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Pour une fois, pas d’idée de titre >.> [Valiobservée !]

Posté : 03 janv. 2025 05:27
par Makana
Identité: Makana Akina
Âge: 16 ans
Sexe: Féminin
Race: Humaine
Orientation: Pansexuelle
Origine: Terre

Physique & Caractère:
Makana est une jeune fille plutôt petite et frêle. Malgré ses seize ans, elle ne fait qu’un mètre cinquante-cinq et ne pèse pas plus de quarante kilos, un vrai poids-plume. Enfin ça c’est en théorie, car en pratique, cela fait déjà quatre ans que son horloge biologique, sa croissance, a été stoppée, qu’elle ne grandit plus et ne vieillit plus. Dans les faits, notre Japon-hawaïenne a déjà atteint la vingtaine, mais ne l’a pas encore réalisée. Et sa morphologie n’aide pas vraiment à lui en faire prendre conscience.

En effet, comme dit plus haut, Makana est petite et frêle. Sa poitrine est à peine développée, telle deux petites collines, son doux coquillage imberbe et dodu cache une belle fente rosée, et même si son fessier est bien proportionné au reste de son corps, il reste tendre et peu bombé. L’ex lycéenne est plutôt svelte, avec un ventre plat et de belles jambes fuselées. Elle arbore également un visage poupon rehaussé de grands yeux verts bouteilles expressifs et d’un sourire jovial, communicatif, le tout étant encadré d’une longue chevelure brune et fluide, cascadant jusqu’au bas de son dos. Sa nudité permanente ne cache rien de son corps et laisse son épiderme basanée exposé au soleil toute la journée. Enfin, n’allez pas croire que son naturisme apparent est un choix, depuis son arrivée sur cette île, elle y est un peu forcée.

Makana vit un peu en contradiction avec elle-même ces derniers temps. La jeune fille a en effet toujours été passionnée par les activités aquatiques, que ce soit la natation, la pêche, la plongée et d’autres encore. Si elle aurait pu devenir une sirène, elle aurait été la plus heureuse au monde. Mais depuis qu’elle est coincée sur son île, au milieu de l’océan, elle passe le plus clair de son temps à se masturber et jouir, que ce soit avec ses doigts ou des objets, toujours plus gros et plus longs. Un fruit local, notamment, a finit par muter son métabolisme, rendant tout ses organes et muscles plus souples et caoutchouteux, et ses parties intimes toujours plus érogènes. Même sa langue s’est un peu allongée, pouvant désormais toucher le bas de son menton sans efforts.

Oh bien sur, depuis son arrivée au lycée, Makana était déjà devenue une perverse, ayant régulièrement des rapports sexuels avec ses camarades, mais jamais au point de ne penser qu’à ça non plus. Et aujourd’hui, elle désire plus que tout de se faire fourrer comme un vulgaire sac à sperme. Mais elle est seule sur cette île, personne n’est là pour satisfaire ce désir, qui ne fait que chaque jour prendre un peu plus de place dans ses pensées…

Histoire:
La naissance de Makana est aussi atypique qu’ironique, quant à sa situation actuelle. En effet, autant sa mère Mitsui Azami, est originaire d’Okinawa, autant son père Kanuha Akina lui, est un Hawaïen. Avec deux parents issus d’îles tropicales, elle ne pouvait qu’avoir un physique des plus exotiques. Par ailleurs, sont prénom à pour particularité d’avoir une signification différente dans les deux langues. Dans celle de son père, il renvois au cadeau, tandis que dans celle de sa mère, il a un lien bancaire, comme une bonne surprise survenue dans une période financière bénéfique.

Makana a donc grandit sur une île tropicale jusqu’à la fin du collège. Durant toute cette période, elle avait déjà pour habitude d’aller nager dans la mer, sans porter de maillot et entre amis. C’était quelque chose de naturel, tout le monde était fier de sa peau basanée et personne ne voulait aborder de marques de bronzage. Elle aimait aussi la pêche et la plongée. Et de manière générale, toute activité liée au milieu marin.

Le problème, c’est qu’il n’y a pas vraiment de Lycée à Okinawa. Alors pour étudier dans de bonnes condition, Makana fut envoyée en métropole, plus précisément à Jinmu, Yoake étant moins dense que Tokyo, mais son parc scolaire tout aussi réputé. Enfin ça, c’est aussi parce que le conseil scolaire de l’établissement fait tout ce qui est en son pouvoir, pour que le reste des activités du lycée de s’ébruite pas trop en dehors de la ville. Quoi qu’il en soit, la jeune fille fut intégrée en tant qu’interne et… découvrit bien vite que le lycée cachait bien des secrets.

Bien qu’elle évita les clubs d’occultisme et social en rejoignant ceux de natation et de plongée, elle n’échappa pas à sa défloration réglementaire à peine deux mois après son arrivée. Il faut dire qu’une japonaise aussi exotique, ça ne court pas les rues dans cette partie du pays, alors elle était forcément attirante, malgré son absence mammaire marquée. Et puis son caractère ouvert et sociable aidait bien. Ainsi, suite à sa première fois, Makana eut pas mal d’interactions sexuelles avec ses camarades, se constituant ainsi un bon cercles d’amis. Les deux clubs cités plus haut se disputèrent aussi pour savoir qui des deux parviendrait à la recruter avant l’autre.

Néanmoins, cela n’arriva jamais. Car Makana disparut du jour au lendemain, peu après le début de sa seconde année. Un soir, elle et des copines de dortoir s’étaient lancées un défi: faire une sortie exhibitionniste dans le lycée, tout en faisant une variante de cache-cache sexuel. La personne trouvée devait faire jouir l’autre en moins de dix minutes, sans se faire prendre par les surveillants. La dernière trouvée sera la gagnante. Autant dire que notre basanée gagna haut la main, car aujourd’hui encore, on la cherche toujours.

Concrètement, la lycéenne trouva une cachette dans les sous-sols, près de la chaufferie, sans se douter un seul instant qu’une faille dimensionnelle derrière celle-ci conduisait vers un autre monde. En la traversant, Makana effectua une chute de quelques mètres dans le ciel, pour passer une autre faille en dessous de celle-ci et se retrouver sous la surface d’un lac. Complètement déboussolée, elle dû rapidement mettre ses compétences de plongée en œuvre pour éviter la noyade, et remonter à la surface.

Durant les semaines qui suivirent, Makana explora l’île en faisant rapidement le tour et découvrit également le fonctionnement des habitacles présents dessus. Malheureusement, ces derniers n’avaient pas de fringues en stock et la jeune fille était incapable d’en concevoir. Heureusement pour elle que la température était typiquement tropicale, car, habituée depuis des années à un tel climat, il lui fut aisé de s’adapter sans possibilité de se couvrir. Néanmoins, un autre problème devait finir par arriver…

En effet, des effluves aphrodisiaques semblaient émaner de la végétation, et la jeune fille était seule sur cette île. Et bien vite, son intimité devint aussi brûlante qu’un volcan en éruption. La basanée en vint bien vite à passer ses journées à se masturber pour calmer ses chaleurs, sans vraiment réaliser que cela ne faisait que lui donner envie d’encore plus de sexe, et la découverte de jouets sexuels dans les modules n’aida en rien à la rassasier… et l’autre particularité de cette île, faisait qu’elle semblait perdre la notion du temps. Était-elle ici depuis 4 mois ou 4 ans ?

Infos Insulaires:
L’île sur laquelle se trouve Makana était à l’origine destinée à de la télé-réalité pour les Uatiennes, entièrement aménagée pour faire sombrer les candidates dans la plus dépravée des luxures, tout en étant autonomes en commodités. Par ailleurs, une anomalie temporelle provenant du cœur de l’île ralentie sensiblement le temps sur celle-ci, jusqu’à stopper complètement l’horloge biologique des habitants.

Aussi grande qu’une ville de campagne, aucune espèce animale ne vit dessus et quasiment toute la flore émet des effluves aphrodisiaques. Une vingtaine de modules auto-suffisant ont été installés autour d’un ancien cratère de volcan, aujourd’hui éteint et remplis d’eau douce, suite aux moussons successives. Il y’a aussi plusieurs dizaines de caméras camouflées dans la végétations, même si elles ne sont plus actives depuis longtemps.

Chacun de ces modules modernes et tout équipé, peut héberger jusqu’à deux personnes et propose une chambre, un salon/cuisine et une salle de bain. L’autonomie est assurée par des panneaux solaires sur le toit pour la production en électricité, une station d’épuration individuelle pour l’apport en eau potable, et une station d’assembleur moléculaire pour la nourriture. Un peu comme une imprimante 3D mais atomique, même s’il faut ensuite la cuisiner. Sans oublier un accès internet.

Si l’entreprise de télé-réalité a fait faillite et l’île laissée à l’abandon, la plupart de ses technologies développées ont été récupérées par l’armée pour concevoir des modules d’exploration. De fait, les chances de voir des militaires débarquer pour réquisitionner ce qu’il reste sont quasi nulles.

Re: Pour une fois, pas d’idée de titre >.>

Posté : 03 janv. 2025 09:19
par Observateur
Re-Bienvenue !

Makana risque de laisser longtemps seule sur son île, si elle est dans une bulle temporelle où le temps est figé.

Et l'éternité, c'est long, surtout vers la fin.

Quoi qu'il en soit, tu es VALIDÉE !