The Multiversity

Hattori Yasushi n'était pas fondamentalement un homme très heureux. Approchant de la quarantaine et éternel célibataire, son emploi de concierge au lycée local lui apportait de quoi vivre à peu près décemment, mais sans plus, et il fallait bien avouer que ça n'était pas vraiment un boulot qu'il appréciait. Nettoyer des toilettes, passer la serpillère dans les couloirs, vider les poubelles, et se faire globalement moquer par les élèves pour son apparence physique peu grâcieuse, rien de tout ça n'avait vraiment l'air d'un taff de rêve, mais ça lui permettait de payer les factures. Un côté positif toutefois, qu'il avait fini par trouver à son emploi, c'était le fait d'être entourée de pimbêches en uniforme, ce qui lui permettait à l'occasion d'avoir quelques coups d'oeil accidentels et furtifs sur de belles formes. Il demeurait toutefois prudent, il avait déjà une réputation de pervers, qui n'était pas vraiment déméritée, mais il ne voulait pas se faire virer pour des coups d'oeil ostentiblement trop appuyés.
Au lieu de ça, Yasushi avait trouvé d'autres moyens de satisfaire ses besoins, tout en ayant l'air parfaitement innocent. Son statut de concierge lui permettait d'accéder littéralement partout, que ça soit les toilettes, les salles de classe, ou encore les bureaux des professeurs bien après la fermeture du lycée, ce qui lui donnait des marges de manoeuvre que personne d'autre n'avait. Au fil des mois, il avait progressivement pu mettre assez de côté pour investir dans des petites caméras cachées qu'il avait, progressivement, installé dans divers endroits du lycée. Les toilettes des filles, même si ça avait été tentant, n'en possédaient pas, c'était bien trop risqué, mais les salles de classe, les bureaux et les couloirs étaient maintenant bien équipés. Lors de ses tournées du soir, comme il était seul, Yasushi pouvait aisément récupérer les cartes mémoires, changer les batteries, le tout sans que personne ne puisse s'en rendre compte, et faire chez lui le tri et un montage de vidéos intéressantes. Il avait eu assez peu de choses intéressantes forcément, comme les toilettes et les vestiaires étaient trop dangereux, mais il arrivait des fois que quelques scènes assez sexys se déroulent.

Jusqu'à ce beau jour où, en récupérant la carte mémoire d'une caméra qu'il avait placée dans une des salles de classe, il ne tombe sur quelque chose de vraiment intéressant, qui justifia son investissement. Helena Hansen était la professeure de musique du lycée, une bonnasse indéniablement, mais qu'il avait toujours cru comme étant déontologiquement impeccable. Mais ça, c'était jusqu'à ce qu'il visionne les images capturées par sa caméra, où elle était en train de se faire brouter le minou par une des élèves, une certaine Aiko Tanaka. Il n'en avait initialement pas cru ses yeux en matant ça sur son pc portable le soir venu, et puis il s'était frénétiquement branlé à plusieurs reprises en matant ces deux petites salopes se faire du bien. N'ayant clairement pas une bonne image des femmes en général, un plan pour le moins sordide s'élabora alors dans sa tête, à mesure qu'il collecta d'autres vidéos de ce style, confirmant qu'il s'agissait bien là d'un petit rituel.
Et il voulait en faire partie intégrante.
Autre avantage d'être concierge, il connaissait bien les habitudes des professeurs, et savait donc quand Hansen-senseï tendait à rester un peu plus tard le soir dans son bureau pour travailler. C'était potentiellement très risqué, mais Yasushi avait décidé qu'il voulait la faire chanter, elle et sa petite salope d'élève, mais la professeure en premier qu'il voulait dompter. Le jour et l'heure fatidique étant venus, il avait alors ouvert la porte du bureau de la prof', sans prendre la peine de toquer, puis était rentré sans invitation, avant de refermer derrière lui, à clef.

Bonsoir Hansen-sama, il faut qu'on cause vous et moi, j'ai quelque chose de très important à vous montrer.

Il s'était alors retourné pour se rapprocher un peu du bureau. Téléphone portable à la main, il mis en route une vidéo où l'on voyait clairement Aiko en train de lécher la chatte de sa professeure, avec cette dernière qui gémissait comme une cochonne. Il laissa la vidéo tourner pendant un moment, le temps pour la prof' d'assimiler la situation, puis arrête et remit son portable dans une de ses poches.

Pas mal, ce que vous et Aiko-chan vous faites le vendredi soir, un petit broutage de chatte avant le week-end.

Il ricannait en ayant sur son visage un sourire mauvais.

J'ai pas besoin de vous rappeler ce qu'il vous arriverait si cette vidéo venait à tourner, Hansen-sama. Mais avant que vous me rétorquiez qu'il m'arriverait aussi des broutilles, vous devriez aussi songer à ce que cette pauvre Aiko se prendra aussi dans la gueule.

Il y avait longuement songé. Son chantage en l'état, Hansen-sama pouvait aisément le contrer en disant qu'il se ferait également virer, et poursuivre en justice pour avoir placé des caméras cachées. Ce qu'il escomptait, en revanche, c'était que la prof' souhaiterait à tout prix éviter que sa pauvre élève ne se retrouve aussi exposée, par "sa" faute.

Vous savez à quel point les ados peuvent être cruels entre eux, et la réputation d'une salope brouteuse de chatte de professeures...qui sait quelles traces ça pourrait laisser ? J'aimerais autant éviter ça, et comme je pense que vous aussi Hansen-sama, c'est "vous" que je suis allé voir plutôt que Aiko-chan. Après tout, si vous vous montrez raisonnable, il n'y a aucune raison que cette pauvre fille soit au courant d'une quelconque façon que ce soit...

Les termes étant placés, Yasushi porta alors sa main à sa ceinture pour la défaire, puis déboutonna son pantalon qu'il fit glisser, avec son caleçon, le long de ses jambes pour révéler son sexe en érection.

Si vous veniez me montrer comment vous savez jouer de la flûte hum ?

De tous les cours enseignés à l’école, le cours de musique était sans doute celui qui était le plus mésestimé. Alors, quand ce cours était donné par une femme aussi belle que Helena Hansen, a fortiori une métisse célibataire, il fallait s’attendre à ce que beaucoup la suspectent de promotion-canapé. Hansen-sama était pourtant une très bonne professeure, qui aurait pu performer à un stade beaucoup plus élevé que son niveau actuel, si elle n’avait connu au cours de sa vie des difficultés conjugales. Son ancien petit-ami l’avait largué par peur qu'elle soit enceinte. Douée en musique, elle était ainsi devenue une professeure de musique, avec la ferme intention de ne plus jamais tomber amoureuse d'un homme.

Une promesse étant faite pour être rompue, Helena était tombée amoureuse de l’une de ses élèves, Aiko Tanaka. Timide et discrète, Tanaka-chan était une élève très douée, qui avait attiré l’attention de Helena quand elle l’avait vu pleurer lorsqu’elle avait fait écouter à ses élèves l’une des plus belles musiques classiques au monde, le Boléro de Ravel. Suite à cela, Helena avait vu chez Aiko une forte sensibilité, et une grande intelligence. Elle avait sans doute transféré en elle ses instincts maternels refoulés, et avait commencé à lui donner des cours privés. Aiko était une violoncelliste hors pair, promise à une grande carrière, mais ses parents dédaignaient son attrait pour la musique. Helena organisait donc des cours privés entre elles pour améliorer ses talents. Petit à petit, les deux s’étaient rapprochées, Aiko finissant par s’étonner qu’une professeure aussi belle préfère passer ses soirées avec elle plutôt qu’avec son mari. Helena avait fini par lui dire la vérité, et elles avaient fait l’amour.

Depuis, elles formaient un couple. Helena était autant sa mentor que son amante, et, si elle avait préservé la virginité intime d’Aiko, elles avaient eu l’occasion de faire l’amour régulièrement, et pour Helena d’explorer d’autres parties intimes de son corps, notamment ses fesses ou sa bouche. Elles faisaient bien sûr très attention, et Helena se montrait même assez sévère vis-à-vis d’Aiko en cours, une couverture parfaite pour lui faire massivement l’amour. Le Vendredi soir, c’était donc leur rituel. Helena faisait découvrir des musiques classiques à Aiko tout en lui faisant l’amour.

*Quelle composition je peux bien lui trouver ?*

Aiko venait aussi chez elle, et Helena s’amusait parfois à lui bander les yeux, et à la faire devenir une composition, en mettant en jeu des récompenses sexuelles. Tout allait donc dans le meilleur des mondes pour Hansen-sama…

…Quand la porte de son bureau s’ouvrit brusquement.

« Hey ?! Mais qu’est-ce qui vous prend ?! »

Face à elle, il y avait le concierge du lycée, Hattori Yasushi, un désaxé qu’on disait alcoolique, et avoir dans sa réserve quantité de magazines pornographiques. Si certains professeurs souhaitaient se débarrasser de lui, Helena, elle, se contentait de faire avec, refusant d’appliquer sur lui le traitement qu’on lui faisait subir. Particulièrement fébrile, Yasushi-san se rapprocha d’elle, et lui montra une vidéo enregistrée sur son téléphone portable. Pensant que quelque chose de mal avait pu arriver à Aiko, Helena oublia toutes ses précautions d’usage, et regarda la vidéo… Puis blanchit sur place.

*Ce sale porc…*

C’est cette pensée qui finit par remonter dans sa tête. Comme paralysée, Helena l’écouta parler sans rien dire, statufiée, sous le choc de la surprise. Elle ne pouvait imaginer que quelqu’un ait pu penser à la filmer ! Mais, quand, il mentionna Aiko-chan, Helena sortit de ses pensées. Son instinct maternel reprit encore une fois le dessus, à tel point qu’elle ne fit même pas attention à la blague salace de Yasushi. Helena se rapprocha de lui, menaçante.

« Si jamais tu compromets la carrière de Aiko-chan, je te tuerai, est-ce que tu m’as bien compris ? Je me fous de ce qui peut m’arriver, si je dois passer ma vie en prison pour ça, mais je t’interdis de menacer Aiko-chan ! »

Aucun doute possible sur le fait qu’elle transférait. Plus fort que tout le reste, l’instinct maternel avait pris le dessus.

« Dire que j’étais l’une des rares à prendre votre défense… Finalement, tout ce qu’on dit sur vous est fondé… Un pervers impuissant qui menace les filles. »

Elle le provoquait, bien sûr, autant pour se défouler que pour l’amener à s’énerver. Elle le vit déboutonner son pantalon. Helena avait peu d’éléments de comparaison, le seul pénis qu’elle ait jamais vu de sa vie était celui de son ancien conjoint, et celui de Hattori-san était énorme en comparaison, ce qui rappela à Helena ces fois où elle utilisait un strap-on pour sodomiser Aiko-chan.

« C’est… C’est tout ? Vous croyez vraiment que je vais sucer votre petite queue ? Reprenez vos esprits, Hattori-san, je pense que vous avez dû trop boire. »

Elle feignait l’indifférence, mais ses yeux l’avaient trahi en fixant un peu trop longuement sa queue.

Une chose est sûre, il allait falloir hausser le ton…

Avec ce qu'il venait de faire, à savoir des menaces de chantage, et exhiber ainsi son sexe, Yasushi avait déjà de quoi passer des années derrière les barreaux si cette pute de professeure venait à porter plainte. Mais c'était là tout l'intérêt de son chantage, et des preuves qu'il en avait pour l'appuyer, lui aussi avait de quoi ruiner définitivement la vie d'Helena en représailles. Si il coulait, elle coulerait avec lui, et Helena avait drastiquement plus à perdre que Yasushi qui vivait globalement une vie assez misérable. Il se trouvait donc là face à elle, et plus si éloigné que ça vu qu'elle s'était rapprochée par une tentative d'intimidation qui ne fit guère plus que le faire ricaner, tandis qu'il usait d'une de ses mains pour doucement coulisser le long de sa grosse verge turgescente. Les brefs regards que la professeure posa sur son sexe ne lui échappèrent guère, mais elle refusa de le sucer comme il le voulait.

Oh...vraiment ?

Petite queue, l'insulte, sans le mettre hors de ses gonds, lui donna tout de même envie de la remettre à sa place. Helena avait fait une erreur en se rapprochant de lui, car Yasushi pu ainsi très rapidement combler l'espace qui les séparait encore, pour poser ses mains sur les épaules de la professeure, et venir la plaquer contre un des murs de la pièce assez fermement.

Moi qui pensait que vous teniez vraiment à la petite, il faut croire que j'avais tord Hansen-sama. Vous voyez, je suis venu chez vous plutôt que chez elle, car je me suis dit que tout ça devait plutôt être de votre faute que la sienne. Une timide comme ça, aller séduire sa professeure ? Nan nan, c'est l'inverse qui s'est produit n'est-ce pas ?

Commencer à oeuvrer pour que Helena se sente coupable de la situation dans laquelle elle se trouvait, et par extension, Aiko-chan aussi, était bel et bien le but vers lequel ce vieux pervers allait tendre.

Il aurait été beaucoup plus simple pour moi d'aller la voir directement elle. Je n'ai aucun doute quand au fait que pour vous protéger, vous et votre carrière, elle se serait déjà mise à genoux pour me sucer. Mais c'est une gentille fille, sans doute trop même, alors je me suis dit...que j'allais plutôt m'orienter vers celle qui était vraiment responsable dans le lot, et épargner la vraie victime. Mais si vous refusez, Hansen-sama...je n'aurais pas d'autre choix. Qu'est-ce que vous allez faire hein ? Vous pensez réellement me tuer et briser le coeur de votre petite Aiko-chan ? Vous pensez vraiment pouvoir m'empêcher d'aller la voir avec cette vidéo ? Nan nan Hansen-sama, si vous ne coopérez pas, nous savons très bien tous les deux qu'il n'y aura rien que vous ne puissiez faire.
En revanche, ma belle, si tu agis comme la belle pute que tu es, non seulement cette vidéo ne sera jamais diffusée, mais en plus Aiko-chan n'en saura jamais rien. Je me fous que tu te fasse brouter le minou par elle, je trouve même ça mignon, mais si tu ne viens pas me sucer la bite maintenant, je te garantis que ce sera elle qui devra s'en charger pour que votre beau petit couple continue à endurer.

C'était un pari risqué, mais comme tout le reste de ce qu'il entreprenait de faire depuis qu'il était rentré dans ce bureau, depuis le jour même où il avait disposé ces caméras dans le lycée, alors Yasushi n'en était vraiment plus à ça près. Il se recula alors de deux pas, puis repris sa queue en main pour se masturber.

C'est ta dernière chance sale pute, viens me sucer, maintenant.

En le provoquant, Helena aurait presque espéré qu’il s’énerve, et qu’il la frappe. Avec des coups, elle aurait pu le faire tomber… Mais ce porc répugnant était plus malin que ça. Il s’imposa par son physique, mais opta pour lui rappeler que, si elle ne faisait pas ce qu’il demandait, il mettrait la pression sur Aiko-chan. À cette idée, les yeux de Helena s’écarquillèrent brièvement. Il suffisait de lire sur son visage pour savoir que Aiko-chan était son point faible. Elle était la femme dont Helena était amoureuse, tout simplement. Elle qui avait toujours consacré sa vie à sa carrière professionnelle, elle avait vu chez Aiko-chan le substitut à sa vie sentimentale inexistante, elle était autant sa petite-amie que sa fille.

*J’ignore comment ce sale pervers a su pour moi et Aiko-chan, mais c’est de ma faute. Sois lucide, Helena, même si tu le dénonces, cela éclaboussera Aiko.*

Certes, cet homme tombera… Mais elle aussi. Oh, en soi, Helena pouvait tout à fait accepter de renoncer à sa carrière professionnelle pour Aiko, mais, outre le fait que leur relation risquait d’être connue, Helena pensait encore être indispensable pour aider Aiko à exploiter pleinement son potentiel. Elle avait un talent indéniable, et il était trop tôt pour que Helena l’abandonne. C’était donc à elle d’assumer. Cette conclusion s’instaura en elle tandis que, devant elle, Yasushi continuait à la narguer. Helena se fit aussi à l’idée que ce type devait être un grand frustré, le genre à se palucher dans les petites culottes d’adolescentes, ou en regardant des films pornos. Autrement dit, elle pensait pouvoir le faire jouir vite, et en finir au plus vite. Elle n’aurait ensuite qu’à se laver, prendre un bon bain de douche, et espérer qu’il ne revienne plus jamais… Ce qui était assurément un vœu pieux. Helena était évidemment au courant de ses formes généreuses. Elle avait eu un homme dans sa vie, elle savait donc comment les hommes fonctionnaient. Serrant nerveusement le poing, Helena regarda Yasushi avec dégoût et mépris.

« Je ne sais pas comment vous avez eu ces vidéos, Hattori-san, mais vous avez raison sur un point… C’est ma faute, et Aiko-san ne doit pas être impliquée. Contrairement à vous, elle a un avenir merveilleux. Je suis prête à sacrifier ma propre carrière s’il le faut pour la protéger, alors je vous déconseille de trop jouer avec mes nerfs ! »

Face à un pervers frustré comme lui, il ne fallait jamais paraître trop faible, ou il en profitera. Elle se rapprocha donc de lui, et soupira lentement en voyant son sexe. Elle s’était trahie tout à l’heure, mais, en le voyant à nouveau, elle se rappela du sexe en érection de son ancien amoureux… Et elle devait bien admettre qu’il y avait une certaine forme d’injustice dans le monde.

*Ce salaud a quand même une sacrée queue… Avec un peu de chance, il va juter vite. »

Elle s’agenouilla devant lui.

« Je vais le faire. Ensuite, toi et tes vidéos, vous disparaîtrez de ma vie. Je te paierai même ton alcool, si tu peux te noyer dedans. »

Proche de son sexe, elle grimaça devant son odeur… Sale, répugnant ! Helena ferma les yeux en pensant à Aiko-chan, à son sourire, et se convainquit que son sacrifice allait la servir. Elle inspira longuement, puis posa sa main sur le sexe de l’homme. Sa queue se redressa un peu, et elle s’en approcha timidement, ouvrant la bouche. Elle le glissa alors, et commença à le sucer… Sans trop s’aventurer, non seulement parce qu’elle trouvait cela dégoûtant, mais aussi parce que… Eh bien, sa queue était vraiment grosse !

Yasushi avait touché juste, et visé la bonne corde sensible. Helena conservait cet air de bourge mal baisée, mais il devenait évident qu'elle était malgré tout prête à beaucoup de choses pour que sa Aiko-chan reste en dehors de tout ça. Bien évidemment, la promesse qu'il avait fait de tenir la lycéenne dans l'ignorance, il ne comptait pas la respecter éternellement, mais il lui fallait bien mettre pleinement Helena sous son emprise avant de tenter quoi que ce soit avec Aiko. Finalement, la professeure de musique fini par se mettre à genoux devant lui, même si elle lui parlait encore, mal.

Ferme ta gueule et suce moi, salope.

Cela faisait maintenant un moment qu'il était très excité, et cette excitation commençait à sérieusement se transformer en frustration, alors que Helena ne faisait guère que retarder l'inévitable. Alors il se montrait volontiers irrespectueux envers elle. Il ne lui fit pas encore noter qu'elle se foutait le doigt dans l'oeil, si elle pensait sincèrement qu'il allait se contenter juste d'une fois. Oh que non, Helena était certes une salope imbuvable à ses yeux, mais elle était vraiment bonne, et il comptait bien la baiser dans tous les sens pendant les mois à venir. Sa queue tressauta quand elle enroula les doigts d'une de ses mains autour de la base, et il ne pu s'empêcher d'avoir un sourire mauvais en la voyant grimacer en approchant de son sexe. Mesquin, il avait préparé son coup dans l'optique de l'humilier le plus possible, et c'était passé par le fait de ne pas se laver pendant plusieurs jours.

Tu le sens hein ? J'ai évité de me laver spécialement pour toi chérie, afin que tu nettoie ma bite avec ta belle bouche de suceuse.

Et elle commença à le faire, après moultes hésitations, elle ouvrit enfin sa bouche et l'approcha pour gober le bout de son sexe, et entreprit de le sucer. Yasushi poussa un grognement de satisfaction et de plaisir, tout en ne lâchant pas des yeux ce spectacle exquis. Oh ouais, la voir ainsi soumise était absolument jouissif, mais assez rapidement il constata qu'elle ne comptait pas s'enfoncer plus loin, et qu'elle n'y mettait pas assez d'entrain.

Tu crois que je vais me contenter de ça ?

N'attendant aucune réponse de la part de sa "partenaire", Yasushi posa immédiatement après ses deux mains sur sa tête la saisissant par les cheveux afin de l'empêcher d'aller où que ce soit. Puis, il prit temporairement les rennes, en donnant un profond coup de bassin pour enfoncer profondément sa queue dans la bouche d'Helena. Par profondément, il la força bien évidemment à faire une gorge profonde, il coulissa sa queue jusqu'à la garde, de sorte que le nez de la professeure alla se fourrer dans son épaisse toison de poils pubiens malodorants, tandis que son menton aller heurter ses testicules. Il la força ainsi, lui coupant entièrement la respiration, pendant une bonne poignée de secondes, avant qu'il ne la fasse se retirer, un long filet de salive reliant toutefois encore sa délicieuse bouche à sa grosse queue. Il la regarde tousser, et inspirer de l'air, avec un sourire narquois.

Et bien sale pute ? Je croyais que j'avais une petite bite ? Du coup ça devrait être facile pour toi non ? A moins que t'aie menti pour vaguement sauver les apparences ? Je t'ai vue reluquer ma bite tout à l'heure, t'a probablement jamais du en voir une aussi grosse je me trompe ?

Continuant à la maintenir Helena par ses cheveux d'une main, il se saisit de sa queue de l'autre et l'utilisa pour tapoter le bout sur une des joues de la femme, répandant dessus un mélange de salive et de liquide séminal.

Par contre, au risque de me répéter, tu crois vraiment que je vais me contenter de ta piètre performance jusque là ? Tu va jamais me faire jouir si tu n'y met pas plus d'entrain ma chérie, et si tu n'arrive pas à me satisfaire, tu sais bien que je n'aurais vraiment pas d'autre choix que d'aller voir Aiko-chan. J'ai pas envie d'en arriver là, mais je commence à me poser la question pour toi...

Il réorienta le bout de sa bite face aux lèvres d'Helena, sur lesquelles il se frotta.

Allez, du nerf, de la motivation, à moins qu'en plus de mentir sur la taille de ma bite, tu n'aie aussi menti sur tes sentiments envers Aiko-chan ?

Malheureusement, il semblait bien que Helena n’avait pas de chance, et que Yasushi était aussi pervers qu’endurant. Il lui confirma n’avoir pas lavé son sexe en anticipant ce moment, et Helena grommela. Le fait est que sa queue puait, effectivement. De base, un pénis ne sentait jamais très bon, mais l’odeur était assez forte. Helena, qui avait une hygiène irréprochable, et qui faisait attention à elle, ne put que maudire intérieurement ce porc. Elle espérait le faire jouir vite, en comptant sur le fait qu’il était fébrile et très excité… Quand elle avait sucé son ancien compagnon, il jouissait toujours vite. Et, quand elle sentit les mains de Yasushi sur sa tête, Helena écarquilla les yeux. Surprise, elle sentit alors ce dernier donner un coup de reins tout en plaquant ses mains sur sa tête, ce qui fit que sa verge s’enfonça brusquement dans sa bouche, déformant ses lèvres, avant de taper contre sa glotte, puis de s’enfoncer dans sa gorge.

« Gllllppp… !! » gémit Helena.

De manière à éviter qu’elle ne vomisse sur sa queue par réflexe nauséeux, Yasushi se retira brusquement. Helena éternua alors, fort logiquement, tout en se massant la gorge.

« Kof ! Kof ! »

Elle éructa également, et sentit des larmes lui monter aux yeux. Elle les essuya donc, puis se retourna vers lui.

« Tu veux que je m’étouffe sur ta queue ou quoi ?! Et je t’ai déjà dit de ne pas parler d’Aiko-chan ! Le seul fait d’entendre son nom dans ta bouche de sale pervers, c’est un affront ! »

Le fait qu’il ait insulté Helena était à ses yeux plus acceptable que d’évoquer Aiko. Elle sentait la nervosité de l’homme, et elle ne voulait pas que la situation se complique. Ceci conduisit donc Helena à se redresser un peu. Elle se racla encore la gorge, et posa sa main sur la verge de Yasushi.

Rougissant légèrement, Helena croisa le regard de l’homme, et joua franc jeu :

« Si ça peut flatter ton égo de primate, oui, tu as une grosse queue… Le seul homme que j’ai jamais sucé de ma vie était un lâche qui s’est barré en me mettant en cloque, donc tu excuseras mon inexpérience en la matière ! Et lui jouissait plutôt vite… Toi, j’imagine que tu dois aller aux putes. »

Helena souffla encore, et se rapprocha encore. Elle reprit la queue de l’homme dans sa bouche, et soupira ensuite. Il fallait surtout penser à respirer par le nez, car, effectivement, la verge de l’homme était si grosse qu’elle l’étouffait. Helena ferma les yeux, et remua d’avant en arrière, enfonçant cette queue en elle.

Elle y allait assez lentement, le temps d’adapter son rythme, et préférait fermer les yeux, pour ne pas croiser le regard de ce pervers qu’elle suçait… Ni qu’il puisse croiser le sien, car il aurait alors noté que le regard vindicatif d’Helena se voilait un peu. Helena savait que les femmes étaient plutôt hostiles aux fellations, mais, de fait, elle s’était initiée comme ça au sexe. Elle, elle avait toujours eu peur d’avoir mal à l’idée qu’un pénis rentre en elle, donc, pour se familiariser, elle avait longuement sucé son petit-ami… De plus, cela n’impliquant pas la destruction d’un quelconque hymen, Helena pouvait se dire que ce n’était qu’un galop d’essai. Elle avait donc pris goût à l’époque à ça, et elle devait bien admettre qu’il était très plaisant de voir son ancien partenaire gémir devant elle, devenir rouge, et la regarder comme si elle était une Déesse. De ce fait, les jouissances rapides de son partenaire avaient toujours été frustrantes.

Helena s’efforça de ne pas penser à ça, et déplaça l’une de ses mains, pour caresser et gratter les testicules de l’homme. Elle savait que les hommes aimaient ça, et, même si elle aimait une fellation, le dégoût qu’elle vouait à Yasushi faisait aussi qu’elle avait vite envie de le faire jouir…

« Hmmm-mmmhmmm… » gémit-elle alors, forçant un peu ses gémissements, en se disant que cela allait flatter d’autant l’égo de Yasushi…

Quand bien même cette chère Helena tentait parfois de montrer des signes de rébellion, Yasushi non seulement savait que c'était du bluff, mais en plus cela tendait à relativement l'exciter qu'elle essaye malgré tout de résister comme elle le pouvait, simplement car ça donnait alors l'occasion à l'homme de briser ces piètres tentatives. Oh que oui, le sujet d'Aiko était définitivement une corde sensible par laquelle Yasushi comptait bien transformer Helena en sa salope personnelle.

Oh oui, il vaudrait mieux que tu t'étouffe sur ma queue salope, sinon Aiko-chan ne restera pas en dehors de tout ça...

Peu lui importait qu'elle demande qu'il ne mentionne pas la jeune lycéenne, tant qu'elle ne le satisfairait pas convenablement. Après avoir repris un peu ses esprits, Helena posa sa main sur son sexe dur, et maintenant humide de la salive de la prof, avant de parler à nouveau en disant qu'il avait effectivement une grosse bite, et de laisser aller une poignée d'informations la concernant...une chose qui ne manqua pas de le faire sourire, juste avant qu'elle ne se décide à enfin revenir le sucer.

Oh...oh je vois, tout s'explique alors, tu es frustrée. Non pas que j'en doutais, mais c'est bien d'avoir confirmation venant de ta belle bouche de suceuse...

Lorsqu'elle le reprit en bouche, Yasushi reposa alors à son tour ses mains sur le sommet du crâne d'Helena, glissant ses doigts dans ses longs cheveux soyeux et accompagnant par une légère pression ses mouvements de va et viens.

Un seul homme dans ta vie, et qui avais une petite bite hein ? Hmmmm ouais, je comprends que t'aie finie par vouloir brouter du minou, mais rien de tout ça ne peut vraiment remplacer une vraie, bonne grosse bite...Aaaah ouais...

Là, voilà, entre sa main qui lui caressait les couilles, plus le fait qu'elle commençait enfin à vraiment le sucer, Yasushi semblait légèrement s'assagir. Rien n'allait pouvoir l'empêcher de continuer à l'humilier par ses paroles, mais en dehors d'accompagner les mouvement d'Helena par des coups de bassin et ses mains, il laissait le soin à la prof d'augmenter la cadence à son rythme, pour peu qu'elle l'augmente.

Hmmm...pour ta gouverne d'ailleurs, non je vais pas aux putes. C'est cher, tu crois que j'ai les moyens ? Faudrait que j'y aille tous les jours pour me satisfaire...ouais ma salope...ma libido est ainsi...et c'est là que tu entre en jeu maintenant...ouaiiiiiiis...oh tu suce bien quand tu t'y met...

Yasushi laissait clairement entendre qu'il comptait bien revenir, alors qu'il approchait du point de rupture. Cela faisait maintenant une bonne poignée de minutes que Helena le suçait, et sans doute devrait-elle se rendre compte que sans y mettre de l'entrain et du rythme, l'homme n'allait jamais jouir.

Haha...ouais...t'es pas habituée à ce qu'un mec dure si longtemps dans ta bouche hein ? Attends, je vais t'aider à me finir, sinon on va y rester encore longtemps...

Ni une ni deux, l'homme raffermit son emprise sur la tête d'Helena, puis enfonça pleinement son sexe dans sa bouche. Il entreprit alors de rapidement, et fortement, lui baiser la gueule, s'enfonçant sans vergogne dans sa bouche et sa gorge à un rythme effréné.

Ouais...Ouais...Ooooooooooh...

Yasushi termina alors en s'enfonçant une dernière fois, puis Helena pourrait sentir son sexe tressauter dans sa bouche, et d'épais filaments de sperme filer directement dans son oesophage depuis sa gorge. Il se retira toutefois assez rapidement, pour jouir dans sa bouche, et pour la laisser respirer, mais il se vida copieusement en elle, tant et si bien qu'elle n'aurait pas d'autre choix que de vite se mettre à avaler.

Aaaaah....Haaaaa...oh ouais...hmmmm...avale bien tout comme une grosse cochonne ouais...

Peu à peu, il commença à se clamer, et le flux de sperme arriva enfin à sa fin. Il retira alors son sexe de sa bouche, tant et si bien qu'Helena ne pourrait que voir que si sa verge avait légèrement dégrossi, il continuait malgré tout à bander bien fort. Yasushi de son côté la regarda, patiemment, tout avaler. Elle n'avait guère d'autre choix pour ne pas en foutre partout, et il ne l'aurait de toute façon pas laissée recracher quoi que ce soit. Puis, quand elle eut fini, il l'aida à se relever el la saisissant par les poignets.

Là, tu vois quand tu veux. Allez, on a pas terminé toi et moi, je me suis peut-être vidé, mais mes couilles sont loin de l'être complètement.

Il la retourna alors, de sorte à ce qu'il puisse venir se coller dans son dos. L'une de ses mains vint alors pétrir l'un de ses seins, et l'autre fila directement sous la jupe que portait Helena, remontant le long de sa cuisse et de son aine, puis de son bas-ventre, avant d'aller se fourrer dans sa culotte pour la carresser.

Shhhhhht laisse toi faire...je suis un gentleman après tout, et y'a pas de raisons qu'il y aie que moi qui prenne mon pied hein ?

Sa bite frottait contre l'arrière de la jupe d'Helena, contre ses fesses, reprenant rapidement le peu de dureté qu'elle avait perdue...

Si seulement Yasushi jouissait vite… Le malheur voulait vraiment que les hommes les plus pervers soient montés comme des taureaux ! Tout ce qu’il disait lui était insupportable, et, comme il savait où frapper, Yasushi ne se gênait pas à évoquer Aiko. À chaque fois qu’elle entendait le prénom de son amoureuse dans la bouche de ce pervers mal fagoté, Helena avait des envies de meurtre, des pulsions violentes qui l’envahissaient. Si Yasushi avait bien compris quelque chose, c’est que Helena était prête à tout sacrifier pour protéger Aiko. C’était là l’expression de tout l’amour d’Helena envers Aiko, et de ce transfert psychologique qu’elle avait fait, en considérant Aiko comme sa propre fille. Helena n’avait après tout pas d’enfants, et avait donc en elle un désir maternel contrarié. Elle était aussi une femme qui avait essayé de se convaincre qu’elle était lesbienne, et que sa vie lui convenait comme ça… Mais Yasushi débarquait avec toute sa grossièreté, sa brutalité, et cette grosse queue insatiable qui remplissait la bouche d’Helena, symbole phallique d’un marteau-piqueur qui venait percer les murs de ses convictions et de ses croyances.

« Hmmm… »

En fermant les yeux, Helena imaginait que l’homme qu’elle suçait était quelqu’un d’autre que ce porc venu la provoquer. Elle s’imaginait un homme aimant, le mari idéal, le gendre parfait, celui qui aurait pu être le père d’Aiko… Helena soupirait lentement, et commençait à bien s’appliquer. Elle ne se contentait pas de suçoter la pointe de la queue de son amant, mais caressait ses testicules, et s’enfonçait. Cependant, c’était son inexpérience sexuelle qui s’exprimait. Elle avait déjà sucé, oui, mais son petit-ami jouissait bien plus vite que Yasushi. Néanmoins, Helena avait toujours aimé le sucer. C’était moins violent qu’une pénétration classique, chose qui lui avait toujours fait un peu peur, et… Sans doute ne devrait-elle pas le dire, elle avait peur de se trahir, mais elle adorait quand son petit-ami se relâchait dans sa bouche. Forte de convictions liées à ses parents et à la sacralisation du mariage au Japon, Helena était d’ailleurs toujours vierge. Elle avait refusé que son petit-ami la pénètre avant le mariage, et, comme ils avaient rompu avant…

Helena soupira quand les mains de Yasushi se raffermirent sur son crâne, et qu’il prit les choses en main.

« Mmmhmmm… !! »

Elle écarquilla les yeux, et sentit l’homme se redresser, puis remuer plus fortement en elle. Quand sa queue s’enfonça dans sa bouche, et qu’il amplifia le rythme, Helena gémit encore, mais rougit aussi. Sa main glissa entre ses cuisses, et, en sentant une inexplicable chaleur croître dans son bas-ventre, elle se masturba à travers sa culotte. Elle sentit rapidement cette zone s’humidifier, et constata sans aucun doute possible qu’elle mouillait.

*Par tous les kamis, non… C’est si bon, bordel… !!*

Si elle s’écoutait, Helena se devait bien d’admettre que ce que Yasushi faisait était divin. Elle adorait sentir cette queue lui torpiller la bouche, cet homme grogner contre elle, exprimant toute cette domination masculine, toute cette sauvagerie sexuelle. Les pulsions de son corps la trahissaient, ses fantasmes refoulés se confrontaient à sa conscience. À nouveau, elle visualisa dans sa tête l’image d’un mur, un mur qui devenait une digue submergée par des vagues de désir, et par ses doigts qui se masturbaient… Et, quand Yasushi jouit enfin en elle, et que Helena goûta à nouveau au foutre d’un homme, elle se mit à jouir. Elle savait que la plupart des femmes trouvaient ça répugnant, le fait de se soumettre, de sucer une queue puante, et d’avoir ce truc gluant qu’était le sperme… Mais Helena, elle, elle adorait ça ! Elle était bien incapable de dire pourquoi, mais c’était aussi pour ça que son ancien copain n’avait jamais été plus loin. Elle le suçait jusqu’à ce qu’il jouisse fort, et il était ensuite rassasié. Mais lui, Yasushi… Dieu, qu’il en avait à revendre ! Il jouit longuement, et Helena gémit encore, le sentant s’abandonner en elle, longuement…

…Et, quand il eût terminé, Helmena se retira, et éternua alors, en se caressant la gorge. Son autre main était trempée, et elle serra le poing. Les joues rougies, elle le fusilla encore du regard.

« T’es malade, ou quoi ? ! Tu aurais pu m’étouffer !! »

Yasushi l’attrapa alors par les poignets, et la releva, avant de la retourner.

« Lâche-moi, on avait pas prévu ça ! Ne me dis pas que tu en veux encore, après tout ce que tu as juté ! »

Helena essaya de se débattre, mais ses mouvements manquaient de conviction. Elle n’arrivait pas à croire que Yasushi était encore en désir ! Est-ce qu’elle lui plaisait vraiment ? Elle sursauta quand il malaxa l’un de ses seins, et se mordilla les lèvres, se retenant de gémir. Non, non, elle ne devait montrer aucun signe, ou ce sale porc en profiterait ! Mais, tandis qu’il malaxait l’un de ses seins, elle le sentit approcher son autre main de sa culotte, qui était trempée… Helena attrapa alors le poignet de Yasushi, le retenant.

« N-Ne me touche pas là, tu… Tu n’as pas le droit, sale porc ! Fous le camp, on a fait ce que tu voulais, et disparais, je… Je ne veux pas de toi ! »

Helena insistait, essayait de l’énerver, pour qu’il s’en aille… Mais elle sentait contre ses fesses le renflement de sa queue… Et sentit ses doigts filer sous sa culotte. La main d’Helena perdit alors de sa contenance, et elle se mordilla fort les lèvres, même s’iul pouvait désormais sentir que la zone était humide… Et que Helena continuait à mouiller. Elle rougit encore plus, sentant la honte l’envahir. Son corps continuait à la trahir, et elle n’arrivait pas à empêcher cela !

Helena devrait bien se rendre compte maintenant que ses protestations n'auraient pas l'effet escompté, ce n'était même pas que Yasushi s'en fichait, car c'était pire que ça...ça l'excitait. Présentement, qu'elle aie essayé de le repousser l'excitait encore plus alors qu'à l'aide de sa main, il pouvait sentir la mouille tapissant sa fleur intime. Blotti dans le dos de la professeure, le concierge avait une main qui palpait l'un de ses seins, et l'autre qu'il avait glissé sous sa jupe, puis dans sa culotte. La sentir mouiller le fit sourire plus que jamais.

Oh vraiment ? Alors dans ce cas, pourquoi est-ce que tu mouille, espèce de catin ?

Yasushi remuait ses doigts de plus avec une certaine expertise en la matière. Si il ne pouvait pas se permettre d'aller régulièrement aux putes, il l'avait fait assez de fois pour s'entraîner à avoir un certain doigté. Bien conscient qu'il était loin d'avoir un physique avantageux, il voulait compenser par d'autres aspects, comme sa désormais assez bonne connaissance des points sensibles du corps féminin, et comment les stimuler. Rien de tout ça n'était bien entendu possible si la partenaire était complètement répugnée par lui, mais clairement, ce n'était pas le cas d'Helena. Il remuait ses doigts contre son clitoris, le frottant et le titillant tout en malaxant ses seins pour un maximum de stimulis, et il pouvait bien la voir qui devait se mordre les lèvres pour s'empêcher de gémir.

Arrête de mentir salope, tu aimes ce que je te fais, et tu as adorée me sucer. Depuis toutes ces années, tu devais te languir d'avoir une bonne grosse bite dans ta bouche hein ?

Blotti ainsi comme il l'était derrière elle, et ne portant ni pantalon ni caleçon, Yasushi avait sa verge qui frottait contre les fesses d'Helena et...oh putain ce qu'elle avait un cul divin. Les remous qu'elle faisait, frottaient de fait la chair à la fois douce et ferme de son cul contre le sexe de Yasushi. Il avait peu débandé après avoir joui, et sentir ainsi son délicieux cul, il n'en fallu guère plus pour que sa verge retrouve complètement sa dûreté originelle. Il avait envie de la baiser maintenant, et fort, mais plus encore que ça, il avait envie de l'humilier encore un peu plus en la faisant jouir. Il le sentait bien, qu'elle allait finir par céder, et ne plus pouvoir se retenir, quand bien même elle essayait de toutes ses forces. Les frottements de ses doigts sur sa fleur intime se faisaient plus appuyés, et plus frénétiques aussi, il n'avait pas besoin de la pénétrer, plaisir qu'il réservait à sa bite, mais il stimulait ainsi son bouton de plaisir. Les mouvements qu'il faisait dans sa culotte laissaient échapper des bruits spongieux de plus en plus prononcés, à mesure que le temps passait.

Là...là...arrête de résister, et laisse moi te faire du bien, ça ira mieux pour tout le monde. Tu crois que je me contenterais de juste cette fois pour fermer ma gueule ? Non non, toi et moi, c'est parti pour durer chérie, mon silence c'est comme un abonnement Netflix tu vois, il faut le renouveler régulièrement. Tu voudrais quand même pas qu'Aiko-chan soit impliquée dans tout ça hein ? Alors tant qu'à faire, autant que tu prenne ton pied aussi...tu vois comme je suis un putain de gentleman, ma salope ? Oh ouais...allez jouis...jouis sale pute...jouis !!!

Il avait encore accéléré le rythme de ses frottements, alors qu'il la sentait sur le point de craquer, puis finalement, Helena ne parvint plus à résister, et fini par jouir contre lui et ses doigts. Il n'arrêta pas tout de suite de la "carresser", accompagnant pleinement son orgasme, jusqu'à ce qu'elle finisse par se calmer, moment qu'il choisit alors pour retirer sa main de sa culotte, et de la remonter à hauteur de leurs visages pour que ses doigts couverts de cyprine soient bien visibles.

Voilà...ça tu vois espèce de pute, c'est ce qu'on appelle une preuve irréfutable, celle que t'a pris ton pied avec moi. T'es tellement frustrée, t'a crû que juste te faire lécher la chatte par une de tes élèves serait suffisant, mais non...voilà la preuve indéniable que tu as besoin de bite, et comme je suis une âme charitable, c'est exactement ce que je vais te donner. Ce dont tu as envie, de dont tu as besoin !

Toujours dans le dos d'Helena, Yasushi profita de son état de choc post orgasme pour la déplacer jusqu'à son bureau. Là, il la plaqua face contre le bureau, puis se saisit d'un de ses bras qu'il coinça en équerre dans son dos pour la maintenir en place. De l'autre main, il redressa la jupe de la professeure, puis fit glisser sa culotte jusqu'à ses genoux. Dès lors qu'elle fit mine de protester, Yasushi se redressa alors, et lui donna une violente fessée, dont le claquement résonna dans le bureau.

Ferme ta gueule ! Tu as envie de te faire baiser salope !

Sans plus de cérémonie, toujours en la maintenant en place, il utilisa sa main libre pour guider son sexe vers l'entrée de sa chatte, et s'enfonça d'un coup sec en elle. Une expression de surprise le parcoura alors, mêlé au plaisir de s'enfoncer dans une chatte serrée...alors qu'il sentit aussi qu'il avait passé comme une fine barrière qu'il venait de défoncer...

Oh putain tu...t'étais vierge ? Nan...ton connard d'ex t'avais jamais baisé ? Sérieusement ? Haaaaahahahaaaaa putain ! Mais vraiment tout s'explique !

Il se retira partiellement avant de s'enfoncer en elle à nouveau d'un coup sec, faisant claquer son bas ventre contre le délicieux cul d'Helena qu'il claqua de nouveau, avant que sa main ne se dirige vers ses longs cheveux pour les empoigner.

Putain, mais un corps de rêve comme ça, qui s'est jamais pris une bite...oh il était temps que j'arrive dans ta vie toi...tu va voir chérie, tu va kiffer...

Puis il commença méthodiquement à la baiser.

Ce rustre ne s’arrêtait pas ! Helena vivait un vrai cauchemar ! Il la forçait encore, glissant ses sales doigts baveux et puants dans sa culotte pour titiller sa chatte. Helena ne s’épilait pas, elle offrait donc à l’homme des poils pubiens, ce qui fit aussi que Yasushi put vite constater que cette zone était particulièrement humide. Helena avait beaucoup mouillé, et elle frissonnait aussi en sentant cette verge contre elle. Elle était confuse, et, plus il l’insultait, et plus Helena était confuse ! Elle avait instinctivement envie de le repousser, car ce qu’il faisait était indigne, et c’était même criminel ! Mais, de l’autre… Il y avait cette voix, cette petite musique dans sa tête, ce signal d’alarme qui montait à chaque anniversaire, qui montait quand elle s’endormait en sentant la solitude de son lit, et combien elle était vide, la honte qu’elle ressentait quand ses collègues ou ses amies d’enfance parlaient de leurs relations sexuelles. Et il y avait cette digue en elle, ce mur qu’elle avait construit après sa rupture…

« Mggnnn… N-Non, arrête ça, ce… C’est f-faux, haaa… Ce sont… Des réactions purement chimiques, rien de plus, tu… Tu me files le dégoût ! »

Yasushi penserait sans doute qu’elle s’adressait à lui, mais les choses étaient sans doute un peu plus complexes. Car elle sentait sa grosse verge, car elle sentait son cœur se serrer quand il l’injuriait. Helena était une professeure respectable qui avait refusé de faire autre chose que des fellations à son fiancé avant le mariage, car elle ne voulait pas tomber enceinte prématurément… Mais elle approchait déjà de l’âge de péremption. Elle souriait intérieurement quand elle surprenait des élèves parler de ses seins, elle avait déjà confisqué des dessins libidineux à son encontre en ne les rendant jamais, sous prétexte de les avoir détruits… Alors qu’elle les avait secrètement conservés, et qu’elle se masturbait en imaginant ces jeunes hommes jouir contre ses seins en déclarant combien leur professeure était une salope, une pute nymphomane…

Helena se mit à jouir contre les doigts de Yasushi.

« Haaaaaa… !! »

En clignant des yeux, en sueur, ses lunettes glissant sur son nez, elle se rappela ce qu’il avait dit en voyant ses mains engluées de sa mouille. Elle avait joui abondamment, et cela avait débordé de sa culotte. Helena tremblait nerveusement, car, en sentant cette grosse queue contre elle, et au moment de jouir, elle s’était imaginée Yasushi jouir dans sa culotte, et elle la porter en faisant cours…

Il lui parla encore, et Helena secoua la tête.

« N-Non, ce n’est pas ce que tu avais dit ! Vire tes sales pattes de là, je… »

Pour seule réponse, l’homme la projeta sur le bureau. Helena hurla, mais ne pouvait pas faire grand-chose. Il était après tout plus fort qu’elle, et tira sur sa culotte.

« A-Arrête ça tout de suite, c’est un vi… »

Elle ne put toutefois enchaîner, car il la gifla alors très fort. Une fessée qui la fit hurler, tandis qu’elle frémit quand il l’insulta encore. On aurait pu croire que c’était la peur, mais, à bien y réfléchir, la peur l’aurait sans doute figé sur place. Au lieu de ça, elle réagissait, presque comme si, inconsciemment, elle voulait qu’il s’énerve encore.

Yasushi la pénétra alors, et Helena hurla plus fort en sentant la douleur exploser en elle. Il perça son hymen, et ricana ensuite quand il s’étonna qu’elle soit toujours vierge. Helena ferma les yeux, en pleine dissonance cognitive. Ce sale porc venait de lui voler son bien le plus précieux, le plus intime ! Mais, au fond, n’était-ce pas ce qu’elle désirait secrètement depuis des années ?

Elle soupira donc, tout en l’écoutant parler, et protesta encore :

« Tu… Haaaaa… Je me préservais pour mon mari, mais ça… Un sale porc comme toi qui va aux putes ne peut pas le comprendre ! »

Oh putain ce que c'était bon ! Si il s'était attendu à ce qu'elle soit vierge, alors ça, c'était clairement une surprise, mais qui ajoutait encore à son excitation. Lui prendre sa virginité comme ça, c'était en quelque sorte l'humiliation ultime, la cerise sur le gâteau à laquelle il ne s'était pas attendu, mais qui ajoutait une telle saveur. Oh oui, il coulissa bien sa verge dans sa chatte qui était si serrée, il ne parvint pas encore à s'enfoncer complètement en elle, mais putain ce que c'était jouissif. Alors qu'il commençait à remuer en elle, Helena déclara qu'elle s'était jusque là préservée pour son époux, ce qui ne manqua pas de faire rire Yasushi, qui la complimenta alors avec une nouvelle tape sur une de ses fesses.

Ah ouais ? Je t'aurais pas crue si conservatrice, toi qui te fais bouffer la chatte par une de tes élèves...hnnnn...

Oh quelle chatte, mais quelle chatte ! Elle avait beau être serrée, Helena mouillait comme une dingue présentement, et le sexe de Yasushi, gros et épais, écartait bien ses parois et stimulais toutes ses zones les plus sensibles. Nullement ému par le fait qu'il avait pris sa virginité quelle réservait jusque là, il continua même à plaisanter là dessus.

Mais t'sais quoi salope, si ça te dérange autant, t'aura qu'à devenir ma femme, hahaha...hoooo putain...

Yasushi remuait son bassin pour faire coulisser son sexe tendu dans la chatte étroite d'Helena, la travaillant petit à petit, jusqu'à ce qu'il parvienne à se glisser entièrement en elle. La chaleur de son antre intima enveloppa alors entièrement sa grosse bite tendue, et il tira à nouveau sur ses cheveux pour la faire brièvement se redresser.

Ouais là...tu me sens en toi hein ? Salope, tu mouille tellement que quand bien même t'étais vierge, tu arrive à prendre ma grosse bite dans ta chatte.

Il manquait quelque chose cependant, et il nota assez vite quoi. Lui relâchant les cheveux ainsi que son bras, Yasushi chercha alors le bouton qui maintenait en place la jupe qu'Helena portait encore, il le trouva rapidement, le défit, puis balança sa jupe au loin. Même si il avait relevé ce vêtement tantôt, avec ses mouvements le tissu tendait à redescendre, ce qui le faisait chier. Maintenant, là, il n'y avait clairement plus rien pour l'empêcher d'avoir une vue plongeante sur ce cul divin. Il posa alors ses deux mains grasses sur chacune de ses fesses pour les empoigner fermement, il en cherchait pas à y aller doucement, et sans doute aurait-elle la marque de ses doigts sur ses fesses, mais il s'en foutait. Pendant qu'il accélérait le rythme, se reculant avant de donner des coups de butoir brutaux en elle, il palpait et malaxait ses fesses. Il s'amusait surtout à les écarter l'une de l'autre, ce qui lui permettait de voir la petite rondelle de son anus, vierge sans doute là aussi. La tentation était grande de pousser le vice jusqu'à la sodomiser un coup, mais rien que là, Helena avait criée à plusieurs reprises, et quand bien même ces couloirs étaient censés être déserts à cette heure, il n'allait pas non plus tenter le diable.
De plus, lui baiser la chatte commençait à devenir de plus en plus aisé. Il aimait cette sensation de s'enfoncer au plus profond d'elle, à ce moment, ses propres poils pubiens venaient au contact de ceux d'Helena, et puis les bruits spongieux qui s'échappaient de sa chatte, couplés à ses gémissements, le transcendaient.

Hmmm...tu va encore jouir sale pute...je le sens...tu te crispe sur ma grosse queue...ça aussi c'est que des réactions chimiques hein ? Nan nan, t'es juste une frustrée qui a soif de bite, et tu va en avoir de la bite !

Déplaçant ses mains pour lui empoigner les hanches, Yasushi décida ensuite de passer à l'étape ultime de ce coït: le pillonage. S'ensuivit des séries de mouvements forts, brutaux même, et rapides, où il lui défonçait sa chatte pour l'amener à jouir, et lui aussi par la même occasion. Alors qu'il grognait comme un animal en rut, une brève question lui tarauda l'esprit...allait-il se retirer et jouir sur elle, ou bien prendrait-il le risque de lui faire un creampie ? En toute logique, il y avait fort peu de chances pour que Helena prenne la pillule ou un quelconque autre moyen de contraception, et Yasushi n'avait pas enfilé de capote. Comme il n'avait aucune idée d'où cette salope se trouvait sur son cycle menstruel, il y avait un risque pour qu'il la foute en cloque si il jutait en elle. La décision la plus rationnelle aurait donc été de se retirer d'elle, puis de se masturber pour se finir à un quelconque endroit de son corps.
Mais ce ne fût pas la décision qu'il prit.
Yasushi était tout simplement trop emporté par l'euphorie du moment pour songer à se retirer. A l'idée qu'il était le premier à lui baiser la chatte, il voulait être aussi le premier à jouir en elle. Il accélérait encore, ses mouvements devenant plus saccadés, plus...désespérés, et il n'y aurait rien qu'Helena pourrait faire pour l'en empêcher.

S-Saloooooooooope...Haaaaaaaa !!!!!

Il sentit la vague remonter en lui, et dans un ultime coup de reins, il s'enfonça au plus profond de sa chatte, et son sexe se mit à tressauter. Il cracha d'épais filaments de foutre dans sa délicieuse chatte humide, se fichant bien des éventuelles conséquences que ça pouvait avoir, il la "marquait" comme étant sienne en jutant en elle. Il joui pendant un long moment, avant de finalement se retirer.

Oh...oh putain...

Et là...il s'en alla. Sans un mot supplémentaire, alors qu'Helena était encore sous le choc, il ramassa ses affaires, renfila son boxer et son pantalon, et sortit précipitamment du bureau en refermant la porte derrière lui.

Une semaine après

Elle y avait pensé chaque nuit, même la première nuit.

La façon dont il l’avait baisé, dont il avait joui en elle, lui arrachant sa jupe, tout en l’insultant. Ses mots, elle se les repassait dans son sommeil. Ses pensées profondes la trahissaient. Même Aiko avait senti qu’Helena était distante, et Helena avait botté en touche en évoquant des problèmes familiaux. Cela n’avait rien de surprenant, car ses parents la relançaient très souvent sur le fait qu’elle était encore célibataire, en envisageant des sites de rencontre, ou tel ou tel fils de telle ou telle connaissance. Helena et Aiko n’avaient de fait pas fait l’amour de toute la semaine… La journée, cela allait, mais, dès que Helena rentrait chez elle, et que le poids de la journée s’effaçait, que le rôle de la professeure s’étiolait, elle repensait à la manière dont Yasushi l’avait baisé frénétiquement. Alors, elle avait commencé dès le lendemain soir à regarder des vidéos pornos. Cela, elle ne le faisait jamais. Elle avait vite opté pour des vidéos assez hard, de quoi la stimuler pour se masturber. Et, quand elle se laissait aller, elle entendait les grognements de Yasushi, et la façon dont il l’avait ravagé sur ce bureau, en la giflant, en ricanant, et surtout… T'auras qu'à devenir ma femme. Il l’avait dit. Sans doute ne le pensait-il pas vraiment, mais il avait pris sa virginité.

Elle n’était plus vierge ! Et Helena s’était toujours dit que seul son mari pourrait lui prendre sa virginité. Elle avait aussi perdu ce lien intime qu’elle avait avec Aiko-chan, car elle lui avait montré qu’elle était vierge, et que Aiko n’avait ainsi pas à suivre ce que sa famille voulait pour elle. Comment pouvaient-elles encore faire l’amour ? Helena s’en voulait… Le jour. Le soir, elle se languissait. Elle attrapait son téléphone portable quand elle se masturbait. Pendant que Yasushi l’avait filmé, elle aussi avait enregistré avec son téléphone. Elle n’y avait même pas pensé sur le coup. Pas de vidéos, mais le son… Et, très vite, cet enregistrement remplaça les vidéos pornos qu’elle regardait.

*Yasushi… Sa femme… Sa femme…*

C’est en milieu de semaine que le basculement arriva. Elle commanda à un distributeur automatique d’une pharmacie plusieurs tests de grossesse, et eut la confirmation qu’elle allait devoir l’épouser. Cette nouvelle l’avait fait pleurer au début, puis elle s’était dit que ses parents allaient enfin être ravis, car leur vieille fille était enfin en cloque ! Dans un bref moment de lucidité, elle avait alors envoyé un SMS à Yasushi. Elle lui demandait de venir la rencontrer Lundi en fin de journée, ou elle lui annonça qu’elle déposerait plainte. Il l’évitait depuis ce moment, craignant sans doute qu’elle aille effectivement voir la police.

Elle le retrouva donc à nouveau Lundi. Helena avait terminé ses courses, et, tandis que les élèves se rendaient dans leurs clubs, elle alla dans son bureau. C’était là qu’il l’avait baisé. Elle se mordilla les lèvres en caressant son bureau. Elle avait essayé de contenir son excitation le soir, mais, en fin de semaine, Jeudi et Vendredi, elle s’était masturbée sur ce bureau. Elle s’était aussi masturbée tout à l’heure, et ne portait plus sa culotte. En fait, quand Yasushi entra, elle était dans le même état que celui dans lequel il l’avait laissé, portant uniquement son pull rose, et rien en-dessous. Mais ça, il ne put le voir en entrant, car elle resta assise.

« Yasushi-san, je suis heureuse que tu aies répondu à mon appel. Nous devons parler de ce qui s’est passé. »

Helena se pinça brièvement les lèvres en essayant de mettre de l’ordre dans ses pensées.

« Tu m’as violé. Te sucer, je pouvais le faire, mais tu as été au-delà. »

Elle observa lentement son regard.

« Je ne lis aucune honte dans ton regard, tu crains juste que j’appelle les flics… J’avais juré d’offrir ma virginité à mon mari. Tu m’as volé cela, et il n’y a rien pour le remplacer. »

Helena soupira encore. Son pull avait beau être épais, l’excitation commençait à pointer, et on pouvait deviner la pointe de ses tétons.

« Je porte ton enfant, Yasushi. »

Cette fois, elle vit son regard vaciller.

« Et je ne compte pas avorter. Donc, il y a deux options. Soit je dépose plainte, tu iras en prison, je serai radiée de cette institution, et nous aurons tous tout perdu… Ou alors, tu assumes les conséquences de ton acte, et… »

Helena rougit brièvement, avant de se ressaisir. Elle se mordilla les lèvres. Ce qu’elle avait en tête était complètement fou, mais elle y avait réfléchi toute la semaine, et cela lui semblait être la seule option logique. Alors, elle se lança :

« …Et on se marie. »

Derrière le sérieux et son visage fermé, Yasushi pourrait sans doute vite comprendre que le désir revenait. La manière dont Helena crispait ses mains entre elles, cherchait à dissimuler ses seins… Oui, elle qui aimait tant le contrôle, elle avait été confrontée à une attirance reptilienne, et le barrage de ses certitudes avait tout simplement volé en éclats.

La première chose qu'il avait fait en sortant de ce bureau, avait été de se diriger dans la salle de classe d'Helena, tant que cette dernière était encore dans les vaps, pour aller enlever la micro caméra qu'il avait posé ici depuis maintenant des mois. En gros, faire disparaître cette preuve potentielle. Puis, il était rentré chez lui, et s'était amplement bourré la gueule. La vérité, c'était que juste après avoir joui dans la chatte d'Helena, la réalité de ce qu'il avait fait l'avait rattrapé d'un seul coup. Sa colère, sa frustration, et son envie de la baiser l'avaient complètement empêché de voir clair, jusqu'au moment où il était trop tard. Alors il s'était barré sans un mot, avait fait ce qu'il pouvait pour faire disparaître des preuves, et ne s'était finalement plus manifesté auprès d'Helena.
L'éviter n'avait pas été si compliqué que ça finalement. Elle était professeure, donc avait un certain nombre d'endroits où elle devait se trouver à certaines heures et certains jours, là où lui était concierge, et pouvait donc adapter sa présence dans les locaux de façon à ce qu'ils ne se croisent plus. Son projet fou de continuer à la faire chanter sur le long terme s'était bel et bien heurté au mur de la réalité, celui que si elle ouvrait sa gueule auprès des flics quand à ce qu'il avait fait, Yasushi était juste bon pour passer le reste de ses jours en taule. Certes, il pouvait ruiner sa vie en retour, et il avait sincèrement voulu croire que ça serait suffisant, mais après l'avoir forcée et avoir pris sa virginité à laquelle elle avait semblé accorder de l'importance...est-ce que ça le serait toujours ?

*Quel con...mais comment j'aurais pu deviner aussi putain ?!?!*

Il ruminait cela dans sa tête, et cela dura plusieurs jours. Cela l'obsédait tellement qu'il se concentrait sur son travail, et plus du tout sur les jupes des lycéennes, au point même où le directeur de l'établissement avait brièvement échangé avec lui sur le fait qu'il voyait ses récents efforts...
Putain, si il avait...
Même travailler ou se bourrer la gueule ne lui suffisait toutefois pas à sortir cette histoire de la tête. Avec son corps parfait, et le fait qu'elle couchait aussi régulièrement avec une de ses élèves, lui avait été persuadé qu'Helena s'était au moins faite prendre par la chatte une fois. Mais la façon dont elle le traitait avec mépris, et sous le coup de l'adrénaline, lui avait voulu la posséder, ce qu'il avait fait, et maintenant il vivait dans la peur perpétuelle que les conséquences ne viennent le rattraper...ce qui se produisit.
Quelques jours plus tard, Yasushi reçu un SMS sur son portable...de la part de Hansen-sama. Un message conçis et sans détour, lui indiquant qu'elle voulait le voir dans son bureau lundi soir, soit une semaine jour pour jour après les "évènements", et que si il ne venait pas, elle irait alors porter plainte contre lui.

*Putain de putain de merde...*

Impossible de se défiler cette fois, il la pensait bel et bien capable de tout aller raconter aux flics, mais ce qui le faisait s'interroger, c'était pourquoi elle voulait lui parler. En effet, chose surprenante, il était bien question que la plainte soit conditionnée au fait qu'il ne vienne pas...mais alors qu'est-ce qu'elle voulait ? Aurait-il eu les idées plus claires, sans doute aurait-il pu faire la déduction, mais il se trouvait trop dans le "mal" pour vraiment raisonner. Il n'avait pas répondu, car il s'était encore demandé jusqu'à la fin si aller en prison n'était pas préférable dans un sens à l'affronter, alors qu'elle aurait de toute évidence l'ascendant sur lui. Finalement, lorsque le temps de venir vint, il se présenta, en entrant dans le bureau.

Hansen-senseï...

Il était rentré jusqu'à se trouver au milieu de la pièce, à quelques pas à peine du bureau. Pour le coup, il la laissa parler, ce qui trancha énormément avec osn attitude de la dernière fois où il s'était trouvé dans la pièce, car il était encore et toujours perplexe quand aux raisons de sa présence ici. Il avait en quelque sorte espéré que, si finalement il lui foutait la paix, comme il l'avait annoncé au début de leur "deal", elle considérerait ça comme suffisant pour ensuite passer à autre chose.

Écoute je...

Il ne savait honnêtement pas quoi dire qui pourrait "excuser" le fait qu'il aie pris sa virginité, hormis le fait qu'il ne savait pas, ce qui n'avait rien d'une excuse valable. Toutefois, il fut bien rapidement induis au silence, lorsqu'elle annonça qu'elle était enceinte de lui.

Qu-quoi ?

Sur le coup il n'y crû pas, que c'était faux, une tactique pour le déstabiliser, ce qui fonctionna complètement par ailleurs, mais il se rendit assez vite compte qu'elle était complètement sérieuse, et qu'elle ne comptait pas avorter. Elle lui présenta alors les deux options qu'elle lui proposait, à savoir qu'elle porte plainte...ou bien qu'ils se marient.
Il y eu un long moment de silence où Yasushi resta juste là, à fixer Helena, pas dans le vide, mais à intégrer tout ce qu'elle venait de dire. Elle était enceinte de lui, et exigeait donc qu'ils se marient ? Putain c'était donc...pour ça ? Honnêtement, il s'était attendu à bien des scénarios dans sa tête, mais certainement pas à ça. Il ne pu s'empêcher de ressentir une once de soulagement à l'idée qu'il avait une option où elle ne portait pas plainte contre lui, et puis, à mesure que son choix lui devenait clair, même une pointe d'excitation. Il mit tout de même un certain temps à réfléchir, il sortit même de son immobilisme pour faire quelques pas dans le bureau, portant une de ses mains sur son visage pour le frotter en signe de réflexion.

*Okay, okay, Yasushi, c'est le moment de réfléchir, fait pas le con...*

Il fini par se retourner à nouveau en face d'elle, et son regard ne pu s'empêcher d'être porté sur ses seins massifs, dont il voyait les tétons pointer au travers de son pull.

Okay.

Il croisa les bras, semblant regagner de l'assurance, et être sorti de sa torpeur.

J'ai pas l'intention d'aller en taule, et j'ai fait une connerie sur ce coup là, alors okay, j'accepte qu'on se marie. En revanche, ce ne sera pas sans conditions de ma part.

Yasushi n'oublia en effet pas qu'il disposait toujours de moyens de ruiner la vie d'Helena. Oh ce n'était certes pas aussi puissant que ce qu'elle avait elle, à savoir les moyens de l'envoyer en taule pour le reste de ses jours...mais tout de même. Il pouvait faire en sorte de ruiner à jamais sa réputation, qu'elle ne puisse plus jamais enseigner, et si elle décidait de ne pas avorter...d'être une mère célibataire.

La première, c'est qu'on attende quelques temps avant qu'on officialise ça et que ça ne sorte pas de nulle part, donc faudra qu'on soit vus publiquement, et progressivement, avant qu'on l'annonce publiquement. La deuxième, c'est qu'on baise ensemble, et souvent. Je préfère encore aller en taule plutôt que d'être dans un mariage sans sexe, et j'aime autant te dire que j'ai de gros, gros besoins...

Il allait sous-entendre que elle aussi, vu comment il avait pu la faire jouir la dernière fois, mais ne poussa pas sa chance au delà du "raisonnable", car il comptait le faire maintenant.

Ma troisième et dernière condition, c'est que tu recommence ta relation avec Aiko-chan. Non seulement il est évident qu'elle se languis de toi, mais en plus vos sessions de broutage de chatte me manquent. Je veux pouvoir te voir directement aussi, planqué dans une armoire pendant que vous le faites, comme ça, je pourrais te baiser ensuite.
Tout ça n'est pas négociable, mais si ça te va, alors j'accepte de t'épouser...Helena-chan. Si tu es d'accord alors...viens m'embrasser, et pas juste avec les lèvres, je veux que tu fourre ta langue dans ma bouche, un vrai baiser, d'épouse à mari.

Il était maintenant bien visible qu'il avait une solide érection sous son pantalon.

Il accepta… Mais pas sans conditions. Helena fronça les sourcils. Elle resta silencieuse, le corps fermé. Elle avait senti, au-delà de la surprise, sa nature de mâle rustre reprendre le dessus. Son « Hansei-sensei » initial sonnait tellement faux, tellement téléphoné… Rien à voir avec la manière dont il l’avait insulté. Alors, quand elle vit la lueur dans ses yeux, elle sentit l’animal revenir, elle frémit lentement en imaginant comment les choses allaient évoluer. Yasushi évoqua ensuite ses trois conditions, que Helena résuma dans sa tête :

Condition n°1 : attendre avant d’officialiser leur mariage,
Condition n°2 : faire l’amour fréquemment,
Condition n°3 : qu’elle continue à faire l’amour avec Aiko-chan.

Des trois conditions, c’est clairement la troisième qui la surprit. Elle rougit ensuite quand Yasushi lui rappela qu’il les filmait en train de faire l’amour, qu’il aimait voir ça… Mais aussi qu’il continuait encore à l’espionner, puisqu’il savait qu’elles ne faisaient plus l’amour. Helena avait encore une fois envie de le gifler… Mais l’idée qu’il puisse les observer, se masturber en les voyant faire l’amour, déclenchait chez elle une curieuse onde d’excitation. Oui, Yasushi avait ouvert une porte chez elle. Il exigea un baiser. Helena soupira alors, et recula son siège. Elle se leva ensuite, et Yasushi put voir qu’elle était nue sous son pull… Mais aussi qu’elle était en train de mouiller. Ses cuisses étaient humides. Helena soupira, et se rapprocha de lui.

« J’accepte tes conditions, Yasushi. Je tiens à ce que tu te comportes bien face à mes parents. »

Une demande surprenante, mais somme toute logique. Helena se rapprocha encore de lui, et dut s’asseoir contre lui. Elle s’assit donc en prenant appui sur son épaule, puis s’installa à califourchon, une jambe à gauche et une autre à droite. Helena croisa son regard, puis posa son autre main sur son épaule. Elle se pencha ensuite contre lui, et l’embrassa. Un baiser un peu timide au début, puis elle ferma les yeux, rompit le baiser, et l’embrassa immédiatement une seconde fois, de façon plus passionnée. Helena se crispa contre lui, et l’embrassa intensivement. Sa langue partit à l’assaut de ses lèvres, et elle l’enlaça, sa chatte se frottant contre l’entrejambes de l’homme. Yasushi pourrait peut-être remarquer à ce stade un autre changement ; Helena s’était en effet épilée.

« Hmmm… »

Le baiser s’étira, et elle frémit quand les mains de Yasushi commencèrent à la palper, malaxant ses fesses. Elle soupira même, et fourra sa langue dans la bouche de Yasushi, remuant sa langue contre la sienne. Et, quand le baiser se termina, un filet de bave relia leurs lèvres, que Helena nettoya de la langue, avant de sourire. Son regard avait changé, il était désormais bien plus pernicieux.

« Je serai ton épouse en public, mais, dans l’intimité, tu avais raison sur un point… »

Elle sourit alors, et murmura contre son oreille :

« …Je me suis masturbée toute la semaine en repensant à la manière dont tu m’as baisé en me traitant de ‘‘pute’’. »

Helena gloussa alors.

« Ta femme en public, mais je veux être ta pute, Yasushi… »

Allait-elle "vraiment" accepter ? Yasushi demeurait quelque peu dubitatif, et n'y croirait réellement que lorsque Helena serait en train de lui prouver qu'elle était prête à devenir sa femme, avec tout ce que ça impliquait. Le mariage ? Oui, il était prêt à s'y plier. Yasushi était un connard, même lui même le reconnaissait volontiers, mais il avait fait une grosse connerie la semaine dernière en la baisant sans capote, et sans s'inquiéter de son cycle menstruel. Résultat, elle se retrouvait en cloque, et Yasushi devait donc l'assumer. Il n'avait nullement l'intention de finir en taule, ni, peut-être un peu plus surprenant, de laisser seule la mère de son enfant. L'homme aurait d'ailleurs cru qu'il paniquerait bien plus que ça face à une perspective pareille, mais d'un autre côté, il était seul depuis des années sans de véritables perspectives que ça évolue, alors se retrouver du jour au lendemain avec une femme, et plus tard un gosse...il prenait même ça d'avantage comme une bonne nouvelle.
Il était en revanche hors de question pour lui d'être enchaîné dans un mariage classique, le genre où le couple arrêtait complètement de baiser dès que la femme était enceinte, ou que ce soit un mariage pour des raisons purement administratives. Oh que non, si mariage il devait y avoir, il comptait bien que ce soit son ticket pour pouvoir disposer d'Helena, et de son sublime corps, un peu comme il l'entendait...même si il prenait ses responsabilités, il n'en demeurait pas moins...lui même.
Toutefois, malgré ces conditions, et à sa légère surprise, Helena se redressa et commença à contourner son bureau, pour venir le rejoindre sur le fauteuil où il avait pris place à la fin de son monologue. Il n'avait pas pu le voir car elle était assise, et donc partiellement cachée par son bureau, mais maintenant qu'Helena était debout, Yasushi ne pu que constater que son pull rose était le seul et unique vêtement qu'elle portait. C'était dans cet exact état vestimentaire qu'il l'avait laissée la dernière fois, sans jupe et sans culotte, il nota aussi qu'elle ne portait pas non plus de soutif' en dessous car la pointe de ses tétons était visible. Elle mouillait aussi. Yasushi n'avait qu'une seule session avec elle pour appuyer ses dires, mais il avait bien l'impression que sa désormais femme était une sacrée sécrétrice de cyprine.

*Putain...elle attendait ça ?*

Helena avait-elle anticipée le fait qu'il dise oui en étant excitée ? Cette perspective le laissa pantois pendant quelques instants, de sorte qu'il mit un léger temps avant de réagir à la condition qu'elle même posa, à savoir qu'il se compote bien avec ses parents.

Euh ouais, si tu veux c'est...normal...

La rencontre avec ses beaux-parents n'était toutefois pas la priorité qu'il avait en tête actuellement. Helena le rejoint en se mettant à califourchon, et Yasushi ne perdit pas une miette du spectacle, la laissant faire, la laissant s'installer, elle et son corps divin, chaud, sur lui. Puis, elle vint l'embrasser. Timidement au début, mais lorsqu'elle y revint, ce fût comme il l'avait exigé, avec sa langue, et à l'étonnement encore une fois de Yasushi, sans le dégoût qu'elle avait pu avoir envers lui il y a une semaine de ça. C'était bon, il ne pu s'empêcher de se mettre à bander fort sous son pantalon, et sa bosse frotta contre la chatte nue d'Helena, qui était nue à plus d'un titre puisqu'il nota qu'elle s'était épilée.
Ce dernier détail le convainquit définitivement qu'Helena avait attendu ce moment, et s'y était préparée, et il ne se retint alors pas plus longtemps. Yasushi avait au début posé ses mains un peu chastement sur les hanches de sa femme, mais là, il les fit glisser pour aller empoigner ses fesses, et les empoigner fort. Ses doigts s'enfoncèrent bien dans la chair ferme de ses fesses, qu'il malaxa bien durement tout le long du baiser, qui dura un moment.
Puis Helena se retira, et il vit dans son regard une lueur de désir qu'il n'aurait pas crû voir, ou du moins pas à son encontre. Elle donna alors un dernier coup de marteau sur le mur de ses hésitations, quand elle déclara avoir passée la semaine à s'être masturbée en se remémorant leur session de baise, et que si elle serait sa femme en public, elle voulait qu'il la traite comme "sa" pute dans leur couple.

Oh ouais...

Le sourire malicieux qu'il avait eu durant leur premier échange, qui avait été absent chez lui jusque là, revint au galop dès lors qu'Helena manifesta son consentement. Yasushi serra alors fortement ses mains sur les fesses d'Helena, non pas pour les malaxer encore, mais pour la tenir contre lui. Il soupira lourdement alors qu'il se redressa du fauteuil en la portant contre lui, puis il la déplaça jusqu'à son bureau, où il la posa alors sur le rebord un peu comme un sac de patates.

Je te l'avais dit non ? Que tout irait mieux si t'arrêtais de te mentir à toi même ? Comme quoi, j'avais bien raison à ton sujet...ma belle pute...

Il retourna l'embrasser goulument, tandis qu'il remonta ses mains pour aller empoigner les seins d'Helena au travers de son pull. Cela ne dura toutefois qu'un bref temps, puisqu'il se retira, et se saisit alors du vêtement pour le relever. Il indiqua d'ailleurs à Helena de redresser ses bras, et pu ainsi lui retirer sa seule et unique pièce de vêtement, qu'il balança au hasard dans un coin de la pièce.

Putain ouais...

Ses seins...une partie de son anatomie qu'il n'avait pas pu voir la dernière fois, mais qui était au moins aussi attirante que son cul. Bordel de bordel de merde, ce qu'il étaient massifs ! Yasushi se jeta alors dessus comme un chien affamé depuis des jours, venant directement en sucer un, tandis qu'il malaxa un autre, pinçant au passage le téton entre ses doigts.

Hnnnf...

Oh il en avait rêvé, mais ses putain de nibards étaient encore mieux que ce qu'il avait pu imaginer. Malgré leur volume, il étaient aussi bien fermes, délicieux à pétrir et à sucer. Il s'imaginait déjà tellement de choses, comme pouvoir fourrer sa queue entre et qu'Helena le masturbe ainsi, jusqu'à ce qu'il lui jouisse à la gueule, ou encore que, quand sa grossesse serait assez avancée, qu'il puisse aller la téter tant que ça ne serait pas monopolisé par le gosse. Il avait à ce stade encore une main libre, mais qu'il ne laissa pas longtemps inactive, puisqu'il la glissa entre les cuisses écartées d'Helena, pour lui fourrer deux doigts dans la chatte. Il sentit à quel point elle était humide, chaude, en bref, bien préparée à l'acceuillir. Il la doigta donc tout juste une poignée de secondes, avant de complètement se retirer, et se recula même légèrement d'elle, afin de porter ses doigts à sa propre bouche et de sucer.

Hm...délicieux. En temps normal je t'aurais préparée avant de te baiser, mais je vois que tu t'en est déjà chargée, alors on va passer direct au plat de résistance.

Il commença alors à retirer ses chaussures et ses chaussettes, dans l'optique évidente de se déshabiller intégralement.

Caresse toi devant moi salope, et tant que t'y es, si tu me motivais un peu en me racontant à quel point ma queue t'a manqué cette semaine ? Je veux tout savoir, tout de comment t'es ma sale pute rien qu'à moi.

Dans une bande dessinée, le dessinateur aurait pu dessiner un ange sur l’épaule gauche de Helena, et une démone sur l’épaule droite, la première encourageant Helena à cesser ce qu’elle faisait, tandis que la deuxième dirait l’inverse. La voix de l’ange avait été forte avant de voir Yasushi. C’était l’ultime confrontation, ce moment où Helena allait repousser l’homme, où elle allait tout verrouiller. Mais, quand il était entré, quand il avait prononcé son nom, sa voix angélique s’était bâillonnée. Des pulsions profondes avaient explosé en elle, comme une lame de fond qui avait tout balayé. Elle sentit l’érection de Yasushi tout en l’embrassant, elle leva les bras quand il le lui demanda, et elle finit toute nue. Il avait commencé à la doigter, imbibant ses doigts de sa mouille, mais lui intima de se caresser, de le stimuler, de dire ce à quoi elle pensait, tout en commençant à se déshabiller.

Helena rougit en se mordillant les lèvres, puis grimpa sur son bureau. Elle s’agenouilla ensuite, et posa sa main gauche sur l’un de ses seins. Ses tétons lui faisaient mal, et tout son corps était en feu, un feu qui partait de sa chatte, qu’elle caressa en glissant deux doigts de sa main droite en elle. Elle se masturba ainsi, répandant des gouttes de cyprine sur le bois de son bureau.

« J’y ai pensé… Toute la semaine, tous les soirs… Je me masturbais en imaginant votre queue me ravager, Maître… Vous aviez raison, j’ai… J’ai passé des années à refouler mes pulsions, et vous, vous m’avez réveillé. Alors, je me suis réveillée chaque nuit en m’imaginant me faire baiser par vous. Hmmm… Vous me baisiez partout, en m’insultant, je fantasmais à l’idée de vous voir le matin dans mon bureau… Que vous jouissiez dans ma culotte en m’ordonnant de la porter toute la journée ensuite… Je vous suçais dans les toilettes, moi, votre petite pute… Vous me faisiez porter des tenues indécentes… Comme celle que vos putes portent, haaaa… »

Tout en parlant, Helena était de plus en plus excitée, avouant des fantasmes qu’elle n’aurait jamais osé avoir en tête. Mais ils avaient toujours été là, endormis en elle, n’attendant que le signal pour se libérer. Et, de toute évidence, ce moment était venu ! Cela, Yasushi pouvait le constater en voyant la manière dont Helena se trémoussait, et se libérait.

« E-Est-ce que c’est comme ça que vous souhaitez me b-baiser, Maître ? Quand mes parents m’inviteront au restaurant, et que vous me baiserez dans les toilettes, haaaa… Est-ce que vos putes vous stimulent autant que moi, Maître ? Hmmm… J’ai toujours dit à Aiko que les hommes étaient décevants, qu’ils ne savaient pas comment plaire une femme… J-Je me suis trompée, haaaa… Car la seule idée de vous sentir me ravager à nouveau, me baiser en m’insultant, haaaaa… J-Je… Haaaaa… »

Les yeux d’Helena se révulsèrent brièvement, et elle se mit à jouir, tirant la langue, son visage se figeant dans une grimace grossière, tandis qu’elle inondait le bureau de sa mouille, sentant la vague l’emporter, délicieuse, savoureuse, absorbant tout ce qu’elle était pour recracher cela sous la forme de ce liquide transparent qu’elle étalait sur le bureau…

Une petite partie de l'esprit de Yasushi continuait d'avoir du mal à croire que ce qui se passait présentement était réel, quand il comparait l'attitude d'Helena vis à vis de lui une semaine auparavant, et maintenant, tout avait changé. La façon dont elle l'avait embrassé, en se foutant à califourchon sur lui, et en frottant sa chatte épilée sur son érection, faisait qu'il bandait dur maintenant, et sans doute n'avait-il jamais eu aussi mal à sa queue de toute sa vie. C'était la raison pour laquelle, là, il avait absolument besoin de se déshabiller, et pendant qu'il le faisait, il avait ordonné à Helena de le stimuler encore d'avantage. Toute nue, elle grimpa sur son bureau, se mettant à genoux dessus et en lui faisant face, et avec une main elle se malaxa les seins, tandis qu'elle utilisa l'autre pour s'enfoncer deux doigts dans la chatte, et se masturber devant lui.
Les paroles qu'elle prononça le fit se déshabiller encore plus frénétiquement. Il avait commencé par le haut car avec les boutons ça serait le plus compliqué, et à peu près à la moitié du premier discours d'Helena, il parvint enfin à abaisser son pantalon et son boxer. Il poussa un soupir de soulagement en le faisant, et puis il se rapprocha d'Helena, se trouvant face à elle et assez proche, et entreprit de se branler, tout en l'écoutant. Il souriait en l'entendant mettre en parole ses fantasmes inavoués, dont elle se libérait enfin, et qu'elle avait sans doute du garder si longtemps pour elle car ils pouvaient être vus comme sortant de la norme. Porter des tenues indécentes, comme celles des putes faisant le trottoir, ou encore et surtout, qu'il jouisse dans sa culotte qu'elle porterait ensuite toute la journée.

Hmmm pour que tu aie en permanence un petit souvenir de moi hein ? Y'a pas besoin que ça ne soit que un fantasme ma jolie, hnnn...si tu veux, on peut mettre ça en place dès demain, qu'est-ce que tu en dis ? Notre petit rituel pour bien commencer la journée, moi qui me glisse dans ton dos, ma queue dans ta culotte, et je me frotte contre ta chatte mais sans te pénétrer, jusqu'à ce que je tapisse le tout de mon sperme chaud...Oh ouais, c'est ça que tu aimerais hein ?

Yasushi n'était présentement plus sur de l'humiliation, ou du moins, pas de la même façon que la semaine dernière. Il était d'avantage sur du "dirty talk", de la même façon qu'Helena était en train d'en faire, il l'accompagnait afin de l'encourager à continuer ainsi, car ça l'excitait énormément. Il avait encore en tête l'image de cette Helena tellement coincée du cul, qu'il voyait maintenant s'ouvrir à lui en lui racontant tous ses désirs obscènes. Lui était là pour l'encourager, oh il ne la jugeait absolument pas, au contraire, il adorait ça, non seulement car ça le stimulait, mais parce que ça lui donnait des idées. Il était très sérieux quand au fait de concrétiser ce fantasme qu'elle avait qu'il jouisse dans sa culotte, car c'était complètement son genre de kinks un peu spéciaux, et Helena allait vite se rendre compte que Yasushi était ouvert à beaucoup, beaucoup de choses.
Il se branlait donc frénétiquement face à elle, l'écoutant lui raconter ses fantasmes, enchaînant sur un qu'elle avait, où il la baiserait dans les toilettes d'un restaurant lors d'un repas avec ses parents, et elle mentionna aussi Aiko, avant de finir par jouir copieusement.

Oh putain je...haa !

Quand elle se mit à jouir sur place, en tirant la langue, et avec son corps se convulsant alors qu'un flux de cyprine s'échappait de sa chatte pour arriver sur son bureau, ce fut aussi le coup de trop pour Yasushi. Ce dernier se rapprocha alors rapidement d'Helena, glissa sa main libre à l'arrière de la nuque pour aller l'embrasser pendant qu'elle jouissait...alors que lui même se mit à éjaculer. Il était très proche d'elle, ce qui fit qu'il tartina de foutre principalement la zone de son ventre, un peu son mont de Venus, ainsi que le bas de ses seins volumineux, qui dans leur position, empêchèrent les projections d'aller plus haut que ça. Il grogna tout en l'embrassant fougueusement, et en jouissant contre elle, pour la marquer. Il se retira ensuite, la respiration lourde, et se recula pour admirer son "oeuvre".

Ha...hahaha...nan ma belle, toutes les putes que j'ai pu baiser, aucune ne t'arrive à la cheville. Regarde comme je bande encore putain, ma bite est dure en permanence quand je suis avec toi.

Il réfléchit brièvement, songeant rapidement à la suite. Il avait envie de la baiser bien sûr, mais à la voir ainsi couverte de son foutre "seulement" sur le ventre, il ne pouvait s'empêcher de se dire qu'il manquait un truc. Il y avait ça, couplé au fait qu'elle l'ait appelé "Maître" pendant qu'elle se masturbait...

T'es belle avec mon foutre sur le corps, mais puisque je suis ton Maître, cela veut dire que tu n'es pas seulement mon épouse, ma pute et ma salope, t'es aussi mon esclave. Et mon esclave doit être proprement marquée pour officialiser qu'elle m'appartiens. Viens vers moi ma salope, met toi à genoux devant moi. Je veux que tu fourre ma grosse bite entre tes gros seins, que tu me branle avec, et que tu me fasse jouir sur ta délicieuse gueule de pute. Ensuite, et seulement ensuite, une fois que je t'aurais proprement tartinée et marquée avec mon foutre, je te baiserais comme tu le mérite...

Les inhibitions d’Helena avaient toutes sauté les unes après les autres, tous les murs sombrant face à cette vague impérieuse. Elle le vit se déshabiller à son tour, elle sentit le regard de Yasushi durcir, et elle frémit. C’était le même regard que celui qu’il avait fini par avoir la semaine dernière, quand il lui avait pris sa virginité, quand il était devenu son Maître. Ce n’était pas un lapsus, c’était ce que Helena pensait, au fond. Des années d’éducation à la Japonaise, de sa mère lui disant que, peu importe ce qu’elle faisait, peu importe ses diplômes, sa principale fonction était d’avoir un époux, et d’être une mère aimante… Ce socle qu’elle avait enterré était revenu. Pour ça, il avait fallu la secouer, et Yasushi l’avait fait. Il se précipita vers elle, et elle gémit contre ses lèvres quand elle le sentit jouir. Elle posa sa main autour de son cou, et répondit avec ferveur à son baiser, tandis que sa queue crachait des filaments de sperme sur son corps. Il jouit contre son ventre, et sa queue, coincée entre leurs corps respectifs, se redressa pour répandre sa semence, éclaboussant le ventre d’Helena, remontant jusqu’à sa poitrine.

« Hmmm… !! »

Elle l’accompagna naturellement en l’embrassant, en sentant la langue de l’homme s’enfoncer dans sa bouche. Helena gémit doucement. Elle venait de jouir. Si la honte aurait pu la saisir, elle resta silencieuse quelques instants. Elle baissa la tête, et vit ce sperme qui maculait son corps, une substance gluante et collante. Ses doigts se posèrent dessus, et elle les observa ensuite. Ses doigts avaient recueilli son sperme, qu’elle renifla, et suçota ensuite. Son ancien petit-ami n’avait jamais juté autant… Et, si le goût du sperme avait été horrible au début, elle avait fini par y prendre goût. Elle avait les joues rouges, le feu palpitait toujours en elle, elle le sentait dans son corps, dans ses tripes. Alors, quand Yasushi lui demanda de jouer de ses gros seins sur sa queue, Helena n’attendit pas davantage.

Elle descendit de son bureau, et finit à genoux devant lui. Il s’était assis sur le fauteuil d’Helena, comme pour marquer sa domination naturelle. Elle était à genoux, et déglutit lentement, avant de poser ses mains sur ses seins. Elle se lova contre lui, et coinça la verge de l’homme entre ses seins.

« À-À vos ordres, Maître… Votre p-petite pute fera… T-Tout ce que vous voulez… Haaaa… »

Helena soupira encore. Elle sentait son corps trembler nerveusement, comme pour exprimer son excitation. Helena se mordilla les lèvres.

« Dé-Désolée si je ne suis pas douée, je… Mon ancien fiancé ne m’avait jamais demandé de faire ça, M-Maître… »

Parler l’aidait à détendre son corps, et elle avait aussi compris qu’il aimait ça. Il l’avait réduit au simple rôle de femelle en la baisant sauvagement, alors il allait devoir assumer. Helena remuait ses seins en les écartant, puis en les aplatissant encore. Elle avait une poitrine taillée pour la cravate de notaire, et, même si son inexpérience était là, Helena s’en sortait plutôt bien. Elle frottait ses seins contre la queue trempée de Yasushi, dont la pointe venait titiller son menton. La jeune femme pencha donc un peu la tête, et lécha la pointe de sa queue, titillant celle-ci avec sa langue, ou déposant des baisers dessus. Elle semblait vouer à cette verge une véritable adoration.

« J-Jouissez sur moi, Maître, je veux porter votre odeur… Ê-Être votre réceptacle à foutre… Avec moi, vous n’irez plus jamais aux putes, Maître, votre épouse est là pour combler tous vos besoins… Y compris devenir la reine des salopes, si c’est votre désir, haaaa… ! »

Maintenant, Helena attendait sa récompense, sa saillie crémeuse…

Cette fois-ci, Yasushi avait prit place dans le propre fauteuil d'Helena, affirmant ainsi que tout ce qui lui appartenait était aussi à lui. Putain, si il avait cru que son chantage initial déboucherait sur ça...il n'y aurait jamais cru lui même si il l'avait entendu de la bouche de quelqu'un d'autre. Il prit donc place dans le fauteuil d'Helena, posant ses bras sur les accoudoirs, et écartant ses jambes pour laisser à sa femme l'opportunité de s'approcher assez de son entrejambe. Elle vint à lui, sans poser de questions, et non seulement elle lui était soumise, mais elle semblait en plus de ça tellement heureuse de l'être. Yasushi ignorait quels genres de "fusibles" il avait fait sauter dans la tête de cette femme pour qu'elle devienne ainsi une telle salope, sa salope, mais il s'en foutait car il avait ainsi absolument tout gagné.
Il se crispa sur place quand elle s'approcha entre ses jambes écartées, puis qu'elle dirigea ses seins de façon à enfourner sa queue entre, puis elle utilisa ses mains pour serrer.

Oooooh putain...Oh ouais c'est si bon...

Elle commença à remuser, à la fois à l'aide de ses mains et de son bassin pour faire un mouvement de friction. Les seins d'Helena étaient bien gros, chauds et moelleux, alors elle parvenait à englober la totalité de son sexe. Pour autant, Yasushi était monté comme un taureau, alors le bout de son sexe parvenait quand même à ressortir au fil des mouvements qu'elle faisait, ce qui était juste parfait. Il soupirait de plaisir, crispant ses mains sur les accoudoirs, lorsqu'elle s'excusa de ne pas être "douée" vu que son ex ne lui avait jamais demandé ça.
Yasushi glissa alors une de ses mains sur une des joues d'Helena, et fourra brièvement son pouce dans sa bouche.

Shhhht...ne t'excuse pas pour les erreurs de ton ex. Si il ne l'a jamais demandé, c'est qu'il était soit trop con, soit trop coincé, mais t'inquiète pas...ton Maître va refaire ton éducation, bien comme il le faut.

Il retira alors sa main, qu'il remis sur l'accoudoir, tandis qu'il la laissa faire son oeuvre. Mine de rien, il devait faire des efforts conscients pour ne pas juter immédiatement. C'était pour lui aussi sa première "vraie" cravate de notaire, car aucune des putes avec qui il avait couché n'avait soit l'envie, soit la poitrine nécessaire pour acceuillir son braquemard. Et c'était exquis ! Son sexe se trouvait dans un cocon de chair moelleuse à souhait, c'était chaud, et elle frottait bien dessus, le stimulant très bien. Il se retenait, mais sentait qu'il n'allait pas pouvoir le faire éternellement. Surtout, Helena baissa alors sa tête, et entreprit de stimuler le bout de son sexe qui ressortait avec sa langue, donnant de petits coups frénétiques dessus, alternant avec des baisers.

Oh bordel...hmmmf...

Yasushi se tortillait sur place, sentant la sauce monter, et ce d'autant plus qu'Helena se remit à parler de façon obscène. Putain oui, ça, ça l'excitait énormément.

Oh salope tu...tu...Haaaaaa !!!!

Presque sans prévenir alors, il se tendit, et son sexe se mit à tressauter au cours d'un nouvel orgasme. Cette fois, rien ne protégeait le visage d'Helena des projections de sperme, qu'elle se prit directement sur sa belle petite gueule. Yasushi, fortement excité, juta pendant un bon moment d'épaisses quantités de foutre gluant, qui mâcula généreusement son visage, et même ses cheveux à plusieurs endroits. Seule son port de lunettes empêcha Helena d'en recevoir directement sur ses paupières, mais ses verres en revanche se prirent plusieurs jets directement, obstruant en bonne partie sa vision. Et, bien entendu, Yasushi lui éjacula à plusieurs reprises dans sa bouche, ou sa sa langue tendue.

Ohhhh...putaiiiin...

Yasushi avait la respiration lourde, il avait levé la tête vers le plafond pendant qu'il jouissait, mais là, il redescendit, et vit son "oeuvre" sur le visage d'Helena, ce qui le fit amplement sourire.

Oh ouais ma beauté, tu sera ma reine...ma reine des salopes, ma reine des putes, mon esclave à moi. Et comme t'a été bonne dans tous ces domaines, il est temps que je te donne ta récompense promise.

Il prit Helena par ses aisselles, puis la souleva en se redressant lui même. Il la poussa alors sans ménagement contre le bureau qu'elle heurta avec une force contrôlée. Il la prit alors par les fesses, et la souleva de façon à ce qu'elle puisse s'asseoir dessus, avant de la faire s'allonger, ses fesses se retrouvant tout juste au niveau du rebord. Yasushi glissa alors ses mains à l'arrière des genoux d'Helena, pour redresser et écarter ses jambes, libérant la voie ouverte à sa belle petite chatte.

Putain, j'arrive pas à croire que tu t'es même épilée pour ça, vraiment, c'est ma bonne grosse salope à moi ça...oh ouais...

Il bougea alors son bassin de façon à rapprocher et orienter le bout de son sexe vers l'entrée de la chatte d'Helena, qu'il pénétra ensuite d'un coup sec et brusque, avant de commencer à la pilloner. Pas de préparation, il l'estimait déjà suffisament, alors il y alla sans plus de cérémonie, et entreprit de la bourrer.

Helena se laissait peu à peu aller. Elle s’enhardissait, prenait peu à peu confiance en elle. Elle se focalisait sur le regard de Yasushi, elle voyait ce dernier prendre joyeusement son pied. Elle s’en mordillait les lèvres, chaudement excitée par ce spectacle. Oui, il aimait ça, c’était évident ! Elle l’entendait soupirer, grogner, alors elle se laissait elle aussi aller. Elle avait déjà envisagé de faire ce genre de choses pendant son adolescence, mais son ex’ n’avait jamais semblé très motivé par ce genre de choses. Ou alors, c’était peut-être elle qui n’envoyait pas les bons signaux ? L’un dans l’autre, elle avait grandi, elle savait qu’elle avait loupé sa chance de rencontrer le parfait amant. Finalement, les kamis lui donnaient une nouvelle chance, et elle ne comptait pas la laisser passer. Alors, Helena comptait tout faire pour que cette fois soit la bonne, qu’ils aillent vraiment jusqu’au mariage, et que ce bébé dans son ventre puisse grandir. Yasushi promit de refaire son éducation, et Helena lui sourit joyeusement.

« Oh, Maître… Merci, Maître, vous ferez de moi la plus pute de toutes les putes ? Haaaa, je sens votre queue, Maître, si dure, si… Prête à rugir… »

Elle sentait qu’il avait du mal à se retenir de ne pas la prendre tout de suite. Sa queue tressautait entre ses seins moelleux, filant de haut en bas. Elle s’aidait aussi de son bassin et de ses jambes, afin de faire un mouvement de balancier avec son corps, en s’aidant de ses genoux. D’avant en arrière, elle accompagnait ainsi les délicieux frottements de ses lourds seins sur cette verge assoiffée. Elle l’observait encore, voulant mieux le visualiser, et savoir quand il jouirait. Et elle le sentit donc. Elle vit son visage se crisper, elle perçut les crispations musculaires. Elle-même avait très chaud entre les cuisses, avec une envie furieuse de se masturber, mais elle y résistait autant que possible, car son Maître était naturellement sa priorité.

*Il… Il vient !*

Sa queue tressauta entre ses seins, et elle gémit en sentant le sperme affluer. Elle sentit une première vague éclater contre ses seins et son menton, et elle continua à le masturber. La queue de Yasushi cracha encore sa semence, et il partit lui aussi dans le plaisir de la jouissance. Pour Helena, c’était une vision magnifique, celle d’un homme qu’elle rendait heureux, de son époux qu’elle comblait ! Elle le laissa donc jouir à plusieurs reprises, crachant sa semence sur elle, éclaboussant ses seins, le haut de son corps, et son visage. Elle ferma les yeux, en souriant joyeusement. Ses lunettes furent également maculées de sperme, alors Helena les retira, et les posa à côté, pour mieux sentir ce foutre sur son visage.

« Haaaa… »

Yasushi avait joui copieusement. Helena cligna des yeux, sentant ce foutre partout sur elle. Elle sourit quand il la complimenta, et, effectivement, elle avait… Très chaud. De fait, elle se masturbait déjà, gémissant quand il lui annonça qu’elle serait sa « reine des salopes ».

« Oh, Maître, vous êtes si gentil avec votre pute… »

Il la redressa alors, et Helena gémit, en atterrissant sur son bureau. Les jambes relevées, elle posa ses mains en appui sur le rebord de son bureau, du côté de Yasushi, et gémit encore en voyant ce dernier, puis en sentant sa verge la prendre. Helena se mordilla les lèvres, et sentit ensuite son amant la prendre. Elle gloussa quand il constata qu’elle s’était épilée.

« Je… Je vous l’ai dit, M-Maître… Je dois être une bonne épouse, haaaa… »

Son corps filait d’avant en arrière, et elle soupirait à nouveau, gémissant de plaisir en le sentant la prendre, encore et encore…

The Multiversity

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