The Multiversity

La bataille avait tourné au désastre absolu pour les fidèles et loyaux guerriers du royaume d’Erumen. La Reine avait ordonné la capture de la redoutable bande de mercenaires et de pillards de Manekith. « Le Noir », comme on l’appelait, était un Drow redoutable, un pillard et esclavagiste qui menait des razzias dans les villages d’Erumen pour y piller des ressources et y capturer des hommes et des femmes. Influent, Manekith disposait du soutien d’un elfe renégat, le frère de la Reine, un Prince déchu qui avait décidé de se rebeller contre le royaume quand le Conseil des Sages avait choisi sa sœur à sa place, Imrin. Imrin était un elfe envieux, jaloux de sa sœur, et qui, pour un elfe, se montrait violent et cruel. La manière dont il avait administré ses terres avait suffi à convaincre le Conseil des Sages de l’éloigner du trône, déclenchant la fureur de ce bel homme. Imrin s’était enfui en libérant de sa prison Manekith, un terroriste drow qui devait être condamné à mort. Ils s’étaient enfuis, et avaient mené une redoutable bande.

Récemment, la bande de Manekith avait mené une campagne de terreur dans des provinces assez reculées. Ils y vivaient en maître, car le seigneur local leur obéissait. Un baron qui avait trahi sa Reine, car les soldats qui avaient accompagné les combattants envoyés par la Reine avaient trahi ces derniers, piégeant les combattants entre Manekith et les hommes du baron. Manekith s’était réfugié dans les ruines d’une ancienne forteresse qu’il était en train de réhabiliter. Les soldats de la Reine avaient été massacrés, et Manekith avait fait plusieurs prisonniers. Cependant, ils avaient réservé à l’une des prisonnières un sort tout à fait particulier. Assommée pendant la bataille, celle-ci se réveilla après la fin des combats. Méréthil se réveilla pratiquement nue, portant un harnais, des collants, une culotte, et des gants.

Elle se réveilla dans la salle principale du fort de Manekith, et vit devant elle le visage d’un gros chien, puis les ricanements de gobelins.

« Elle est bonne, la souillonne, ils l’ont pavé et parfumé bien comme il faut !
- Tu veux baiser, petite pute ? »

Un fouet claqua sur le dos de l’un des gobelins, et ils s’écartèrent. Méréthil put ainsi constater qu’elle était totalement encerclée, et que, devant elle, assis sur un trône, Manekith lui faisait face. Il croquait dans une pomme en l’observant.

« Tu es réveillée, voleuse ? J’espère que tu es bien consciente, car ta vie et celle de tes derniers camarades vont dépendre uniquement de toi. »

Manekith lui fit signe de lever la tête. Plusieurs gibets étaient suspendus en l’air. Ses derniers compagnons étaient à l’intérieur. Imrin se rapprocha alors.

« Je t’ai reconnu… Est-ce que tu m’as reconnu ? Quand je dirigeais des terres, j’ai parfois jugé des voleurs… Comme toi. Méréthil… Ta peine de prison a dû se convertir pour nous traquer. »

Il sourit doucement.

« Tu avais refusé que je te saute à l’époque… Cela t’aurait évité de te retrouver ici, pourtant… Mais la prison ne t’a pas trop amoché, tu es même toujours aussi bonne… »

De toute cette opération foireuse, Méréthil en avait sans doute été la participante la moins enthousiaste. Elle n'avait été là ni pour la gloire ni pour l'or (qui ne lui avait pas été proposé), mais pour sa liberté. Prisonnière depuis maintenant plusieurs années au sein du royaume d'Erumen, la jeune voleuse elfe avait écopée de cette lourde peine pour avoir tentée de voler dans les trésors royaux, et s'était faite attraper par la garde et emprisonnée après un jugement bref. C'était la reine nouvellement nommée qui était venue alors la voir lui proposer une opportunité de grâce, pour peu qu'elle se joigne à une opération militaire destinée à détruire un camp de brigand contrôlé par son frère et ancien roi. Après autant de temps passé en prison, Méréthil n'avait pas vraiment eu d'autre choix que d'accepter, sous peine de passer le reste de sa très longue vie encore sous les barreaux, et elle avait rejoint la troupe de mercenaires encadrée par des gardes royaux qui avaient été envoyés sur place.
Renforcé en chemin par des troupes d'un baron local qui était censé les aider, Méréthil et le groupe dont elle faisait partie était finalement tombé dans une embuscade anticipée de toutes pièces. L'ennemi était au courant de leur arrivée depuis des jours, et beaucoup plus nombreux et mieux équipé que ce qui avait été laissé entendre. Ce fût une débâcle, et Méréthil aurait fui si elle n'avait pas été surprise par un gobelin qui lui avait mis un coup de gourdin à l'arrière du crâne, l'assommant d'un coup sec, elle ne s'était honnêtement pas attendue à devoir se réveiller un jour.

C'est néanmoins ce qui se produisit, elle sentit alors qu'elle se réveillait un sol en dur sur sa peau dont elle se rendait compte qu'elle était partiellement nue, et des ricanements lui arrivaient aux oreilles comme si ils étaient lointains, alors que son esprit était encore dans le brouillard.
Elle commença à se redresser, puis ouvrit les yeux pour voir devant elle un gigantesque Worg qui était proche d'elle, son haleine fétide lui arrivant aux narines. Instinctivement elle recula, mais ne pu le faire de beaucoup car un cercle de gobelin se trouvait tout autour d'elle. Assise au sol, elle glissa l'un de ses bras sur ses seins qui étaient mis à nus. Vivante certes, mais sortie d'affaire, certainement pas...
Elle s'attendait à ce que la horde de gobelins ne lui saute dessus, mais un coup de fouet la surprit, et les gobelins s'écartèrent pour qu'elle puisse voir...ceux qui étaient initialement ses deux cibles. Un raider drow, ainsi que l'ancien roi qui était en place quand elle avait été emprisonnée, et dont elle se souvenait qu'il était un jour venu dans sa cellule pour lui "proposer" de la baiser en échange de sa liberté, chose qu'elle avait refusée en sentant qu'il n'avait pas semblé honnête dans ses propos.

Oui je vous reconnais, et je constate que le destin semble avoir un sens de l'humour pour le moins particulier.

Méréthil semblait comme résignée, mais pas effrayée, alors que pourtant sa situation semblait désespérée et elle en était bien consciente. Elle était néanmoins là alors que tout le reste de son "équipe" se trouvait elle attachée à des gibets en hauteur. Son regard se posa brièvement su eux avant qu'il ne revienne sur les deux hommes. Et plus particulièrement sur le drow qui avait mentionné le fait que sa vie et celle de ses camarades dépendait d'elle.

Juste pour que ce soit clair, vous pouvez retirer leur vie du dilemme que vous n'allez pas manquer de me poser. Ce ne sont pas mes camarades, mais des geôliers censés me surveiller. D'après leurs informations c'était censé être une mission facile sans risque d'échec, alors je n'estime pas leur devoir quoi que ce soit.

Comment allaient-ils réagir au fait qu'elle semblait bien indifférente au sort de ceux qui l'accompagnaient, ce qui mettait potentiellement à mal ce que le drow et l'ancien prince avaient en tête ?

« Non ! Pitié !
- Elle plaisante ! »

Quand Méréthil annonça n’avoir aucun intérêt en la vie de ses compagnons, ceux-ci réagirent. Manekith observa lentement l’elfette, notant, malgré sa situation, sa bravoure, et sourit ensuite.

« Tu n’as pas froid aux yeux, toi… Très bien. Tuez-les. »

À ces mots, les prisonniers hurlèrent encore.

« Noon ! Reviens sur ta décision, salope !
- Non ! »

Les gibets étaient particuliers, car il y avait à l’intérieur de multiples pointes en fer. L’un des hommes du Noir se rapprocha d’une manivelle, et la fit tourner. Cela eut pour effet de déclencher les pointes, qui se mirent à remonter. Les plaintes des prisonniers ne tardèrent pas à se transformer en suppliques, puis en hurlements, s’accompagnant du bruit délectable de la chair se faisant déchiqueter par des lames, des os qui étaient percées. L’Orc manipulant la manivelle continuait à remuer l’objet, et, peu à peu, au bout d’une longue minute, els hurlements cessèrent, et le sang se mit à couler des gibets.

Méréthil était désormais seule, et Manekith se rapprocha d’elle.

« Renégocions donc les termes de notre accord.
- C’est une voleuse compétente, mais un peu téméraire. Elle avait voulu s’emparer du trésor royal, mais nous avions arrêté son revendeur avant, qui n’a pas hésité à la dénoncer. Sans cela, elle aurait sans doute réussi. »

Le Drow sembla songeur, et se rapprocha encore de la jeune femme.

« Tu n’as pas l’air d’être une patriote convaincue, en effet… Mais le fait est que tu faisais quand même partie de ceux qui nous ont attaqué. »

Il se rapprocha d’elle. Manekith était puissant, et les hommes de ce dernier se reculèrent lentement. Il se rapprocha donc d’elle.

« Tu vois, nous manquons de femmes ici… Je n’ai pas forcément besoin d’une voleuse, mais d’une jolie fille comme toi… »

Il sourit alors. Imrin se rapprocha également.

« Quand je t’ai jugé, je t’avais proposé de t’en sortir, mais tu avais refusé. L’erreur est humaine, dit-on, et la répétition diabolique… Vas-tu refaire à nouveau la même erreur ?
- Tu as le choix entre être notre salope personnelle… Ou être lâchée auprès de mes hommes. Peut-être que tu t’en sortiras… »

Joignant le geste à la parole, Manekith retira sa tunique, libérant ainsi sa verge, une belle queue noire qui se dressait fièrement. Imrin avait fait de même, les deux hommes se tenant proches d’elle.

« Sois une bonne chienne, il y a tellement longtemps que je n’ai pas senti une salope me sucer la queue… »

Méréthil n'était pas une personne foncièrement malveillante, mais une vie entière à devoir se débrouiller par elle même, et à vivre dans la pauvreté, n'en avait pas non plus fait une enfant de choeur. Non seulement elle ne connaissait pas personnellement ces hommes qui étaient condamnés à mort, mais elle n'avait pas non plus la moindre sympathie envers eux, servants de ce royaume qui l'avait emprisonnée depuis plusieurs années maintenant. La méthode d'éxécution fut loin d'être rapide et sans douleur, et Méréthil se garda bien de regarder, entendre fut plus que suffisant. Néanmoins, hors de question que ces pauvres types lui soient associés d'une quelconque façon que ce soit. Une fois cette sale besogne effectuée et les cris cessant, le drow et l'ancien roi elfe commencèrent à se rapprocher d'elle, Méréthil les regardait tout en prenant garde de ne pas soutenir leurs regards respectifs trop longtemps. Elle était bien consciente que sa vie à elle aussi ne devait tenir qu'à un fil, et qu'il devait y avoir une bonne raison pour laquelle les deux tenaient pour le moment à la maintenir en vie, elle se doutait même fortement de cette raison.

En effet, au delà de ses compétences de voleuse, le fait qu'elle était une belle femme, et qu'il n'y en avait pour ainsi dire aucune ici, vint rapidement sur la "table des négociation", si tant est qu'elle puisse négocier vraiment quoi que ce soit. Demeurant agenouillée au sol, Méréthil les voyait se rapprocher d'elle de plus en plus, avec une allure de prédateurs qui trahissaient clairement leurs intentions, avant même qu'ils ne décident tous les deux de retirer leurs tuniques. La jeune elfe se retrouva face à leurs deux verges qui bandaient déjà. Manekith exposa bien vite le "choix" qu'elle avait à faire, soit devenir leur esclave sexuelle, soit se faire passer dessus par la totalité de leurs hommes...avec des chances de survie faibles. Méréthil jeta un bref coup d'oeil autour d'elle, sur la troupe hétéroclite qu'ils avaient amassés les deux. Gobelins, orcs, wargs, humains et elfes, et c'était ce qu'elle pouvait en distinguer, ils étaient au moins des dizaines.
Elle releva alors ses yeux vers le drow et l'elfe, en même temps que ses deux mains. Délicatement, elle enroula ses doigts autour de chacun de leurs sexes qui étaient tendus dans sa direction, et elle entreprit de les branler.

Je ne penses pas que ça soit vraiment un choix...et soit, je serai votre salope à tous les deux.

Bien que résignée, Méréthil fit en sorte de ne pas avoir de dégoût dans le ton de sa voix qui aurait pu les mettre en colère ou les frustrer. Malgré sa situation actuelle qui était tout sauf enviable, elle ne pouvait s'empêcher de penser qu'à défaut, autant Manekith qu'Imrin étaient de beaux hommes. Elle s'était attendue à pareille chose dès qu'elle s'était rendue compte que sa tenue avait été changée pour ce qu'elle portait actuellement et...et bien dans sa situation, résister ne pouvait signifier qu'une mort après avoir été longuement violée. Survivre pour pouvoir se battre un autre jour, tel pouvait être son mantra. Après cette défaite, peut-être que d'autres forces royales plus conséquentes seraient envoyées, et qu'elle pourrait avoir une opportunité de s'échapper, ou peut-être n'aurait-elle pas à attendre jusque là. L'essentiel était qu'elle survive, et si elle devait faire la chienne pour ces deux là qui étaient en manque, alors elle le ferait.

Je me dois de vous prévenir néanmoins, j'ai passée ces dernières années en prison sans avoir d'entraînement en la matière. Mais je ferai de mon mieux pour être une bonne chienne...

Sans doute aimeraient-ils le fait qu'elle s'insulte d'elle même. Quoi qu'il en soit, après quelques secondes ainsi passées à les masturber, Méréthil approcha sa bouche de la queue d'Imrin, qui avait été le plus équivoque quand au fait qu'une femme ne l'avait pas sucé depuis longemps. Elle ouvrit donc ses délicates lèvres, et acceuillit dans sa bouche sa grosse queue pour commencer à le sucer. L'elfe entreprit quelques mouvements de va et viens, tout en salivant abondamment sur ce sexe qu'elle suça pendant quelques dizaines de secondes. Puis, elle se retira, et tandis qu'elle continuait de le branler, elle dirigea sa bouche vers la verge de Manekith pour le sucer à son tour.

Hmmm...

« Bien sûr que tu as le choix. Tu peux choisir de vivre, ou de mourir, car, pour être honnête, je ne pense pas que tu survivras une nuit entre les mains de mes hommes, ils peuvent être… Assez monstrueux quand ils s’y mettent. »

Manekith sourit doucement, et assez cruellement. Fort heureusement, Méréthil était suffisamment intelligente ou lucide pour comprendre où était sa place. Elle avertit néanmoins qu’elle ne serait peut-être pas très efficace, et Imrin gloussa lentement.

« Ne fais pas ta modeste… Agis ! »

Visiblement consciente que trop hésiter pourrait amener à énerver ses geôliers, Méréthil agit donc. Entrouvrant les lèvres, elle avala le sexe d’Imrin dans sa bouche, et elle put sentir la main de l’elfe se serrer sur sa tignasse. Imrin soupira doucement. Il avait toujours aimé le sexe, mais sa position de juge, puis de Prince héritier, avait toujours rendu compliqué d’avoir des relations sexuelles. L’Impératrice était prête à tout pour le faire tomber ! Imrin avait donc dû se retenir, et, à vrai dire, si Méréthil avait accepté à l’époque de coucher avec lui, il aurait sans doute dû la tuer ensuite… Mais, maintenant, les choses étaient différentes. Imrin était clairement considéré comme un traître, et il pouvait donc se laisser aller. Seulement, les prisonnières qu’ils faisaient étaient souvent bien trop paniquées, et, à ce stade, il devait bien avouer qu’il n’avait jamais rencontré de prisonnière aussi lucide que la voleuse ! Elle suça sa queue, qui se mit à durcir rapidement, s’enfonçant profondément dans sa bouche. Imrin soupira doucement, tandis que la verge grise de Manekith, grosse et dure, heurta la joue de Méréthil, s’y frottant.

Délaissant la verge d’Imrin, elle s’attaqua à celle de Manekith, tout en masturbant la verge qu’elle laissait libre. Manekith crispa à son tour ses muscles, soupirant longuement en posant sa main sur les cheveux de la voleuse. Il appuya dessus, donnant plusieurs légers coups de reins, de manière à ce que, assez rapidement, Méréthil ne doive enchaîner une gorge profonde. Le contact sembla la surprendre, car elle se mit à éternuer, ce qui fit ricaner Manekith.

« Effectivement, il va te falloir un peu d’endurance, mais tu es motivée… Au fond, tu fais sans doute le meilleur des choix.
- Ne me fais pas poireauter ! »

Imrin attrapa encore les cheveux de Méréthil, et lui fourra de force sa queue dans sa bouche, commençant à remuer nerveusement. Il était assoiffé, et Méréthil avait intérêt à suivre le rythme !

Méréthil pouvait entendre autour d'elle le brouhaha incompréhensible des soldats qui formaient un cercle autour de leurs deux maîtres, que la jeune elfe était en train de sucer à tour de rôles. Ils étaient là pour qu'elle se rappelle de ce qu'elle pouvait risquer à tout instant de subir, si d'aventure il lui venait l'idée de vouloir résister d'une quelconque façon. Agenouillée à même un sol fait de pierre brute dans ce grand donjon, Méréthil était intérieurement soulagée qu'elle aie pu conserver ses longues bottes en cuir, mais était sinon intégralement nue, et ne se faisait guère d'illusions quand au fait que cette double fellation n'allait être qu'un prélude. Elle aurait pu paniquer, ou vouloir se révolter contre l'injustice de sa situation, mais rien de ça n'aurait servi à quoi que ce soit. Mieux valait pour elle qu'elle "gère" deux hommes tout aussi brutes allaient-ils se montrer à son encontre, qu'une horde d'hommes, d'elfes et de gobelins qui l'auraient baisée jusqu'à ce que mort s'ensuive, voire même après. Survivre, c'était là tout ce qui comptait, à partir de ça des opportunités pouvaient se manifester dans le futur, il fallait juste qu'elle vive pour avoir la chance de les saisir plus tard...alors...elle suçait.

Hmmmm...

Après avoir passée un peu de temps à sucer la queue de Manekith, qui avait mentionné que ça faisait longtemps qu'il n'avait pas eu l'occasion de troncher quelqu'un, Méréthil avait tournée son attention vers le Drow qui avait posé le bout de son sexe contre sa joue, réclamant à son tour qu'elle s'occupe de lui. Elle garda une de ses mains sur la hampe de chair de Manekith, le branlant, tandis qu'elle orienta son visage et sa bouche vers le sexe sombre qu'elle enfonça entre ses lèvres. Rapidement, elle sentit Imrin lui empoigner les cheveux d'une main, et tout en s'en servant pour la forcer à aller de l'avant, il entreprit de donner des coups de bassin. Méréthil se retrouva assez vite à devoir supporter la pression de son sexe sur sa glotte, jusqu'à ce qu'il pousse encore pour s'enfoncer pleinement dans sa gorge.

Gnnnnnn !!!

Méréthil écarquilla les yeux, sentant l'air lui manquer. Le Drow se retira aussi vite qu'il s'était enfoncé, ce qui laissa à Méréthil l'occasion de tousser à plusieurs reprises, et de reprendre son souffle, des filets de bave coulant de ses lèvres. Elle n'eut toutefois pas vraiment le temps de reprendre ses esprits, car elle sentit alors une main, celle de Manekith, se poser sur l'arrière de son crâne, empoigner ses cheveux pour la forcer à se redresser et à tourner son visage vers son sexe, qui lui fourra alors férocement dans la bouche.

Hnnnnf !!! G-GLURG !!!

Manekith se montra encore moins précautionneux qu'Imrin, puisqu'il opta directement pour une succession de gorges profondes, il lui baisait sa petite gueule d'elfe au sens littéral. La sensation était désagréable, et Méréthil du rapidement s'adapter pour réussir à aspirer de l'air quand elle le pouvait, mais elle ne chercha pas pour autant à se révolter. Qu'ils se montrent le contraire de romantiques était tout sauf surprenant, et ça ne changeait rien au fait que c'était préférable à être livrée en pâture à leurs hommes. Elle serait donc une poupée entre leurs mains, qui se laisserait violenter ainsi en étant très docile.

Pour Méréthil, c’était un nouveau chapitre de son existence qui commençait. Ni Manekith ni Imrin ne se montreraient doux ou attentionnés avec elle. Ce n’était pas ce qu’ils voulaient, et, surtout, ce n’était pas ce qu’elle méritait ! Méréthil n’était pas une princesse, c’était une voleuse, et elle était surtout très belle. Elle ne devait sa survie qu’à sa beauté. Manekith et Imrin enchaînaient donc les gorges profondes, laissant finalement à l’elfette peu d’occasions pour reprendre son souffle, pour respirer. L’un d’eux lui baisait la bouche, avant que l’autre ne finisse par s’imposer en elle. Elle en était rendue à devoir cracher sa salive, n’arrivant plus à la ravaler, éternuant brièvement avant de sentir une verge en elle. Ils la prenaient donc de concert, grognant et soupirant, l’étouffant au passage. Manekith aurait à vrai dire pu la tuer ainsi, tout ce qu’il faisait démontrait bien qu’il se moquait totalement de ce qu’elle ressentait. Ses deux mains serrèrent les cheveux de Méréthil, appuyant dessus, et il donna de gros coups de reins, ses testicules venant fouetter le visage de la femme. Elle se mit à gesticuler, couinant et gémissant en sentant l’air lui manquer. Mais Manekith ne s’interrompait pas pour autant, et poursuivait même son office, jusqu’à finir par se retirer d’elle, retenant son orgasme.

En se retirant, il relâcha sèchement les cheveux de Méréthil, qui tomba sur le sol, la gorge rauque. Manekith gloussa lentement.

« Désolé, glissa-t-il, sur un ton qui signifiait toutefois qu’il était loin de l’être, ta bouche de salope est tellement bonne que j’ai bien failli t’étrangler sur ma queue ! Tu manques quand même d’endurance, pour une telle salope… »

Imrin se rapprocha alors de l’elfette, qui reprenait encore ses esprits, et il posa son pied sur l’épaule de la jeune femme, à moitié prostrée sur le sol, pour la pousser. Elle se coucha cette fois sur le dos, provoquant les rires gras de l’assemblée. Plusieurs maraudeurs se masturbaient explicitement, et un gobelin ricanait en mimant une masturbation. Méréthil sentit alors le pied d’Imrin se poser sur son ventre. Il appuya dessus, sans ménagement.

« Tu en as assez ? Si tu veux, on peut ter laisser entre les mains de nos hommes… »

Imrin retira ensuite son pied.

« Mets-toi à quatre pattes, petite salope, et, en bonne chienne que tu es, réclame la saillie de tes Maîtres.{ »

Manekith se déplaça lentement en se rapprochant. Imrin s’était agenouillé, et caressait doucement le visage de Méréthil, rabattant plusieurs des mèches de cheveux de la jeune femme en arrière, pour découvrir ses yeux.

« Sinon, je te cloue à ce pilori. J’ai toujours aimé, quand j’étais juge, mettre des salopes comme toi au pilori, sur la place publique… Ils défileront tous dans ton cul. Alors, si tu veux t’éviter ça, fais ce que je t’ai dit… Sois convaincante, remue ton cul de traînée… »

Méréthil se trouvait comme une poupée entre les mains de Manekith et Imrin, et ces derniers l'utilisaient exactement comme telle, sans aucune forme de pitié. Les fellations forcées qu'elle devait leur prodiguer étaient "illustrées" de nombreux bruits en tout genre, allant de la toux, aux gémissement étouffés, et surtout ceux issus des mouvements de va et viens rapides dans sa gorge. La pauvre elfe faisait comme elle le pouvait ne serait-ce que pour arriver à respirer, et se trouvait régulièrement au bord de la perte de conscience. De la salive coulait abondamment de sa bouche, qu'elle ne pouvait pas retenir, et qui tombait autant sur le sol que sur ses cuisses, ou bien coulait le long de son menton et de son cou. A ce stade, Méréthil avait perdue la notion du temps, les deux hommes prenant chacun leur tour pour lui baiser sans relâche la gueule, tout le reste devenait une espèce de flou qu'elle peinait à distinguer.
Mais, au bout d'un moment qui fut interminable, alors que Manekith l'elfe noir était celui qui la violait, ce dernier se retira enfin une dernière fois en relâchant son emprise sur ses cheveux, ce qui fit que l'elfe tomba à terre. Le visage en direction du sol, elle se mit à tousser tout en aspirant comme elle le pouvait de l'air pour reprendre son souffle, la bouche grande ouverte.

KUF KOFF...Gnnn...

Elle avait mal, mais ces inspiration d'air régulières lui firent un bien fou. les deux ne lui laissèrent toutefois que peu de répit. Elle sentit un pied se poser sur une de ses épaules, dont la pression l'amena à se faire coucher sur le sol, à même la rude pierre sale et froide qui composait ce sol de donjon. Méréthil avait encore la respiration lourde, mais elle avait repris ses esprits, trop bien consciente que durant tout ce temps, ses deux geoliers n'avaient pas joui une seule fois. Il s'agissait d'Imrin, qui au dessus d'elle posa son pied sur son ventre, une façon d'asseoir sa domination sur elle, avant qu'il ne lui demande si elle souhaitait être laissée entre les mains de leurs hommes.

N-Non...

Il retira alors son pied de son ventre, et, tout en s'agenouillant à ses côtés, il tendit sa main pour tenter sobrement de la recoiffer avec une douceur qui contrastait énormément avec la façon dont il lui avait baisé la bouche. Il ne souhaitait toutefois pas changer son attitude, comme il le fit clairement savoir, en lui ordonnant de se mettre à quatre pattes, et d'être convaincante quand à la façon dont elle allait leur demander de la baiser. C'était hautement humiliant bien sûr, mais Méréthil n'allait pas faire sa prude, encore une fois, tout ce qui lui importait était de survivre...mais il fallait visiblement que ces deux brutes aient aussi l'envie de ne pas la tuer en la baisant.

Je suis désolée de ne pas être aussi...endurante que d'autres mais...je vous ai dit, je n'ai pas beaucoup d'expérience et puis...je n'ai jamais encore croisée qui que ce soit qui soit monté comme vous l'êtes tous les deux...

Elle leur rappelait ce qu'elle leur avait déjà dit. Oh certes, Méréthil avait déjà eu à sucer des hommes pour se sortir de situations délicates, ou pour obtenir ce qu'elle voulait, mais elle tendait à éviter de le faire sauf si il n'y avait pas d'autre solution plus optimale.

Et puis...je ne suis pas "tant" une salope que ça...après tout, si j'ai déjà sucé, personne ne m'a encore prise jusque là...

Cela pourrait sembler étonnant, au vu de sa beauté, mais Méréthil n'était jamais tombée sur qui que ce soit avec qui elle aurait voulu volontairement coucher, et s'était toujours débrouillée, soit pour qu'une fellation soit suffisante, soit pour passer par d'autres options. Leur laissant le temps de se faire à cette information, Méréthil se mit délicatement à quatre pattes face à eux, les deux mains posées sur le sol avec les bras tendus, les jambes bien écartées et elle courba son bassin pour faire ressortir à merveilles les courbes de son cul.

Qu'est-ce que vous en dites ? Vous ne voulez pas être mes premiers ? Mes seuls même ? Combien d'autres femmes que vous avez tronché pourrez vous vous targuer d'avoir été les seuls à passer dessus ? Je ne suis pas encore une salope...mais je peux devenir la vôtre, si vous me formez pour la devenir...vous pouvez même choisir chacun une virginité à me prendre afin que vous ayez tous les deux ce plaisir...

Méréthil connaissait assez bien les hommes pour savoir que, quelle que soit la culture, la grande majorité accordait une certaine importance à la soit disante "pureté" de leurs conquêtes. Elle voulait ainsi les convaincre du bien fondé de ne pas la donner en pâture à leurs hommes, qu'ils la "forment" à devenir leur salope exclusive, et en somme...qu'elle devienne à leurs yeux quelque chose de bien trop précieux pour être juste tuée, mais qui devait être conservé.

À ce stade, Manekith et Imrin étaient suffisamment excités, l’un et l’autre, pour considérer avec grande attention ce que Méréthil leur avoua… Et l’idée qu’elle soit toujours vierge stimula naturellement les deux hommes, comme la flatterie sur leurs endurances. Difficile de dire si c’était vrai, mais, chez les hommes, cela marchait toujours. Elle se mit donc à quatre pattes, leur présentant son bassin, et leur signala qu’elle était prête à devenir leur concubine personnelle. Manekith soupira lentement. Le Noir avait toujours été moins passionnel que son allié, Imrin, mais, en ce moment, les deux étaient dans le même état d’excitation. La perspective de dépuceler cette femme acheva toutefois Imrin, qui sourit doucement, et se rapprocha d’elle. Il posa ses mains tremblantes et puissantes contre ses hanches, puis sur sa croupe, et malaxa son cul. Il fit preuve d’une étonnante lenteur par rapport à ce que ses yeux lançaient, ou à l’érectilité de sa verge. Son sexe frottait d’ailleurs les fesses de Méréthil, et il soupira lentement, filant d’avant en arrière, nichant son membre dans sa croupe, frottant les belles fesses rondes de la jeune femme.

« Nous verrons bien si tu es sincère, salope… Si tel est le cas, alors nous serons tes seuls amants, mais sache que nous avons un sacré appétit, moi et Manekith…
- Un appétit qui ne cesse de se raviver quand on voit ta croupe de salope, elfette… »

Imrin regarda ses hommes, notant leur frustration, puis leur ordonna d’aller se détendre auprès de leurs autres prisonnières. Il y eut un tremblement de joie, et, tandis que l’assemblée se vidait, Imrin mit un collier autour du cou de Méréthil, avec une laisse, et tira dessus.

« Pour ta première fois, nous allons être magnanimes, on va te baiser tous les deux dans la chambre royale… »

Avant d’y aller, Manekith amena un plug anal rose, et le fourra dans le fessier de la jeune femme. L’objet se terminait par un octogone qui s’illumina, et l’appareil se mit à frotter, tout en diffusant une sorte de liquide lubrifiant.

« On va te dépuceler de tes deux trous en même temps… Ce petit jouet enchanté va te préparer, on le met à chacune de nos esclaves pour pouvoir les baiser rapidement. En d’autres circonstances, je t’aurai préparé avec ma langue, j’adore ça, mais tu nous as un peu trop chauffés, ma chérie, donc il va falloir assumer. »

Imrin tira alors sur la laisse. Méréthil put se relever, afin de ne pas se blesser, jusqu’à ce qu’ils grimpent un escalier en colimaçon menant à l’étage supérieure. Ici, il y avait de la mouquette, alors Manekith, qui frissonnait en observant le cul parfait de Méréthil, fit claquer sa cravache sur son cul, lui ordonnant de marcher à quatre pattes. La démarche de l’elfette fut donc plus lente, d’autant que, avec cette position, le plug anal s’enfonça un peu plus profondément. Le Drow sourit doucement en marchant, donnant de temps en temps des coups de cravache, surtout lorsqu’il constatait à voix haute que la jeune elfette était en train de mouiller.

« Petite salope, c’est à croire que tu aimes vraiment qu’on te traite comme une chienne ! »

Ils rejoignirent finalement la chambre royale, une grande salle avec un énorme lit. Manekith claqua la porte derrière eux, puis Imrin se dépêcha d’agir.

« Fous-toi à poil, et grimpe sur le lit, implore la saillie de ton Maître… »

Eux aussi entreprirent de se déshabiller, agissant rapidement, pour retirer leurs derniers vêtements au plus vite…

Avec ce qu'elle était en train de faire, Méréthil n'était clairement pas en train de protéger sa pureté ou son honneur, mais elle était aussi bien capable d'utiliser ses yeux et sa tête pour se rendre compte de la situation critique dans laquelle elle se trouvait. Ni sa pureté, ni son honneur, ne pouvaient y survivre, mais son intégrité physique elle...avait peut-être une chance, et c'était pour cette raison qu'elle tâchait d'éviter de faire la fière. A vue de nez, Manekith et Imrin disposaient sous leurs ordres de plusieurs dizaines de sbires de diverses races, et ce n'était là que ceux qu'elle avait pu voir. Non seulement la perspective qu'ils lui passent tous dessus ne l'enchantait guère, surtout au vu de l'aspect de certains d'entre eux, mais la possibilité d'en crever était également bien réelle, et pour le dire simplement, Méréthil tenait beaucoup à sa vie.
L'information qu'elle leur fuita, concernant sa virginité, eût visiblement l'effet qu'elle avait escompté, au vu de comment Imrin se rapprocha d'elle dans son dos en venant frotter son sexe tendu contre sa croupe, mais sans chercher à la pénétrer.

Hn...

Cherchait-il à la "provoquer" ? Méréthil le sentit poser ses mains sur ses hanches, avant de les déplacer pour aller malaxer son cul, tout en se masturbant contre la raie de ses fesses alors qu'elle se trouvait "docilement" à quatre pattes. Imrin déclara alors que si c'était bien le cas, qu'elle était bien vierge, alors lui et Manekith seraient ses seuls amants, tout en ne maquant pas de préciser qu'ils avaient tous les deux un grand "appétit".

Je n'ai pas menti, mais vous allez vite avoir l'occasion de le voir par vous mêmes...

Elle ne se faisait guère de doutes sur le fait qu'elle allait passer à la casserole très prochainement. Imrin se releva de derrière elle, et, après avoir dit à leurs hommes d'aller se défouler sur d'autres prisonnières plutôt que sur elle, il lui mit autour du cou un collier en cuir qui était relié à une laisse. Dans le même temps, Manekith était à son tour dans son dos, et elle le sentit écarter les pans de sa culotte pour finalement glisser quelque chose dans son anus.

Hn...Haaaa...

La sensation était étrange, douloureuse au départ bien entendu, mais elle sentit rapidement cet objet vibrer de lui même, et sécréter une espèce de liquide qu'elle sentit doucement se répandre en elle. Ses deux "propriétaires" lui parlaient en même temps, et elle percevait des bribes de ce qu'ils disaient, surtout qu'ils allaient la prendre tous les deux en même temps, mais ailleurs qu'ici. Avec cette chose enfoncée dans ses fesses, elle avait sur le moment un peu de mal à enregistrer tout ce qu'ils disaient, mais elle comprenait en l'essence. Ils l'autorisèrent à se relever pendant un moment, ce qu'elle fit en grimaçant un peu puisque chaque mouvement faisait remuer le plug anal, mais cela lui évita de s'écorcher les genoux et les mains d'avantage sur le sol en pierre. Imrin se trouvait devant elle, la guidant en la tenant en laisse, et Manekith se trouvait dans son dos, ce qui fit qu'elle ne le vit pas immédiatement se munir d'une cravache. Le trio monta un escalier en colimaçon jusqu'à un étage supérieur, donnant sur un long couloir, bien mieux entretenu que ce qu'elle avait vu en contrebas, et un long tapis rouge se trouvait tout le long du corridor. Manekith lui donna alors un coup de cravache qui la fit gémir, et lui ordonna de se remettre à quatre pattes pour le reste du chemin.

O-oui...

Elle obéit, grimaçant encore en se mettant dans cette position, puis quand elle commença à avancer. Elle allait plus lentement car ainsi, le plug anal remuait vraiment beaucoup en elle à chaque mouvement, ajouté au fait qu'il vibrait en continu. Manekith la frappait de plus régulièrement sur le cul avec sa cravache, la faisant gémir, ce qu'il ne manqua pas de noter en insinuant qu'elle aimait se faire traiter comme une chienne. Étais-ce le cas ? Méréthil sentait clairement un semblant d'excitation monter en elle, ce qui était tout de même étrange vu qu'elle était prisonnière. Ce petit manège dura tout le long du couloir, jusqu'à ce qu'ils atteignent une grande chambre effectivement destinée à de la nobilité, avec un lit à la mesure. Méréthil se releva alors, et tandis que Manekith et Imrin étaient en train de retirer leurs derniers vêtements, l'elfe en fit de même. Elle commença par retirer son soutien-gorge, puis le harnais ainsi que la culotte qu'elle portait, ainsi que ses deux collants pour se retrouver aussi nue que ses deux geôliers. La jeune elfe déglutit d'ailleurs en les voyant ainsi, musclés et avec des triques grosses et dressées, à se dire qu'ils allaient s'enfoncer en elle avec "ça".

Voilà je...je suis prête...

Méréthil grimpa en première sur le lit, assise à son rebord, elle écarta ses jambes pour que les deux hommes aient une vue plongeante sur sa petite chatte humidifiée, ainsi que le bout du plug qui ressortait de ses fesses.

Me voilà offerte à vous...mes maîtres...prête à être saillie...

Seigneur...si il n'y avait pas l'anticipation du fait qu'ils allaient probablement être brutaux avec elle, elle en était même assez excitée...

Imrin et Manekith étaient à ce stade passablement excités. Ceci n’était pas tous les jours qu’ils faisaient monter une fille dans leurs appartements. Et, d’habitude, quand ils violaient une femme, ils la tuaient ensuite, ou l’offraient en pâture à leurs hommes, ce qui signifiait qu’ils la faisaient rarement monter. Qu’ils aient pris le temps de grimper signifiait donc que la jeune elfette avait curieusement des chances de survivre. Ils avaient aimé son sang-froid, et son manque d’empathie pour ses anciens camarades. Elle voulait survivre, et, au-delà de ça, elle était quand même très belle, suffisamment pour que les deux chefs la gardent pour elle. Elle se déshabilla donc, et Manekith sourit doucement en voyant que le plug anal continuait à vibrer. Sa couleur rose venait du fait qu’il abritait un cristal magique, chargée de magie rose. Il permettait ainsi de lubrifier plus facilement les parois anales, et était donc idéal pour des sodomies brutales. Nerveuse, Méréthil avait toutefois aussi conscience que sa seule chance de survie consistait à satisfaire ses geôliers. Elle se déshabilla donc, et grimpa sur le lit, s’offrant à eux dans une position suggestive.

Les deux sourirent lentement.

« Il me semble approprié que tu la prennes en premier… »

Imrin hocha la tête.

« C’est moi qui ai condamné cette catin, après tout… »

L’ancien juge se rapprocha de la jeune femme. Il caressa ses hanches, et la coucha sur le lit.

« Sois une gentille fille, ma salope, et tu vivras. »

Imrin soupira lentement, et se coucha contre elle. Il la prit en missionnaire, et l’embrassa dans la foulée. L’homme grogna lentement en sentant combien les parois internes de la jeune femme étaient serrées. Elles ne se dilataient pas aussi facilement que les prostituées qu’il se tapait à longueur de temps. Cela le fit trembler, et il rompit brièvement le baiser. Des deux, Imrin était sans doute le meilleur choix, car, s’il était violent et sadique, il n’était pas inutilement cruel. En un sens, il était plus empathique que Manekith.

« Relâche ce que tu ressens, ma belle… Laisse sortir la douleur, pour ne laisser que le désir… Car tu es à moi ! »

L’homme commençait à donner des coups de reins pour s’enfoncer plus profondément, et finit ainsi par percer la fleur intime de Méréthil. Il frémit en sentant un liquide poisseux contre sa queue, le sang intime et virginal de sa partenaire. Elle venait de s’offrir à lui, et cela ne pouvait que le stimuler à continuer à la prendre, et à progressivement la baiser !

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