- Leon Redgrave
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Le soleil déclinait lentement sur le royaume de Lusteria, baignant ses plaines et ses montagnes d’une lumière dorée. Derrière cette apparente splendeur, le royaume dissimulait des blessures profondes. Les récoltes avaient été maigres ces dernières années, frappées par une série d’intempéries imprévisibles et de sécheresses inattendues. Les mines, autrefois florissantes, s'étaient épuisées, privant la couronne de l'une de ses principales sources de revenus. Le commerce, étouffé par des taxes élevées et des tensions avec les royaumes voisins, stagnait dangereusement.
La situation économique de Lusteria était critique, et la population souffrait. Les coffres de la couronne étaient presque vides, et la souveraine, la reine Ruby, n'avait eu d'autre choix que de se tourner vers le puissant royaume de Lucaria. Ce dernier, prospère grâce à ses vastes ressources naturelles et à son habile gestion commerciale, représentait l’un des seuls espoirs de survie pour Lusteria.
C’est dans ce contexte que fut planifié un traité entre les deux nations. Lusteria promettait des concessions considérables, notamment un accès exclusif à ses rares mais précieuses soieries, ainsi que des droits commerciaux avantageux pour les marchands de Lucaria. En échange, Lucaria fournirait à Lusteria des fonds considérables pour redresser son économie et un soutien logistique pour moderniser ses infrastructures.
Toutefois, le roi de Lucaria, pragmatique et méfiant, n’avait pas accepté ce traité à la légère. Avant de signer, il avait dépêché son fils unique, le prince Enéon, pour évaluer la situation de Lusteria et juger de la sincérité et de la compétence de la reine Ruby. Ce dernier était connu pour son esprit acéré et son sens aigu de l'observation.
Enéon était arrivé à Lusteria au petit matin, accompagné d’une modeste délégation de chevaliers et de conseillers. Sa tenue, bien que sobre, témoignait de la richesse de son royaume : une cape de velours pourpre, un plastron finement ciselé, et un anneau en or incrusté d’un saphir, emblème de la famille royale de Lucaria.
Alors que son escorte traversait les rues de la capitale, Enéon ne pouvait s'empêcher de remarquer les regards curieux – et parfois désespérés – des habitants. La pauvreté se lisait dans chaque ruelle, chaque échoppe à moitié vide.
Dans la grande salle du palais, il fut accueilli avec une cérémonie modeste mais sincère. La reine Ruby, vêtue d’une robe de soie noire, se tenait droite sur son trône, un sourire chaleureux mais calculé sur les lèvres.
Prenant une légère inspiration, Enéon s’avança, son regard bleu acier fixé sur la souveraine. Il s’inclina légèrement en signe de respect avant de prendre la parole, sa voix ferme mais courtoise :
« Votre Majesté, je vous remercie pour cet accueil. Mon père, le roi de Lucaria, m’a envoyé en ces terres pour évaluer les termes du traité proposé et la situation actuelle de votre royaume. Je suis ici pour vous écouter, observer, et rendre compte de la situation économique de votre royaume. Je vous assure que mon jugement sera impartial et juste. »
Dans la foulée, Enéon ne pouvait s’empêcher de remarquer a quel point la reine était magnifique : on lui avait certes chanté les louanges de sa beauté mais la voir en personne était toute autre chose. Il fallait dire que Ruby avait une beauté a faire jalouser les dieux eux-mêmes, sa poitrine massive tenant à peine dans sa robe de soie et ses larges hanches traçant une parfaite courbure de sa silhouette voluptueuse et appétissante à souhait. Meme le prince Enéon, réputé pour son sang-froid, avait du mal à se contenir en voyant un si joli morceau…
La situation économique de Lusteria était critique, et la population souffrait. Les coffres de la couronne étaient presque vides, et la souveraine, la reine Ruby, n'avait eu d'autre choix que de se tourner vers le puissant royaume de Lucaria. Ce dernier, prospère grâce à ses vastes ressources naturelles et à son habile gestion commerciale, représentait l’un des seuls espoirs de survie pour Lusteria.
C’est dans ce contexte que fut planifié un traité entre les deux nations. Lusteria promettait des concessions considérables, notamment un accès exclusif à ses rares mais précieuses soieries, ainsi que des droits commerciaux avantageux pour les marchands de Lucaria. En échange, Lucaria fournirait à Lusteria des fonds considérables pour redresser son économie et un soutien logistique pour moderniser ses infrastructures.
Toutefois, le roi de Lucaria, pragmatique et méfiant, n’avait pas accepté ce traité à la légère. Avant de signer, il avait dépêché son fils unique, le prince Enéon, pour évaluer la situation de Lusteria et juger de la sincérité et de la compétence de la reine Ruby. Ce dernier était connu pour son esprit acéré et son sens aigu de l'observation.
Enéon était arrivé à Lusteria au petit matin, accompagné d’une modeste délégation de chevaliers et de conseillers. Sa tenue, bien que sobre, témoignait de la richesse de son royaume : une cape de velours pourpre, un plastron finement ciselé, et un anneau en or incrusté d’un saphir, emblème de la famille royale de Lucaria.
Alors que son escorte traversait les rues de la capitale, Enéon ne pouvait s'empêcher de remarquer les regards curieux – et parfois désespérés – des habitants. La pauvreté se lisait dans chaque ruelle, chaque échoppe à moitié vide.
Dans la grande salle du palais, il fut accueilli avec une cérémonie modeste mais sincère. La reine Ruby, vêtue d’une robe de soie noire, se tenait droite sur son trône, un sourire chaleureux mais calculé sur les lèvres.
Prenant une légère inspiration, Enéon s’avança, son regard bleu acier fixé sur la souveraine. Il s’inclina légèrement en signe de respect avant de prendre la parole, sa voix ferme mais courtoise :
« Votre Majesté, je vous remercie pour cet accueil. Mon père, le roi de Lucaria, m’a envoyé en ces terres pour évaluer les termes du traité proposé et la situation actuelle de votre royaume. Je suis ici pour vous écouter, observer, et rendre compte de la situation économique de votre royaume. Je vous assure que mon jugement sera impartial et juste. »
Dans la foulée, Enéon ne pouvait s’empêcher de remarquer a quel point la reine était magnifique : on lui avait certes chanté les louanges de sa beauté mais la voir en personne était toute autre chose. Il fallait dire que Ruby avait une beauté a faire jalouser les dieux eux-mêmes, sa poitrine massive tenant à peine dans sa robe de soie et ses larges hanches traçant une parfaite courbure de sa silhouette voluptueuse et appétissante à souhait. Meme le prince Enéon, réputé pour son sang-froid, avait du mal à se contenir en voyant un si joli morceau…
- Queen Ruby & Slave Bunny
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Il est vrai que la situation du royaume ne bat pas son plat et la belle majesté ne comprenait pas. Qu’est-ce qui avait pu mettre cette situation il y avait sûrement dû avoir des fraudes dans les troques et dans les registres de marchandises qui sont en une économie qui a toujours été en plein effort et abondante. Cela relève d’un complot. Il n’y avait que cette solution pour voir une telle dégringolade sur ce royaume paradisiaque qui n’a jamais fait face à une crise comme celle-là. Bien évidemment, il fallait trouver de nouveaux alliés pour remettre le pays à flot le royaume Voisin semble disposé à accéder à cette demande mais non sans garantie, ce qui était tout à fait normal
Ruby était en train de faire les 100 pas en attendant la délégation étrangère, curieuse de savoir à qui est-ce qu’elle allait faire, elle savait déjà que le roi ne se déplacerai pas, et qu’il enverrait un émissaire autre que lui comme son fils, ce qui était une bonne chose pour elle, mais elle sait très bien que les coutumes, mais la religion de son royaume a toujours fait l’unanimité auprès des étrangers et elle compte bien mentionner la cohésion de son peuple et de soulever une aide précieuse pour démasquer le complot qui s’était joué d’elle. Les gardes viennent annoncées l’arrivée de la délégation habillée de sa robe noire qui ne cache pratiquement rien. Elle attend le prince de Pierre ferme sur son trône d’assise les jambes croisées qui révèle légèrement son intimité, sans aucune pudeur, la tête, appuyer sur l’une de ses mains dans le bras était accoudé sur le trône avant de se lever pour s’avancer vers le prince
bienvenue chez prince, c’est avec grande hâte que je vous attendais et je m’excuse d’avance pour notre coutume. J’espère que vous ne le percevez pas comme quelque chose de déplacé
En effet, son royaume était basé sur l’attraction charnel, c’était une véritable religion, la reine pour le saluer et s’incliner, ce penche devant lui, avant de venir passer sa langue sur l’entrejambe de bazou, de manière furtive de se redresser et de lui montrer une table sur le côté elle était toute simple, mais la gravure était magnifique, il n’y avait pas de pierre précieuse, ni quoi que ce soit de la simplicité
Je vous en prie, allons prendre place pour que je puisse vous signifier la problématique de mon royaume de mon conseiller économique va arriver avec les différents registres, que vous puissiez avoir un œil transparent sur la situation
Une vie décalée, une des chaises, tout en se Combrand légèrement en mettant en avant son postérieur, magnifique, alors que sa poitrine était sur le point de déborder de son décolleté, et elle le regarde lèvres, pulpeuses entrouvertes
Ruby était en train de faire les 100 pas en attendant la délégation étrangère, curieuse de savoir à qui est-ce qu’elle allait faire, elle savait déjà que le roi ne se déplacerai pas, et qu’il enverrait un émissaire autre que lui comme son fils, ce qui était une bonne chose pour elle, mais elle sait très bien que les coutumes, mais la religion de son royaume a toujours fait l’unanimité auprès des étrangers et elle compte bien mentionner la cohésion de son peuple et de soulever une aide précieuse pour démasquer le complot qui s’était joué d’elle. Les gardes viennent annoncées l’arrivée de la délégation habillée de sa robe noire qui ne cache pratiquement rien. Elle attend le prince de Pierre ferme sur son trône d’assise les jambes croisées qui révèle légèrement son intimité, sans aucune pudeur, la tête, appuyer sur l’une de ses mains dans le bras était accoudé sur le trône avant de se lever pour s’avancer vers le prince
bienvenue chez prince, c’est avec grande hâte que je vous attendais et je m’excuse d’avance pour notre coutume. J’espère que vous ne le percevez pas comme quelque chose de déplacé
En effet, son royaume était basé sur l’attraction charnel, c’était une véritable religion, la reine pour le saluer et s’incliner, ce penche devant lui, avant de venir passer sa langue sur l’entrejambe de bazou, de manière furtive de se redresser et de lui montrer une table sur le côté elle était toute simple, mais la gravure était magnifique, il n’y avait pas de pierre précieuse, ni quoi que ce soit de la simplicité
Je vous en prie, allons prendre place pour que je puisse vous signifier la problématique de mon royaume de mon conseiller économique va arriver avec les différents registres, que vous puissiez avoir un œil transparent sur la situation
Une vie décalée, une des chaises, tout en se Combrand légèrement en mettant en avant son postérieur, magnifique, alors que sa poitrine était sur le point de déborder de son décolleté, et elle le regarde lèvres, pulpeuses entrouvertes

- Leon Redgrave
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Durant son voyage, énéon avait entendu parler des coutumes a lusteria, notamment en ce qui concernait la sexualité. Apparemment, lusteria était un royaume ou la société était décomplexé par le sexe, ou les plaisirs charnels étaient non seulement vus comme quelque chose de normal, mais aussi grandement encouragés par la couronne, en particulier la reine Ruby, qui, d’après, les rumeurs, était une femme a la libido explose, qui s’adonnait souvent au plaisir de la chair avec ses sujets. Enéon avait toujours cru que ces rumeurs étaient exagérées et infondées, mais aujourd’hui il put voir un aperçu de cette sexualité débridée, car dans un mouvement qui lui fit hausser les sourcils, la reine s’inclina avant de… lui lécher l’entrejambe. Le prince fronça les sourcils, il avait vu des coutumes bien étranges au fil des années, mais jamais une aussi étrange et osée que celle-ci.
*décidément, les rumeurs disaient vrai…*
Enéon garda son calme, essayant de ne pas laisser transparaitre d’émotions, il répondit à la reine avec un simple sourire. Après tout, il valait mieux paraitre professionnel au risque de ruiner cette délégation.
La reine invita ensuite enéon à prendre place dans la salle de réunion, ou se trouvait une grande table faite de marbres avec des chaises aux motifs dorées et aux contours argentés.
*décidément, la reine aime le confort…*
Enéon prit place donc, accompagnée par son conseiller. Lui et ses conseillers économiques avait rigoureusement étudié le dossier économique de lusteria, et y avait découvert une nette baisse de profitabilité ces dernières années, qui s’était traduit par une nette disparité sociale entre les pauvres et les riches, accentuant d’avantage les écarts sociaux qui préexistaient déjà au sein de lusteria. Cela avait eu aussi pour conséquence l’accroissement de la délinquance et du crime dans les quartiers poupoulaires et la création de mouvements antagonistes à la couronne, qui accusaient la monarchie d’être responsable de ce crime économique, en pointant du doigt notamment les dépenses astronomiques de la reine.
« Majesté, nous avons discuté de la situation économique de votre royaume avec mes conseillers. Premièrement, vous devez savoir que la situation est grave : votre royaume est au bord de la récession, et la population n’est guère contente. En effet, la sécheresse a rudement frappé votre royaume, les récoltes se sont avérées insuffisantes, et nous soupçonnons une fraude fiscale de la part de la bourgeoisie. Sans parler du fait que vos dépenses royales se sont avérés… particulièrement élevés. Nous anticipons d’ailleurs un mouvement antimonarchique si la situation ne s’améliore pas. »
Enéon fit une pause, laissant à la reine le temps de digérer ces informations.
« Cependant, une solution existe : le royaume de lusteria possède des terres riches en minéraux et qui sont sous-exploités. Ces minéraux sont à la base utilisée pour fabriquer des outils militaires, mais votre royaume étant dans une position géopolitique privilégié, loin de tout conflit, vous n’avez certainement jamais songé à fabriquer des armes à partir des métaux précieux de votre royaume. C’est la que nous entrons en scène ».
Enéon fit une seconde pause, joignant ses mains pour former un triangle.
« En contrepartie d’un accès seulement partiel a vos terres, le royaume de Lucaria s’accorde à vous donner les fonds nécessaires pour effacer votre dette et redresser votre économie. Sans parler du fait que nous sommes également prêts à signer une alliance militaire avec votre royaume, qui vous garantirait notamment le soutien de notre armée si Lusteria se faisait jamais attaquer. Et bien sûr, ce n’est que le début. »
Enéon sourit avant de reprendre.
« Alors, quel est votre décision ? »
L’offre était pour le moins alléchante !
*décidément, les rumeurs disaient vrai…*
Enéon garda son calme, essayant de ne pas laisser transparaitre d’émotions, il répondit à la reine avec un simple sourire. Après tout, il valait mieux paraitre professionnel au risque de ruiner cette délégation.
La reine invita ensuite enéon à prendre place dans la salle de réunion, ou se trouvait une grande table faite de marbres avec des chaises aux motifs dorées et aux contours argentés.
*décidément, la reine aime le confort…*
Enéon prit place donc, accompagnée par son conseiller. Lui et ses conseillers économiques avait rigoureusement étudié le dossier économique de lusteria, et y avait découvert une nette baisse de profitabilité ces dernières années, qui s’était traduit par une nette disparité sociale entre les pauvres et les riches, accentuant d’avantage les écarts sociaux qui préexistaient déjà au sein de lusteria. Cela avait eu aussi pour conséquence l’accroissement de la délinquance et du crime dans les quartiers poupoulaires et la création de mouvements antagonistes à la couronne, qui accusaient la monarchie d’être responsable de ce crime économique, en pointant du doigt notamment les dépenses astronomiques de la reine.
« Majesté, nous avons discuté de la situation économique de votre royaume avec mes conseillers. Premièrement, vous devez savoir que la situation est grave : votre royaume est au bord de la récession, et la population n’est guère contente. En effet, la sécheresse a rudement frappé votre royaume, les récoltes se sont avérées insuffisantes, et nous soupçonnons une fraude fiscale de la part de la bourgeoisie. Sans parler du fait que vos dépenses royales se sont avérés… particulièrement élevés. Nous anticipons d’ailleurs un mouvement antimonarchique si la situation ne s’améliore pas. »
Enéon fit une pause, laissant à la reine le temps de digérer ces informations.
« Cependant, une solution existe : le royaume de lusteria possède des terres riches en minéraux et qui sont sous-exploités. Ces minéraux sont à la base utilisée pour fabriquer des outils militaires, mais votre royaume étant dans une position géopolitique privilégié, loin de tout conflit, vous n’avez certainement jamais songé à fabriquer des armes à partir des métaux précieux de votre royaume. C’est la que nous entrons en scène ».
Enéon fit une seconde pause, joignant ses mains pour former un triangle.
« En contrepartie d’un accès seulement partiel a vos terres, le royaume de Lucaria s’accorde à vous donner les fonds nécessaires pour effacer votre dette et redresser votre économie. Sans parler du fait que nous sommes également prêts à signer une alliance militaire avec votre royaume, qui vous garantirait notamment le soutien de notre armée si Lusteria se faisait jamais attaquer. Et bien sûr, ce n’est que le début. »
Enéon sourit avant de reprendre.
« Alors, quel est votre décision ? »
L’offre était pour le moins alléchante !
- Queen Ruby & Slave Bunny
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Si la belle blonde faisait appel à des nouvelles délégations sur les royaumes Voisin, c’est qu’elle était fortement consciente que son royaume traverse une crise sans précédent et qu’elle devait prendre le problème à la racine et de ne pas lui laisser ce engrener jusqu’à arriver dans un point de non retour qui pourrait être fatal pour la royauté et la prospérité de ce royaume. Elle regarde l’émissaire prendre place autour de la table et elle se met en face de lui, il pouvait pleinement admirer sa grosse poitrine car le tissu noir de sa robe ne faisait que cacher ses tétons. C’est vrai que la guerre n’avait jamais pointé le bout de son ombre aux portes de Lustoria, c’etait un havre de paix…
elle écoute attentivement le compte rendu qu’ils avaient établi son conseiller et le jeune homme. D’ailleurs celui-ci était aussi autour de la table, sûrement la main dans le pantalon en regardant sa majesté, c’était une monnaie courante dans ce genre de réunion quand elle était assise à la table du conseil, elle replace quelques mèches blondes vers l’arrière, ce qui fait remuer sa poitrine avant de laisser un petit soupir s’échapper de ses lèvres
Mmmh je vois mais le terme partiel reste vague… il est menacé du jugement de chacun à définir ce mot-là. Est-ce que pour vous cela signifie 40 % du minerai ou bien 20 % ? De manière à le chiffrer, connaissant les effectifs des potentiels carrière sur l’ensemble des iles je suis prête à vous accorder le droit de prélever du côté nord du royaume…
Elle vient donc se lever La table en elle-même était une carte géante du royaume, elle s’avance pour se retrouver à côté du prince et se penche au-dessus de la table pour venir entourer de son index la zone qu’elle était prête à lui céder, sa robe ne cache presque pas son cul qui était apporté de main de l’homme, elle tourne la tête vers lui en restant dans cette position
C’est un ensemble d’archipel qui va pouvoir à peu près vous apporter de grandes quantités de minerai il se trouve très loin de la capitale et des endroits les plus touristiques pour ne pas perturber l’écosystème et la vie en général en revanche meme sur ces iles nous avons des temples pour nos culte donc habités je vous demanderai d’être précautionneux avec vos machines…si je constate des pratiques qui nuiraient a l’ecosysteme et aux infrastructures il faudra on trouve une solution pour contenter tout le monde, mais je suis sûr que de nombreux terrains d’entente sont possibles

- Leon Redgrave
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Oh mon Dieu, quelle reine ensorcelante ! Une beauté à damner un saint, une incarnation vivante de la tentation. Son corps voluptueux attirait les regards tel un aimant, envoûtant chaque homme présent comme une incantation silencieuse. Même le conseiller d’Énéon, d’ordinaire maître de lui-même, n’avait pu réprimer une réaction bien visible sous son pantalon. Il n’y avait pas à dire : Ruby dégageait un sex-appeal infernal, un charme si intense qu’il frôlait la sorcellerie.
Même le prince, pourtant réputé pour son sérieux et son sang-froid à toute épreuve, sentit son contrôle vaciller lorsqu’elle se pencha près de lui. Son parfum enivrant, un mélange de rose et d’épices exotiques, lui monta à la tête comme un philtre d’amour. Sous le fin tissu de sa robe somptueuse, il devinait aisément l’absence de sous-vêtements, tandis que sa poitrine opulente menaçait de faire éclater son corsage à tout instant. Une femme comme elle… combien de rois avait-elle séduit ?
Mais Énéon n’était pas homme à se laisser distraire si facilement, du moins pas en apparence. D’un sourire assuré, il répondit avec calme à la reine :
— Ne vous en faites pas, nous saurons nous montrer équitables quant aux pourcentages de minéraux que nous prélèverons… Et nous travaillerons, bien évidemment, sous l’autorité de votre royaume.
Son regard glissa sur la carte que Ruby venait de dévoiler, où figuraient les fameuses terres que son père convoitait tant. La reconnaissance fut instantanée : ces archipels, avec leur géographie unique, correspondaient parfaitement à la description que son géniteur lui avait donnée. Mais même en étant préparé, il ne s’attendait pas à un territoire aussi vaste. Les richesses sous-exploitées du royaume de Lusteria s’étendaient sous ses yeux, promettant une fortune inestimable.
— Très bien, j’en prendrai note. Je considère donc que vous acceptez notre proposition.
Il marqua une pause, balayant la salle du regard avant de reporter son attention sur Ruby.
— Pour l’instant, je vous suggère de laisser nos comptables s’occuper des formalités. Pendant ce temps, ne pourrions-nous pas discuter, vous et moi, dans un endroit plus privé ?
Son ton était suave, empreint d’une politesse feinte, mais son geste, lui, ne laissait aucun doute sur ses intentions. D’un mouvement calculé, il posa délicatement sa main sur le dos nu de la souveraine, effleurant sa peau chaude et satinée. Son sourire se fit plus sincère, plus intime.
Énéon aurait menti en prétendant que la vue de l’opulente poitrine de Ruby ne lui faisait aucun effet. Ses yeux, avides et fascinés, s’attardaient sur son décolleté comme un homme affamé devant un festin royal. Il n’avait plus qu’une seule pensée en tête : se retrouver seul avec elle… et pas pour parler d’affaires.
Même le prince, pourtant réputé pour son sérieux et son sang-froid à toute épreuve, sentit son contrôle vaciller lorsqu’elle se pencha près de lui. Son parfum enivrant, un mélange de rose et d’épices exotiques, lui monta à la tête comme un philtre d’amour. Sous le fin tissu de sa robe somptueuse, il devinait aisément l’absence de sous-vêtements, tandis que sa poitrine opulente menaçait de faire éclater son corsage à tout instant. Une femme comme elle… combien de rois avait-elle séduit ?
Mais Énéon n’était pas homme à se laisser distraire si facilement, du moins pas en apparence. D’un sourire assuré, il répondit avec calme à la reine :
— Ne vous en faites pas, nous saurons nous montrer équitables quant aux pourcentages de minéraux que nous prélèverons… Et nous travaillerons, bien évidemment, sous l’autorité de votre royaume.
Son regard glissa sur la carte que Ruby venait de dévoiler, où figuraient les fameuses terres que son père convoitait tant. La reconnaissance fut instantanée : ces archipels, avec leur géographie unique, correspondaient parfaitement à la description que son géniteur lui avait donnée. Mais même en étant préparé, il ne s’attendait pas à un territoire aussi vaste. Les richesses sous-exploitées du royaume de Lusteria s’étendaient sous ses yeux, promettant une fortune inestimable.
— Très bien, j’en prendrai note. Je considère donc que vous acceptez notre proposition.
Il marqua une pause, balayant la salle du regard avant de reporter son attention sur Ruby.
— Pour l’instant, je vous suggère de laisser nos comptables s’occuper des formalités. Pendant ce temps, ne pourrions-nous pas discuter, vous et moi, dans un endroit plus privé ?
Son ton était suave, empreint d’une politesse feinte, mais son geste, lui, ne laissait aucun doute sur ses intentions. D’un mouvement calculé, il posa délicatement sa main sur le dos nu de la souveraine, effleurant sa peau chaude et satinée. Son sourire se fit plus sincère, plus intime.
Énéon aurait menti en prétendant que la vue de l’opulente poitrine de Ruby ne lui faisait aucun effet. Ses yeux, avides et fascinés, s’attardaient sur son décolleté comme un homme affamé devant un festin royal. Il n’avait plus qu’une seule pensée en tête : se retrouver seul avec elle… et pas pour parler d’affaires.
- Queen Ruby & Slave Bunny
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Mmmh effectivement nous avons un accord mais garder l’idée que vous êtes sur l’autorité de mon royaume et que je garde un œil sur ce que vous prenez, et surtout ne pas vous imaginer que je n’ai pas l’autorité nécessaire pour mettre à mal de potentiel complot qui pourrait être sous-jacent
Après tout c’était elle la royauté, elle savait très bien comment gérer ses affaires avant de sourire, puis elle laisse un petit gémissement s’échapper de célèbre quand elle vient sentir la main se poser dans le creux de son dos. Elle vient se cambrer davantage pour se redresser légèrement, elle vient lui prendre délicatement la main pour l’inviter à se lever en même temps. Seyki, confirme effectivement qu’elle était prêt à l’emmener dans un endroit bien plus privé pour signer le traité de ce partenariat de manière plus abstraite.
Elle garde toujours la main dans la sienne avant de venir la faire se poser sur son gros cul, et pas très loin de la chaleur de sa chatte et commencer à marcher avec lui, profitant des différentes galeries du palais pour faire une petite visite guidée jusqu’à un endroit complètement surréaliste Des endroits qui n’y en existe partout dans le royaume, un véritable paradis sur terre. Ils arrivent donc dans une grande pièce ouverte sur l’extérieur avec une vue imprenable sur le lagon au milieu de celle-ci, il y avait un bassin avec de l’eau limpide une petite cascade et de nombreux divans
On pourrait parler d’un salon privé dans lequel généralement elle vient conclure les traités de paix, qu’elle pouvait instaurer avec les royaumes Voisins. Tout en marchant, elle continue de se déhancher, faisant bien bouger sa grosse poitrine. Et d’ailleurs, dans ce genre de mouvement, il pouvait apercevoir ses tétons quasiment a l’air
Je vous en prie prenez place agissez à votre aise, je dois absolument vous faire goûter le nectar de notre royaume, un mélange de grenade et d’orange qui ont poussé sur les côtes maritimes sous le vent chaud, c’est absolument à tomber et cela fait partie d’une des richesses que l’on produit et que l’on garde jalousement la recette
Elle se dirige vers une petite table où il y a une carafe transparente avec le nectar qu’elle vient verser dans un calice avant de revenir vers lui, après qu’il ait pris place sur un des divans. Elle se pose devant lui avant de venir à califourchon sans pour autant poser sa chatte sur lui ni son cul, et viens lui tendre le calice en exposant bien ses gros seins

- Leon Redgrave
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Un sourire effleura les lèvres d’Énéon tandis qu’il écoutait la souveraine poser ses conditions avec une assurance désarmante. Ruby n’était pas seulement une femme envoûtante, elle était une reine qui connaissait sa valeur et savait imposer son autorité. Meme si bientôt, elle ne saurait rien d’autre qu’une femme soumise au sexe du prince.
— Je n’en doute pas un instant, Votre Majesté, répondit-il avec un ton suave. Votre pouvoir est incontestable, et je ne me permettrais jamais d’outrepasser les limites que vous fixerez.
Il ponctua ses mots d’un sourire complice, mais déjà, son esprit était ailleurs, happé par la manière dont Ruby réagissait à son contact. Le léger gémissement qu’elle laissa échapper, cette cambrure calculée, son invitation silencieuse à approfondir leur proximité… Elle jouait un jeu dangereux, et il n’était que trop heureux d’y prendre part.
Quand elle saisit sa main pour la guider, Énéon se laissa faire avec aisance, savourant la douceur de sa peau contre la sienne. Mais ce fut lorsqu’elle la posa sur son fessier rebondi, non loin de la chaleur palpitante de son intimité, qu’un frisson de convoitise parcourut son échine. Il resserra légèrement sa prise, appréciant la fermeté sous ses doigts, tandis qu’ils avançaient à travers les galeries du palais.
Le décor qui s’offrait à lui était digne d’un rêve : une vaste pièce ouverte sur un lagon scintillant, un bassin aux eaux limpides et une cascade murmurant doucement. Le parfum d’orchidées sauvages flottait dans l’air, tandis que des divans luxueux invitaient au repos… ou à des plaisirs plus raffinés.
— On peut dire que vous savez recevoir, majesté…, souffla-t-il en balayant l’endroit du regard.
Mais ce n’était pas tant le lieu qui captivait son attention que la manière dont la reine continuait de se mouvoir. Son déhanché hypnotique mettait en valeur chaque courbe de son corps, et lorsqu’un mouvement plus ample dévoila l’ombre de ses tétons à travers le tissu, Énéon sentit son désir s’enflammer davantage.
Il s’installa sur un divan, l’observant avec un plaisir non dissimulé tandis qu’elle versait un nectar ambré dans un calice. Lorsqu’elle revint vers lui, elle ne se contenta pas de lui tendre la coupe : elle s’installa à califourchon sur ses jambes, si proche que la chaleur de son corps irradiant à travers les étoffes semblait le consumer.
Le regard d’Énéon descendit lentement vers les seins généreux qu’elle exposait sans la moindre pudeur. Il prit le calice de ses mains, effleurant volontairement ses doigts, puis porta la coupe à ses lèvres.
« Merci pour ce délicieux nectar, meme si pour moi le véritable délice ne réside pas dans cette boisson enivrante… mais bien dans la femme qui l’avait servi. »
Enéon posa ensuite son calice sur une table, avant de claquer les fesses de Ruby
Un geste audacieux et osé, qui aurait facilement déclenché diplomatique dans un autre contexte, mais pas celui-ci. Enéon savait que Ruby était attiré par lui, en témoignait les nombreux gestes sensuels qu’elle faisait pour attirer son attention.
« Aussi, je dois vous avouer que malgré les terres que vous allez nous céder, ce n’est toujours pas assez pour mériter amplement notre aide… a vrai dire, votre royaume est dans une situation encore pire que ce que nous avons imaginé. Ainsi, si vous voulez notre aide, il va falloir me payer autrement »
Enéon resserra d’avantage sa prise sur ses fesses, comme pour affirmer sa domination
« Depuis toute à l’heure, majesté, vous ne cessez de me présenter vos formes voluptueuses, savez vous qu’un corps comme le vôtre, ça donne terriblement envie ? »
Et puis, il donna une autre claque !
— Je n’en doute pas un instant, Votre Majesté, répondit-il avec un ton suave. Votre pouvoir est incontestable, et je ne me permettrais jamais d’outrepasser les limites que vous fixerez.
Il ponctua ses mots d’un sourire complice, mais déjà, son esprit était ailleurs, happé par la manière dont Ruby réagissait à son contact. Le léger gémissement qu’elle laissa échapper, cette cambrure calculée, son invitation silencieuse à approfondir leur proximité… Elle jouait un jeu dangereux, et il n’était que trop heureux d’y prendre part.
Quand elle saisit sa main pour la guider, Énéon se laissa faire avec aisance, savourant la douceur de sa peau contre la sienne. Mais ce fut lorsqu’elle la posa sur son fessier rebondi, non loin de la chaleur palpitante de son intimité, qu’un frisson de convoitise parcourut son échine. Il resserra légèrement sa prise, appréciant la fermeté sous ses doigts, tandis qu’ils avançaient à travers les galeries du palais.
Le décor qui s’offrait à lui était digne d’un rêve : une vaste pièce ouverte sur un lagon scintillant, un bassin aux eaux limpides et une cascade murmurant doucement. Le parfum d’orchidées sauvages flottait dans l’air, tandis que des divans luxueux invitaient au repos… ou à des plaisirs plus raffinés.
— On peut dire que vous savez recevoir, majesté…, souffla-t-il en balayant l’endroit du regard.
Mais ce n’était pas tant le lieu qui captivait son attention que la manière dont la reine continuait de se mouvoir. Son déhanché hypnotique mettait en valeur chaque courbe de son corps, et lorsqu’un mouvement plus ample dévoila l’ombre de ses tétons à travers le tissu, Énéon sentit son désir s’enflammer davantage.
Il s’installa sur un divan, l’observant avec un plaisir non dissimulé tandis qu’elle versait un nectar ambré dans un calice. Lorsqu’elle revint vers lui, elle ne se contenta pas de lui tendre la coupe : elle s’installa à califourchon sur ses jambes, si proche que la chaleur de son corps irradiant à travers les étoffes semblait le consumer.
Le regard d’Énéon descendit lentement vers les seins généreux qu’elle exposait sans la moindre pudeur. Il prit le calice de ses mains, effleurant volontairement ses doigts, puis porta la coupe à ses lèvres.
« Merci pour ce délicieux nectar, meme si pour moi le véritable délice ne réside pas dans cette boisson enivrante… mais bien dans la femme qui l’avait servi. »
Enéon posa ensuite son calice sur une table, avant de claquer les fesses de Ruby
*SPANK !*
Un geste audacieux et osé, qui aurait facilement déclenché diplomatique dans un autre contexte, mais pas celui-ci. Enéon savait que Ruby était attiré par lui, en témoignait les nombreux gestes sensuels qu’elle faisait pour attirer son attention.
« Aussi, je dois vous avouer que malgré les terres que vous allez nous céder, ce n’est toujours pas assez pour mériter amplement notre aide… a vrai dire, votre royaume est dans une situation encore pire que ce que nous avons imaginé. Ainsi, si vous voulez notre aide, il va falloir me payer autrement »
Enéon resserra d’avantage sa prise sur ses fesses, comme pour affirmer sa domination
« Depuis toute à l’heure, majesté, vous ne cessez de me présenter vos formes voluptueuses, savez vous qu’un corps comme le vôtre, ça donne terriblement envie ? »
Et puis, il donna une autre claque !
- Queen Ruby & Slave Bunny
- Messages : 97
- Enregistré le : 29 déc. 2024 15:05

Ruby savait pertinemment ce qu’elle était en train de faire, et bien entendu la fatalité et la finalité de la chose n’avait pas d’autres solutions que ce qui est en train de se passer, elle le provoque clairement et elle ne s’en cache pas. De toute façon ici la pudeur n’avait pas sa place et quand il vient au poignet son cul magnifique pour donner une bonne claque dessus, elle se cambre et vient gémir de plus belle pour venir écraser ses gros seins contre lui et de remonter son postérieur pour mieux le bouger avant de le regarder, elle ne soupçonne de venir aggraver un peu la situation pour pouvoir profiter d’un autre moyen de paiement, beaucoup moins traditionnel et elle vient sourire avant de lui lécher les lèvres
Vous savez, vous n’avez pas besoin de me faire ce genre de chantage car de toute façon c’était une évidence qu’en venant dans mon royaume vous alliez pouvoir goûter aux différents délices que l’on peut vous proposer et j’en fais partie donc inutile de me menacer…mmmh
En étant pleinement consciente de cela, elle garde certains contrôles et ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle vient glisser une main sur l’entrejambe du prince pour commencer à lui masser la grosse bosse et planche sa tête vers son oreille pour se mettre à gémir et à lui lécher le lobe de manière sensuelle. Elle pouvait très bien sentir que sa chatte était bien chaude et brûlante avant de redresser la tête pour venir l’embrasser à pleine bouche en jouant avec sa langue, faisant des bruits obscenes.
Elle vient alors prendre le calice pour mettre un peu de nectar sur sa poitrine. Calvi est allée avant de venir la ramener vers sa bouche pour qu’il puisse se délecter de ce cocktail. Elle couine et avec une expertise, elle commence à lui défaire le pantalon pour venir sortir sa queue quo ne semble pas vraiment indifférente au charme de la belle blonde. Elle vient alors se lécher la lèvre pour commencer. A massee sa queue dans sa main
Mmmmh disons que nous allons signer les terme du contract……

- Leon Redgrave
- Démons
- Messages : 201
- Enregistré le : 14 août 2024 13:28
Oh mon dieu, que son corps était divin ! le prince resserra sa prise sur ses fesses, se délectant de ce corps si soigneusement sculpté pour attirer la luxure. Difficile de résister de marbre face a ce corps. En témoignait l’érection du prince qui déformait son pantalon. Ses seins étaient tellement massifs qu’elle pourrait facilement étouffer quelqu’un avec si elle le voulait.
Le chantage d’Enéon sembla être perçu par la reine, qui confirma que le prince n’avait point besoin de la faire chanter, et que de toute manière, il allait gouter a son corps dans tout les cas. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle était directe !
« Ah oui, vous ne pouvez pas savoir a quel point j’ai envie de vous défoncer la chatte… »
Sur ces mots, Ruby commença à masturber le prince, qui se cambra sous l’effet du plaisir, laissant échapper au passage un grand gémissement. La reine s’attaqua ensuite au lobe de son oreille, une manière originale pour faire chauffer un homme ! les deux se partagèrent ensuite un baiser sensuel, ou Ruby commença à laisser s’échapper, elle aussi, des gémissements sensuels. Elle était, elle aussi, excitée, et ça se voyait.
Le prince s’attaqua ensuite à sa chatte, y enfonçant un doigt, lui arrachant le plus de râles possibles. L’offensive s’avéra aisé étant donné que la reine ne portait pas de sous-vêtements, ce qui laissait son antre charnel sans défense, à la merci des doigts habiles du prince.
« Ah oui, vous mouillez abondement… vous mouillez comme une salope, majesté »
Fou de désir, Enéon se jeta sur ses énormes obus de chair, qui furent tout de suite baigné dans un nectar apporté par l’un des domestiques. Enéon se jeta dessus tel un animal affamé, les dévorant de tout part. il les lécha, les embrassa et les suça abandonnément, ses yeux perçant fixés sur la reine, se délectant de ses gémissements, de la manière dont elle se cambrait, de la manière dont elle se soumettait a lui.
Une fois qu’il en eut terminé avec ses seins, Enéon se leva et commença a défaire son pantalon, dévoilant a verge qui était dure comme de l’acier. Fixant son interlocutrice d’un air arrogant, il déclara :
« Maintenant, mets-toi a quatres pattes et suce ma queue, telle une chienne »
Le ton avait changé ; désormais, il la tutoyait, probablement a cause du désir infernal qu’il sentait monter en lui. Mais en même temps, quand on avait une beauté pareille a portée de main, on ne pouvait pas s’empêcher de la traiter de tout les noms et de n’avoir qu’une seule envie : la ravager par tous les trous.
Le chantage d’Enéon sembla être perçu par la reine, qui confirma que le prince n’avait point besoin de la faire chanter, et que de toute manière, il allait gouter a son corps dans tout les cas. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle était directe !
« Ah oui, vous ne pouvez pas savoir a quel point j’ai envie de vous défoncer la chatte… »
Sur ces mots, Ruby commença à masturber le prince, qui se cambra sous l’effet du plaisir, laissant échapper au passage un grand gémissement. La reine s’attaqua ensuite au lobe de son oreille, une manière originale pour faire chauffer un homme ! les deux se partagèrent ensuite un baiser sensuel, ou Ruby commença à laisser s’échapper, elle aussi, des gémissements sensuels. Elle était, elle aussi, excitée, et ça se voyait.
Le prince s’attaqua ensuite à sa chatte, y enfonçant un doigt, lui arrachant le plus de râles possibles. L’offensive s’avéra aisé étant donné que la reine ne portait pas de sous-vêtements, ce qui laissait son antre charnel sans défense, à la merci des doigts habiles du prince.
« Ah oui, vous mouillez abondement… vous mouillez comme une salope, majesté »
Fou de désir, Enéon se jeta sur ses énormes obus de chair, qui furent tout de suite baigné dans un nectar apporté par l’un des domestiques. Enéon se jeta dessus tel un animal affamé, les dévorant de tout part. il les lécha, les embrassa et les suça abandonnément, ses yeux perçant fixés sur la reine, se délectant de ses gémissements, de la manière dont elle se cambrait, de la manière dont elle se soumettait a lui.
Une fois qu’il en eut terminé avec ses seins, Enéon se leva et commença a défaire son pantalon, dévoilant a verge qui était dure comme de l’acier. Fixant son interlocutrice d’un air arrogant, il déclara :
« Maintenant, mets-toi a quatres pattes et suce ma queue, telle une chienne »
Le ton avait changé ; désormais, il la tutoyait, probablement a cause du désir infernal qu’il sentait monter en lui. Mais en même temps, quand on avait une beauté pareille a portée de main, on ne pouvait pas s’empêcher de la traiter de tout les noms et de n’avoir qu’une seule envie : la ravager par tous les trous.