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Secrets inavouables [PV]

Posté : 26 déc. 2024 03:17
par Reine Alice Korvander
Ibiki Hamura n’était pas un homme heureux. On pouvait dire qu’il avait connu une grande désillusion dans sa vie lorsque son amour de jeunesse, Kaguya Nichido, lui avait demandé de l’épouser. Ibiki, qui avait tout du raté, et qui était un employé assez minable dans une banque japonaise, avait sauté sur l’occasion. Il avait toujours aimé Kaguya. Intelligente, belle, elle avait tout pour plaire, mais elle l’avait toujours méprisé lors de leurs études. Elle avait choisi de se marier avec un homme, Hayato, qui lui avait donné une fille, Aya Hamura, et une liaison extraconjugale avec leur secrétaire. Un divorce avait suivi, mais, pour une femme comme Kaguya, qui était une politicienne, être une femme célibataire n’était pas acceptable. Elle avait des ambitions politiques importantes, et avait donc décidé de se marier à Ibiki. Cela aurait dû être le meilleur jour de son existence, mais leur mariage avait à peine été consommé. Elle s’était mariée avec lui uniquement par convenance, car elle aimait toujours Hayato, qui était infiniment plus cultivé et plus raffiné qu’Ibiki, qui ne lui inspirait que dégoût et honte. Ils n’avaient pas le droit de manger ensemble dehors, car elle ne voulait surtout pas que la presse découvre son bon-à-rien de mari. Kaguya ne l’avait épousé que dans la perspective qu’il monte au sein de la banque, et il était effectivement devenu, grâce à elle et à son influence, un directeur d’établissement. Un poste néanmoins bien au-delà de ses qualifications, et, quand il avait commencé à harceler sexuellement ses employées, il avait été viré. Sa femme avait réussi à étouffer le scandale, mais cela lui avait coûté son emploi.

Depuis lors, Ibiki était au chômage. Il s’était reconverti dans l’informatique, suivant des cours par correspondance. Lui et Kaguya ne dormaient pas dans le même lit, et ne se voyaient quasiment jamais. La personne qu’il voyait le plus était donc sa belle-fille, une belle-fille qui avait déjà le caractère hautain de sa salope de mère. Les deux femmes le dédaignaient ouvertement, mais tout cela allait bientôt changer. Oh ça oui !

Sa salope de femme était en déplacement pour une semaine. Elle était en pleine campagne, et espérait bien être élue députée. Kaguya était très populaire, et passait très peu de temps à la maison. Ibiki, qui ne s’embêtait même plus à chercher du travail, et qui en était réduit à se taper des putes, avait commencé à espionner sa belle-fille. Il savait qu’elle était encore vierge, et, n’ayant aucun scrupule, il avait fouillé sa chambre en profondeur. Ibiki avait ainsi découvert son journal intime, et avait découvert que cette pute… Était lesbienne ! Elle flashait sur une fille du lycée, et il avait commencé à enquêter là-dessus. Ibiki n’avait que ça à faire, et sa femme lui fournissait beaucoup d’argent pour qu’il se fasse discret. Elle envisageait une fois par mois de divorcer, mais ne voulait pas se présenter en campagne en étant une femme ayant divorcé deux fois. D’après son staff, cela équivaudrait à une sorte de suicide politique. Mais, si on découvrait que sa fille était lesbienne… Ibiki l’espionnait donc, attendant de prendre des photos compromettantes. Il n’avait plus que ça à faire, et estimait que sa femme était responsable de l’effondrement de sa vie.

*Si elle avait accompli ses devoirs conjugaux, je n’aurai jamais reluqué sur le cul de cette stagiaire…*

C’était ce qu’Ibiki se disait. Outre se déplacer en personne, il utilisait aussi des drones, qu’il avait programmé grâce à ses cours. Espionner Aya lui avait donné un second souffle. Il ne pouvait plus travailler, car sa femme craignait qu’on ne découvre son passé honteux. Et, aujourd’hui, il filmait à distance Aya, et la vit se rapprocher de la fille qu’elle appréciait. Elle l’embrassa alors, avant que l’intéressée ne la repousse, visiblement nerveuse. Aya avait alors insisté, et la fille avait répondu.

*C’est ça… Embrassez-vous bien, bande de salopes !*

Pendant ce baiser, il se masturbait. Sa grosse verge assoiffée débordait de son pantalon, qu’il avait ouvert. Les putes qu’il se tapait lui disaient toujours qu’il avait une grosse verge, et qu’il était très énergique au lit. Difficile de savoir si elles étaient sincères, mais là, tandis que les deux gouines s’embrassaient, il imaginait volontiers Aya sucer sa queue. Ce n’était pas la première fois qu’il avait de telles pensées pour elle. Une fois, il l’avait vu par inadvertance sortir de la douche, et il avait louché sur son cul. Elle l’avait aperçu, et, même s’il n’avait rien fait, il savait qu’elle savait ce qu’il pensait, car elle avait vu son regard. À bien y réfléchir, c’était sans doute cette scène qui avait commencé à les éloigner. Avant ça, ils étaient relativement proches, pour autant qu’on puisse l’être. Aya souffrait tout comme Ibiki des carences affectives de sa mère. Et Ibiki s’était déjà réveillé à plusieurs reprises en s’imaginant se taper Aya. D’ailleurs, s’il avait commencé à espionner celle-ci, c’était surtout pour s’assurer qu’elle n’avait aucun mec. Cette seule idée l’énervait, l’irritait. Il voulait déflorer Aya ! Elle était sienne ! Il se masturba donc en les voyant s’embrasser, puis sa copine mit fin au baiser.

Ibiki, ayant ce qu’il voulait, se dépêcha de rentrer chez lui. Il y alla plus vite qu’Aya, et, quand celle-ci rentra, il l’attendait dans le salon.

« Bonjour, Aya. Ta journée s’est bien passée ? »

Le temps qu’elle arrive, Ibiki avait joui dans les toilettes. Il avait craché sa purée dans la cuvette, puis s’était dépêché d’ouvrir une bière. Quand Aya entra, il était dans le salon, la bière à la main, en survêtement de sport. Aya lui parlait à peine, et elle se dirigea vers la cuisine. Sur la table, Ibiki avait eu le temps d’imprimer plusieurs photos, et il se releva lentement quand il vit Aya passer à côté des photos.

« Sympa, tes passe-temps. C’est qui, ta meuf’ ? Ta mère est au courant que tu broutes du minou ? Je me demande bien ce qu’elle dirait si ça venait à se savoir… »

Ibiki constata alors qu’il bandait à nouveau furieusement…

Re: Secrets inavouables [PV]

Posté : 26 déc. 2024 03:20
par Chloé Faure
Aya avait passée le chemin sur le retour du lycée à avoir des sentiments mitigés. Elle avait certes eu le courage de finalement dire ses véritables sentiments à la fille qu'elle aimait, et cette dernière ne l'avait rejetée comme une chaussette sale, mais de l'autre il était question malgré leur baiser de prendre du temps pour réfléchir. Aya ne pouvait s'empêcher de ressentir de la déception, car cela impliquait la possibilité que sa camarade finisse par revenir sur sa décision, surtout face à la nécessité pour elles alors d'avoir une relation cachée...mais elle ne pouvait en même temps pas lui en vouloir d'avoir à peser le pour et le contre. Fille d'une politicienne potentiellement en passe d'être élue à un poste important, Aya était scolarisée dans un établissement privé avec un code de conduite assez strict, mais également un code de moeurs qui était en phase avec certains des aspects les plus traditionnels de la société japonaise...autant dire que ce n'était pas pour rien que Aya y était scolarisée.
La jeune femme aimait beaucoup sa mère, Kaguya, mais l'adolescente de 16 ans vivait mal ses absences répétées pour cause de son travail, ainsi que certaines de ses positions que cela la menait à prendre. C'était depuis que la puberté l'avait frappée de plein fouet qu'Aya s'était découverte une nette attirance pour les autres femmes, et chez une adolescente, avoir peur d'avouer ça à sa propre mère n'était pas une situation enviable, d'autant qu'elle savait très bien que ça équivaudrait pour elle d'être reniée. Elle n'y pouvait pourtant rien, elle avait même essayée de faire des "efforts" si on pouvait appeler ça ainsi, mais rien n'y avait fait, la simple idée d'embrasser un homme la dégoûtait, et elle devait garder tout ça pour elle. Le travail fortement impacté par l'opinion public de sa mère ne saurait hélas souffrir qu'elle aie une fille lesbienne, déjà que ses cheveux courts pouvaient mal passer à l'occasion.

Ce fut la raison principale pour laquelle Aya mit plus de temps que d'ordinaire pour rentrer chez elle. Elle ne s'en inquiétait pas en soit, sa mère était en campagne électorale durant toute cette semaine voire peut-être plus, et c'était tout juste si elle parlait à son beau-père qu'elle tâchait d'éviter le plus possible, Ibiki. Leur relation était naturellement compliquée du fait qu'il n'était pas son père biologique, et si en soit Aya avait pu au début passer outre cette absence de réel lien familial, les choses s'étaient dégradées quand il avait été viré de son emploi pour cause de harcèlement sexuel, et que Aya l'avait surpris un jour en train de la mater à la sortie de la douche, nue. Depuis, elle l'évitait à défaut de pouvoir y faire autre chose, mais l'ambiance dans son foyer ne l'incitait donc pas à se presser pour y retourner. Plutôt que de prendre le métro ou le bus tout le long du trajet, Aya en passa une partie à marcher, afin entre autres de collecter ses pensées, mais n'y arriva globalement pas trop une fois arrivée au pas de la porte de sa maison. Trop dépendait au final de la décision de celle qu'elle espérait devenir sa chérie, et il y avait trop de scénarios où elle pouvait décider de dire non simplement car ni l'une ni l'autre ne pouvaient raisonnablement se le permettre. Quand elle poussa la porte et rentra après s'être déchaussée, Aya fit à peine attention à Ikibi qui la salua.

Bonjour Ikibi, bien merci.

Ayant soif après sa journée de cours et sa petite marche, Aya s'était alors dirigée vers la cuisine, mais son attention fut alors naturellement dirigée vers la multitude de clichés qui étaient éparpillés tout le long de la table, car il juraient avec le reste  de l'endroit pourtant bien tenu, une règle qu'imposait sa mère y compris à son mari. Et, en même temps qu'Aya posa son regard sur les clichés et compris à quoi ils correspondaient, Ikibi s'était lui relevé de son fauteuil au salon pour la rejoindre à la cuisine.

Que...

Sur le coup, elle s'était comme figée sur place, surprise et choquée, n'arrivant pas encore tout à fait à saisir toutes les implications que la présence de ces clichés fraîchement imprimés signifiaient, mais les paroles d'Ikibi ainsi que son sourire narquois ne laissèrent vraiment plus place au doute, et ce fut alors une vague de colère et de peur qui s'empara du coprs de l'adolescente, qui regarda son beau père droit dans les yeux avec fureur.

Mais tu me suis espèce de pervers ? Je...

Aya avait envie de dire qu'elle allait tout raconter à sa mère et porter plainte auprès de la police, et dans une société et une famille plus tolérante quand à son orientation sexuelle, c'était précisément ce qui aurait du se produire. Mais non, sa mère n'était pas au courant qu'elle était lesbienne et devait continuer à ne pas le savoir...c'était bien là tout le problème, et là qu'elle comprit que son beau-père avait décidé de baisser encore plus bas dans son estime, et de s'adonner au chantage.

Tu veux du fric c'est ça ? T'a pas assez pour aller aux putes ? Combien ?

Dans son esprit ça ne pouvait être que ça, après tout Aya recevait elle aussi de sa mère une somme mensuelle pour pallier à ses besoins, et comme Ikibi allait souvent aux putes et buvait beaucoup d'alcool, il devait en avoir après son fric. Elle ne pouvait pas, et ne voulait pas, s'imaginer les vraies raisons de ce chantage...

Re: Secrets inavouables [PV]

Posté : 26 déc. 2024 03:20
par Reine Alice Korvander
Une bière à la main et l’autre dans le futal’, en train de regarder le sport à la télé, c’était souvent comme ça qu’on trouvait Ibiki. De fait, il était même assez surprenant de le voir faire autre chose. Tout ce qu’il allait faire à partir d’aujourd’hui aurait été entièrement prévisible si tant est que les femmes vivant sous le même toit avaient fait autre chose que le considérer juste comme un faire-valoir. Elles auraient pu voir qu’Ibiki passait moins de temps à la télé, qu’il se levait plus tôt, et qu’il recevait plus de commandes que d’habitude. Ibiki avait savamment préparé sa revanche, sa vengeance sur ces femmes qui, comme toutes les personnes qu’il ait jamais connus, l’avaient négligé, oublié, et mésestimé. Alors, oui, il savourait, et son sourire narquois n’échappa pas à Aya, qui blêmit en voyant que son secret avait été découvert. On ne dira jamais assez que le Japon était un pays très conformiste. Dès la naissance, on vous éduquait à penser d’une façon bien précise, et on faisait de la fondation d’une famille un accomplissement ultime. Échouer à ce but, échouer à avoir une famille, c’était une honte suprême. Kaguya l’avait bien compris. Elle aurait beau être députée, être même la Première Ministre, si elle n’avait pas une famille et une maison, elle serait toujours considérée comme une fille bizarre, une ratée qui avait échoué quelque part. Cette pression sociale était telle que certaines Japonaisas célibataires ou ayant fait des mariages minables dépensaient des fortunes à créer des mariages fictifs, suscitant l’incompréhension des Occidentaux.

Une fille lesbienne, c’était la crainte de ne jamais voir Aya fonder une famille. L’homosexualité était mal vue au Japon, non pas parce qu’elle niait une certaine forme de virilité, mais parce qu’elle se heurtait frontalement à ce modèle familial. Aya le savait, mais conserva son sang-froid. Ibviki gloussa lentement en se rapprochant d’elle. Aya lui demanda s’il ne voulait pas plus d’argent. L’homme reposa sa bière sur la table, se rapprochant d’elle.

« Combien ? Voyons voir… Laisse-moi y réfléchir… »

Et sa queue qui ne débandait pas ! Le reste partit rapidement. Comme un abcès qu’on venait enfin de percer, la bile fusa. Ibiki se retenait tellement qu’il aurait pu en faire un ulcère ! Il se retourna vers Aya, et répliqua alors :

« Le respect ! Tu le chiffres à combien, hein, le putain de respect ? Toi et ta sale frigide de mère, vous vous foutez de ma gueule depuis des années ! Tu crois que je passe mon temps qu’à me bourrer la gueule ? Tu es comme ta mère, irrespectueuse ! C’est pour ça que cette salope ne gagnera jamais les élections, les gens voient ce qu’elle est vraiment ! Tu te crois futée, ma petite Aya-chan ? Merde, je te colle au cul depuis des semaines, et t’as rien remarqué ! »

Ibiki se mit à rire, et attrapa les photos.

« Tu sais qu’il existe des instituts spécifiques au Japon pour ce genre de choses ? J’ai vu des reportages là-dessus à la télé’. Tu crois qu’il faudra combien de temps à ta mère pour te foutre là-dedans, hein ? »

Une thérapie de conversion. Ces pratiques barbares étaient encore légales au Japon. On désignait par là des instituts privés fortement décriés où on enseignait aux gens à changer d’orientation sexuelle. Ibiki crut voir la panique percer dans les yeux d’Aya. Futée comme elle était, elle avait déjà dû y penser… Ou alors, l’idée s’insinuait dans son esprit.

« Ta mère m’interdit de trouver du travail. Elle a ruiné ma vie, il est logique que je ruine la sienne… Je diffuse ça aux médias, elle perd son élection, et son héritière. Si tu savais comme cette idée me fait bander… »

Et il était sincère en disant ça. La lune de miel s’était directement transformée en lune de fiel. Ibiki avait mûrement préparé sa vengeance. Pour autant, il n’y avait qu’un seul élément, un seul détail, qui rentrait en contradiction avec son discours… Si l’idée était de juste détruire sa femme, il aurait eu cette conversation avec elle, et non avec Aya. Non, ce n’était pas l’argent qui le motivait. Il se rapprocha d’Aya, et sourit alors. Sa queue continuait à lui faire mal, mais elle devenait aussi son moteur.

« En vrai, y a un autre truc qui me fait bander… »

Ibiki le dit d’une voix plus basse, proche de l’oreille d’Aya.

« L’idée que je me tape sa fille sous son nez… Que je te baise sous les yeux de ta salope de mère, sans qu’elle en sache rien… »

Ibiki sourit encore, et on pouvait lire dans son regard un mélange de perversion et de cruauté.

« Et puis, je suis sûr que t’es pas juste une brouteuse de minou… Même les gouines, elles utilisent des godes, non ? J’ai jamais pu me taper ta pute de mère, elle a jamais respecté ses putains de devoirs conjugaux ! Donc, c’est à toi de sauver l’honneur de ta famille, héhé… Au fond, je crois que ta mère est aussi une brouteuse de minou, mais elle, y a plus rien à faire, elle a la chatte aussi sèche qu’une ride. Toi, en revanche, t’es fraîche… Je peux rattraper ton éducation. Et t’as pas vraiment les moyens de refuser, hein ? Alors… »

Il la poussa alors, et Aya heurta la table.

« Retourne-toi, j’veux voir ton cul de fumeuse de gazon ! Je suis sûr que je vais te faire juter bien plus que l’autre coincée qui t’a foutu un vent tout à l’heure ! Comment cette gouinasse s’appelle, d’ailleurs ? Je l’avais encore jamais vu ici… »

Re: Secrets inavouables [PV]

Posté : 26 déc. 2024 03:21
par Chloé Faure
Réfléchir et penser de façon logique allait être compliqué pour Aya, elle avait en réalité toutes les raisons de paniquer car elle se trouvait dans une situation précaire, dont l'issue pouvait largement altérer sa vie...rien que ça. La jeune femme n'était pas du tout attachée à son beau-père, et en dehors de quelques remarques acerbes quand ce dernier tentait de lui parler, Aya l'avait globalement ignoré depuis que ce dernier l'avait matée en la surprenant nue, mais de toute évidence, ce dernier avait décidé de faire l'extrême inverse. Des semaines qu'il la suivait ? Cette idée lui fit froid dans le dos, qu'il soit un pareil stalker.

Du respect ? Parce que tu penses que tu as fait quoi que ce soit pour le mériter ?

Aya était tellement estomaquée par cette remarque que ça lui avait échappée. Il n'était sans doute pas une bonne idée que de lui répondre ainsi, mais qu'il se pose ainsi en victime par rapport à elle était tout simplement lunaire. Encore, à la limite, Aya pouvait comprendre le ressenti qu'il éprouvait à l'égard de sa "femme" et mère d'Aya, car ces deux n'étaient vraiment mariés que par connivence, et que ce mariage l'empêchait de faire beaucoup de choses, même si la perte de son emploi était en toute franchise de sa faute. Mais Aya s'était globalement surtout contentée de l'ignorer, il n'était pas son père, et n'avait jamais vraiment fait de gros efforts pour tenter de se rapprocher d'elle d'une façon qui ne soit pas malaisante ou perverse.
En revanche, la perspective de se retrouver envoyée dans une thérapie de conversion l'effrayait réellement. A vrai dire, si elle aimait sa mère, cet amour lui donnait souvent l'impression de ne pas être réciproque, et que sa mère lui avait donnée naissance soit car elle n'avait pas pu avorter, soit pour se donner une image de mère et ainsi mieux rentrer dans les petites cases de conformité de la société. Alors la fin de sa carrière de politicienne qui faisait qu'elle ne s'était jamais vraiment occupée d'elle, c'était peut-être egoiste dans un sens, mais Aya y accordait moins d'importance que la certitude que sa mère allait l'envoyer dans un de ces camps de redressement.
Aya se retrouva comme tétanisée sur place, et dans l'expectative de ce que Ikibi voulait vraiment d'elle. Trop perturbée et focalisée sur le visage de son beau-père, elle ne voyait pas que ce dernier était en train de bander comme un taureau sous son suvêtement de sport...mais une fois suffisament rapproché d'elle, il lui déclara alors qu'il comptait la...la "baiser".

Qu-Quoi ?

Elle pensait avoir mal entendu ou compris, elle l'espérait même, mais quand il mentionna qu'il n'avait jamais pu se taper sa mère et que c'était à elle de "sauver l'honneur de la famille", Aya sembla se ratatiner sur place en constatant que non seulement elle avait bien entendu, mais qu'il semblait tout à fait sérieux. Le pire dans cette histoire était sans doute qu'il voulait lui imposer ça tout en connaissant très bien son dégoût des hommes...mais est-ce qu'elle avait seulement la possibilité de refuser ? C'était un véritable choix cornélien qui n'offrait aucune bonne solution.

Ha !

Elle laissa échapper ce petit cri lorsqu'il la poussa en direction de la table de la cuisine, son dos heurtant le rebord, alors qu'il exigea d'elle qu'elle se retourne pour qu'il puisse voir son cul, tout en lui demandant le nom de sa camarade qu'elle avait embrassée tout à l'heure.

Je...tu n'a pas à le savoir ! Laisse la tranquille, c'est moi que tu veux non ?

Il était hors de question qu'en plus d'elle il incorpore quiconque d'autre à ce jeu malsain et pervers. Au bord des larmes, elle prit quelques longes inspirations pour tenter de se calmer, autant qu'elle le pouvait dans cette situation...puis elle coopéra. Aya fit un tour sur elle même et posa ses mains sur la table en courbant alors légèrement son dos, se présentant de dos à son beau père. La jupe de lycéenne qu'elle portait étant assez courte, et Ikibi serait donc en mesure de voir une partie de son string.

Re: Secrets inavouables [PV]

Posté : 26 déc. 2024 03:21
par Reine Alice Korvander
Il fallait bien l’admettre : cette scène le faisait bander ! La résistance d’Aya, ce mépris qu’elle manifestait envers lui… Rien n’était plus jouissif que ça ! Si elle s’était effondrée sur place en pleurant, il en aurait tout de même été un peu déçu. Mine de rien, Ibiki attendait ça depuis longtemps ! Initialement, c’était le visage de Kaguya qu’il voyait, le visage de sa salope de femme ! Mais il pouvait très bien se contenter d’elle… Oh oui ! Elle finit par se coucher sur la table, non sans l’avoir fusillé du regard. Ibiki sourit, et vit la minijupe d’Aya se relever. Celle-ci portait encore son uniforme scolaire, qu’elle n’avait pas eu le temps de retirer, et, sans hésitation, Ibiki releva sa minijupe, et la plia par en haut, la coinçant contre la ceinture d’Aya. Il avait ainsi une vue imprenable sur ses fesses, et observa son string avec fascination. Un sourire pervers se dessina sur ses lèvres, et il posa alors sa grasse main sur l’une de ses fesses, et la palpa.

« Hoho ! Ma petite Aya-chan porte un string ! Tu as vraiment tout hérité de ta salope de mère, toi… Ce regard bravache, et ce cul parfait… Hum ! Aya-chaaaan… ! »

L’homme se mit à ricaner tout en malaxant cette fesse. Ses cinq doigts appuyaient dessus, pressant la chair moelleuse, la pinçant même, avant de s’écarter. Il retourna la palper, et déplaça son autre main, s’attaquant à l’autre fesse, et s’amusa à les malmener.

« Tu es dans le déni, comme ta connasse de mère. Elle adore se faire sodomiser, mais elle trouve cela indigne… Alors, elle a préféré être frigide ! Toi, tu vois, je crois que t’es pas vraiment une brouteuse de minou, et que tu veux t’intéresser aux gouines juste pour faire chier ta mère. Mais je suis bon prince, ma Aya-chan, je ne prendrais pas ton hymen… Ton cul me fait trop bander, putain ! »

Il ricana encore, sentant sa soif de vengeance disparaître au profit d’une soif beaucoup plus classique, beaucoup plus perverse, celle qu’il ressentait en compagnie des putes qu’il se tapait, et la première fois qu’il avait vu le cul de Kaguya. Gloussant encore, il releva sa main, et donna une première fessée. Aya poussa un cri, et ce cri sonna à ses oreilles comme une merveilleuse symphonie. Il jubilait, tout simplement. Elle aurait beau se débattre, il la dominait, et il se mit à tirer sur le string, attrapant la lanière qui recouvrait sa croupe, puis relâchait ensuite le sous-vêtement, qui claquait donc contre les fesses d’Aya. Sa main se posa sur la tête d’Aya, la saisissant par les cheveux, veillant ainsi à la plaquer sur la table. Elle aurait beau se débattre, sa force parlait pour lui.

Son autre main déboutonna sa ceinture, et il la jeta sur la table. Aya put voir la ceinture rouler, comme un serpent inanimé, puis le pantalon tomba. Une vive odeur se dégagea du boxer sale d’Ibiki.

« Tu m’excuseras, j’ai joui dedans avant que tu arrives, hihi ! »

Il le retira également, non sans peine, et le jeta sur la table, à côté d’Aya, qui pouvait sentir cette odeur rance s’en échapper. Le pouce d’Ibiki glissa ensuite sur son string. Ce sous-vêtement était si doux, si beau ! Il s’y enfonçait dedans, sentant derrière sa croupe, sa délicate rondelle encore inexplorée. Le tissu s’enfonçait contre son pouce, et il approcha ensuite sa verge, la glissant contre la croupe d’Aya, glissant sur le string.

« Si tu savais comme j’aime ça… Je t’ai déjà dit que j’achetais des culottes de filles au distributeur ? Je me branle dedans, et j’imagine ces salopes porter ça ensuite Ton string est si doux, si soyeux… »

Sa grosse verge glissait dessus, et Aya pouvait sans doute constater qu’Ibiki était plutôt bien équipé. Il ricana encore, et relâcha les cheveux de la femme, pour retourner malaxer ses fesses. Si Aya tenait de sa mère, ce massage ne pourrait que lui plaire. C’était la rare intimité qu’il avait perçue chez Kaguya, elle adorait qu’on lui palpe les fesses. Elle refusait qu’Ibiki les lui touche, mais il se disait souvent que les massages qu’elle faisait consistaient juste à lui frotter le cul. Ibiki donna une nouvelle gifle, juste pour la faire couiner.

« Tu n’es qu’une traînée, Aya-chan… Mais tu seras MA traînée, hihi ! »

Re: Secrets inavouables [PV]

Posté : 26 déc. 2024 03:21
par Chloé Faure
Aya-chan était au bord des larmes, se dégoûtant elle même de ce qu'elle venait d'accepter...coucher avec son gros dégueulasse pervers de beau-père. Le problème était que les conséquences de le refuser seraient tout simplement dramatiques. Si sa mère venait à apprendre qu'elle était lesbienne, elle qui était une ultra conservatrice, sa vie risquait fort de prendre un tournant que...elle n'était pas prête à envisager. Tout son corps hurlait au dégoût, mais pourtant elle se força à se tourner, posant ses deux mains sur la table de la cuisine pour se trouver dos à Ibiki. Ni une ni deux, l'homme ne perdit pas de temps et se rapprocha d'elle dans son dos, et remonta sa minijupe de façon à en coincer les plis vers le haut pour qu'elle reste en permanence relevée. Aya se retrouva avec les fesses à l'air, sur lesquelles Ikibi ne tarda pas à poser une de ses mains grasses, tout en la targuant sur le fait qu'elle portait un string.

Hnnnf...

Aya-chan fermait les yeux tout en devant consciemment lutter contre son envie de fuir, car elle ne le pouvait pas. Elle serra ses poings sur la table, alors que l'homme derrière elle lui palpait assez sauvagement le cul, d'abord d'une main, puis avec les deux en même temps. Il n'était pas doux, elle sentait ses doigts s'enfoncer fermement dans la chair de chacun de ses fesses, et les palper fortement au point qu'elle en avait même un peu mal. Il n'y avait pas que ça qui faisait "mal", mais aussi la façon dont il lui parlait en désormais totale impunité, notamment en disant qu'il ne pensait pas qu'elle était vraiment une "brouteuse de minou", et qu'il serait généreux en ne lui prenant pas sa virginité...

*N-non il ne va pas...*

C'est à ce moment précis qu'Aya sentit l'une des mains de son beau-père se décoler de l'une de ses fesses, pour ensuite venir claquer dessus. Elle laissa échapper une grande exclamation, se tendant sur place sous le coup de la douleur.

Hey tu...Ah !

Sur le moment, Aya avait entrepris de vouloir se retourner, trouvant la coup de la fessée insupportable, mais Ikibi réagit au quart de tour en la prenant par ses cheveux courts et en poussant de sa main pour la plaquer contre la table. Tout le haut de son corps était maintenu fermement contre la table, et dans cette position ainsi baissée, elle bombait sans le vouloir encore plus son cul. Ikibi la dominait physiquement sans avoir besoin de vraiment forcer, et si elle tenta sur le coup de se débattre, elle sentit vite qu'elle n'arriverait pas à se défaire de son étreinte sur ses cheveux qu'il tirait, pas plus qu'elle n'arriverait à se redresser. Tout en la maintenant d'une main, c'est avec effroi qu'Aya-chan l'entendit se servir de son autre main pour défaire sa ceinture, et déboutonner son pantalon.

N-noooon...

Elle le sentait remuer derrière lui, galérant à défaire ses vêtements en ne disposant que d'une main, mais elle termina par voir le boxer absolument immonde de son beau père voler pour atterrir pas très loin de son visage plaqué sur la table. L'odeur qui s'en dégageait était ignoble, et lui donna envie de vomir, mais elle se trouva en même temps aussi assaillie par la sensation de sentir sa verge venir se frotter contre elle. Elle manqua de se cambrer sur place pour s'enfuir, mais était toujours maintenue par les cheveux avec sa poigne solide, et elle n'eût d'autre choix que d'endurer la sensation de ce sexe sale et tendu coulisser contre sa croupe. Aya le sentait se frotter ainsi, et il retira finalement ses mains de ses cheveux pour retourner malaxer ses fesses, et les serrer plus fortement encore contre son sexe.

Aaaaah...n-noooooon...

Elle avait envie de fuir, mais ne le pouvait pas, se rappelant sans cesse qu'il n'hésiterait pas à tout balancer à sa mère si elle n'était pas docile. sans s'en rendre compte, Aya était doucement en train de commencer à mouiller, le baiser qu'elle avait tantôt échangée avec sa camarade, elle y avait repensée tout le long du chemin à la maison, elle était donc excitée de base...et Ikibi avec son massage ferme de son cul...allait pouvoir en profiter.

Re: Secrets inavouables [PV]

Posté : 26 déc. 2024 03:21
par Reine Alice Korvander
Le désir parlait pour lui. Il prenait des risques, car il savait que cette salope pouvait tout raconter à l’autre pute. Cependant, il ne pensait pas qu’elle le ferait. Elle aurait trop honte d’avouer à sa mère qu’elle avait couché avec son beau-père, cet alcoolique que sa femme ne supportait pas, et qu’elle préférait voir le moins possible. Ils ne dormaient même pas ensemble. Ibiki soupirait en la sentant se débattre, souriant malicieusement. Il aimait ça, cette résistance. Elle se débattait sous sa main, et il déglutit, avant de finalement réussir à libérer sa queue. Sa main libre se saisit de son sexe, et il se masturba, provoquant des bruits de claquement spongieux, tout en approchant sa queue de son délicieux cul. Elle continuait à se débattre, ce qui eut aussi pour conséquence que son bassin se frottait de gauche à droite contre son sexe, contribuant à l’exciter. Ibiki soupira lentement, sentant la douceur de sa culotte, la rondeur et la fermeté de ses fesses. Il avait même l’intime conviction que les protestations d’Aya-chan avaient diminué.

« J’crois que t’es une gouine parce que t’as jamais eu l’occasion de goûter à un vrai homme. Dans une société où on cherche à castrer les hommes, c’est normal que les femmes baisent entre elles, tu compenses… Heureusement, Papa est là… »

Il sourit, et donna une nouvelle tape sur son cul.

« Ta mère est une pétasse imbuvable, mais elle a toujours eu un de ces culs… Tu as hérité de ça, toi aussi, héhé. Je suis curieux de voir si tu prendras autant ton pied quand ta copine te broutera le cul… »

Sa main tira sur le string, et il déchira le string d’un coup sec, libérant le bassin d’Aya-chan. Ibiki suça ensuite ses doigts, notamment son pouce, puis l’approcha de la croupe de sa fille. Il sentit Aya-chan se crisper sur place, puis son pouce se glissa en elle. Elle gémit encore, mais cela ressemblait plutôt à un petit miaulement. Il ricana encore, et continua à enfoncer son pouce en elle.

« Tu aimes ça, hein ? Je vais te défoncer le cul, ma salope, et je continuerai à le faire chaque jour… C’est mon devoir de père, hihi… »

Il retira son pouce après avoir tracé des cercles, puis attrapa sa queue et la dirigea à nouveau Son membre glissa sur la peau de sa belle-fille, contre sa croupe. Il soupira encore.

« Putain, tu me fais tellement envie, ma salope… Vas-y, insulte-moi ! »

Et, suite à ça, Ibiki la pénétra. Sa verge heurta ses parois anales, et il grogna, bavant sur lui, sentant la résistance et la fermeté de ses parois.

« Pu-Putain, tu es si serrée, foutue salope !! »

La douleur qui monta à hauteur de son sexe l’amena à la frapper à nouveau, sa grosse claque résonnant sur le cul d’Aya-chan…

Re: Secrets inavouables [PV]

Posté : 26 déc. 2024 03:21
par Chloé Faure
Aya avait à ce stade les larmes aux yeux, non seulement pour la situation dans laquelle elle se trouvait, mais aussi de dégoût vis à vis de son beau-père contre lequel elle ne pouvait pas lutter. Dans ce chantage, il avait littéralement toutes les cartes en main, et impossible pour Aya de faire autre chose que de se plier à ses lubies perverses la concernant. Il la dominait de toute sa stature, avec elle plaquée contre la table de la cuisine, et lui plaquée dans son dos à la maintenir en place, et à frotter son sexe contre ses fesses. Ibiki sentait mauvais, et son haleine n'était pas en reste signe qu'il avait encore du boire aujourd'hui, des choses qu'Aya tolérait en temps normal car elle l'esquivait le plus possible et qu'il en faisait de même, mais là elle se le voyait imposer...et puis la sensation de son sexe qui était en train de la souiller en se frottant contre ses fesses, tout ça la dégoûtait.

Aaaah !!!

Se redressant, Ibiki lui donnait des fessées qui faisaient pousser à Aya des cris de douleur, mais qui à sa grande surprise elle même ne semblaient pas être que ça. Il était pour ainsi dire impossible pour elle de raisonner dans pareille situation, mais son corps trahissait certains de ses désirs profondément enfouis en elle et qu'elle se refusait à admettre, comme le besoin de se trouver dans pareille position.

N-noooon...

Elle tentait de protester, faiblement car elle était bien trop intimidée par lui, lorsqu'elle le sentit tirer sur son string au point de le déchirer avant de le jeter à terre. Il n'y avait plus rien qui protégeait vraiment les entrées intimes d'Aya du sexe tendu d'Ibiki dans la position où elle était. Le haut de son corps plaqué contre la table, Aya avait de plus le visage collé contre par le fait qu'il la maintenait ainsi avec sa main dans ses cheveux courts. Tout au plus parvint-elle à discerner un bruit humide semblant suggérer qu'il se sucait un doigt, avant de sentir ce pouce sommairement lubrifié venir s'enfoncer dans son fondement.

AAAAH !!!

Aya-chan se cambra sur place, sa tentative de se retirer étant vouée à l'échec plaquée comme elle était contre la table, elle sentit ce pouce s'enfoncer dans son anus étroit. Elle gémit, sentant la douleur grimper en elle à sentir ce doigt dans son cul. Elle soupira de soulagement lorsque Ibiki fini par le retirer après quelques secondes, mais du coin de l'oeil, elle pu le voir alors se saisir de son sexe, et le sentir venir contre ses fesses. Le positionnement était toutefois différent d'avant où il s'était contenté de se masturber contre la raie de ses fesses, mais orienta cette fois le bout de son gland contre l'entrée de sa porte arrière.

N-non pas ça ! A-arrête...Aaaaaah !!!!

A nouveau, le réflèxe d'Aya fut de partir vers l'avant pour essayer d'échapper à cette barre de chair dure qui cherchait à s'enfoncer dans son petit trou serré, mais c'était voué encore une fois à l'échec, et elle le sentit commencer à s'enfoncer en elle. Aya-chan en eut sur le coup le souffle coupé, elle était crispée de tout son long ce qui expliquait en partie qu'Ibiki allait avoir du mal à s'enfoncer en elle, mais cela ne semblait pas le dissuader de continuer, tout au plus couvrit-il le cul d'Aya de nouvelles fessées. La jeune femme elle avait les larmes aux yeux, sentant une vive pointe de douleur remonter en elle alors que son beau-père forçait le passage progressivement. Les dents serrées, elle gémissait lourdement, tout en sentant aussi à son plus grand effroi qu'il n'y avait clairement pas que de la douleur dans ce qu'elle ressentait. Elle se sentait bien mouiller, plus que quand elle était rentrée à l'issue du baiser avec sa camarade de classe, mais comment étais-ce seulement possible avec ce porc ?

Noooooon !!!! Je...Aaaaaah !!!!

Re: Secrets inavouables [PV]

Posté : 26 déc. 2024 03:21
par Reine Alice Korvander
Ibiki dominait la situation, et c’était particulièrement plaisant. Il n’allait pas ravir à Aya sa virginité, donc ce serait comme s’il ne s’était rien passé. Et puis, c’était une leçon de vie, sa fille méritait une correction pour la manière dont elle lui parlait ! Il allait lui apprendre, elle allait voir comment son père fonctionnait ! Ibiki exultait, ressentant un plaisir fébrile. Il tremblait comme jamais, signe d’une forte excitation. L’idée de baiser sa fille l’excitait bien plus qu’il ne l’aurait cru possible. Son plan était en soi délirant, et extrêmement risqué, car, si Aya le dénonçait à sa mère, il finirait en prison. D’un autre côté, il savait qu’elle n’en ferait rien. Ce n’était pas que pour la menace de dénoncer son homosexualité, Aya aurait trop honte d’avouer ce qu’elle avait fait, et craindrait toujours qu’on ne découvre l’abjecte vérité : qu’elle avait aimé ça ! Sans doute Ibiki délirait-il, mais il ne sentait pas une résistance démesurée chez sa fille. Elle se débattait, elle protestait, mais, quand il la pénétra, il la sentit se tortiller sur place. Il continua à remuer en elle, s’enfonçant plus profondément en elle.

« Hihi ? ton cul est si étroit, ma chérie… Aucune de tes copines gouines n’a dû te prendre par là, hein ? »

L’homme exultait, continuant à la prendre langoureusement. Sa main serra les cheveux d’Aya, et il tira dessus, la relevant, tout en la giflant encore, claquant son cul avec son autre main. Dez belles fessées destinées à la faire hurler, mais aussi à lui permettre de faire circuler le sang dans ses veines. Mine de rien, pénétrer un fondement aussi étroit n’était pas si facile que ça, et c’était même assez éreintant ! Ibiki soupirait longuement, l’insultant pour reprendre des forces.

« Sale gouine, hmmm… C’est bien la preuve que j’ai foiré ton éducation, bordel ! Tu te vois te passer de ça ? De ma grosse queue dans ton cul, hein ? Tu crois que tes petites copines bourges peuvent te baiser vraiment ? J’suis sûr que tu fantasmes sur ces putains d’hommes-sojas décérébrés, ces couilles molles avec leurs bites ramollies ! Tu vois ce que c’est, hein, d’avoir une vraie bite dans le cul ? Tu aimes ça, ma salope, hein ?! »

Autant dire qu’Ibiki était très brutal et très grossier, il était loin d’être un amant romantique !

Re: Secrets inavouables [PV]

Posté : 26 déc. 2024 03:21
par Chloé Faure
Aya était littéralement bloquée avec Ibiki qui se lovait dans son dos, et qui poussait pour forcer son sexe à s'enfoncer plus profondément dans son cul. La jeune femme ne pouvait tout simplement pas lutter, physiquement il la dominait totalement, mais il avait aussi l'ascendant psychologique en ayant les moyens de faire de sa vie un enfer.

AAAAAAH !!!!

Tendue comme une corde de violon, Aya avait terriblement mal alors qu'Ibiki forçait sa porte arrière sans faire preuve de la moindre douceur. Il usait de ses mains pour tirer sur ses cheveux, ou lui donner des fessées, le tout en l'insultant et en la provoquant, tout en sachant très bien qu'elle ne pouvait rien lui répondre. Complètement vierge, Aya pleurait d'avoir à donner sa virginité anale à son beau-père qu'elle méprisait, et lui en tirait justement un plaisir accru de ce fait. Peu à peu, à mesure qu'il forçait le passage, Ibiki parvenait à s'enfoncer plus profondément en elle, jusqu'au moment fatidique où, en poussant un ultime gémissement de douleur, Aya le sentit s'enfoncer tellement en elle qu'elle pu aussi sentir le ventre de son beau père heurter ses fesses, alors qu'il était parvenu à s'enfoncer en elle jusqu'à la garde. Aya était paralysée à avoir ce gros mat de chair qui semblait lui déchirer le cul, et c'est alors qu'il commença à remuer en elle.

Aaaaah...N-nooooon....

Elle était en train de se faire baiser par le cul, le sexe d'Ibiki commençait à coulisser le long de ses parois anales, les dilatant malgré tout petit à petit malgré le manque de préliminaires. Aya se rendit également compte que ses craintes étaient fondées, elle était maintenant en train de mouiller plutôt généreusement entre ses cuisses, et une sensation d'excitation qu'elle ne s'expliquait pas semblait monter en elle.

J-Je...Nooooooooooooon...

Ibiki parvenait bien d'avantage à la prendre par le cul à mesure que le temps passait, à mesure qu'il "travaillait" son cul et qu'il pouvait commencer à faire de vrais mouvement de va-et-viens. Les sensations de frottement le long de sa queue seraient forcément très intenses, car Aya était très crispée, mais elle allait finir aussi, à ce rythme, par avoir un premier orgasme.

Haaa...Haaaaaaan...

Re: Secrets inavouables [PV]

Posté : 26 déc. 2024 03:22
par Reine Alice Korvander
« Hmmm… O-On aurait pu être une famille parfaite, tu sais…. Gnnnn… Ce que ton cul est étroit, bo-bordel ! »

Des culs aussi serrés, il ne les trouvait pas chez les prostituées qu’il baisait régulièrement. Elle avait poussé des hurlements gutturaux au début, et il avait également entendu les reniflements de son nez, trahissant les sanglots qu’elle avait poussés. Cela aurait dû le paniquer, mais, curieusement, ça n’avait fait que renforcer son érection. Il la prenait maintenant avec aise, mais il lui fallut bien plusieurs minutes de reptation et de coups de reins pour pouvoir s’enfoncer ainsi, déformant à chaque fois les parois anales de sa partenaire. Et, tandis qu’il s’enfonçait, il constata aussi que ses cris devenaient moins gutturaux, moins violents, trahissant le plaisir inavouable qu’elle ressentait.

Ibiki gloussa contre son oreille, et posa l’une de ses mains sur l’un des seins de sa fille. Elle n’avait pas forcément une grosse poitrine, mais il put pincer le téton, et sentir la délicieuse bosse que formait son sein. Elle se tortilla encore, mais le coup de grâce vint quand il approcha son autre main, et la glissa entre ses cuisses. Il la masturba, et sentit avec délectation la mouille qui suintait de sa chatte.

« Je te l’ai dit, Aya-chan, tu as les mêmes goûts que ta mère… Elle adorait que je l’encule, que je la baise comme un chien en rut, ça faisait partie de nos jeux ! Elle, si fière d’elle, elle adorait ce sentiment de honte et d’abandon quand je la baisais… Et elle adorait que je la prenne par le cul ! »

Sa mère avait cependant grandi, et avait fini par renier un tel plaisir, tant il était indécent et choquant. Tout avait découlé de là… La colère de Kaguya envers les hommes n’était que le reflet de sa propre colère entre elle-même.

« J’te laisserai pas te voiler la face comme l’a fait ta connasse de mère… T’es ma petite salope, Aya-chan. Tu peux te taper des nanas, ça me dérange pas. Au contraire… Je t’imagine tellement faire l’amour avec ta femme, puis venir ensuite me voir pour que je te prenne comme tu le mérites, héhé… C’est un peu comme notre petit secret ! »

Il ricana encore, et lécha sa joue, continuant à la masturber.

« Je faisais toujours jouir ta salope de mère comme ça… Et toi, tu es ma petite salope de fille… »

Ibiki pressait la zone sensible, impatient de la sentir s’abandonner contre lui, de renoncer à toute bienséance…

Re: Secrets inavouables [PV]

Posté : 09 janv. 2025 11:45
par Chloé Faure
Non non, Aya ne pouvait pas y croire, elle s'y refusait, mais son propre corps était en train de la trahir au point où elle ne pouvait pas se voiler la face. Tout pourtant dans cette situation était censée la dégoûter, le fait que son beau-père la sodomise, qu'elle soit ainsi plaquée contre la table de la cuisine avec lui allongé tout contre elle, Aya ne pouvait ainsi échapper aux odeurs d'alcool qui s'échappaient de son haleine. Mais surtout elle avait mal, Ibiki avait un sexe gros et long, et il avait du longuement forcer pour pouvoir s'enfoncer jusqu'à la garde dans le petit anus étroit et vierge d'Aya. Elle le sentait, coulisser en elle, lui défonçant et dilatant ses parois internes sans lubrification ou préparation préalable. Alors pourquoi, pourquoi est-ce qu'elle se sentait mouiller ?

Aaaaaah...

La jeune lycéenne avait arrêtée de lutter, principalement car le fait de se faire ainsi enculer l'avait drainée de toutes ses forces, mais aussi parce qu'elle commençait à ressentir du plaisir. Elle était en train de découvrir quelques subtilités de sa propre anatomie, à savoir que les parois vaginales et anales étaient finalement assez proches, et qu'avec l'épaisseur de la bite qui coulissait dans son cul, certaines de ses zones les plus sensibles de son vagin étaient ainsi également stimulées, moins qu'avec une pénétration directe, mais bien assez pour qu'à force, elle finisse par ressentir les effets d'un plaisir sexuel. Ibiki puait salement contre elle, d'autant qu'il lui sussurait des saletés à l'oreille et était complètement plaqué dans son dos. Elle portait encore la totalité de son uniforme, à l'exception de son string qui lui avait été arraché, alors elle avait encore ce semblant de "barrière" que ses vêtements et ceux que portait encore Ibiki formait...mais pour combien de temps ? L'homme n'était d'ailleurs absolument pas aveugle aux troubles qui parcouraient sa fille, et glissa une de ses mains entre elle et la table pour aller empoigner l'un de ses seins, par dessus son uniforme et son soutien-gorge. Aya avait une petite poitrine, ce qui tendait à la complexer, mais cela signifiait aussi que ses seins étaient hautement plus sensibles à ce genre de stimulis, d'autant qu'il n'y allait clairement pas avec le dos de la cuiller.

N-N...Haaaaan...

Aya se tendit encore sur place quand, pour parachever son oeuvre, son beau-père glissa son autre main entre ses cuisses pour aller titiller son clitoris. Il ne la doigta pas, car il voulait conserver sa virginité, mais son bouton de plaisir était clairement accessible. Il lui parlait mal pendant ce temps, soufflant contre son oreille, lui mordillant le creux de son cou, et Aya ne pouvait rien faire d'autre que de subir ces assauts qui allaient bel et bien finir par éclater ses défenses. Elle le sentait, cette vague monter en elle, inexorablement, elle ne pouvait pas se retirer ou lutter contre, et elle avait beau resserrer ses cuisses dans un vain espoir, non seulement cela n'empêchait pas Ibiki se forcer sa main pour la carresser, mais en plus cela resserrait encore plus ses parois anales contre le sexe de l'homme.
Et, finalement, ce qui devait arriver, arriva.
Silencieusement au début, puis en poussant des gémissements éhontés de plaisir, Aya se mit à jouir. Ibiki pourrait aisément le sentir contre ses doigts, par l'afflux de cyprine supplémentaire, mais aussi par le fait qu'il verrait son sexe fortement comprimé lui aussi, et ce, sans doute suffisament pour le pousser lui même vers l'orgasme, et tapisser de foutre le cul de sa belle fille.

Re: Secrets inavouables [PV]

Posté : 09 janv. 2025 13:48
par Reine Alice Korvander
Ibiki n’aurait jamais cru vraiment se retrouver dans une telle situation, à sodomiser sa fille… Et à y prendre son pied. Il était un raté, un déchet que sa femme méprisait, y compris sa fille. Mais, cette fois, il lui rabattait le caquet ! Et il était sûr qu’elle prenait son pied. Ibiki la besognait avec force, la redressant pour titiller son clitoris. Quand il pressait ce petit bouton d’amour, il sentait cet organe durcir, et sentait ses doigts s’humidifier. Il gloussa encore, tout en sentant Aya-chan resserrer ses fesses, comme pour que son cher père soit plus violent envers elle. Il grognait alors, et pinça le petit sein de sa fille, la sentant se tortiller contre lui, se cambrer.

« Alors, on ne me menace plus, hum ? On n’insulte plus son père ? Ta mère adore quand je la baise comme ça, tu sais… Quand je la prends comme une chienne en la traitant de pute, de salope qui aime s’enfourner des queues dans le cul… Telle mère, telle fille ! »

L’homme ricanait. Oh, il en aurait des choses à dire sur Kaguya ! Lui et son épouse avaient très peu fait l’amour, car, les rares fois où ils l’avaient fait, la politicienne sévère et autoritaire qu’était Kaguya se transformait en une redoutable nymphomane. Elle avait peur d’elle-même. Elle avait essayé de se convaincre que cela venait du fait qu’Ibiki n’était pas fiable, qu’il pourrait la faire chanter… Mais Ibiki savait la vérité, lui. Sa femme avait peur de cette partie de sa personnalité, et elle se voilait la face, refusant de s’admettre qu’elle pourrait s’envoyer en l’air avec lui, et qu’elle pouvait se lâcher. Ibiki frissonnait en y repensant, à ces quelquefois où il avait réalisé que Kaguya aimait chez lui ce fait qu’il n’ait aucune limite, qu’il ne prenne pas de gants avec elle, qu’il la baise fort, si fort… Ibiki avait toujours été comme ça avec ses amantes, il faisait la même chose avec les prostituées qu’il se tapait, mais il devait bien admettre Qu4il ressentait des pulsions très fortes en compagnie d’Aya-chan. Leur lien familial et le fait qu’elle soit encore inexpérimentée sexuellement constituaient deux magnifiques facteurs pour le motiver à la besogner davantage.

Alors, Ibiki l’enculait. Il s’enfonçait avec force en elle, grognant et soupirant. La sodomie se faisait plus brutale sur la fin, car, en se resserrant ainsi, Aya-chan obligeait naturellement Ibiki à devoir donner des coups de reins plus profonds. Il grogna contre elle, et finit par se relâcher à son tour. L’homme sentit la vague venir, et soupira contre l’oreille d’Aya-chan.

« Bo-B ordel, t’es si serrée, ma salope… »

Il grogna ensuite, et sa queue expulsa des filaments de foutre en elle. Ibiki la prenait encore en remuant, puis se relâcha en elle. Tout son corps se tendit, et le foutre déferla dans le fondement d’Aya-chan. Il jouit en elle, et la relâcha ensuite. Sa fille tomba au sol, sur les fesses, et l’homme se masturba ensuite, sentant encore des relents de foutre en elle qui ne demandaient qu’à sortir. Il se masturba donc, et des jets de foutre supplémentaires giclèrent sur le visage d’Aya-chan. Il jouit sur elle avec un grand sourire, maculant son beau visage de foutre blanc, puis soupira ensuite. La respiration lourde, il la regardait, et sourit.

« Un creampie, ta mère adore ça… Je lui en ai fait un juste après notre mariage, tu sais, elle voulait un teint en accord avec le blanc de sa robe, hihi… J’ai hâte de retourner farfouiller dans ton cul, en tout cas, pas toi ? »

Re: Secrets inavouables [PV]

Posté : 03 avr. 2025 10:47
par Chloé Faure
Aya ne pu donc guère que subir, à la fois les agissements d'Ibiki, mais également la trahison de son propre corps face à cette situation. La jeune femme ne pu guère que sentir, impuissante, l'orgasme arriver en elle, et se déclencher à peu près en même temps que lorsque son père commença à lui même jouir.

Aaaaah...

Les yeux d'Aya se révulsèrent presque dans ses orbites, tandis qu'un léger filet de bave coula du recoin de sa bouche. Ibiki la plaque encore plus fort contre le comptoir de la cuisine, tandis qu'il éjaculait dans son cul. Aya le sentit, clairement, son gros membre enfoncé en elle qui se mit à tressauter, et les filaments de sperme chaud et gluant tapisser ses parois internes pendant ce qui semblait être une éternité. Elle même était aussi, malheureusement, en train de jouir, un orgasme qui était même plus prononcé que tout ce qu'elle avait pu ressentir en se caressant elle même. Elle se mit à trembler sur place, et à se convulser de façon incontrôlable, accompagnant de ce fait la jouissance d'Ibiki dans son cul.
Ce dernier se retira, et la relâcha un peu de temps avant d'avoir vraiment fini. Surprise, et sur le coup bien incapable de se ratrapper, Aya glissa le long du comptoir avant de finir sa course assise au sur le sol. Quelque peu perdue et encore sous le choc de son orgasme, elle ne pu pas vraiment réagir lorsque son père la fit retourner son visage dans sa direction, avant de se finir dessus. Elle retrouva, plus ou moins, assez rapidement ses esprits toutefois en finissant par sentir ces traces chaudes et gluantes maculer ça et là son visage, prenant alors conscience qu'Ibiki venait de lui faire une faciale, ce qui ne manqua pas d'ajouter encore plus à la honte qu'elle ressentait. Elle était encore un peu perdue, mais réagit aux commentaires que son père ne manqua pas de faire, notamment sur le fait qu'il avait hâte d'y retourner.

N-non...c'était la seule et unique fois qu'on aura fait ça...

Pour elle, c'était terminé. Mais tout ce sperme sur son visage l'empêcha de développer d'avantage. Elle ressentit le besoin très pressant d'aller se laver, ce qu'elle fit sans un mot. Elle se redressa, et se dirigea en vitesse vers l'évier, ouvrant le robinet d'eau chaude alors pour commencer à nettoyer ses lunettes qu'elle avait retirée, puis commençant à se barbouiller le visage d'eau. Elle était tant focalisée sur ça qu'elle en avait oubliée que l'arrière de sa mini-jupe était toujours coincé en position redressé, et que de fait, Ibiki avait une vision parfaite de son arrière train. Il pourrait non seulement voir qu'un peu de son sperme commençait à couler de son anus, mais aussi, qu'elle avait bien joui car son entrejambe et l'intérieur de ses cuisses était couvert de mouille...

Re: Secrets inavouables [PV]

Posté : 03 avr. 2025 12:11
par Reine Alice Korvander
Ibiki venait de jouir, et c’était… C’était bon, putain ! Il avait l’habitude de se taper des putes, mais il n’y avait chez les prostituées ce côté sentimental, émotionnel. Ibiki se devait bien de l’admettre : maltraiter le cul de sa fille l’avait excité bien plus que ce qu’il n’aurait cru ça possible. L’homme reprenait ses esprits, et ne sentait pas chez lui une seule once de remords. La seule inquiétude qu’il avait était que Aya le dise à sa mère, mais il ne pensait pas qu’elle le ferait. Elle aurait sûrement honte, et voudrait taire ça. Ibiki la laissa donc se nettoyer le visage, et son regard glissa naturellement sur le bassin de sa fille.

La minijupe relevée d’Aya permettait à Ibiki de voir ses magnifiques fesses. Il sourit lentement en voyant que son sperme commençait à ressortir, se faisant l’esprit d’un conquérant qui avait planté son drapeau dans un champ, et l’avait fermenté. Il vit aussi que les cuisses d’Aya luisaient. Elle n’était pas épilée, alors il pouvait voir les poils pubiens très humides. Ibiki sentit alors un fourmillement dans son sexe.

« Oh… La dernière fois… »

Il avait promis de ne pas prendre sa virginité, mais… Là, il s’imaginait bien la prendre par là, jouir en elle, et… Ibiki se masturbait… Il s’imaginait Aya tomber enceinte, porter leur môme. Une idée folle, bien sûr, délirante. Kaguya, sa salope de mère, aurait sûrement réagi en coupant les vivres d’Ibiki, et en envoyant sa fille dans un asile.

*Ouais, sûr que personne ne va la labourer, vu comment sa conne de mère lui a raconté des saloperies sur les hommes… Qu’aucune queue ne vienne remplir cette chatte, c’est un tel gâchis ! Puis-je vraiment accepter cela ?*

Ibiki se rapprocha alors. Aya put soudain sentir les mains de son père se poser sur ses fesses.

« Détends-toi, ton Papa d’amour va te nettoyer par là aussi… Il y a mon foutre qui coule de ton cul, tu sais. »

Ibiki sourit, et écarta avec ses pouces les deux fesses d’Aya, puis lécha sa rondelle. Cependant, sa langue ne tarda pas à se déplacer, tout comme l’une de ses mains, qui titilla son bourgeon d’amour. Il frotta son clitoris avec son doigt, et lécha ses lèvres intimes.

« Tu devrais t’épiler, Aya-chan, je suis sûr que ta copine adorerait mieux te brouter si tu n’avais pas tous ces poils… »

L’homme continua à la lécher, finissant finalement par la lécher ici. Le fait est qu’il avait déjà léché suffisamment de chattes auprès de prostituées pour savoir comment faire. Il titillait ainsi son clitoris dans la foulée, mais en se refusant à la faire jouir.

Ibiki s’amusait, et déposait des baisers dessus.

« Tu voudrais que je t’épile ? Aucune des putes que j’ai baisé n’a mouillé autant que toi, tu sais… Il n’y a que ta mère qui mouille autant que je la baise. »

Il se redressa alors, et se pencha contre elle, venant frotter son sexe contre sa chatte, avant de glisser un doigt en elle. Prudent, il la masturbait, en veillant à ne pas rompre son hymen.

Joueur et provocateur, Ibiki murmura alors contre son oreille :

« Est-ce que ta copine te fait mouiller autant ? »