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Little Butterfly, you look so delyscious [Feat. Le Lys]

Posté : 26 déc. 2024 18:26
par Tsukiko Seishi
Tout a commencé par une porte mystérieuse. Qui et comment elle a pu arriver là ? Ça, je n’en sais franchement rien. Mais elle était annonciatrice d'une des meilleurs journées ou nuits de ma vie. Je n’en sais trop rien, j'ai vite perdu la notion du temps là-bas. C'était une expérience intéressante et terriblement addictive. Mais je vais vous raconter un peu plus en détail l'histoire de la porte qui s'ouvre sur un domaine... particulier.

J'étais tranquillement en train de faire mes affaires quand je l'ai vu carrément apparaître dans ma chambre. C'est le genre de chose qui laisse franchement peu de place au doute. Je me levais de mon lit et approchais. Elle n'avait rien de particulier et ne semblait pas spécialement magique. Je me souviens juste de ce qui était écrit dessus. Le Lys. Pas la moindre idée de ce qu'était ce machin. Je n'ai pas de suite cherchée à l'ouvrir. D'abord sur mes gardes, je fis quelques recherches tant sur le net que parmi mes contacts sur ce qu'était que ce Lys. Mais rien. Nada. C'était comme si cet endroit était secret. Ou bien... je ne savais pas comment chercher. J'ai beau être plutôt douée, tout ce que j'avais, c'était un nom, rien d'autre. En tout cas, la porte restait là, impassible, comme une porte basique en fait.

Il ne me restait alors plus qu'à investiguer par moi-même. Si personne ne pouvait me dire ce qui se cachait derrière ce seuil, alors je serais celle qui pourra en parler. Motivée par ma curiosité naturelle mêlée à celle de mon côté détective, je me décide à m'approcher de nouveau, tourner la poignée et finalement pousser cette entrée. Ce qui s'est révélé à moi s'est trouvé aussi extraordinaire qu'intéressant. Un bâtiment, enfin un lieu de luxure s'est offert à moi. Je ne pus me retenir d'entrer et la porte se referma derrière moi. Autour de moi, ça transpirait la richesse, tout était fait pour en mettre plein la vue. Et de la vue... Il y en avait car des femmes en tenues très plaisantes, parfois même aguichantes, se promenait dans les environs. Je remarquais d'ailleurs après quelques minutes qu'aucun homme ne semblait être dans le coin. Il n'y avait que des femmes, toutes plus canons les unes que les autres, et pour tous les goûts. L'endroit faisait très maison close... ce qui ne me dérangeait clairement pas !

J'approchais du comptoir, où une femme, dont la beauté et les formes n'avaient rien à envier à celles que je venais voir passer, me proposa de m'inscrire en tant que cliente après m'avoir expliqué que cet endroit existait pour assouvir et satisfaire le moindre de mes désirs et fantasmes. Décidément, cet endroit me plaisait déjà de plus en plus. Et pourtant, je n'avais pas encore eu la chance de goûter à la... cuisine locale. Mais cela n'allait plus tarder.

Re: Little Butterfly, you look so delyscious [Feat. Le Lys]

Posté : 27 déc. 2024 00:39
par Le Lys
Nitocris ajusta d'une main tremblante le drap qui recouvrait son corps, ses joues en feu. Elle avait espéré que son pouvoir "spécial" serait une bénédiction pour sa soirée de service au Lys, quelque chose qui pourrait attirer une clientèle curieuse ou audacieuse, ou tout simplement pimenter son apprentissage en tant que nouvelle fille de joie. Mais... tout avait dérapé.

Elle se rappelait encore du moment où elle avait activé son pouvoir, le "Futa Power", avec une certaine excitation. Un frisson avait traversé son corps, la transformation avait été immédiate et – elle devait l'admettre – curieusement satisfaisante. Sentir une virilité nouvelle s'ajouter à son anatomie féminine avait été une expérience qu'elle ne comprenait pas tout à fait, mais qui éveillait en elle des sensations qu'elle n'osait jamais avouer. Elle avait rougi en se regardant dans le miroir, troublée, mais aussi fascinée par ce qu'elle voyait.

Tout allait bien, ou du moins c’est ce qu’elle avait pensé. Mais lorsque l’heure de désactiver son pouvoir était venue, Nitocris s’était retrouvée confrontée à un problème. Malgré toutes ses tentatives, malgré les efforts acharnés qu’elle avait déployés, se concentrant, murmurant une prière désespérée, et même tapotant timidement la zone concernée, avec un embarras monumental, bien sûr, rien n’avait fonctionné. Non seulement elle n’était pas revenue à son état naturel, mais elle s’était retrouvée dans une situation encore plus étrange : les deux. Femme et homme. Deux attributs différents... coexistant de manière absurde. Elle ne savait pas si elle devait pleurer, rire, ou creuser un trou pour s’y cacher.

"Oh non, oh non, oh non..." murmura-t-elle en faisant les cent pas dans sa chambre, son drap serré autour de son corps nu. Elle avait passé les vingt dernières minutes à essayer tout ce qu’elle pouvait imaginer, mais rien n’avait fonctionné. Pire encore, elle commençait à être en retard pour son service. Si quelqu’un remarquait qu’elle n’était pas encore arrivée... Non, il fallait qu’elle trouve une solution. Et vite.

Elle enfila précipitamment son drap d’invisibilité, espérant qu’il suffirait à couvrir sa honte. Se faufilant hors de sa chambre, elle avançait sur la pointe des pieds, ses joues brûlantes, son cœur battant la chamade. Personne ne devait la voir comme ça. Personne. Le moindre regard serait sa fin. Elle évitait les autres femmes comme une voleuse, jetant des coups d'œil nerveux à gauche et à droite, tout en essayant désespérément de trouver quelqu’un qui pourrait peut-être l’aider à résoudre son problème. Mais qui ? À qui pouvait-elle confier une situation aussi embarrassante ?

Alors qu’elle tournait un coin du couloir, son esprit trop préoccupé par sa honte pour prêter attention à son environnement, elle cogna soudain quelqu’un de plein fouet. Un cri étouffé échappa à Nitocris tandis qu’elle tombait en arrière, perdant l’équilibre. Le choc fut tel que son drap lui échappa des mains, glissant au sol comme une feuille morte. En une fraction de seconde, elle se retrouva exposée.

"Ah... ah non !" bégaya-t-elle, son regard s’agrandissant d’horreur alors qu’elle réalisait ce qui venait de se passer. Elle était là, au milieu du couloir, nue comme au premier jour, et avec... ça. Non, les deux. Elle n’osait même pas baisser les yeux pour vérifier l’ampleur des dégâts. Tout ce qu’elle savait, c’est que la personne qu’elle avait percutée était là, devant elle, et qu’elle devait avoir une vue imprenable sur sa situation.

Nitocris rougit si fort qu’elle avait l’impression que la chaleur de ses joues suffirait à embraser le drap tombé au sol. "Je... je... je suis désolée !" bredouilla-t-elle, sa voix tremblante et presque inaudible. Elle voulait disparaître. Littéralement. Mais son pouvoir d’invisibilité semblait refuser de se réactiver dans un moment aussi critique. Tout ce qu’elle pouvait faire, c’était rester là, immobile, comme un animal pris dans les phares d’une voiture.

Elle ferma les yeux, priant intérieurement pour que cette personne ait la décence de l’aider... ou de détourner le regard. Mais en son for intérieur, elle savait que cette humiliation allait hanter ses rêves pendant des semaines.

Re: Little Butterfly, you look so delyscious [Feat. Le Lys]

Posté : 30 déc. 2024 11:31
par Tsukiko Seishi
Peu de temps après mon arrivée, je me retrouve à remplir un formulaire qui me pose quelques questions pour aiguiller l'établissement sur la fille qu'il me faut. Un exercice supposément simple mais pas tant que ça finalement. Malgré quelques galères, j'arrive à donner quelque chose un minimum constructif... pour le moment en tout cas. On m'indique de me diriger vers une chambre. Intriguée, je quitte l'accueil après avoir remercié le canon qui y travaille. J'aurais franchement rien eu contre de me la jouer secrétaire coquine à ses côtés. Je me demande bien quel type de femme m'attend à l'arrivée. Il faut dire que je ne suis pas non plus très difficile et c'est justement ce qui rend l'exercice de trouver ce que je désire profondément d'une difficulté accrue. Même moi, je ne saurais pas dire ce que je désire par dessus tout. Et puis... des fantasmes, j'en ai des tonnes. Je peux vouloir un truc intime et romantique un jour comme un gangbang dans lequel je me fais remplir par tous les trous le lendemain. Avec des envies aussi changeantes, je souhaite bonne chance au Lys pour me satisfaire totalement un jour. Le bon côté, c'est que si je passe vraiment un merveilleux moment, je pourrais chercher à y retourner, si c'est possible.

En tout cas, tout ça me fait pas mal cogiter, si bien que je fais un peu moins attention à mon environnement. En même temps, avec autant de distraction, c'est peut-être pas plus mal que je sois perdue dans mes pensées. Le seul petit souci à ça, c'est que je ne fais pas attention au détour d'un couloir, déjà que je déambule un peu au final, et heurte une fille qui passait par là. Et je ne me contente pas de l'effleurer, on se rentre carrément bien dedans. Le temps d'une petite seconde pour retrouver mes esprits et je pose mes yeux sur la beauté face à moi. Une femme, typée égyptienne, nue, carrément mignonne et super bien foutue. Et cerise sur le gâteau, le supplément qui pendouille entre ses cuisses.

Sur le coup, il m'est difficile de dissimuler l'attrait pour cette œuvre d'art que j'ai sous les yeux. Je sens bien un petit début d'envie habiter mon regard. Mais pourtant, je me calme vite. Déjà car je n'ai pas encore atteint ma chambre et que donc, même si cette fille correspond à tout ce que je peux désirer à un instant T, et encore plus maintenant qu'elle n'existe pas uniquement que dans mon imaginaire, elle n'est sûrement pas celle qui m'est destinée mais surtout car je capte assez facilement son embarras face à la situation.

C'est alors que je remarque ensuite le linge entre nous et je comprends que c'est ce qui devait la couvrir à l'origine et qu'elle ne se baladait sûrement pas nue dans le coin. Ça semble logique mais vu l'endroit où je suis et le peu de tissu qui recouvre certaines filles, un doute pourrait être autorisé. Bref ! Toute cette analyse, c'est bien beau mais ça doit bien faire une dizaine de secondes, peut-être plus, qu'on reste plantée l'une devant l'autre. La fille semble presque tétanisée. La pauvre... Finir nue en public ne doit pas être dans ses habitudes et je vois bien quelques regards alentours posés sur elle. Je finis par ramasser le long tissu à nos pieds et la recouvre plus ou moins avec, assez pour cacher ses attributs en tout cas, ce qui est bien dommage. Fin du reluquage. Ensuite, tant qu'à faire, je tente un contact pour pas la laisser dans son embarras.

- Ça n'a pas l'air d'aller Choupette. Je connais pas trop l'endroit mais je peux peut-être t'aider à t'éclipser ?

Le sourire qui accompagne ma voix se veut réconfortant tandis que je lui caresse l'épaule gauche pour l'aider à se détendre. Elle a vraiment l'air en plein trauma...

Re: Little Butterfly, you look so delyscious [Feat. Le Lys]

Posté : 31 déc. 2024 03:08
par Le Lys
Nitocris sentit les mains de l'inconnue sur les bords du drap qui l'entourait, la serrant délicatement pour la recouvrir, ce qui rendit les parties recouverts invisibles, le drap étant un artefact pouvant faire cela. Un soupir de soulagement s'échappa de la gorge du papillon, mélangé à une bouffée de chaleur dans les joues. La situation dans laquelle elle se retrouvait était si embarrassante, si humiliante... et pourtant, la douceur de ce geste, les paroles rassurantes, tout ça la touchait plus qu'elle ne l'aurait cru.

Elle rouvrit les yeux à peine, les fixant sur les siens, les noyés dans les siens. "V... Vous, ça ira ?" bredouilla-t-elle, les lèvres tremblotantes. L'idée de demander de l'aide à une inconnue, dans une telle situation, la mettait mal à l'aise, pour ne pas dire dans un profond malaise.

Mais quand la femme sourit et commença à parler d'un ton chaleureux, les mots s'envolèrent. Nitocris sentit les muscles de son ventre se relâcher, un tout petit peu. "M... Merci beaucoup, je suis vraiment... j'ai eu un... un accident..." bafouilla-t-elle, les joues en flamme. L'idée d'expliquer les tenants et les aboutissants de son "accident" la gênait, les mots s'emmêlaient dans sa bouche.

Pour toutes les clientes, les papillons du Lys étaient les incarnations du plaisir, les déesses de la volupté. Et la voilà, à devoir demander de l'aide à une inconnue parce qu'elle ne parvenait pas à maîtriser son propre corps. L'humiliation la submergeait, l'envahissait. Mais Nitocris prit son courage à deux mains. En fait, elle pensait, vu la beauté de la demoiselle, que c’était, comme notre lapine, une collègue qu’elle n’avait pas encore croisée, ou une nouvelle collègue, vue la phrase, mais peut-être pouvait-elle l’aider à s’en sortir ? Notre papillon attrapa le drap, artefact d’invisibilité et les couvrit toutes les deux, les enveloppant dans une chaleur douce, une demi-obscurité confortable. Il y avait assez de place et la sauveuse pouvait remarquer qu’on pouvait voir et entendre l’extérieur, mais les deux n’étaient ni vues, ni entendues par toutes les femmes autour, telles des fantômes. Nitocris reprit donc, maintenant qu’elles étaient toutes les deux isolées :

"C'est... c'est une histoire de... de magie, je suis une nouvelle et débutante, et..." Son regard se déporta vers le sol, honteuse. "Le sort du Lys... ne fonctionne plus… Et… Et je suis coincée dans cet... cet état. Je suis supposée pouvoir changer mon sexe pour les clientes, selon leurs envies... Et ça ne marche plus !"

Elle s'interrompit, les joues encore plus rouges. Puis, dans un murmure à peine audible, elle reprit. "Vous n'auriez pas... une idée ? Comment je pourrais... me débarrasser de ça ?" Son index, tremblant, pointa vers le bas de son ventre, vers les attributs masculins qui se dressaient encore fièrement dans les airs, en parfait contraste avec les courbes de son corps de femme.

La honte, la gêne, la peur... tout se bousculait dans les pensées de Nitocris. Et pourtant, une part d'elle-même, une part qui ne demandait qu'à sortir de sa coquille, ne put s'empêcher de se demander si la femme qui la regardait ne trouverait pas ça... excitant. Non, c'était ridicule. Personne ne pourrait trouver ça excitant. C'était une aberration, un cauchemar qui devait disparaître.

Alors, dans un ultime sursaut de fierté, dans l'espoir d'effacer la pitié qu'elle devinait dans les yeux de son interlocutrice, Nitocris s'avança, se collant et se serrant contre la belle demoiselle, ses seins venant toucher la douce peau de l’inconnue. "Si... si c'est trop gênant, je peux essayer d'aller à la salle de bains, peut-être que... que je vais y arriver… Ou trouver une autre personne qui s’y connait…"

Nitocris sentait son cœur s'accélérer, les battements, dans sa poitrine, se transformait en un vacarme assourdissant. Heureusement, personne ne les voyait et ne les entendait. Mais la panique ne l'abandonna pas pour autant. Que dirait-on d'elle si on les surprenait ensemble ? Si on apprenait qu'elle, une simple novice, ne parvenait pas à maîtriser les bases les plus fondamentales de son art ? Et si les clientes les voyaient, les deux d'elles, une nue, l'autre non, et enlacées dans ce drap… Elle se serra encore plus fort dans les bras de la femme, la tête enfouie dans la poitrine opulente de la demoiselle, les larmes prêtes à couler. "Je suis tellement... tellement gênée..." chuchota-t-elle, la gorge nouée par les sanglots retenus. "P... Pardonnez-moi..."

Re: Little Butterfly, you look so delyscious [Feat. Le Lys]

Posté : 31 déc. 2024 17:26
par Tsukiko Seishi
Finalement, j'ai la chance de pouvoir entendre le son de sa petite voix. Une voix à l'image de son apparence avec aucune assurance et une timidité prononcée. Elle est si adorable qu'on aurait envie de la dorloter et la croquer. Curieuse de savoir si je vais bien, je lui réponds, un peu taquine :

- Je devrais survivre au choc de notre rencontre. Je suis du genre robuste, on dirait pas comme ça !

Elle me raconte ensuite avoir eu un accident et nous recouvre soudainement toutes les deux avec son drap, sûrement pour nous isoler de la foule. Je ris un peu sur le coup. J'ai l'impression d'être revenu en enfance, lorsqu'on s'imaginait un abri en se dissimulant sous la couverture de notre lit pour y vivre pleins d'histoires. Seulement, j'ai bien grandi depuis et je me demande alors quel genre d'aventure m'attend sous ce drap, avec cette demoiselle. En tout cas, c'est nouvelle et soudaine proximité ne me dérange carrément pas une seule seconde. Si je ne me retenais pas, j'en jouerais pour me coller un peu à elle.

Maintenant que nous sommes plus ou moins à part du reste de l'établissement - bien que les gens doivent quand même se demander ce qu'on fout sous ce drap, au beau milieu d'un couloir - elle me raconte ses déboires et ce qui lui cause du souci. Une nouvelle qui débute dans cet endroit ? Je comprends d'où lui vient tout ce manque de confiance en elle. La pauvre, c'est peut-être même son premier jour et la voilà déjà en galère. Ce n'est clairement pas ce qu'il y a de plus motivant pour la suite. Elle me fait alors la révélation qu'elle n'est pas née futa mais qu'elle le devient par le biais d'un sort connu de celles qui travaillent ici. Dans un premier temps, je trouve ça encore plus intéressant. La dinguerie ! Elle peut contrôler le fait d'avoir un pénis ou pas, c'est une sacrée aubaine ça. Enfin... ça, c'est normalement du coup car, dans un second temps, je me refocusse sur elle et le fait qu'elle cherche justement à annuler le sort mais n'y arrive finalement pas, ce qui est la source de son embarras et sa panique qui explique un peu tout ce qui a conduit à notre rencontre imprévue.

Quand je l'entends en reparler, je repense aux premiers soucis que j'ai pu avoir de me réveiller avec une bite sur laquelle je n'avais en plus aucun contrôle. L'enfer d'avoir un truc sauvage qui durcit à la moindre occasion et par moindre occasion, comprenez chaque fois que je faisais l’erreur de trouver une fille attirante ou d’avoir une pensée coquine. Je ne vous cache pas que, si maintenant, je prends les choses plutôt bien, à l’époque, je n’étais vraiment pas bien quand ça m’arrivait et je devais être dans un état proche de celui de cette fille.

Alors, naturellement, elle finit par me demander si je n’ai pas une idée sur comment se débarrasser de ce sexe qui lui rend la vie difficile aujourd’hui. Je ne sais pas trop ce qu’elle s’imagine. Il y a marqué SAV des sorts qui capote sur mon front ? Quoique non, là, yen n’a pas de capote. Ahah, je suis si drôle sérieux. Alors certes, elle a un peu de chance car je sais ce que c’est d’avoir un sexe de mec sur un corps de femme mais de mon côté, c’est un truc naturel. Quand je me lève avec l’engin, il suffit que je passe la journée avec et pouf, il disparaît après une bonne nuit de sommeil jusqu’à sa prochaine visite. Mais, bizarrement, je ne pense pas que ça va marcher pour cette fille, c’est plus un truc propre à mes sœurs et moi si j’ai bien capté.

Alors que je cogite un peu, elle se colle un peu plus à moi et je peux un peu plus sentir son corps maintenant, notamment sa poitrine qui, même si plus petite que la mienne, est quand même bien fournie. Bon le hic, c’est qu’elle ne m’aide pas trop à rester calme en faisant ça. Je ne suis pas non plus une bombe à retardement mais j’ai une sacrée libido et je m’imaginais déjà un peu quelques scénarios coquins avant de tomber sur elle donc je suis un peu stimulée on va dire. En tout cas, une chose est sûre, je ne vais pas la laisser dans sa merde. Le fait de savoir qu’elle partage un peu le même genre d’expérience que j’ai pu avoir me fait me sentir un peu liée à elle. C’est con mais j’ai envie de l’épauler maintenant.

Elle continue de bouger et loge sa tête entre mes seins maintenant. Je souris doucement et me demande quand même si elle ne profite pas un peu de la situation. Mais je la laisse faire, ça ne me dérange pas plus que ça. Je fais même venir caresser ses cheveux comme pour lui offrir un peu de tendresse et de réconfort. Puis, je sors de mon silence qui n’a que trop durer, ne parlant pas trop fort pour ne pas que tout le monde autour entende notre conversation non plus. Je ne vais pas crier sur tous les toits l’origine de son souci.

- Détends-toi Choupette… Je t’en veux pas. Pour ton petit souci, je ne suis pas une experte en la matière mais ton sort, il fonctionne comment normalement ? Ya un concept de charge ? C’est un truc chronométré ? En tout cas, la seule idée qui me vient en tête, c’est qu’il faut sûrement… soulager ton pénis on va dire.

Je pèse un peu mes mots et c’est sûrement cliché mais comme j’y connais rien en magie érotique, je vois pas trop quoi faire à part la faire éjaculer jusqu’à ce que son attribut masculin fatigue et disparaisse. C’est un peu comme ça que ça marche dans les fantaisies que j’ai pu voir, peut-être que c’est pareil dans la vraie vie, non ?

- Ce qui est sûr, c’est que tu ferais mieux d’aller dans une salle de bain ou une chambre pour ça. Au milieu de ce couloir n’est sûrement pas le meilleur endroit pour ça. Je peux t’accompagner si ça te rassure.

Lui proposer de l’accompagner après lui avoir insinué qu’elle va devoir se vider fait-il de moi une profiteuse ? Je ne le cache pas mais après tout, on n’a jamais interdit aux gens de penser à leur profit en aidant les autres, non ? C’est même plus motivant si j’ai aussi quelque chose à y gagner !

Re: Little Butterfly, you look so delyscious [Feat. Le Lys]

Posté : 23 janv. 2025 20:28
par Le Lys
Nitocris inspira profondément, cherchant à calmer les tremblements dans sa voix. Sous le draps enchanté, elle se sentait légèrement protégée, bien que son esprit reste en ébullition. La proposition de Tsukiko de trouver un endroit plus intime n'avait fait qu'aggraver son embarras, et elle tenta de répondre, bien que son ton reste hésitant et saccadé.

"N-nous n'avons pas besoin... de bouger" répondit-elle d'une voix tremblante, évitant de croiser le regard de sa compagne. "Ce drap... il est enchanté. Tant que nous restons dessous, personne ne peut nous voir... ni nous entendre."

Elle baissa un peu les yeux, ses doigts jouant nerveusement avec un pan du tissu du drap, comme pour se donner du courage.

"Et... il y a assez de place ici pour... pour régler ça... sans que personne ne sache" murmura-t-elle, ses joues devenant de plus en plus rouges à mesure qu'elle s'entendait parler.

Sentant le poids de la situation peser encore plus lourd sur ses épaules, elle porta instinctivement une main tremblante à son bas-ventre, là où apparu son tatouage d'employée. Ce dernier, légèrement pulsant de lumière rose, semblait réagir à son état émotionnel, dégageant une douce chaleur.

"Laisse-moi juste... voir..." bredouilla-t-elle, visiblement agitée mais déterminée à comprendre cette malédiction gênante.

D’un geste hésitant, mais guidée par l’urgence de la situation, elle activa la magie de son tatouage. Une onde de chaleur parcourut son corps, partant de son bas-ventre, douce et pourtant intensément intime, arrachant à Nitocris un léger frisson qu’elle ne parvint pas à réprimer. Un soupir lui échappa, et ses joues prirent une teinte cramoisie.

Sous leurs yeux, une lumière rose s’échappa du tatouage, formant dans l’air une interface holographique brillante, accompagnée d’un livre ancien qui apparut devant elles avec un bruit feutré, comme s’il avait toujours été là.

"Voici... les manuels" murmura-t-elle, sa voix vacillant sous l’émotion et la honte.

Elle tendit une main hésitante vers le livre, son regard fuyant, avant de tourner précautionneusement les pages ornées de runes et de symboles. L’interface flottante affichait également des informations qu’elle survola rapidement, mais le texte ancien lui semblait plus tangible, plus concret dans cette situation étrange.

Au bout de quelques instants, ses doigts s’arrêtèrent brusquement, ses yeux se posant sur une section précise. Elle resta immobile un instant, relisant les mots pour être sûre de ne pas se tromper, avant de sentir son souffle se coincer dans sa gorge.

"A-alors... il y a plusieurs moyens..." finit-elle par murmurer, à peine audible.

Elle serra un peu plus les pages entre ses doigts, comme pour se donner du courage.

"Le premier... c’est d’attendre environ une heure... et... un autre..."

Sa voix s’étrangla légèrement, et elle baissa instinctivement les yeux, incapable de soutenir la moindre expression que Tsukiko pourrait afficher à cet instant.

"L’autre, c’est de... satisfaire... ce... ce membre..." lâcha-t-elle d’une voix tremblante, à peine plus forte qu’un souffle.

Ses mains se crispèrent sur le livre alors qu’elle sentait à nouveau la chaleur pulsante du tatouage, qui semblait presque se moquer de son trouble. Elle ferma les yeux, essayant de réguler sa respiration, mais la situation rendait cela presque impossible.

"Alors... nous pouvons rester ici..." insista-t-elle maladroitement, comme si elle essayait de rationaliser. "Le drap nous cache, il est... sûr. Et... et personne ne peut entendre ce qu’il se passe en dessous..."

Elle releva timidement les yeux, ses joues brûlant d’embarras, avant de les détourner à nouveau, incapable de supporter la moindre réaction ou commentaire.

"C-ce serait peut-être mieux de... régler ça... ici... je pense..." ajouta-t-elle dans un murmure à peine audible, sa voix vacillante trahissant à la fois sa honte et la tension qui l’habitait."

Re: Little Butterfly, you look so delyscious [Feat. Le Lys]

Posté : 24 janv. 2025 01:12
par Tsukiko Seishi
Après avoir pris connaissance du problème de cette fille, je lui propose naturellement de gérer ça dans un endroit plus intime, à l’abri des regards indiscrets. Je suis même prête à l’aider s’il faut. Quelle générosité n’empêche, j’ai vraiment le cœur sur la main ! Mais elle me raconte qu’il n’y a pas besoin de bouger de sous ce drap en réalité. Je suis vite intriguée mais j’ai rapidement les réponses à mes possibles questionnements quand elle me raconte aussi que ce drap agit un peu comme un voile qui nous isoles du monde extérieur. C’est une dinguerie ce truc ! Je serais limite tentée de lui demander où je peux m’en procurer un, ça a l’air génial ! Mais j’ai une tonne de questions en tête maintenant !

- Donc, nous on entend et voit un peu ce qu’il se passe autour mais pas inversement ? Genre même le drap, personne le voit ? On est totalement invisible ? On fait comment si des gens nous rentrent dedans ?

Elle répond à mes questions et j’apprends même qu’on est protégée ! C’est décidément vachement au point ce truc ! Mais si nous sommes plus ou moins en intimité, ce n’est pas pour autant qu’elle est moins embrassée et timide. Elle a ce petit côté adorable qui, j’avoue, me fait un peu craquer. Les filles timides et réservées, c’est un peu mon péché mignon. J’adore les corrompre et les aider à se libérer et s’assumer, c’est mon petit côté vicieuse ça.

Je la regarde faire et un tatouage s’illumine sur son corps. Je reconnais que trop bien ce genre de motif et je sais que ça a toujours un lien avec des choses sexuelles. Comment je le sais ? Mais je suis une femme très cultivée voyons ! Cela dit, un truc dont je suis clairement moins au courant, c’est que le sien est capable de faire apparaître une interface comme on en voit dans les trucs de science-fiction ! Genre son tatouage, c’est un ordinateur, c’est incroyable ! Elle fait ensuite apparaître un bouquin avec cette interface. J’avoue que je suis prise entre la fascination et l’incompréhension. Comment un truc pareil est possible ? M’enfin, je dis ça mais j’oublie vite toute cette incompréhension et je passe à autre chose.

Elle regarde le livre et semble toujours aussi peu à l’aise à l’idée de ne serait-ce que me regarder. Du peu que je vois des pages, c’est écrit dans un dialecte que je ne comprends pas. Du coup, j’suis un peu bêtement là, devant elle, à attendre et me demander ce qu’elle fait. Car, après tout, je ne sais toujours pas ce qu’elle a en tête. Du coup, quitte à attendre sagement, j’en profite pour la reluquer un peu, histoire de m’occuper quoi. C’est vraiment une belle femme. Mignonne, bien foutue, séduisante et avec en supplément l’option futanari. Exactement le genre de femme que j’aime quoi. Mais je remarque aussi que son souffle semble étrange. Elle n’a vraiment pas l’air dans son assiette. J’espère quand même qu’elle va un minimum bien. Je suis sortie de mes petites réflexions internes quand elle semble avoir trouvé ce qu’elle cherchait.

Et je comprends finalement tout le but de ceci mais aussi que c’était totalement logique en fait ! Elle cherchait comment se débarrasser de ce machin. Soit attendre une petite heure, ce qui franchement, n’est pas grand-chose mais la seconde option me plaît étrangement beaucoup plus car elle rejoint ce que j’insinuais plus tôt : la soulager. Elle semble avoir honte d’avouer ce point, ce qui me fait sourire. Mais elle semble aussi aller de plus en plus mal, son souffle s’accélère et j’ai comme la sensation qu’elle devient peu à peu plus chaude. Ça doit être les effets de son tatouage, ceux que je connais en tout cas.

Cela dit, même si je me ferais bien une joie de jouer de soulager moi-même son superbe pénis qui me fait de l’œil depuis tout à l’heure, je mets un point d’honneur à m’assurer du consentement de mes partenaires. Si d’habitude, j’ai peu de doute sur la question, ce n’est pas vraiment le cas pour cette fille qui n’ose même pas me regarder. La seule chose dont je suis sûre, c’est qu’elle veut virer son souci dès maintenant et ne pas attendre une heure bêtement.

Finalement, nos regards se croisent mais décroisent tout aussi rapidement. Elle a l’air totalement crispée et ça, c’est pas bon signe. Si elle n’arrive pas à se détendre, j’ai bien peur que cela ait des répercussions sur son membre et sa capacité à être, pour reprendre ses mots, satisfait. Alors, si pour le moment, je ne touche pas la colonne de chair fièrement dressée devant moi, je passe ma main sous le menton de cette fille pour redresser son visage et déposer délicatement mes lèvres sur les siennes pour l’embrasser avec tendresse pendant quelques secondes. Puis, murmurant par réflexe, oubliant un peu qu’on ne peut pas être entendue sur l’instant, je la réconforte :

- Détends-toi Choupette… Tu n’as pas à avoir honte ou peur. Il n’y a que toi et moi ici et je suis là pour toi. Je lui souris, soutenant son regard. Tu veux t’en occuper toi-même ou… tu veux que je t’aide ?

Je préfère lui demander, je ne voudrais pas traumatiser cette fille qui a déjà l’air d’être à deux doigts de craquer. Aussi, une petite idée me vient en tête. J’abaisse une des bretelles de ma nuisette car, après tout, j’étais un peu dans ma chambre à la base, et lui dévoile l’un de mes seins dont j’avoue être plutôt fière.

- Si ça peut t’aider, je peux me dévêtir un peu, c’est plus simple de se soulager avec de la stimulation. Tu peux même me toucher si tu veux.

J’attends de voir sa ou ses possible(s) réaction(s) pour connaître le meilleur comportement à adopter avec cette pauvre brebis égarée.

Re: Little Butterfly, you look so delyscious [Feat. Le Lys]

Posté : 31 janv. 2025 01:08
par Le Lys
Sous le drap enchanté, l'air s’alourdissait, enfermant Nitocris dans une bulle moite où chaque respiration devenait un effort. Ses joues brûlaient, ses doigts tremblaient contre le tissu, et son cœur battait si fort qu’elle avait l’impression qu’il allait briser sa poitrine. Puis, Tsukiko abaissa une bretelle de sa nuisette. Nitocris écarquilla les yeux. Son regard se fixa aussitôt sur la courbe nue qui se dévoilait sous ses yeux. Ce sein offert, plein et ferme, sa peau si douce qu’elle en paraissait irréelle, et cette pointe rosée qui se durcissait légèrement sous l’air tiède du drap. C'était une vision enivrante, bien trop pour elle. Son corps réagit immédiatement.

"A-ah…"

Elle ne put retenir le petit gémissement étranglé qui lui échappa en sentant une pulsation brutale dans son bas-ventre. Le tatouage du Lys sous son nombril s’illumina d’une lueur diffuse, et aussitôt, une onde de chaleur intense déferla en elle. Son sexe masculin se raidit d’un coup, gonflé sous l’effet du choc, s’érigeant avec une rigidité presque douloureuse. En même temps, son intimité féminine s’humidifia davantage, la chaleur liquide s’accumulant entre ses cuisses, la faisant frissonner sous l’intensité de cette double sensation. Elle inspira difficilement, ses mains agrippant instinctivement le tissu du drap comme un dernier rempart contre la tentation. Elle connaissait ce phénomène. Elle savait ce qu’il fallait faire.

En tant que Papillon de Soie, une débutante du Lys, la maison close saphique, elle avait été formée aux caresses, aux jeux de séduction, à l’art de donner du plaisir. Elle avait appris comment toucher une femme, comment attiser son désir, comment moduler ses gestes pour offrir les meilleures sensations. Mais ici… Ici, c'était différent. Dans ses leçons, elle jouait un rôle. Elle imitait, elle répétait. Là, sous ce drap, c’était elle qui désirait, elle qui frémissait sous l’effet du contact, elle qui perdait pied.

"J-je… Je vais commencer par… par un contact léger…" bredouilla-t-elle à voix basse, comme si se l’entendre dire lui donnerait du courage.

Ses doigts s’approchèrent lentement, mais elle hésita un instant, ses yeux fixant le sein offert comme si elle n’était plus sûre d’avoir le droit d’y toucher.

"C-comme ça… normalement…"

Du bout des doigts, elle effleura la peau tendre. Une décharge la parcourut immédiatement. Son sexe durci palpita violemment sous l’effet du contact, et une nouvelle vague de moiteur glissa entre ses cuisses. Son souffle se coupa, et elle dut se mordre la lèvre pour contenir le frisson qui menaçait de la faire trembler tout entière.

"C’est… c’est chaud… et doux… " murmura-t-elle, les joues en feu.

Elle savait la suite. Elle devait la suivre. Elle devait poser la paume. Elle avala difficilement sa salive et obéit, déposant enfin sa main contre la courbe du sein. Un gémissement à peine audible lui échappa, et elle sentit ses cuisses trembler sous la tension qui envahissait son corps.

"A-après… il faut… il faut caresser doucement…"

Ses doigts commencèrent à bouger, glissant sur la peau avec une lenteur infinie. Elle traça timidement le contour du galbe, suivant la courbe naturelle du sein, son index effleurant la pointe durcie sans oser s’y attarder.

C’est bien ? Est-ce que c’est bien ?

Son autre main trembla sur sa propre cuisse, comme si elle hésitait à s’y accrocher pour ne pas perdre pied. La chaleur dans son ventre était insupportable, la pulsation de son sexe masculin presque douloureuse, et l’humidité entre ses jambes trahissait l’excitation brûlante qu’elle n’osait pas admettre.

"E-est-ce que ça fait… du bien ?" demanda-t-elle d’une voix fragile, incertaine.

Mais elle savait que ce n’était pas suffisant. Elle devait varier la pression. Elle savait quand le faire. Elle savait comment le faire. Elle se mordit la lèvre plus fort et resserra légèrement sa prise, testant la fermeté du sein sous sa paume. Mais aussitôt, elle paniqua et relâcha son emprise, secouant la tête, la voix affolée.

"A-ah ! D-désolée ! J-j’ai peut-être serré trop fort… ?"

Sa poitrine se soulevait rapidement, ses joues en feu. Son sexe durci continuait de palpiter, et l’humidité entre ses cuisses devenait insoutenable. Elle voulait bien faire. Elle voulait suivre ce qu’on lui avait appris. Mais rien ne se passait comme prévu. Son corps brûlait, frémissait, réclamait. Elle n’était plus une simple Papillon de Soie qui appliquait ses leçons. Elle était une femme en proie à une tentation trop forte pour être ignorée.

"J-je veux bien que tu… que tu m’aides…" souffla-t-elle enfin, terriblement honteuse.

Elle savait qu’elle venait de franchir une limite invisible. Et elle savait aussi qu’il n’y avait plus de retour en arrière.

Re: Little Butterfly, you look so delyscious [Feat. Le Lys]

Posté : 04 févr. 2025 17:23
par Tsukiko Seishi
Aider cette demoiselle n’est pas une mince affaire. Elle semble en permanence paniquée, comme si la moindre de ses actions allait avoir de grosses répercussions. J’essaie de l’aider à se détendre pendant qu’en bas… c’est bien plus tendu si vous voyez ce que je veux dire. Je décide donc de me dévoiler un peu à elle, me demandant si stimuler son esprit l’aiderait à se lâcher et… je crois bien que voir la beauté et fermeté de mon sein lui a fait pas mal d’effet. Son tatouage se mit à briller d’avantage, comme s’il réagissait à son excitation, ce qui doit forcément être le cas en réalité. Son sexe masculin n’avait de cesse d’être toujours plus raide et je commence sérieusement à me dire que ça doit être tout sauf agréable. Après tout, je peux moi aussi devenir futanari et je sais ce que ça fait de bander aussi férocement sans pouvoir se soulager.

Je peux sentir la chaleur de l’air sous ce drap augmenter toujours plus, un soupçon d’humidité s’installant peu à peu, rendant le tout un peu étouffant. Je me demande si on n’aurait vraiment pas mieux fait d’aller voir ailleurs m’enfin… On pourra toujours le faire plus tard au pire ! Je continue de lui sourire, toujours aussi douce, toujours dans la volonté de lui offrir du réconfort, quand elle m’annonce finalement qu’elle va me toucher. Mon sourire s’élargit, je lui en ai donné l’autorisation de le faire après tout, ce serait dommage de se priver.

Sa main approcha peu à peu du globe galbé de ma poitrine, hésitante, craintive, jusqu’à ce que ses doigts entre finalement en contact avec la douceur de ma peau. Je la laisse faire, silencieuse, lui laissant la possibilité de faire les choses et d’avancer à son propre rythme. Je peux sentir son désir grimper continuellement en flèche, tant dans son pénis que dans sa fleur inondée entre ses cuisses. Et je mentirais si je disais que ça ne me faisait pas un peu d’effet à moi aussi de la sentir si excitée. Habituellement, je lui aurais probablement déjà sauté dessus pour la dévorer mais je ne suis pas une prédatrice non plus, je sais me tenir !

Elle touche et expérimente. Pour un peu, je pourrais croire qu’elle est vierge. Peut-être l’est-elle ? Elle a l’air nouvelle dans ce bordel qu’est le Lys, je suis peut-être sa première femme, ce qui expliquerait son comportement. J’ai un frisson qui me parcourt quand elle effleure le téton durci de mon sein, étant un peu sensible moi aussi. Son adorable demande me fait fondre non pas de désir mais parce qu’elle est beaucoup trop cute.

- Je dirais… que c’est un bon début.

Elle m’a à peine touché, je ne vais pas non plus plonger pour si peu mais je sens sa volonté de vouloir bien faire derrière toute sa candeur. Elle m’empoigne soudainement un peu plus fort le sein, ce qui me surprend mais ne me déplaît pas du tout. Mais, toujours aussi peu sûre d’elle, elle s’arrête aussitôt et en vient même à s’excuser. Pauvre Bichette… Elle est vraiment perdue dans son émoi, comme si elle ne pouvait plus savoir ce qui était bon ou pas. Je m’apprête à la guider un peu plus et lui répondre quand, finalement, elle me demande de l’aider. M’autorise-t-elle à être plus… proactive par le biais de cette demande ? En tout cas, je hoche doucement de la tête et murmure :

- Bien… On va essayer de passer un peu à l’étape supérieur si tu le veux bien. Je peux sentir l’inconfort de ta situation d’ici. Je vais t’aider mais il ne faut pas hésiter à me dire si quelque chose te dérange, d’accord ?

Aussi douce qu’expérimentée, je me penche finalement lentement vers et sur elle, mon corps heurtant le sien, mon sein dénudé s’écrasant contre sa poitrine. Nos visages très proches l’un de l’autre, je l’embrasse sans me montrer particulièrement torride. Ce baiser est plus chaste, comme une petite entrée en matière. L’une de mes mains remonte sur son corps pendant ce contact entre nos lèvres, venant se saisir de l’un de ses seins, le caressant avant d’à mon tour resserrer ma prise dessus, le malaxant avec douceur pendant quelques secondes. Puis je romps le baiser, reprenant :

- Tu vois, ce n’est pas désagréable de prendre en main une poitrine. Alors tu n’avais pas à t’excuser.

Je ne sais pas vraiment comment veut-elle être guider en fin de compte. Souhaite-t-elle que je l’aide avec son propre corps ou que je l’aide sur son appréhension du mien ? Dois-je y aller lentement pour ne pas la brusquer ou me la jouer un peu plus brute de décoffrage ? Je trouve ce petit jeu de piste assez excitant ! Alors, cherchant la limite entre un cas ou l’autre, je décide de faire un peu des deux, me montrer plus directe tout en étant lente dans mon rythme. C’est pourquoi mes doigts viennent se déposer sur sa verge gonflée à bloc mais si j’aurais pu entamer immédiatement une forme de masturbation, je me contente pour l’instant de la caresser pendant quelques secondes, cherchant à voir ses réactions et à la laisser expérimenter les différentes sensations procurées. Mais j’ai quand même conscience de l’effet que cela doit lui faire alors, ma main empoigne finalement un peu plus son membre et le masturbe calmement, étant plus dans la tendresse avec elle.

Re: Little Butterfly, you look so delyscious [Feat. Le Lys]

Posté : 17 févr. 2025 02:13
par Le Lys
Sous le drap enchanté, l’air semblait vibrer d’une tension oppressante, s’alourdissant avec chaque souffle tremblant que Nitocris laissait échapper. La moiteur qui enveloppait son corps rendait le tissu presque collant contre sa peau brûlante, intensifiant cette sensation d’être prise au piège dans une fièvre dont elle ne pouvait se libérer. Elle avait l’impression que sa propre chair se révoltait contre elle, qu’elle était réduite à un état de vulnérabilité absolue, enfermée dans cette bulle d’intimité suffocante où chaque seconde lui paraissait plus insupportable que la précédente.

Tout en elle était tendu, crispé, pris dans un tourbillon de frissons incontrôlables. Ses muscles se contractaient par saccades, ses reins arqués dans une tension douloureuse, et sa respiration était saccadée, erratique, complètement déréglée sous l’assaut des sensations qui la traversaient. C’était trop. Trop intense. Trop profond. Trop nouveau. Elle n’avait jamais ressenti ça auparavant, cette chaleur brutale qui s’accumulait dans son ventre, s’étalant en ondes brûlantes jusqu’au bout de ses doigts, jusqu’au sommet de son crâne, pulsant avec une force qui la terrifiait autant qu’elle la captivait.

Son membre masculin, dur et vibrant sous l’excitation grandissante, était une étrangeté qu’elle n’avait jamais pleinement assumée, une présence incongrue qu’elle n’avait jamais su apprivoiser. Et pourtant, il était là, palpitant au rythme de son propre trouble, lourd, gonflé, torturé par une attente insupportable. Une lueur humide trahissait son état, une goutte de pré-sperme perlant à l’extrémité, traçant une fine ligne translucide le long de sa virilité tendue. Ce liquide chaud et visqueux lui arracha un frisson plus fort, une secousse incontrôlable qui la fit gémir d’un souffle étranglé, ses hanches frémissant malgré elle sous la caresse de l’air. Elle aurait voulu l’ignorer, faire abstraction de cette preuve physique de son désir, mais la sensation était trop réelle, trop tangible, et la chaleur qui pulsait dans son bas-ventre se resserra encore davantage, se nouant dans une attente douloureuse qui menaçait d’éclater à tout instant.

Elle ferma les yeux, ses longs cils frémissant sous l’effort de contenir ce trop-plein d’émotions contradictoires. Mais la brûlure ne faisait que s’intensifier. La main qui la touchait jouait d’elle avec une précision cruelle, explorant chaque frémissement de sa chair avec une lenteur calculée, cherchant à la mener toujours plus loin dans cette montée inexorable vers l’orgasme qu’elle n’osait pas affronter. Son souffle se coupa brusquement lorsqu’un contact plus appuyé effleura l’extrémité sensible de son sexe, envoyant une décharge violente à travers son ventre. Ses cuisses se crispèrent aussitôt, ses orteils se recroquevillant sous l’intensité du choc.

« N-Non… c’est… c’est trop… ! » Sa voix trembla, brisée par l’émotion, son corps luttant entre le besoin irrépressible d’y céder et la peur panique de ce que cela signifiait.

Mais c’était un mensonge. Elle le savait. Elle pouvait sentir la vague enfler en elle, grandir, prendre possession de son être entier, la rendant esclave d’une chaleur qui refusait de s’atténuer. Son membre pulsait plus violemment encore, répandant un filet supplémentaire de ce liquide glissant qui trahissait la profondeur de son excitation. La sensation de cette humidité s’étalant le long de sa peau sensible la fit tressaillir, son souffle se muant en un sanglot de plaisir refoulé. C’était insupportable. C’était délicieux.

Son ventre se contracta à nouveau, plus fort cette fois, et elle sut qu’elle n’était plus qu’à un battement de cœur de l’inévitable.

Ses doigts se crispèrent avec violence sur le tissu du drap, ses articulations blanchissant sous l’effort, comme si ce simple geste pouvait la retenir au bord du précipice. Son corps se cambra brusquement, une chaleur intense irradiait de son entrejambe, la sensation de ce liquide pré-éjaculatoire continuant de couler en un supplice lent et incessant, intensifiant cette tension insoutenable qui la consumait de l’intérieur. Elle n’avait plus aucun contrôle sur elle-même. Son esprit était réduit en miettes, ses pensées effacées par la montée inexorable du plaisir.

« Je… je vais… a-ah… je… ! »

Sa voix se brisa sur le dernier mot, son souffle se suspendant dans l’attente de cette délivrance qui la hantait, son corps entier vibrant sur le fil du rasoir. Encore un rien, une seconde de plus, une caresse supplémentaire, et elle allait s’effondrer.

Mais pas encore.

Pas encore.

Elle était suspendue à cette limite intolérable, prise au piège dans un état d’excitation qui la maintenait dans cette tension insoutenable, à deux doigts de basculer. Et pourtant, elle restait là, terrifiée et fascinée par la sensation, incapable de s’abandonner complètement, incapable de reculer. Un souffle brûlant s’échappa de ses lèvres tremblantes alors qu’elle luttait encore contre ce point de non-retour, ses sens exacerbés par chaque seconde qui s’écoulait.

Elle n’avait jamais été aussi proche.

Re: Little Butterfly, you look so delyscious [Feat. Le Lys]

Posté : 19 févr. 2025 10:41
par Tsukiko Seishi
Ma main sur son membre que j'ai fini par empoigner, je la regarde attentivement, analysant, cherchant tant à la guider vers la libération dont elle a besoin qu'à me guider moi-même. La sexualité n'est pas qu'une simple histoire de baise. Elle peut l'être, clairement, et j'ai même bien plus rencontré d'occasion où elle l'était, mais elle peut aussi être plus douce, plus tendre. Chacun ne ressent et vit pas la sexualité de la même manière. Et cette fille, je cherche justement à comprendre comme elle vit la sienne, ce qui la fait vibrer.

Techniquement, pour le moment, elle semble plus au bout de sa vie qu'apprécier réellement la chose. Je la sens paniquée, perdue et dans l'incapacité totale de se détendre. Habituellement, ce serait à ce moment-là que je pourrais faire une vanne sur le fait qu'elle ne peut pas se détendre en étant aussi tendue en bas mais... il peut m'arriver d'être sérieuse. Pourtant, si elle semble ne pas totalement apprécier la situation, je peux sentir que son pénis apprécie mes intentions. Du pré-sperme perle déjà sur son gland et coule le long de sa verge, se retrouvant sur ma main. En ça, je peux sentir la dualité qui l'habite, ce qui me force à la prendre avec des pincettes. Si elle n'est pas des plus expressives, son corps est bien plus bavard lui. Pourtant, elle tente de me parler mais... sans succès. La pauvre est comme tétanisée.

Il me vient alors à l'esprit de tenter une approche encore plus douce pour la demoiselle. Il existe une catégorie de personnes qui ont besoin que leur cœur s'emballe pour se laisser aller et coucher. Peut-être en fait-elle partie ? Peut-être n'arrive-t-elle pas à se laisser aller car je n'ai pas trouvé la chose qui l'enclenche ? C'est une piste à explorer.

Alors, je me penche sur elle, ma poitrine s'écrasant contre la sienne. Je peux en sentir la chaleur qui s'en dégage. J'ai l'air d'un glaçon à côté alors que je ne suis pas la dernière pour jouer les chaudières. Et, en un instant, mes lèvres se déposent sur les siennes, lui adressant un tendre baiser. Rien de langoureux ou de sauvage. Un baiser plein de douceur comme celui d'une amante amourachée. Je m'appuie un peu plus sur elle, approfondissant le contact de nos lèvres pendant que ma main reste sur son sexe, ne le masturbant plus mais le caressant avec mon pouce pour conserver une forme de stimulation.

Je ne sais pas si ça l'aidera vraiment mais ça se tente. Je prolonge le baiser, le faisant durer dans le temps quand je prends plus conscience de l'inconfort de notre situation. Mon souffle est devenu un peu plus court, l'excitation montant d'un cran de mon côté et je remarque que l'air se raréfie sous cette couverture. La chaleur et la moiteur environnantes crée de plus en plus une véritable oppression où l'air est chaud et lourd. L'avait-elle déjà remarqué depuis quelques temps vu son état ? Je suppose que ça ne doit pas l'aider non plus. Peut-être que si...

- Il fait chaud là-dessous, tu ne trouves pas ? Peut-être qu'on serait plus à l'aise ailleurs... ? En privé... ?

Et si c'était la foule environnante le souci... ? Décidément, cette demoiselle est une vraie énigme. Mes sens de déduction sont en ébullition.

Re: Little Butterfly, you look so delyscious [Feat. Le Lys]

Posté : 16 mars 2025 01:14
par Le Lys
Sous le drap enchanté, l’air vibrait d’une tension suffocante, saturé d’une chaleur moite qui collait à la peau de Nitocris, amplifiant chaque frisson qui parcourait son corps tremblant. Ses joues brûlaient, rongées par un mélange dévastateur de honte et de désir brut, ses doigts crispés contre le tissu avec une intensité presque désespérée, tandis que son cœur battait à tout rompre, prêt à jaillir de sa poitrine sous la pression de ses émotions. Le baiser tendre de Tsukiko, empreint d’une douceur presque amoureuse, avait allumé une étincelle réconfortante au fond de son être, un contraste saisissant avec la tempête de sensations qui la submergeait – un désir ardent, une honte accablante, et une peur profonde mêlée d’une fascination qu’elle osait à peine nommer. Ce contact, si délicat, l’avait brièvement apaisée, mais il avait aussi attisé l’incendie qui consumait son bas-ventre, la laissant frémissante et vulnérable.

Son membre masculin, dur et vibrant sous une excitation presque insupportable, était une présence étrangère qu’elle n’avait jamais su maîtriser, palpitant à chaque battement de son cœur, lourd et gonflé, torturé par une attente qu’elle ne pouvait plus ignorer. Une goutte de pré-sperme perla à l’extrémité de son gland, glissant lentement le long de sa verge, chaude et collante, lui arrachant un frisson violent et un gémissement étouffé. Ses cuisses, trempées et brûlantes, trahissaient l’excitation de son intimité féminine, chaque pulsation accentuant cette dualité qui la déchirait, la rendant captive de ses propres désirs. Elle ferma les yeux un instant, ses longs cils frémissant sous l’effort de contenir ses émotions, mais la chaleur oppressante continuait de croître, menaçant de l’engloutir.

Quand Tsukiko s’écarta légèrement, Nitocris rouvrit les yeux, ses pupilles dilatées par un mélange de panique et de soulagement, croisant brièvement son regard avant de détourner la tête, ses joues s’empourprant davantage. La chaleur étouffante sous le drap, l’air saturé d’humidité, rendaient la situation intenable, et une résignation fragile s’installa en elle. « O-oui… » murmura-t-elle, sa voix tremblante mais déterminée, répondant à une suggestion implicite. « Il fait trop chaud… Allons… ailleurs… » Elle baissa les yeux, ses doigts serrant le drap, et ajouta dans un souffle : « Mais… restons invisibles… »

Avec une inspiration tremblante, elle activa le tatouage du Lys, niché au creux de son bas-ventre, émettant une douce lueur rose sous sa pensée dirigée. Ce tatouage, fusion de magie et de technologie, était son lien avec la maison close, et elle savait qu’il pouvait les transporter. Une interface holographique apparut brièvement, et elle sélectionna mentalement une destination privée, murmurant : « Un endroit sûr… » Une sensation de vertige les enveloppa, et un tourbillon de lumière rose les transporta.

Quand ses pieds touchèrent à nouveau le sol, Nitocris rouvrit les yeux, le souffle coupé par un mélange de choc et d’effroi. Elles se trouvaient en plein cœur d’une orgie lesbienne débridée au sein du Lys, une scène de débauche totale où femmes et futanaris s’entremêlaient dans un ballet sensuel. Des corps nus ou à peine voilés se pressaient les uns contre les autres, leurs peaux luisantes de sueur et d’huile parfumée, leurs gémissements et rires lascifs emplissant l’espace. Une femme aux courbes voluptueuses était allongée sur des coussins de velours, ses jambes écartées tandis qu’une futanari aux attributs impressionnants la pénétrait lentement, ses mains malaxant ses seins généreux. À côté, une autre femme gémissait sous les assauts d’une langue habile, pendant qu’une futanari se masturbait à leurs côtés, son membre érigé luisant de pré-sperme, ses doigts glissant sur sa propre intimité féminine. L’air était saturé d’une odeur enivrante de musc, de jasmin et de sueur, tandis que des miroirs géants reflétaient chaque mouvement, amplifiant l’atmosphère de luxure déchaînée.

Nitocris sentit son cœur s’emballer, un mélange d’effroi et d’excitation la traversant comme une décharge électrique. Heureusement, le drap enchanté les enveloppait toujours, les rendant invisibles aux regards avides de la foule. Elle murmura, la voix tremblante : « O-oh… C’est… » Ses yeux s’écarquillèrent, captant des scènes qui la faisaient rougir jusqu’aux oreilles, une futanari cambrée sous des doigts experts, son membre pulsant tandis qu’une femme léchait son intimité féminine, une autre femme gémissant alors qu’une futanari la prenait par derrière, leurs corps claquant dans un rythme effréné. Son propre membre palpita plus fort, une nouvelle goutte de pré-sperme glissant le long de sa verge, tandis que ses cuisses s’humidifiaient davantage, l’excitation montant malgré elle.

Elle se tourna vers Tsukiko, ses joues en feu, et murmura : « Il faut… trouver un endroit… plus calme… » Agrippant le drap, elle guida Tsukiko à travers la foule, leurs mouvements invisibles leur permettant de se faufiler entre les corps enchevêtrés, frôlant une futanari qui gémissait sous une caresse, évitant une femme qui jouissait bruyamment. Après quelques instants de navigation prudente, elles atteignirent une alcôve isolée, dissimulée derrière un drap épais brodé de motifs égyptiens – hiéroglyphes dorés et silhouettes de déesses aux courbes sensuelles. Le drap enchanté qu’elles portaient s’effaça doucement, intégré à cet espace, révélant une chambre luxueuse et érotique, imprégnée d’un style égyptien raffiné. Les murs étaient ornés de fresques représentant des scènes de plaisir divin, des corps enlacés sous un ciel étoilé peint, tandis que des colonnes de marbre noir soutenaient un plafond voûté incrusté de lapis-lazuli. Au centre trônait un lit immense, drapé de soie écarlate et entouré de coussins brodés de fils d’or, des chaînes discrètes ornées de pierres précieuses pendant élégamment des montants. Des lampes à huile diffusaient une lumière chaude, projetant des ombres dansantes, et une odeur d’encens à la myrrhe flottait dans l’air.

Nitocris sentit son cœur s’apaiser légèrement, bien que l’excitation continuât de la consumer. Elle s’avança vers le lit, ses joues rougeoyant davantage, et s’y installa timidement, ses cuisses serrées sous l’intensité de son désir. Elle tourna la tête vers Tsukiko, sa voix tremblante mais empreinte d’une détermination fragile : « Le tatouage du Lys… Il nous a menées ici… » Elle baissa les yeux un instant, ses doigts jouant nerveusement avec un coin de la soie écarlate, puis releva le regard, croisant celui de Tsukiko avec une intensité nouvelle. « S’il te plaît… Continue… Aide-moi… » murmura-t-elle, avant d’ajouter dans un souffle : « Mais… sois douce… »

Son corps frémissait, suspendu entre l’émerveillement de cette alcôve érotique et l’appel irrésistible de la délivrance qu’elle désirait, tandis qu’elle s’abandonnait peu à peu à Tsukiko, prête à explorer cette nouvelle étape dans cet écrin de luxure égyptienne, loin de l’orgie déchaînée qu’elles avaient laissée derrière elles.


Re: Little Butterfly, you look so delyscious [Feat. Le Lys]

Posté : 17 mars 2025 18:44
par Tsukiko Seishi
Finalement, elle désire que nous partons de là pour trouver ce qu’elle nomme un "endroit sûr". Étonnement, ce n’est que lorsqu’on se relève que je prends conscience que l’ambiance n’a pas perdu de temps à drastiquement changer depuis notre rencontre. Tout n’est devenu qu’orgie et autres rapports sexuels autour de nous. Une myriade de femmes se sont laissées aller à la luxure de l’endroit, faisant l’amour, copulant, baisant avec un désir des plus intenses. Il y a de tout, de la femme et de la futunari, bien entendu, mais de toutes les ethnies. Le spectacle est… diablement excitant. Bon Dieu ce que j’aurais donné pour les rejoindre en temps normal. Je me vois déjà me faire prendre par les deux extrémités ou par les deux trous tout en suçant ou léchant avec ma bouche… Ah… Cet endroit a toutes les caractéristiques d’un paradis. Et pourtant, je me faufile dans tout cela, accompagnée de cette demoiselle à mes côtés, toujours cachées sous le drap magique.

Je ne perds pas pour autant une miette du spectacle qui s’offre à moi et je sens ma propre mouille couler le long de ma cuisse. J’ai désespérément envie de baiser… J’ai un véritable porno qui se déroule sous mes yeux, c’est difficile de rester calme face à cela. La voix de la douce timide se fait de nouveau entendre, me proposant de trouver un endroit plus calme. Je glousse de rire, posant mes yeux sur elle et plus particulièrement sur son état au-dessous de la ceinture. Son pré-sperme coule sur sa queue et c’est d’autant plus liquide en bas. Clairement, elle joue les prudes mais tout cela la met en émoi autant que moi.

Il est désormais vraiment temps de filer d’ici en tout cas car toute cette stimulation, même pour moi, c’est clairement trop. Il nous faut quand même quelques minutes pour atteindre un endroit plus isolé, quelques cris de ce grand groupe de luxure se faisant encore entendre un peu. Cet endroit ressemble un peu plus à une chambre sans en être vraiment une et, soudainement, le drap disparaît. Je pousse un long soupir d’aise, sentant toute l’oppression et la moiteur lourde du tissu s’envoler soudainement. J’ai même presque l’impression qu’il fait finalement frais ici tant j’avais chaud là dessous.

Je prends un peu le temps de contempler la pièce. C’est… tout bonnement magnifique. La décoration totalement typée égyptienne est un véritable régal pour les yeux. Je suis tellement émerveillée et même un peu envoûtée par l’endroit que j’en oublierais presque pourquoi nous sommes ici. Un certain éclat peut se lire dans mon regard. Je suis tout bonnement subjuguée. Cet établissement a de superbes choses à offrir et cela va bien au-delà de ses femmes, même si la futanari timide qui m’accompagne n’en est pas moins craquante. Je vais vraiment beaucoup aimer le Lys en tout cas.

Et en parlant de cette futanari, j’étais tellement émerveillée par les lieux que je l’avais oublié. C’est sa voix qui me ramène à la réalité. Si sa voix est toujours aussi hésitante et timide, quelque chose semble avoir changé dans son regard. Se sentirait-elle prête maintenant que nous sommes seules ? À moins que toute cette excitation à cause de l’orgie n’y soit aussi pour quelque chose, ce qui serait tout bonnement compréhensible. Je souris, m’approchant d’elle dans un déhanché se voulant plutôt sensuel, visant à attiser d’autant plus son désir. Puis, je lui fais face, m’abaissant lentement en me penchant pour déposer un doux baiser sur ses lèvres pendant quelques secondes, ma main attrapant son membre pour le caresser avec beaucoup de douceur.

- Je vais bien m’occuper de toi Choupette…

Puis, je m’abaisse, finissant à genoux sur le sol froid de la pièce, contrastant alors avec la chaleur intense de mon corps. Je masse d’abord ses testicules à l’aide d’une main, là où ma langue vient glisser le long de son soldat au garde à vous, remontant de la base jusqu’à son gland, mon regard ancré dans le sien, aguicheur et passionné. Je continue ainsi pendant quelques allers et retours, sentant son membre apprécier l’attention. Puis, je la masturbe un peu, toujours en douceur, ajoutant :

- Je vais te faire découvrir la douce chaleur enivrante de la bouche d’une femme pleine de désir…

Puis, m’exécutant, je fais délicatement glisser son pénis entre mes lèvres, l’insérant lentement dans ma bouche pour qu’elle puisse en sentir les différentes sensations et les appréhender. Je l’enfonce autant que possible, le gobant alors, lui offrant une gorge profonde et restant ainsi quelques secondes, salivant contre son beau membre. Puis, quand je pense lui avoir laissé assez de temps pour tout assimiler et appréhender la suite, je débute une fellation, m’efforçant d’être lente, de lui laisser tant le temps que le plaisir de ces nouvelles découvertes pour son corps, la suçant avec une certaine sensualité pendant que ma main continue de jouer avec ses bourses. Je pourrais l’amener plus bas et aller chercher ses lèvres intimes mais je ne veux pas trop la brusquer.

Re: Little Butterfly, you look so delyscious [Feat. Le Lys]

Posté : 07 avr. 2025 17:23
par Le Lys
Nitocris, entièrement nue, sentit une chaleur humide et brûlante engloutir son membre, la bouche de la femme l’enveloppant dans une caresse si intime qu’un frisson violent la traversa, de ses oreilles de lapin bleues jusqu’à ses orteils recroquevillés. Ses joues, déjà cramoisies, semblaient sur le point de s’enflammer, et ses grands yeux violets s’écarquillèrent, dilatés par un mélange de choc et de plaisir brut, tandis qu’elle baissait le regard, incapable de supporter l’intensité de cette vision. Ses doigts, tremblants et moites, se crispèrent sur la soie écarlate du lit, le tissu glissant sous ses paumes comme une caresse trop douce pour apaiser la tempête qui faisait rage en elle. Un gémissement rauque, presque animal, s’échappa de ses lèvres entrouvertes, sa langue frôlant l’intérieur de sa bouche sèche alors que son cœur battait si fort qu’elle pouvait sentir chaque pulsation résonner dans sa poitrine, dans ses tempes, dans son bas-ventre.

La sensation de cette bouche autour de son sexe était indescriptible, un mélange de chaleur moite et de pression délicate qui faisait vibrer chaque terminaison nerveuse de son membre. Sa verge, déjà gonflée à l’extrême, palpitait avec une intensité presque douloureuse, la peau tendue et sensible réagissant à chaque mouvement, à chaque souffle chaud qui l’effleurait. Une goutte épaisse de pré-sperme s’échappa de son gland, glissant lentement le long de sa longueur, chaude et visqueuse, se mêlant à la salive qui l’enrobait, accentuant cette moiteur qui la rendait si vulnérable, si exposée. Elle sentit une pulsation brutale dans son bas-ventre, une chaleur liquide qui s’étendait en vagues brûlantes, irradiant jusqu’à ses cuisses tremblantes, jusqu’à ses reins qui se cambraient malgré elle, son corps s’arquant dans une tentative désespérée de s’offrir davantage à cette caresse.

« A-ah… c’est… c’est trop… » gémit-elle, sa voix tremblante et rauque, brisée par l’intensité de ce qu’elle ressentait, ses lèvres frémissant alors qu’elle luttait pour articuler ses mots. Son intimité féminine, déjà trempée, s’humidifia davantage, une chaleur gluante s’accumulant entre ses cuisses, glissant le long de ses lèvres intimes pour couler sur sa peau hâlée, laissant une traînée luisante qui gouttait sur la soie écarlate du lit, trahissant l’ampleur de son excitation. Cette dualité, ce membre dur et érigé contrastant avec la moiteur brûlante de sa vulve, la déchirait de l’intérieur, la rendant esclave d’un désir qu’elle n’avait jamais osé affronter. Ses oreilles de lapin tressaillirent violemment, ses longs cheveux violets collant à ses épaules moites, effleurant ses seins nus, ses tétons durcis et érigés, d’un brun rosé, frémissant sous l’air tiède de la pièce, ajoutant une nouvelle couche de sensation à son tourment.

Le tatouage du Lys, niché juste au-dessus de son pubis, s’illumina d’une lueur éclatante, pulsant au rythme de son excitation, comme s’il se nourrissait de son trouble, de cette chaleur qui la consumait. Une onde de magie érotique déferla en elle, partant de ce point précis pour se répandre dans tout son corps, accentuant la tension dans son ventre, faisant pulser son clitoris avec une intensité presque insupportable, ses lèvres intimes s’écartant légèrement sous l’effet de l’excitation, exposant davantage sa chair rose et luisante. « O-oh… je… je vais… » bredouilla-t-elle, sa voix se perdant dans un gémissement plus aigu, presque un sanglot, ses joues s’empourprant davantage alors qu’elle réalisait à quel point elle était à la merci de son propre corps, à quel point elle s’abandonnait à cette sensation qu’elle avait toujours redoutée.

Ses doigts relâchèrent la soie pour se poser sur ses propres cuisses nues, ses ongles s’enfonçant légèrement dans sa peau hâlée, laissant de petites marques rouges alors qu’elle cherchait un ancrage, un moyen de se raccrocher à une réalité qui lui échappait. Mais la chaleur de cette bouche, la douceur de cette caresse, la pression lente et rythmée, tout cela la faisait basculer un peu plus dans un abîme de plaisir qu’elle n’avait jamais osé explorer. Elle ferma les yeux, ses longs cils frémissant sous l’effort de contenir les larmes d’émotion qui menaçaient de couler, un mélange de honte, de peur et d’un désir brut qui la consumait de l’intérieur. Son souffle était saccadé, entrecoupé de petits gémissements qu’elle ne pouvait réprimer, chaque inspiration faisant vibrer sa poitrine nue, ses seins généreux se soulevant à un rythme erratique, ses tétons durcis frémissant à chaque mouvement, envoyant des décharges de plaisir à travers son corps.

« C’est… c’est si chaud… si… humide… » murmura-t-elle, sa voix tremblante, presque suppliante, ses cuisses s’écartant davantage dans un mouvement involontaire, exposant encore plus son intimité trempée, ses lèvres intimes luisantes de cyprine, palpitant au rythme de son excitation, une goutte de sa mouille glissant lentement le long de sa cuisse pour rejoindre la soie écarlate. Son membre pulsait plus fort, chaque mouvement de cette bouche envoyant des décharges de plaisir à travers son corps, et elle sentit une pression monter en elle, une tension insupportable qui la faisait trembler de la tête aux pieds. Une nouvelle goutte de pré-sperme s’échappa, plus abondante cette fois, coulant le long de sa verge pour se mêler à la salive, accentuant cette sensation de moiteur qui la rendait folle. Ses testicules, lourds et tendus, se contractaient légèrement, un signe qu’elle était au bord de l’explosion, et elle sentit une chaleur intense irradier de son bas-ventre, une vague de plaisir qui menaçait de l’engloutir tout entière.

Elle rouvrit les yeux, ses pupilles dilatées par l’excitation, et baissa timidement le regard, ses joues en feu alors qu’elle observait cette bouche glisser le long de son membre, la vision de ses lèvres humides et brillantes l’enveloppant dans une caresse si crue, si intime, qu’un frisson violent la traversa. Un gémissement plus fort lui échappa, un son aigu et désespéré, presque un sanglot, alors qu’elle sentait cette pression atteindre un point critique. « Je… je sens… ça monte… » souffla-t-elle, sa voix brisée par l’émotion, ses doigts se crispant à nouveau sur ses cuisses nues, ses ongles s’enfonçant plus profondément dans sa peau alors qu’elle luttait contre cette vague qui menaçait de la submerger.

Son corps entier vibrait, suspendu à cette limite intolérable, et elle savait qu’elle ne pourrait pas tenir beaucoup plus longtemps. La chaleur, la douceur, l’intimité de cet instant, tout cela la consumait, la transformant en une créature de désir pur, incapable de résister à ce qui l’attendait. Elle était à deux doigts de basculer, et cette pensée, à la fois terrifiante et enivrante, la laissa pantelante, prête à s’abandonner complètement à cette délivrance qu’elle avait si longtemps redoutée, son membre palpitant, son intimité trempée, son corps nu frémissant dans l’attente de l’inévitable.