- Suida ''Erona'' Trogia
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- Enregistré le : 17 août 2024 10:57
Le temps depuis sa transformation passait lentement. Akimbo avait évolué en Suida depuis plusieurs mois maintenant et elle ne pouvait pas se le cacher : ses pulsions de truie ne se calmaient qu'après d'intensives baises par son maître et elles revenaient périodiquement. Quand ça faisait trop longtemps, elle avait ce besoin qui prenait de plus en plus d'importance, qui l'obsédait. Au final, quand Bhouta s'amusait à la frustrer plus loin que jamais, elle finissait par trembler de ces privations sexuelles et réclamait à corps et à cris du sexe. Bien sûr, ces moments étaient toujours suivi par des moments de lucidités où elle se trouvait limite ridicule d'autant le vouloir... Mais on ne pouvait rien contre sa nature profonde. Finalement, lorsque Bhouta lui demanda de parfaire son expérience en qualité de pute, on lui donna le contact d'une maîtresse en la matière : Huntress. Suida se doutait que c'était une décision de Chengzu, vu qu'il avait déjà rencontré cette personne...
*Elle ne me reconnaîtra pas au moins...*
C'était lors d'un jeu pervers et sexuel d'Ishtar. Akimbo, encore vêtu de sa combinaison de Same à l'allure poissonnière, avait reçu comme instruction de faire croire à Theorem qu'il le cocufiait avec Helena depuis longtemps et qu'ils avouaient enfin leurs amours réciproques devant le travestit lors d'une baise frénétique en utilisant des préservatifs pleins d'aphrodisiaques. Akimbo n'avait que rarement faire quelque chose d'aussi hétéro avec quelqu'un, et il avait été pas mal aidé par la drogue dans les préservatifs. Mais ce souvenir lointain avait peut être été oublié par Helena... En tout cas c'est ce que la truie espérait. Désormais son corps avait bien changé... Il était passé de ce mâle en combinaison, très en forme à l'époque et confiant sur ses capacités à ce corps de truie efféminé qu'il avait maintenant. Cette transformation allait faire en sorte qu'elle se sente encore plus humiliée devant Helena, qui avait sûrement été briefé sur son origine et sa transformation...
*Qui sait ce qu'elle me fera faire... On m'a parlé d'un entraînement pour me sentir pute...*
On avait donné à Suida l'endroit d'un club à prostitué à Inferis. Le Gulag était un endroit réservé à une clientèle un peu BDSM et en tout cas amateur de choses un peu extrême et qu'on ne voyait pas dans les bordels de bas étage. Ici les clients et clientes avaient les moyens. Ils payaient pour dominer durement et sans compromis. En tout cas c'est comme ça qu'on l'avait vendu à Suida. Elle attendait dans une loge privée l'arrivée d'Huntress. On lui avait parlé de ce qu'elle était devenue : la femme trophée d'Ishtar. Suida avait mit une tenue pour l'occasion qu'elle avait dissimulée sous son manteau de cuir brun. La loge privée avait tout le confort pour jouer, des éléments de suspension avec des chaînes, des outils de BDSM et même un point d'eau et des étagères de matériel en tout genre. Pour la soirée, elle avait enfilé sa paire de bas rose en latex, des longs gants assortis, son collier de soumise estampillée "fuckpig" et en guise de lingerie, des patch en forme de tête de cochon sur ses tétons et sa cage de chasteté en forme de tête de cochon. Son oreille gauche avait été piercée récemment pour y mettre un tag de bétail affichant son numéro d'esclave, le 557. Suida n'avait plus qu'à attendre l'arrivée d'Huntress, un peu anxieuse, car ne sachant pas à quelle sauce elle allait être mangée...
*Elle ne me reconnaîtra pas au moins...*
C'était lors d'un jeu pervers et sexuel d'Ishtar. Akimbo, encore vêtu de sa combinaison de Same à l'allure poissonnière, avait reçu comme instruction de faire croire à Theorem qu'il le cocufiait avec Helena depuis longtemps et qu'ils avouaient enfin leurs amours réciproques devant le travestit lors d'une baise frénétique en utilisant des préservatifs pleins d'aphrodisiaques. Akimbo n'avait que rarement faire quelque chose d'aussi hétéro avec quelqu'un, et il avait été pas mal aidé par la drogue dans les préservatifs. Mais ce souvenir lointain avait peut être été oublié par Helena... En tout cas c'est ce que la truie espérait. Désormais son corps avait bien changé... Il était passé de ce mâle en combinaison, très en forme à l'époque et confiant sur ses capacités à ce corps de truie efféminé qu'il avait maintenant. Cette transformation allait faire en sorte qu'elle se sente encore plus humiliée devant Helena, qui avait sûrement été briefé sur son origine et sa transformation...
*Qui sait ce qu'elle me fera faire... On m'a parlé d'un entraînement pour me sentir pute...*
On avait donné à Suida l'endroit d'un club à prostitué à Inferis. Le Gulag était un endroit réservé à une clientèle un peu BDSM et en tout cas amateur de choses un peu extrême et qu'on ne voyait pas dans les bordels de bas étage. Ici les clients et clientes avaient les moyens. Ils payaient pour dominer durement et sans compromis. En tout cas c'est comme ça qu'on l'avait vendu à Suida. Elle attendait dans une loge privée l'arrivée d'Huntress. On lui avait parlé de ce qu'elle était devenue : la femme trophée d'Ishtar. Suida avait mit une tenue pour l'occasion qu'elle avait dissimulée sous son manteau de cuir brun. La loge privée avait tout le confort pour jouer, des éléments de suspension avec des chaînes, des outils de BDSM et même un point d'eau et des étagères de matériel en tout genre. Pour la soirée, elle avait enfilé sa paire de bas rose en latex, des longs gants assortis, son collier de soumise estampillée "fuckpig" et en guise de lingerie, des patch en forme de tête de cochon sur ses tétons et sa cage de chasteté en forme de tête de cochon. Son oreille gauche avait été piercée récemment pour y mettre un tag de bétail affichant son numéro d'esclave, le 557. Suida n'avait plus qu'à attendre l'arrivée d'Huntress, un peu anxieuse, car ne sachant pas à quelle sauce elle allait être mangée...

- Helena Wayne
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- Enregistré le : 16 août 2024 16:26
Infernis. Un pays de débauche et de dépravation où tout le monde s’habille en cuir et en latex, où les hommes sont féminisés pour devenir de bonnes pédales soumises et où les femmes dominent. Du moins c’était ainsi que Helena l’avait perçu lors de sa première visite. Elle avait atterri à Infernis après être passé accidentellement à travers une faille dimensionnelle et avait fait la rencontre de l’amirale Ishtar Naviento, l'Amirale Magma Suprême de la Marine d'Inferis. Perdue dans un monde inconnu elle n’avait eu d’autre choix que de se soumettre à Ishtar pour espérer rentrer chez elle en un seul morceau, et contre toute attente ces trois mois se sont avérés fantastiques. Ishtar avait longuement fait l’amour à Helena jusqu’à éveiller quelque chose chez elle, un désir profondément enfoui d’être la chose de l’amirale, soumise et dégradée, obéissant aveuglément à sa maîtresse, un désir qu’elle avait emporté avec elle en retournant sur Terre. Cette expérience la marqua profondément et finit par la décider à retourner sur Infernis, cette fois de son plein gré, pour s’abandonner à nouveau à la débauche entre les mains de l’amirale. Lors de ce nouveau séjour elle avait découvert et embrassé le mode de vie infernois, elle avait reçu son propre esclave et avait pu laisser parler ses pulsions profondes, tant comme soumise que comme dominatrice, allant toujours plus loin dans le vice avec de nombreux jeux pervers. Finalement quand l’heure de son départ arriva Ishtar lui avoua être tombée amoureuse d’elle et lui demanda de rester avec elle à Infernis… et Helena accepta. Elle devint la femme-trophée de l’amirale, s’installa dans un appartement de la capitale et se mit même à travailler comme prostituée pour le compte de sa maîtresse. Et quand elle n’arpentait pas les rues pour trouver des habitants à qui vendre son cul, elle se faisait chouchouter dans des salons de beauté aux frais de sa compagne ou elle prenait du bon temps dans les différents clubs. De temps en temps elle rendait la justice en tant que Huntress et protégeait les honnêtes citoyens, mais maintenant son costume était surtout un autre accessoire pour ses nuits de débauche avec sa maîtresse.
Helena venait de se voir confier une mission très particulière par Ishtar ; Akimbo, un ancien arpenteur qui parcourait le Multivers et un amant de Theorem, l’esclave favori d’Ishtar, avait récemment reçu la bénédiction d’un dieu porcin et s’était transformé en hybride-truie. Elle était désormais au service d’un autre hybride, un certain Bhouta, et ce dernier voulait que sa nouvelle esclave se perfectionne en qualité de pute. Et c’était là que Helena intervenait : elle allait devenir l’instructrice de la buta afin de faire d’elle une parfaite petite pute, à la fois dans son corps et dans sa tête. Honnêtement la jeune femme ne savait pas trop comment elle allait procéder, elle n’était même pas sûre d’être qualifiée pour cette tâche, mais puisque sa maîtresse le lui avait ordonné elle n’avait pas d’autre choix qu’obéir.
Pour cette première soirée de formation Helena avait rendez-vous au Gulag, un club BDSM réservé à une clientèle privilégiée qui aimait les expériences extrêmes et qu'on ne voyait pas dans les bordels de bas étage, où on payait pour dominer durement et sans compromis. Elle y était déjà venue plusieurs fois, en tant que cliente pour dominer les esclaves mais aussi pour s’y prostituer et se faire malmener, et à chaque fois elle y avait vécu des expériences plutôt intenses. Ça semblait un peu extrême pour une première rencontre avec Suida mais encore une fois elle n’allait pas discuter les instructions d’Ishtar. Elle portait un manteau de cuir noir sous lequel elle avait une robe bodycon qui exposait bien sa poitrine, ainsi que des bas et des gants en latex et un string en latex. C’était une tenue assez classique pour ses sorties de prostituée, ça devrait faire l’affaire pour former une future pute. Elle alla retrouver Suida dans une loge privée qui contenait tout le confort pour jouer : des éléments de suspension avec des chaînes, des outils de BDSM et même un point d'eau et des étagères de matériel en tout genre.
« Bonsoir, c’est toi Suida ? »
Une buta dans la loge privée qui leur avait été réservée… ça aurait difficilement pu être quelqu’un d’autre mais elle voulut quand même s’en assurer.
« Ravie de te rencontrer, moi c’est Helena. Sur ordre de l’amirale Ishtar Naviento je suis là pour t’apprendre à devenir une pute.
Désolée pour le retard mais dès que je suis entrée dans le club une cliente m’a pris pour une des prostituées qui travaillent ici et elle m’a emmenée avec elle. J’ai bien essayé de lui expliquer mais elle était complètement perchée à cause de la drogue, il a fallu que je la suce pendant dix minutes et qu’elle me baise en levrette pour qu’elle redescende assez bas et qu’elle écoute ce que j’avais à dire. Enfin c’était pas si terrible, je me suis fait 200Ke. »
50 pour la fellation, 100 pour la baise et 50 de la cliente qui voulait s’excuser d’avoir ainsi importunée la favorite de l’amirale.
« Bien. D’après ce que m’a expliqué l’amirale, ton maître veut parfaire ton expérience de pute. Je ne peux pas te promettre que je ferai de toi la salope parfaite mais je peux te partager mon expérience, te dire ce qui a marché pour moi et voir ce qu’on peut faire de toi.
Pour commencer, enlève-moi ce manteau. »
Helena en fit de même pour laisser Suida admirer sa tenue tout en l’observant sous toutes les coutures. La buta était très bien faite, elle avait des cheveux bruns très longs, une peau légèrement hâlée, un visage aux traits fins, un corps robuste et athlétique mais aux courbes féminines très généreuses, avec une poitrine rebondie et des hanches larges, et un léger surpoids qui la rend encore plus appétissante. Elle avait enfilé une paire de bas rose en latex, des longs gants assortis, un collier de soumise, des patchs en forme de tête de cochon sur ses tétons et une cage de chasteté en forme de tête de cochon.
« Ben dis donc… t’es bien faite toi. Ton maître a de la chance. »
Helena palpa un peu la marchandise puis jeta un coup d’œil de plus près à son collier d’esclave.
« Fuckpig… parfait. »
La jeune femme alla s’asseoir dans un des canapés de la loge, et juste après plusieurs employés du club entrèrent avec des chariots remplis de nourriture. Il y avait de la viande, du poisson, des légumes, des fruits, des desserts… que des bonnes choses à manger.
« Je ne connais pas trop le peuple buta mais Ishtar m’a dit que vous aviez deux passions dans la vie : la nourriture et le sexe. Donc pour bien commencer je te propose un petit buffet. »
Cependant Suida allait vite remarquer qu’il n’y avait ni assiettes ni couverts dans les chariots. Et pour cause, Helena voulait la voir manger avec les mains comme un animal.
« Allez vas-y la truie, empiffre-toi. Si tu as soif il y a une gamelle à côté du point d'eau pour toi. »
Première leçon de pute pour la buta : obéissance et humiliation. La jeune femme était curieuse de voir si elle allait essayer de manger dignement ou si elle allait se prendre au jeu et se goinfrer comme une truie.
« Parle-moi de toi, j’ai besoin de savoir à qui j’ai affaire. Comment tu es devenue une pute ? C’est toi qui as choisi ou c’est ton maître qui a décidé ? Tu es une pute juste pour lui ou tu vends ton cul à d’autres ? D’ailleurs… est-ce que tu reconnais être une pute ? Et même… qu’est-ce que c’est pour toi une pute ? »
En réalité Helena avait déjà un briefing complet d’Ishtar sur Akimbo et sa transition en tant que Suida, mais elle voulait entendre comment la buta se percevait elle-même et comment elle vivait sa nouvelle condition de femme et de pute.
Helena venait de se voir confier une mission très particulière par Ishtar ; Akimbo, un ancien arpenteur qui parcourait le Multivers et un amant de Theorem, l’esclave favori d’Ishtar, avait récemment reçu la bénédiction d’un dieu porcin et s’était transformé en hybride-truie. Elle était désormais au service d’un autre hybride, un certain Bhouta, et ce dernier voulait que sa nouvelle esclave se perfectionne en qualité de pute. Et c’était là que Helena intervenait : elle allait devenir l’instructrice de la buta afin de faire d’elle une parfaite petite pute, à la fois dans son corps et dans sa tête. Honnêtement la jeune femme ne savait pas trop comment elle allait procéder, elle n’était même pas sûre d’être qualifiée pour cette tâche, mais puisque sa maîtresse le lui avait ordonné elle n’avait pas d’autre choix qu’obéir.
Pour cette première soirée de formation Helena avait rendez-vous au Gulag, un club BDSM réservé à une clientèle privilégiée qui aimait les expériences extrêmes et qu'on ne voyait pas dans les bordels de bas étage, où on payait pour dominer durement et sans compromis. Elle y était déjà venue plusieurs fois, en tant que cliente pour dominer les esclaves mais aussi pour s’y prostituer et se faire malmener, et à chaque fois elle y avait vécu des expériences plutôt intenses. Ça semblait un peu extrême pour une première rencontre avec Suida mais encore une fois elle n’allait pas discuter les instructions d’Ishtar. Elle portait un manteau de cuir noir sous lequel elle avait une robe bodycon qui exposait bien sa poitrine, ainsi que des bas et des gants en latex et un string en latex. C’était une tenue assez classique pour ses sorties de prostituée, ça devrait faire l’affaire pour former une future pute. Elle alla retrouver Suida dans une loge privée qui contenait tout le confort pour jouer : des éléments de suspension avec des chaînes, des outils de BDSM et même un point d'eau et des étagères de matériel en tout genre.
« Bonsoir, c’est toi Suida ? »
Une buta dans la loge privée qui leur avait été réservée… ça aurait difficilement pu être quelqu’un d’autre mais elle voulut quand même s’en assurer.
« Ravie de te rencontrer, moi c’est Helena. Sur ordre de l’amirale Ishtar Naviento je suis là pour t’apprendre à devenir une pute.
Désolée pour le retard mais dès que je suis entrée dans le club une cliente m’a pris pour une des prostituées qui travaillent ici et elle m’a emmenée avec elle. J’ai bien essayé de lui expliquer mais elle était complètement perchée à cause de la drogue, il a fallu que je la suce pendant dix minutes et qu’elle me baise en levrette pour qu’elle redescende assez bas et qu’elle écoute ce que j’avais à dire. Enfin c’était pas si terrible, je me suis fait 200Ke. »
50 pour la fellation, 100 pour la baise et 50 de la cliente qui voulait s’excuser d’avoir ainsi importunée la favorite de l’amirale.
« Bien. D’après ce que m’a expliqué l’amirale, ton maître veut parfaire ton expérience de pute. Je ne peux pas te promettre que je ferai de toi la salope parfaite mais je peux te partager mon expérience, te dire ce qui a marché pour moi et voir ce qu’on peut faire de toi.
Pour commencer, enlève-moi ce manteau. »
Helena en fit de même pour laisser Suida admirer sa tenue tout en l’observant sous toutes les coutures. La buta était très bien faite, elle avait des cheveux bruns très longs, une peau légèrement hâlée, un visage aux traits fins, un corps robuste et athlétique mais aux courbes féminines très généreuses, avec une poitrine rebondie et des hanches larges, et un léger surpoids qui la rend encore plus appétissante. Elle avait enfilé une paire de bas rose en latex, des longs gants assortis, un collier de soumise, des patchs en forme de tête de cochon sur ses tétons et une cage de chasteté en forme de tête de cochon.
« Ben dis donc… t’es bien faite toi. Ton maître a de la chance. »
Helena palpa un peu la marchandise puis jeta un coup d’œil de plus près à son collier d’esclave.
« Fuckpig… parfait. »
La jeune femme alla s’asseoir dans un des canapés de la loge, et juste après plusieurs employés du club entrèrent avec des chariots remplis de nourriture. Il y avait de la viande, du poisson, des légumes, des fruits, des desserts… que des bonnes choses à manger.
« Je ne connais pas trop le peuple buta mais Ishtar m’a dit que vous aviez deux passions dans la vie : la nourriture et le sexe. Donc pour bien commencer je te propose un petit buffet. »
Cependant Suida allait vite remarquer qu’il n’y avait ni assiettes ni couverts dans les chariots. Et pour cause, Helena voulait la voir manger avec les mains comme un animal.
« Allez vas-y la truie, empiffre-toi. Si tu as soif il y a une gamelle à côté du point d'eau pour toi. »
Première leçon de pute pour la buta : obéissance et humiliation. La jeune femme était curieuse de voir si elle allait essayer de manger dignement ou si elle allait se prendre au jeu et se goinfrer comme une truie.
« Parle-moi de toi, j’ai besoin de savoir à qui j’ai affaire. Comment tu es devenue une pute ? C’est toi qui as choisi ou c’est ton maître qui a décidé ? Tu es une pute juste pour lui ou tu vends ton cul à d’autres ? D’ailleurs… est-ce que tu reconnais être une pute ? Et même… qu’est-ce que c’est pour toi une pute ? »
En réalité Helena avait déjà un briefing complet d’Ishtar sur Akimbo et sa transition en tant que Suida, mais elle voulait entendre comment la buta se percevait elle-même et comment elle vivait sa nouvelle condition de femme et de pute.
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- Suida ''Erona'' Trogia
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- Enregistré le : 17 août 2024 10:57
Suida s'était beaucoup inquiétée d'attendre dans cette loge toute seule, mais heureusement celle qui allait être sa mentor en terme de pute ne tarda pas à se présenter. Dur pour elle de croire que cette femme qui présentait si bien venait tout juste de baiser... Mais si elle le disait c'était compliqué de la remettre en question.
"Bonsoir Madame ! Oui, je suis Suida Trogia."
Tranquillement, elle l'écouta se présenter avant de lui demander de retirer son manteau... Elle s'exécuta devant cette magnifique femme en latex au corps taillé pour le sexe et à la musculature aussi sexy que ses formes. A côté, la truie se sentait comme un sous-produit, inférieure en terme de beauté mais Helena la complimenta, venant un peu la palper ici et là. Finalement on lui apporta un grand buffet. Il y avait de tout avec une absence totale de couverts. Le choix était varié et de réputation les Ryu ne faisait pas de la bonne cuisine, elle avait peu mangé la veille ici... Mais face à ce buffet, dur de résister. Son odorat surdéveloppé de Buta lui disait que tout était merveilleux et elle ne put s'empêcher de saliver. Un peu honteuse, elle prit doucement une petite côte grillée avant de mordre dedans. L'explosion de saveur fut immédiate et ses sens de truie lui firent vivre une explosion culinaire merveilleuse. Elle goûta à tout, avant de prendre quelques minutes pour répondre à sa mentor, s'essuyant la bouche avec son pouce recouvert de latex rose.
"Et bien... je m'appelle Suida, c'est le prénom que m'a donné Maître Bhouta. Je suis sa Erona, son esclave sexuel. J... J'était un homme autrefois... J... Vous devez ne pas vous rappeler de moi... J... je suis... Je suis Akimbo... L'amant de Theorem... Nous avions... couchez... ensembles..."
Cette époque semblait tellement loin et désormais impossible de revenir à ce moment. Suida était en cage de chasteté et ne se sentait plus capable de se faire une femme en vrai... Mais ses souvenirs de sa vie d'avant étaient intacts et elle se souvenait bien lui avoir fait l'amour... Ce qui faisait que ça lui manquait d'autant plus fort désormais... Mais Suida n'avait pas terminé de s'humilier.
"M... Mon nouveau dieu, Moccus... M'a donné ce corps selon mes désirs profonds... Alors j'imagine que je me suis toujours sentit pute... J... J'ai déjà eut quelques clients pour lui, mais c'était surtout... des VIP de son carnet d'adresse... Je n'ai jamais vraiment couché avec des inconnus... J... Je suis..."
Elle baissa un peu les yeux, de honte, mais sa cage de chasteté ne cacha pas un fin filet de liquide séminal qui coula d'excitation de sa cage de chasteté, comme si le cochon en plastique rose salivait.
"Je suis une pute...
Et je vais apprendre avec vous à satisfaire des inconnus, à aimer ça, et à me faire payer..."
Excitée par tout ça, mais profondément humilia, Suida finit par se mettre doucement à quatre pattes devant Helena, non loin de sa cuisse recouverte de latex. Son odeur sexuelle venait jusqu'à la truie.
"Han... Madame... J'ai tellement de bons souvenirs d'avoir couché avec une beauté comme vous... Je me sens si chanceuse de vous fréquenter à nouveau... Et votre parfum... m'excite comme jamais..."
"Bonsoir Madame ! Oui, je suis Suida Trogia."
Tranquillement, elle l'écouta se présenter avant de lui demander de retirer son manteau... Elle s'exécuta devant cette magnifique femme en latex au corps taillé pour le sexe et à la musculature aussi sexy que ses formes. A côté, la truie se sentait comme un sous-produit, inférieure en terme de beauté mais Helena la complimenta, venant un peu la palper ici et là. Finalement on lui apporta un grand buffet. Il y avait de tout avec une absence totale de couverts. Le choix était varié et de réputation les Ryu ne faisait pas de la bonne cuisine, elle avait peu mangé la veille ici... Mais face à ce buffet, dur de résister. Son odorat surdéveloppé de Buta lui disait que tout était merveilleux et elle ne put s'empêcher de saliver. Un peu honteuse, elle prit doucement une petite côte grillée avant de mordre dedans. L'explosion de saveur fut immédiate et ses sens de truie lui firent vivre une explosion culinaire merveilleuse. Elle goûta à tout, avant de prendre quelques minutes pour répondre à sa mentor, s'essuyant la bouche avec son pouce recouvert de latex rose.
"Et bien... je m'appelle Suida, c'est le prénom que m'a donné Maître Bhouta. Je suis sa Erona, son esclave sexuel. J... J'était un homme autrefois... J... Vous devez ne pas vous rappeler de moi... J... je suis... Je suis Akimbo... L'amant de Theorem... Nous avions... couchez... ensembles..."
Cette époque semblait tellement loin et désormais impossible de revenir à ce moment. Suida était en cage de chasteté et ne se sentait plus capable de se faire une femme en vrai... Mais ses souvenirs de sa vie d'avant étaient intacts et elle se souvenait bien lui avoir fait l'amour... Ce qui faisait que ça lui manquait d'autant plus fort désormais... Mais Suida n'avait pas terminé de s'humilier.
"M... Mon nouveau dieu, Moccus... M'a donné ce corps selon mes désirs profonds... Alors j'imagine que je me suis toujours sentit pute... J... J'ai déjà eut quelques clients pour lui, mais c'était surtout... des VIP de son carnet d'adresse... Je n'ai jamais vraiment couché avec des inconnus... J... Je suis..."
Elle baissa un peu les yeux, de honte, mais sa cage de chasteté ne cacha pas un fin filet de liquide séminal qui coula d'excitation de sa cage de chasteté, comme si le cochon en plastique rose salivait.
"Je suis une pute...
Et je vais apprendre avec vous à satisfaire des inconnus, à aimer ça, et à me faire payer..."
Excitée par tout ça, mais profondément humilia, Suida finit par se mettre doucement à quatre pattes devant Helena, non loin de sa cuisse recouverte de latex. Son odeur sexuelle venait jusqu'à la truie.
"Han... Madame... J'ai tellement de bons souvenirs d'avoir couché avec une beauté comme vous... Je me sens si chanceuse de vous fréquenter à nouveau... Et votre parfum... m'excite comme jamais..."

- Helena Wayne
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- Enregistré le : 16 août 2024 16:26
Comme Helena s’y attendait Suida ne résista pas au buffet mais elle ne s’y jeta pas pour autant. Elle mangeait avec retenue, sans se donner en spectacle et en continuant à parler à Helena. Elle ne se cacha pas de son passé en tant qu’Akimbo mais cela ne semblait pas lui manquer le moins du monde, elle avait pleinement embrassé son nouveau corps et sa nouvelle vie. Elle se sentait pute et elle aimait ça, elle avait déjà eu quelques clients mais c’étaient des connaissances de son maître, elle ne s’était jamais vendue à des inconnus. L’humaine voyait bien que la buta était excitée par ses propres mots, elle la regarda se mettre doucement à quatre pattes devant elle et renifler l’odeur sexuelle qui se dégageait de son latex.
« Oui c’est vrai, tu as de la chance d’être avec moi ce soir. La plupart des gens doivent payer pour avoir ce plaisir, mais toi tu vas pouvoir t’amuser avec moi sans dépenser un sou. Il faut juste que tu acceptes de te soumettre entièrement à moi et de faire tout ce que je te dis. »
Helena caressa les cheveux de Suida, se léchant les babines en pensant à tout ce qu’elle allait pouvoir faire à cette truie. Ishtar lui avait donné carte blanche pour en faire une pute aussi talentueuse qu’elle et elle ne manquait pas d’idées pour pousser cette truie dans le stupre et la dépravation.
« Je vais t’apprendre à mettre tes charmes en valeur, à séduire des inconnus, à utiliser ton corps pour les satisfaire et te faire payer pour ça… mais le plaisir, ça doit venir de toi. Au mieux je peux t’apprendre à le simuler pour flatter l’ego de tes clients quand leurs performances sont médiocres. »
Ca lui était déjà arrivé plusieurs fois de se retrouver avec des personnes incapables de la satisfaire mais il fallait bien qu’elle soit payé alors elle faisait tout pour donner l’illusion qu’elle passait un bon moment.
« Mais on verra ça plus tard. D’ailleurs avant même que je commence à t’apprendre quoi que ce soit je veux t’entendre dire quelque chose. »
Elle prit son menton et lui fit lever la tête pour qu’elle la regarde dans les yeux.
« Je veux t’entendre dire que tu es une pute, un vulgaire morceau de viande juste bon à être baisé, et que tu feras absolument tout ce que je te dirai de faire pour devenir une parfaite prostituée. »
La buta devait comprendre dans quelle situation elle se trouvait et l’accepter entièrement si elle voulait progresser dans la voie qu’elle visait.
« Oui c’est vrai, tu as de la chance d’être avec moi ce soir. La plupart des gens doivent payer pour avoir ce plaisir, mais toi tu vas pouvoir t’amuser avec moi sans dépenser un sou. Il faut juste que tu acceptes de te soumettre entièrement à moi et de faire tout ce que je te dis. »
Helena caressa les cheveux de Suida, se léchant les babines en pensant à tout ce qu’elle allait pouvoir faire à cette truie. Ishtar lui avait donné carte blanche pour en faire une pute aussi talentueuse qu’elle et elle ne manquait pas d’idées pour pousser cette truie dans le stupre et la dépravation.
« Je vais t’apprendre à mettre tes charmes en valeur, à séduire des inconnus, à utiliser ton corps pour les satisfaire et te faire payer pour ça… mais le plaisir, ça doit venir de toi. Au mieux je peux t’apprendre à le simuler pour flatter l’ego de tes clients quand leurs performances sont médiocres. »
Ca lui était déjà arrivé plusieurs fois de se retrouver avec des personnes incapables de la satisfaire mais il fallait bien qu’elle soit payé alors elle faisait tout pour donner l’illusion qu’elle passait un bon moment.
« Mais on verra ça plus tard. D’ailleurs avant même que je commence à t’apprendre quoi que ce soit je veux t’entendre dire quelque chose. »
Elle prit son menton et lui fit lever la tête pour qu’elle la regarde dans les yeux.
« Je veux t’entendre dire que tu es une pute, un vulgaire morceau de viande juste bon à être baisé, et que tu feras absolument tout ce que je te dirai de faire pour devenir une parfaite prostituée. »
La buta devait comprendre dans quelle situation elle se trouvait et l’accepter entièrement si elle voulait progresser dans la voie qu’elle visait.
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- Suida ''Erona'' Trogia
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Suida se savait totalement prise dans ce jeu de domination et de soumission. Elle était devenue le jouet pervers autant de son Maître Bhouta, mais aussi de cette famille dégénérée qu'était les von Nacht. Helena était la femme trophée de l'Amirale Gouverneure. Elle avait eut une dent personnel contre Akimbo car il avait été humain, en plus d'être un homme, et le voir coucher avec son précieux Theorem avait toujours été un spectacle qui lui déplaisait à simplement imaginer. Désormais, Akimbo n'était plus. A force de copuler sauvagement avec Bhouta, ils avaient attirés l'attention du dieu porcin Moccus... Et le gratifiant d'un corps fidèle à ce qu'il aurait aimé avoir, il en avait fait une cochonne au corps généreux et délectable. Et dans ces moments là, Suida laissait de côté son humanité et sa dignité pour devenir Erona, la pute de son Maître. Devant les injonction d'Huntress, la truie baissa un peu les yeux avant de répondre en regardant l'humaine droit dans les yeux.
"Je suis une pute, un bout de viande, un onahole pour qui veut étancher sa soif de sexe. J'écarte les cuisses pour qui a de l'argent de poche à me donner... Erona la Fuckpig est à votre service, Madame."
Elle ouvrit la bouche, tirant la langue, prête à recevoir le crachat de cette femme si parfaite. Et dire qu'elle avait eut le luxe de coucher avec elle juste pour faire jalouser Theorem... Mais ça avait été une chance unique. Maintenant qu'il n'était plus le Akimbo d'avant mais une soumise à gros nichons et au cul bien ouvert, elle allait assumer sa transformation jusqu'au bout. En plus elle n'avait plus besoin de penser et c'était... plutôt confortable. Elle finit par se baisser et réalisa un dogeza, cette pose de soumission extrême, son front touchant quasiment le sol, exposée et soumise devant sa Maîtresse de ce soir.
"Madame, ou Maîtresse, je garde de très bons souvenir de votre corps si parfait. Merci de faire de moi une pute de haute qualité et de faire de moi la salope que mon Maître désir ardemment. Je me soumet à vous et je suis prête à endurer les pires entraînements sexuels pour faire de moi la truie maso rêvée, Helena-Sama..."
Elle garda la position jusqu'à ce que Helena lui demande de se redresser, restant le visage bas et face au sol.
"Je suis une pute, un bout de viande, un onahole pour qui veut étancher sa soif de sexe. J'écarte les cuisses pour qui a de l'argent de poche à me donner... Erona la Fuckpig est à votre service, Madame."
Elle ouvrit la bouche, tirant la langue, prête à recevoir le crachat de cette femme si parfaite. Et dire qu'elle avait eut le luxe de coucher avec elle juste pour faire jalouser Theorem... Mais ça avait été une chance unique. Maintenant qu'il n'était plus le Akimbo d'avant mais une soumise à gros nichons et au cul bien ouvert, elle allait assumer sa transformation jusqu'au bout. En plus elle n'avait plus besoin de penser et c'était... plutôt confortable. Elle finit par se baisser et réalisa un dogeza, cette pose de soumission extrême, son front touchant quasiment le sol, exposée et soumise devant sa Maîtresse de ce soir.
"Madame, ou Maîtresse, je garde de très bons souvenir de votre corps si parfait. Merci de faire de moi une pute de haute qualité et de faire de moi la salope que mon Maître désir ardemment. Je me soumet à vous et je suis prête à endurer les pires entraînements sexuels pour faire de moi la truie maso rêvée, Helena-Sama..."
Elle garda la position jusqu'à ce que Helena lui demande de se redresser, restant le visage bas et face au sol.

- Helena Wayne
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Helena fut presque surprise de voir Suida se soumettre aussi rapidement et sans hésitation, elle semblait déjà être dans un bon état d’esprit pour sa formation de pute. Elle se mit même en dogeza pour remercier sa maîtresse du temps qu’elle lui accordait et lui assurer qu’elle était prête à endurer les pires entraînements sexuels pour faire d’elle la truie maso rêvée. Amusée, la jeune femme appuya son pied sur sa tête, savourant toute la soumission et le désir qu’elle percevait dans sa nouvelle esclave d’un soir avant de la laisser se relever.
« Parfait. Je te ferai de toi une belle pute pour ton maître. Il y aura des leçons mais aussi des travaux pratiques. »
Ishtar s’était assurée qu’Helena ait à sa disposition tout le personnel et les ressources du Gulag pour mener à bien sa mission. Elle attrapa une cravache et utilisa le bout pour caresser le corps de Suida, la regardant frémir avec amusement.
« Première leçon : tu es une pute donc à partir de maintenant ton seul but dans la vie c’est de satisfaire les désirs des autres. Tu dois toujours obéir à tes clients tant que ça ne te met pas en danger physiquement ou mentalement. »
Ça lui était déjà arrivé une fois, un type qui prenait son pied à poignarder les prostituées après les avoir baisées. Il avait essayé de faire pareil avec elle, elle l’avait neutralisé et livré aux autorités, sa maîtresse lui avait même laissé le plaisir de le torturer un peu avant qu’il ne soit envoyé en prison.
Helena approcha la cravache de la poitrine de Suida et y mit quelques tapes pour chauffer la buta.
« Deuxième leçon : une pute ne baise jamais sans se faire payer. Peu importe qu’on te demande une simple fellation ou de te baiser le cul pendant des heures, ton corps est une marchandise et tu dois toujours le monnayer. La seule exception c’est ton maître, lui il te peut te baiser comme il veut et gratuitement. Et bien sûr les personnes à qui il te donne, comme moi par exemple, peuvent aussi te baiser gratis. »
Elle concentra les coups suivants de cravache sur ses tétons pour la faire couiner puis la fit se mettre à genoux avant d’écarter les cuisses en grand.
« Bouffe-moi la chatte salope, que je voie ce que tu sais faire avec ta bouche et la quantité de travail à faire pour te mettre au niveau. »
« Parfait. Je te ferai de toi une belle pute pour ton maître. Il y aura des leçons mais aussi des travaux pratiques. »
Ishtar s’était assurée qu’Helena ait à sa disposition tout le personnel et les ressources du Gulag pour mener à bien sa mission. Elle attrapa une cravache et utilisa le bout pour caresser le corps de Suida, la regardant frémir avec amusement.
« Première leçon : tu es une pute donc à partir de maintenant ton seul but dans la vie c’est de satisfaire les désirs des autres. Tu dois toujours obéir à tes clients tant que ça ne te met pas en danger physiquement ou mentalement. »
Ça lui était déjà arrivé une fois, un type qui prenait son pied à poignarder les prostituées après les avoir baisées. Il avait essayé de faire pareil avec elle, elle l’avait neutralisé et livré aux autorités, sa maîtresse lui avait même laissé le plaisir de le torturer un peu avant qu’il ne soit envoyé en prison.
Helena approcha la cravache de la poitrine de Suida et y mit quelques tapes pour chauffer la buta.
« Deuxième leçon : une pute ne baise jamais sans se faire payer. Peu importe qu’on te demande une simple fellation ou de te baiser le cul pendant des heures, ton corps est une marchandise et tu dois toujours le monnayer. La seule exception c’est ton maître, lui il te peut te baiser comme il veut et gratuitement. Et bien sûr les personnes à qui il te donne, comme moi par exemple, peuvent aussi te baiser gratis. »
Elle concentra les coups suivants de cravache sur ses tétons pour la faire couiner puis la fit se mettre à genoux avant d’écarter les cuisses en grand.
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- Suida ''Erona'' Trogia
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- Enregistré le : 17 août 2024 10:57
Dur pour Suida de ne pas se sentir hypnotisée par tout ça... Les mots d'Huntress rentraient dans ses oreilles, mais c'est sa poitrine qui réagissait, accélérant son rythme cardiaque. Elle était presque hypnotisée devant ces instructions, se tenant assise sur ses genoux, ses jambes gainées de latex rose formant de délicieux reflets de lumière. Ses bras gainés par les gants en latex rose étaient le long du corps et presque par habitude, elle les mit dans son dos, courbant lascivement sa posture, mettant sa poitrine à la merci de son instructrice qui la couvrait de quelques coups de cravache et de caresses du bout de cette dernière. Ses seins imposants, aux tétons recouverts d'une petite pastille en forme de coeur en latex rose se zébraient de rouge sous les coups de l'humaine. Puis soudain l'ordre tomba.
"Oui Madame ! Oink oink !"
Suida se mit à quatre pattes et avança d'à peine un mètre pour être au contact avec sa Maîtresse. Cette proximité, c'était comme si elle sentait la chaleur irradier de cette déesse vivante. Une envie dévorante de caresser ces cuisses musclées couvertes de latex l'envahissait... Mais elle garda ses mains dans son dos, bien obéissante. Elle approcha doucement son visage de l'entrejambes d'Helena. Elle sourit doucement à sa maîtresse du jour avant de s'approcher de son objectif. L'odeur de sa chatte flatta de suite son groin. Sa fente intime, moulée par ce triangle de latex noir brillant dans la pénombre. Suida fermant doucement les yeux avant d'enfin poser sa langue sur ce string luisant. Bon sang, elle sentait si bon la luxure et le sexe. Suida n'aurait jamais imaginer pouvoir lécher ce sous-vêtements de sa vie, c'était un véritable luxe ! Lécher sa chatte directement ?... Non, c'était trop fou, trop inaccessible, un privilège trop grand, même pour son esclave personnel.
"Hmm han... Merci Madame !"
Suida aligna encore ses coups de langues de bas en haut, sentant sa fente juste sous la mince couche de latex. Ce string était si moulant qu'elle sentait son clitoris bien dur. Suida insista là, faisant des cercles, des tracés de lettres avec sa langue sur ce petit organe pour le stimuler. Et puis cette odeur... La truie était aux anges et sentait son pénis en cage se durcir malgré elle, lâchant une goutte de pré-sperme. Elle sentait son utilisatrice trembler par moment et ses gémissements encourageaient la Buta. Si Huntress ne lui disait rien, elle allait continuer jusqu'à son orgasme...
"Oui Madame ! Oink oink !"
Suida se mit à quatre pattes et avança d'à peine un mètre pour être au contact avec sa Maîtresse. Cette proximité, c'était comme si elle sentait la chaleur irradier de cette déesse vivante. Une envie dévorante de caresser ces cuisses musclées couvertes de latex l'envahissait... Mais elle garda ses mains dans son dos, bien obéissante. Elle approcha doucement son visage de l'entrejambes d'Helena. Elle sourit doucement à sa maîtresse du jour avant de s'approcher de son objectif. L'odeur de sa chatte flatta de suite son groin. Sa fente intime, moulée par ce triangle de latex noir brillant dans la pénombre. Suida fermant doucement les yeux avant d'enfin poser sa langue sur ce string luisant. Bon sang, elle sentait si bon la luxure et le sexe. Suida n'aurait jamais imaginer pouvoir lécher ce sous-vêtements de sa vie, c'était un véritable luxe ! Lécher sa chatte directement ?... Non, c'était trop fou, trop inaccessible, un privilège trop grand, même pour son esclave personnel.
"Hmm han... Merci Madame !"
Suida aligna encore ses coups de langues de bas en haut, sentant sa fente juste sous la mince couche de latex. Ce string était si moulant qu'elle sentait son clitoris bien dur. Suida insista là, faisant des cercles, des tracés de lettres avec sa langue sur ce petit organe pour le stimuler. Et puis cette odeur... La truie était aux anges et sentait son pénis en cage se durcir malgré elle, lâchant une goutte de pré-sperme. Elle sentait son utilisatrice trembler par moment et ses gémissements encourageaient la Buta. Si Huntress ne lui disait rien, elle allait continuer jusqu'à son orgasme...

- Helena Wayne
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- Enregistré le : 16 août 2024 16:26
Si Helena devait faire de Suida une pute elle devait d’abord voir ce dont elle était capable, ça lui permettrait de déterminer la quantité de travail qu’il allait falloir accomplir pour faire de cette femme une amante digne de ce nom. Evidemment la buta ne se fit pas prier et avança à quatre pattes jusqu’à coller son groin contre l’entrejambe de l’humaine, savourant l’odeur de cyprine et de sueur qui l’imprégnait. La pute portait un string de latex pour se couvrir les parties intimes mais il était si fin que son élève pouvait facilement lui faire un cunni sans l’enlever et c’est exactement ce qu’elle fit, insistant sur son clitoris gonflé en faisant des cercles dessus avec sa langue.
« Ooohhh… c’est bien… tu sais où lécher, la truie. »
Helena plaqua ses deux mains sur la tête de Suida, l’encourageant à enfoncer son visage le plus possible entre ses cuisses et à vraiment dévorer sa vulve.
« Ne te retiens pas… vas-y à fond. Aaahhh… tes clients voudront… que tu donnes tout pour eux. »
Même quand elle était avec des clients plutôt soumis qui voulaient se payer une belle femme autoritaire elle faisait toujours en sorte de se donner à fond tant qu’ils ne lui disaient pas de faire autrement. Quand une pute vend son cul cher elle doit s’assurer que le client en a pour son argent.
Helena frémissait sur place en sentant la langue de Suida sur sa vulve et son clitoris, la buta n’était pas aussi bonne que la moyenne de ses passes mais au moins elle ne partait pas de rien, elle savait comment faire un cunni et où lécher pour maximiser le plaisir. L’humaine finit par serrer ses cuisses autour de la tête de sa soumise pour bien la maintenir en place et porta ses mains à sa poitrine pour se malaxer les seins pour encore plus de plaisir.
« Ooohhh… oouuii… encore… bouffe-moi la chatte salope ! »
A force de se faire baiser tous les jours Helena avait fini par acquérir une certaine endurance face au plaisir, du coup Suida eut besoin de presque dix minutes de léchouilles ininterrompues sur sa vulve et son clitoris pour parvenir à la faire jouir. Dans un couinement de plaisir la jeune femme contracta tous ses muscles, se pressant fermement la poitrine, et sa mouille gicla abondamment de son entrejambe pour arroser son string mais aussi le visage de la buta. Une fois le choc de la jouissance passée elle écarta ses cuisses et laissa sa soumise s’écarter.
« Aaahhh… c’était pas mal… perfectible mais pas mal. Il faudra qu’on voie… si tu suces aussi bien que tu lèches. »
Elle ferait certainement venir un client ou un employé du club plus tard dans la soirée, ou alors elle l’emmènerait faire un tour du côté des glory holes. En attendant elle tendit son pied couvert de latex vers sa soumise.
« Lèche. »
Pendant qu’elle était occupée à lui nettoyer les orteils la jeune femme continua ses leçons.
« Troisième leçon : en tant que pute tu seras amené à croiser de nombreux clients. Enfin… si tu es une pute aussi populaire et demandée que moi je veux dire. Si tu es une tapineuse de bas étage évidemment tu ne verras que les clients les plus nuls, ceux qui ne s’intéressent à toi que parce que tu es moins chère à baiser que les autres.
Donc en supposant que tu sois une pute très demandée tu auras beaucoup de clients, et chacun d’eux aura des envies différentes. Certains voudront que tu les suces, d’autres voudront te baiser le cul pendant des heures, il y en a même certains qui paieront juste pour te voir à poil ou te regarder manger comme une truie. Et là encore tu te dois de les satisfaire, peu importe ce que toi tu penses de leurs goûts. Il y aura sûrement des choses qui t’emballeront moins que d’autres mais ça ne change rien : si le client a payé et que ton maître est d’accord, tu dois le faire. Et ça je ne peux pas te l’apprendre, c’est à toi d’être en paix avec ton rôle de pute et d’assumer tes actes.
Moi par exemple : quand j’ai commencé à vendre mon corps à la capitale je n’étais pas à l’aise avec le fait de dominer certains clients qui voulaient que je leur fasse des choses que je considérais comme trop rudes. Une fois il y en a un qui m’a demandé de le sodomiser dans des toilettes crasseuses, de le frapper dans les couilles et même de lui mettre la tête dans les toilettes. Je l’ai fait parce qu’il avait payé mais je me sentais mal pour lui, j’avais l’impression d’être une mauvaise personne. Et puis un jour j’ai eu un déclic : les clients ne sont pas idiots, ils comprennent ce qu’ils demandent et pourquoi ils le demandent, ils ne se mettent pas en danger et ont conscience de leurs limites, alors il faut juste leur donner ce qu’ils veulent. Maintenant quand un client me demande de le frapper dans les noix j’y vais avec plaisir. »
C’était sans doute l’un des aspects les plus compliqués de ce travail et la buta y serait très vite confronté alors autant qu’elle s’y prépare déjà mentalement.
« Prenons la situation présente comme autre exemple : peut-être que tu n’as pas aimé que je maintienne la tête entre mes jambes et que je te force à me bouffer la chatte, peut-être que tu n’aimes pas me lécher les pieds, mais on s’en fiche : je suis la cliente, ton maître a accepté mon argent donc tu dois faire ce que je te demande. Tu comprends ? »
L’exemple n’allait sans doute pas l’aider à se mettre dans la bonne mentalité parce qu’elle semblait prendre plaisir à obéir aux ordres de l’humaine et à la satisfaire, mais au moins ça permettait de présenter les choses plus clairement.
« Après j’ai aussi eu la chance d’avoir une maîtresse qui a su faire ressortir le vice et la luxure qui étaient enfouis au fond de moi, elle a habitué mon corps à différentes formes de plaisir et a ouvert mon esprit à de nouvelles perspectives. Avec n’importe qui d’autre je ne serais sans doute pas devenue une pute. Mais bon, si ton dieu – Moccus c’est ça ? – t’a donné ce corps c’est qu’il doit estimer que tu as ce qu’il faut pour faire une bonne pute. »
Seulement pour Helena il ne pouvait pas y avoir de bonne pute sans expérience alors elle enleva son pied du visage de Suida pour écarter de nouveau les cuisses.
« Allez au travail la pute. Et cette fois tu dois me faire jouir plus vite sinon j’appelle la futa droguée qui m’a baisée tout à l’heure et je lui dis de farcir ton gros cul de truie, c’est compris ? »
« Ooohhh… c’est bien… tu sais où lécher, la truie. »
Helena plaqua ses deux mains sur la tête de Suida, l’encourageant à enfoncer son visage le plus possible entre ses cuisses et à vraiment dévorer sa vulve.
« Ne te retiens pas… vas-y à fond. Aaahhh… tes clients voudront… que tu donnes tout pour eux. »
Même quand elle était avec des clients plutôt soumis qui voulaient se payer une belle femme autoritaire elle faisait toujours en sorte de se donner à fond tant qu’ils ne lui disaient pas de faire autrement. Quand une pute vend son cul cher elle doit s’assurer que le client en a pour son argent.
Helena frémissait sur place en sentant la langue de Suida sur sa vulve et son clitoris, la buta n’était pas aussi bonne que la moyenne de ses passes mais au moins elle ne partait pas de rien, elle savait comment faire un cunni et où lécher pour maximiser le plaisir. L’humaine finit par serrer ses cuisses autour de la tête de sa soumise pour bien la maintenir en place et porta ses mains à sa poitrine pour se malaxer les seins pour encore plus de plaisir.
« Ooohhh… oouuii… encore… bouffe-moi la chatte salope ! »
A force de se faire baiser tous les jours Helena avait fini par acquérir une certaine endurance face au plaisir, du coup Suida eut besoin de presque dix minutes de léchouilles ininterrompues sur sa vulve et son clitoris pour parvenir à la faire jouir. Dans un couinement de plaisir la jeune femme contracta tous ses muscles, se pressant fermement la poitrine, et sa mouille gicla abondamment de son entrejambe pour arroser son string mais aussi le visage de la buta. Une fois le choc de la jouissance passée elle écarta ses cuisses et laissa sa soumise s’écarter.
« Aaahhh… c’était pas mal… perfectible mais pas mal. Il faudra qu’on voie… si tu suces aussi bien que tu lèches. »
Elle ferait certainement venir un client ou un employé du club plus tard dans la soirée, ou alors elle l’emmènerait faire un tour du côté des glory holes. En attendant elle tendit son pied couvert de latex vers sa soumise.
« Lèche. »
Pendant qu’elle était occupée à lui nettoyer les orteils la jeune femme continua ses leçons.
« Troisième leçon : en tant que pute tu seras amené à croiser de nombreux clients. Enfin… si tu es une pute aussi populaire et demandée que moi je veux dire. Si tu es une tapineuse de bas étage évidemment tu ne verras que les clients les plus nuls, ceux qui ne s’intéressent à toi que parce que tu es moins chère à baiser que les autres.
Donc en supposant que tu sois une pute très demandée tu auras beaucoup de clients, et chacun d’eux aura des envies différentes. Certains voudront que tu les suces, d’autres voudront te baiser le cul pendant des heures, il y en a même certains qui paieront juste pour te voir à poil ou te regarder manger comme une truie. Et là encore tu te dois de les satisfaire, peu importe ce que toi tu penses de leurs goûts. Il y aura sûrement des choses qui t’emballeront moins que d’autres mais ça ne change rien : si le client a payé et que ton maître est d’accord, tu dois le faire. Et ça je ne peux pas te l’apprendre, c’est à toi d’être en paix avec ton rôle de pute et d’assumer tes actes.
Moi par exemple : quand j’ai commencé à vendre mon corps à la capitale je n’étais pas à l’aise avec le fait de dominer certains clients qui voulaient que je leur fasse des choses que je considérais comme trop rudes. Une fois il y en a un qui m’a demandé de le sodomiser dans des toilettes crasseuses, de le frapper dans les couilles et même de lui mettre la tête dans les toilettes. Je l’ai fait parce qu’il avait payé mais je me sentais mal pour lui, j’avais l’impression d’être une mauvaise personne. Et puis un jour j’ai eu un déclic : les clients ne sont pas idiots, ils comprennent ce qu’ils demandent et pourquoi ils le demandent, ils ne se mettent pas en danger et ont conscience de leurs limites, alors il faut juste leur donner ce qu’ils veulent. Maintenant quand un client me demande de le frapper dans les noix j’y vais avec plaisir. »
C’était sans doute l’un des aspects les plus compliqués de ce travail et la buta y serait très vite confronté alors autant qu’elle s’y prépare déjà mentalement.
« Prenons la situation présente comme autre exemple : peut-être que tu n’as pas aimé que je maintienne la tête entre mes jambes et que je te force à me bouffer la chatte, peut-être que tu n’aimes pas me lécher les pieds, mais on s’en fiche : je suis la cliente, ton maître a accepté mon argent donc tu dois faire ce que je te demande. Tu comprends ? »
L’exemple n’allait sans doute pas l’aider à se mettre dans la bonne mentalité parce qu’elle semblait prendre plaisir à obéir aux ordres de l’humaine et à la satisfaire, mais au moins ça permettait de présenter les choses plus clairement.
« Après j’ai aussi eu la chance d’avoir une maîtresse qui a su faire ressortir le vice et la luxure qui étaient enfouis au fond de moi, elle a habitué mon corps à différentes formes de plaisir et a ouvert mon esprit à de nouvelles perspectives. Avec n’importe qui d’autre je ne serais sans doute pas devenue une pute. Mais bon, si ton dieu – Moccus c’est ça ? – t’a donné ce corps c’est qu’il doit estimer que tu as ce qu’il faut pour faire une bonne pute. »
Seulement pour Helena il ne pouvait pas y avoir de bonne pute sans expérience alors elle enleva son pied du visage de Suida pour écarter de nouveau les cuisses.
« Allez au travail la pute. Et cette fois tu dois me faire jouir plus vite sinon j’appelle la futa droguée qui m’a baisée tout à l’heure et je lui dis de farcir ton gros cul de truie, c’est compris ? »
DC de Shykarka. Merci de me contacter sur mon compte principal pour que je voie votre message rapidement.
- Suida ''Erona'' Trogia
- Messages : 82
- Enregistré le : 17 août 2024 10:57
Le message était clair : Suida, quand elle devenait Erona, devait simplement dire oui et s'investir à fond dans ce qui était demandé. Que ça lui plaise ou non était un peu secondaire. En vrai, la truie comprenait totalement son rôle. Tout en léchant le pied de cette femme supérieure qui lui apprenait les règles, elle était hypnotisée par sa voix, sa posture, sa façon de parler mais aussi son odeur et son goût. Cette robe bodycon violette la mettait tellement en valeur que la truie se demandait si un jour son Maître allait lui faire porter ce genre de choses. Elle se laissa transporter par sa voix avant d'entendre la demande suivante : lui bouffer la chatte, encore, et cette fois la faire jouir bien vite et bien fort. La truie n'aurait jamais pensé pouvoir faire ça deux fois d'affilé alors elle n'allait pas laisser passer cette opportunité.
"Bien Maîtresse !"
Suida libéra son pied avant de venir à nouveau mettre son visage entre les cuisses de son utilisatrice. A peine eut-elle la face non loin de son intimité que cette femme puissante vint plaquer ses mains contre l'arrière de sa tête. Cette prise de contrôle excita d'avantage Suida qui mit sa langue à l'oeuvre, lui bouffant le sexe avec volonté et hardiesse. Là où juste avant elle s'était interdite de passer outre son string de latex, elle le poussa sur le côté pour enfoncer sa langue très sensitive dans son con détrempé. Faisant des cercles avec sa langue, elle passa plusieurs fois à son clitoris qu'elle suçotta et couvrit de formes tracés avec la pointe de cet organe rose et mobile. Elle fit aussi d'amples léchouilles, couvrant son intimité de salive avant de vraiment se concentrer sur les points sensibles de l'humaine. Quand elle réagissait d'avantage à un mouvement ou à un endroit, Suida intensifia ce dernier, chercha la bonne pression, le bon rythme... Il ne fallut pas longtemps pour que Erona trouve la bonne façon de faire et garda les yeux ouverts pour voir sa Maîtresse dans les yeux, rendant le tout encore plus érotique et sensuel.
*Je suis certaines de lui faire du bien là... Vas-y, jute sur ma face... Ce sera ma récompense de t'avoir donné un bon orgasme...*
Tout en se motivant, elle caressant les cuisses de l'humaine avec ses mains gantées de latex rose. Elle chercha le plus de stimulations possibles pour la faire grimper aux rideaux !
"Bien Maîtresse !"
Suida libéra son pied avant de venir à nouveau mettre son visage entre les cuisses de son utilisatrice. A peine eut-elle la face non loin de son intimité que cette femme puissante vint plaquer ses mains contre l'arrière de sa tête. Cette prise de contrôle excita d'avantage Suida qui mit sa langue à l'oeuvre, lui bouffant le sexe avec volonté et hardiesse. Là où juste avant elle s'était interdite de passer outre son string de latex, elle le poussa sur le côté pour enfoncer sa langue très sensitive dans son con détrempé. Faisant des cercles avec sa langue, elle passa plusieurs fois à son clitoris qu'elle suçotta et couvrit de formes tracés avec la pointe de cet organe rose et mobile. Elle fit aussi d'amples léchouilles, couvrant son intimité de salive avant de vraiment se concentrer sur les points sensibles de l'humaine. Quand elle réagissait d'avantage à un mouvement ou à un endroit, Suida intensifia ce dernier, chercha la bonne pression, le bon rythme... Il ne fallut pas longtemps pour que Erona trouve la bonne façon de faire et garda les yeux ouverts pour voir sa Maîtresse dans les yeux, rendant le tout encore plus érotique et sensuel.
*Je suis certaines de lui faire du bien là... Vas-y, jute sur ma face... Ce sera ma récompense de t'avoir donné un bon orgasme...*
Tout en se motivant, elle caressant les cuisses de l'humaine avec ses mains gantées de latex rose. Elle chercha le plus de stimulations possibles pour la faire grimper aux rideaux !

- Helena Wayne
- Messages : 535
- Enregistré le : 16 août 2024 16:26
D’après Helena la meilleure façon pour Suida d’apprendre à bien faire la pute était de répéter les gestes, encore et encore, jusqu’à ce qu’elle les maîtrise à la perfection. Du coup elle lui ordonna de venir à nouveau lui faire un cunni et la buta s’exécuta avec enthousiasme.
Au moins elle a la bonne mentalité, c’est déjà ça.
Suida libéra son pied avant de venir à nouveau mettre son visage entre les cuisses de son utilisatrice. A peine eut elle la face non loin de son intimité que Helena plaqua ses mains contre l'arrière de sa tête pour bien coller son visage à sa vulve pour s’assurer de bien se faire bouffer la chatte. Elle sentit la buta écarter son string en latex du passage et glisser sa langue dans son con détrempé, de quoi la faire gémir d’entrée de jeu.
« Hhhmmm... voilà, comme ça... »
L’humaine pouvait sentir la langue de son amante explorer toute la surface de sa vulve, se glisser à l’intérieur, titiller son clitoris... Chaque fois qu’elle trouvait un point sensible qui faisait frémir sa maîtresse elle s’attardait dessus en jouant avec le bout de son organe rose agile pour la faire frémir encore plus. La jeune femme savourait pleinement cette expérience, sa chatte dégoulinait de mouille que la buta allait se faire une joie de boire et tout son corps était parcouru de vagues de plaisir qui la faisaient se tortiller sur son fauteuil et couiner comme la belle salope qu’elle était. Pour elle qui était habituée à être utilisée pour le plaisir des autres c’était agréable de se sentir au centre de l’attention et d’être celle qu’on voulait faire jouir plutôt que celle qui devait vider les bourses des autres. En plus sa pute la regardait droit dans les yeux tandis qu’elle la broutait, de quoi rendre la chose encore plus érotique et sexy.
« Aaahhh... oui, bonne petite pute... continue, bouffe-moi la chatte. »
Portée par l’excitation Helena enleva une main de la tête de Suida pour venir se caresser la poitrine, palpant ses seins et pinçant ses tétons avec délice tout en couinant plus fort. Elle pouvait encore sentir une forme d’inexpérience dans les mouvements buccaux de la buta mais c’était en bonne voie, il fallait juste la pousser plus loin. Sa langue était agile, elle savait où appuyer… après quelques dizaines de clientes elle serait sans doute une lécheuse compétente.
« Aaahhh... encore... un peu... oui... ooouuuiii ! »
Les efforts déployés par Suida portèrent vite leurs fruits, Helena eut un nouvel orgasme au bout de quelques minutes et sa mouille explosa tel un geyser entre ses cuisses, inondant son string et éclaboussant abondamment le visage de son amante. Comme son string était en latex toute cette cyprine avait tendance à faire coller son dessous à sa peau, ça aurait pu en déranger certaines mais c’était une sensation qu’elle avait appris à aimer.
« Ooohhh… bien, tu as tenu le rythme. Ça me donne l’occasion de t’apprendre une autre leçon : les clients ont tous un rythme différent pour le sexe oral. Certains voudront que ça aille vite pour pouvoir jouir le plus rapidement possible, d’autres voudront que ça dure pour savourer ta bouche… Apprends à t’adapter pour leur donner ce qu’ils veulent sinon ils rechigneront à te payer. D’ailleurs en parlant de ça, autre leçon : si ton client ne te paie pas, n’essaie pas de régler ça toi-même. L’argent c’est la responsabilité de ton maître, c’est lui qui fera en sorte de récupérer ce que les clients doivent s’il y a des mauvais payeurs. »
Helena ne suivait pas cette règle pour sa part mais c’était parce qu’elle savait comment neutraliser des individus même armés, Suida n’avait pas ces compétences et devait donc prioriser sa sécurité.
« Nettoie-moi l’entrejambe, je sens que j’ai encore de la mouille qui coule sur mes cuisses. Ensuite tu peux faire une pause, va donc manger un morceau au buffet. »
L’humaine ouvrit les cuisses en grand pour que la buta la nettoie avec sa la langue tandis qu’elle laissait ses pensées vagabonder. Elle repensa à cette cliente qui l’avait attrapée dès qu’elle était arrivée dans la boîte : à cause de sa tenue elle avait cru qu’elle était l’une des putes engagées de temps en temps par le club pour venir renforcer le personnel. Elle l’avait attrapée par les cheveux, traînée dans une loge et l’avait forcée à se mettre à genoux pour qu’elle avale sa verge. Elle avait bien essayé de lui faire comprendre qu’elle n’était pas là pour la clientèle mais cette femme était sous l’influence de la drogue, trop haut perchée pour écouter ce qu’une prostituée avait à dire. Elle aurait pu la neutraliser facilement mais sa perversion avait vite pris le dessus et elle avait décidé de faire contre mauvaise fortune bon cœur en donnant à cette femme ce qu’elle voulait. En plus elle avait une bite bien longue et épaisse, un délicieux morceau de viande qu’elle avait pris en bouche avec beaucoup de plaisir. Après avoir bien pompé le chibre de la futa pendant une dizaine de minutes elle avait eu droit à une puissante éjaculation, le sperme avait abondamment giclé dans sa bouche et dans sa gorge et elle avait presque tout avalé comme une bonne petite pute, elle avait tellement aimé ça qu’elle en avait même joui. Après ça sa cliente l’avait aussitôt mise à quatre pattes pour la baiser en levrette, sa lance s’enfonçant avec aisance dans sa chatte trempée. La jeune femme avait eu droit à des fessées, des insultes, sa cliente lui avait même craché au visage… et elle avait adoré ça, du début à la fin. Ce qu’elle aimait vraiment dans son travail de pute, plus que le plaisir charnel, c’était ce sentiment d’objectification, qu’on la traite comme un objet de plaisir et pas comme une personne, qu’on se serve de son corps pour se satisfaire, qu’on l’avilisse et qu’on l’humilie… tant que ça n’allait pas trop loin bien sûr.
« Hhhmmm… »
Perdue dans ses pensées elle se sentit de nouveau excitée et se caressa la poitrine, jouant avec ses orbes de chair pour se donner du plaisir pendant que son élève finissait son travail. Après ça la buta alla se servir au buffet comme elle le lui avait demandé et l’humaine resta un moment assis à la regarder. Cette femme était appétissante à regarder, avec toutes ces rondeurs de truie qui lui faisaient les seins bien lourds et le cul bien gras, elle s’en lécha les babines. Elle décida de se mettre un peu plus à l’aise et enleva sa robe bodycon, ne gardant que son string et des cache-tétons en latex en forme de ‘X’. Suida était sa pute, elle n’avait pas le droit de la voir entièrement nue. Elle vint se coller dans son dos, la tête par-dessus son épaule et les mains pelotant la graisse de son ventre.
« C’est ton dieu qui t’as donné ce ventre ou c’est toi qui a insisté pour être aussi grosse ? A moins que tu ne sois devenue comme ça à force de te goinfrer. Regarde-toi… si grasse et enveloppée… une vraie truie. Au moins… hhhmmm… ça te fait de bons gros seins à peloter… sans parler de ton gros cul. Je suis sûre que tes clients seront ravis de te fourrer et de voir ta graisse gigoter. »
Helena pelota sans retenue le ventre, les seins et le cul de Suida tout en la regardant manger. Si son quotidien avec Ishtar avait fait d’elle une soumise naturelle elle prenait aussi beaucoup de plaisir dans la domination quand elle le faisait avec des individus si faibles que cette truie.
« Aahh… j’aime te regarder manger pendant que je te pelote. Je parie que d’autres paieraient pour le même spectacle. Propose l’idée à ton maître quand tu le reverras. »
Si Suida mettait en valeur ses particularités elle pourrait s’attirer une clientèle spécifique qui serait prête à payer plus cher pour certains services. Helena la regarda continuer de manger de bon cœur tout en la pelotant, elle se mit même à frotter ses seins contre son dos et à se caresser la vulve d’une main.
« Hhhmmm… pour la suite de ton entraînement, on va passer aux verges. La plupart de tes clients en auront, tu dois apprendre à bien les satisfaire.
Pour commencer dis-moi : quelle est ton expérience avec les bites ? Tu as déjà branlé, sucé ou été sodomisée depuis que tu as ce corps ? »
Au moins elle a la bonne mentalité, c’est déjà ça.
Suida libéra son pied avant de venir à nouveau mettre son visage entre les cuisses de son utilisatrice. A peine eut elle la face non loin de son intimité que Helena plaqua ses mains contre l'arrière de sa tête pour bien coller son visage à sa vulve pour s’assurer de bien se faire bouffer la chatte. Elle sentit la buta écarter son string en latex du passage et glisser sa langue dans son con détrempé, de quoi la faire gémir d’entrée de jeu.
« Hhhmmm... voilà, comme ça... »
L’humaine pouvait sentir la langue de son amante explorer toute la surface de sa vulve, se glisser à l’intérieur, titiller son clitoris... Chaque fois qu’elle trouvait un point sensible qui faisait frémir sa maîtresse elle s’attardait dessus en jouant avec le bout de son organe rose agile pour la faire frémir encore plus. La jeune femme savourait pleinement cette expérience, sa chatte dégoulinait de mouille que la buta allait se faire une joie de boire et tout son corps était parcouru de vagues de plaisir qui la faisaient se tortiller sur son fauteuil et couiner comme la belle salope qu’elle était. Pour elle qui était habituée à être utilisée pour le plaisir des autres c’était agréable de se sentir au centre de l’attention et d’être celle qu’on voulait faire jouir plutôt que celle qui devait vider les bourses des autres. En plus sa pute la regardait droit dans les yeux tandis qu’elle la broutait, de quoi rendre la chose encore plus érotique et sexy.
« Aaahhh... oui, bonne petite pute... continue, bouffe-moi la chatte. »
Portée par l’excitation Helena enleva une main de la tête de Suida pour venir se caresser la poitrine, palpant ses seins et pinçant ses tétons avec délice tout en couinant plus fort. Elle pouvait encore sentir une forme d’inexpérience dans les mouvements buccaux de la buta mais c’était en bonne voie, il fallait juste la pousser plus loin. Sa langue était agile, elle savait où appuyer… après quelques dizaines de clientes elle serait sans doute une lécheuse compétente.
« Aaahhh... encore... un peu... oui... ooouuuiii ! »
Les efforts déployés par Suida portèrent vite leurs fruits, Helena eut un nouvel orgasme au bout de quelques minutes et sa mouille explosa tel un geyser entre ses cuisses, inondant son string et éclaboussant abondamment le visage de son amante. Comme son string était en latex toute cette cyprine avait tendance à faire coller son dessous à sa peau, ça aurait pu en déranger certaines mais c’était une sensation qu’elle avait appris à aimer.
« Ooohhh… bien, tu as tenu le rythme. Ça me donne l’occasion de t’apprendre une autre leçon : les clients ont tous un rythme différent pour le sexe oral. Certains voudront que ça aille vite pour pouvoir jouir le plus rapidement possible, d’autres voudront que ça dure pour savourer ta bouche… Apprends à t’adapter pour leur donner ce qu’ils veulent sinon ils rechigneront à te payer. D’ailleurs en parlant de ça, autre leçon : si ton client ne te paie pas, n’essaie pas de régler ça toi-même. L’argent c’est la responsabilité de ton maître, c’est lui qui fera en sorte de récupérer ce que les clients doivent s’il y a des mauvais payeurs. »
Helena ne suivait pas cette règle pour sa part mais c’était parce qu’elle savait comment neutraliser des individus même armés, Suida n’avait pas ces compétences et devait donc prioriser sa sécurité.
« Nettoie-moi l’entrejambe, je sens que j’ai encore de la mouille qui coule sur mes cuisses. Ensuite tu peux faire une pause, va donc manger un morceau au buffet. »
L’humaine ouvrit les cuisses en grand pour que la buta la nettoie avec sa la langue tandis qu’elle laissait ses pensées vagabonder. Elle repensa à cette cliente qui l’avait attrapée dès qu’elle était arrivée dans la boîte : à cause de sa tenue elle avait cru qu’elle était l’une des putes engagées de temps en temps par le club pour venir renforcer le personnel. Elle l’avait attrapée par les cheveux, traînée dans une loge et l’avait forcée à se mettre à genoux pour qu’elle avale sa verge. Elle avait bien essayé de lui faire comprendre qu’elle n’était pas là pour la clientèle mais cette femme était sous l’influence de la drogue, trop haut perchée pour écouter ce qu’une prostituée avait à dire. Elle aurait pu la neutraliser facilement mais sa perversion avait vite pris le dessus et elle avait décidé de faire contre mauvaise fortune bon cœur en donnant à cette femme ce qu’elle voulait. En plus elle avait une bite bien longue et épaisse, un délicieux morceau de viande qu’elle avait pris en bouche avec beaucoup de plaisir. Après avoir bien pompé le chibre de la futa pendant une dizaine de minutes elle avait eu droit à une puissante éjaculation, le sperme avait abondamment giclé dans sa bouche et dans sa gorge et elle avait presque tout avalé comme une bonne petite pute, elle avait tellement aimé ça qu’elle en avait même joui. Après ça sa cliente l’avait aussitôt mise à quatre pattes pour la baiser en levrette, sa lance s’enfonçant avec aisance dans sa chatte trempée. La jeune femme avait eu droit à des fessées, des insultes, sa cliente lui avait même craché au visage… et elle avait adoré ça, du début à la fin. Ce qu’elle aimait vraiment dans son travail de pute, plus que le plaisir charnel, c’était ce sentiment d’objectification, qu’on la traite comme un objet de plaisir et pas comme une personne, qu’on se serve de son corps pour se satisfaire, qu’on l’avilisse et qu’on l’humilie… tant que ça n’allait pas trop loin bien sûr.
« Hhhmmm… »
Perdue dans ses pensées elle se sentit de nouveau excitée et se caressa la poitrine, jouant avec ses orbes de chair pour se donner du plaisir pendant que son élève finissait son travail. Après ça la buta alla se servir au buffet comme elle le lui avait demandé et l’humaine resta un moment assis à la regarder. Cette femme était appétissante à regarder, avec toutes ces rondeurs de truie qui lui faisaient les seins bien lourds et le cul bien gras, elle s’en lécha les babines. Elle décida de se mettre un peu plus à l’aise et enleva sa robe bodycon, ne gardant que son string et des cache-tétons en latex en forme de ‘X’. Suida était sa pute, elle n’avait pas le droit de la voir entièrement nue. Elle vint se coller dans son dos, la tête par-dessus son épaule et les mains pelotant la graisse de son ventre.
« C’est ton dieu qui t’as donné ce ventre ou c’est toi qui a insisté pour être aussi grosse ? A moins que tu ne sois devenue comme ça à force de te goinfrer. Regarde-toi… si grasse et enveloppée… une vraie truie. Au moins… hhhmmm… ça te fait de bons gros seins à peloter… sans parler de ton gros cul. Je suis sûre que tes clients seront ravis de te fourrer et de voir ta graisse gigoter. »
Helena pelota sans retenue le ventre, les seins et le cul de Suida tout en la regardant manger. Si son quotidien avec Ishtar avait fait d’elle une soumise naturelle elle prenait aussi beaucoup de plaisir dans la domination quand elle le faisait avec des individus si faibles que cette truie.
« Aahh… j’aime te regarder manger pendant que je te pelote. Je parie que d’autres paieraient pour le même spectacle. Propose l’idée à ton maître quand tu le reverras. »
Si Suida mettait en valeur ses particularités elle pourrait s’attirer une clientèle spécifique qui serait prête à payer plus cher pour certains services. Helena la regarda continuer de manger de bon cœur tout en la pelotant, elle se mit même à frotter ses seins contre son dos et à se caresser la vulve d’une main.
« Hhhmmm… pour la suite de ton entraînement, on va passer aux verges. La plupart de tes clients en auront, tu dois apprendre à bien les satisfaire.
Pour commencer dis-moi : quelle est ton expérience avec les bites ? Tu as déjà branlé, sucé ou été sodomisée depuis que tu as ce corps ? »
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