Secrets inavouables [PV]
Posté : 26 déc. 2024 03:17
Ibiki Hamura n’était pas un homme heureux. On pouvait dire qu’il avait connu une grande désillusion dans sa vie lorsque son amour de jeunesse, Kaguya Nichido, lui avait demandé de l’épouser. Ibiki, qui avait tout du raté, et qui était un employé assez minable dans une banque japonaise, avait sauté sur l’occasion. Il avait toujours aimé Kaguya. Intelligente, belle, elle avait tout pour plaire, mais elle l’avait toujours méprisé lors de leurs études. Elle avait choisi de se marier avec un homme, Hayato, qui lui avait donné une fille, Aya Hamura, et une liaison extraconjugale avec leur secrétaire. Un divorce avait suivi, mais, pour une femme comme Kaguya, qui était une politicienne, être une femme célibataire n’était pas acceptable. Elle avait des ambitions politiques importantes, et avait donc décidé de se marier à Ibiki. Cela aurait dû être le meilleur jour de son existence, mais leur mariage avait à peine été consommé. Elle s’était mariée avec lui uniquement par convenance, car elle aimait toujours Hayato, qui était infiniment plus cultivé et plus raffiné qu’Ibiki, qui ne lui inspirait que dégoût et honte. Ils n’avaient pas le droit de manger ensemble dehors, car elle ne voulait surtout pas que la presse découvre son bon-à-rien de mari. Kaguya ne l’avait épousé que dans la perspective qu’il monte au sein de la banque, et il était effectivement devenu, grâce à elle et à son influence, un directeur d’établissement. Un poste néanmoins bien au-delà de ses qualifications, et, quand il avait commencé à harceler sexuellement ses employées, il avait été viré. Sa femme avait réussi à étouffer le scandale, mais cela lui avait coûté son emploi.
Depuis lors, Ibiki était au chômage. Il s’était reconverti dans l’informatique, suivant des cours par correspondance. Lui et Kaguya ne dormaient pas dans le même lit, et ne se voyaient quasiment jamais. La personne qu’il voyait le plus était donc sa belle-fille, une belle-fille qui avait déjà le caractère hautain de sa salope de mère. Les deux femmes le dédaignaient ouvertement, mais tout cela allait bientôt changer. Oh ça oui !
Sa salope de femme était en déplacement pour une semaine. Elle était en pleine campagne, et espérait bien être élue députée. Kaguya était très populaire, et passait très peu de temps à la maison. Ibiki, qui ne s’embêtait même plus à chercher du travail, et qui en était réduit à se taper des putes, avait commencé à espionner sa belle-fille. Il savait qu’elle était encore vierge, et, n’ayant aucun scrupule, il avait fouillé sa chambre en profondeur. Ibiki avait ainsi découvert son journal intime, et avait découvert que cette pute… Était lesbienne ! Elle flashait sur une fille du lycée, et il avait commencé à enquêter là-dessus. Ibiki n’avait que ça à faire, et sa femme lui fournissait beaucoup d’argent pour qu’il se fasse discret. Elle envisageait une fois par mois de divorcer, mais ne voulait pas se présenter en campagne en étant une femme ayant divorcé deux fois. D’après son staff, cela équivaudrait à une sorte de suicide politique. Mais, si on découvrait que sa fille était lesbienne… Ibiki l’espionnait donc, attendant de prendre des photos compromettantes. Il n’avait plus que ça à faire, et estimait que sa femme était responsable de l’effondrement de sa vie.
*Si elle avait accompli ses devoirs conjugaux, je n’aurai jamais reluqué sur le cul de cette stagiaire…*
C’était ce qu’Ibiki se disait. Outre se déplacer en personne, il utilisait aussi des drones, qu’il avait programmé grâce à ses cours. Espionner Aya lui avait donné un second souffle. Il ne pouvait plus travailler, car sa femme craignait qu’on ne découvre son passé honteux. Et, aujourd’hui, il filmait à distance Aya, et la vit se rapprocher de la fille qu’elle appréciait. Elle l’embrassa alors, avant que l’intéressée ne la repousse, visiblement nerveuse. Aya avait alors insisté, et la fille avait répondu.
*C’est ça… Embrassez-vous bien, bande de salopes !*
Pendant ce baiser, il se masturbait. Sa grosse verge assoiffée débordait de son pantalon, qu’il avait ouvert. Les putes qu’il se tapait lui disaient toujours qu’il avait une grosse verge, et qu’il était très énergique au lit. Difficile de savoir si elles étaient sincères, mais là, tandis que les deux gouines s’embrassaient, il imaginait volontiers Aya sucer sa queue. Ce n’était pas la première fois qu’il avait de telles pensées pour elle. Une fois, il l’avait vu par inadvertance sortir de la douche, et il avait louché sur son cul. Elle l’avait aperçu, et, même s’il n’avait rien fait, il savait qu’elle savait ce qu’il pensait, car elle avait vu son regard. À bien y réfléchir, c’était sans doute cette scène qui avait commencé à les éloigner. Avant ça, ils étaient relativement proches, pour autant qu’on puisse l’être. Aya souffrait tout comme Ibiki des carences affectives de sa mère. Et Ibiki s’était déjà réveillé à plusieurs reprises en s’imaginant se taper Aya. D’ailleurs, s’il avait commencé à espionner celle-ci, c’était surtout pour s’assurer qu’elle n’avait aucun mec. Cette seule idée l’énervait, l’irritait. Il voulait déflorer Aya ! Elle était sienne ! Il se masturba donc en les voyant s’embrasser, puis sa copine mit fin au baiser.
Ibiki, ayant ce qu’il voulait, se dépêcha de rentrer chez lui. Il y alla plus vite qu’Aya, et, quand celle-ci rentra, il l’attendait dans le salon.
« Bonjour, Aya. Ta journée s’est bien passée ? »
Le temps qu’elle arrive, Ibiki avait joui dans les toilettes. Il avait craché sa purée dans la cuvette, puis s’était dépêché d’ouvrir une bière. Quand Aya entra, il était dans le salon, la bière à la main, en survêtement de sport. Aya lui parlait à peine, et elle se dirigea vers la cuisine. Sur la table, Ibiki avait eu le temps d’imprimer plusieurs photos, et il se releva lentement quand il vit Aya passer à côté des photos.
« Sympa, tes passe-temps. C’est qui, ta meuf’ ? Ta mère est au courant que tu broutes du minou ? Je me demande bien ce qu’elle dirait si ça venait à se savoir… »
Ibiki constata alors qu’il bandait à nouveau furieusement…
Depuis lors, Ibiki était au chômage. Il s’était reconverti dans l’informatique, suivant des cours par correspondance. Lui et Kaguya ne dormaient pas dans le même lit, et ne se voyaient quasiment jamais. La personne qu’il voyait le plus était donc sa belle-fille, une belle-fille qui avait déjà le caractère hautain de sa salope de mère. Les deux femmes le dédaignaient ouvertement, mais tout cela allait bientôt changer. Oh ça oui !
Sa salope de femme était en déplacement pour une semaine. Elle était en pleine campagne, et espérait bien être élue députée. Kaguya était très populaire, et passait très peu de temps à la maison. Ibiki, qui ne s’embêtait même plus à chercher du travail, et qui en était réduit à se taper des putes, avait commencé à espionner sa belle-fille. Il savait qu’elle était encore vierge, et, n’ayant aucun scrupule, il avait fouillé sa chambre en profondeur. Ibiki avait ainsi découvert son journal intime, et avait découvert que cette pute… Était lesbienne ! Elle flashait sur une fille du lycée, et il avait commencé à enquêter là-dessus. Ibiki n’avait que ça à faire, et sa femme lui fournissait beaucoup d’argent pour qu’il se fasse discret. Elle envisageait une fois par mois de divorcer, mais ne voulait pas se présenter en campagne en étant une femme ayant divorcé deux fois. D’après son staff, cela équivaudrait à une sorte de suicide politique. Mais, si on découvrait que sa fille était lesbienne… Ibiki l’espionnait donc, attendant de prendre des photos compromettantes. Il n’avait plus que ça à faire, et estimait que sa femme était responsable de l’effondrement de sa vie.
*Si elle avait accompli ses devoirs conjugaux, je n’aurai jamais reluqué sur le cul de cette stagiaire…*
C’était ce qu’Ibiki se disait. Outre se déplacer en personne, il utilisait aussi des drones, qu’il avait programmé grâce à ses cours. Espionner Aya lui avait donné un second souffle. Il ne pouvait plus travailler, car sa femme craignait qu’on ne découvre son passé honteux. Et, aujourd’hui, il filmait à distance Aya, et la vit se rapprocher de la fille qu’elle appréciait. Elle l’embrassa alors, avant que l’intéressée ne la repousse, visiblement nerveuse. Aya avait alors insisté, et la fille avait répondu.
*C’est ça… Embrassez-vous bien, bande de salopes !*
Pendant ce baiser, il se masturbait. Sa grosse verge assoiffée débordait de son pantalon, qu’il avait ouvert. Les putes qu’il se tapait lui disaient toujours qu’il avait une grosse verge, et qu’il était très énergique au lit. Difficile de savoir si elles étaient sincères, mais là, tandis que les deux gouines s’embrassaient, il imaginait volontiers Aya sucer sa queue. Ce n’était pas la première fois qu’il avait de telles pensées pour elle. Une fois, il l’avait vu par inadvertance sortir de la douche, et il avait louché sur son cul. Elle l’avait aperçu, et, même s’il n’avait rien fait, il savait qu’elle savait ce qu’il pensait, car elle avait vu son regard. À bien y réfléchir, c’était sans doute cette scène qui avait commencé à les éloigner. Avant ça, ils étaient relativement proches, pour autant qu’on puisse l’être. Aya souffrait tout comme Ibiki des carences affectives de sa mère. Et Ibiki s’était déjà réveillé à plusieurs reprises en s’imaginant se taper Aya. D’ailleurs, s’il avait commencé à espionner celle-ci, c’était surtout pour s’assurer qu’elle n’avait aucun mec. Cette seule idée l’énervait, l’irritait. Il voulait déflorer Aya ! Elle était sienne ! Il se masturba donc en les voyant s’embrasser, puis sa copine mit fin au baiser.
Ibiki, ayant ce qu’il voulait, se dépêcha de rentrer chez lui. Il y alla plus vite qu’Aya, et, quand celle-ci rentra, il l’attendait dans le salon.
« Bonjour, Aya. Ta journée s’est bien passée ? »
Le temps qu’elle arrive, Ibiki avait joui dans les toilettes. Il avait craché sa purée dans la cuvette, puis s’était dépêché d’ouvrir une bière. Quand Aya entra, il était dans le salon, la bière à la main, en survêtement de sport. Aya lui parlait à peine, et elle se dirigea vers la cuisine. Sur la table, Ibiki avait eu le temps d’imprimer plusieurs photos, et il se releva lentement quand il vit Aya passer à côté des photos.
« Sympa, tes passe-temps. C’est qui, ta meuf’ ? Ta mère est au courant que tu broutes du minou ? Je me demande bien ce qu’elle dirait si ça venait à se savoir… »
Ibiki constata alors qu’il bandait à nouveau furieusement…