- Balthazar Noël
- Messages : 112
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
La passion de Balthazar était épuisante: les femmes. Autant il pouvait passer de bons moments et découvrir de superbes femelles plus nymphos les unes que les autres, autant certaines rencontres valaient le coup d'être immédiatement oubliées. Rares étaient les fois où il se mettait en danger mais là, tout récemment, il avait évité de peu une catastrophe. Plein de gentillesse et prompt à disperser ses spermatozoïdes un peu partout, il avait levé un petit lot à Uatis qui valait vraiment le déplacement. La nénette était particulièrement bien baisable et en plus, en avait envie. Sauf que, dans cette société matriarcale où les hommes ne représentent pas grand-chose, il est mal vu qu'une jeune femme soit surprise par sa mère en train de se faire sodomiser par une brute puissamment musclée... Et la mère siégeant dans les hautes strates du pouvoir, Balthazar avait eu tout le mal du monde à échapper à la traque qui avait été organisée pour le capturer à des fins de castration... La course s'était terminée dans la honte où c'est déguisé en femme qu'il avait réussi à fuir le matriarcat.
Donc, Uatis, c'était terminé pour un moment. Il retournait aux fondamentaux, c'est à dire la Terre. Il y séjournait donc depuis une grosse semaine. Jusqu'à présent, il avait écumé pas mal de lieux et villes mais ses pas le ramenait presque toujours au Japon. C'est là, à Yoake qu'il avait loué une petite chambre confortable dans le centre ville et qu'il s'adonnait à ses péchés mignons.
Ce soir là, il était installé dans un de ses nombreux bars de nuit, sans grand luxe mais dans lesquels on pouvait lever des petits culs sans grandes difficultés. Un écran TV diffusait un documentaire sur la ville et il intercepta un serveur pour lui poser une question.
"J'entends pas bien, c'est qui cette bombe là, à l'écran?"
En effet, l'image se figeait sur une beauté froide aux formes désirables tandis qu'une voix-off commentait quelque chose. Le serveur se renfrogna.
"Monsieur, on ne parle pas comme ça de Madame Reina Morimoto en ces termes. Sa famille est puissante ici et œuvre beaucoup pour la ville. Tous les habitants de Yoake lui doivent beaucoup."
"Ah? Ouais ok désolé ... Je ne savais pas ... Mais elle est très belle."
Ces excuses semblèrent suffirent au serveur qui se radoucit.
"Oh mais sa fille Leona est encore plus belle, elle est l'égérie de nombreuses marques et figure parmi les plus belles femmes du Japon."
"Vraiment?"
"Oh oui vraiment. Qui ne l'a jamais vu ne sait pas ce qu'est une belle femme."
Balthazar hocha la tête.
Une belle femme connue, apparemment sexuellement désirable? Et il n'en avait jamais entendu parler? Il consulta son smartphone. Oh bordel! Ouais, en effet: un air de salope monté sur un corps de folie! Il suivit un peu son actualité et découvrit son univers. Elle vivait à Yoake, surplombant les élites de vraiment très haut. Sa résidence portait le nom de Sainte-Arcadie. Intéressant ... Cette Leona sentait le cul et demeurait près du bon dieu ? Marrant. Et puis ... quelle famille avec cette histoire antique ...
Notre héros prit plus de temps que prévu à se documenter. Les verres défilaient devant lui, principalement des cocktails pour accompagner un bon repas. Mais Balthazar étant assez peu porté sur l'alcool ... Il en fallut peu pour qu'il ait la tête qui tourne.
"Faut que j'baise ce soir ..."
Une pensée comme une autre mais bien malheureuse puisque usant de son pouvoir de déplacement (que personne ne comprendrait), il se retrouva dans un hall immense au luxe indécent.
"MMMMmmmmfff" Il avait juste pensé à Léona ...
Un peu cotonneux, il n'entendit pas le danger venir et la décharge de taser le terrassa sans qu'il ne puisse rien faire.
Il se réveilla plus tard, nu comme un ver, étendu sur une plaque de bois posée à même le sol d'une cellule dont un seul côté était scellé de lourds barreaux donnant sur un couloir sombre. Ca sentait un peu l'humidité.
"C'est quoi ce bordel?" Il se redressa. "Hého? Quelqu'un?"
Donc, Uatis, c'était terminé pour un moment. Il retournait aux fondamentaux, c'est à dire la Terre. Il y séjournait donc depuis une grosse semaine. Jusqu'à présent, il avait écumé pas mal de lieux et villes mais ses pas le ramenait presque toujours au Japon. C'est là, à Yoake qu'il avait loué une petite chambre confortable dans le centre ville et qu'il s'adonnait à ses péchés mignons.
Ce soir là, il était installé dans un de ses nombreux bars de nuit, sans grand luxe mais dans lesquels on pouvait lever des petits culs sans grandes difficultés. Un écran TV diffusait un documentaire sur la ville et il intercepta un serveur pour lui poser une question.
"J'entends pas bien, c'est qui cette bombe là, à l'écran?"
En effet, l'image se figeait sur une beauté froide aux formes désirables tandis qu'une voix-off commentait quelque chose. Le serveur se renfrogna.
"Monsieur, on ne parle pas comme ça de Madame Reina Morimoto en ces termes. Sa famille est puissante ici et œuvre beaucoup pour la ville. Tous les habitants de Yoake lui doivent beaucoup."
"Ah? Ouais ok désolé ... Je ne savais pas ... Mais elle est très belle."
Ces excuses semblèrent suffirent au serveur qui se radoucit.
"Oh mais sa fille Leona est encore plus belle, elle est l'égérie de nombreuses marques et figure parmi les plus belles femmes du Japon."
"Vraiment?"
"Oh oui vraiment. Qui ne l'a jamais vu ne sait pas ce qu'est une belle femme."
Balthazar hocha la tête.
Une belle femme connue, apparemment sexuellement désirable? Et il n'en avait jamais entendu parler? Il consulta son smartphone. Oh bordel! Ouais, en effet: un air de salope monté sur un corps de folie! Il suivit un peu son actualité et découvrit son univers. Elle vivait à Yoake, surplombant les élites de vraiment très haut. Sa résidence portait le nom de Sainte-Arcadie. Intéressant ... Cette Leona sentait le cul et demeurait près du bon dieu ? Marrant. Et puis ... quelle famille avec cette histoire antique ...
Notre héros prit plus de temps que prévu à se documenter. Les verres défilaient devant lui, principalement des cocktails pour accompagner un bon repas. Mais Balthazar étant assez peu porté sur l'alcool ... Il en fallut peu pour qu'il ait la tête qui tourne.
"Faut que j'baise ce soir ..."
Une pensée comme une autre mais bien malheureuse puisque usant de son pouvoir de déplacement (que personne ne comprendrait), il se retrouva dans un hall immense au luxe indécent.
"MMMMmmmmfff" Il avait juste pensé à Léona ...
Un peu cotonneux, il n'entendit pas le danger venir et la décharge de taser le terrassa sans qu'il ne puisse rien faire.
Il se réveilla plus tard, nu comme un ver, étendu sur une plaque de bois posée à même le sol d'une cellule dont un seul côté était scellé de lourds barreaux donnant sur un couloir sombre. Ca sentait un peu l'humidité.
"C'est quoi ce bordel?" Il se redressa. "Hého? Quelqu'un?"
- Leona Morimoto
- Messages : 50
- Enregistré le : 06 avr. 2025 17:48
- Fiche
- Demande de RP
La vie à la Sainte-Arcadie des Morimoto était plutôt bien rythmée. Reina recevait continuellement du monde, et organisait bon nombre de réceptions, qui finissaient généralement en orgies. Hommes politiques, industriels, fonctionnaires influents… Mais aussi chefs du crime organisé, Yakuzas, ou mafieux russes, Triades chinoises… Depuis toujours, les Morimoto avaient veillé à l’équilibre de cette ville, et ils continuaient encore à le faire. Avec eux, on trouvait cette image si propre au Japon, cette opposition entre le pouvoir politique public, officiel, et le pouvoir social officieux, celui de la criminalité organisée, des influences, des réseaux. Reina n’avait aucune fonction élective, aucune fonction publique officielle, mais tous les Yoakoïtes de souche savaient que, s’ils voulaient quelque chose qui leur était refusé, il fallait s’adresser aux Morimoto. Reina avait des mains aussi longues que belles, et sa petite-sœur, Leona, était aussi redoutable qu’elle.
« Il se réveille, Maîtresse…
- Je le vois bien. »
Quand leur invité ouvrit les yeux, il constata qu’il était attaché à une sorte de table médicale. Nu comme un ver, ses mains et ses jambes étaient retenues par d’épaisses sangles. Il était dans ce qui ressemblait à un laboratoire médical, avec des lumières blanches intenses au plafond, des murs blancs, froids et métalliques. Sa verge était à l’air libre, et on avait mis sur ses testicules des ventouses avec des câbles qui partaient vers une grosse machine affublée d’un terminal. Un brassard noir avait été posé à la base de sa verge, transmettant des signaux à la machine, ou en émettant à sa verge.
« Tu es de nouveau réveillé ? »
Balthazar s’était réveillé une première fois dans sa cellule, avant qu’un gaz soporifique ne l’assomme à nouveau. Un réveil rapide, inhabituel, mais les résultats confirmaient qu’il avait une endurance exceptionnelle. Leona marcha vers lui, s’éloignant du pupitre. Elle portait une blouse médicale ouverte, permettant de voir son insolent et magnifique sling bikini rouge, avec ses magnifiques cuissardes rouges à talons.
« Balthazar… Un nom bien classieux pour un poivrot. »
Leona se rapprocha de lui, et sa main gantée glissa sur le torse de l’homme, descendant jusqu’à sa verge, qu’elle caressa alors.
« Tu me reconnais ? Tu as fait irruption hier en disant vouloir me baiser… Moi, Leona Morimoto ! Tu as neutralisé cinq de nos gardes avant qu’ils ne parviennent à t’assommer. Pour un poivrot, c’est impressionnant, car nos agents sont bien entraînés, et formés à retenir tout type d’intrusion. Tu t’es également réveillé avant qu’on ne prépare cette salle médicale. »
La voix de Leona était posée, impérieuse, et sensuelle, terriblement sensuelle… Elle masturbait l’homme, tout en pressant parfois fortement ses doigts sur son sexe.
« Je suis curieuse de savoir ce qui a poussé un paysan comme toi à croire qu’il pouvait débarquer comme ça dans ma demeure en tenant des propos offensants ! Dis-moi qui tu es ! »
« Il se réveille, Maîtresse…
- Je le vois bien. »
Quand leur invité ouvrit les yeux, il constata qu’il était attaché à une sorte de table médicale. Nu comme un ver, ses mains et ses jambes étaient retenues par d’épaisses sangles. Il était dans ce qui ressemblait à un laboratoire médical, avec des lumières blanches intenses au plafond, des murs blancs, froids et métalliques. Sa verge était à l’air libre, et on avait mis sur ses testicules des ventouses avec des câbles qui partaient vers une grosse machine affublée d’un terminal. Un brassard noir avait été posé à la base de sa verge, transmettant des signaux à la machine, ou en émettant à sa verge.
« Tu es de nouveau réveillé ? »
Balthazar s’était réveillé une première fois dans sa cellule, avant qu’un gaz soporifique ne l’assomme à nouveau. Un réveil rapide, inhabituel, mais les résultats confirmaient qu’il avait une endurance exceptionnelle. Leona marcha vers lui, s’éloignant du pupitre. Elle portait une blouse médicale ouverte, permettant de voir son insolent et magnifique sling bikini rouge, avec ses magnifiques cuissardes rouges à talons.
« Balthazar… Un nom bien classieux pour un poivrot. »
Leona se rapprocha de lui, et sa main gantée glissa sur le torse de l’homme, descendant jusqu’à sa verge, qu’elle caressa alors.
« Tu me reconnais ? Tu as fait irruption hier en disant vouloir me baiser… Moi, Leona Morimoto ! Tu as neutralisé cinq de nos gardes avant qu’ils ne parviennent à t’assommer. Pour un poivrot, c’est impressionnant, car nos agents sont bien entraînés, et formés à retenir tout type d’intrusion. Tu t’es également réveillé avant qu’on ne prépare cette salle médicale. »
La voix de Leona était posée, impérieuse, et sensuelle, terriblement sensuelle… Elle masturbait l’homme, tout en pressant parfois fortement ses doigts sur son sexe.
« Je suis curieuse de savoir ce qui a poussé un paysan comme toi à croire qu’il pouvait débarquer comme ça dans ma demeure en tenant des propos offensants ! Dis-moi qui tu es ! »
DC de l'Observateur !
Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !
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- Balthazar Noël
- Messages : 112
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Personne ne lui avait répondu et la torpeur avait eu raison de lui. Bah ... au pire un petit somme et au réveil , il arriverait à s'en sortir, comme toujours. Il devait être dans une geôle d'un commissariat du coin ou un truc comme ça. L'homme dormit et ne sentit même pas qu'on le transportait ailleurs. Ce n'est que plus tard qu'il se réveilla, déjà plus frais même si une sensation désagréable le prenait au corps: il avait froid !
Le décor était bien différent du premier: on passait du trou sombre à la pièce trop éclairée, désagréable avec son agencement très médical. Balthazar était allongé sur une table froide et de solides sangles le maintenait en place. Il était nu et avant même qu'il n'ouvre les yeux, il avait sentit le dispositif en place sur ses couilles et sa verge. Très étrange comme sensation ...
La lueur crue des néons lui blessait les yeux mais le remède vint de la voix qui attira son attention. Balthazar tourna la tête pour découvrir une ravissante salope dont le corps exsudait autant de perversité qu'il était capable d'en supporter. La blonde avait l'attitude et l’assurance d'une pute raffinée à qui peu de choses devaient être refusées. Elle était méprisante et fabuleusement excitante, ce qui bien sûr, entraina un sévère durcissement de Balthazar. Elle le branlait comme si de rien n'était et la queue de l'homme s'érigea comme un mât, dévoilant ses mesures exceptionnelles.
La femme parla de la veille. Il n'en avait aucun souvenir. L'alcool avait effacé toute forme de mémoire et il ne se rappelait que brièvement le commentaire du type qui l'avait au final amené ici. Leona Morimoto ... Ah mais si ... ça revenait ... Un petit lot bien baisable, de ce qu'il s'était dit. C'était le cas maintenant qu'il la découvrait en chair et en os. Aucune imperfection ne venait gâcher le grain parfait de sa peau, son visage était un must pour servir de réceptacle à une bonne grosse faciale, et son corps, bordel son corps ... le top pour une défonce extrême et sans limites.
Le regard de connaisseur de Balthazar glissa dessus avec une envie non dissimulée. Sans ces lanières le maintenant, il serait déjà entrain de lui exploser le cul. Mais bloqué comme il l'était, il ne pouvait que laisser sa queue palpiter en signe d'excitation.
Les doigts de Leona faisaient des merveilles mais Balthazar s'interdit de lui gicler dans la main. Une femme pareille devait avaler son sperme. Une femme pareille devait se faire engrosser. Une femme pareille devait se faire remplir le fion!
Balthazar grogna. Les propos de Leona puaient l'ironie et l'hypocrisie mais c'était d'autant plus intéressant. Quand il parla, sa voix sonna rocailleuse. Il avait soif d'eau.
"C'est toi Leona alors? On m'avait pas menti. T'as un cul à faire bander un eunuque. Alors moi ..."
Il fit une pause pour tenter de s'humecter les lèvres.
"J'ai fait une fête en solo hier soir. Un type m'a parlé de toi en termes assez ... précis. Je me suis dit que tant que j'étais ici, il fallait au moins que je te voie. Ouais ... il avait raison ..."
Il tira un peu sur les sangles, bandant ses muscles sur-développés.
"Tu vas me branler encore longtemps? Détache ces sangles, t'as rien à craindre, au contraire. Je devine que t'as envie de te faire plaisir et moi, ben ... je suis là pour ça. En fait, j'espérais bien te ramoner le rectum."
Autant prendre les devants car aux vues de la tenue de la miss qui sentait un peu trop la dominatrix à son goût, Balthazar préférait annoncer la couleur. Si lui aimait casser des culs, le sien restait un territoire à protéger à tout prix.
"Je ne suis pas un paysan. Ce serait le cas, je serai en taule chez les flics et pas là à me faire traire par la beauté de la maison. Non, moi je voyage et je profite de la vie."
Il se crispa et parvint à retenir une énorme éjaculation.
"Je suis sûr que tu les apprécies ces propos offensants ..."
Le décor était bien différent du premier: on passait du trou sombre à la pièce trop éclairée, désagréable avec son agencement très médical. Balthazar était allongé sur une table froide et de solides sangles le maintenait en place. Il était nu et avant même qu'il n'ouvre les yeux, il avait sentit le dispositif en place sur ses couilles et sa verge. Très étrange comme sensation ...
La lueur crue des néons lui blessait les yeux mais le remède vint de la voix qui attira son attention. Balthazar tourna la tête pour découvrir une ravissante salope dont le corps exsudait autant de perversité qu'il était capable d'en supporter. La blonde avait l'attitude et l’assurance d'une pute raffinée à qui peu de choses devaient être refusées. Elle était méprisante et fabuleusement excitante, ce qui bien sûr, entraina un sévère durcissement de Balthazar. Elle le branlait comme si de rien n'était et la queue de l'homme s'érigea comme un mât, dévoilant ses mesures exceptionnelles.
La femme parla de la veille. Il n'en avait aucun souvenir. L'alcool avait effacé toute forme de mémoire et il ne se rappelait que brièvement le commentaire du type qui l'avait au final amené ici. Leona Morimoto ... Ah mais si ... ça revenait ... Un petit lot bien baisable, de ce qu'il s'était dit. C'était le cas maintenant qu'il la découvrait en chair et en os. Aucune imperfection ne venait gâcher le grain parfait de sa peau, son visage était un must pour servir de réceptacle à une bonne grosse faciale, et son corps, bordel son corps ... le top pour une défonce extrême et sans limites.
Le regard de connaisseur de Balthazar glissa dessus avec une envie non dissimulée. Sans ces lanières le maintenant, il serait déjà entrain de lui exploser le cul. Mais bloqué comme il l'était, il ne pouvait que laisser sa queue palpiter en signe d'excitation.
Les doigts de Leona faisaient des merveilles mais Balthazar s'interdit de lui gicler dans la main. Une femme pareille devait avaler son sperme. Une femme pareille devait se faire engrosser. Une femme pareille devait se faire remplir le fion!
Balthazar grogna. Les propos de Leona puaient l'ironie et l'hypocrisie mais c'était d'autant plus intéressant. Quand il parla, sa voix sonna rocailleuse. Il avait soif d'eau.
"C'est toi Leona alors? On m'avait pas menti. T'as un cul à faire bander un eunuque. Alors moi ..."
Il fit une pause pour tenter de s'humecter les lèvres.
"J'ai fait une fête en solo hier soir. Un type m'a parlé de toi en termes assez ... précis. Je me suis dit que tant que j'étais ici, il fallait au moins que je te voie. Ouais ... il avait raison ..."
Il tira un peu sur les sangles, bandant ses muscles sur-développés.
"Tu vas me branler encore longtemps? Détache ces sangles, t'as rien à craindre, au contraire. Je devine que t'as envie de te faire plaisir et moi, ben ... je suis là pour ça. En fait, j'espérais bien te ramoner le rectum."
Autant prendre les devants car aux vues de la tenue de la miss qui sentait un peu trop la dominatrix à son goût, Balthazar préférait annoncer la couleur. Si lui aimait casser des culs, le sien restait un territoire à protéger à tout prix.
"Je ne suis pas un paysan. Ce serait le cas, je serai en taule chez les flics et pas là à me faire traire par la beauté de la maison. Non, moi je voyage et je profite de la vie."
Il se crispa et parvint à retenir une énorme éjaculation.
"Je suis sûr que tu les apprécies ces propos offensants ..."
- Leona Morimoto
- Messages : 50
- Enregistré le : 06 avr. 2025 17:48
- Fiche
- Demande de RP
Un vrai rustre ! Il était aussi bien membré et musclé que mal élevé et grossier ! Leona se pinça les lèvres, et répondit en pinçant la verge de l’homme.
« Assez ! Tu m’as pris pour qui, espèce de sale pervers ? Je suis Leona Morimoto ! Des gens seraient prêts à vendre leurs âmes pour avoir le droit de ne serait-ce que poser le regard sur ma divine personne ! Et toi, tu oses m’insulter ?! »
Dans l’art de la séduction, Balthazar avait visiblement encore du chemin à faire. Leona retira sa main de son sexe, et attrapa sa cravache. Elle la soupesa entre ses deux mains, un sourire malicieux sur les lèvres. La lueur dans ses yeux signifiait qu’elle avait clairement l’intention de prendre son temps, de savourer ce moment, et de ne pas offrir à Balthazar ce qu’il souhaitait. Elle retourna près de lui, observant ses muscles saillants, cette verge épaisse, bien durcie… Il bandait si fort. Leona s’en mordilla brièvement les lèvres, comme si elle fantasmait à l’idée de danser sur la queue de ce taureau. Pouvait-on lui reprocher d’être mal élevé, quand on avait une telle verge ? Si on pardonnait tout à la Beauté, on se devait de lui pardonner, non ?
*Sauf que la seule beauté ici présente, c’est moi !*
Leona détendit alors sa cravache, et fouetta avec la verge de Balthazar. Elle ricana ensuite.
« Tu croyais vraiment qu’un poivrot comme toi pourrait me baiser si facilement ? Tu devrais t’estimer heureux d’être toujours en un seul morceau ! »
La queue de Balthazar était tellement sensible que Leona abattit encore sa cravache dessus, fouettant son sexe, avant de ricaner.
« Tu crois que tu peux tout te permettre parce que tu as une belle queue ? Je vais te dresser, moi, sale pervers ! »
Elle ne s’arrêta que quand l’homme commença à jouir. Un bel orgasme ! Elle le masturba ensuite pour qu’il continue à jouir, et elle le vit jouir longuement. Sa queue resta encore bien solide ensuite, amenant à Leona un nouveau sourire.
« Eh bien, on dirait que tu aimes ça, hahaha ! »
« Assez ! Tu m’as pris pour qui, espèce de sale pervers ? Je suis Leona Morimoto ! Des gens seraient prêts à vendre leurs âmes pour avoir le droit de ne serait-ce que poser le regard sur ma divine personne ! Et toi, tu oses m’insulter ?! »
Dans l’art de la séduction, Balthazar avait visiblement encore du chemin à faire. Leona retira sa main de son sexe, et attrapa sa cravache. Elle la soupesa entre ses deux mains, un sourire malicieux sur les lèvres. La lueur dans ses yeux signifiait qu’elle avait clairement l’intention de prendre son temps, de savourer ce moment, et de ne pas offrir à Balthazar ce qu’il souhaitait. Elle retourna près de lui, observant ses muscles saillants, cette verge épaisse, bien durcie… Il bandait si fort. Leona s’en mordilla brièvement les lèvres, comme si elle fantasmait à l’idée de danser sur la queue de ce taureau. Pouvait-on lui reprocher d’être mal élevé, quand on avait une telle verge ? Si on pardonnait tout à la Beauté, on se devait de lui pardonner, non ?
*Sauf que la seule beauté ici présente, c’est moi !*
Leona détendit alors sa cravache, et fouetta avec la verge de Balthazar. Elle ricana ensuite.
« Tu croyais vraiment qu’un poivrot comme toi pourrait me baiser si facilement ? Tu devrais t’estimer heureux d’être toujours en un seul morceau ! »
La queue de Balthazar était tellement sensible que Leona abattit encore sa cravache dessus, fouettant son sexe, avant de ricaner.
« Tu crois que tu peux tout te permettre parce que tu as une belle queue ? Je vais te dresser, moi, sale pervers ! »
Elle ne s’arrêta que quand l’homme commença à jouir. Un bel orgasme ! Elle le masturba ensuite pour qu’il continue à jouir, et elle le vit jouir longuement. Sa queue resta encore bien solide ensuite, amenant à Leona un nouveau sourire.
« Eh bien, on dirait que tu aimes ça, hahaha ! »
DC de l'Observateur !
Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
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- Balthazar Noël
- Messages : 112
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Si Balthazar ne s'encombrait pas de politesses ni ne pesait sa façon de se considérer, alors c'était bien un point commun qu'il avait avec cette fameuse Leona. Elle le blâmait alors qu'elle le branlait tranquillement, de manière aussi naturelle que si elle buvait un thé ou pianotait sur son téléphone. Balthazar haussa les yeux: bon sang! Une caractérielle. Bon, elle pouvait avoir quelques raisons de lui en vouloir mais il ne fallait pas non plus en faire toute une histoire, le traiter de pervers et surtout, surtout ... de brandir cette cravache comme elle le faisait. Les trucs de domination, c'était bien quand il s'agissait d'enfoncer un trou à sec; par contre se faire fouetter la bite, ça n'entrait pas dans la catégories des plaisirs personnels de notre héros.
"AÏE!!"
Il s'était fait surprendre. La brulure cinglante de la cravache sur sa queue, il ne l'avait pas vue venir, en tout cas pas à cette vitesse.
Il n'eut pas le temps de brailler plus qu'un deuxième coup suivit. Putain! Mais c'est ... c'est bon!
Balthazar est tellement surpris qu'il en oublie de parler. Il essaie d'écarter les cuisses comme il peut et se laisse même à aller gicler ainsi. Ça sort fort et gras et Leona le branle comme possédée par la déesse de toutes les prostituées du monde.
"Détache moi!"
Il est fin prêt. Il regarde Leona et ses de latex tout souillés de sa semence. Elle mérite une dérouillée et il est là pour la lui donner. Une nénette pareille, il ne la laissera pas partir debout, elle rampera le cul explosé et la vulve écartelée, du sperme plein les dents et la peau imbibée d'urine. Pas d'amour pour Leona, juste une immense pulvérisation sexuelle.
"Détache moi!"
Il bande ses muscles de toutes ses forces. De grosses veines palpitent sous l'effort. Les systèmes de fixation grincent, l'homme a les yeux injectés de sang. Et clac! Son bras droit se libère, le cuir de la sangle se rompt sèchement. Cela ne suffit pas à libérer totalement l'homme qui ne pense pas à se détacher. Il regarde la déesse blonde et tout le potentiel sexuel qu'il pourrait en tirer.
"Je ne suis pas un poirot ni un pervers mais pour toi, je peux faire une exception."
Après ce qu'elle vient de lui faire, il est capable de s'adonner à tout un tas de trucs qui ne lui sont pas habituels ... le genre de trucs qu'on réserve plus à une trainée qu'à une fille de bonne famille.
Mais il se calme un peu, bien que sa queue indique qu'il est prêt à la dérouiller.
"Trouvons un accord à l'amiable. Mon sperme te va bien. Je suis sûr que tu adorerais en être remplie. Que veux tu de moi?"
"AÏE!!"
Il s'était fait surprendre. La brulure cinglante de la cravache sur sa queue, il ne l'avait pas vue venir, en tout cas pas à cette vitesse.
Il n'eut pas le temps de brailler plus qu'un deuxième coup suivit. Putain! Mais c'est ... c'est bon!
Balthazar est tellement surpris qu'il en oublie de parler. Il essaie d'écarter les cuisses comme il peut et se laisse même à aller gicler ainsi. Ça sort fort et gras et Leona le branle comme possédée par la déesse de toutes les prostituées du monde.
"Détache moi!"
Il est fin prêt. Il regarde Leona et ses de latex tout souillés de sa semence. Elle mérite une dérouillée et il est là pour la lui donner. Une nénette pareille, il ne la laissera pas partir debout, elle rampera le cul explosé et la vulve écartelée, du sperme plein les dents et la peau imbibée d'urine. Pas d'amour pour Leona, juste une immense pulvérisation sexuelle.
"Détache moi!"
Il bande ses muscles de toutes ses forces. De grosses veines palpitent sous l'effort. Les systèmes de fixation grincent, l'homme a les yeux injectés de sang. Et clac! Son bras droit se libère, le cuir de la sangle se rompt sèchement. Cela ne suffit pas à libérer totalement l'homme qui ne pense pas à se détacher. Il regarde la déesse blonde et tout le potentiel sexuel qu'il pourrait en tirer.
"Je ne suis pas un poirot ni un pervers mais pour toi, je peux faire une exception."
Après ce qu'elle vient de lui faire, il est capable de s'adonner à tout un tas de trucs qui ne lui sont pas habituels ... le genre de trucs qu'on réserve plus à une trainée qu'à une fille de bonne famille.
Mais il se calme un peu, bien que sa queue indique qu'il est prêt à la dérouiller.
"Trouvons un accord à l'amiable. Mon sperme te va bien. Je suis sûr que tu adorerais en être remplie. Que veux tu de moi?"
Modifié en dernier par Balthazar Noël le 13 juin 2025 09:49, modifié 1 fois.
- Leona Morimoto
- Messages : 50
- Enregistré le : 06 avr. 2025 17:48
- Fiche
- Demande de RP
Balthazar se mit à jouir furieusement. Leona constata qu’il avait une endurance sexuelle à la hauteur de sa langue bien pendue. Il se mit à jouir frénétiquement, éclaboussant la main et le gant de Leona. Le sperme redescendit toutefois surtout sur lui. Elle s’écarta ensuite, amusée, et s’amusa à lécher sa main. Elle se nettoyait, tandis que l’homme lui répéta de la détacher. Elle le vit même se débattre au point de libérer un de ses bras. Leona fronça alors les sourcils, et une onde de choc traversa alors le corps de Blathazar. La table sur laquelle il était couché comprenait des électrodes, et un courant électrique jaillit dans son corps, afin de le calmer. Le traitement dura une dizaine de secondes avant de s’arrêter.
« Tu es décidément bien rebelle, toi… »
Son sexe restait toujours dressé, et, même si Leona trouvait cet homme particulièrement mal élevé, et qu’il méritait sûrement de finir dans ses geôles, elle nota son érection constante. De plus, il l’avait mis au défi, et Leona avait un côté joueuse, elle aussi. Le temps pour Balthazar de reprendre ses esprits, et il pourrait voir que Leona avait grimpé sur la table. Elle se posta au-dessus de son visage, et s’agenouilla ensuite, faisant crisser sa tenue en latex. Son bassin était à hauteur du visage de Balthazar, et elle s’assit dessus, son sexe contre ses lèvres. Elle claqua également des doigts, et l’une de ses esclaves, Karen Himiki, fit son entrée, et mit à la base de la verge de Balthazar une sorte de ceinture noirâtre en cuir. Karen rougit en se mordillant les lèvres devant cette queue, avant de se retirer.
« Mais tu es aussi très endurant… Je pourrais appeler la police, tu sais. Il ne serait pas difficile de t’inculper pour violation de domicile, et pour plusieurs autres infractions. Et quelque chose me dit que tu n’as pas spécialement envie d’aller en prison. »
La voix de Leona était ferme et assurée, mais elle ne pouvait nier l’attrait phallique que Balthazar représentait pour elle.
« Tu penses pouvoir me mater sexuellement, Balthazar ? Tu penses pouvoir dominer Leona Morimoto ? »
Tout en disant cela, Leona remua sn bassin de droite à gauche, et la ceinture à la base de Balthazar émit encore des vibrations électriques, destinées à stimuler sa queue en la faisant vibrer.
« Tu vas pouvoir me baiser, Balthazar… À une toute petite condition… »
Leona se redressa ensuite, puis se positionna au-dessus de la verge de l’homme. Elle frotta sa culotte sur la pointe, et sourit lentement, avant de se préparer à s’empaler dessus.
« Si tu jouis avant moi, tu auras perdu, et tu finiras en prison. »
Soupirant lentement, Leona s’empala ensuite sur sa queue, et poussa un long cri de plaisir, sentant la vague remonter en elle… Puis elle commença à remuer, tandis que les liens retenant les bras de Balthazar se retirèrent.
« Tu es décidément bien rebelle, toi… »
Son sexe restait toujours dressé, et, même si Leona trouvait cet homme particulièrement mal élevé, et qu’il méritait sûrement de finir dans ses geôles, elle nota son érection constante. De plus, il l’avait mis au défi, et Leona avait un côté joueuse, elle aussi. Le temps pour Balthazar de reprendre ses esprits, et il pourrait voir que Leona avait grimpé sur la table. Elle se posta au-dessus de son visage, et s’agenouilla ensuite, faisant crisser sa tenue en latex. Son bassin était à hauteur du visage de Balthazar, et elle s’assit dessus, son sexe contre ses lèvres. Elle claqua également des doigts, et l’une de ses esclaves, Karen Himiki, fit son entrée, et mit à la base de la verge de Balthazar une sorte de ceinture noirâtre en cuir. Karen rougit en se mordillant les lèvres devant cette queue, avant de se retirer.
« Mais tu es aussi très endurant… Je pourrais appeler la police, tu sais. Il ne serait pas difficile de t’inculper pour violation de domicile, et pour plusieurs autres infractions. Et quelque chose me dit que tu n’as pas spécialement envie d’aller en prison. »
La voix de Leona était ferme et assurée, mais elle ne pouvait nier l’attrait phallique que Balthazar représentait pour elle.
« Tu penses pouvoir me mater sexuellement, Balthazar ? Tu penses pouvoir dominer Leona Morimoto ? »
Tout en disant cela, Leona remua sn bassin de droite à gauche, et la ceinture à la base de Balthazar émit encore des vibrations électriques, destinées à stimuler sa queue en la faisant vibrer.
« Tu vas pouvoir me baiser, Balthazar… À une toute petite condition… »
Leona se redressa ensuite, puis se positionna au-dessus de la verge de l’homme. Elle frotta sa culotte sur la pointe, et sourit lentement, avant de se préparer à s’empaler dessus.
« Si tu jouis avant moi, tu auras perdu, et tu finiras en prison. »
Soupirant lentement, Leona s’empala ensuite sur sa queue, et poussa un long cri de plaisir, sentant la vague remonter en elle… Puis elle commença à remuer, tandis que les liens retenant les bras de Balthazar se retirèrent.
DC de l'Observateur !
Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !
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- Balthazar Noël
- Messages : 112
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Balthazar était tombé dans une maison de fou, ou plutôt, il trouvait là chaussure à son pied. Cette Leona était de la même trempe que lui, orientait son bon vouloir tout comme lui le faisait. Elle prenait et se servait, décidait, forte de son pouvoir local et égoïste comme jamais. C'était un point fort car en étant ainsi, on ne craignait personne.
Balthazar se remettait à peine de la longue décharge électrique qui l'avait calmé. Hum ... hyper désagréable ça! Mais il apprécia le baume réconfortant que représentait la vulve de Leona se frottant contre sa bouche. En effet, la jeune femme l'avait enfourché et le dominait, le regard plein d'assurance et de provocation.
Une jeune femme apparut dans le champ de vision de Balthazar, bien différente de sa maitresse. Si Leona incarnait le feu, alors sa domestique incarnait la glace, sans pour autant se départir d'un charme certain: en bref, bonne à baiser. Celle-ci s'affaira sur la queue rigide et poisseuse du colosse pour la ceindre de cuir. L'homme chercha à se frotter à ses doigts mais Leona reprit l'avantage. Balthazar l'écouta. Oh ... ce qui s'augurait allait déjà dans un sens plus acceptable, bien plus réjouissant que d'être attaché sur une table et se laisser faire. L'homme afficha un sourire de requin.
"J'aime les femmes qui prennent des risques. Je peux au moins de jurer, Leona Morimoto, que tu vas sévèrement morfler."
Ce n'était pas des paroles en l'air. La blondinette allait vivre un moment qu'elle n'oublierait jamais. Après avoir joué, elle allait servir de fucktoy à Balthazar qui n'allait pas faire d'efforts pour se retenir. Néanmoins, elle était toujours au dessus de lui et elle glissa un niveau plus bas, toujours provocante, avant de s'empaler sur sa queue.
"Putain de bordel de merde!!"
Balthazar en avait baisé des nénettes; mais comme elle, très rarement. Leona était un volcan vivant. Son vagin diffusait des vagues de chaleur telles que le colosse faillit décharger dans l'instant. Enfin, les lanières le retenant se détachèrent et il se redressa comme un ressort. Son premier geste fut d'attraper Leona par le cou et de la tirer à lui pour l'embrasser. Ce ne fut pas un baiser passionnel ni respectueux non; ce fut humide, bruyant, noyé dans la salive et sale au point d'imprégner leurs mentons de jus. Cette salope sait y faire ...
Alors Balthazar la fait basculer et la retourne sans même quitter le cocon de son vagin. Cette pute est flexible et il s'allonge sur elle, de tout son poids. Il passe les jambes de la miss sur ses épaules et se met à la pilonner à grands coups de reins en ahanant comme une bête. Il lui coince les bras au dessus de la tête et récupère une lanière de cuir pour lui lier les poignets. Ça va être du sport de ne pas jouir avant elle mais si elle est réceptive à ce genre de traitements, alors ça devrait aller.
Alors il la défonce comme il pourrait le faire d'une pute de bas étage sur un sommier pourri. Il ne s'emmerde pas à savoir s'il le fait bien ou mal. Leona est là pour se faire sauter et il lui donne tout ce qu'il a. Le corps de la blonde est tassé sous le sien et il la pénètre sans douceur. Leurs bassins se heurtent et il imprime un rythme impressionnant. Heureusement, qu'elle l'ai fait sciemment ou pas, la lanière de cuir autour de sa queue presse fort sur la grosse veine, bloquant toute forme d'éjaculation. Dans ce contexte, c'est favorable a Balthazar qui, rappelons le, ne doit pas jouir en premier.
Balthazar se remettait à peine de la longue décharge électrique qui l'avait calmé. Hum ... hyper désagréable ça! Mais il apprécia le baume réconfortant que représentait la vulve de Leona se frottant contre sa bouche. En effet, la jeune femme l'avait enfourché et le dominait, le regard plein d'assurance et de provocation.
Une jeune femme apparut dans le champ de vision de Balthazar, bien différente de sa maitresse. Si Leona incarnait le feu, alors sa domestique incarnait la glace, sans pour autant se départir d'un charme certain: en bref, bonne à baiser. Celle-ci s'affaira sur la queue rigide et poisseuse du colosse pour la ceindre de cuir. L'homme chercha à se frotter à ses doigts mais Leona reprit l'avantage. Balthazar l'écouta. Oh ... ce qui s'augurait allait déjà dans un sens plus acceptable, bien plus réjouissant que d'être attaché sur une table et se laisser faire. L'homme afficha un sourire de requin.
"J'aime les femmes qui prennent des risques. Je peux au moins de jurer, Leona Morimoto, que tu vas sévèrement morfler."
Ce n'était pas des paroles en l'air. La blondinette allait vivre un moment qu'elle n'oublierait jamais. Après avoir joué, elle allait servir de fucktoy à Balthazar qui n'allait pas faire d'efforts pour se retenir. Néanmoins, elle était toujours au dessus de lui et elle glissa un niveau plus bas, toujours provocante, avant de s'empaler sur sa queue.
"Putain de bordel de merde!!"
Balthazar en avait baisé des nénettes; mais comme elle, très rarement. Leona était un volcan vivant. Son vagin diffusait des vagues de chaleur telles que le colosse faillit décharger dans l'instant. Enfin, les lanières le retenant se détachèrent et il se redressa comme un ressort. Son premier geste fut d'attraper Leona par le cou et de la tirer à lui pour l'embrasser. Ce ne fut pas un baiser passionnel ni respectueux non; ce fut humide, bruyant, noyé dans la salive et sale au point d'imprégner leurs mentons de jus. Cette salope sait y faire ...
Alors Balthazar la fait basculer et la retourne sans même quitter le cocon de son vagin. Cette pute est flexible et il s'allonge sur elle, de tout son poids. Il passe les jambes de la miss sur ses épaules et se met à la pilonner à grands coups de reins en ahanant comme une bête. Il lui coince les bras au dessus de la tête et récupère une lanière de cuir pour lui lier les poignets. Ça va être du sport de ne pas jouir avant elle mais si elle est réceptive à ce genre de traitements, alors ça devrait aller.
Alors il la défonce comme il pourrait le faire d'une pute de bas étage sur un sommier pourri. Il ne s'emmerde pas à savoir s'il le fait bien ou mal. Leona est là pour se faire sauter et il lui donne tout ce qu'il a. Le corps de la blonde est tassé sous le sien et il la pénètre sans douceur. Leurs bassins se heurtent et il imprime un rythme impressionnant. Heureusement, qu'elle l'ai fait sciemment ou pas, la lanière de cuir autour de sa queue presse fort sur la grosse veine, bloquant toute forme d'éjaculation. Dans ce contexte, c'est favorable a Balthazar qui, rappelons le, ne doit pas jouir en premier.
- Leona Morimoto
- Messages : 50
- Enregistré le : 06 avr. 2025 17:48
- Fiche
- Demande de RP
Est-ce qu’elle jouait avec le feu ? Oh, assurément ! Mais, si Balthazar pensait pouvoir dominer aussi facilement que cela Leona Morimoto, c’était lui qui était fou, et qui confondait les étoiles dans le ciel avec leur reflet dans le lac. Elle était Leona Morimoto, et elle avait maté bien des hommes. Celui-là était un véritable homme de Cro-Magnon, une sorte de sauvage hirsute qui venait de débouler de sa caverne, de son antre à vins, en débarquant au sein de la Sainte-Arcadie. Oui, c’était un sauvage, mais Leona ne pouvait pas nier qu’il avait une belle queue, et une endurance suffisamment forte pour avoir fait passer ses gardes du corps pour des minables. C’était un jouet qu’elle devait mater, mais sans briser son potentiel sexuel. Un sauvage à qui elle devait mettre une muselière sans brider son esprit combatif. Une alchimie difficile, mais Leona aimait les défis. Sinon, elle ne serait pas Leona, tout simplement ! Et cette verge… Ah, le sentiment jouissif de sentir cette queue en elle, cette grosse queue de phacochère puant qui la déchiquetait de l’intérieur ! Leona hurla en fermant les yeux, le temps que sa divine et délicate chatte s’habitue à ce membre solide.
« Haaaa… E-Espèce de sale porc… Tu… Tu oses glisser ta grosse queue de primate dans la divine chatte de L-Leona Morimoto, haaaa… T-Tu devrais avoir honte, haaaaa… »
Si Balthazar pensait être tombé sur une noble du style frigide, à fantasmer sur des queues, et qui se brisait en deux à la première bourrade, il allait vite être surpris. Comme preuve ultime de l’égo de Leona, elle lui ôta ses liens, prenant le risque qu’il se déchaîne… Et ce fut d’ailleurs exactement ce que Balthazar vit. Il s’élança sur Leona, et elle hurla en se retrouvant retournée, couchée sur le ventre, sentant l’homme grogner comme un buffle, déployant d’emblée toutes ses armes. Il la labourait furieusement, enfonçant toute sa verge en elle, la prenant jusqu’à la garde, si bien que Leona pouvait sentir les bourses de l’homme taper contre son bassin, et le brassard à la base de sa queue heurter sa peau fine et douce.
Balthazar espérait pouvoir s’en sortir grâce au brassard. Il avait presque raison… Si ce n’est que ce brassard n’était pas purement décoratif. Il y avait à l’intérieur de multiples capteurs qui le reliaient à une salle de contrôle. Derrière une baie vitrée en hauteur, les scientifiques de Leona analysaient la zone, et pouvaient voir sur des diagrammes la verge de Balthazar en action, et la manière dont son corps réagissait. Une érection était une réaction physique. Si les scientifiques rougissaient en entendant les hurlements de joie de leur Maîtresse, elles accomplissaient aussi leur mission. L’érection pénienne désignait un accroissement de canaux sanguins, et l’orgasme un phénomène lié à des neurotransmetteurs.
« Accroissez la sécrétion de dopamine ! Faites-le jouir ! »
L’une des scientifiques entra une série de commandes à partir de son clavier. Dans le cerveau de Balthazar, les nanomachines qui lui avaient été implantées libérèrent un signal électrique. Il aurait beau être le plus endurant du monde, Balthazar sentit la vague l’envahir, et se mit à jouir compulsivement dans la chatte de Leona.
Celle-ci sourit en le voyant s’abandonner, et ceintura les cuisses de l’homme avec ses jambes. Elle inversa ensuite les rôles, et le coucha à nouveau au sol.
« Ah… On dirait que tu as perdu, petit sauvage… »
Leona sourit encore, et caressa avec ses doigts gantés le visage de Balthazar.
« On dirait que tu n’as plus le choix… Tu as de la chance, je suis magnanime, et ta grosse queue parle pour toi. Je t’offre une nouvelle occasion de ne pas finir dans une cellule… Même si la bienséance t’obligerait à arrêter de vouloir ainsi profaner le corps de Leona-sama. Tu me baises comme si j’étais la dernière des putes, c’est très humiliant, tu sais. N’as-tu donc aucun respect pour moi, qui te suis supérieure ? »
« Haaaa… E-Espèce de sale porc… Tu… Tu oses glisser ta grosse queue de primate dans la divine chatte de L-Leona Morimoto, haaaa… T-Tu devrais avoir honte, haaaaa… »
Si Balthazar pensait être tombé sur une noble du style frigide, à fantasmer sur des queues, et qui se brisait en deux à la première bourrade, il allait vite être surpris. Comme preuve ultime de l’égo de Leona, elle lui ôta ses liens, prenant le risque qu’il se déchaîne… Et ce fut d’ailleurs exactement ce que Balthazar vit. Il s’élança sur Leona, et elle hurla en se retrouvant retournée, couchée sur le ventre, sentant l’homme grogner comme un buffle, déployant d’emblée toutes ses armes. Il la labourait furieusement, enfonçant toute sa verge en elle, la prenant jusqu’à la garde, si bien que Leona pouvait sentir les bourses de l’homme taper contre son bassin, et le brassard à la base de sa queue heurter sa peau fine et douce.
Balthazar espérait pouvoir s’en sortir grâce au brassard. Il avait presque raison… Si ce n’est que ce brassard n’était pas purement décoratif. Il y avait à l’intérieur de multiples capteurs qui le reliaient à une salle de contrôle. Derrière une baie vitrée en hauteur, les scientifiques de Leona analysaient la zone, et pouvaient voir sur des diagrammes la verge de Balthazar en action, et la manière dont son corps réagissait. Une érection était une réaction physique. Si les scientifiques rougissaient en entendant les hurlements de joie de leur Maîtresse, elles accomplissaient aussi leur mission. L’érection pénienne désignait un accroissement de canaux sanguins, et l’orgasme un phénomène lié à des neurotransmetteurs.
« Accroissez la sécrétion de dopamine ! Faites-le jouir ! »
L’une des scientifiques entra une série de commandes à partir de son clavier. Dans le cerveau de Balthazar, les nanomachines qui lui avaient été implantées libérèrent un signal électrique. Il aurait beau être le plus endurant du monde, Balthazar sentit la vague l’envahir, et se mit à jouir compulsivement dans la chatte de Leona.
Celle-ci sourit en le voyant s’abandonner, et ceintura les cuisses de l’homme avec ses jambes. Elle inversa ensuite les rôles, et le coucha à nouveau au sol.
« Ah… On dirait que tu as perdu, petit sauvage… »
Leona sourit encore, et caressa avec ses doigts gantés le visage de Balthazar.
« On dirait que tu n’as plus le choix… Tu as de la chance, je suis magnanime, et ta grosse queue parle pour toi. Je t’offre une nouvelle occasion de ne pas finir dans une cellule… Même si la bienséance t’obligerait à arrêter de vouloir ainsi profaner le corps de Leona-sama. Tu me baises comme si j’étais la dernière des putes, c’est très humiliant, tu sais. N’as-tu donc aucun respect pour moi, qui te suis supérieure ? »
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