The Multiversity

Déguisé en policier, Peach avait pour mission de ramener une jeune femme dans l’une des planques de la Fut-Corp à Yoake. Sa mère devait venir en compagnie de deux F-Girls  plus tard, et il devait ramener quelqu’un pour qu’elles s’occupent. Peach, qui avait plutôt l’habitude de se déguiser en prostitué, portait d’ailleurs sous sa tenue une tenue beaucoup plus court et flashy, avec un plug anal qui remuait en lui. Il s’avançait en compagnie de Rex, le chien de sa Maman. Un bon gros chien musclé qui se chargeait, avec son flair, de trouver les proies. La nuit commençait à tomber, et il devenait compliqué de trouver du monde ! Peach se dirigea donc vers la plus proche station de métro, un métro aérien. Même malgré son petit gabarit, personne n’osait remettre en cause sa stature. Il portait une belle matraque, et rejoignit la station. Certains étudiants qui flânaient un peu après les cours se trouvaient là.

« Allez, Rex, je te laisse trouver… » chuchota-t-il.

Rex se déplaça alors, et avança entre les personnes, jusqu’à se rapprocher d’une étudiante, et aboya contre elle, venant fourrer sa truffe sous sa jupe. Peach siffla alors, et les citadins s’écartèrent, tandis qu’il se rapprocha de sa proie. C’était une belle étudiante aux longs cheveux bruns.

« Opération de police, ne vous inquiétez pas ! »

Peach se rapprocha de la jeune femme.

« Chère Madame, Rex est un chien renifleur, il renifle la présence de produits stupéfiants. Je vais devoir fouiller votre sac ! »

Il adoptait une posture raide, martiale, une voix forte et grave, très éloignée de ce qu’il faisait habituellement. Maman aimait bien l’amener à jouer un rôle, et la tenue de policier lui allait très bien. La jeune femme semblait paniquée, surtout quand, en fouillant son sac, Peach en profita pour y glisser un petit sachet blanc de drogue, qu’il extirpa ensuite. Rex le renifla avec force, et aboya alors.

« Hum… J’ai bien peur que vous dussiez me suivre au poste de police le plus proche, Madame. Puis-je vérifier votre identité ? »

C’était une astuce classique, une arnaque toujours aussi efficace !

Fujiko était avec Kioi, sa meilleur amie de toujours, et gardienne de ces plus honteux secrets. Le duo était à la gare, attendant leur train. Elles rentraient pour le week-end, leurs parents respectif vivant dans le même quartier, aussi matin comme soir elle se retrouvaient à faire le même parcours et était dans la même classe ! Inséparable !

Les deux discutaient des cours et de l'action du jour de Fujiko : prendre un défaut une fille qui fumé dans les toilettes et de la recadrer. Elles rigolaient de bon cœur quand un aboiement soudain fit sursauté Fujiko, car il était dans son dos. Elle se retourna prestement, ayant presque sauter dans les bras de Kioi, qui ne s'en serait pas plaint.

-Il sors d'où lui ? Et mais stop !

Fujiko tenta timidement de repousser le chien qui passa son museau sous sa jupe, reniflant sa culotte, de peur qu'il la morde. Un sifflement le rappela à l'ordre et ni plus ni moins un policier qui se rapprocha du duo. Il rassura la foule et s'adressa ensuite directement à Fujiko et qui n'en croyait pas ses oreilles.

-Quoi ? Il a les narine pourrie votre chien ! En plus il renifle ma culotte !

Bien que de prime à bord Fujiko semblait réfractaire, elle tendit tout de même son sac de bonne grâce, inquiète. Le policier semblait bien connaître son métier et il n'avait pas l'air d'une bleusaille. Bien qu'il semblait jeune. Les yeux de Fujiko auraient put sortir de leur orbite, quand le policer sortie un sachet de drogue de son sac, et Kioi ouvrit grand la bouche, comme d'autre personne. Mais à peine le policier finis sa phrase, que Fujiko lança, sans trembler, avec fermété et conviction, non pas comme un plaidoyer, mais comme l'évidence même.

-Ce n'est pas à moi ! Je suis innocente.

Elle fut rejointe par d'autre camarade qui la connaissait et surtout Kioi. Mais avant que le policier ne fasse usage de son autorité, Fujiko le devança et s'adressa aux autres. En même temps elle lui tendit ses papiers, tous en règle.

-On se calme ! Monsieur je vais vous suivre et vous prouvez mon innocence. Vous aurez qu'a me servir de témoin au besoin !
-Je t'accompagne. Lança Kioi. Sûrement un de ses connards qui à voulue te piéger !
-Bien on vous suis !

Fujiko parvenait à rester maître de ses émotions et faisait en sorte d'être la plus d'elle même. Si elle s'était mise à paniquer et partir en cacahuètes, nul doute qu'elle passerait pour un coupable idéal. De plus, n'ayant ni un passé de délinquante, ni de passif judiciaire ou de problème avec la police, et le nombre de personnes pouvant le témoigner, elle sera plus clémente avec elle et sûrement plus compréhensible ! Mais elle était tellement loin de se douter de ce qui se tramait en réalité.

Peach en policier autoritaire ! L’image aurait pu prêter à sourire tant il était un soumis ! Pendant qu’il parlait, il avait d’ailleurs son plug anal, remuant joyeusement dans ses fesses. Rex n’était pas son chien, c’était celui de Meryl, sa mère, et, au demeurant, Rex avait très souvent besogné le petit Peach. Le chien savait toutefois se retenir, Meryl avait bien éduqué leur chien de famille ! Face à lui, la jeune fille se décomposa, signe qu’elle ne devait pas être habituée à côtoyer les forces de l’ordre. L’une de ses copines demanda toutefois à l’accompagner. Peach la regarda rapidement, et estima qu’elle valait le détour, elle aussi. Deux amantes pour le prix d’une, sa mère et ses amies allaient être contentes, et Peach aura peut-être droit à une récompense plus poussée comme ça ! Et puis, il ne fallait pas inquiéter Zaraki-chan.

« Très bien. Votre carte d’identité, Madame ? »

Elle s’appelait Kioi. Peach hocha la tête, puis invita les deux jeunes filles à le suivre. Il se retourna ensuite, leur laissant l’occasion d’admirer son postérieur. Certes, le pantalon qu’il travaillait ne moulait pas ses formes, mais il n’y avait pas besoin de ça pour voir à quel point il était beau, non ? Enfin, il sentait bien que son cul allait de nouveau être mis à rude épreuve ce soir ! Plus que tourmenter les deux jeunes filles, la perspective d’être maltraitement sexuellement par les F-Girls ce soir suffisait à motiver Peach. C’était un parfait soumis en ce sens que son idéal était de se faire punir et maltraiter par ses Maîtresses.

Tandis qu’il marchait, Peach récupéra son téléphone portable, et avertit sa mère qu’il venait avec deux filles, afin de bien préparer leur réception. Une fois dans la rue, il marcha tranquillement, et se retourna vers les deux femmes, tenant toujours la laisse de ce bon vieux Rex.

« Je suis sûr que vous avez été victime d’une mauvaise blague, c’est un grand classique. Vous savez quoi ? Si je vous emmène au poste, vous aurez droit à toute une procédure qui visera notamment à informer vos parents. Je suis sûr que vous souhaitez éviter ça, n’est-ce pas ? Et moi, je n’ai pas signé pour ce genre de choses, je ne veux pas qu’on m’accuse de persécuter des lycéennes. »

Il se tut pendant quelques secondes, et enchaîna :

« Voilà ce que je vous propose… Je vais chercher un test de dépistage chez moi, ça prend quelques secondes, et, si vous êtes clean, Zaraki-sama, je vous relâche. Qu’en pensez-vous ? »

Fujiko et Kioi ne se firent pas prier pour suivre le policier, disant au revoir à leur amies et amis avant bien évidemment. Elles étaient prises dans leur murmure, cherchant une explication à ce qui avait put arriver, quand, où, comment et qui. Elles échangèrent plusieurs noms de délinquant que Fujiko avait corriger, argumentant l'un ou l'autre, et se mirent d'accord que ça devait être pendant l'heure de sport, car ce n'était pas la première fois qu'il y avait eu des cas d'infraction, de vols ou de message d'amours.

Si elles n'étaient pas autant absorbé par leur discussion, elles remarqueraient que le policier était plutôt séduisant, le physique gracieux et mince, avec touche féminine et un beau petit cul. Pour tout dire, si la situation n'était pas aussi grave, elles le trouveraient très mignons. Mais aussi que sont accoutrement était plus étrange, car il ressemblait à s'y méprendre à un gyaru à ses début ou un ancien, sa peau plutôt légèrement basané et ses longs cheveux blond. Elles le trouveraient même à « croquer ». Mais elles n'avaient pas de t-elles pensés. D'ailleurs ce dernier coupa court à leur échange, après seulement 2-3 minute de marche.

Dans un premier temps, ce dernier était de leur côté, comme quoi Fujiko était victime d'un coup monté, ce qui ironiquement, était totalement vrai. Puis dans un deuxième temps, ce fut... étrange. Ce dernier parla de faire sauter la procédure, en évitant d'aller au poste, afin de régler ça à « l'amiable », dans une certaine mesure. En effet elles aimeraient que leur famille n'apprennent pas une telle chose, mais à côté c'était grave, on parlait de drogue après tout, c'était une tentative de briser la vie de Fujiko !

« Voilà ce que je vous propose… Je vais chercher un test de dépistage chez moi, ça prend quelques secondes, et, si vous êtes clean, Zaraki-sama, je vous relâche. Qu’en pensez-vous ? »
-Bah... euh d'accord ! Se hasarda Fujiko.

Elles se regardèrent, dubitative. Après tout, le lycée n'a jamais été très efficace dans la chasse au délinquant, ni même des cas de viols ou de disparition temporaire. Si ça se trouve, l'enquête ne mènera à rien, aucun témoin et pas de caméra. Au final c'est plus Fujiko qui risquerait des problèmes, car on pourrait se retourner contre elle. Au finale, elles pouvaient remercier le laxisme du policer, car cela leur éviteraient plusieurs problème avec leur famille.

Néanmoins, cela ne calma pas l’anxiété de Fujiko, qui avait un poids dans l'estomac. Quelqu'un lui voulait du mal, ni plus ni moins. Ce n'était pas une simple mauvaise farce, mais clairement une tentative pour lui nuire gravement ! Elles suivirent donc le policier, innocente et incrédule. Mais au bout d'un moment, elles finirent quand même par se poser des questions, après un moment, s'éloignant des lieux qu'elles connaissaient.

-Euh... dites, c'est encore loin ? Demande Fujiko.
-On est jamais venue ici. Rajouta Kioi.

« C’est un canular assez connu, ce genre de trucs… Comme tous ceux qui appellent les secours au téléphone. Il y a vraiment des gens qui sont dingues, non ? Vous êtes sûre de ne pas avoir un petit-ami éconduit, Mademoiselle ? Jolie comme vous êtes, c’est une possibilité que je n’écarterai pas, moi, en tout cas ! »

Peach parlait pour éviter que leur méfiance n’augmente naturellement. Son téléphone vibra, et il le prit. Un léger sourire orna ses lèvres. Mère était prête ! Peach fit mine de consulter ses messages, et en profita surtout pour les photographier par-dessus son épaule, puis envoya l’image par MMS. Ce faisant, satisfait de son petit tour, il referma le téléphone, et poursuivit sa marche. Elles commençaient à s’impatienter, et il se rapprocha d’un immeuble. C’était l’un de ces immeubles avec le couloir à l’extérieur, permettant de rejoindre directement les appartements.

« J’habite ici. »

Le jeune homme déverrouilla la porte grillagée à l’entrée, et passa. Les deux femmes le suivirent, et il continua à marcher, rejoignant l’escalier extérieur, et s’arrêta au troisième étage, puis se dirigea vers la porte. Sa verge commençait doucement à se réveiller. Ce studio insonorisé était le lieu où il avait continuellement ramené ses conquêtes pour les baiser avec sa mère. Peach savait que Meryl l’attendait à l’intérieur, et l’idée de revoir sa mère ne pouvait que l’exciter furieusement. De fait, il devait se retenir pour ne pas avoir une trop grosse érection !

Peach continua à marcher, et enfonça sa clef dans la serrure.

« Navré de vous avoir autant faire marcher. Vous voulez rentrer pour boire quelque chose ? Un verre d’eau, un jus de fruits ? »

Peach ouvrit la porte, et Rex fila à l’intérieur. Il alluma la lampe, permettant de voir que le studio était vide. Un studio bien ordonné, avec une télévision au fond, un comptoir américain, et une porte menant à la salle de bains avec les toilettes.

Tandis que les deux femmes entraient, la porte voisine s’ouvrit au bout de quelques instants, libérant passage à deux femmes musclées qui se rapprochèrent de la porte d’entrée…

« C’est un canular assez connu, ce genre de trucs… Comme tous ceux qui appellent les secours au téléphone. Il y a vraiment des gens qui sont dingues, non ? Vous êtes sûre de ne pas avoir un petit-ami éconduit, Mademoiselle ? Jolie comme vous êtes, c’est une possibilité que je n’écarterai pas, moi, en tout cas ! »
- Nan chui célib, mais mon ex était respectable. Pour tout dire on est encore ami et lui même lutte contre la drogue.
-C'est plutôt un coup de petite frappe. Fujiko à déjà botté quelque cul de délinquant. L'un d'eux à du se venger.

Elles étaient particulièrement remonté et se félicitèrent d'avoir une personne de la police aussi compréhensible. Il fallait dire que la justice Japonaise n'était pas des plus clémente, car la politique était d'avoir un coupable à tout pris, peut importe son degré d'implication ou son innocence. C'était sans doute à cause ou grâce à ça, que le Japon est classé 3ème pays avec le plus faible taux de criminalité au monde ! Ça dissuade. Le trio discuta de la délinquances, tandis que les deux filles sortirent une liste de potentielle suspect, avec moult détail.

Ignorante et naïve brebis guider par le loup droit dans sa tanière, elles suivirent le policer jusqu'à un immeuble commun et répandue. Le genre classique et bon marché, aux prix abordable et relativement de bonne qualité. Elles montèrent donc, suivant docilement, ayant hâte d'en finir rapidement avec cette sordide histoire. Ce dernier les invita à entrer. Comme la coutume l'exige, elles retirèrent leur chaussure l'entré, et remercièrent leur hôte de les invité. Il les invita à boire aussi, mais elles déclinèrent.

-Nous ne voudrions pas abuser de votre hospitalité. Répondit Fujiko. Pour l'instant je souhaite en finir avec cette histoire !
-De même ! On fait le test puis on s'en vas ! Rajouta Kioi. En plus on a raté le train et aura tout juste le temps pour le prochain. Dit-elle en regardant sa montre.

Au même moment, une femme sortie de la salle de bain. Et pas n'importe quelle femme ! Grande et baraqué comme jamais Fujiko et Kioi avait vue. Et des bruits de pas se firent entendre sur le pas de la porte et deux femmes tout aussi imposante se présentèrent, se tenant à seulement 1 m d'elles. Kioi et Fujiko furent mal à l'aise, et instinctivement, cette dernière plongea la main dans son sac, saisissant la bombe au poivre, comprenant que quelque chose ne tournait pas rond. Ni une, ni deux, elle aspergea la plus proche, qui eu juste le temps de se protéger partiellement, ne recevant qu'une partie du jet de poivre. Fujiko allait pour faire subir le même sort à l'autre, qui fut plus vive et  rapide, qui dégagea son bras sur le côté.

Kioi, de son côté, avait eu juste le temps de pointer avec sa propre bombe Peach, avant que le chien Rex ne lui saute dessus et la renverse brutalement, mordant la bombe au poivre pour lui arracher des mains.

Les trois F-Girls entrèrent donc, et Peach sourit joyeusement en les voyant. Trois femmes fortes, belles, puissantes, trois F-Girls… Quelle aubaine pour Fujiko et Kioi ! Oh, Peach aurait presque été jaloux d’elles ! Elles allaient pouvoir coucher avec ces trois-là en même temps ! Les femmes musclées s’avancèrent dans le couloir :

• Meryl, sa mère, était la première en avant, marquant ainsi sa position de dominante,
• Loba la suivait, belle femme à la peau d’ébène avec de longs cheveux marqués de tresses rouges,
• Danica l’accompagnait, une autre femme à la peau noire, aux cheveux courts, portant une tenue assez érotique et dominante.

Fujiko réagit en sortant une bombe au poivre, et cibla les yeux de Meryl.

« Hey ! Vire-moi ça ! »

Tout alla ensuite très vite. Rex sauta sur Kioi, la renversant, et Peach se rapprocha de Fujiko dans son dos, empoignant ses poignets. Il les immobilisa dans son dos, et vit celle-ci siffler. Peach la renversa sur le sol, la plaquant, frottant sa verge contre ses fesses.

« Là, là, laisse-toi faire, tu ne vois pas le cadeau que je t’offre ? »

Danica se rapprocha, et se pencha vers Fujiko, avant d’asperger sur son visage une bombe anesthésiante. Loba fit de même avec Kioi, et les deux adolescentes tombèrent dans le chaos.

« Et ben, de vraies tigresses, celles-là !
-  Pardonnez-moi, Maîtresses, je ne pensais pas qu’elles résisteraient autant…
-  Ce n’est rien, Peach… On va les mettre en position… »

Meryl lui ébouriffa tendrement les cheveux. Fujiko n’allait pas dormir longtemps. Elles la déshabillèrent, et lui enfilèrent ensuite une tenue érotique plus adaptée. Danica et Loba l’habillèrent donc proprement, et, quand Fujiko commença à émerger, Danica posa un doigt sur ses lèvres, puis alla l’embrasser. Elle était leur petite poupée, tout simplement. Elles terminèrent par un collier autour de son cou, bouclant ensuite les ceintures retenant son corset, et la posèrent sur le grand lit de la chambre. Quand Fujiko commença enfin à se réveiller, elle constaterait qu’elle était immobilisée sur le lit entre Danica et Loba, qui l’embrassaient l’une après l’autre.

« Elle émerge, la petite…
-  Réveille-toi, ma belle… Et sois heureuse, car, ce soir, tu seras notre petite poupée d’amour… ! »

Quelle jeune fille chanceuse, vraiment !

Une descente au enfer. Elles avaient mise trop de confiance en ce policier, trop perturbé par la présence de la drogue pour réaliser que la situation n’avait rien de normale, paniqué à l’idée que cela leur cause des ennuis. Elles furent donc piégées facilement, rapidement maîtriser, des pauvres agneaux loin du troupeau. Elles furent mises à terre en un rien de temps, et sans qu’on leur laisse le temps de se débattre, car rapidement endormis.

Fujiko était entre deux eaux, cette phase de sommeil où les rêves s’éveillent sans limite, mêlant réalité, imaginaire et fantasme. Elle était dans une ruelle sombre, sans forme lumière, entre deux immeubles aux façades infinies. Elle courrait, fuyant quelque chose qu’elle savait proche et imminent, tout son être lui criant de fuir. Elle trébucha, un flash lumineux, un état comateux, entre deux eaux, perdu la vue brouillé, l’esprit engourdie et lent. La brêve vision d’une femme vague, un doigt contre les lèvres indicibles, et un baisé. Court ? Long ? Passionné ? Les sensations étaient confuses, d’autant qu’elle sombra à nouveau.

Elle était à nouveau dans cette ruelle sombre, les bras et jambe entravé par elle ne savait quoi, avançant péniblement, fuyant toujours cette chose qui était de plus en plus proche et la lumière loin devant. Elle tentait d’aller plus vite, de forcer, mais elle se sentait de plus en plus entraver, ralentie. La chose se rapprochait encore plus vite ! Elle jura, poussa, tira, sauta, mais la route s’allonger et elle ralentissait encore plus ! La chose était presque là, elle le sentait ! Elle cria, supplia, força, mais elle était immobilisée et s’enfonçait dans le sol. La chose était là, elle était sur elle, elle était…

Fujiko ouvrit les yeux, se réveillant, comme si quelqu’un avait appuyé sur un bouton pour mettre fin au rêve. Mais la réalité la rattrapa, surtout quand une femme l’embrassait goulument sur la bouche, Fujiko regardant un coin du plafond. Elle voulue se soustraire à l’embrassade, elle était maintenue fermement. Puis le baiser finit… pour être mieux repris pas une autre. Fujiko avait à peine eu le temps de reprendre son souffle, sans avoir le temps de prononcé le moindre son. Sa tête fut tournée dans l’autre sens pas une main robuste mais douce, et qui fut tout aussi goulue et gourmand.

Finalement on la laissant tranquille et les deux femmes lui parlèrent. Leur voix était douce et se voulait rassurante, tranchant avec leur apparence plus agressif dira-t-on. Mais loin d’avoir du succès, cela mettait d’avantage Fujiko mal à l’aise, sans parler de la panique qui montait. Elle voulue crier à l’aide, mais elle fut étouffée avant d’émettre le moindre son par une nouvelle embrassade par Danica, presque comme si elle le savait et qu’elle l’avait pris de court. Fujiko essaya bien de moindre la langue ou les lèvres, mais Danica parvint à l’empêcher, ce qui d’un point de vue extérieur, en omettant les regards furieux et paniqué de Fujiko, rendait le baiser d’autant plus intense. Il fut long, et Fujiko ne put tenir distance, et haleta donc quand le baiser prit fin, légèrement vaseuses.

-C’est… un cauchemar… je veux partir !! Où est Kioi ? Libérer moi !!!

Elle força sur ses liens, amusant les deux femmes, sachant que Fujiko se fatiguait pour rien, et qu’elle finirait juste inutilement fatigué, la maintenant fermement contre le lit. Elle devait accepter son destin, ne l’ayant pas encore réalisé qu’il était implacable. Mais c’était bien mal connaître Fujiko. Elle parvint à donner un coup de boule à Loba, assez fort pour lui faire une bosse. Elle se démena comme un diable, s’agitant, essayant de frapper ou de mordre, une vrai furry. Mais ce n’est pas pour autant qu’elle parvint à se libérer. Tout juste à se disloqué les épaules en forçant sur ses bras, tellement qu’ils étaient après les omoplates. Du moins on pouvait croire, car ses épaules redevinrent normales, et tout ça sans bruit, quand elle retomba sur le lit, commençant à pleurer.

Cette jeune femme était très énergique ! Dès qu’elle émergea, elle commença à gesticuler, à tenter de mordre, de siffler… Elle pouvait hurler autant qu’elle veut, les murs étaient insonorisés. Trois F-Girls lui faisaient face, et elle n’était pas encore en état de réaliser tout ce qui lui arrivait. Si elle savait qui elles étaient, la jeune femme se tortillant devant elle serait ravie et surexcitée. Néanmoins, elles constatèrent avec surprise que la jeune femme semblait… Anormalement élastique. Cela les surprit un peu. Elle se débattait tellement qu’elle se déboîta l’épaule, puis celle-ci se remit en place naturellement.

Surprises, les F-Girls se regardèrent entre elles, puis Meryl se rapprocha, et se racla la gorge.

« Tu vas commencer par te calmer. Nous allons te libérer. »

Fujiko était en état de panique, mais elle ne sortirait pas si facilement. Meryl attrapa une télécommande, et désigna un écran plat monté sur le mur.

« Ton amie est dans une autre chambre… Tu as deux options, ma belle : soit tu joues à notre jeu, soit tu te réveilleras dehors, mais tu ne reverras plus jamais ton amie. Sa survie dépend de toi, et de ce que tu es prête à faire pour sa survie. »

Loba enchaîna ensuite :

« Notre défi est simple, ma belle… Tu gagneras lorsque tu feras jouir l’une de nous trois. Dès que nous aurons joui, tu pourras partir… Ou rester. »

Rester… Cette perspective devait lui sembler pour l’heure inenvisageable, mais Fujiko ne serait pas la première à changer d’avis… Ni la dernière. Elle reprit encore :

« Ou alors, tu refuses de jouer… Sache que tu gagneras aussi si nous te faisons pas jouir au moins une fois toutes les cinq minutes. »

Fujiko malgré sa panique, ses larmes et supplication, ainsi que ses tentatives de se libérer, elle restait lucide. Celle qui semblait être la chef, l’interpella et lui promit de la libérer. Elle se calma, son esprit bouillonnant, c'était clairement un mensonge et un piège. La libérer comme ça ? Et comme pour répondre à sa question muette, la femme activa un écran dévoilant...

-KIOI !!! S'écria Fujiko.

Elle était vivante ! C'était super ! Mais rapidement, la femme enchaîna, mettant Fujiko au pied du murs avec un choix cornélien : elle ou Kioi ? Des monstres ! Fujiko nota qu'elle ne parlait pas pour elle d'une possible sortie, confirmant ses craintes. La caméra était en direct, Fujiko l'avait reconnue. Elle déglutit, alors qu'une autre explicita les conditions. Du... sexe ? Les faire jouir ? Mais c'était quoi cette bande de perverse ?! Puis partir ou rester ? Mais elles s'imaginaient quoi ? Comme si elle allait développer un syndrome de Stockholm comme dans les hentais. Ce qui lui fit froid dans le dos, c'était la faire jouir toute les 5 minutes. C'était possible ça ? Elle pourrait le supporter ? Et surtout, c'était clairement un indice qu'elle était pas prête de partir. Et les faire jouir... pour qu'elle dise ça, c'est quel devaient être dure à satisfaire ou très endurante.

Mais elle devait le faire, pour Kioi ! Elle ne pourrait jamais l'abandonner ainsi !

-D... d'accord je vais le faire ! Lança Kioi, avec une voix tremblante, mais dont l'assurance perçait.

On la détacha, et la pensé d'en profiter pour fuir lui traversa l'esprit, mais l'oublia bien vite en voyant Kioi sur l'écran. Rouge de gêne, Fujiko se releva et seulement maintenant, une fois calme et concentré, qu'elle remarqua qui était les femmes. Des futas ! Elle resta bouche bée, oubliant sa situation. Des vrais futa ! Avec des grosses bites et des couilles énorme ! Un flot d'image et de hentai inonda son esprit, la faisant baver légèrement et l'excitant. Mais elle se ressaisit et tenta de cacher son état, rouge de honte. Pourquoi Rule 34 devait regorgeait d'autant de Futa et d'inflation ?! Et pourquoi elle avait sauvegardé autant d'image...

Elle prit une grande inspiration, nerveuse mais déterminé, les regardant avec défis, toujours les joues rouges,

Je... je commence... par qui ?

Fujiko était honteuse, dans une tenue indécente et trois futa rien que pour elle. Comment elle allait s'en sortir ?

En voyant leurs verges, Fujiko ressentit un frisson d’excitation, qui n’échappa guère aux F-Girls. Elles sourirent donc, leurs verges joyeusement dressées. Fujiko avait envie d’y aller. Meryl acquiesça, et se rapprocha d’elle, lui apportant un flacon.

« Commence par boire ça… Il n’y a rien de nocif là-dedans, mais ça aidera ton corps à supporter nos calibres. »

C’était un élixir magique, de la magie rose. De fait, quand Meryl enleva le capuchon du flacon, une douce odeur de sexe partit. Les joues de Fujiko s’empourprèrent encore, et Meryl sourit silencieusement. La jeune femme avala le liquide d’une traite. Il avait un goût de sirop sucré. L’élixir avait pour fonction de préparer ses parois internes. Il fallait ainsi éviter la régurgitation, ou qu’il y ait des saignements lors de pénétrations. Quand une femme inexpérimentée couchait avec une F-Girl, c’était ce qu’il fallait faire. Fujiko reposa ensuite le flacon, et les F-Girls se rapprochèrent. Meryl se lova dans le dos de Fujiko, et caressa ses épaules, remontant jusqu’à son cou, la sentant toute fébrile… Surtout quand sa verge heurta les fesses de Fujiko. Elle sourit donc, et caressa son visage, tendrement.

D’une petite voix, Fujiko demanda par qui elle devait commencer. Loba se rapprocha alors, et sa verge tapa sur le visage de Fujiko, glissant sur sa peau. Le défi semblait a priori très simple… Faire jouir l’une des trois femmes, et se retenir de jouir pendant cinq minutes.

« Commence par me sucer…
-  Tu sais comment faire ? Prends ton temps, ma belle… »

Danica déclencha le minuteur sur une alarme. « 5’00 » s’afficha, avant de commencer à descendre. Le compte à rebours avant la victoire… Fujiko n’avait qu’à tenir cinq minutes pour sortir de ce cauchemar… Si, toutefois, elle considérait vraiment cette scène comme étant cauchemardesque.

« Embrasse la queue de Loba, goûte-là, lèche-là… N’hésite pas à la renifler aussi, ma chérie, approprie-là toi avant de la sucer… »

Meryl ne comptait toutefois pas rester inactive, car, tandis que Fujiko commençait à s’attaquer à ce vit turgescent, Meryl déploya sa main pour la caresser intimement, commençant à la masturber… Bien décidée à la faire flancher !

Fujiko s'était bien gardé de leur dévoilé l'inutilité de leur étrange boisson, au vue de sa nature de mutante élastique. Mais elle ne voulais pas leur donner un prétexte pour aller trop loin. Et elle le bue tout de même, car elle n'avait pas d'autre choix, car sinon elle boirait de force cette drogue, car ce ne pouvait qu'être que de la drogue. Et parlant choix, en réponse à sa demande, l'une d'elle ne se fit pas prier, pointant sa verge énorme devant son nez. Pudeur et pudicité oblige, avant désir non avoué, Fujiko rougit, mais ne détourna pas des yeux !

Elle fit exprès de prendre du temps, mais pas trop tout de même, gagnant de précieuse seconde sur le minuteur, alors que la dénommé Meryl l'encouragea. Fujiko saisit la verge à deux mains. Elle était dure et chaude, et maintenant qu'elle y faisait à attention, une légère effluve de sueur viril et de sperme. Elle branla le sexe, et même si ce fut avec réticence, elle posa sa bouche contre le gland, ravalant, dégoût et fierté. Elle l'avait déjà avec son ex ! Bon il n'en avait pas une aussi grosse mais ça devrait pas différent du gode qu'elle utilise de temps en temps ! A ce moment là, elle glapit, car Meryl venait de prendre d'assaut son intimité, la masturbant, d'une part sans ménagement et d'autre part avec expérience. Fujiko gémit donc et commença à perler de la mouille.

C'était très perturbant. Ce n'était certainement pas du à leur truc qu'elle avait bue. Elles étaient... douce. N'importe que l'aurait balancé sur lit et l'aurait violé sans ménagement, mais là non. Pas de brusquerie, ni injure, ni coups, ni rire gras. Même, elles donnaient une porte de sortie et la traiter avec une certaine décence. Et c'était perturbant. Mais ça pouvait être tout aussi bien un jeu pour elles, si elles donnaient une porte de sortie de ce genre, un jeu sadique. Mais malgré tout, son corps réagit plus positivement qu'elle aurait voulue, Fujiko plus réceptive devant cette étrange situation bien loin des horribles images qu'elle avait, avec plus de violence et plus de larme. Et elle devait se l'avouer, un part d'elle était excité, car des vrai futa à gros chibre, comme dans tout ces hentai qu'elle avait vue. Ah c'était horrible comme sensation.

Avec toute l'expérience et savoir faire qu'elle avait, Fujiko s'appliqua à sucer le gland et à branler le sexe, ayant du mal à faire le grand saut. Pour une personne lambda, ça serait bon, pas la meilleur pipe mais pas la pire. Mais pour ses ravisseuses, ça devait être juste passable. Aussi, alors que Fujiko évitait tout contact visuel, gémissant malgré elle sous les masturbations, une se posa sur ses cheveux et poussa. Fujiko voulue bien résister, le regard suppliant, mais elle du se laisser faire, Kioi était en jeu et sa liberté. Que valait sa fierté face à sa liberté ? Elle avala le sexe, émettant plusieurs borborygme, alors que la verge coulissa dans sa gorge sans trop de difficulté. Sa gorge était serré, peut être même plus que la normale, comprimant la verge au fur et à mesure, sa gorge gonflant sous le passage, parfaitement visible.

En quelque seconde, Fujiko avala entièrement le chibre, son nez plaquer contre le basin, les yeux quelque peu révulsé, se sentant quelque peu partir, devant le flot de sensation envahissant son esprit se laissant aller quelque seconde, devant l'odeur, la moiteur, la longueur et l'épaisseur de cette verge, mouillant d'avantage.

Fujiko ne le réalisait pas encore, mais elle était piégée. Les F-Girls le sentirent très rapidement en voyant la manière dont elle semblait s’affaisser sur place, se soumettant volontairement à la soif sexuelle de ses magnifiques geôlières. Face à elles, toute idée de résistance semblait futile. Loba souriait en la voyant embrasser timidement sa queue, la léchant, sans toutefois véritablement s’opposer à ce qu’on lui faisait subir.

« Quel engouement, ma petite Fujiko… »

Loba sourit encore, et posa sa main sur ses cheveux, les serrant, avant de la caresser. Elle caressait tendrement sa tête, la tapotant même, comme si elle était une brave petite chienne qu’il fallait récompenser. Et, après tout, cette vision n’était pas fausse. Meryl s’en amusait également, se frottant dans le dos de Fujiko. Elle faisait crisser la combinaison de Fujniko, et continuait à la caresser intimement. Désormais, Meryl enfonçait deux doigts dans sa chatte, et encourageait Fujiko, l’embrassant tendrement dans le creux du cou.

« Nous sommes des mères de famille, tu sais… Et toi, tu es une gentille fille. N’aie pas peur de ce gros membre, vois-le comme une récompense, un cadeau pour ta gentillesse… Ouvre bien grand la bouche, et respire par le nez. Fais-nous plaisir, sois une gentille fille… Et laisse tes Mamans te faire du bien. »

Parfois, il fallait être ferme, mais, souvent, la douceur suffisait. Et, avec Fujiko, celle-ci semblait visiblement apprécier les douces intentions. C’était tout ce que Meryl faisait, même si Fujiko pouvait sentir contre ses fesses la solide verge durcie de Meryl. Elle pouvait s’appuyer dessus, y reposer ses fesses, la verge se nichant contre sa croupe, glissant sur la culotte en cuir que les F-Girls avaient mis à Fujiko. L’intéressée ouvrit donc les lèvres, et réussit à avaler le membre. Ses joues se gonflèrent brièvement comme un hamster, et elle put sentir la deuxième main de Loba se poser sur sa tête. L’intéressée soupira doucement, et commença à remuer à son tour, donnant de légers coups de reins, dans le but d’accompagner la succion de Fujiko.

Près d’elles, Danica filmait la scène en se masturbant d’une main, provoquant d’autres bruits spongieux et obscènes.

« Tu mouilles tellement, ma petite chatte… C’est à croire que tu attendais notre venue…
-  Haaa.. Sa gorge…Elle se comprime autour de ma queue ! »

À ce stade, les F-Girls ne se doutaient pas encore que leur proie était dotée de pouvoirs paranormaux, mais cela ne les empêchait pas d’en profiter. Loba enfonça sa trique en elle, jusqu’à la garde. Son membre durci s’enfonçait dans la bouche de Fujiko, et tapa sa gorge. Elle ne resta pas longtemps dans cette position, consciente du phénomène de régurgitation que cela pourrait engendrer… Mais qui ne vint pas chez Fujiko. Elle avait les lèvres bien écartées, la bouche déformée par ce gros membre. On pouvait voir combien sucer cette queue semblait difficile pour elle, et ce d’autant que Meryl avait trouvé son clitoris. Elle pressa son bouton de plaisir, déplaçant son autre main pour pincer l’un de ses seins à hauteur du téton, à travers son corset.

« Là, là, laisse-toi aller, ma belle… Laisse-nous devenir tes Mamans, et t’offrir tout notre amour… Au fond de toi, c’est tout ce que tu veux… Que des Futas bien membrées te baisent bien fort ! »

Et elle pressa encore son clitoris, soucieuse de la conduire à son premier orgasme de la soirée…

Fujiko avait avalé la verge sans grand difficulté. Si on pouvait confondre sa tête avec une personne qui s'étouffe ou en difficulté, c'était surtout l'extase qui déformait ses traits. De même que sa gorge déformé, imprimait la forme de la bite, son sternum lui aussi légèrement déformé par le passage de la verge. Fujiko se déformait facilement. Ses geôlières continuaient leur manège, mielleux et doux, amicale et même familier. Bien que Fujiko n'était pas dupe quand au véritable intention, c'était juste des violeuses, des criminelles, mais elle n'était pas une personne à la volonté très forte. Elle avait toujours était facile à céder à ses fantasmes et a ses plaisirs. Un gang bang par des futas, était un de ses nombreux fantasmes prompts à la chauffer et à la lui donner des envies. Rajouté à cela que le sort de sa meilleur ami Kioi dépendait d'elle, elle avait toute les raisons de céder.

Ainsi fait, alors que Loba posait sa deuxième main sur sa tête et donnait quelque coup dans le fond de sa gorge, Fujiko prit l'initiative. Si elle voulait gagner, elle devait pas rester passive ! Elle entreprit donc de bouger son corps, entamant des légers allés et retours le long de la verge turgescente, bavant dessus, des filets commençant à s'écouler de son menton, sa langue s'activant sur la verge, léchant avec avidité. En même temps, elle frottait ses fesses contre la verge de l'autre futa, plus ou moins avec adresse, twerkant presque. Presque parce que la position ne le permettait pas trop et surtout qu'elle n'avait pas un cul assez gros pour réaliser cette performance.

Mais en même, une autre avait prit d'assaut son intimité, lui provoquant d'avantage de gémissement, mouillant d'avantage. Un crie de surprise étouffé s'échappa de ses lèvres occupé, quand son clitoris fut mit à l'épreuve, suivit de son téton. Elle fit une grimace, prise d'assaut par tant de sensations et de plaisir. Elle mouillait, mais elle fit preuve d'une résistance farouche ! Elle n'était pas une vierge effarouchée, elle avait l'habitude de sensation extrême, entre son gode équin de plus 1m, et un peu plus épais que la verge de la futa, et ses séances d'enema, elle en avait dans le ventre ! Elle tiendrait coûte que coûte ! Elle l’espérait du moins, si elles ne découvraient pas son plus gros plaisir et ne découvraient pas sa nature de mutante élastique.

Fujiko prit de la vitesse, enchaînant non pas de simple allé et retour, mais des gorges profondes à répétitions ! Elle recrachait une bonne partie de la verge, avant de tout ravaler cul sec, embrassant le bassin, la bave dégoulinant à gros filet à chaque passage. D'une main, elle se tenait à la hanche de la futa, de l'autre elle vint caresser la grosse paire de couille. Cela témoignait d'une certaine habitude et expertise, que même le produit qu'elle lui avait injecté ne pourrait lui donner.

-Schullrp.. glorg... schloorp... glurg...

Loba ne put que constater que cette jeune fille n’était pas ordinaire. Loin de la repousser, ou de s’offusquer de ce gros membre étouffant dans sa bouche, la petite traînée en redemandait ! Et voilà qu’elle s’enfonçait en elle, qu’elle poussait sur sa queue, optant pour une longue et profonde gorge profonde. Loba la sentit même titiller ses testicules, et Fujiko se montra finalement bien plus endurante que prévu. Meryl l’embrassait dans le creux du cou.

« Tu es incroyable, toi… Bien plus endurante que je ne le pensais !
-  Oh ça ouais, hmmm… Tu verrais comment cette affamée avale ma queue, bordel ! »

Meryl la masturbait fortement, et elle sentait le corps de Fujiko se tortiller contre elle. La verge de Meryl avait bien durci, heurtant ses fesses. Elle soupira encore, sentant son érection, mais sentant aussi que, même si la chatte de Fujiko commençait à suinter, elle n’avait pas encore joui. Diantre ! Quelle fougue incroyable ! Meryl et Loba étaient si surprises qu’elles ne virent pas le compte à rebours défiler… Jusqu’à ce que le téléphone portable de Meryl ne sonne à l’expiration des cinq minutes. Meryl retira alors ses doigts de la chatte trempée de Fujiko, et lécha ses doigts, avaltnc ette mouille.

« Cette petite traînée a tenu, Loba…
-  Bordel… Juste quand je commençais à prendre mon pied ! »

Elles avaient posé comme défi à Fujiko qu’elle tienne cinq minutes, et ne jouisse pas pendant cette période. Loba soupira donc, et empoigna fermement les cheveux de Fujiko. Elle dut tirer dessus, car sa verge était profondément nichée en elle, s’enfonçant en-dessous de sa gorge, dans sa trachée. Elle soupira donc, extirpant lentement de la bouche de Fujiko un énorme mandrin trempé, et durci, et repoussa Fujiko, qui tomba sur le sol.

« Tu caches bien ton jeu, petite Fujiko… Dire que je te prenais pour une vierge… Mais nous n’avons qu’une parole ! Ton amie est libre, et toi aussi… »

Les yeux de Fujiko ne semblaient pas vraiment trahir la joie la plus transcendante à ce sujet. Meryl sourit alors.

« Bien sûr, tu peux nous accompagner jusqu’à notre ranch si tu y tiens… Kioi n’a rien, tu sais. Elle se réveillera ce matin, et je suis sûre qu’elle se convaincra d’avoir rêvé. Ce n’est pas tous les jours que nous faisons une telle proposition, tu sais… »

Loba soupira.

« Y faut que je jouisse dans quelqu’un ! Dépêchons-nous, je vais défoncer Peach ! »

Meryl, un peu plus entraînée que Loba, lui fit signe d’y aller. Loba referma la porte dans un grand claquement. Dans le salon de l’appartement de Fujiko, on put entendre le son d’une grosse claque, le hurlement de Peach, puis les murs qui se mirent à trembler quand Loba, sans guère de ménagement, le sodomisa contre le mur. Meryl, elle, tendit à Fujiko une carte de visite, qu’elle posa sur sa table de chevet.

« On y a pas été mollo avec toi, mais je vois dans ton regard que tu es frustrée que ça s’arrête aussi vite… Alors, tu peux ne pas nous suivre, il y a un numéro de téléphone sur cette carte de visite. Tu n’auras qu’à appeler, si jamais tu veux te faire baiser comme tu le mérites… »

Pour Meryl, il était assez peu probable que Fujiko accepte si spontanément de rejoindre des femmes aussi  entreprenantes…

…Mais peut-être se trompait-elle…

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Ce fut finalement deux jours après que Fujiko utilisa le numéro donné par Meryl. Quand elle appela, ce fut pour qu’on lui raccroche au nez.

Il s’écoula ensuite quelques secondes avant que Fujiko ne reçoive un SMS. Il lui indiquait de se rendre à une consigne dans la ville, le SMS comprenant le code du casier à déverrouiller, ainsi que l’adresse. C’était une consigne publique, accessible à l’entrée d’un centre commercial. Fujiko n’avait dès lors plus qu’à s’y rendre, sans doute avec le net sentiment qu’on devait l’épier. Tout ça ressemblait à un mauvais film d’espionnage, mais on pouvait aussi comprendre la prudence de la Fut-Corp. Ce que Meryl et Loba avaient fait était après tout pénalement répréhensible, elles devaient donc s’assurer que Fujiko ne cherche pas à les piéger.

La lycéenne rejoignit donc la fameuse consigne. Un terminal permettait de déverrouiller les casiers. On y venait pour ramasser des colis, voire pour se changer. Quand Fujiko rentra le code, elle entendit un bip, puis une porte s’ouvrit. À l’intérieur, il y avait un sac à dos, avec une tenue très érotique dedans.

« Je savais que tu reviendrais… »

Derrière elle, Peach venait d’arriver. Il avait troqué sa fausse tenue de policier pour un simple pantalon avec un pull blanc sur lequel était écrit en lettres roses « P-STAR RAW ». Il portait un léger collier noir autour du cou, des chaussures roses… Et était accompagné par deux femmes noires géantes. Des colosses qui attiraient le regard, et qui auraient fait passer Meryl pour une femme normale.

« Alors, c’est elle, ta nouvelle copine ?
- Elle est charmante… »

Peach sourit, et enlaça Fujiko.

« Je te présente Mascha et Dasha Smith-Ivanova. »

Mascha était celle qui a les cheveux longs, et Dasha les cheveux courts. Peach montra à Fujiko une image très explicite sur son téléphone portable, où on le voyait se faire prendre par les deux femmes. Des F-Girls, assurément ! Peach expliqua brièvement à Fujiko que Mascha était une bibliothécaire et Dasha une sportive. Elles étaient toutes les deux devenues de magnifiques F-Girls, et se rapprochèrent à leur tour de Fujiko, venant caresser son visage.

« Tu es la première Terrienne que nous allons baiser, Fujiko…
- Peach nous a dit que tu étais superbe. On le baise depuis qu’il est parti de ton studio, tu sais… Quand tu as appelé notre serveur, il a reçu un SMS. Alors, on s’est dépêchés de se rhabiller pour être là. »

Peach sourit.

« Ta tenue, c’est moi qui l’ai choisie… Quand on est partis, on l’a mis là, puis Maman m’a laissé avec les sœurs Smith-Ivanova. »

Une tenue tout à fait adaptée pour ce qui allait suivre, et il suffisait de voir le regard libidineux des deux femmes pour comprendre que Fujiko allait devenir leur fucktoy.

« Inutile de te faire un dessin sur ce qui va se passer… J’espère que tu n’as rien de prévu ce week-end, il faudra sans douter qu’on aille chercher tes affaires scolaires, car je crois qu’on va s’occuper de toi jusqu’à Lundi matin, ma chérie ! »