressionnée par sa taille. La nature l'avait mal doté physiquement, il avait toujours été en surpoids et n'avait pas vraiment des traits fins qu'on pourrait qualifier de beaux...sauf en ce qui concernait sa bite. Eido avait toujours une une grosse queue, et une endurance sexuelle vraiment hors du commun, à tel point que si il avait été plus agréable à l'oeil, il aurait vraiment pu passer sa vie comme acteur porno célèbre. La vie en avait décidé autrement, mais il n'avait pas trop à se plaindre, car il avait malgré tout pu avoir un certain nombre de conquêtes dans sa vie, car contrairement à certains beaux mecs qui ne savaient pas forcément se servir de leurs queues, lui parvenait à faire jouir à répétition ses conquêtes quand il parvenait à passer le cap de la "séduction".
Hina-chan s'agenouilla alors devant lui, et déclara alors que son sexe était trop gros, et ne rentrerait jamais dans sa petite chatte. Évidemment, elle était anxieuse, inexpérimentée et vierge qu'elle était, et Eido se fit alors la réflexion que lui proposer tout de suite de la baiser avait peut-être été un peu rapide. Il n'avait pas pu s'en empêcher, tant il était excité par cette jeune femme, et tant il avait envie d'être le premier à la baiser pour de vrai...mais il devait se montrer patient et ne pas griller les étapes, alors que les progrès étaient tout de même déjà assez rapides !
Le proviseur posa alors une de ses mains sur la joue d'Hina-chan, et la caressa délicatement.

Ne t'en fait pas Hina-chan, ça rentrera fait moi confiance, mais je pense que nous n'allons pas faire ça tout de suite, tu as besoin de d'avantage de préparation, et de te familiariser avec ma bite, d'apprendre à la connaître.

Elle était de plus à genoux face à lui, avec son chemisier et son soutien-gorge relevé, ce qui faisait qu'il avait aussi une belle vue plongeante sur ses seins durcis, et il sentait sur le bout de sa queue son souffle chaud. Il n'allait pas lui prendre sa virginité, pas tout de suite du moins, mais il comptait en revanche bien faire en sorte qu'elle le suce avant qu'elle ne sorte de ce bureau, car il avait tout de même bien envie de juter aussi !

Nous allons donc commencer par un préliminaire que tu va devoir apprendre à maîtriser, la fellation, l'art de sucer ma bite Hina-chan. Et pour ça...je pense avoir le support éducatif parfait pour t'apprendre !

Une idée venait de germer dans son esprit pervers, il se saisit alors de la tablette qu'il avait posé sur le bureau, et lança la vidéo où l'on voyait les exploits de Shion, mais dans sa version non éditée, longue, et depuis le début où on la voyait rentrer dans les toilettes avec son amant. Il la garda alors en main tout en la tournant pour que Hina puisse tout voir.

Regarde, Shion est un exemple parfait à suivre, tu n'a qu'à mimer les mouvements qu'elle fait. Là, je vais garder la tablette dans une main à côté, que tu puisse à loisir mettre sur pause ou revenir en arrière si tu le souhaite. Regarde bien, observe, et retranscrit ce qu'elle fait sur ma queue ma toute belle, car j'ai tellement envie de sentir des douces mains dessus, et ta petite bouche aussi.

Ce choix n'était nullement du au hasard, il était évident que Hina voyait Shion comme une sorte de modèle qu'elle voulait suivre, et elle lui demandait souvent son avis de l'aveu même de Shion. Mettre ainsi l'acte de la fellation sur son proviseur, sous le voile du cours dispensé en quelque sorte par sa meilleure amie, n'étais-ce pas là un excellent moyen de lui faire accepter cela ? Après tout, si Shion le faisait, Hina considèrerait peut-être que ça devait être bien ? C'était en tout cas le cheminement qu'il allait tenter de lui faire suivre, tandis que la vidéo se déroulait, et que Shion venait de finir de défaire le pantalon du lycéen, pour commencer à doucement s'attaquer à sa queue...

Hina n’était pas en position de s’opposer à quoi que ce soit. Sa frustration avait jailli, dévoilant une facette de sa personnalité qu’elle n’avait encore jamais connu. Des jeux d’adulte, voilà ce qu’elle s’était toujours dit quand ses parents faisaient… Des trucs bizarres. Naïve et innocente, elle s’était toujours demandée ce que ça voulait dire, car ses parents avaient toujours refusé de lui expliquer cela. Pure et chaste, Hina n’avait même jamais vu de film pornographique. Elle se disait souvent que, si elle avait eu un grand-frère, elle aurait pu voir des revues pornographiques, des hentaïs par exemple. Mais, étant fille unique, elle n’avait jamais eu ce loisir ! Le sexe était donc une grande inconnue pour elle, qu’elle ne connaissait qu’à travers Shion, qui lui en parlait parfois. Mais, de là à imaginer Shion se livrer à ce genre de choses…

Face à son émoi, Eido-sama lui demanda alors de faire une fellation. Un terme qui fit rougir Hina, qui entrouvrit les lèvres sous la stupeur. Voulait-il par là insinuer que… Elle et sa bouche avec lui et son… Hina leva la tête, puis la rabaissa, tout en étant aussi surprise par cette odeur… Ça puait ! Une étrange odeur sortait de ce membre tendu, une odeur qu’Hina n’avait jamais ressenti jusqu’à présent. Comment prendre ça en bouche ? Eido-sama eut alors une curieuse idée, et lui ramena la tablette tactile de tantôt. Hina put revoir Shion, et vit surtout un extrait de la vidéo qu’elle n’avait pas vu… Avant, au début de l’acte.

« Shion… »

Le « support éducatif » en place était assez troublant pour Hina. Encore une fois, cela lui rappelait joyeusement la réalité, à savoir que Shion était beaucoup plus perverse que ce qu’Hina avait toujours cru. Hina regarda donc la scène, avec un mélange d’effroi et d’excitation. Shion était là, belle et magnifique, et releva la tête vers l’étudiant, lui souriant doucement, avant de caresser sa verge avec sa main, puis commença à s’y attaquer ensuite, la léchant, l’embrassant, glissant également sur les testicules…

Hina déglutit doucement, et se retourna vers le membre d’Eido-sama. Plus elle la voyait, et plus cette queue lui semblait monstrueuse ! Elle se pencha alors, et ferma les yeux, donnant quelques coups de langue hésitants. Elle sentait la verge taper contre son nez, et sursauta encore. Toutefois, Hina ne partit pas en arrière, cette fois, et sembla au contraire s’enhardir un peu. C’était le sexe du directeur du lycée ! Elle avait toujours du mal à y croire, mais, à ce stade, il ne pouvait pas s’agir d’une caméra cachée ! Sa langue glissa sur ce membre, qui était à la fois mou et dur… Mou, dans le sens où elle léchait de la peau, mais elle sentait une sorte de dureté dessous. Comment expliquer ça ? C’était incroyable ! Hina n’était pas une spécialiste en la matière. Elle regarda encore Shion, qui était, dans la vidéo, au stade de prendre ce membre en bouche. Son partenaire serrait ses mains sur ses cheveux, et Hina rougit encore.

Shion était descendue jusqu’aux testicules de son partenaire, mais Hina préféra approcher sa main. Elle sentit les boules d’Eido-sama, au milieu des poils pubiens, et soupira encore. La chaleur entre ses cuisses revenait, s’accompagnant d’une sorte de démangeaison. Elle avait de nouveau envie de se caresser intimement, mais Hina préférait se concentrer sur son objectif. Quand elle s’abaissait pour aller vers la base de la verge, celle-ci tapait sur son visage, et, comme c’était finalement assez déstabilisant, elle préféra se redresser. Elle embrassa et lécha le bout de sa queue, et finit par entrouvrir les lèvres. Elle les ouvrit même autant que possible, et goba ce membre, puis referma ses lèvres dessus.

« Hmmmm… ! »

Rien d’exceptionnel en l’état, car elle n’avait pris que le bout en bouche, et cligna des yeux, avant de commencer à remuer, timidement, sentant ce membre épais en elle. C’était… C’était déstabilisant, surtout qu’elle devait nécessairement respirer par le nez. Comment Shion faisait ? Car, sur la vidéo, elle prenait quand même cette verge en bouche sur une très grande surface, l’enfonçant profondément en elle…

Eido considérait ce qui allait se passer comme une seconde étape cruciale, car c'était une chose que de parvenir à caresser la chatte d'Hina jusqu'à ce qu'elle aie un bel orgasme, mais c'en était une autre que de l'amener à lui faire d'elle même une fellation. Hina allait devoir évoluer d'un rôle passif, vers quelque chose où elle aurait un rôle bien plus central et actif, à savoir sucer sa bite. Elle qui était d'un naturel timide et effacée, allait-elle pouvoir oser franchir cette étape ? Fort heureusement, après avoir lancée un regard un peu hésitant, Hina s'approcha de sa queue, et Eido pu alors sentir les délicates lèvres de son élève se poser sur la chair tendue de sa verge.

Oh Hina-chan...

D'une main, il tenait fermement la tablette qui avait en lecture la vidéo de Shion, afin que Hina puisse la regarder et s'en servir de modèle, et il posa l'autre sur le sommet du crâne de la jeune femme, glissant ses doigts boudinés dans ses beaux cheveux, l'encourageant ainsi à continuer à la manière d'une chienne dont il carresserait la tête. Évidemment, ce n'était pas les pipes que lui offrait Shion, qui parvenait à sucer énergiquement sa queue, à la pomper, et à la prendre en entier dans sa bouche en s'empalant dessus jusqu'à la gorge...mais c'était un début très prometteur. Hina se familiarisait avec la sensation d'avoir une queue si proche de son visage, et la "goûtait" à l'aide de baisers et de coups de langue. Eido était bien sûr frustré, car tout ça ne faisait qu'augmenter son excitation sans vraiment le faire assez pour l'amener à l'orgasme, mais il était tellement satisfait des progrès qu'il faisait avec cette petite qu'il parvenait, certes difficilement, à se retenir.

Hmmm c'est bien ma Hina-chan...je vois que tu es une élève appliquée dans tous les domaines...

Il l'encourageait un peu, mais restait moins bavard qu'à son accoutumée pour ne pas trop la déconcentrer. Vint alors le moment où la jeune femme posa une de ses mains sur ses couilles chargées de sa semence, ce qui le fit frémir, avant qu'elle ne se positionne lèvres face au bout de sa queue, qu'elle embrassa et lécha un peu avant de...finalement le prendre entre ses lèvres. Le vieil homme se crispa légèrement à ce moment, et du la aussi se retenir de ne pas donner un vif coup de rein pour fourrer sa queue plus profondément. C'était très frustrant, mais en même temps très gratifiant de voir, petit à petit, Hina commencer à se prendre au jeu, elle était en train de lui sucer la bite !

Là...là...c'est un très bon début ma belle. Vas-y, fait onduler ta belle petite bouche le long de ma bite, joue avec ta langue dessus, et salive bien. Et surtout...pense bien à respirer ma toute douce...hmmm...oh ma Hina-chaaaaan...

Eido crispa un peu plus ses doigts dans les cheveux de Hina, et commença à donner de petits coups de bassin, légers, pour commencer à faire remuer sa verge dans la petite bouche de son élève, et l'amener progressivement à en acceuillir de plus en plus. Il n'allait toutefois pas la pousser jusqu'à une gorge profonde, car il gardait ça pour une prochaine fois. Mais surtout, si il ne voulait pas faire "subir" à Hina une gorge profonde, c'était parce qu'il comptait en revanche jouir en elle, dans sa bouche.

Hmmm...oh tu va me faire jouir Hina-chan...ma belle poupée oui...tu va faire juter Eido-sama, hein ? Il va falloir que tu prenne tout...mon sperme...dans ta petite bouche de suceuse Hina-chan. Nous n'avons pas le choix...je ne peux pas éjaculer sur ton visage ou ton uniforme, alors il va falloir...hmmm...oui...il va falloir que tu avale tout jusqu'à la dernière goutte...c'est bien compris ma toute belle ?

Car mine de rien, il commençait à sentir la sauce monter en lui...

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