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La Légate Cyra et la XV Légion Fulminata Umbrae [Valiobservée !]

Posté : 02 mai 2025 23:24
par Cyra Veluria Tertia
Le joueur : Trashy, je suis sympa. J'aime bien l'idée du forum ! Plutôt RP Discord mais je me diversifie.

Résumé du personnage : (pour les feignasses qui veulent pas tout lire.)

Cyra Veluria Tertia et une chef de légion militaire reprenant des codes de la Rome Antique. Cette légion de l'Empire est composée uniquement de femme et dispose d'une puissance attribué grâce à un démon, membre de la monarchie de la Rose. Cyra est manipulé par ce démon, qui compte l'utiliser pour étendre le pouvoir de l'Affiliation sur Terra, et tenter de prendre le contrôle de Mijak. Aujourd'hui, l'objectif de Cyra est d'attirer l'oeil de l'Empereur en enchainant les victoires militaires. Ratachement : Terra donc.

Introduction


A l'ouest de l'empire de Mijak, se trouve une province qui a été conquise assez rapidement. Verinis. Renommé par la suite en Novae Verinis. C'était une république qui avait eu sa période de gloire à travers le commerce, les conquète et une organisation particulièrement dense. Il avait des similitudes fortes avec l'empire, nottament sur son économie basé sur les esclaves. Aujourd'hui, cette province est une des plus fidèe à l'Empereur. Notre héroïne vient de cette contrée. Son nom ?

Cyra Veluria Tertia.

Preenomen : Cyra, "La maitresse"

Nomen : Veluria, de la maison des Velurii, une famille qui a une longue tradition martiale. Leur ancètre était un des sénateurs qui s'est le plus distingué durant la guerre contre Mijak.

Cognomen : Tertia. "La troisième". Car oui, c'était la troisième fille du pater familias Rugestus. Chef de la famille des Velurii.
Cyra est un pur produit de la propangade de l'empire. En effet, à cette période, les sénateurs qui présidait Novae Verinis, sous la juridiction de l'Empire, avient voué un culte immense pour l'empereur. Et la notre à gobé toutes ces histoire. Aujourd'hui, c'est une légat d'une des légions les plus puissante de l'Empire.

Description Physique
Lorsque Cyra entre dans une pièce, ce n’est pas l’allure d’une femme qu’on remarque. C’est la présence d’une lame nue, d’un feu contenu, d’une volonté tranchante comme le fer battu sous la haine. Elle est grande, plus que la plupart des hommes, avec une posture droite, rigide, forgée par l'entraînement et la guerre. Ses mouvements sont précis, économiques, sans grâce inutile. Comme si chaque geste avait été dicté par le champ de bataille.
Sa chevelure et sa peau sont noire, d'une natte soignée qui s’arrête juste au-dessous de ses épaules, toujours attachée ou ramenée en arrière lors des combats. Pas de bijoux. Pas de parure. Les boucles ne sont bonnes qu’à être tirées. Ses yeux sont d’un gris acier, presque transparents, froids, insondables.
Parfois, lorsqu’elle est en colère ou en pleine ferveur guerrière, une pupille rougeoyante s’y devine. Une marque du pacte, ou un reflet de la succube Altaïra. Ses sourcils sont droits, épais, et bas, donnant à son visage une expression naturelle de sévérité ou de jugement permanent.
Son visage est dur, anguleux. pommettes hautes, mâchoire tranchante, lèvres fines, toujours fermées. Elle peut se montrer souriante. Mais un sourire pervers. Ses soldats disent ne l’avoir vue arborer un sourire sincère qu’en tuant.
Son teint est mat, parfois marqué par la poussière, la cendre, ou les restes du maquillage rituel en cendres humaines qu'elle applique avant les batailles.
Si elle ne porte pas une robe ajustée cérémonielle du culte du démon, Elle porte toujours sa tenue de légate, mais adaptée à sa vision :
Un cuir noirci et renforcé de plaques sombres gravées de symboles infernaux. Une cape rouge sang, portée sur une seule épaule, dont la doublure est cousue avec les sceaux du Pacte de Sang. À sa ceinture : un glaive long, à lame noire. Son plastron porte l’emblème de la XVe légion : une couronne impériale transpercée d’un glaive en flammes inversées.

Description Psychologique
Cyra n’a jamais recherché le pouvoir pour la sécurité ou la gloire. Elle le désire comme un art, un espace d’expression de soi, une démonstration constante de supériorité. Elle veut étendre son influence non seulement par les armes, mais par les symboles, la peur, la loyauté tordue. Son objectif n’est pas seulement politique : elle veut gravir les échelons pour attirer le regard de l'Empereur, et ainsi étendre l'influence du Démon.
Cyra voit la guerre comme un jeu d’esprit, presque mathématique. Elle analyse, imite, démonte chaque culture ennemie pour retourner ses forces contre elle. Elle adopte les tactiques adverses après une seule bataille. Elle n'hésite pas à exploiter les faiblesses de ses ennemis. A utiliser des tactiques cruelles comme la torture, la profanation, la mutilation. Elle observe le chaos avec fascination : la panique, la trahison, la peur… autant d’outils pour modeler la victoire.
La guerre, pour Cyra, n’est pas seulement un devoir. C’est un terrain de jeu personnel. La légate ressent un plaisir presque sensuel à écraser une ligne ennemie, à voir une armée reculer, à entendre le silence absolu qui suit une charge réussie. Ce n’est pas de la cruauté aveugle : c’est une jouissance dans le contrôle du chaos. Les paix longues l'ennuient. La rendent instable, mauvaise stratège. Elle provoque alors des conflits contrôlés, pour alimenter le feu sous sa légion.
Depuis son pacte avec le démon, Cyra a changé. Pas brusquement. Mais par petites contaminations psychiques, elle s’est éloignée de toute forme d’empathie humaine. Un attrait pour la soumission totale : voir une ennemie redoutable se briser devant elle la fascine plus que sa mort. Elle se plait à humilier sexuellement un chef adverse.
Un plaisir ambigu dans la douleur, la sienne comme celle des autres. Elle se blesse parfois seule, en méditation, pour sentir le « frisson » dans ses veines. Des penchants sexuels froids, expérimentaux, hiérarchiques : pour elle, l’intimité est un prolongement du pouvoir, de la domination, ou un moyen de corruption.
Altaïra, la succube, a lentement insufflé en elle des désirs désalignés :
Des rites de possession où elle domine ou est dominée dans un rôle rituel sacré. Des offrandes vivantes, des prisonnières offertes à la légion ou à Altaïra, sacrifiées ou séduites. Une vision sacralisée de la perversion : ce n’est pas du vice, mais un moyen d’honorer le démon et d’écraser les vieilles lois.

Histoire

Cyra Veluria Tertia — L’Enfance d’une Louve d’Empire

Cyra naquit dans le marbre froid d’une villa haut perchée sur les terrasses de Petra, la capitale de Novae Verinis, cité de pierre noire et de bronze, gouvernée par la volonté implacable du Sénat impérial. Troisième fille du pater familias Rugestus Velurius, général à la retraite et sénateur vénéré pour ses campagnes sanglantes contre le royaume de Lumen et les provinces libres, Cyra n’était pas destinée à l’héritage. Elle était destinée à l’excellence.
"Tertia", comme l’appelait son père, n’était pas une insulte, mais un rappel : troisième née, dernière à espérer, la moins utile à la maison. C’est précisément ce qui enflamma en elle une soif de reconnaissance dévorante.

Éducation de marbre et de fer

Dès l’âge de cinq ans, Cyra fut confiée aux pedagogi armati — des esclaves instruits, mais anciens soldats de la garnison impériale. L’arithmétique, l’histoire, la rhétorique ? Bien sûr. Mais aussi le port du glaive, l’endurance sous la pluie glacée, et la récitation des Discours de Fer de l'Empereur, les yeux bandés, fouet au dos.
Son enfance fut un manège alterné de culte impérial, d'entraînements sanglants et de mépris familial contre ses soeurs.
Les Velurii avaient élevé des sénateurs, des généraux, et même un exécuteur impérial. Pour Rugestus, les femmes n’étaient que des vecteurs d’alliance politique ou, dans le meilleur des cas, des matres bellicae, mères de soldats. Mais Cyra refusait cette voie.

Rivalité sororale

Ses deux sœurs aînées, Veluria Prima et Veluria Secunda, n’avaient jamais douté de leur place. Prima était la stratège, la future héritière ; Secunda, l’ornement politique, promise à un mariage prestigieux avec un chef de guerre Orc. Cyra, elle, était l’ombre entre les deux piliers. Trop dure pour plaire, trop indocile pour servir.
Elle s’infiltrait dans les cours d’escrime de Prima. Elle défiait Secunda en public. Lorsqu’elles la faisaient battre par leurs servantes, elle revenait chaque fois debout, le regard vide, les lèvres scellées. Mais elle ne se vengeait pas. Pas tout de suite. Car si elle avait une qualité, c'était celle là. La patience.

Service militaire

À quinze ans, elle força son père à signer son engagement dans la Légion d’Honneur du Nord, une unité de jeunes nobles censée montrer l’exemple, mais souvent affectée à des fronts symboliques. Pas pour elle. Grâce à des manœuvres politiques et à sa propre insistance, elle fut transférée dans la IVe Légion Punitive, en campagne dans des territoires volcaniques de la confédération de Lumen.
On ne l’appelait pas Cyra là-bas. On l’appelait La Cendreuse, parce qu’elle revenait toujours des assauts noircies de sang et de poussière, le visage comme fondu. Elle tua son premier homme à seize ans, au glaive. À dix-sept, elle fit décapiter un tribun incompétent qui avait tenté de la faire violer. Elle gagna le respect non par son nom, mais par sa rage méthodique.

Obsession paternelle

Mais au fond d’elle, Cyra n’agissait pas pour la gloire de l’Empire — pas vraiment. Elle agissait pour une chose simple et brutale : le regard de Rugestus. Ce regard qu’il posait sur Prima quand elle triomphait à l’Académie militaire. Ce regard qu’il posait sur Secunda quand elle manipulait une audience sénatoriale. Mais jamais sur elle.
Elle collectionnait les médailles comme d'autres collectent des cicatrices. À son retour, elle fit ériger une statue à sa propre gloire dans la cour intérieure de la villa Veluria, sans autorisation. Elle exigea que son nom soit récité dans les litanies de la Maison.
Son père ne dit rien. Il la laissa faire. Ce silence-là fut la seule marque d’acceptation qu’il lui offrit.

La succube

A son dix huitième anniversaire, elle put enfin s'engager officiellement dans l'armée. Par la grâce de ses actions, et par un semblant de volonté de son Père de la féliciter grâce à des manoeuvres politiques, elle put devenir directement centurion d'une légion, commandant officiellement plus de 80 hommes. Elle reprit du service, loin de son pays. Mais malheureusement, sans doute par excès de confiance, manque d'expérience et mauvaise gestion, elle eut plusieurs échecs, et manqua de mourir plus d'une fois. Cyra était en vie aujourd'hui notamment par la clémence des Luméeniens et de l'avoir rançonner plutôt que tué.
C'est dans la ville de Mijak, au détour d'un bar militaire, qu'elle la trouva.
Elle apparut dans la lumière vacillante d’un brasier oublié. Altaïra, c’est ainsi qu’elle se nomma.
Une silhouette d'une beauté dévorante, nue sous un manteau d’ombre et de braises. Sa peau n'était ni chaude ni froide, mais d’une texture parfaite, presque irréelle, comme polie par des siècles de désir et de guerre. Ses cornes s'enroulaient comme des parures d'impératrice, et ses yeux brillaient de flammes inversées, des ténèbres si profondes qu’on pouvait s’y perdre. Sa voix n’était pas humaine. C'était une caresse dans la moelle. Un ordre dissimulé dans un soupir.
Altaïra lui murmura "Je peux faire de toi une vrais guerrière, fille du domaine Velurii."
Elle passa sa première nuit à découvrir le plaisir entre femme avec elle. Altaïra se présenta comme une Succube, dévote d'un seigneur démon très puissant. Mais aussi d'un organisme des plus dangereux.
L'affiliation.

Le pacte

Altaïra lui parla de son démon. Elle lui promit la puissance, l’influence, la légitimité — non pas par le sang, mais par la conquête et la peur.
Cyra n’hésita pas. Elle jura, la main sur une pierre noire suintant de chaleur, de le servir de l’honorer par ses victoires, de lui livrer les âmes de ses ennemis, et si besoin...de trahir l'Empire.
En échange, elle reçut un don invisible, une soif lucide, une chance surnaturelle sur le champ de bataille. Elle ne devint pas invincible, mais implacable, inspirée, inarrêtable.

La Légate aux yeux d’ombre

Après ce pacte, tout changea.
Elle gagna trois campagnes en une seule saison : massacre d’une révolte au sud, écrasement de cavaliers barbares, pacification d’une cité rebelle où elle fit crucifier 600 dissidents, en une seule nuit, sur les murs de la cité, contre l'avis de son légat.
Ses supérieurs, d’abord méfiants, commencèrent à craindre son aura. On disait que la mort même reculait devant elle. On lui confia le commandement d’une cohorte, puis d’une légion entière.
À 21 ans, de retour à son pays, elle fut proclamée Légate Cyra Veluria Tertia, la plus jeune légate de Novae Verinis. Elle nomma sa légion "Legion XV Fulminata Umbrae", la Foudre de l’Ombre. Cyra exigea du conseil militaire de la province non pas une légion héritée, mais la permission de lever la sienne, depuis zéro. Une demande inédite, arrogante — mais ses victoires étaient telles que les sénateurs de Novae Verinis n’osèrent refuser.
Mais ce que nul n’attendait, c’est que Cyra rejette tous les recruteurs militaires traditionnels, toutes les consignes de sélection de l’état-major, pour annoncer :
"Ma légion sera forgée dans le sang. Et seules les filles du sang me suivront."

La sélection

Dans les provinces périphériques, les colonies pénales, les foyers ruinés par la guerre, Cyra fit chercher des femmes sans attaches, sans avenir, mais avec la rage dans les veines.
Certaines avaient tué leur mari ou leur maître. D’autres étaient des criminelles, des anciennes esclaves, des orphelines fanatiques de l’Empire. Toutes furent soumises à un entraînement surhumain : affrontements à mains nues, privations, supplices psychiques, marches dans le désert sans eau, luttes contre des créatures dressées pour tuer.
Sur 12 000 sélectionnées, elles n'étaient à la fin plus que 6000.

Le Pacte de Sang

Avant d'être admises comme sisters in umbra, chaque recrue devait se présenter nue, à genoux, dans la crypte sacrée de la Légate, face à Altaïra.
La succube, incarnation sensuelle du pouvoir interdit, leur offrait un pacte :
Abandonner leur nom, leur passé, leur foi. Faire couler leur sang dans une coupe d'obsidienne,
Et prononcer le serment du fer et de la chair : un vœu de fidélité à Cyra, au démon , et à l’Affiliation.
Celles qui hésitaient mouraient sur place. Celles qui mentaient brûlaient de l’intérieur. Mais celles qui passaient... changeaient. Leur regard devenait plus fixe, leur sommeil plus court. Leurs nerfs, moins à la douleur. Mais plus que tout autre. Elles se mirent à bouillir d'une rage, de pulsion sexuelle et d'envie charnelle.
Le pacte se termina par une orgie des plus torrides.

La Trahison du Sang

Rugestus, le dernier obstacle
Le nom de Cyra Veluria Tertia résonnait désormais à travers tout le flanc oriental de l’Empire. Trop fort. Trop vite. Trop haut. Son père, Rugestus Velurius, sénateur et patriarche, comprit qu'il n'avait plus la mainmise sur elle. Il pensait qu'il pourrait accroitre son pouvoir dans l'armée grâce à elle, mais elle faisait cavalier seul. Et ses rumeurs de culte impie était une profanation à la foi de la famille.
Il convoqua Cyra dans la villa familiale des Velurii, au sommet de Novae Verinis. Ce fut une entrevue silencieuse. Il ne la sermonna pas. Il l’ordonna :
« Tu déposeras l’étendard. Tu abattras tes temples. Tu redeviendras Veluria. »
Mais Cyra ne le regarda même pas. Son attention était ailleurs. Ses yeux, brûlants et vides, n’avaient plus besoin d’un père. Ils obéissaient à une autre autorité. Elle dégaina lentement son glaive. Et dit d’une voix basse :
« J’ai été ta fille. Maintenant, je suis ton héritage. »
Elle le tua dans l’atrium, devant les masques funéraires de leurs ancêtres. Elle le laissa gisant au pied de la statue de leur ancêtre sénatorial. Puis, sans émotion, elle prit l’anneau familial, symbole de la patria potestas, et le jeta dans le feu.

L'art du jeu politique

Plus tard, au Sénat, elle fit des accusations publique que son Père projetait une rebellion contre l'Empire. La Légate put apporter des preuves par des documents falsifiés par ses soins, mais aussi de véritable propos que son Père avait sorti au Sénat, se plaignant des taxes trop importantes de l'Empire. Face à ces graves accusations, ses deux soeurs tentèrent de la faire prisonnière. Mais elles arrivèrent trop tard. Cyra avait déjà pris les devants.

La Guerre des Deux Couronnes

L’Empire dirigeait de loin depuis Mijak, mais se reposait de plus en plus sur des gouverneurs militaires et des sénateurs de province, comme ceux de Novae Verinis, où le pouvoir réel s’exerçait désormais. Le Sénat local — divisé, gangrené par une ambition d'indépendance, manquait d'apporter le soutien fort à sa légion.
Cyra, forte de sa légion féminine et de ses victoires sanglantes, voulait instaurer un régime impérial autoritaire, un petit monarche militaire fondée sur la loyauté enver l'Empereur, le mérite… et le pacte infernal.
Mais elle savait qu’un coup d’État frontal provoquerait une guerre perdue d’avance. Il lui fallait une crise. Un catalyseur. Une fracture.

La Tentation du Trône : Altaïra et le sénateur Valerian

C’est alors qu’Altaïra, succube et bras droit invisible de Cyra, s’introduisit dans les réceptions sénatoriale sous le nom d’Athelia Domna, prétendue fille d’un gouverneur du Nord.
Elle repéra et séduisit le sénateur Caius Cornulius, un patricien impérialiste, nostalgique des premiers empereurs, méfiant du Sénat faible et corrompu.
Elle l’inspira, le flatta, l’enivra. Elle se fit amante, muse, stratège. Et peu à peu, elle planta l’idée :
« L’Empire a besoin d’un trône, pas d’un banc de vieillards. Et qui mieux que toi, Cornulius, pour le porter ? »
En secret, Cyra soutenait cette ambition. Si Cornulius montait sur un trône royal, elle pourrait devenir sa protectrice, son glaive, sa légate suprême… et gouverner dans l’ombre, par les flammes et les serments de sang.

Le Déclenchement

Cornulius se proclama "Roi d’Ordre et de Flamme", soutenu par la Legio XV Fulminata Umbrae, les auxiliaires tribaux, et quelques gouverneurs frontaliers lassés du Sénat.
Il fut couronné à Astra Magna, une ancienne capitale oubliée, réinvestie par les cultes de la légion.
Le Sénat réagit avec fureur. Les deux sœurs de Cyra, Veluria Prima (générale) et Veluria Secunda (diplomate et prêtresse), oublièrent leurs différends pour déclarer la guerre au nouveau régime.
Elles formèrent une coalition appelée la Concorde Dorée, composée des légion Verinienne, fidèle au Sénat, aux garde séraphique, troupe d'élite théocratique fidèle aux anciens dieux de Verinis, à des mercenaires des provinces libres, combattants pour l’or mais ennemis du démon et des tribus loyalistes civilisées, révoltées par les pactes de sang de Cyra.

L'Oeil de L'Empire

Mijak regardait avec un œil expert le conflit qui avait lieu sur ses terres. Le combat contre ses sœurs était rude, mais grâce à sa force et son pouvoir, Cyra parvint à reprendre el contrôle du Pays. Le roi-pantin jura fidélité à l'Empereur, lui envoyant un convoi d'or et d'esclave, et lui promettant une meilleur gestion des Impôts.
Sa soeur Prima fut tué durant une bataille, et Secundra fuya à Lumen. Libéré des entraves du Sénat, d'une province soutenant le démon, l'Affiliation put se féliciter d'avoir une alliée de choix. Mais ce n'était pas tout. Car il murmurait à l'oreille de Cyra un autre objectif. Se rapprocher de l'Empereur. Et prendre le contrôle de Mijak.

La Legion XV

Structure et symboles
Nom complet : Legio XV Fulminata Umbrae
Nom officieux : Les Filles du Pacte
Devise : Per tenebras, imperium – « Par les ténèbres, l’Empire »

Organisation :
3 000 combattantes de ligne, appelées Sœurs d’Acier.
1 000 cavalières, protegeant les flanc, appelées Soeurs du Galop.
600 tireuses et harceleuses, spécialisées en embuscades.
200 exécutrices, armées de lames rituelles, affectées aux purges internes, à la torture et à la protection rapproché de la Légate.
Une unité occulte, Les Voilées, fanatiques silencieuses spécialisé dans les missions secrètes.
A cela s'ajoute des unités spécifiques, des auxiliaires, recrutés parmis les peuples conquis par l'Empire.
Les Narseïdes, tribu matriarcale orcs de pillardes des montagnes, réputées pour leurs rites cannibales. Elles furent intégrées comme auxiliaires de choc.
Les Vuldariens, barbares couverts de tatouages runiques, qui combattaient à mains nues sous l’effet de drogues hallucinogènes. Cyra leur offrit de l'or… et des prisonniers.
Les esclaves maudits de Sarth, anciennes condamnés d'une des fosses les plus cruelles de l'Empire, à qui elle promit liberté et vengeance. Ils devinrent ses sapeurs et saboteurs.

Symbole :
Un glaive noir transperçant une couronne impériale, le tout entouré de flammes tournées vers le bas.

Le pacte de sang et ses effets
Toutes les Filles du Pacte subissent des changement difficilement altérable. Premièrement, des désirs sexuels décuplés, une infécondité, une rage au combat et une sensibilité moindre à la douleur.

Discipline et sexualité
Cyra tient à ce que ses légionnaires soient parmis les meilleurs, et que leur place soit justifiée.
Après les batailles, celles qui se sont le plus illustrés sont récompensés par une bénédiction de la Succube. Leur rage se matérialise par un pénis prenant place de leur vagin, et elles ont l'autorisaitond e l'utiliser comme bon leur semble, sur des prisonniers, des jeunes recrues ou des légionnaires ayant failli durant la bataille. Les sévices corporels, sexuels ou l'humiliation sont monnaie courante dans son armée.
Rituels
Avant chaque bataille, les soldates se couvrent le visage de cendres humaines mélangées à leur propre sang. Après chaque victoire, une cérémonie est menée dans le camp. Le nom de chaque sœur tombée est inscrit dans le Liber Sanguinis, un grimoire de chair conservé dans la salle du trône de Cyra.

Re: La Légate Cyra et la XV Légion Fulminata Umbrae [Terminé]

Posté : 02 mai 2025 23:42
par Observateur
Bienvenue sur le forum !

Cela fait plaisir de voir un nouveau membre s'investir autant dans le BG :mrgreen: Et venir de surcroît avec une femme aussi belle que fatale !

Quelques précisions utiles pour compléter ton BG :

  • Bien que Mijak soit d'inspiration romaine, il n'y a pas de Sénat, mais plutôt un Conseil Impérial. On peut toutefois considérer que ce Conseil se fait aussi appeler Sénat. Il existe une autre institution qui est le Parlement, qui se réunit pour nommer un nouvel Empereur,
  • Le BG actuel de Mijak est assez calamiteux, car, suite à un event qui s'appelle "l'Olympomachie", et où les Dieux olympiens ont attaqué Terra, la légitimité de l'actuel Empereur, Wismerhill, est contestée par une partie de l'Empire, qui mène une sécession sous la houlette du baron Greldinard, baron de Moork, et qui est le pantin de l'ancien mage noir qui assistait l'Empereur, Haazhel Thorn (inspiration "Chroniques de la Lune Noire", sachant que ces insurgés servent la Monarchie de la Rose). On peut toutefois imaginer que, dans ce contexte, la révolte menée par Cyra ert Cornulius puisse s'organiser plus librement, puisque les armées impériales ont perdu beaucoup d'hommes suite à la guerre menée par les Olympiens, notamment par Arès, qui a mené des légions olympiennes dans l'Empire depuis l'est.

Bref, je pense que le BG de ton perso' peut tout à fait s'incorporer avec celui du forum !

N'hésite pas à aller faire ta demande de RP dans la section "Hall des Rencontres" :jvcpouce: !

Tu es VALIDÉE !

Re: La Légate Cyra et la XV Légion Fulminata Umbrae [Valiobservée !]

Posté : 03 mai 2025 08:41
par Cyra Veluria Tertia
Merci ! Wah c’était rapide !
Super les précisions, j’apporte les retours suivants :)

- pour le Sénat, il s’agit non de la structure officiel de l’Empire, mais de celui de Novae Verinis. J’étais partis sur l’idée que l’empire laisse la province gardé son système local, tant qu’ils payent les impôts, au soulèvement des troupes, aux esclaves...mais on peut dire que le chancelier de Verinis étaient un membre du conseil.
-ok, j’avoue ne pas avoir lu toute l’histoire de l’Olympomachie mais si c’etait pendant cet événement qu’à eu lieu la guerre civile, cela peut justifier le manque de réaction de Mijak.

Re: La Légate Cyra et la XV Légion Fulminata Umbrae [Valiobservée !]

Posté : 03 mai 2025 09:07
par Observateur
Oh, très bien, alors !

Oui, l'Empire a généralement tendance à laisser les institutions locales en place, donc tout va bien ^^