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La preuve d'amour [Takashiro Hiroko]

Posté : 13 avr. 2025 21:31
par Leona Morimoto
Et si un jour, tu doutais de moi
J'ai un gage d'amour, la preuve par trois

C’était une soirée très spéciale qui s’annonçait au sein de la Sainte-Arcadie. Comme à chaque année, Hiroko avait pour tâche de mener à bien l’une des plus importantes missions qui soit, à savoir restaurer les cellules de Leona grâce à toute l’énergie sexuelle que son corps avait emmagasiné au cours de l’année. Ce moment était choisi le jour de l’anniversaire respectif de Leona et de Hiroko, car elles étaient nées le même jour, et à la même heure. De fait, si Hiroko appartenait à une branche secondaire, elle était ce qui se rapprochait le plus de Leona d’une sœur, et d’une amante. Si la journée avait été plutôt protocolaire, avec quantité de cadeaux, des gâteaux, et les félicitations de tous les membres du Club social, le vrai cadeau viendrait le soir. Hiroko avait bien sûr été là toute la journée, et s’était absentée en fin de soirée. Kurihara, le Proviseur du lycée, et le petit-frère de Leona, avait lui aussi assisté à l’anniversaire de Leona-sama, et avait ensuite convié Hiroko vers la chambre où le Rituel aurait lieu.

Hiroko ignorait cependant que, ce soir, elle allait aussi recevoir un cadeau. Leona y pensait depuis longtemps, mais elle s’était finalement décidée en apprenant que sa rivale, Mélinda, était enceinte. Si une vampire pouvait devenir enceinte, c’était un comble que Leona n’ait toujours pas d’enfants ! Et le choix de son amante était vite trouvé. Si Leona était très proche de Reina, c’était clairement Hiroko qui était la plus proche de Leona, et la seule que Leona puisse décemment considérer comme étant son amoureuse. Elles se connaissaient depuis l’enfance. Leona avait donc dîné en compagnie de Reina, de Kurihara, ainsi que d’autres pointures d’Atarashï Yoake, comme Bryan Lawson, ou encore Alexandre Dowell. Si Bryan allait passer la nuit à l’Arcadie en compagnie de l’une des servantes de l’Arcadie, la belle Rika, les autres convives repartirent. Leona enfila ensuite sa tenue érotique fétiche, à savoir son sling bikini rouge avec les gants opéra et les cuissardes, puis rejoignit ensuite la chambre où Hiroko l’attendait.

Quand elle entra, elle frémit en sentant l’air, saturée d’énergie sexuelle et de magie rose. Hiroko avait stocké énormément d’énergie cette année, et ses yeux avaient d’ailleurs pris une teinte rose. Mais elle portait aussi une robe de soirée terriblement sexy, qui fit rougir Leona d’excitation.

« Eh bien, tu es vraiment magnifique, Hiroko-chan… »

Chaque année, Leona se disait qu’elle devait résister au charme magnétique de Hiroko, et, chaque année, elle ressentait ce désir l’envahir en elle. Elle referma la porte, et se rapprocha de la belle. Avec Hiroko, Leona pouvait exprimer tous ses visages. En ce sens, elle ressemblait à Mélinda, car, comme elle, elle était une dominatrice, mais, comme elle, elle avait aussi ses moments où elle était plus soumise. Elle mit un genou devant Hiroko, et commença à embrasser son mollet, puis à le lécher.

« L’année a visiblement été fructueuse… Raconte-moi tes meilleures séances, Hiroko-chan… »

Hiroko tenait un journal, où elle relatait toutes ses aventures sexuelles. Mais Leona voulait l’entendre de sa bouche.

« Dis-moi à quel point ma professeure préférée est une grosse perverse… »

Re: La preuve d'amour [Takashiro Hiroko]

Posté : 14 avr. 2025 23:43
par Takashiro Hiroko
Le moins que l'on puisse dire, c'était que Hiroko et Leona avaient toutes les deux des emplois du temps chargés, qui faisaient qu'elles ne pouvaient se voir aussi souvent, ni aussi longtemps qu'elles le désiraient. La possibilité d'arrêter le temps, ou de le remonter à volonté, ne faisait pas encore partie des secrets de cette famille, même si depuis que les deux étaient ensemble, elles avaient trouvé un moyen d'étendre leur espérance de vie de façon théoriquement infinie.
C'était la raison pour laquelle, quel que puisse être leurs responsabilités respectives, Hiroko et Leona finissaient toujours par se retrouver la nuit de leur anniversaire commun, afin de baiser comme des endiablées. Depuis cette nuit avec ce démon invoqué au cours d'un rituel, Hiroko était devenue une demi-succube, et le lien de sang qui l'unissait à Leona faisait que toute l'énergie sexuelle qu'elle accumulait en trop, pouvait être redonnée à Leona, ce qui était la source de sa jeunesse éternelle et de sa longévité hors du commun. Pareil prodige de magie rose devait toutefois être régulièrement rechargé, aussi, plus que toute autre chose, Hiroko avait pour tâche tout au long de l'année de trouver autant de partenaires que possible, de baiser ou de se faire baiser autant que possible. Du fait qu'elle n'était qu'à moitié une succube, Hiroko non seulement ne tuait pas ses partenaires, mais de plus n'était pas aussi dépendante qu'une démone classique à cette nourriture qu'était l'énergie sexuelle. Elle stockait donc le "surplus" en elle, pour être donné à Leona à son anniversaire.

Ce jour était donc venu, et comme à l'accoutumée ce jour là, Hiroko n'était pas allée travailler pour se concentrer pleinement sur les préparations. Elle avait assistée à la partie "formelle" de la fête, mais s'était éclipsée assez rapidement afin de rejoindre l'une des chambres du manoir de la Sainte Arcadie, celle où Leona et elle avaient leurs petites habitudes. Cette année était de plus assez exceptionnelle, Hiroko était parvenue à étendre son portfolio de partenaires, autant en quantité qu'en qualité, ce qu'elle pouvait ressentir à la quantité et à la force de l'énergie rose qu'elle laissait maintenant se manifester en elle. Si la chose se manifestait chez elle par des yeux violets légèrement brillants, bien d'autres éléments seraient altérés chez elle, comme par exemple le fait que ses fluides soient de puissants aphrodisiaques, ou encore que sa peau goûtait et sentait bon le fruit préféré de quiconque y goûterait par des baisers.
Hiroko était assise sur le grand lit en forme de coeur, qui se trouvait dans la chambre, qui était elle même adjacente à d'autres pièces comme une salle de bain, ou un donjon BDSM accessible uniquement par cette chambre. C'était leur aire de jeu, et Hiroko aimait toujours se retrouver ici. Les jambes croisées dans sa magnifique robe de soirée noire, la professeure attendit patiemment que la porte s'ouvre enfin, laissant apparaître Leona dans sa tenue fétiche, dont elle ne se lassait jamais de la voir dedans.

Je te retourne le compliment Leona-chan, cette tenue ne cessera jamais de t'aller.

Hiroko était une des très rares personnes qui pouvait appeller Leona ainsi, elles étaient quasiment des soeurs, et Hiroko était directement responsable de la jeunesse éternelle dont disposait Leona. Cette dernière s'approcha d'elle, puis se mit à genoux pour venir déposer des baisers sur l'un de ses mollets. Elle pu goûter à sa peau douce, parfumée au naturel, et peut-être même bien commencer à ingérer ce fameux aphrodisiaque de succube qu'elle sécrétait.

Hmhm, tu as raison, j'ai eu de la chance et de belles opportunités à exploiter. Le petit club de Ichtora-senseï s'est révélé être une manne considérable de jeunes hommes pleins de fougue, qui dans le cadre plus intime de ce club, se lâchent tellement si tu savais. Le fait que nous soyons deux hybrides succubes en même temps doit les motiver, ma session là bas, je crois bien qu'au moins une vingtaine me sont passés dessus sur toute la durée d'une nuit. C'était...délicieux.

Hiroko déplaça une de ses mains pour carresser la joue de Leona, puis poursuivit son récit.

Je suis aussi par ce biais tombée sur les soeurs Faure, Chloé et Elianne, qui ont...je ne saurais expliquer pourquoi, mais une qualité d'énergie très rare. Je pense que les deux comptent rester au Japon, vu qu'elles y ont trouvé l'amour. J'ai baisée la cadette, Elianne, à quelques reprises déjà avec Myumi-chan, qui était très enthousiaste vu notre ressemblance. J'envisage pour cette année d'amener Chloé vers des rapports plus intimes encore avec sa soeur, les deux ensemble, plus leurs partenaires...tu imagine ?

Il y avait aussi une quantité astronomique d'autres relations, allant du coup d'un soir en se prostituant pour rien dans les rues le soir, aux quickies avec des étudiants, que ça soit sous son identité de professeure, ou celle d'élève.

Là, laisse moi t'en donner un avant goût ma belle...

Hiroko, qui avait conservée ses jambes croisées pendant que Leona en léchait et embrassait la peau, les décroisa alors, puis glissa une de ses mains sous sa robe, entre ses cuisses. Elle soupira délicatement en s'insérant son majeur et son auriculaire dans sa chatte qui, aux bruits humides que faisaient ses deux doigts en rentrant dedans, semblait dores et déjà "prête". Elle retira alors sa main, puis la présenta face au visage de Leona, mettant en avant ses deux doigts couverts de cyprine.

Goûte, je pense que tu me dira des nouvelles du cru de cette année mon amour. J'ai tellement hâte de te le faire partager...

Re: La preuve d'amour [Takashiro Hiroko]

Posté : 15 avr. 2025 07:58
par Leona Morimoto
Leona savait naturellement tout ce qui se passait au lycée Jinmu. Chaque année, elle et Hiroko-chan envisageaient avec Reina-sama les orientations à venir. C’était Reina qui leur avait parlé du club sexuel très particulier d’Ichtora-sensei, et Leona se souvenait de la fois où Myumi avait été invitée ici, pour qu’une séance soit organisée avec Hiroko-chan. Elles avaient fait l’amour, et Leona avait senti chez Myumi qu’elle était, un peu comme Hiroko, une demie-succube. Visiblement, l’expérience s’était très bien passée, comme Reina l’avait anticipé. Sa grande-sœur se trompait rarement, et Leona frémit quand Hiroko lui expliqua qu’elle avait été jusqu’à faire l’amour avec une vingtaine de lycéens en rut. Cette perspective la fit frémir. Des orgies, il y en avait aussi à l’Arcadie, et Leona soupira doucement.

« Reina-sama va vouloir que tu participes à d’autres séances avec Ichtora-sensei… Et, si elles sont aussi stimulantes, il faudra me faire une place. »

Entre elles, il n’y avait pas de faux-semblant. Hiroko était ce qui se rapprochait le plus pour Leona d’une véritable amante, et elles partageaient donc librement tous leurs fantasmes. Hiroko lui caressa la joue, et évoqua ensuite le sujet des sœurs Faure. Leona se pinça doucement les lèvres. Chloé faisait partie des cibles que Leona avait voulu prendre pour en faire son esclave. Mais, finalement, elle était tombée entre les mains d’Ivy-sensei, et, au sein du lycée Jinmu, il était impossible de s’en prendre à Ivy-sensei. Quand Leona avait tenté de récupérer Chloé, Ivy l’avait enfermé dans l’une de ses cosses, et elle avait été baisée pendant des heures par des tentacules. Chloé faisait donc partie des intouchables du lycée, ce qui avait aussi pour sa sœur, et pour sa copine, April. Mais sa petite-sœur, Elianne Faure, était amoureuse de Myumi Ichtora.

Leona l’écouta donc, et sourit doucement, tout en remontant le long de la jambe de Hiroko. Elle était descendue dessus en la léchant et en l’embrassant, allant jusqu’à ses délicieux pieds, puis remontait.

« Je pense qu’il faudrait les inviter toutes les deux à l’Arcadie pour une nuit… Pour qu’elles se fassent l’amour, et que je leur fasse l’amour. Je suis sûre que tu pourrais les convaincre au bureau. Bien sûr, tu pourrais y être… Il faudra aussi inviter la copine de Chloé, elles sont inséparables, toutes les deux. »

April Mayfair, une autre proie potentielle de Leona à qui elle avait dû renoncer, non pas à cause des Faure, mais parce que Reina le lui avait ordonné. Rowena, la mère d’April, était une amante de Reina, et elle faisait partie du Conseil d’administration de la Fondation Jinmu. April appartenait donc elle aussi aux intouchables. Tandis qu’elles parlaient, Hiroko écarta ses cuisses, et commença à se masturber. Leona remonta alors, et renifla cette zone entre les cuisses de Hiroko. Elle lécha son sexe parfaitement épilé, et frémit en sentant son aura.

« Hmmm… Oui, la moisson a été fructuante… »

Leona se mordilla les lèvres, et remonta alors. Elle suçota goulûment les doigts de Hiroko-chan, et frémit lentement, sentant le goût si particulier de sa mouille, cette force vitale qui s'en dégageait...

« Haaa… Oui, vraiment très fructueuse, ma chérie... »

Du fait de sa nature de demie-succube, la cyprine de Hiroko était particulièrement aphrodisiaque, avec un goût très sucré, le genre de liquide intime que Leona pouvait boire comme du petit lait, et qui commençait à furieusement l'exciter. Ses tétons avaient notamment durci sous le contact de cette cyprine, et les pointes de ses seins ressortaient de son sling bikini, qui les moulaient à la perfection.

En se relevant, ses seins frottèrent contre ceux de Hiroko, et elle l’embrassa sensuellement, en l’enlaçant. Une main sur sa nuque, et l’autre alla la masturber. Le meilleur moyen de transférer cette énergie était bien sûr en faisant l’amour. Leona pouvait générer une verge qui aspirait toute cette énergie lors de l’orgasme, une capacité que certains insectes pouvaient faire, mais elle préférait largement que Hiroko déploie sa propre verge, et ne jouisse frénétiquement en elle. Et il fallait évidemment beaucoup d’orgasmes pour transférer toute cette énergie…

Re: La preuve d'amour [Takashiro Hiroko]

Posté : 16 avr. 2025 22:52
par Takashiro Hiroko
Leona se montrait comme à son habitude très gourmande, mais durant leur soirée d'anniversaire commune, où les deux répétaient le rituel d'immortalité, la "jeune" aristocrate tendait à se montrer encore plus vorace, et tous les signes étaient là pour montrer que cette nuit n'allait pas être une exception. Hiroko était fortement chargée en énergie magique rose, sans doute à un niveau qu'elle n'avait encore jamais atteint sur une période d'une année. cela, Leona pouvait le sentir, et le goûter via sa cyprine, tellement que cette petite vorace ne pu s'empêcher d'aller lui lécher birèvement la chatte en plus de lui lécher ses doigts.

Hmmm...petite gourmande...haaa...

Oh Hiroko avait bien du mal à tenir en place, et comment rester de marbre face à une Leona pressée de faire l'amour, et vêtue d'une de ses tenues les plus provocatrices qui soit ? Lorsque cette dernière se redressa finalement pour venir l'embrasser, Hiroko ne manqua pas de longuement soupirer, tout en lançant bien évidemment sa langue à l'assaut de celle de sa partenaire. Leona allait en avoir pour son argent, car dans l'état où se trouvait Hiroko, sa nature de succube ressortait tellement que le nombre d'aphrodisiaques qu'elle sécrétait était plus grand qu'en temps normal. Là, en ayant sa salive qui se mélangeait à celle d'Hiroko, Leona continuait de pomper des aphrodisiaques dans son métabolisme, surtout que Hiroko n'y alla pas de main morte avec son baiser, qui se fit long et vorace. La professeure répondait ainsi aux doigts gantés de latex qui visitaient son intimité, et ainsi assise sur le rebord de leur lit, les jambes écartées pour laisser à Leona tout accès à sa fleur intime, la demi-succube n'allait pas être en reste. Tandis qu'elles s'embrassaient, Hiroko pincait avec l'une de ses mains les seins déjà tendus de sa partenaire, tant que ses tétons ressortaient aisément sous le latex rouge de son slingkini. De l'autre, elle tâchait de lui rendre la pareille en la masturbant à son tour, mais sans enfoncer ses doigts dans sa chatte, juste en carressant et en pressant bien sur le cameltoe que formait son slingkini.
Les deux femmes s'embrassèrent longtemps ainsi, en se chauffant mutuellement. Puis au bout d'un moment, leur baiser se rompit.

Oh tu me chauffe tellement Leona-chan...même cette robe me porte trop chaud.

Hiroko se redressa alors en portant ses mains à l'arrière de sa nuque. L'intégralité de sa robe n'était retenue à son corps que par un unique noeud à cet endroit, qu'elle défit promptement pour la laisser glisser le long de son corps parfait, et elle retira dans le même temps ses chaussures à talons. Hiroko termina donc intégralement nue face à Leona, et ce avec l'assurance que lui offrait sa nature de créature de sexe. Elle s'approcha à nouveau de sa partenaire, se collant à elle, pressant ses seins contre les siens, et tout en approchant à nouveau ses lèvres des siennes, Hiroko posa sensuellement mais non moins fermement ses deux mains sur le cul de Leona.

Tu es tellement sexy dans ton slingkini, même si je ne sais pas combien de temps encore je vais te le laisser...

Puis elle l'embrassa, et elles se déplacèrent de façon à ce que Hiroko se colle dos à l'un des murs de la chambre.

Je vais te baiser fort ce soir ma chérie, et je suis tellement chargée en énergie que seule la nuit ne sera peut-être pas assez. Alors je veux que tu prenne des forces, car tu va en avoir besoin. Mes seins sont gorgés de bons lait, et ma chatte se languis de ta douce petite langue...viens te nourrir sur moi ma beauté, que je puisse ensuite te baiser comme tu le désire...

Re: La preuve d'amour [Takashiro Hiroko]

Posté : 17 avr. 2025 16:18
par Leona Morimoto
Leona embrassa joyeusement Hiroko, et l’allongea contre le lit. Elle se lova contre elle, contre sa professeure adorée, son amante, sa meilleure-amie, et sa meilleure esclave. Hiroko était beaucoup de choses aux yeux de Leona, et elle pouvait sentir la furieuse excitation d’Hiroko, comme une faim dévorante qui remontait en elle. Cette séance, ce rituel de transfert d’énergie, avait tendance à durer longtemps, selon la quantité d’énergie emmagasinée. Et, visiblement, la moisson de cette année avait été très importante. Lors de ce rituel, c’était toute l’Arcadie qui résonnait des ébats des deux femmes. Leona, tout en embrassant Hiroko, en jouant avec sa langue, et en se frottant contre elle, se demandait jusqu’à quel point ce rituel allait évoluer. Une orgie était sans doute envisageable, mais Leona pensait que Hiroko était prête à recevoir leur enfant. Avec ce rituel, les deux femmes avaient souvent hésité, car Hiroko pompait de l’énergie qu’elle stockait, et il ne fallait pas que cela perturbe une grossesse. Cependant, Reina lui avait expliqué que ce risque était inexistant, ce dont elles allaient s’assurer au cours du rituel. Hiroko n’en savait rien, c’était la surprise de Leona.

« Hmmm… »

Elles s’embrassèrent pendant plusieurs minutes, avant que Hiroko ne lui confie n’avoir trop chaud. Leona sourit doucement, puis se redressa ensuite.

« Alors, déshabille-toi, ta robe est trop belle pour que je la déchire. »

Hiroko la retira, et, en la voyant toute nue, Leona se mordilla les lèvres, sentant son cœur bondir dans sa poitrine. Comme elle était belle ! C’était vraiment une vision dont Leona n’arrivait pas à se détacher. Elle l’observa donc, et constata que, sur le pubis de Hiroko, un inmon brillait, signe de l’intensité du désir d’Hiroko.

« Hihi, quand je pense à tous ces gens qui te trouvent timide… S’ils savaient à quel point Hiroko-chan est une grosse perverse… »

Sa partenaire se rapprocha d’elle, et coinça Leona contre le mur. Leona soupira quand les mains de Hiroko pressèrent ses fesses. S’il y avait un point commun certain entre Leona et Mélinda, c’était clairement sur le fait qu’elles étaient toutes les deux des amatrices des rapports anaux. Hiroko lui annonça ensuite son intention de la baiser très fort, et son souhait de la préparer. Leona, dont le visage était finalement proche des seins de Hiroko, sourit. La professeure avait malaxé les seins de Leona, elle les avait sortis de son sling bikini, et elle pouvait donc déjà constater que Leona était très excitée.

Cela la fit donc sourire, tandis qu’elle frotta son visage sur l’un des seins de Hiroko.

« Je pense que tu as surtout envie de me voir téter, Hiroko-chan… Mais soit, tu le sais bien, maintenant… Je prends tout de toi. »

Elle lui dit cela en l’embrassant encore, puis attrapa la main de Hiroko-chan, et l’amena à se coucher de nouveau sur le lit. Leona s’agenouilla ensuite sur le lit, au-dessus de Hiroko, et malaxa l’un de ses seins en souriant malicieusement. Elle pressa le téton, et un jet de lait fusa alors, éclaboussant les doigts de Leona.

Celle-ci gloussa encore, et lécha son gant.

« Hmmm… Tes montées de lait sont délicieuses, Hiroko-chan. Tu pourrais nourrir beaucoup de bébés, toi… »

Hiroko-chan ne devait sûrement pas s’attendre à ce que Leona envisage sérieusement de l’enfanter, mais Leona s’amusait déjà distiller cette idée. Elle se mit ensuite à falifourchon sur le corps de son amante, voyant le désir dans ses yeux, ainsi que la frustration. Les zones érogènes d’Hiroko étaient naturellement très sensibles, a fortiori quand ses seins se remplissaient de lait. Leona en profitait donc pour la titiller. Elle était joueuse.

Elle se pencha donc, et déposa un baiser langoureux sur l’un des seins, avant de lécher le téton.

« Hum… Tu voudrais que je te tète, hein ? Que je te soulage de tout ce lait ? Il est vrai que ton lait est délicieux, Hiroko-chan… Mais j’aime qu’on me motive, tu sais… Je veux l’entendre de ta jolie voix… Que ma professeure adorée me dise à quel point c’est une nymphomane, à quel point elle a envie que sa Leona-chan, sa Maîtresse d’amour, vienne la soulager de tout ce lait, la traite comme la magnifique nymphomane en manque qu’elle est… »

Leona-chan gloussa encore, tout en attrapant l’un des seins de la femme. Elle évitait soigneusement de presser le téton, elle soufflait dessus avec sa bouche, et frottait langoureusement sa langue autour de ce téton, ou dessus, sans le mordiller avec ses dents ou le presser pour en faire jaillir le lait.

S’il y avait une chose que Leona adorait, c’était clairement le dirty talk, encore plus quand il venait de Hiroko-chan… Avec Reina-sama, elle était la seule personne sur Terre qui pouvait lui parler franchement !